Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : 28 ans tout juste fêtés, réchappé du club des 27, comme par miracle.
statut civil : célibataire aux émois sans envergure ; trop égoïste pour s'adonner à des romances délétères, il leur préférera toujours des tendresses éphémères.
occupation : tennisman, joueur obsessionnel qui a élevé son sport au rang d'art, persuadé que nul sacrifice n'est trop grand pour la victoire.
adresse : 206, fortitude valley, colocation trouvée par hasard après s'être laissé convaincre qu'il n'était pas en mesure de vivre seul ; contre toute attente, il s'est pris d'affection pour les lieux et surtout ses habitants.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses entre 1 et 4 semaines, selon l'inspi et le temps.
style rp : j'écris en il ; entre 300 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en yellowgreen, français ou anglais.
TW : relation coach/élève malsaine, contacts physiques non consentis, dépression, consommation de drogue, overdose, deuil
âge & naissance : on avait prévu de l'appeler Oscar, hommage à Wilde : tradition familiale semblant grandement amuser ses parents. Il les a pris par surprise en naissant le 22 octobre 1996, quelques jours avant le terme prévu, et la spontanéité a pris le dessus, laissant la littérature prendre la poussière tandis qu'un autre prénom s'est esquissé sur les lèvres de sa mère. Une anecdote amusante à raconter ; une preuve, s'il en fallait, de sa posture légèrement désaxée. 27 ans qu'il vit en décalé, traînant derrière lui les vestiges d'une innocence morcelée. origines & nationalité :anglo-australien ; rejeton de la banlieue londonienne aux origines irlandaises, il ne gardera du Royaume-Uni que la nationalité et une nostalgie vague devant certaines lourdes grisailles. Des multiples terres effleurées par la suite, délaissées bien avant que l'apatride ne s'aventure à les espérer des foyers pérennes, seule l'Australie offrira finalement un répit. Île d'adoption – à bien des égards – dont il porte désormais fièrement les couleurs.
finances et emploi : sans doute y avait-il plus d'une manière de s'illustrer aux yeux du couple O'Toole ; on ne lui a pas caché qu'aucune d'elle n'impliquait de passer ses journées avec une raquette entre les mains. Le classement grimpé et les quelques trophées arrachés les ont radoucis, mais n'effacent pas tout à fait la persistance de la première impression – celle d'avoir un gamin tout juste bon à frapper dans une balle. Précisons : un gamin tennisman. Lequel, de surcroît, a eu la bonne idée de tout sacrifier pour un sport qu'il semble avoir élevé au rang d'art. La vie selon une ligne de conduite d'une simplicité enfantine : gagner les points qui comptent. Bien que sa discipline regorge de titans aux revers assassins, Declan s'est toujours faufilé assez haut dans les tournois pour en vivre très confortablement. ($$$$$$)
statut civil :célibataire, aux émois sans envergure. Pas le cœur amoureux, ou bien trop rarement. À cet égard, Declan est un égoïste, bien incapable de s'oublier pour des romances délétères. Il n'en apprécie par moins les tendresses éphémères, et parfois semble les honorer avec le désespoir propre aux solitaires ; puis revire selon la saison, amant acharné au printemps, amorphe en hiver. orientation sexuelle :bisexuel ; s'il a pu en avoir honte, adolescent, il a maintenant fait la paix avec ses attractions plurielles. Cela étant, le genre de l'amant peut le pousser à divers degrés de précautions, encore vaguement méfiant du qu'en-dira-t-on. Généralement desséchées dès l'aube, ses passions vampiriques préservent le secret, puisqu'il n'y a plus rien à assumer une fois la nuit dissipée.
situation familiale :troisième enfant des O'Toole, troisième fils : l'inconscient qui a cru pouvoir dévier du chemin pavé par ses aînés. La famille est unie, mais Declan en est incontestablement le maillon faible. Le renégat dérivant loin des siens, sous le poids des désapprobations à peine voilées et des reproches qu'il est peut-être seul à s'imaginer. Il n'y a qu'à Leo, sa cadette, qu'il daigne encore donner régulièrement des nouvelles, même lorsqu'elle n'en demande pas. Un effort dérisoire, à la limite de l'hypocrisie, vu l'étendue de ce qu'elle ignore. Dans l'angle mort de tous ses proches, Declan est devenu père, il y a presque trois ans. Rejeton inattendu dans la vie duquel il s'implique par intermittence, tout en se sentant plus baby-sitter que géniteur. Sauf qu'il y a cet angle, ce profil légèrement incliné vers la droite, qui fait que le gamin ressemble trop à cette photo de Declan au même âge, affichée quelque part dans le salon des O'Toole, pour que le moindre doute soit permis.
signe astrologique :balance infortunée ; un simulacre d'harmonie non pas dicté par les étoiles, mais tricoté patiemment – à ses propres dépens.
le pire tue-l'amour : la vulgarité et l'humiliation ; elles ont attisé sa curiosité jusqu'à ce qu'il se risque à demander à un partenaire d'en user. Propos crus qui ont plus suscité le malaise que l'excitation, un profond dégoût qui ne s'est lassé de lui que quelques jours après l'expérience. Aussi désuet que ce soit, il lui semble préférer une illusion de tendresse entre les draps que des jeux de domination sournois. un fantasme : une aventure dans l'urgence, envie assouvie n'importe où, n'importe comment ; moins par exhibitionnisme ou fétichisme du sexe entre deux portes, que par curiosité d'une passion impérieuse au point de ne pouvoir être remise à plus tard.
à Brisbane depuis : ses 11 ans ; une attache inespérée après près d'une décennie de vagabondage. Première ébauche de stabilité pour la fratrie résolue à des déménagements à la chaîne, parfois d'un jour à l'autre, tant et si bien qu'ils en avaient maîtrisé à la perfection l'art de faire les bagages en quelques minutes et de voyager léger. Ironique de se dire que, quelques années après, ce serait Declan qui, par choix, irait jouer aux quatre coins du monde – et se sentirait à peine impatient de revenir à la maison : appellation extrapolée, témoin d'un besoin critique d'appartenance jamais pleinement satisfait. Ni dans la demeure où les O'Toole se sont installés, ni dans les appartements solitaires qui ont succédé. Finalement, et contre toute attente, il n'y a nul endroit qu'il soit plus rassuré de retrouver que la colocation où il a fait son nid, premier vrai espoir d'un foyer.
traits de caractère : affublé depuis toujours d'une sensibilité malvenue, dont il a passé le plus clair de sa vie à essayer de se délester. Non par conviction, plutôt à force d'entendre que pour un homme, ce n'est pas de bon ton. Il n'en a pas fallu plus pour qu'il comprenne que du fils prodigue, il n'était qu'une approximation : alors Declan s'est fait caméléon. Fin observateur saisissant vite ce que l'on attend de lui, et s'y tordant au bon-vouloir des autres, besoin pathologique de plaire, de satisfaire. Également un voleur vulgaire, dérobant aux autres les traits de personnalité tant convoités, à commencer le sacro-saint modèle de rigueur et d'intransigeance qu'est son père : lesquelles Declan applique à sa propre personne, durement, là où le maître étendait leur spectre à tous ses pairs. Détenteur d'une maniaquerie toute militaire, lit fait au carré et cheveux ras qu'il n'ose laisser pousser que depuis quelques années. Hargneux, acharné dès lors qu'il s'agit de gagner, on le voit rarement renoncer à ce qu'il désire, mais encore moins savoir, au juste, ce qu'il convoite ; car si l'on peut prétendre être un parfait miroir des qualités d'autrui, c'est une autre affaire que de s'en accaparer les envies. Or, Declan ne semble jamais être aussi bon que lorsqu'on lui susurre quoi faire au creux de l'oreille. Il a la manie de répondre aux questions par d'autres, et d'en écouter les réponses religieusement, pour s'éloigner du centre d'attention ; et il sourira s'il est mal à l'aise, les fossettes d'autant plus creusées quand des mots lui entaillent la chair. Il sait encaisser sans rien dire et sans flancher, d'un calme froid face à l'adversité : à cet égard, l'élève a dépassé chacun de ses maîtres, lui qui peut voir un ami mourir sans une larme verser.
avatar : Harris Dickinson (anglais, irlandais).
the love test
romantisme (40%)
level de drague (65%)
engagement (10%)
passion (55%)
performance au lit (80%)
fidélité (10%)
nombre de cœurs brisés (1%)
recherche de l'amour (5%)
♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ? Il ne pourrait s'égarer à en parler, tout simplement car il n'en a jamais rêvé. Les émois froids devant les comédies romantiques devant lesquelles il a souvent surpris Leo, et les gestes de tendresse domestiques – tout juste un emballement du palpitant, passé inaperçu, devant les destins des grandes âmes sœurs de la littérature, dont il apprécie probablement plus la poésie que ce qu'elle décrit. Sans doute voudrait-il que ce soit grandiose, et rien de moins, si de tels sentiments l'attendaient au tournant : quelque chose de renversant. Pourtant, il s'est habitué à traiter le grand amour comme une chimère, ne se le représentant que très rarement : de loin, et toujours chez les autres, le cas échéant.
♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ? Le corps ondulant, élancé, qui a hanté ses pensées depuis la première fois qu'il l'a vu danser, quoiqu'au fil du temps et des rêves, Declan lui ait certainement imaginé une chorégraphie nouvelle, à la manière d'un orfèvre. La vision, alors, lui avait percé le cœur, même s'il avait eu tôt fait de se convaincre que c'était la beauté du mouvement qui l'avait conquis, et non celle - à se damner - de son ami. Comme s'il n'y avait qu'un plaisir d'esthète à trouver dans le roulement des muscles à fleur de peau ; qu'une curiosité d'enfant à caresser ses lèvres du regard, et s'en détourner aussitôt. De ces envies, Declan n'aura rien fait, assez convaincu de son incompatibilité avec toute forme de relation amoureuse ; et, sans la tragédie pour lui faire repenser ses sentiments et ce que leur aveu aurait pu y changer, sans doute n'aurait-il jamais regretté ce silence.
open your heart
buzzcut season — lorde ; motion sickness — phoebe bridgers ; mum — luke hemmings ; lose your soul — dead man's bones ; marea (we've lost dancing) — fred again... ft. the blessed madonna ; house of balloons / glass table girls — the weeknd ; brutalizer [mixed] — trent reznor and atticus ross, boys noize ; smalltown boy — bronski beat ; i'm low on gas and you need a jacket — pierce the veil ; you want it darker — leonard cohen ; should have known better — sufjan stevens.
(un) Papa est militaire. Toute une vie calibrée à la perfection. Tout un chaos dans son sillage. Son équilibre a pour fondation l'instabilité de son entourage. On a le ventre serré quand il rentre tard. On encaisse sa colère au moindre écart. Et on quitte tout quand il l'ordonne. Sans hausser la voix, sans montrer d'émotions. Chef, oui chef. Homme difficile à comprendre, plus encore à satisfaire. Pourtant, les aînés en ont perfectionné l'art et la manière : Beckett qui depuis tout jeune ne parle que de l'armée, Hugo et ses notes exemplaires. À eux les trajectoires toutes tracées, à Leo et lui les doutes. Leo, au moins, le comprend : Declan n'a jamais eu à s'adapter à elle, car elle ne lui donne pas l'impression d'attendre quoi que ce soit de lui. Il lui a piqué son sourire, même si sur lui, c'est rarement sincère ; et a convoité son optimisme, avant d'accepter que sa propre nature est bien trop amère.
(deux) Maman enseigne les lettres. Les pages sont cornées, surlignées, annotées, et Declan déteste lire après elle. Pourquoi doit-on tout disséquer ? Les mots ne peuvent-ils pas rester que des mots ? Lui, l'analyserait-elle avec cette minutie s'il était réduit à mille pages noircies ? Il aime les livres, pourtant, et – comme une nostalgie mal placée – s'acharne à les collectionner d'occasion, aimant l'irrégularité d'une tranche éraflée, et l'éclat de couleur, jailli d'entre deux pages, d'un coup de surligneur. Il aime constater le vécu des ouvrages, tant qu'on lui laisse tout loisir d'imaginer leur passé, de considérer qu'une phrase a été soulignée non comme un objet d'étude, mais comme un hommage rendu à sa poésie.
(trois) Ils ont voyagé à n'en plus finir, jusqu'à mieux connaître l'intérieur d'un avion que celui d'une chambre. De ce chaos d'inconstance, il retiendra toujours le calme tranquille des suites d'hôtel, leurs murs blancs, leurs tableaux impersonnels ; et, adulte, ce sont les lits toujours faits au carré et les minibars d'un jour à l'autre rechargés qu'il a appris à apprécier. Il en aime le caractère transitoire, la promesse d'un départ à son propre gré ; l'absence d'injonction à s'en faire un foyer – exercice auquel, même dans les lieux où il était censé être chez lui, il a toujours échoué. Malédiction pourtant rompue dans les rues de Fortitude Valley, tandis que sans conviction et uniquement pour faire plaisir à son coach, c'est dans une colocation qu'il s'installait : à croire que le plaisir de quelques âmes amies pourrait compenser le joyeux bordel qu'il ne se serait jamais cru capable de supporter.
(quatre) On lui avait dit qu'il se lasserait du tennis, et que s'il en faisait sa carrière, le moment finirait par arriver où il se traînerait derrière le filet à reculons, par devoir et non plus par passion, maudit au passage par son corps en pleine désagrégation. Il la constate parfois, cette usure, chez ses adversaires : ceux qui semblent souffrir à chaque point, même gagnants. Et il s'applique à leur montrer les dents, insolent, pour que jamais on ne l'accuse de ne pas prendre son pied. Son plaisir est toujours le même – presque enfantin – à l'arrivée sur le court ; les balles qui sifflent, l'adrénaline et l'effort qui font battre aux tempes le sang, les liens intangibles qui le lient à l'opposant, étirés jusqu'à la rupture. Il en a été épris même au bord du burn-out, quand tout convergeait vers un dégoût irrévocable, et il a fort à parier que cet amour le suivra dans la tombe.
(cinq) Amour invétéré pour la musique techno, né d'une idiote rébellion adolescente – sonorités découvertes par hasard, et le son poussé au maximum dès qu'il entendait sa mère, plutôt adepte de douces ballades, s'en plaindre. L'habitude s'est étendue jusqu'au tennis : avant un match, son écoute en est presque religieuse.
(six) Toujours des bonbons dans les poches, manie tenue des sevrages répétés ; il n'est pas rare de le voir en mâchouiller, généralement par simple force d'habitude, et à un rythme d'autant plus effréné s'il a de l'angoisse à pallier.
(sept) Une certaine affection pour les chiens errants, les chats de gouttière et toute autre bête laissée pour compte. Declan met un point d'honneur à leur donner à manger lorsqu'il en rencontre, quitte à revenir sur ses pas pour acheter de quoi les nourrir. Il n'a jamais eu l'aplomb d'en sortir un de la rue, néanmoins, persuadé que sa tendresse vaut mieux de loin.
(huit) Ses intonations sont de curieuses hybrides de l'accent australien qu'il n'a pu s'empêcher de s'approprier, et de celui anglais que sa mère ne s'est jamais résolue à abandonner. Les mate côtoient les love, selon l'humeur, bien que la diction australienne prenne le dessus au fur et à mesure de l'éloignement familial.
(neuf) Ressemblance frappante avec son père – et, de fait, ses frères ; la blague court dans la famille que les gènes maternels n'ont pas eu la moindre chance de s'imposer. Similitude longuement entretenue, sans même s'en rendre compte, ne serait-ce qu'en arborant la coupe courte typique des militaires. L'ébauche de mulet qui s'approprie depuis peu la naissance de sa nuque – et que sa mère n'a pas manqué de décrier la dernière fois qu'elle l'a vu – a beau être timide, c'est le signe le plus voyant de son émancipation.
(dix) S'il aura fallu le houspiller des années durant pour qu'il accepte de l'aide, Declan a fini par accepter de suivre une thérapie ; la naissance de son fils a été un déclic en ce sens. Par ailleurs, il fréquente fréquemment des réunions de narcotiques anonymes depuis sa dernière rechute.
youngblood.
âge : 25 disponibilité pour le forum : fidèle au poste. pays : au vu des événements récents : un simili-scranton avec des michael scott pas très sympas. personnage : inventé, mais ajout à la famille de @Leo O'Toole et la coloc de @Dora Oliveiraoù avez-vous connu le forum : j'y suis depuis quelques temps... votre avis : the greatest. crédit icon & gifs : dissendium (gifs), kitsune (icon) mot de la fin : roland-garros me manque.
Dernière édition par Declan O'Toole le Mer 3 Juil - 17:44, édité 11 fois
Declan O'Toole
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
âge : 28 ans tout juste fêtés, réchappé du club des 27, comme par miracle.
statut civil : célibataire aux émois sans envergure ; trop égoïste pour s'adonner à des romances délétères, il leur préférera toujours des tendresses éphémères.
occupation : tennisman, joueur obsessionnel qui a élevé son sport au rang d'art, persuadé que nul sacrifice n'est trop grand pour la victoire.
adresse : 206, fortitude valley, colocation trouvée par hasard après s'être laissé convaincre qu'il n'était pas en mesure de vivre seul ; contre toute attente, il s'est pris d'affection pour les lieux et surtout ses habitants.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses entre 1 et 4 semaines, selon l'inspi et le temps.
style rp : j'écris en il ; entre 300 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en yellowgreen, français ou anglais.
[ 1er novembre 2022 - 21:56 ] tw : allusion à une relation malsaine & à des contacts physiques non consentis
— Félicitations pour le titre, O'Toole. C'était une belle finale.
Tu m'appelais Declan, songea-t-il immédiatement. Les muscles subitement tendus, nerveux, par instinct – réflexe pavlovien. Car, dans la bouche de Wheeler, il n'avait été O'Toole que lors des entraînements ratés, des points apparemment donnés qu'il avait toutefois laissés passer, des écarts qu'il s'était parfois octroyé pour tenter de bâtir un semblant de vie en dehors du tennis, et du cadre rigide que son coach avait fixé, tissé tout autour de lui. Declan n'avait été qu'une mouche piégée dans une toile d'araignée. O'Toole s'accompagnait de furies et d'orages, de raquettes flinguées, d'humiliations. Wheeler l'avait aussi appelé ainsi lorsqu'il avait prétendu que Declan n'était rien sans lui. Que personne d'autre n'arriverait à le traîner jusqu'à une victoire en Grand Chelem, et que, parce que l'histoire ne retient que les grands et non pas leurs opposants défaits – qu'importe l'obstination de ces derniers – lui ne serait jamais qu'un énième ingénu anonyme ayant visé trop haut, chanceux s'il dépassait la demi-finale. Et maintenant que c'était chose faite – non que ce fût sa première victoire, mais simplement la seule dont Wheeler l'avait félicité depuis leur scission – il se demandait si, là encore, le mentor des premières heures cherchait à s'arroger un semblant de gloire. Declan était sa création. Aussi sûrement qu'un lien de sang, cet ersatz de filiation se confondrait toujours à l'ombre du joueur. À moins qu'il n'essayât de retourner le couteau dans la plaie : on ne célébrait là qu'une victoire en ATP 500. Une pacotille, à côté du potentiel qu'à l'époque, Wheeler lui avait prêté. Quand il l'appelait encore Declan ; ton cajoleur, tandis qu'il lui promettait monts et merveilles. Il avait eu droit à la familiarité dans la victoire et la docilité, dans ce rôle de parfait petit soldat qu'il avait longtemps endossé. Le regard vide, pour ignorer celui, prédateur, qui s'attardait trop souvent sur lui. L'esprit fuyard, en permanente dissociation, quand les mains caleuses s'éternisaient sur sa peau sans raison. Declan aussi y pensait, parfois, à tout ce qu'il lui devait. À ce qu'il serait encore capable de faire, pour une fraction de l'attention que Wheeler lui avait jadis pleinement donnée. Peut-être qu'il n'en avait jamais fait le deuil ; qu'il n'avait jamais appris à fonctionner, sans que l'on place en lui une foi démesurée. Il s'en serait rendu malade. De se sentir redevable, d'avoir eu l'impression – même si ça n'avait été qu'une traîtresse seconde – que tout ce qu'il avait encaissé aurait pu lui manquer.
[ 22:30 ]
text to jannik — ça te dit de me retrouver au Met dans une heure ? dès que j'arrive à fuir cette putain de soirée
[ 23:48 ] tw : consommation de drogue
— T'es pas obligé d'en prendre, si tu le sens plus. Tu peux te contenter du spectacle pathétique de moi en pleine défonce.
Il était trop fin pour avoir prononcé la moindre promesse. Lorsqu'il avait quitté la cure de désintoxication, il n'avait pas une seule fois juré qu'il ne consommerait plus. Seulement qu'il ferait de son mieux – ce qui, chez Declan, voulait tout et rien dire. Il avait tenu le coup, étonnamment. Il avait enchaîné les clopes, parfois bu à s'en brouiller la mémoire, mais il n'avait pas rappelé son dealer, jamais. Cinq ans de sobriété. Une éternité. A présent, il était accroupi sur le sol poisseux des toilettes du Met, observant Jannik de biais. L'air hagard, réalisant soudainement qu'il évitait de regarder les deux lignes qui le narguaient – blanc neige, lumineuses. Et qu'en l'occurrence, il n'avait pas trouvé meilleure distraction que les lèvres de son ami ; promesses d'autres merveilles, eût-il eu le courage d'enfin s'y pencher. Sale habitude acquise sur le tard, un fantasme bizarre, rien de plus qu'un mirage. Declan n'était pas assez stupide pour tout miser sur un désir de passage.
— Je passerai pas la nuit, sans ça, ironisa-t-il, parant sa sincérité d'un rictus railleur ; un air de mauvais garçon, prêtant aux mots des airs de blague.
C'était vrai, pourtant : il lui fallait s'extirper de son propre crâne, désespérément. Perdu dans ses souvenirs, il lui semblait avoir vécu les deux dernières heures entre des mains auxquelles il ne vouait aucune confiance, dans une triste transe. Pour de bon, il lui fallait oublier cette danse.
— Il s'est passé quelque chose ? Ca fait des années que je t'ai rien vu prendre, et que t'évites les soirées. J'étais surpris que tu me demandes de sortir. Et que tu te ramènes avec... ça. — C'était juste une soirée pourrie. J'ai croisé mon ancien coach, qui est un vrai connard, et j'ai eu envie de me changer les idées. Ca m'arrive parfois, de me décoincer, tu sais. — Evidemment. C'était Wheeler, c'est ça ? Ton coach ? J'avais fait une soirée avec deux joueurs de tennis, y'a quelques temps, et ils disaient qu'il y a de sales rumeurs qui tournent sur lui. — Bah, écoute, tant que ses poulains gagnent, personne ne dira rien. Donc ce sera jamais plus que des rumeurs. Tu sais comment ça marche. — Mais c'est vrai, alors ? — J'ai vraiment pas envie de parler de ça maintenant. On est là pour faire la fête, non ?
Il se pencha, finalement ; pas vers Jannik, mais vers le blanc éclatant. Afflux d'adrénaline, toute puissance – Declan aurait pu bouffer le monde à pleines dents. Et Jannik attendrait ; si ce n'était pas ce soir, ce serait un autre. Ou, peut-être, jamais.
[ 00:59 ]
Jannik n'était plus là. Il ignorait depuis combien de temps il l'avait perdu de vue. Une poignée de secondes, tout au plus – du moins d'après ses synapses survoltées. Il hurla aux oreilles de danseurs, se heurtant à autant de murs, puisqu'évidemment, personne ne savait de qui il parlait. Declan cherchait et, tout autour, la rumeur enflait, culminant au niveau des toilettes où un attroupement s'amassait.
un agent est en train de défoncer une porte y'a un type qui a fait un malaise à l'intérieur ils sont en train d'appeler les urgences
Coups de coudes, injures essuyées. Des portables brandis par dizaines, flashs allumés. La curiosité malsaine à son sommet. Mais il gagnait du terrain. Musique coupée. Foule compacte, en train de reculer. C'était l'ordre balancé par les agents : reculez. Et lui avançait, bravant les mines brièvement dévisagées – toutes anonymes. Avec la force du désespoir, sans doute aurait-il pu à l'une d'elle accoler les traits pourchassés. Jannik, Jannik, Jannik ; tout, mais pas toi. Plus rien ne comptait, lorsqu'il avisa le vigile campé devant l'entrée des toilettes. Sirènes sifflant aux oreilles, sans doute imaginées : il fonça. Tumulte de cris, l'élan stoppé de plein fouet. Des mains sur lui, qui tiraient. Des mains sans visage, cauchemar de gamin. Il se laissa traîner, laissant les néons blafards s'estomper. Loin, loin.
[ 02:02 ] tw : mention d'overdose mortelle
— Qu'est-ce que tu fous là ? On a évacué tout l'monde, faut qu'tu rentres chez toi.
Il avait attendu, comme un con : laissant la lumière clignotante de l'ambulance l'hypnotiser, à réciter silencieusement une litanie de prières sans destinataire, embarqué dans un élan d'espoir délétère. Lorsque les urgentistes l'avaient sorti, le corps était couvert. Alors, vainement, il avait cherché le visage de Jannik parmi la foule acheminée hors de la discothèque mortifère, hélant même un type à la silhouette vaguement similaire. Il avait dû le manquer. Le temps d'un clignement d'œil. Ou à travers l'opacité d'un linceul.
— Attends, c'est pas toi, qu'on a dû foutre dehors quand les urgences sont arrivées ? Qu'est-ce que tu fous encore là ? — Mauvais trip, désolé ; je voulais pas que c'en arrive là, vraiment. J'espère que j'ai amoché personne. Je peux t'en prendre une ? lança-t-il en se redressant, désignant le paquet de cigarettes que le videur faisait encore danser entre ses doigts ; hésitation franche, avant d'obtenir le sésame – difficile de faire oublier qu'il avait bel et bien fallu deux armoires à glace pour le virer des lieux, mais le sourire, incongru, fit le boulot. Merci. On sait quoi du type qui est mort ? C'était qui ? — Aucune idée, j'suis pas sûr de l'avoir déjà vu. J'ai pas compris son nom... Un truc bizarre, j'avais jamais entendu ça. P't'être germanique. C'est moche, en tous cas, une overdose, surtout que...
Il avait arrêté d'écouter à la remarque sur le prénom, laissant glisser la mention d'overdose – pour enterrer le dernier doute. Mais il pouvait encore vivre quelques heures sans savoir. Dans la poche gauche, sachet pas tout à fait vide : il suffisait d'attendre que le videur se barre pour se morceler un peu plus la mémoire.
Les hommes pleurent pas, fils, mets-toi ça dans le crâne. Alors, il n'avait pas pleuré de la nuit, Declan.
Dernière édition par Declan O'Toole le Mar 2 Juil - 19:06, édité 1 fois
Marcus Klein
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
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rps : 439
pseudo : éms
id card : D. corenswet (fassylover)
pronom irl : ielle
multicomptes : marcus. (d. corenswet) -- braxton (a. demos) -- archie (t.doherty) -- jacob (c. murphy) -- jonty (t. fimmel) -- benicio (g. maggio) -- richard (j. phoenix) -- earl (e. bluemel) -- deacon (t. hardy)
âge : 31, paraît que c'est l'heure de faire le bilan car on vit la vie qu'on mérite à trente ans. pour lui, c'est surtout le choc de voir les autres fonder une famille, et s'endetter pour une maison.
statut civil : jeune marié, en couple avec le premier violon de son orchestre.
occupation : chef d'orchestre & compositeur. il est désormais le vent frais au sein du queensland symphony orchestra
adresse : vit avec victoria, son épouse et sa tribu d'animaux
(mais je t'aime) Si j'avance avec toi. C'est que je me vois faire cette danse dans tes bras.
Hanaë Wilson
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rps : 44
pseudo : Nao'
id card : Melissa Benoist // vava by Nao', sign' by Bat'phanie
pronom irl : elle
multicomptes : Rebekah
à contacter : le compte concerné
présence : Présente
âge : elle a à ce jour 31 ans et pas un cheveu blanc ! enfin, ça, c'est ce qu'elle veut bien faire croire. il lui a semblé en avoir vu un l'autre jour et ça l'angoisse ! des cheveux blancs à son âge, c'est juste pas possible. va falloir camoufler ça avant que d'autres ne poussent !
statut civil : célibataire, elle n'a pas encore trouvé chaussures à son pied. elle profite de la vie comme elle aime à le dire, même si l'horloge tourne et qu'il faudrait qu'elle trouve quelqu'un quand même
occupation : elle est assistante sociale et elle partage son temps entre son bureau, l'hôpital, la caserne ou bien le poste de police
adresse : au #103, sur Fortitude Valley, dans un appartement assez sympa. elle a pas à se plaindre, il est plutôt chouette, même si on peut toujours trouver mieux
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
warning : de part son boulot : violences, meurtres, blessures
infos rp : Tout dépend de l'inspiration. En règle générale, c'est entre 600 et 800 mots. Ca peut être plus, bien évidemment. Tout dépend de l'inspiration comme dit un peu plus tôt
les dialogues seront en darkblue (peut changer selon le design)
niveau réponse, assez aléatoire. J'peux pas dire à l'avance
âge : vingt-neuf années soufflées aux premières aurores de mai ; le temps qu’il voit filer entre ses doigts crispés, qui délite les cœurs plus qu’il ne les répare.
statut civil : célibataire par intermittence, sans cesse tour à tour propulsé et déçu des amourettes déchues. Quelques passions trop fulgurantes pour être retenues, l’amour comme une religion seulement pratiquée en secret – inclinaison clandestine pour le seul cœur qu'il ne devrait pas convoiter.
occupation : tatoueur — La peau comme prédilection, chair sur laquelle il trace les lignes volubiles que son esprit se plaît à imaginer.
adresse : fortitude valley — colocation fric-frac avec une journaliste bordélique et un cabot survolté.
intervention pnj : Non
pronom perso : il
trigger : injection de drogues, romantisation des relations toxiques, age gap 15+, grooming, agressions sexuelles.
infos rp : • 800-1600+ mots en général, en fonction du type de rp
• dialogues en français uniquement
• troisième personne du singulier
• temps de réponse fluctuant
aucunement surprise d'encore réussir à l'être à chaque fois que je découvre une de tes fiches, je réclame d'obtenir la recette pour des masterclass comme ça non, blague à part, harris est parfait en tennisman écorché, ce môme me brise déjà le cœur alors que t'as rien écrit de trop triste (mais je sais à quoi m'attendre de ta part hein), et je pourrais encore tartiner cette fiche de compliments sur ta plume et tes personnage mais flemme, tu sais déjà tout hein
hâte d'encore t'ensevelir de liens et de rps, je reviendrai stalker l'évolution de ce gamin
Mason Mayhart
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
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pseudo : day.light
id card : scott eastwood - day.light
pronom irl : elle
multicomptes : joy, poppy, tobby
à contacter : joy
présence : quand je peux
âge : trente-trois ans et toute ses dents
statut civil : célibataire jusqu'à preuve du contraire
occupation : photoreporter pour un journal local, travaillait pour une agence de presse avant
adresse : 533, west-end - appartement en rez de chaussé qu'il décore à peine
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : violences sur enfants/animaux
warning : guerre, blessure, amnésie, alzheimer
infos rp : je/il , répond quand je suis inspirée (mini une rep par semaine), pas de nombres de mots moyen
disponibilités : 1/3
- avery
- hanaë
en vrac : 5e enfant des mayhart - toujours plus ou moins vécu à Brisbane - a une staffy de 2 ans - fait de la photo depuis l'enfance - joue au rugby dans son temps libre
(ironic) it's a death row pardon two minutes too late and isn't it ironic... don't you think. it's like rain on your wedding day, it's a free ride when you've already paid, it's the good advice that you just didn't take and who would've thought... it figures
CODE BY DAY.LIGHT
courage avery :
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· Ven 14 Juin - 20:30
Re-bienvenue !
Dora Oliveira
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ADMIN ☆ midnight love i'm not your consolation prize
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pseudo : winter solstice.
id card : alba baptista / monocle@av, alcara@bann, sweet poison@crackship, awona@icons, billie eilish@lyrics.
occupation : docteure en gender studies et enseignante-chercheuse à l'université.
adresse : fortitude valley, app. 206 en colocation.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : toute description détaillée d'inceste, de cruauté animale, de violences et agressions sexuelles, de maltraitance, d'automutilations et fausses couches, AVC.
encore un personnage de qualité. et ces gifs de challengers ??? ne parlons pas de la plume et de ce début de fiche - totalement fan, as usual. rebienvenuueee. hâte de jouer notre lien.
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(ready for more) when I come back around, will I know what to say? said you won't forget my name, not today, not tomorrow.
Taylor Quincey
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
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pseudo : spf (flora)
id card : luke hemmings x hoodwink || pinterest (profil) ;; staff bhc & pinterest (signa)
pronom irl : elle
multicomptes : jin (n.sebastian)
à contacter : le compte concerné
présence : présente
âge : lionceau du 23 juillet, il est au crépuscule de sa vingtaine, peu soucieux du temps qui passe.
statut civil : le cœur est pris, déborde de sentiments qu'il se sent prêt à laisser fleurir désormais, pour le meilleur comme pour le pire. il y a Jaime qui hante ses pensées, et lui qui en a assez d'attendre et de douter.
occupation : la musique en fil rouge de sa vie, chanteur et guitariste de Little Anarchy, à qui le destin semble avoir accordé une seconde chance. en parallèle, l'idée d'une carrière en solo qu'il envisage encore timidement.
adresse : maison 308 sur les hauteurs de Kangaroo Point, en coloc avec sa chienne, Leslie, et ses nombreux instruments.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il, lui
trigger : cruauté animale, agressions sexuelles, violence conjugale, grooming/pédo-criminalité, age gap important + ne joue pas les scènes intimes.
warning : décès de proches, deuil, épilepsie, accident de surf/presque noyade, stalker & coming-out forcé.
infos rp : rythme chill et sans pression | entre 500 et 1000 mots selon l'inspiration, je m'adapte à mon.a partenaire | écriture en "il" | dialogues en #C3A86B
encore un personnage de fou qui s'annonce, ces premières lignes promettent déjà tant, il me tarde de lire la suite et Harris est aussi un excellent choix rebienvenue à la maison
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(nothing or forever) i thought i'd get away with giving only half my heart to love, but i say it right back when you say it to me; levitate baby, take me off my feet.
Adela Källström
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
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pseudo : moglobine.
id card : vanessa kirby (ava ; vixen - sign ; tiny heart - gifs ; ada + rosamndpik)
pronom irl : elle.
multicomptes : monroe (b. lively) - léonie (e. mackey) - roxane (s. shahi) - charlotte (o. cooke) - shiloh (d. cameron) - alba (n. wallace)
à contacter : sur le compte concerné.
présence : Présente.
âge : Trente-quatre ans.
statut civil : Célibataire. Jacob et elle viennent de rompre. Coeur brisé. Désespérée à l'idée de trouver un jour le véritable amour.
occupation : Infirmière en milieu carcéral.
adresse : #164 south bank & west end.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : violences animales, violences faites aux enfants. - à discuter.
warning : revenge porn, vengeance, deuil.
infos rp : entre 500 et 1000 mots.
rp à la troisième personne du singulier, au passé.
réponse rapide.
ce début de fiche vend du rêve. mon petit coeur fond déjà pour declan. re-bienvenue à la maison.
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(Should've stayed, were there signs, I ignored ? Can I help you, not to hurt, anymore ? We saw brilliance, when the world, was asleep There are things that we can have, but can't keep)
Presley Parrish
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
âge : (( trente-cinq ans )) le tic-tac court, limpide, intrépide, contre l’échine qui se courbe. le temps se marque, un peu, contre ses ridules en coin des yeux.
statut civil : (( célibataire volage )) quelques amourettes, des relations éphémères. mais le cœur, lui, ne vibre que pour les mécaniques automobiles. romantique au cœur meurtri. elle qui se gave de roman et de poésie. se complait dans des aventures sans lendemain. cœur amoureux qu’elle fait se taire. d’un amour de jeunesse resté sans écho. à se battre contre ses sentiments.
occupation : (( mécanicienne principale de la scuderia ferrari )) elle est l’oeil de lynx. l’oreille d’or. elle connait chaque mécanique, chaque bruissement sourd. rien ne lui échappe.
adresse : (( 045, kangaroo point )) appartement impersonnel, à peine décoré. quelques cartons encore entassés dans un coin de placard, a attendre d’être ouvert. pas du genre à s’encombrer du matériel. pas du genre suffisamment casanière pour aimer prendre le temps de décorer l’endroit.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : on en parle en mp/discord
warning : fille-mère ; enfant non désiré ; déni de grossesse ; abandon ; mention de décès.
infos rp : moyenne de 500 - 1000 + mots (no pression) ; rp le weekend essentiellement.
RP SANS PRESSION.
langue : français uniquement.
couleur des dialogues : 0C4963
elle boit un café noir sans sucre chaque matin sous la douche. ; son réveil sonne toujours à 6h06. ; elle est allergique à la noix de coco et à l’ananas. ; elle est gauchère et contrairement aux dires, elle a une écriture limpide et soignée. ; elle écoute du rock et de la variété. ; elle possède plusieurs permis, voiture, moto, bateau et poids lourd. ; elle est propriétaire de plusieurs moto et d’une voiture triumph spitfire 1500FH verte sapin qu’elle a retapée avec son père. ; elle n’est pas du genre casanière et son appartement et plutôt impersonnel. ; elle est athée. ; elle fait un vœu avant chaque course de chacun des coureurs de l’écurie. ; elle prend des nouvelles de ses frères et soeurs une fois par semaine minimum. ; elle parle allemand couramment. ; elle est fan du coureur de formule 1 niki lauda.
encore un bg torturé sous ta plume, on adore, on en redemande
Leo O'Toole
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
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pseudo : same.
id card : cowen.(endlesslove)
pronom irl : she.
multicomptes : sam (gillepsie), stevie (mitchell), dexter (barnes), hunter (butler), noe (guerrero), zeke (allan white), renfield (poulter), bart (tømmeraas) & fred (claflin).
à contacter : tout dépend de la demande, un peu tous.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
âge : princesse qui a entamé son quart de siècle sans aucun soucis, philosophie, hakuna matata
statut civil : elle tente de tourner la page, actuellement en couple avec un homme qui n'est pas lui.
occupation : elle vit de sa passion, la musique rythme sa vie depuis un moment. ingénieuse son au brisbane powerhouse.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : she.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #ff6633.
I know it's ugly turning on the news. There's people fighting over point of view. Sometimes it's like there's nothing left to lose. And I don't know what to do. But I know it's better with you
Il n'y a qu'à Leo, sa cadette, qu'il daigne encore donner régulièrement des nouvelles, même lorsqu'elle n'en demande pas. Un effort dérisoire, à la limite de l'hypocrisie, vu l'étendue de ce qu'elle ignore.
je suis siiii heureuse que le bro soit de retour ça va être beau tous les deux, ça va envoyer des feels, je le sens. #ripDamian#welcomedeclan. tellement hâte d'en lire plus, c'est toujours aussi beau, J'ai vu le mot titans et mon cerveau est parti sur autre chose (re) bienvenue avec le bro
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(All I know it's simple ain't it? Everything has changed) And all I feel in my stomach is butterflies. The beautiful kind, making up the lost time, Taking flight, making me feel right (...) And your eyes look like coming home.
Johann Geiszler
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ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
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pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : taz skylar (notaboo@av, obriy@gif profil)
âge : trente-trois ans, ce n'est pour lui qu'un chiffre dont il n'a cure.
statut civil : en couple, il l'a rencontrée le trente-et-un décembre ; nouvel an, nouveau départ, nouvelle histoire.
occupation : soigneur animalier au lone koala sanctuary. Il a enchainé les petits boulots avant de suivre une formation pour travailler là-bas et il ne regrette pas.
adresse : un bel appartement sur kangaroo point, rénové dans une vieille usine, moderne et vintage à la fois ; trop cher pour ses petits moyens, mais il l'a acheté avec l'argent qu'on lui a filé pour qu'il dégage du paysage de berlin, alors il s'est fait plaisir.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
trigger : torture animale, inceste. (+ pas particulièrement sensible, mais je ne joue pas les rp "sexe").
You were my closest friend. My strength when days go mad But I spent my time and shallow sheets. I should've seen your hand. I didn't see the signs, I was blinded by the lights And lost where I belong. I thought that we grow old, Give kids all bad advice. Now I'm alone.
Sasha Winchester
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pseudo : Elina
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pronom irl : elle
multicomptes : Elijah (B. Skarsgård) Sinead (K. Winnick) Noah (B. Holbrook) Noomi (Z. Kravitz) Elio (N. Simoes) Alarik (A. Skarsgård) Keith (G. Hedlund)
âge : 30 ans, encore un peu moins d'un an avant d'entrer dans une nouvelle décennie (08/08/94)
statut civil : Célibataire, Sasha est le genre de personne qui se lasse vite. Sa difficulté à s’attacher, sur le plan sentimental, ne l’aide pas vraiment à garder une relation bien longtemps. Si elle a déjà enchainé plusieurs relations amoureuses, elle n’est pas encore parvenue à tomber sur la perle rare capable de changer sa vision des choses. Les coups de cœur sont nombreux mais éphémères
occupation : Son travail de vétérinaire mis de côté, Sasha est à présent propulsée sur le devant de la scène, face à une notoriété naissante depuis qu'elle a rejoint le groupe Little Anarchy en tant que bassiste depuis décembre. Un rêve devenu réalité, qu'elle effleure du bout des doigts
adresse : #200, south bank & west end, appartement partagé avec ses deux meilleurs amis
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : Viol, inceste
warning : abandon maternel, claustrophobie
infos rp : * Minimum 400-500 mots mais ça peut vite monter, je m'adapte
* Dialogues en #AB6FC1
J'aime trop le prénom Et tu me fais encore découvrir une nouvelle tête que je ne connaissais pas Merci pour ça Le perso a l'air trop cool en tout cas, re bienvenue à toi
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(Bright lights) everywhere I go, I see my name in bright lights. If I keep it up I know that I could fly, I feel like it's a good life. and when I feel it most I feel like I could fly
Nora Mayfield
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
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pseudo : wildflower.
id card : sydney sweeney, (c) fassylover.
pronom irl : elle.
multicomptes : eryn, flora, cami & aleyna.
à contacter : le personnage concerné.
âge : 26 ans. (19.12.1997)
statut civil : célibataire au cœur volage par l'envie de voyager et de profiter de la vie. elle n’est pas indifférente à celui qui lui a sauvé la vie, rien de mieux que de se voiler la face sur ce qu'elle a vécu récemment et sur des sentiments qu’elle ressent pour celui qui partage ses nuits. crise existentielle en se perdant dans cette spirale, elle n’est plus amoureuse de son ex la blonde, une page qui se tourne sur leur histoire, un brin de nostalgie qui lui joue parfois des tours, laissant un peu plus de place dans son cœur à cette nouvelle flamme même si elle n'est pas prête de l'avouer.
occupation : apprentie pâtissière depuis que cette dame l’a prise sous son aile dans son café-pâtisserie au delights bakery cafe et à ses heures perdues, elle est barmaid et chanteuse au starlight. nouveau départ, se tissant un chemin dans ce domaine où elle entrevoit la lumière après avoir renoncé à ses études et à sa carrière de surfeuse pro. l'étoile déchue des suites d’un accident qui a mis fin à sa carrière trop tôt, mais ça ne l'empêche pas d'avoir toujours la passion.
adresse : nouvelle maison dans le quartier branché à fortitude valley qu'elle partage avec ses colocs.
warning : famille dysfonctionnelle, abandon parental, dépression, décès d'un proche, cardiomyopathie, anxiété de performance, violence psychologique, accident de surf, noyade.
infos rp : environ 500 mots, tout dépend de l'inspiration. ~ le rp les week-ends, variable selon l'irl. ~ troisième personne du singulier.
âge : 28 ans tout juste fêtés, réchappé du club des 27, comme par miracle.
statut civil : célibataire aux émois sans envergure ; trop égoïste pour s'adonner à des romances délétères, il leur préférera toujours des tendresses éphémères.
occupation : tennisman, joueur obsessionnel qui a élevé son sport au rang d'art, persuadé que nul sacrifice n'est trop grand pour la victoire.
adresse : 206, fortitude valley, colocation trouvée par hasard après s'être laissé convaincre qu'il n'était pas en mesure de vivre seul ; contre toute attente, il s'est pris d'affection pour les lieux et surtout ses habitants.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses entre 1 et 4 semaines, selon l'inspi et le temps.
style rp : j'écris en il ; entre 300 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en yellowgreen, français ou anglais.
mille mercis pour cet (énième) accueil, vous êtes des coeurs, as usual
@Theodore Korb on sait tous que tu as la recette depuis bien longtemps un merci parce qu'il existerait sans doute pas sans toi, et à tout vite pour le drama.
@Dora Oliveira les gifs étaient obligatoires, faute d'avoir joué un des garçons hâte aussi pour notre lien, et encore merci de le laisser rejoindre la coloc
@Leo O'Toole tu remarqueras que le prénom a pas trop changé, je dois être nostalgique je me réjouis tellement d'enfin jouer nos frangins comme il se doit (surtout que ça fait une éternité qu'on n'a pas joué ensemble toi et moi ), j'espère que leo, elle, a hâte d'être tata
@Sasha Winchester je suis un peu biaisée, mais harris a fait des films qui valent le détour, si jamais merci beaucoup
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· Ven 21 Juin - 1:22
rebienvenue j'aime déjà beaucoup le personnage
Alma Parrish
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multicomptes : jace jenkins (c. evans) ılı enzo rosales (t. carreira) ılı kai butler (c.deidrick)
à contacter : le personnage concerné par la demande
présence : · PRÉSENCE QUOTIDIENNE ·
RP SANS PRESSION
âge : âme arrêtée sur les traits d'un visage à la beauté flamboyante et dont le temps et les années semblent sans égal sur l'immortalité offerte et à sa portée trente brises soufflées dépassé et passée sous silence où elle flâne sur le sable de la jeunesse écoulée et envolée face au souvenir du solstice qui se joue sur ses lippes carmin visibles que sur le papier glacé éclairé par l’astre lunaire qui lui rappelle sans cesse le passé loin d’être effacé autant qu'elle le prétendrait bien loin d'accepter la trentaine arrivé devant le chaos d'une vie brisé dont les sourires cristallins et éclatées ne cesse de vibrait sur son visage.
statut civil : éprise de sa liberté qu'elle chantonne mélodieusement devant les corps qui vacillent autour d'elle, l'incantation qui se répète devant ses prunelles insaisissables avec le refus de s'accrocher une nouvelle fois, myocarde bousiller en morceaux, traumatisme d'une fissure faussement effacée par les sourires contre ses lippes. célibataire, qu'elle hurlera avec conviction au refus de sentiments qui se faneront jusqu'à sa perte, le coeur pas totalement réparé avec la peur immense d'une nouvelle fois s'attacher au risque de se re-fracasser et devance cette peur constante à l’idée que cette fois-ci, elle ne pourrait s'en relever.
occupation : diplômée de journaliste, elle a commencé en bat de l’échelle avant de monter les marche et devenir chroniqueuse de sa propre émission intitulé love and other words spécialisés les relations amoureuse et la sexualité domaine dont dont elle excelle lorsqu’il s’agit d’aider les autres autant qu’elle utilise sa notoriété pour vivre de cette passion qu’elle a refusé d’abandonner avec le titre d’influenceuse de voyages, aventurière dans l’âme, les cultures qui l’ont toujours fascinées ou face à son succès et parce qu’elle se refuse de se cantonner à un seul titre, elle est devenu aujourd’hui une véritable femme d’affaires redoutable quand elle a lancé sa propre société nommé xtravagance en compagnie de sa meilleure amie derya, netflix a décidé de collaborer avec les filles pour plusieurs reportages à travers le regard de chacune, pour alma ces voyages qui font un succès planétaire, elle incapable de rester en place, ou aujourd’hui elle vit son rêve et sa passion les yeux grands ouverts.
adresse : appartement luxueux situé à fortitude valley qu'elle partage avec sa partenaire de crime depuis toujours, sa meilleure amie et aujourd'hui associée derya aslan où une des chambres a été décoré lorsque lou, la fille de sa meilleure amie y vient et qu'elle se transforme par plaisir en baby sitter, un plaisir de retrouver cette ambiance qu'elle aime tant
warning : [ aucun en particulier] 彡 à discuter en amont
infos rp : [ nombre de mots ] en fonction de l'inspiration ça varie en moyenne entre 900 à plus de 2000 mots tant qu'il y a de la matière, seule la qualité compte ┄ [ dialogue ] réponses le plus souvent à la troisième et parfois à la seconde personne au présent et de préférence en français même si je me débrouille en anglais ┄ [ fréquence de rp ] variable selon mon irl et mon inspiration, mais lorsque celle-ci est présente en moyenne réponse en quinze jours, aucune pression.
Tes personnages sont toujours si incroyables et sublimes et je te parle même pas de tes fc et cette plume quel régal à chaque fois j’adore ce qui s’y dessine et ce métier on en parle ? re-bienvenue chez toi
Cela fait à présent 7 jours que tu as commencé ta fiche, ton délai prend donc fin, de même que ta réservation d'avatar. Cela signifie que si quelqu'un s'inscrit et poste une fiche, avec ton avatar, il lui sera réservé.
Tu as donc deux jours pour nous donner des nouvelles (demander un délai, signaler un changement ou une fiche terminée), ou bien nous serons dans l'obligation de te supprimer. N'hésite pas si tu as des questions, nous y répondrons aussi vite que possible.
Declan O'Toole
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
âge : 28 ans tout juste fêtés, réchappé du club des 27, comme par miracle.
statut civil : célibataire aux émois sans envergure ; trop égoïste pour s'adonner à des romances délétères, il leur préférera toujours des tendresses éphémères.
occupation : tennisman, joueur obsessionnel qui a élevé son sport au rang d'art, persuadé que nul sacrifice n'est trop grand pour la victoire.
adresse : 206, fortitude valley, colocation trouvée par hasard après s'être laissé convaincre qu'il n'était pas en mesure de vivre seul ; contre toute attente, il s'est pris d'affection pour les lieux et surtout ses habitants.
intervention pnj : Oui
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trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses entre 1 et 4 semaines, selon l'inspi et le temps.
style rp : j'écris en il ; entre 300 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en yellowgreen, français ou anglais.
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Gisela Ackerman
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ADMIN ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 28 ans tout juste fêtés, réchappé du club des 27, comme par miracle.
statut civil : célibataire aux émois sans envergure ; trop égoïste pour s'adonner à des romances délétères, il leur préférera toujours des tendresses éphémères.
occupation : tennisman, joueur obsessionnel qui a élevé son sport au rang d'art, persuadé que nul sacrifice n'est trop grand pour la victoire.
adresse : 206, fortitude valley, colocation trouvée par hasard après s'être laissé convaincre qu'il n'était pas en mesure de vivre seul ; contre toute attente, il s'est pris d'affection pour les lieux et surtout ses habitants.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses entre 1 et 4 semaines, selon l'inspi et le temps.
style rp : j'écris en il ; entre 300 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en yellowgreen, français ou anglais.
je pre-shot pour vous éviter d'avoir à déplacer ma fiche, j'aurais besoin d'un autre délai please merci beaucoup
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Juniper Kane
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pseudo : bleulaine.
id card : christina nadin, showmeyouricons (avatar) hauteadore (gif signature) lana del rey (citation).
âge : vingt-neuf ans, une vie figée par le chagrin qui prend trop de place et la prive de toute la vigueur de sa jeunesse - (26.06.1995).
statut civil : célibataire, hantée par ses ex et des histoires qu'elle pensait appartenir au passé. en manque de chaleur humaine mais pas prête à s'engager - tutrice légale de son neveu, augustus, fils de son défunt frère, qu'elle élève avec benson.
occupation : make-up artist avec une petite notoriété en son nom. se voit obligée de mettre de côté ses ambitions et repousser son projet de fonder sa propre marque depuis qu'elle est devenue la tutrice d'augustus.
adresse : une petite maison à south bank et west end, au #262.
que dire à part : amoureuse?? (de tes persos, pour la énième fois) harris te va si bien et je ne suis encore pas remise de challengers donc ça me fait plaisir cette nouvelle dose de tennis dans ma vie et franchement cette playlist, toujours aussi goûtu !! hâte de lire tes mots, ce reboot s'annonce déjà merveilleux, j'espère qu'il t'inspirera de beaux jeux rebienvenue chez toi
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☾☾☾ Got my blue nail polish on. It's my favorite color and my favorite tone of song.