Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 1227
rps : 53
pseudo : spf (flora)
id card : luke hemmings x hoodwink || pinterest (profil) ;; staff bhc & pinterest (signa)
pronom irl : elle
multicomptes : jin (n.sebastian)
à contacter : le compte concerné
présence : présente
âge : lionceau du 23 juillet, il est au crépuscule de sa vingtaine, peu soucieux du temps qui passe.
statut civil : le cœur est pris, déborde de sentiments qu'il se sent prêt à laisser fleurir désormais, pour le meilleur comme pour le pire. il y a Jaime qui hante ses pensées, et lui qui en a assez d'attendre et de douter.
occupation : la musique en fil rouge de sa vie, chanteur et guitariste de Little Anarchy, à qui le destin semble avoir accordé une seconde chance. en parallèle, l'idée d'une carrière en solo qu'il envisage encore timidement.
adresse : maison 308 sur les hauteurs de Kangaroo Point, en coloc avec sa chienne, Leslie, et ses nombreux instruments.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il, lui
trigger : cruauté animale, agressions sexuelles, violence conjugale, grooming/pédo-criminalité, age gap important + ne joue pas les scènes intimes.
warning : décès de proches, deuil, épilepsie, accident de surf/presque noyade, stalker & coming-out forcé.
infos rp : rythme chill et sans pression | entre 500 et 1000 mots selon l'inspiration, je m'adapte à mon.a partenaire | écriture en "il" | dialogues en #C3A86B
c'est ce qu'on appelle la rançon de la gloire. finies, ces journées relativement tranquilles où il pouvait flâner en ville sans qu'on ne lui coure d'après, ou qu'on cherche à l'approcher d'une quelconque manière. puisque désormais, avec le fort engouement autour de leur reprise, le recrutement de Sasha, la petite nouvelle qui intrigue, puis les révélations concernant leur guitariste qui ont fait beaucoup de vagues à leur tour, reviennent également les paparazzis et autres journalistes en embuscade. et comme il n'y a rien de vraiment intéressant à creuser du côté du batteur et de sa vie familiale plutôt rangée, c'est maintenant des faits et gestes de Taylor dont on se soucie. la raison lui échappe autant qu'elle fait de sens, au fond - sa vie n'est pas plus passionnante que celle de ses compagnons, pour lui dont le quotidien se divise actuellement et depuis plusieurs semaines en aller-retours répétés entre sa maison et le studio. mais il est considéré comme le leader du groupe, alors peut-être que son attitude impassible interroge. peut-être espèrent-ils dénicher des infos croustillantes à son sujet, de quoi remplir les pages de leurs journaux.
c'est donc ce qu'on appelle la rançon de la gloire ; et c'est même mieux ainsi, que ces personnes qui ne rechignent pas à se montrer quelque peu invasives parfois, le préfèrent lui à Sasha. techniquement, il dispose de plus d'expérience pour faire front, sait quel comportement adopter pour les décourager, comment les éviter. en théorie. force est de constater qu'il y a bien une chose à laquelle il ne pourra jamais s'habituer, Taylor - c'est la sensation d'être observé, suivi, espionné par quelqu'un. ça lui file encore les mêmes frissons le long de l'échine et une boule angoissée dans le ventre, qui n'en finit plus d'enfler dès lors qu'il fait l'erreur de se laisser happer dans cet engrenage de craintes infondées. il n'est pas idiot, Taylor, a une idée assez précise de ce qui l'attend dehors - quatre ou cinq journalistes, flanqués là depuis de longues minutes déjà. ils font seulement leur job, mais l'effet de leur présence n'en est pas moins angoissante, d'autant plus maintenant qu'il est seul au studio. éteindre les lumières a provoqué un mouvement visible parmi eux, lui confirmant qu'il n'était pas en train de se faire des films. qu'attendent-ils de lui exactement ? ont-ils l'intention de l'aborder ou seulement de l'observer et le photographier de loin, de déterminer où il compte se rendre ensuite, peut-être ? se mordillant nerveusement la lèvre, Taylor dépose la sacoche renfermant sa guitare dans un coin. il préférerait ne pas la laisser là, mais sera logiquement moins repérable sans l'imposant sac sur le dos. parce que c'est désormais une quasi certitude : quand son taxi sera arrivé, il faudra au mieux faire preuve de discrétion, et au pire, courir. une notification sonore émanant de son portable, une dizaine de minutes plus tard, lui indique que Keith l'attend - choix purement stratégique que de l’avoir choisi lui pour le ramener à bon port. si le O'Connor ne l'a jamais tiré d'une situation semblable, il l'a déjà ramené dans des états plus discutables ; notamment en fin de soirée arrosée, quand euphorie et amertume se mêlent. dans ces moments vulnérables, faire appel à lui est progressivement devenu un genre de réflexe. Taylor lui fait confiance, en lui et sa discrétion surtout, bien plus qu'à n'importe quel autre chauffeur. s'assurant que l'homme est bien stationné à l'endroit indiqué, il prépare son évasion, et dans l'objectif de se dérober sous le nez des curieux attroupés dehors, la sortie de secours lui parait toute désignée. donnant sur une rue parallèle, il effectue un rapide repérage des lieux avant de passer l'encadrement. la voiture de Keith n'est pas visible, mais se trouve probablement un peu plus loin. d'une démarche rapide, le blond entreprend de remonter la rue. départ précipité qui fait bruyamment claquer la lourde porte métallique dans le calme de ce carrefour peu fréquenté, à cette heure tardive. instinctivement, le musicien se retourne, grimaçant, affligé par sa propre bêtise. aperçoit du mouvement au coin du bâtiment, des doigts pointés dans sa direction, et sans hésiter, entame un sprint dans le sens opposé. pourvu que Keith soit prêt à partir, et vite.
_________________
(nothing or forever) i thought i'd get away with giving only half my heart to love, but i say it right back when you say it to me; levitate baby, take me off my feet.
Keith O'Connor
----------------------------------
MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
âge : 37 bougies soufflées récemment. Les quarante ans approchent doucement sans que ça ne le préoccupe pour autant. (12/06/87)
statut civil : Célibataire, butine de fleur en fleur sans parvenir à réellement se poser. Keith a déjà eu quelques relations par le passé, plus ou moins longues mais il ne parvient pas à s’accrocher suffisamment longtemps pour construire quelque chose de solide. L’amour, c’est peut-être un peu plus compliqué que ça en a l’air. Et surtout, ça ne se maitrise pas.
occupation : Chauffeur de taxi depuis plusieurs années, il a tendance à gonfler un peu les prix de ses courses parce qu'il est très endetté. Avec un petit sourire, une discussion intéressante lancée à la volée, tout passe avec facilité. Titulaire d'un Bachelor of Business obtenu à la Kaplan Business School de Brisbane, il n'a pourtant jamais poursuivi dans la voie du commerce. Un grand gâchis, selon certaines personnes.
adresse : Keith loge depuis aout 2023 au 400 à New Farm. Une grande maison en colocation avec une joyeuse bande et son petit frère.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : Viol, inceste
warning : Noyade, décès d'un enfant, deuil, addiction aux jeux d'argent, endettement
infos rp : * Minimum 400-500 mots mais ça peut vite monter, je m'adapte
* Dialogues en #009900
Les horaires de travail de Keith sont flexibles, du moment qu’il atteint son quota mensuel, il est libre de bosser quand il le souhaite. Etant donné sa situation financière alarmante et toutes les dettes qui pèsent sur ses épaules, le chauffeur de taxi ne lésinent pas sur ses heures de travail. Toutes les nuits ou presque ainsi que pendant certaines périodes de la journée, Keith est sur la route. Il parcourt inlassablement toutes les rues de la ville pour emmener ses clients à destination. De ce fait, Brisbane n'a plus aucun secret pour lui. Il connait chaque recoin et chaque raccourci. Il est capable de se repérer, de jour comme de nuit. Le fils O’Connor passe la majeure partie de son temps sur le siège conducteur de son taxi.
Cette nuit ne fait pas exception. Les clients s’enchainent, les kilomètres défilent et les revenus des courses s’accumulent. La soirée est plutôt bonne, certains passagers sont même plutôt généreux, même si Keith gonfle volontairement ses prix. Conduire et écouter des inconnu.es lui raconter leur vie est plaisant pour un homme altruiste et curieux comme lui. C’est toujours intéressant d’en apprendre plus sur les autres, de se cultiver davantage et d’échanger sur des sujets divers et variés. Si certains restent silencieux ou piquent du nez sur la banquette arrière, d’autres sont bien plus bavards et les conversations sont, la plupart du temps, plutôt agréables. Bon nombre de ses amitiés ont débuté de cette façon. Certains ont même tellement apprécié ses services qu’il en est devenu leur chauffeur attitré. C’est d’ailleurs le cas de Taylor, qui l’a appelé ce soir pour venir le chercher en lui indiquant un endroit précis où l’attendre.
Taylor Quincey, membre du célèbre groupe Little Anarchy. Un jeune homme sympathique avec qui il est toujours plaisant de discuter. Leur lien a quelque peu évolué quand ils se sont retrouvés par hasard sur la plage, alors que Keith combattait sa terreur la plus oppressante. Parviendra-t-il à surmonter sa peur de l’eau un jour ? Rien n’est moins sûr. Pour l’heure, Keith parcourt les différentes rues de la ville pour atteindre sa destination. En passant devant l’établissement, un attroupement attire son attention. Que font-ils tous là à attendre dehors ? Pourquoi sont-ils si nombreux ? Pourquoi semblent-ils attendre quelque chose ? Ou quelqu’un ? Taylor la rockstar a-t-il attiré l’attention malgré lui ? Après tout, leur groupe renoue avec la notoriété depuis l’annonce du recrutement de leur nouvelle bassiste. Ils ont également fait parler d’eux à plusieurs reprises depuis le début de l’année. Keith étant plutôt fan de leur travail et de leur musique, il suit plus ou moins leur actualité. Sa voiture garée à l’emplacement indiqué, il ne coupe pas le moteur et prévient Taylor de son arrivée.
Peu de temps s’écoule avant qu’il n’aperçoive le musicien arriver au pas de course et s’engouffrer vivement dans le véhicule. Les pièces du puzzle s’emboitent rapidement et Keith appuie déjà sur l’accélérateur avant qu’un amas de personnes ne s’immisce dans un coin de sa vision périphérique. Ce n’est qu’en rejoignant la route principale que le chauffeur de taxi jette un œil dans son rétroviseur central pour observer son passager. « C’est ce qu’on appelle une entrée fracassante. » Un petit rire s’échappe de ses lèvres avant qu’il ne reporte son attention sur la route. « Ça t’arrive souvent de déchainer les foules comme ça, Monsieur la rockstar ? » Certes, Keith n’a pas côtoyé Taylor très souvent mais à chaque fois, il était plutôt tranquille. Et seul. Sans doute que le recrutement de leur nouvelle bassiste et leur retour sur le devant de la scène a réveillé leur public jusque là endormi. « C’est terminé, les sorties incognito ? » Ce qui doit être agaçant, quand on y pense. Mais peut-être est-ce une question d’habitude. « Où est-ce que je t’emmène ? » Si tant est que personne ne les suive.
(Bad Habits) My bad habits lead to late nights endin' alone. Swearin' this will be the last, but it probably won't. I got nothin' left to lose. My bad habits lead to wide eyes stare into space. And I know I lose control of the things that I say. I was lookin' for a way out, now I can't escape.
Taylor Quincey
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 1227
rps : 53
pseudo : spf (flora)
id card : luke hemmings x hoodwink || pinterest (profil) ;; staff bhc & pinterest (signa)
pronom irl : elle
multicomptes : jin (n.sebastian)
à contacter : le compte concerné
présence : présente
âge : lionceau du 23 juillet, il est au crépuscule de sa vingtaine, peu soucieux du temps qui passe.
statut civil : le cœur est pris, déborde de sentiments qu'il se sent prêt à laisser fleurir désormais, pour le meilleur comme pour le pire. il y a Jaime qui hante ses pensées, et lui qui en a assez d'attendre et de douter.
occupation : la musique en fil rouge de sa vie, chanteur et guitariste de Little Anarchy, à qui le destin semble avoir accordé une seconde chance. en parallèle, l'idée d'une carrière en solo qu'il envisage encore timidement.
adresse : maison 308 sur les hauteurs de Kangaroo Point, en coloc avec sa chienne, Leslie, et ses nombreux instruments.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il, lui
trigger : cruauté animale, agressions sexuelles, violence conjugale, grooming/pédo-criminalité, age gap important + ne joue pas les scènes intimes.
warning : décès de proches, deuil, épilepsie, accident de surf/presque noyade, stalker & coming-out forcé.
infos rp : rythme chill et sans pression | entre 500 et 1000 mots selon l'inspiration, je m'adapte à mon.a partenaire | écriture en "il" | dialogues en #C3A86B
se faire poursuivre par une petite horde de journalistes en quête de scoop juteux ne faisait pas partie de ses plans du soir. il s'en serait bien passé un peu plus longtemps, d'ailleurs. malgré les circonstances, ça avait quelque chose d'agréable, de retrouver un certain anonymat. pouvoir aller où il le voulait, sortir sans craindre de créer un mouvement de foule, profiter de son temps libre tout simplement et sans prise de tête. se retrouver à nouveau plongé dans un cadre où l'on se soucie du moindre de ses faits et gestes est donc assez déroutant ; heureusement, les habitudes ont la vie dure et les bons réflexes lui sont rapidement revenus. y compris celui de vérifier ce qui se trame dehors avant de s'y aventurer. on est jamais trop prudent, après tout, surtout en ce moment. et le voilà rendu à détaler comme un idiot dans la direction supposée de son taxi. heureusement, la silhouette familière du véhicule se dessine bientôt sous la lueur orangée d'un lampadaire, et le blond s'empresse de se glisser à l'intérieur. à peine la portière fermée, la voiture se met déjà en mouvement et remonte la rue, laissant derrière elle ses poursuivants. avec un soupir soulagé, Taylor s'affaisse contre le siège. « ouais, on peut dire ça. » s'amuse-t-il à son tour. roulant des yeux à l'entente du surnom, il s'installe plus confortablement et boucle sa ceinture. « c'était pas arrivé depuis un moment. je pourrais dire que ça m'avait manqué mais... » il hausse les épaules. ce qui lui avait véritablement manqué, c'est la scène. si Taylor pouvait jouer sa musique sans avoir à se préoccuper des obligations relatives à son job, il le ferait volontiers. et s'il fait mine d'être habitué pour donner l'exemple à Sasha, il a toujours eu du mal à accepter tout ça - l'attention des médias, le regard et les jugements des fans, le concept de vie privée qui finit inévitablement par s'envoler. parfois, il regrette leurs plus petites salles, l'époque où ils n'étaient pas si connus, juste une bande d'amis en road trip avec les moyens du bord et leurs instruments sur le dos, portés par leurs ambitions. tout était plus simple, la vie avait un aspect candide de rêve éveillé. les choses ont tant changé depuis, et sur eux quatre, il n'en reste que trois, et des liens qu'il sent encore fragiles.
« faut croire. » qu'il répond, désinvolte. c'est la fin d'une ère et le début d'une autre, de retour sous la lueur des projecteurs. dans ce milieu, tout est une question de compromis, ce que l'on est prêt à tolérer, à sacrifier. la vie privée, la famille, les amis d'enfance, du temps ou du sommeil ; il n'y a pas réellement de bonne façon de faire, ni de mode d'emploi à suivre. quoi qu'il en soit, sortir incognito ne fait pas partie de ses priorités. c'est presque une futilité, à côté du reste, quelque chose dont il peut aisément se passer, si cela signifie que lui sera redonnée la chance de remonter sur scène. de toute façon, la situation finira bien par s'apaiser d'elle-même. après un court instant de silence, laissant son regard se perdre sur le paysage qui défile derrière la vitre et la fatigue le rattraper, Keith lui demande une destination. « j'en sais rien... laisse moi réfléchir deux secondes. » il pourrait rentrer chez-lui pourtant, maintenant qu'il s'est sorti de ce guet-apens. se reposer et se détendre, s'hydrater pour repousser la migraine qui menace d'exploser contre ses tempes, et élaborer un plan d'action pour éviter que le même schéma se reproduise dès demain. parce qu'il travaille déjà trop, c'est un fait. s'il y a bien une chose que le blond n'a jamais su tempérer, ce sont ses manies de perfectionniste, incapable de lâcher le morceau même pour son propre bien. mais ce n'est pas un manque d'indulgence envers lui-même qui le retient, ni la solitude qui le ronge, plutôt un drôle de pressentiment. et comme pour confirmer qu'il ne s'agit pas juste d'un reste tenace de paranoïa, un flash de lumière vient illuminer l'intérieur de la voiture, dans son dos. Taylor se retourne, constate le comportement suspect du véhicule qui les suit et qui multiplie les appels de phares avec une grimace. « hum. » cherchant le regard de Keith dans le rétroviseur, il peut sentir l'angoisse lui tordre le ventre à nouveau. de toute sa carrière, jamais on ne l'avait pris en chasse dans un taxi, c'est une première. « je suppose que c'est pas un truc que vous faites entre chauffeurs ? » non, ça ressemble plutôt au début des ennuis. comme quoi, il faut parfois se fier à son instinct.
_________________
(nothing or forever) i thought i'd get away with giving only half my heart to love, but i say it right back when you say it to me; levitate baby, take me off my feet.