Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
PNJ ☆ the love master heartbreak is the national anthem
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· Mer 23 Oct - 16:21
la boîte aux rps
@Taylor Quincey & @Archibald Gunn Taylor, tu décides d'aller dans cette maison hantée, ouverte pour Halloween. Une attraction comme une autre, pour célébrer cette célèbre fête de l'horreur. Une belle journée de printemps que tu comptes terminer avec des frissons. Tu explores les lieux, prends part aux diverses activités proposées. Puis tu arrives dans une pièce, tente d'en sortir. La porte et verrouillée. Une blague, un problème technique, tu ne sais pas trop, mais l'ambiance est glaciale et maintenant, tu voudrais pouvoir sortir. Archibald, t'es aussi coincé⸱e dans cette pièce. Il y fait plus froid qu'ailleurs, les lumières grésillent. D'un coup, vous entendez des bruits, comme une femme qui pleure, de quoi glacer le sang. Animation censée être de courte durée, malheureusement pour vous deux, il y a eu un souci et la porte censée s'ouvrir après quelques minutes reste fermée.
à savoir - Il n'y a pas d'ordre précis, débute le rp qui veut. - Une fois terminé pensez à faire archiver le rp et à réclamer vos points. - Amusez-vous.
_________________ COMPTE PNJ - NE PAS MP SAUF MENTION CONTRAIRE. (ne pas répondre au mp de membre en danger pour une demande de délai au risque que ce ne soit pas vu, contacter un compte admin, merci)
Taylor Quincey
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
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id card : luke hemmings x hoodwink || pinterest (profil) ;; staff bhc & pinterest (signa)
pronom irl : elle
multicomptes : jin (n.sebastian)
à contacter : le compte concerné
présence : présente
âge : lionceau du 23 juillet, il est au crépuscule de sa vingtaine, peu soucieux du temps qui passe.
statut civil : le cœur est pris, déborde de sentiments qu'il se sent prêt à laisser fleurir désormais, pour le meilleur comme pour le pire. il y a Jaime qui hante ses pensées, et lui qui en a assez d'attendre et de douter.
occupation : la musique en fil rouge de sa vie, chanteur et guitariste de Little Anarchy, à qui le destin semble avoir accordé une seconde chance. en parallèle, l'idée d'une carrière en solo qu'il envisage encore timidement.
adresse : maison 308 sur les hauteurs de Kangaroo Point, en coloc avec sa chienne, Leslie, et ses nombreux instruments.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il, lui
trigger : cruauté animale, agressions sexuelles, violence conjugale, grooming/pédo-criminalité, age gap important + ne joue pas les scènes intimes.
warning : décès de proches, deuil, épilepsie, accident de surf/presque noyade, stalker & coming-out forcé.
infos rp : rythme chill et sans pression | entre 500 et 1000 mots selon l'inspiration, je m'adapte à mon.a partenaire | écriture en "il" | dialogues en #C3A86B
Halloween est là. l'une des fêtes qu'il adore le plus, il ne l'aurait ratée pour rien au monde, Taylor. la ville organise toujours un tas d'animations pour la célébrer, qui démarrent dès les derniers jours qui la précèdent ; mais le mieux, c'est forcément de s'y rendre le soir du 31, où monstres, zombies et autres personnages de fictions en tous genres se côtoient, peuplant les rues en quête de frissons ou de sucreries. il ne déroge pas à la règle, le blond. la soirée commence plutôt calmement, accompagné de Robin et sa fille, déguisée en adorable petite sorcière surmontée d'un chapeau pointu un peu trop grand pour elle, qui ne cesse de lui tomber sur les yeux. déambuler ainsi avec Millie nichée dans les bras de son père pourrait presque leur donner des airs de couple, heureusement méconnaissables sous les masques que l'un comme l'autre ont choisi de porter. décision stratégique maintenue longtemps après le départ des Odell, soucieux de pouvoir poursuivre la soirée sans être reconnu d'office. mis à part sa voix, dont le timbre pas si singulier que ça quand il ne chante pas se noie dans le chahut général, il n'y a aucun signe distinctif susceptible de le trahir, et sa promenade le mène à s'arrêter devant une maison hantée. un classique qu'il n'a pas eu l'occasion de découvrir l'année passée, il n'en faut pas plus pour le motiver à s'y engouffrer.
plutôt confiant au début, les acteurs se chargent bien assez tôt de changer la donne, lui arrachant plusieurs sursauts et quelques cris rieurs. dans la pénombre, Taylor a retiré son masque, tente tant bien que mal de se repérer entre les sons qui semblent venir de partout à la fois et le manque de lumière. une course poursuite avec un homme armé d'une tronçonneuse plus tard, suivie de l'intervention d'une femme aux vêtements tachés de sang qui lui indique une direction à suivre, le musicien déboule dans une pièce faiblement éclairée. à peine a-t-il le temps de repérer une porte fermée que l'autre claque bruyamment dans son dos. tout à sa hâte de sortir d'ici avant qu'un nouveau personnage terrifiant lui tombe dessus, Taylor actionne la poignée - sans succès - puis se retourne, à la recherche d'une autre issue, ou d'un indice. et réalise qu'il n'est pas seul. « putain ! » s'écrie-t-il, cognant le mur dans un mouvement de recul incontrôlé. le cœur battant à tout rompre, il tente une inspection de la silhouette. ça ne ressemble pas à un énième acteur caché dans un recoin sombre pour l'effrayer, juste à un autre visiteur. « pardon, tu m'as fait peur. » qu'il lui lance, le sourire amusé. il lui manque manifestement certains instincts essentiels à la survie dans un film d'horreur, il ne l'avait même pas vu. et comme pour lui donner raison, l'ampoule au plafond grésille, des pleurs résonnent autour d'eux. juste une animation de plus, se raisonne Taylor ; mais il tend le bras malgré tout, testant la poignée encore une fois. toujours rien.
hj:
si quelque chose ne te convient pas, n'hésites pas
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(nothing or forever) i thought i'd get away with giving only half my heart to love, but i say it right back when you say it to me; levitate baby, take me off my feet.
Archibald Gunn
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
statut civil : il passe de fiancé & cocu à célibataire, pas prêt de poser son genou au sol une seconde fois.
occupation : interne en cardiologie au sein du centre hospitalier de brisbane.
adresse : new farm, appartement beaucoup trop grand et luxueux pour un interne en médecine jamais là, #266
intervention pnj : Oui
pronom perso : he, him
trigger : violences faites envers les animaux
warning : homophobie, homosexualité refoulée, marriage arrangé, éducation autoritaire
infos rp : entre 500 et 800 mots, ça dépend, je m'adapte et je ne mets (et ne mets) pas la pression. j'écris à la troisième personnel du singulier, la majeure partie du temps au présent. je réponds dans les quatre jours.
au départ, une excellente idée. archie a décidé de fêter halloween, avec des collègues de l’hôpital. un moyen de décompresser, de se lier de nouveau d’amitié avec les frissons et la grande faucheuse. déguisé en ce qui ressemble de près ou de loin au gamin du film « ca » avec le ciré jaune et tout ce qui va avec, il s’aventure dans cette maison hantée avec une collègue. bras dessus, bras dessous, ils rient, ils sursautent, ils s’amusent jusqu’à se créer une activité parmi les activités : une course poursuite. idée pourrie puisqu’ils finissent par se séparer. une idée de génie, qu’il se dit en ralentissant un peu plus le rythme et en se focalisant davantage sur les alentours. il pénètre dans une pièce et sursaute en entendant une porte claquée derrière lui, juste derrière lui. est-ce que c’est un mécanisme super sophistiqué qui est responsable de ça ou de ces acteurs qui s’amusent à les terroriser ? une main posée sur son cœur qui s’est emballé. une main se pose sur lui et il manque de nous faire un arrêt cardiaque. « pardon, tu m'as fait peur. » « t’es fou ou quoi ? c’est moi qui ai failli avoir un arrêt cardiaque », lâche-t-il dans un éclat de rire alors que ça aurait été le comble pour un résident en cardiologie, non ? et trouillard, il se cale derrière lui quand il le voit essayer d’ouvrir la porte à nouveau. archi lève les yeux vers l’ampoule qui grésille. instinctivement, une main se pose sur l’épaule du bonhomme qu’il ne connaît pas mais qui semble être plus courageux que lui, « je sais pas toi mais moi, j’ai jamais été fan des escape games --- alors là, encore un peu moins --- tu crois qu’on doit faire un truc pour que la porte s’ouvre ? genre, y’a un mécanisme à actionner ou --- », il se rend compte que sa main est toujours posée sur l’épaule de l’inconnu, il pose son regard sur celle-ci et la retire aussitôt en lui offrant un sourire amusé : « oops, pardon »
hj:
tellement parfait !
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Taylor Quincey
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il s'attend à tout et n'importe quoi en arrivant dans cette salle, Taylor. une poupée flippante assise au milieu d'un cercle de bougies, un acteur armé d'une hache tapi dans un coin, prêt à le découper en morceaux - pour de faux, mais quand même. sa course poursuite avec le fou à la tronçonneuse a remué ses nerfs, alors quand la porte claque et l'enferme là dedans, c'est tout son corps qui sursaute, et c'est avec une réaction quelque peu disproportionnée qu'il s'éloigne de la chose qu'il a touchée. définitivement pas un objet de décoration quelconque, non, ça s'agite et ça lui répond. et ça ressemble suspicieusement au gosse en ciré jaune d'un film célèbre. l'autre homme s'esclaffe à son tour, force est de constater qu'ils se sont mutuellement fait peur. pour sa défense, l'endroit manque cruellement de luminosité. « désolé ! » répète-t-il, avant d'ajouter : « sympa le costume. » ils n'ont pas le temps de faire plus amplement connaissance que l'atmosphère autour d'eux change et s'assombrit encore. la pièce est comme traversée d'un courant d'air glacial, qui se marie plutôt bien avec la lumière clignotante et le son de sanglots, recréant ainsi la parfaite scène de film d'horreur. l'inconnu vient aussitôt se placer derrière lui, agrippant son épaule comme un enfant apeuré. bon, il ne faudra pas compter sur la bravoure de son camarade en cas de problème, mais c'est toujours mieux que de se retrouver complètement seul ici. il ne se préoccupe pas tant de leur proximité Taylor, mais plutôt de cette porte qui refuse de les libérer. il en est persuadé maintenant, quelqu'un ou quelque chose va leur tomber dessus d'une minute à l'autre. l'inconnu - faute de présentations, le musicien décide de l'appeler Georgie, référence évidente - n'a pas l'air plus rassuré que lui à l'idée, mais il finit par le lâcher. « c'est rien. » on a encore le droit de se montrer peureux, après tout, c'est un peu le principe, ce soir plus que n'importe quel autre. « je sais pas, sûrement. ce serait logique non ? » sinon, pour quelle raison seraient-ils coincés là ? un bras tendu devant lui, Taylor s'avance et vient tâtonner le mur opposé, recherchant un mécanisme habilement dissimulé, ou même une énigme à résoudre. ça ne semblait pas être la thématique, mais pour l'instant, la possibilité d'un dysfonctionnement ne lui effleure pas l'esprit.
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Dernière édition par Taylor Quincey le Mar 19 Nov - 21:09, édité 1 fois
Archibald Gunn
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« c'est rien. » il affiche une petite moue désolée avant d’essayer de retrouver un peu de contenance, du mieux qu’il peut. « je sais pas, sûrement. ce serait logique non ? » « c’est sûr que ce serait logique --- après je t’avouerais que j’ai tendance à enchaîner les bourdes et les situations abracadabrantesques --- donc c’est tout aussi possible qu’on soit les victimes d’un serial killer qui veut s’amuser, ou alors qu’on soit les victimes d’une expérience sociale et qu’en ce moment même une bande d’étudiants en sociologie nous observent --- », dit-il d’une voix rieuse, tout en avançant prudemment, plissant les yeux pour essayer de s’habituer à cet éclairage pas très stable, les bras tendus devant lui --- avançant de l’autre côté. chaque pas prend au moins cinq secondes. et quand il retrouve la porte par laquelle il est arrivé, il cherche la poignée --- bloquée. « ou alors, on a juste pas de bol --- c’est possible ça aussi, non ? », qu’il demande en faisant demi-tour pour avoir le dos collé à la porte tout en posant son regard sur la silhouette de son compagnon d’infortune.
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Taylor Quincey
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est-ce qu'il regrette d'être entré dans cette attraction ? pas encore, mais ça ne saurait tarder. il n'a pas signé pour se faire enfermer quelque part et qu'on lui prouve qu'il n'est pas assez doué en puzzles pour se sortir tout seul de là, Taylor. en plus, son compagnon lui avoue ne pas être du type chanceux, plutôt le genre qui a l'habitude de se retrouver impliqué à contre cœur dans les coups fourrés. ces exemples diamétralement opposés de ce qui pourrait leur arriver incessamment sous peu, l'une option étant tout de même plus contrariante que l'autre, lui arrachent un ricanement. « j'avais pas prévu de mourir ou de devenir un genre d'animal de zoo ce soir. » qu'il commente, amusé. l'un comme l'autre s'affaire alors à dénicher le mécanisme caché, le levier à actionner pour se libérer. après tout, si la porte ne se déverrouille pas d'elle-même, c'est bien à eux de s'en charger, non ? comme dans un escape game. et pourtant, Georgie émet une hypothèse à laquelle Taylor n'avait pas pensé. « pas de bol, c'est-à-dire ? » répète le blond, un brin plus anxieux. il ne croit pas être claustrophobe, mais rester coincé dans un espace quelque peu exigu par la faute d'une erreur humaine ou d'un dysfonctionnement ne l'enchante pas pour autant. « tu penses que c'est pas fait exprès ? » qu'il ajoute, faisant face à l'autre homme lui aussi ; chacun adossé à son pan de mur. quoi qu'il en soit, ce qu'il lui a dit plus tôt a l'air véridique, peut-être qu'il leur a bel et bien porté la poisse.
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