TW : fausse couche, hypersensibilité, anxiété, blessure par balle, drogue douce.
âge & naissance : Elle arbore, avec un peu d'appréhension, ses vingt-six ans – parce que le temps file, parce qu'elle ne se sent pas toujours si adulte, parce que par rapport aux autres, à cet âge, elle se sent quelque peu en décalage. Née le 10 juillet 1995, elle a vu le jour ici, à Brisbane, quoique ses racines trouvent leur origine loin de l'Australie. origines & nationalité : De nationalité australienne par sa naissance, son cœur est ailleurs, une partie de sa famille aussi. Quoique très attachée à la ville, au pays, qui l'ont vue naître, Dora, elle est portugaise par sa mère et brésilienne par son père. finances et emploi : $$$$$, elle n'est pas bien riche, mais s'en fiche – persuadée qu'un jour, cela paiera. Dans le fond, ce n'est pas sa priorité, à Dora. Certains aiment à dire qu'elle fuit la réalité, la vie active, la vie d'adulte, en prolongeant, éternisant, ses études – et dans le fond, c'est peut-être vrai. Parce que Dora, elle a une peur bleue que ce soit terminé, craint le saut dans le grand bain, préfère rester à l'abri dans le cocon paradoxalement réconfortant de l'université. Dora, elle est aujourd'hui doctorante en études de genre et chargée de cours en travaux dirigés, auprès des étudiants de première année. Sa thèse aborde notamment la figure féministe en art. statut civil : Eternelle célibataire, son engagement en amour reflète son rapport à la vie adulte : elle fuit. Dora, elle a cette légèreté, ce détachement presque enfantin, elle se laisse porter par ses envies et ses fantasmes, ses coups de cœur. Elle a bien connu quelques histoires d'amour, sincères, passionnées, mais depuis quelques années, elle semble s'être contentée d'histoires courtes exclusivement. Peut-être parce qu'elle ne pouvait pas avoir celui qu'elle voulait vraiment. Peut-être parce que son cœur n'était pas tout à fait disponible, au fond. Parce que cela fait des années que Dora, elle n'a d'yeux que pour son meilleur ami, Harlan. Mais contre toute attente, après avoir manqué de perdre la vie, il lui a tout récemment fait sa déclaration. Depuis, Dora a des papillons dans le ventre, sans trop savoir encore s'ils sont ensemble, l'officialisation en cours de concrétisation ; loin d'imaginer qu'une ex du brun puisse venir tout chambouler. orientation sexuelle : Pansexuelle et fière de l'être. situation familiale : Petite dernière des Oliveira, elle a beaucoup été couvée, Dora, et c'est peut-être ce qui explique sa légèreté, sa tendance à ne rien prendre au sérieux, voire même son manque de maturité par moments. Avant elle, il y a Luiz, son grand-frère, de cinq ans son aîné. Et encore avant Luiz, il y a Ana, sa grande sœur avec laquelle l'écart d'âge, un peu plus, se creuse. Ana et Luiz, ils ont toujours veillé sur elle, quand bien même elle aime à dire qu'elle n'en a pas besoin, Dora. Et, aux dernières nouvelles, il n'y a qu'eux trois. Dora, elle voit aussi leurs parents très régulièrement. signe astrologique : Cancer, sensible et délicate, mais lunatique et impulsive. Elle trouve qu'elle incarne plutôt bien son signe, dans les grandes lignes – moins d'accord sur la partie romantisme. le pire tue-l'amour : Une attitude beauf, il n'y a rien qui lui hérisse davantage le poil. Elle n'a pas besoin de romantisme, pas besoin de grand-chose, au fond, Dora – elle ne veut juste pas de goujat. Et puis, tout de même, en général, c'est l'engagement qui lui donne de l'urticaire. Les responsabilités, les projets, le mariage, les gosses et le chien, c'est bien le meilleur moyen de la faire partir en courant. un fantasme : S'envoyer en l'air dans une voiture, pas trop fou, plutôt classique, mais tout de même, il y a le risque d'être pris sur le fait. à Brisbane depuis : toujours, elle y est née et y a grandi, n'en est jamais partie. C'est là que sont les siens, c'est là qu'est sa vie. Elle ne se voit pas vivre ailleurs, Dora. traits de caractère : (hyper)sensible, colérique, loyale, lunatique, anxieuse, drôle, immature, créative, irresponsable, empathique, susceptible, travailleuse, rêveuse, capricieuse, curieuse, rancunière, intuitive. avatar : Alba Baptista (portugaise et brésilienne).

---

romantisme (41%)	level de drague (82%)
engagement (40%)	passion (70%)
performance au lit (77%)	fidélité (50%)
nombre de cœurs brisés (69%)	recherche de l'amour (32%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ?
Elle ne sait pas trop. L'astrologie dit du cancer qu'il est un romantique – dans le cas de Dora, elle n'en est pas sûre. Sensible oui ; hypersensible, peut-être, même. Alors l'amour, le grand amour, pour elle, c'est celui qui agite ses sens. C'est le regard qui s'accroche à un autre, le sourire qui se dessine sur les lèvres, le cœur qui bat plus fort. Le grand amour, le plus fort, c'est peut-être celui qui demeure à sens unique. « L’amour est plus beau quand il est impossible, l’amour le plus absolu n’est jamais réciproque. » a écrit Beigbeder, et c'est à peu près la définition à laquelle Dora pourrait adhérer.
Elle, l'amour, elle l'a connu, elle le connaît encore – mais elle a mis des années à le voir, à l'accepter. C'est pour cela sans doute, qu'elle a renoncé à tout amour. Pour cela qu'elle préfère se perdre dans les bras d'autres personnes. Se contenter d'histoires d'un soir, qui ne sont pas vouées à durer. Une bonne façon d'attendre sans attendre vraiment ; d'espérer sans le faire totalement. De poursuivre sa vie de son côté – se tenant prête pour le jour où tout pourrait changer.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
La déception amoureuse de sa vie, c'est Harlan. C'est toujours lui. Même quand elle essaie de passer à autre chose, même quand elle essaie de fréquenter d'autres gens, elle lui revient toujours. Elle a essayé de prendre ses distances, essayé de prendre du recul – difficile, presque impossible, parce qu'il était son meilleur ami. Elle ne s'est pas laissé aller, Dora, pour autant ; elle a toujours tout fait pour aller de l'avant. S'est attachée à d'autres âmes, a aimé encore. Mais il y a toujours eu des restes, un goût d'inachevé dans la bouche, les regrets aussi. Toujours eu ces moments où elle le regardait, en se disant et si. C'est celle-ci, alors, la plus grande déception amoureuse de sa vie – mais Dora, elle a toujours survécu. Elle ignore qu'en réalité, sa plus grosse déception amoureuse est encore à venir.
Et cela aura un lien avec Harlan.
Encore, toujours.

( oliveira ) (tw : fausse couche) Dora, c'est la petite dernière des Oliveira – une famille somme toute banale, installée en Australie depuis deux générations déjà, quand le grand-père maternel de Dora a eu une opportunité de quitter le Portugal pour faire carrière ici. Son père, lui, a passé la première partie de sa vie au Brésil avant d'arriver à Brisbane pour ses études. Dora – Isadora de son prénom complet –, elle a grandi couvée, surprotégée. Peut-être parce qu'elle avait un peu plus d'écart avec sa sœur et son frère, peut-être simplement parce qu'elle était la plus jeune ; mais c'est surtout, qu'elle était terriblement attendue, sa mère ayant fait plusieurs fausses couches entre la naissance de Luiz et la sienne. Et cela, Dora, elle l'a toujours senti peser sur elle. A travers l'inquiétude, à travers la protection, parfois excessive. A travers l'anxiété, devenue communicative – dont elle-même se retrouve à souffrir, malgré elle. Mais, si parfois ce côté surprotecteur l'agace, d'autres fois, cela l'arrange, elle doit l'avouer. Elle a un peu toujours pu faire ce qu'elle voulait. ( the boy next door ) Harlan, c'est le gamin des voisins. Le gamin de la voisine. Celui qu'elle dépose, souvent, chez les Oliveira. Quand elle en a besoin, quand elle doit s'absenter, quand il n'y a personne d'autre pour le garder. Il est un peu plus âgé qu'elle, il a plutôt l'âge de Luiz, mais cela n'a pas d'importance, cela ne les empêche pas de se lier, de devenir amis. Harlan et Dora, ils sont toujours fourrés ensemble, jamais l'un sans l'autre – ou presque. Avec les années, c'est toujours pareil. Même quand Harlan fait le con, pour les beaux yeux d'une autre. Même quand il s'éloigne de Dora au lycée, parce qu'il la trouve soudainement trop gamine. Même quand il part à l'autre bout du monde pour son travail, au péril de sa vie – qu'ils se retrouvent à discuter en décalé, parce que pas calés sur le même fuseau horaire. ( friendzone ) Elle ne sait plus quand elle a su. C'est peut-être parce qu'il courait toujours après les autres. Parce qu'elle avait cette rancœur, cette jalousie, en elle, quand il parlait de son dernier crush. Parce qu'en sa présence, elle avait le cœur qui battait un peu plus fort. Elle ne sait plus exactement, quand ç'a commencé – peut-être parce que c'est trop rapidement devenu la norme. Rapidement aussi, elle a renoncé, Dora. Elle avait lu assez de romans, vu assez de films, pour savoir que c'était une mauvaise idée – elle ne voulait pas tout gâcher. Ne voulait pas se prendre de vent. Et puis, finalement, Harlan était si souvent absent, si souvent ailleurs, pour son job, que c'est devenu plus facilement gérable. Ou alors, c'est juste qu'elle est restée dans le déni, Dora. Elle aussi, elle a fait sa vie. Elle aussi, elle a eu ses crushs, ses coups de cœur, ses relations, ses obsessions. Elle aussi, elle a couru après d'autres. Harlan lui a causé son premier chagrin d'amour, lui a fait découvrir l'amour à sens unique. Mais le monde ne s'est pas arrêté de tourner à cause de lui. ( pansexual ) Sans Harlan dans les pattes, c'était plus simple. De s'intéresser à d'autres. D'en aimer, d'autres. Au lycée, elle connaît ses premiers émois. Connaît aussi, ses premières histoires. D'abord, il y a Anton. Jolie histoire qui s'achève, au choix de Dora. Dora, qui s'intéresse très vite à Alyssa. Alyssa, qui lui fait tourner la tête, qui envahit ses songes, qui fait tambouriner son cœur. Leur histoire est belle, agréable et dénuée de nuages, de drames. Elle ne s'achèvera qu'en première année de fac, la distance ayant raison de leur relation. Longtemps, Isadora se croit bisexuelle – après s'être longtemps crue hétéro. Au fil du temps, elle se découvre, se comprend mieux. Se définit pansexuelle. Mais n'aime pas poser une étiquette. Le monde ne s'arrête pas aux hommes, comme le monde ne s'est pas arrêté à Harlan. ( gender studies ) A la fin du lycée, elle se perd. Ne sait pas trop ce qu'elle voudrait faire. Penche vers la littérature, puis la sociologie. Il y a aussi, la psychologie. Et puis, elle aime l'art encore, et puis l'histoire, et puis un tas d'autres choses. C'est le problème de Dora : elle aime beaucoup de choses, se passionne volontiers d'un rien, et faire des choix, elle n'aime pas trop cela – indécise au possible, d'ailleurs cela a souvent agacé les Oliveira. Finalement, elle trouve un domaine qui coche plusieurs cases de ses centres d'intérêt : les gender studies. Féministe engagée, membre de la communauté LGBTQIA+, elle se sent concernée, retrouve un certain nombre de ses propres questionnements et les gender studies apparaissent comme une évidence. D'abord, elle s'inscrit pour un bachelor of arts à la School of Communication an Arts de l'université du Queesland. Puis elle poursuivra en master. Jusqu'à ne plus s'arrêter. ( hypersensitivity ) Au début, elle croyait qu'elle avait un problème. Que ce n'était pas tout à fait normal, qu'elle était différente des autres, et elle voyait cela comme une tare, Dora. Avec le temps, elle a appris à comprendre, à accepter, son hypersensibilité. Ce n'est pas simple tous les jours, pour autant – elle peut être terriblement passionnée, mais aussi passer du rire aux larmes en un rien de temps. Les sentiments, elle les ressent bien fort – si fort que parfois, ses proches ne les comprennent pas. Si fort qu'on lui a déjà fait remarquer que cela ne servait à rien de se prendre la tête, comme si elle pouvait choisir, comme si c'était aussi simple que cela. L'hypersensibilité, cela veut dire qu'elle ressent les choses profondément, qu'elle est terriblement sujette à l'anxiété, que parfois cela la paralyse, que par moments elle n'a envie de voir personne parce que cela lui prend trop d'énergie. Cela veut dire encore qu'elle peut s'enthousiasmer de ce qui semble n'être rien, qu'elle repose énormément sur son instinct, qu'elle remarque des détails que les autres ne voient pas, qu'elle ne supporte pas certaines odeurs, les cris, le bruit, les tons passifs-agressifs et qu'elle a tendance à prendre les choses très à cœur, pendant des heures, incapable de passer à autre chose. Les ignorants se disent qu'elle exagère, ses proches ont compris que ce n'était pas sa faute à elle – que non, ce n'est pas une partie de plaisir et qu'en général, elle en souffre beaucoup. Mais avec le temps, elle a appris à s'entourer de ceux qui comprennent, de ceux qui acceptent, de ceux qui ne la jugent jamais. Elle a été diagnostiquée par un psy spécialisé en hypersensibilité, qui suppose que cela découle de l'environnement surprotecteur dans lequel elle a grandi, des maux de ses parents, des marques laissées au fer rouge depuis les fausses couches de sa maman. ( astrology ) L'astrologie régit sa vie. Ou presque. Elle ne vous dira pas qu'elle y croit tant que cela, Dora. Mais si elle est si lunatique, si impulsive,  parfois si immature et capricieuse, et un peu jalouse aussi (mais juste un peu), elle vous dira que ce n'est pas sa faute – c'est celle de son signe astro. Et de la même façon, elle vous dira que c'est de cela, qu'elle tient sa grande sensibilité, son côté rêveur, sa bienveillance, sa générosité. Et puis, bien sûr, Dora, elle est du genre à citer l'astrologie pour justifier tout et n'importe quoi, comme par exemple, la compatibilité amoureuse. Bizarrement, elle reste dans le déni face à la (très) grande compatibilité que l'on attribue au cancer et au taureau (c'est-à-dire le signe de Harlan, il faut suivre un peu). ( phd ) Ses études et elle, c'est une grande histoire d'amour. Ou, en tout cas, s'il n'y a plus d'amour, c'est tout de même une histoire qui dure – bien plus que la moindre de ses relations. Elle aurait pu s'arrêter au master, Dora. Travailler dans l'associatif, en ONG. Mais non. Un jour, de but en blanc, elle a sorti à table, au repas de famille, qu'elle allait continuer. Se diriger vers un doctorat. Elle avait même déjà trouvé un enseignant-chercheur pour diriger sa thèse. Avait un projet concernant cette dernière. L'indépendance ne serait donc pas pour demain – pas tout à fait (mais ce n'est pas sa faute, c'est celle de son signe, encore). Et, si elle est passionnée par ce qu'elle étudie, par ce qu'elle fait, Dora, il y a aussi la peur, qui a motivé son choix. La peur de la vie adulte, la peur du grand bain. Elle ne se sent pas prête ; se sent à peine adulte, par moments. A l'impression d'avoir dix ans de moins, pas les mêmes préoccupations que les autres. Pourtant, parmi ses amis, il y en a même qui commencent à se marier, à avoir des gosses. Pas elle. Elle, elle est à des lieues de tout cela. Elle, on dirait qu'elle continuerait encore et encore les études, si elle pouvait. Alors la voilà, Isadora, en doctorat. A mêler ses convictions à ses études, à faire des recherches en lien avec le féminisme. Passionnée, passionnante. Elle donne aussi des cours aux premières années. Nouveau rôle qu'elle se surprend à apprécier, elle, l'éternelle enfant. ( roomates ) On a beau dire, Dora n'aime pas dépendre des autres. Il faut comprendre cela ainsi : Dora n'aime pas dépendre de ses parents. Elle se débrouille comme elle peut, alors, avec l'argent qu'elle gagne en donnant quelques cours, par-ci par-là. Pour faire des économies, Dora, elle a donc rejoint une colocation il y a maintenant deux ans de cela. Et, s'ils sont tous différents, tous se complètent à la perfection. Ils sont devenus, pour Dora, comme une seconde famille. ( harlan ) (tw : blessure par balle) Harlan, elle le revoit dès qu'il est de retour à Brisbane. A chaque fois, elle a le cœur qui bat plus vite et ces foutus papillons à la con, qui l'énervent plus que de raison. Il n'était pas prévu qu'il revienne tout de suite, cette fois – pas plus mal, dans le fond, parce qu'une partie d'elle s'est toujours dit qu'elle se portait mieux, loin de lui. Moins de regrets, moins de doutes, moins de questions. Moins troublée dans son quotidien, dans son travail, dans ses études. Moins déprimée, moins niaise. Moins tout. Mais il y a eu cet appel. Celui qui a un peu fait tout basculer. Harlan a été blessé sur le terrain, rapatrié d'urgence – de longues heures d'attente, d'inquiétude, jusqu'à ce qu'elle puisse le voir à l'hôpital, comme les autres. Pas prioritaire, elle passait après la famille, mais avant d'autres amis. Mais plus tard, il est venu. Et ce n'était pas comme d'habitude. Harlan, il est venu la trouver, pour lui dire qu'il l'aimait. Faut croire que manquer de perdre la vie lui avait remis les idées en place, ou éclairci certaines choses. Elle n'a pas trop su, Dora, elle ne s'est pas posé de questions. Elle l'attendait, sans attendre. Elle espérait, sans oser le faire. Elle l'attendait ; il est venu. Happy ending incoming. ( to be continued ) Ou presque. C'est tombé comme un cheveu dans la soupe, au pire moment du semestre. Au moment où elle se perd entre les copies de ses étudiants et sa thèse. Et puis, dans tout le reste. Elle a la tête ailleurs, tout le temps ; le cœur qui bat fort, les papillons dans le ventre, les pensées qui vont à mille à l'heure, Harlan omniprésent dedans. Ils ont prévu de se revoir, pour parler plus longuement ; de se revoir pour un rendez-vous officiel. Elle a juste demandé quelques jours, Dora, le temps de sortir un peu la tête de l'eau. Après, elle serait toute à lui – elle l'avait dit. Mais, si elle savait, Dora. Que lui, ne sera pas tout à elle. Que Lola, son ex, est revenue vers lui avec une heureuse nouvelle. Une grossesse.

( divers ) a adopté (imposé à sa colocation) un chat, il y a deux ans déjà. -- sujette à l'insomnie, privilégie les remèdes à base de plantes (adepte de la marijuana, mais c'est thérapeutique, dit-elle). -- fumeuse depuis quelques années maintenant. -- allergique aux arachides, a même une seringue d'adrénaline dans son sac au cas où. -- aime porter de la couleur. -- aime retaper des vieux meubles, plutôt manuelle. -- possède un herbier qu'elle continue d'agrémenter. -- aurait adoré devenir fleuriste, dans une autre vie. -- pas très fan des chiens, définitivement cat person. -- adore lire son horoscope dans les magazines, même si elle n'y croit pas (pour elle, ce n'est pas aussi précis que les thèmes astraux !). -- commande trop souvent à dîner. -- n'a jamais passé son permis et n'est pas près de le faire, trop terrifiée sur la route. -- se déplace assez souvent en vélo. -- passionnée d'histoire, a une très bonne mémoire des dates. -- déteste les maths (à raison). -- passionnée d'art moderne, aussi. -- se rend fréquemment à des conférences, peu importe le sujet – tout l'intéresse. -- prend des cours de self-defense.

( playlist ) thérapie taxi, friendzone -- nicky youre, sunroof -- glass animals, I don't wanna talk (I just wanna dance) -- the driver era, a kiss -- no doubt, undercover -- aime simone, shining light -- oscar anton, cheerios -- -- james bay, let it go -- rooney, when did your heart go missing? -- the irrepressibles, in this shirt -- dua lipa, love again -- lali, enredaos -- jessie ware, wildest moments -- jelani aryeh, marigold.

---