TW : bisexualité non assumée (passée), mal du pays, tromperie, grossesse non désirée.
âge & naissance : [ 9 septembre 1999 ; Dalkey ] Elle est née par temps brumeux, au bord de la Mer d'Irlande, précisément à Dalkey. C'était le 9 septembre 1999, ce qui lui fait aujourd'hui 23 ans qu'elle arbore avec légèreté.origines & nationalité : [ irlandaise et juive ashkénaze ] Elle a quitté Dalkey il y a deux ans déjà, pourtant, elle ne l'oublie pas. Irlandaise et juive ashkénaze jusqu'au plus profond de son âme, rien ne changera jamais cela, quoiqu'elle se sente désormais aussi australienne de cœur. L'Australie comme pays d'adoption depuis déjà deux ans. finances et emploi : $$$$$, jeune active, elle ne roule pas sur l'or, Gisela. Dépend encore un peu de ses parents, de l'autre côté du monde, même si elle commence à s'en sortir, à être indépendante. Vivre en colocation la soulage aussi à ce niveau - partir vivre seule serait inenvisageable pour le moment. [ chargée de projet événementiel ] Elle a commencé par un stage de fin d'études au sein d'une agence de communication spécialisée dans l'organisation d'événements pour de grandes boîtes de Brisbane. On lui a ensuite parlé d'un poste, et alors, l'avenir semblait lui sourire - du moins, jusqu'à ce qu'une grossesse lui tombe sur le coin du nez. Le diplôme quasiment en poche, ce n'est plus qu'une formalité. statut civil : [ troublemaker ] Techniquement en couple, elle a pourtant tout foutu en l'air, en trompant Adrian - ce qu'ignore le principal concerné. La vérité, c'est qu'elle est confuse, Gisela, perdue dans ses sentiments. Tente de se rattraper auprès d'Adrian, alors qu'elle ne pense qu'à Eliseo. Tente d'ignorer le cœur qui bat si fort, plus fort, pour Eliseo. orientation sexuelle : [ bisexuelle ] Elle a mis des années à le comprendre, l'admettre. Vit avec le regret, cependant, de n'avoir jamais eu des relations qu'avec des hommes, jusqu'à présent. Pense qu'il est trop tard, car avec Adrian, c'est pour de bon, non ? situation familiale : [ cadette ] Elle est la dernière enfant des Ackerman, famille implantée à Dalkey depuis des générations et des générations. Avant elle, il y a son grand frère et sa grande-sœur, avec lesquels elle a quelques années d'écart. Si les rapports de Gisela avec ses parents se sont quelque peu compliqués ces dernières années, elle reste proche de son frère et en particulier de sa sœur, avec laquelle elle communique beaucoup au quotidien. signe astrologique : [ virgo ☉ | scorpio ↑ | leo ☾ | leo ♀ ] Elle déteste la routine, paradoxale, aventureuse, positive, audacieuse. Se fiche des horoscopes mais prête grande attention à son thème astral, Co – Star installé d'ailleurs sur son téléphone. le pire tue-l'amour : un copain qui débarque à l'improviste et la ramène à la réalité ? (Citer la tromperie serait hypocrite ; c'est pourtant ce qu'en premier, elle aurait tendance à dire.) [ la misogynie ] Pas impressionnée, pas impressionnable. Les hommes qui la pètent, elle les exècre, en général. Et si en plus, ils se comportent comme les pires des machos, c'est pire encore. un fantasme : [ dans l'océan ] De préférence au clair de lune, lors d'un bain de minuit. A prendre le risque d'être surpris. à Brisbane depuis : [ 2021 ] C'est l'année où elle est venue à Brisbane pour y poursuivre ses études. L'année où elle a pris son courage à deux mains. Et elle ne le regrette pas le moins du monde, Gisela. traits de caractère : sociable, curieuse, fêtarde, enthousiaste, colérique, indomptable, dynamique, originale, entêtée, insouciante, confiante, paradoxale, sarcastique, ouverte d'esprit, lunatique, souriante, créative. avatar : [ Gracie Abrams ] Ashkenazi Jewish (father) / Irish (mother).

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romantisme (54%)	level de drague (78%)
engagement (62%)	passion (88%)
performance au lit (66%)	fidélité (40%)
nombre de cœurs brisés (96%)	recherche de l'amour (41%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Elle ne sait pas trop, c'est cela le pire. C'est qu'elle est en couple depuis longtemps avec Adrian, censée être amoureuse. Mais si c'est cela, l'amour, alors cela ne l'enthousiasme pas tant. A ses yeux, l'amour, c'est censé réveiller tout l'être. Inonder le cœur d'une tendre douceur, envahir le ventre de papillons, hanter les rêves, couper l'appétit même par moments. Elle ne sait pas si elle y croit, à vrai dire. Elle s'est juste habituée à son histoire, puis habituée à la vivre à distance, sans trop en souffrir, finalement. Parce qu'il y avait quelqu'un d'autre pour être le centre de son attention. En réalité, en amour, Gisela, elle n'est pas très douée. Elle ne l'a jamais particulièrement cherché ; il s'est juste présenté, et elle a tout gâché.
Comme si elle n'était pas capable de l'apprécier.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
La déception, c'est sa relation actuelle. C'est Adrian, avec lequel elle a été presque toujours. C'est une histoire qui ne lui procure plus grand-chose. Qui la rassure, sans doute, dans le fond – mais ne lui donne plus aucun frisson. Elle déteste cette impression qu'ils sont un vieux couple à seulement vingt-trois ans. Elle, elle voudrait s'amuser, voyager, prendre des risques, improviser. Vivre d'amour et d'eau fraîche. Que chaque jour soit une aventure. Mais la vie avec Adrian, c'est terriblement plan-plan – or, elle n'est pas encore prête à l'avouer, Gisela.
Cela ne la détourne pas de l'amour, cependant. Leur histoire l'a juste précipitée dans les bras d'un autre. Sauf qu'elle ne l'as compris encore.

[ Dalkey ]  Elle est née près de la mer, elle a grandi près de la mer, elle a presque tout connu près de la mer. Gisela, elle est née à Dalkey, au bord de la Mer d'Irlande, jolie ville irlandaise située sur la côte. Dalkey, c'est son point de repère, son ancre, ses racines, sa ville natale, sa ville de cœur. Celle où elle a fait ses premiers pas, connu ses premiers émois. Là où vit encore aujourd'hui, toute sa famille. Dalkey, c'est là où elle revient toujours, Gisela. Mais avec les années, elle se rendra compte que même si sa ville lui manque, elle ne pourrait plus y vivre. Y sont probablement attachés trop de (mauvais) souvenirs.
Mais Dalkey, c'est tant de choses. C'est la mer, les vagues qui s'écrasent contre les rochers, l'odeur iodée, les grandes plages de sable fin,les falaises, le soleil, le port, les glaces, les étés passés à la plage, les premières amours, les rires, l'enfance et puis, l'âge adulte, les conséquences, les responsabilités, la maturité – après les folies, à l'étranger.

[ ackerman ] Ackerman. C'est un nom bien connu, à Dalkey. Sa famille y est implantée depuis des générations et des générations – aussi bien du côté paternel que maternel. Sa mère, notamment, est issue d'une famille de commerçants très appréciée dans le coin, possédant une petite épicerie fine à la belle réputation. Gisela, elle est la petite dernière, après un garçon et une autre fille. Gisela, elle est peut-être alors celle à qui l'on cède beaucoup, la plus chouchoutée, la plus cajolée, aussi. Elle ne manque de rien, grandit avec tout ce dont elle a besoin. Mais parfois, elle se heurte un peu à la grande piété des Ackerman, aux coutumes dont elle s'éloigne avec le temps. Parfois, elle a l'impression d'être trop différente d'eux, trop fantaisiste, de les décevoir, de ne pas coller à l'image ce qu'ils se font d'elle. Elle, elle n'est pas si sage, Gisela. Elle, gosse déjà, elle a cette insouciance, cette légèreté, ce constant besoin de s'amuser. Et plus elle grandira, plus elle aura l'impression de ne pas correspondre aux standards. De ne pas être aussi parfaite que sa sœur et son frère.

[ poetry ] A l'adolescence, comme n'importe quelle adolescent, elle se sent mal dans sa peau, ressent beaucoup trop de choses. Elle se dispute, s'isole, claque des portes. Lit, des heures durant, dans sa chambre. Sans dire un mot, tout haut. Depuis son plus jeune âge, elle lit, beaucoup, Gisela. Et en lisant, elle s'évade. A l'adolescence, elle se passionne pour la poésie – y trouve un réconfort nouveau, un purgatoire, un défouloir, une forme de catharsis. Développe une profonde passion pour les mots, les sons, l'écriture poétique, Alessandro Baricco, entre autres. Et puis, elle écrit à son tour. La poésie, c'est son truc, à elle. Ce truc qui n'appartient qu'à elle, dont elle parle bien peu. Depuis ses quinze ans, elle écrit des poèmes, ou des petites strophes, par-ci, par-là. Parfois, elle tente des récits un peu plus longs qui ne s'écrivent pas en vers. Pas de quoi en faire un roman. Mais ce n'est pas grave, car l'important, c'est que cela la fasse vibrer, sur le moment.
tw : bisexualité non assumée ; Et puis, la poésie, à l'adolescence, c'est son jardin secret. C'est l'âge ingrat, l'âge où personne ne la comprend mais où elle-même ne se comprend pas. Où elle se sent différente, où elle a peur d'aimer aussi les filles, comme si c'était une tare. Le truc, c'est qu'elle a l'impression que si c'était vrai, elle perdrait peut-être les siens.
Puis elle rencontre Luis.

[ love ] Luis et Gisela. On disait que cela sonnait bien. Que cela sonnait comme une évidence. Elle l'a aimé, Luis. Follement. Désespérément. Comme on aime, lorsque l'on a dix-sept ans. Il a été comme une bouée de sauvetage – prenant son amour pour lui pour une confirmation de son hétérosexualité dont elle s'était pourtant bien mise à douter. Mais c'est vrai qu'elle l'a aimé, Luis. Jusqu'à ce que tout s'arrête, à la fin du lycée. L'amour était terminé.

[ travel ] A la fin du lycée, Gisela entre à l'université. Elle ne part pas bien loin, puisqu'elle rejoint la fac à Dublin. C'est là qu'elle rencontre Adrian, Gisela – leurs parents ont quelque peu joué les Cupidon, puisqu'il vient aussi de Dalkey, Adrian. Toujours est-il que cela fonctionne. Qu'ils commencent à se fréquenter, à Dublin. Dublin, c'est le début d'une nouvelle vie, d'une autre liberté. Pourtant, Gisela éprouve un peu de frustration. Elle s'était mise à rêver d'ailleurs, à rêver d'aventure, à rêver de changements. A ne plus avoir à rendre de comptes à ses parents. A Dalkey – qu'elle adore malgré tout –, elle se met à s'ennuyer. A trouver le temps long. Rien n'a changé. Tout est comme avant. Elle étudie la littérature britannique, l'espagnol et le français. Ne sait pas trop ce qu'elle veut faire.
Et puis, en première année, on leur parle d'Erasmus Mundus. Elle y voit l'occasion rêvée de s'évader. Puis ose en parler. Pour Adrian, c'est la douche froide. Mais cela ira. Ils feront en sorte que cela marche. Ils sont ensemble depuis plus de trois ans, cela ira forcément.
A la rentrée suivante, Gisela s'envole pour un an à Brisbane.

[ brisbane ] Elle rejoint une joyeuse petite colocation. Dans l'appartement, ils sont cinq – deux Australiens et trois étudiants étrangers, dont Gisela. Avec eux, grâce à eux, elle se sent un peu moins seule, la brune. Un peu moins dépaysée – car, quoiqu'elle soit très heureuse d'être en Australie, elle souffre comme n'importe qui du mal du pays. De l'inversement des saisons. Mais ses colocs deviennent comme une deuxième famille – peut-être plus présente, plus à l'écoute et plus drôle que les Ackerman. Ils lui changent les idées, l'aident à oublier la douleur que lui cause sa relation à distance avec Adrian, avec lequel elle enchaîne les appels et les Skype, rendus compliqués avec le décalage horaire.
Mais, au fil des semaines, les appels s'espacent. Gisela s'adapte, Gisela s'épanouit, Gisela s'amuse, car Gisela, enfin, se sent libre. Elle doit l'avouer, elle l'aime, sa vie, ici. Et elle en profite. Elle sort, beaucoup. Elle fait la fête. Et sent, au fond, qu'elle joue avec les limites.

[ eliseo ] Dans la colocation, il y a Eliseo. L'un des deux étudiants australiens de l'appartement. Eliseo, il ne la rend, très vite, pas indifférente. Mais au début, Gisela, elle se cache derrière son histoire avec Adrian pour nier l'ambiguïté, l'attirance. Puis peu à peu, elle se lâche. Sort, beaucoup. Il est souvent là, Eliseo. Comme les autres. Mais avec Eliseo, c'est différent. Et, petit à petit, ils commencent à se tourner autour, sans sauter le pas – car, Gisela, après tout, a Adrian qui l'attend. Un jeu du chat et de la souris se met en place. Et elle joue un peu trop volontiers, à ce jeu-là, Gisela. S'amuse un peu trop à le titiller, à le chercher. Entre eux, cela dure ainsi un moment. Jusqu'à ce que Gisela craque, finalement.
tw : tromperie ; Elle lui tombe dans les bras. Une fois, deux fois. Plusieurs fois. En oubliant Adrian. En mettant plus de temps à lui répondre. En annulant les appels ou en les repoussant, prétextant l'avalanche de partiels, de révisions.
Alors que tout ce qu'elle fait, c'est tomber et retomber, encore et encore, dans les bras d'Eliseo. Ce n'est même pas sérieux, c'est pour s'amuser, passer du bon temps. C'est sans promesses, sans attentes. Elle va rentrer en Irlande, Gisela, de toute façon. Ce n'est pas le moment de s'attacher.
Mais tout de même, Eliseo lui fait un sacré effet. Cause des émois bien différents des premiers, connus en Irlande avec Adrian, il y a plus de trois ans déjà. C'est qu'elle est jeune, Gisela. Peut-être trop pour s'enfermer dans une histoire qui ne la fait plus vibrer. Elle, ce qu'elle veut, c'est ressentir le frisson, l'adrénaline, la passion. Retrouver sa légèreté d'antan. Ne pas se prendre la tête, et puis ne pas penser trop à demain, finalement. Improviser, se laisser porter. Profiter.

[ events ] Gisela n'a pas envie de rentrer, ni à Dublin, ni à Dalkey. Alors finalement, elle décide de rester. Y terminer son cursus, peut-être même s'y installer, qui sait. Ses stages l'ont conduite à s'intéresser et à se spécialiser dans les relations publiques. Particulièrement dans l'organisation et la coordination d'événements, servant l'image d'entreprises. Elle a commencé il y a quelques temps son stage de fin d'études, s'y forme, s'y constitue son réseau, commençant à postuler avant d'avoir terminé. On lui dit qu'on pourra peut-être la garder. Un emploi dans une agence, pour le moment, cela lui conviendrait. En attendant, elle se laisse porter, Gisela. Ne veut pas trop se projeter, s'enfermer dans une éternité. Mais pour une fois dans sa vie, elle se sent à sa place, même loin de l'Irlande. Plus libre, plus sereine, plus elle-même, loin des Ackerman, loin d'Adrian.

[ adrian ] Adrian, à Dublin, lui, se morfond. Compréhensif et patient, il lui laisse l'espace qu'elle demande. Il a fini ses études tout récemment, lui, maintenant - les hémisphères causent un énième décalage entre eux. Travaille, attend que Gisela rentre. Comprend qu'elle ne veut pas rentrer, qu'elle veut rester. Des perspectives pour elle se sont dessinées, avant même qu'elle ait fini ses études. Une opportunité à ne pas refuser. Sa vie est à Brisbane, et il le sait, Adrian. Alors il s'est lancé. A décidé de tout lâcher, pour la rejoindre, vivre avec elle à Brisbane. Il a préparé la surprise avec l'aide des parents de Gisela, bien trop touchés par l'attention de celui qu'ils considèrent déjà comme leur beau-fils. Alors, Adrian, il débarque à Brisbane, un beau jour, à l'adresse de Gisela. Sans prévenir, pour lui faire la surprise. Il se pointe, comme cela. Sans crier gare. Il se pointe, et Gisela, elle ne l'avait pas vu venir. S'échappe des bras d'Eliseo juste à temps. Elle devrait lui dire la vérité, tout de suite, il est temps. Celle qu'elle repousse, depuis trop longtemps. Mais il a traversé la moitié du monde, Adrian. Elle ne peut pas le larguer, pas comme cela. Elle ne peut pas.
Et tant pis pour Eliseo. Ce n'est pas comme si c'était sérieux entre eux, de toute façon, non ? Rien d'autre qu'une histoire éternellement sans définition.

[ surprise ] tw : grossesse non désirée. On dirait qu'une surprise ne vient jamais seule. Ou bien, c'est qu'elle est maudite, Gisela. Qu'elle est punie peut-être, pour ses égarements dans des bras auxquels elle n'avait pas droit. Deux traits sur un bâton – la voilà, sa fatalité. Enceinte, trop tôt, trop jeune. Et cela bouleverse tous ses plans, remet tout en question. Si seulement encore il n'était question que de l'avenir, sa carrière à venir ; mais non. Elle ne sait pas qui est le père. Elle ne sait pas si elle est enceinte d'Eliseo ou d'Adrian. Et elle qui ne voulait que s'amuser, profiter, Gisela, elle se retrouve soudainement adulte, trop vite, trop brusquement, à devoir prendre des décisions importantes qui pourraient impacter l'ensemble de sa vie. Sans être capable d'en parler à qui que ce soit. Au copain auquel elle ment, honteusement ; à l'aventure pas sérieuse mais importante qui la hante, encore, terriblement. Qui l'évite à présent.
Pour une fois, dans sa vie, Gisela, elle a l'impression d'être tout à fait seule.

[ en vrac ] une petite allergie aux poils de chats lui a été détectée, ce qui ne l'a pas empêchée d'en adopter un tout récemment, blanc avec des taches et une queue grises et tigrées. Il s'appelle Ocean. ● se serait rêvée fleuriste, un temps. ● appelle ses parents une à deux fois par mois, mais ils ne se disent plus grand-chose. ● n'est pas retournée en Irlande depuis un an. ● photographe à ses heures, c'est ainsi qu'elle est arrivée le mieux à découvrir les alentours et à se familiariser avec le coin. ● profite de la vie sans se prendre trop la tête, se laisse guider par ses envies. ● s'est inscrite à un cours de japonais depuis quelques semaines. ● bonne vivante, elle sort au moins une fois par semaine. ● a une grande collection de livres sur l'étagère de sa chambre. ● Adrian et elle se marchent un peu dessus dans la chambre qu'ils partagent dans la colocation. ● a quelques plantes sur le bureau de sa chambre. ● pratique le vollet. ● pas très douée en cuisine. ● ne prend pas de petit-déjeuner le matin. ● grande adepte du café. ● sait jouer du piano. ● nulle en sport, en-dehors du volley où elle se débrouille (étrangement). ● plus littéraire que scientifique. ● passionnée d'art moderne.

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