Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
multicomptes : jace jenkins (c. evans) ılı enzo rosales (t. carreira) ılı kai butler (c.deidrick)
à contacter : le personnage concerné par la demande
présence : · PRÉSENCE QUOTIDIENNE ·
RP SANS PRESSION
âge : âme arrêtée sur les traits d'un visage à la beauté flamboyante et dont le temps et les années semblent sans égal sur l'immortalité offerte et à sa portée trente brises soufflées dépassé et passée sous silence où elle flâne sur le sable de la jeunesse écoulée et envolée face au souvenir du solstice qui se joue sur ses lippes carmin visibles que sur le papier glacé éclairé par l’astre lunaire qui lui rappelle sans cesse le passé loin d’être effacé autant qu'elle le prétendrait bien loin d'accepter la trentaine arrivé devant le chaos d'une vie brisé dont les sourires cristallins et éclatées ne cesse de vibrait sur son visage.
statut civil : éprise de sa liberté qu'elle chantonne mélodieusement devant les corps qui vacillent autour d'elle, l'incantation qui se répète devant ses prunelles insaisissables avec le refus de s'accrocher une nouvelle fois, myocarde bousiller en morceaux, traumatisme d'une fissure faussement effacée par les sourires contre ses lippes. célibataire, qu'elle hurlera avec conviction au refus de sentiments qui se faneront jusqu'à sa perte, le coeur pas totalement réparé avec la peur immense d'une nouvelle fois s'attacher au risque de se re-fracasser et devance cette peur constante à l’idée que cette fois-ci, elle ne pourrait s'en relever.
occupation : diplômée de journaliste, elle a commencé en bat de l’échelle avant de monter les marche et devenir chroniqueuse de sa propre émission intitulé love and other words spécialisés les relations amoureuse et la sexualité domaine dont dont elle excelle lorsqu’il s’agit d’aider les autres autant qu’elle utilise sa notoriété pour vivre de cette passion qu’elle a refusé d’abandonner avec le titre d’influenceuse de voyages, aventurière dans l’âme, les cultures qui l’ont toujours fascinées ou face à son succès et parce qu’elle se refuse de se cantonner à un seul titre, elle est devenu aujourd’hui une véritable femme d’affaires redoutable quand elle a lancé sa propre société nommé xtravagance en compagnie de sa meilleure amie derya, netflix a décidé de collaborer avec les filles pour plusieurs reportages à travers le regard de chacune, pour alma ces voyages qui font un succès planétaire, elle incapable de rester en place, ou aujourd’hui elle vit son rêve et sa passion les yeux grands ouverts.
adresse : appartement luxueux situé à fortitude valley qu'elle partage avec sa partenaire de crime depuis toujours, sa meilleure amie et aujourd'hui associée derya aslan où une des chambres a été décoré lorsque lou, la fille de sa meilleure amie y vient et qu'elle se transforme par plaisir en baby sitter, un plaisir de retrouver cette ambiance qu'elle aime tant
warning : [ aucun en particulier] 彡 à discuter en amont
infos rp : [ nombre de mots ] en fonction de l'inspiration ça varie en moyenne entre 900 à plus de 2000 mots tant qu'il y a de la matière, seule la qualité compte ┄ [ dialogue ] réponses le plus souvent à la troisième et parfois à la seconde personne au présent et de préférence en français même si je me débrouille en anglais ┄ [ fréquence de rp ] variable selon mon irl et mon inspiration, mais lorsque celle-ci est présente en moyenne réponse en quinze jours, aucune pression.
A la dérive que tout ses sens ne cesserait de lui hurler ou ses pensées se perdent assez pour ne plus rien entendre, sa concentration s’efface dans cette réunion à laquelle elle n’est plus capable d’y prêter une quelconque attention. Le coude posé sur la table sa tête penchée ou les rêves finissent de surcroît par l’envahir. Elle soupire avant de lever les yeux au ciel quand on tente irrémédiablement d’avoir son attention ou sa seule réponse est le sourire qui se dessine sur visage, elle qui excelle dans les thèmes à soirée face à son imagination qui se décuple au rythme de son émission qui occupe un franc succès pour la chaîne. Éléments important qu’on lui répète sans cesse ou ces derniers temps elle sature malgré elle devant l’épuisement du boulot qui ont eu raison de son esprit complètement éreinté. Elle se redresse sur elle-même, les cheveux qu’elle remet en arrière avant d’observer le grand book qu’on lui avait donné à étudier. Elle observe tous les regards sur elle attendant qu’elle apporte une parole à cette réunion. Mains qui se croisent devant son visage qui se fige devant ses collègues avant de songer si ce n’était pas une blague. Elle n’était pas le genre à y aller par quatre chemins et si d’autres auraient eu peur de se montrer si franc, Alma avait toujours été d’une franchise sans égale, grande gueule, c’était aussi la raison de son succès et de ses conseils qui avait fait parler d’elle et lui avait offert d’avoir sa propre émission et pourtant si le succès était au rendez-vous, elle avait l’impression de passer à côté de la sienne ne songeant qu’au boulot au point que ces derniers jours, elle n’arrivait plus à rien. Quand on lui avait demandé de l’aide pour le nouveau thème de la soirée pour la chaîne elle n’avait pas refusé. Toutefois, elle avait vite déchanté en voyant ce dossier face à elle encore plus lorsqu’elle avait vu le post-it qui l’accompagnait ajoutant qu’il fallait l’étudier en quelques jours. Elle avait lâché un rire moqueur, car c’était sûrement une blague assez pour qu’à cette réunion, elle n’hésite pas à laisser sa frustration se déclencher devant sa bosse qui avait sourit tandis que les autres la regarder avec un regard interloqué qu’elle puisse parler ainsi à sa supérieur qui était loin d’être une femme facile, mais Alma la connaissait et elle savait aussi qu’elle aimait la jeune pour ne pas manquer à dire ce qu’elle pense comme à cet instant où elle s’est levé son sac à la main rappelant qu’ils étaient un équipe et le refus de s’occuper seule d’une telle charge quand elle savait que tous avaient voulu l’utiliser pour se débarrasser de cette corvée et rien d’autre parce que pour beaucoup autour de cette table, l’émission de Alma n’était pas si importante davantage un loisir qui ne demandait pas grand chose. Souvent amusée elle n’avait jamais relevé ce manque de remarque presque misogyne employé le plus souvent par des hommes qui la regardait comme si elle était un morceau de viande assez pour remettre les choses à sa place ou tous observe la co-directrice qui semble ne pas dire un mot avant de la stopper quand elle était prête à ouvrir la porte pour s’en aller. Légèrement elle reste figée se doutant que parfois elle pouvait être trop direct oubliant souvent le statut qu’elle possédait, mais lorsqu’elle approuve ses dires, Alma se sent soulagé ou cette fois-ci elle lui offre cette possibilité d’avoir une équipe pour monter les projets pour la chaîne. Des soirées qui marquait des temps forts et qui n’était possible d’être diriger seule. La satisfaction se lit sur son visage ou elle entends les quelques murmures de ses collègues auxquels elle ne prend plus la peine de leur jeter un regard et s’en aller après cette journée riche en émotions et si la fatigue se lit sur visage, elle avait véritablement besoin de se changer les idées. Le portable qui vibre pour voir le rappel et se souvenir qu’elle devait retrouvé Kaleb dans un restaurant à quelques mètres leur boulot. Parfait ! songe-t-elle avant de lui envoyer un message lui assurant que malgré son retard elle serait là. Au fond, il ne devait pas être surpris qu’elle ne soit pas à l’heure, sans son portable et ses nombreux rappels, elle savait qu’elle en oublierait sa tête. En tout cas c’était ce que Derya, sa meilleure amie lui répétait sans cesse et Alma n'en dirait pas le contraire.
Les talons claquent sur le sol avant d’envoyer un tas de messages qu’elle avait reçu entre temps et de relever la tête pour saluer l’homme de la sécurité qui semble lui rendre son sourire toujours surpris qu’elle se souvienne de son prénom. Bien loin des préjugés qu’on lui donnait Alma n’était pas simplement un physique ou une femme superficiel qu’elle avait eu cesse d’entendre, mais dont elle en avait appris à en jouer. Le regard des autres ? Elle n’y prêtait guère attention pour se concentrer sur les gens qui avaient de l’importance et rien d’autre. Dans le taxis, elle ne met pas longtemps à arriver devant le restaurant laissant les quelques billets au chauffeur avant de sentir ou touche de maquillage et fraîche qu’elle semblait être, elle était prête à profiter d’une belle soirée loin du travail. À peine elle ouvre la porte, qu’elle laisse son regard se porter sur chaque recoin du lieu qu’elle connaissait sur le bout des doigts, elle ne met pas longtemps à indiquer qu’on l’attendait ou sans attendre elle fait un pas avant de le reconnaître son regard semblant perdu dans une direction à son opposé où elle peut voir qu’il ne l’a pas remarqué tout de suite. « Hello, il y a toujours quelqu’un ou ton cerveau s’est complètement déconnecté ? » la main qui passe devant le visage de celui-ci avant que Alma face à sa curiosité légendaire suit le regard et sourit comprenant les raisons qui l’avait perdu. Elle tousse légèrement avant de le voir revenir vers elle, ses bras croisés la mine faussement sérieuse où elle ne peut s’empêcher de rire à ses quelques paroles. « Au moins tu ne me feras pas de reproches à mon retard surtout quand tu as de quoi échauffer ton esprit » sourire malicieux qui arpente son visage, elle n’en dit pas plus surtout quand elle connaissait Kaleb pour savoir que cela le fera amplement rougir ce qu’elle trouvait mignon. Finalement, elle s’asseoit face à lui et ne met pas longtemps pour commander un verre de vin. « Je dois dire qu'elle est jolie tu as de bons goûts. Par contre, va falloir travailler sur la discrétion » elle le taquine assez pour l’observer avant de remercier le serveur qui lui tend son verre « Tu aurais pu je ne sais pas allait lui parler surtout qu’elle semble seule au comptoir » elle se doutait qu’il risquait d’avaler de travers ou bégayer assez pour simplement sourire et le laisser le temps de diriger toute les informations qu’elle venait de lui dire bien loin des autres garçons de la chaîne elle appréciait le jeune homme plus timide qui le rendait attachant ou au fil du temps, elle s’était vite lié à lui.
Kaleb Fujii
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 675
rps : 36
pseudo : valkyries (éléonore)
id card : conan gray (moonaetics, vocivus, doom days)
occupation : fils de deux universitaires, tu as poursuivi des études en sociologie. grâce à un ami de ton père, t'as réussi à trouver un travail comme assistant producteur d'un journaliste à la abc brisbane. tu déniches des sujets, des contacts à interviewer, écris des rapports journalistiques. à côté, tu as lancé une émission de podcast "child of" qui parle de race, d'immigration et de témoignages personnels.
adresse : 87 south bank & west end w/ livia
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : racisme
infos rp : réponses courtes, autour de 500 mots. / dialogues en français. / écriture à la 2ème personne du singulier. / code dialogue : cc3333. / présente en fin de journée et le week-end.
La journée est passée à toute vitesse. Tu l'as passée au téléphone, à contacter plusieurs personnes pour une émission spéciale autour de l'immigration. Sujet qui te tient à coeur, toi-même immigré et enfant de deux cultures, deux nations, deux histoires. Si c'est un sujet que tu traites principalement dans ton podcast, qu'il soit exposé ainsi à la ABC Brisbane c'est encore une autre victoire. Parler sur une grande chaîne de la politique migratoire déplorable de ton pays d'adoption, ça te touche personnellement. Toi tu as eu la chance de pouvoir avoir un visa, de choisir de ton plein gré de t'installer en Australie, d'avoir la patience de finaliser toutes les démarches et d'avoir des sous de côtés et des connaissances sur place. Pour toi, toutes les étoiles se sont alignées. Ca a toujours été le cas, d'ailleurs. Etrangement privilégié par la vie à quelques détails près, tu saisis quotidiennement la chance que tu as. C'est ce privilège qui fait que tu as voulu lancer ton podcast, pour que le monde entier -du moins, les quelques personnes qui t'écoutent- puissent se rendre compte de la réalité de vie de certaines personnes et du fossé qui se creuse quand on ne nait pas blanc ou riche. Alors sur ce sujet, tu es plutôt calé. Rapidement, tu as pris le lead sur l'émission pour prendre contact avec des personnes pouvant intervenir. C'est ce côté que tu adores dans ton métier : avoir tout le temps des nouveaux sujets à traiter, certains plus cruciaux que d'autre, et de devoir sortir de terre -en étant accompagné de journalistes, de chargés de communication et d'assistants- une émission qui se veut légitime, informative, basée sur des faits prouvés et scientifiques, et qui fera peut-être à son échelle, bouger les choses. C'est pour ça que tu te lèves le matin, pour te dire qu'à ton niveau tu apportes de l'information aux autres, et que de cette connaissance découle des prises de réflexion ou d'action. Et aujourd'hui, plus que les autres jours encore, tu peux te sentir fier. L'émission est bouclée après des jours intensifs de travail -et quelques nuits quasi blanches- et passera à la télévision demain en fin de journée, à une heure de grande écoute.
Alors ce soir, pour fêter cette petite victoire, tu profites. Rendez-vous programmé avec Alma depuis quelque temps déjà, son emploi du temps étant bien plus chargé à l'avance que le tien. Et c'est avec plaisir que tu passes cette soirée en sa compagnie. Qui d'autre qu'une collègue et amie pour comprendre l'importance de ton travail ? Heureux de pouvoir la compter parmi tes amis d'ailleurs, ceux qui tu t'aies fait en revenant à Brisbane, en plaquant ta vie tokyoïte pour revenir dans le pays de ton échange universitaire. Une nouvelle vie que tu tisses de jour en jour. "Vous voulez déjà commander ou vous attendez quelqu'un ?" Tu lèves les yeux vers la jeune femme qui vient de s'adresser à toi. Pendant un instant tu laisses le silence s'installer. Elle est jolie, assez jolie pour te faire perdre tes esprits. "Oui." Te rendant rapidement compte que ce n'est pas une réponse, tu enchaînes. "Enfin oui j'attends quelqu'un, mais je vais commander quand même, elle a toujours du retard." Tu ris nerveusement, certain que la réflexion aurait fait rire Alma, tout en relisant en diagonale la carte. T'as l'impression que la serveuse s'impatiente, et tu choisis le premier vin que tu vois. En relevant le regard, son sourire poli n'a cependant pas bougé. Ta célébre angoisse de tout qui parle, sûrement. "Un verre de Chardonnay, s'il vous plait." Elle acquiesce, tu baisses la tête, timide, gêné. Tu la regardes s'éloigner, et te reconcentres sur ton téléphone. Alma te confirme qu'elle a eu du retard mais qu'elle est en chemin. Tu ris, te sentant quasi-devin. La jeune femme revient, vers en main,et toujours ce sourire si particulier. Tu la remercies, te refermant aussi tôt dans ta bulle. C'est plus confortable là, mais ça ne t'empêche pas de jeter des coups d'oeil discrets au comptoir. Tellement dans ta bulle que tu remarques à peine l'arrivée de ton amie. "Mmmh ?" A peine le temps de comprendre son arrivée qu'elle s'installe en te taquinant. Elle n'aura pas attendu longtemps. "Mais de quoi tu parles, pas du tout !" Elle continue et tu sens le rouge te monter aux joues. Toi qui étais si heureux de la retrouver, tu n'as qu'une envie : partir en courant. Mains sur la figure, presque horrifié qu'elle suggère que tu ailles lui parler, tu t'avances, en chuchotant de peur qu'une tierce personne puisse entendre. "Arrête un peu tu veux, tu te fais des idées. Et même si tu ne t'en faisais pas, c'est mal me connaître que de penser que j'aurais le courage d'aller lui parler." Tu regardes autour de toi pour vérifier que personne n'écoute. Un peu parano sur les bords. "Mais tu te fais des idées, évidemment." Sourire malicieux qui se crée sur ton visage, le rouge toujours là pour contrebalancer entre rire et gêne.
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how i'm overthinking everything i never said
Alma Parrish
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
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adresse : appartement luxueux situé à fortitude valley qu'elle partage avec sa partenaire de crime depuis toujours, sa meilleure amie et aujourd'hui associée derya aslan où une des chambres a été décoré lorsque lou, la fille de sa meilleure amie y vient et qu'elle se transforme par plaisir en baby sitter, un plaisir de retrouver cette ambiance qu'elle aime tant
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Elle s’en souvient encore de sa rencontre avec Kaleb, rencontre sur leur lieu de travail où elle avait observé autour d’elle sans prêter attention aux dires de son assistance bien trop stressée assez pour lui offrir un simple sourire qui semblait calmer ses nerfs prêts à exploser, elle l’avait vu sembler surprise d’être si calme et prévenante sans doute parce qu’elle n’en donnait pas l’image. Elle en avait entendu des propos sur son compte et si parfois elle n’y prêtait pas attention, il n’en demeurait que certain mot utilité à son égard n’en restait pas moins à l’atteindre malgré elle sans pour autant les faire taire quand elle savait que cela n’y changerait rien. Image qu’elle possédait devant un physique trop avantageux, jalousie parfois perçu quand pour les dires, elle avait atteint les sommets d’une facilité à souvent la rendre folle de rage quand elle avait dû bosser bien plus qu’on ne pourrait le croire. Acharnée de boulot qui était loin d’être l’image de la femme la plus sérieuse, émission qui n’en restait pas moins pour la plupart divertissent quand souvent elle se retrouvait avec des personnes dans un mal être conséquent, sujet souvent qui aurait pu mettre mal à l’aise bien des personnes quand parfois il fallait plus qu’on ne pourrait le croire y trouver les paroles justes devant des conseils loin d’être si fantaisistes qu’on le pensait. Elle s’était retrouvée avec cette jeune auditrice mal dans sa peau et qui semblait apeuré par son compagnon au point ou Alma avait eu le sentiment de s’y retrouver, elle pouvait sentir dans sa voix la peur sans pour autant le montrer sans cesse à trouver des excuses à cet homme qu’elle croyait aimé quand elle savait pertinemment à quel point aimer et se retrouver dans cette idée était deux choses différentes. Il les avaient vu ses supérieurs lui demander de mettre sur pause pour trouver sans doute quelqu’un plus apte à ce genre de conversation, parfois elle était lasse de les voir oublier quel genre de diplôme elle possédait outre celui de journalisme quand elle avait passé avec brio celui de psychologie et plus encore, Alma l’admettait comme beaucoup d’ailleurs, elle avait les mots souvent qu’il fallait pour tenter d’aider les autres, certainement parce que c’était plus facile que de faire face à sa propre vie quand la sienne était un vrai champ de ruine. Elle s’en souvient de leur surprise, sans voix qu’ils étaient restés à la différence de sa patronne au courant de ce qu’elle avait traversée sans doute était-ce la raison pour laquelle elle se comprenait si bien même si là encore, elle avait obtenu cette promotion par sa soif à prouver ce qu’elle valait. Toutefois, elle se doutait que peu importe les efforts qu’elle fournirait, elle aurait toujours cette image de fille superficielle qui ne pouvait certainement pas songer à des sujets plus sérieux comme elle l’avait souvent entendu dire quand l’amour était quelque chose de bien trop simple, il ne fallait pas vraiment être intelligent pour en parler. Elle les entend encore ces misogynes lui balancer ça quand finalement, elles les avaient vu plus tard venir à sa rencontrer pour obtenir conseil, l’hypocrisie dans sa splendeur qui reflétaient bien plus qu’elle ne voudrait une partie des mâles de la chaine où elle admettait que Kaleb en était sorti du lot et elle l’avait vite compris à sa première rencontre à ses côtés.
Différent, c’était ce qu’elle avait perçu en lui et ça même lorsqu’il lui était rentré dedans alors qu’elle le savait Alma qu’elle en était aussi fautive quand ce jour-là, elle était plus concentrée à calmer son assistante qui ne cessait de sourire presque assuré surement qu’elle n’était pas l’image de la peste qu’elle avait certainement dû entendre. Elle entend les quelques excuses de Kaleb le regard perdu sur le sol devant les tas de papiers qui avaient volés avant qu’elle finisse par l’aider. Peut-être était-ce la première fois qu’elle voyait un garçon possédait une timidité qui le rendait si attachant, il semblait loin de ces hommes de la chaîne, il y avait quelque chose de frais et surtout d’authentique chez lui. Elle avait vite repérer quel genre de poste il occupait pour finalement se laisser porter très souvent à ses émissions qui en faisait d’elle presque une véritable fan quand derrière le garçon un peu maladroit qu’elle avait eu de la chanson de rencontrer, il pouvait derrière un micro se montrer bien plus confiant qu’il n’y paraissait à moins sans doute que la solitude qui résidait derrière ses podcasts l’aidaient à ne pas paniquer. Très souvent elle l’avait remarqué, soupirant à le voir se laisser marcher dessus par les journalistes que l’on qualifierait de confirmé quand il n’en restait pas moins le plus souvent pour Alma de simple lourdeur qui avait pris la grosse tête en devenant de vrais divas, raison pour laquelle elle avait voulu l’aider se doutant que lorsqu’elle était apparu pour lui prendre le bras et avancer vers lui, il avait dû être surprise. Elle avait sourie de le voir devenir si rouge assez pour vouloir l’aider à prendre confiance parce qu’au fond malgré l’idée reçu, elle était passé par là. Peut-être pas de la même manière que Kaleb, mais elle savait à quel point ce que cela faisait d’être différent et surtout elle voulait lui montrer qu’il était aussi important que les autres et surtout auprès de la gente féminine où il était certain que le jeune homme avait besoin d’une aide et de toute urgence.
Elle l’avait observé quelques minutes à son arrivé, bras croisés amusée quand elle s’était douté qu’à observer cette belle inconnue il finirait à force par se briser le cou si ce n’est de baver ce qu’elle n’espérait pas quand cela marquerait la fin des regards échangés. Elle savait déjà que connaissant Kaleb il finirait par s’enfouir dans sa timidité où l’idée même d’aller lui parler ne lui viendrait pas. C’était comme si quelque chose se paralysé en lui tel un enfant qui tombait dans un mutisme difficile à y sortir. Elle savait que cela ne serait pas une mince affaire et pourtant, elle refusait de lâcher prise quand avec le temps, elle avait fini par apprécié Kaleb autant que ses émissions qu’en réalité elle ne ratait pas. Pas lentement dans sa direction où elle s’amuse quand lui ne semble pas la remarquer, pas tout de suite, où elle profite pour s’asseoir et le voir à l’œuvre ou du moins s’enfoncer dans une panique presque légendaire avant d’attirer son attention au risque que la jeune inconnue finisse par s’y lasser. « Mmmh ? » Alma n’était pas le genre de femme à s’offusquer, une chance pour lui fasse à réponse qui l’amuse le laissant quelques secondes pour revenir à lui avant d’appeler à son tour le serveur pour lui servir la même chose. « Mais dis-moi quelle répartie auquel j’ai le droit de ta part ! Heureusement que tu es plus impressionnant durant tes émissions, au passage j'ai adoré la dernière. » fan inconditionnelle qu'elle n'avait jamais caché où elle profitait aussi de le taquiner avant de lui offrir un clin d’œil et s’assurer qu’il ne prendrait pas aux mots tout ce qu’elle venait de le dire. Il semblait véritablement avoir besoin de cette soirée pour se détendre. « Mais de quoi tu parles, pas du tout ! » verre à la main qu’elle tend contre ses lèvres, breuvage tant attendu qui met fin à ses nerfs face à cette réunion digne d’une torture sans fin, elle secoue la tête faisant mine de croire ses dires quand il se doute que cela en était le contraire. « Bah voyons, donc je suppose que c’est normal qu’à cet instant, tu vires au rouge écarlate ? » question dont elle en connait la réponse, elle adore jouer avec lui à l’image d’un petit frère où elle sait qu’elle peut se le permettre à ses côtés. « Arrête un peu tu veux, tu te fais des idées. Et même si tu ne t'en faisais pas, c'est mal me connaître que de penser que j'aurais le courage d'aller lui parler. » Alma ne peut s’empêcher de laisser un large sourire se poser sur ses lèvres, les chuchotements de Kaleb l’amuse où parfois elle a l’impression de se retrouver comme une gamine avant de hausser des épaules. « Oh ça je le sais, mais ça se travail et je suis quelqu’un de butée tu devrais le savoir à force » elle savait que cela ne serait pas facile, elle avait le plus souvent observer Kaleb bien trop timide auprès des filles et surtout des femmes où il en perdait ses moyens au point de les voir fuir. Attristé où elle l’avait réconforté voulant l’aider songeant qu’à force il finirait par enfin prendre conscience de toute les qualités en lui et qui lui permettrait enfin de trouver la fille qui lui correspondrait. « Mais tu te fais des idées, évidemment. » le verra à la main où elle s’arrête lorsqu’elle était prête à boire une nouvelle fois avant de s’appuyer sur le dos de sa chaise et maintenir son regard vers son ami. « Bien sûre c’est moi qui me fais des idées, je dirais que le peu de bave qui te reste contre la commissure de tes lèvres me dirait le contraire, mais sinon c'est moi qui me fais des idées ! Évidemment ! » elle s’amuse, le taquine se doutant déjà qu’il finirait par rougir plus qu’il ne le ferait déjà. Elle rigole un instant avant de poser sa main devant elle tentant de le calmer au risque que sa maladresse prenne le dessus. « Bon d'accord... j’exagère peut-être pour l’histoire de la bave sur le recoin de ta lèvres, mais ça n'empêche qu’elle semblait intéressée. C’est que ton charme est loin d’être inexistant comme tu portes à le croire, il faut juste qu’on travaille cette confiance en toi » tentative pour l’apaisé où elle ne manque pas de rappeler le serveur pour lui demander de leur ramener une bouteille quand elle sait que lui aussi semblait avoir besoin de boire un verre de plus. « Par simple curiosité, t’as eu beaucoup de relation sérieuse ou non dans ta vie ? C’était quand la dernière ? » ce n’était pas le genre à y aller par quatre chemin se doutant que peut-être cette question pouvait le mettre mal à l’aise, mais elle avait besoin d’en savoir plus pour tenter de l’aider quand elle refusait encore et toujours à laisser tomber, c’était mal la connaitre.
Kaleb Fujii
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infos rp : réponses courtes, autour de 500 mots. / dialogues en français. / écriture à la 2ème personne du singulier. / code dialogue : cc3333. / présente en fin de journée et le week-end.
Il y avait toujours eu autour de toi des personnalités plus fortes et imposantes que la tienne. Des personnes extraverties, qui s'aventuraient dans le monde sans réflexion et sans regret. Des personnes qui avaient su lire en toi tout le rayonnement que tu pouvais offrir, qui avaient compris que sous ta timidité se cachait un garçon intéressant, stimulant et bienveillant, comme on en rencontre peu. Ces personnes avaient su te prendre sous leur aile pour t'aider à apprendre à voler. Et tu gardes un souvenir intact de chacune de ces personnes, chacune des conversations profondes de fin de soirée, des plans sur la comète, des débats philosophiques qui t'ont fait grandir. Tu ne te souviens pas de tout en détail, évidemment, même si ta mémoire est vive et qu'elle sait retenir une panoplie d'informations -certaines plus importantes que d'autres-, mais tu te souviens des sensations que tu ressentais, du sentiment de légèreté ou de lourdeur, et de te dire que ce moment va être un tournant dans ta vie. C'est précieux comme sensation, de savoir qu'un moment qu'on vit va être décisif d'une façon ou d'une autre, et de le savoir sur le coup. Peu de personnes sont capables de ressentir ce genre de choses, mais toi tu as appris à cultiver cet instinct et à manier ta sensibilité et ta capacité d'analyse pour en faire de bonnes choses.
Et peut-être que cette soirée avec Alma en fera partie. Peut-être que cette simple discussion entre collègues et amies sera la porte d'entrée d'une intimité plus forte entre vous et d'un pas en avant pour toi. A Brisbane depuis presque deux ans maintenant, tu as surtout vécu pour le travail. La vie passe à toute allure et tu as du mal à te rendre compte que tu peux te sentir un peu seul certain soir, que tu aimerais pouvoir fêter certaines victoires -comme cette grosse émission que tu as préparé avec tout ton coeur- avec une personne qui compte un peu plus que les autres. Cela fait bien longtemps que tu n'as pas eu quelqu'un qui partageait ta vie amoureusement. La plupart du temps, tu n'y penses pas, parce que tu vas bien, que ta vie actuelle est stimulante et quasi parfaite à tes yeux. Tu n'y penses pas car tu n'as besoin de personne. Mais des fois, quand tes yeux se perdent sur quelqu'un et que de l'attirance né, tu te souviens que tu restes humain, et qu'un humain ça a parfois besoin d'un autre humain. Et ce détail n'a peut-être pas échappé à Alma. "Oh, merci ! J'ai beaucoup de choses en route pour le podcast, ça devrait te plaire." Tu profites du compliment lancé par ton amie pour changer complètement de sujet. Passionnée par son travail aussi, elle comprend l'importance que ça peut avoir dans ta vie. Elle te soutient depuis que vous vous connaissez Alma, et ça te fait du bien d'avoir ce genre de présence dans ta vie. Mais comme c'est trop beau pour être vrai, Alma revient à la charge, s'amusant de la situation et en profitant pour te faire rougir. Il faut dire que t'as le rouge qui monte facilement aux joues, à croire que c'est ta teinte de peau. "Tu me dis quand t'as fini de faire la maligne, je sais que ça peut durer longtemps." Regard entendu et rieur, tu prends en main la coupe de vin et viens boire une gorgée. Excellent. Exactement ce qu'il fallait pour calmer un peu tes nerfs. Tu l'écoutes parler, Alma, toujours le verre en main. Elle s'amuse, et tu t'amuses avec. Tu sais qu'aucune de ses paroles n'est faite pour te blesser ou te mettre -trop- mal à l'aise. Qui aime bien chatie bien, et ça correspond parfaitement à son mode de fonctionnement avec toi, surtout quand il s'agit du domaine de la drague ou de l'amour. Elle sait que si tu es un petit génie sur beaucoup de sujets, celui-ci semble te laisser de marbre, être hors de ta planète. "Tu es là depuis deux minutes, comment tu peux savoir si elle semble intéressée ou non ?" Un peu sur la défensive, c'est ton manque de confiance en toi qui parle. T'as tenté de capter des signaux venant de la serveuse, mais force est de constater qu'elle n'a fait que son travail et rien de plus. Pour quelqu'un qui sait si bien analyser les situations, tu l'aurais vu si elle semblait intéressée par toi. "T'es gentille Alma, je sais que ça part d'un bon sentiment mais je ne vais pas en mourir si une jolie fille que je croise sur son lieu de travail n'est pas intéressée par moi." J'ai l'habitude, que t'as envie d'ajouter. Facilement intimidé et impressionné, tu tombes assez rapidement sous le charme de n'importe qui ayant un peu plus de confiance en soi que toi. Toute personne passionnée te fait tomber sous le charme aussi. T'es pas compliqué au final, comme public. Tu manques de t'étouffer à la question d'Alma. Surpris, tu la regardes un instant en essayant de voir si elle attend vraiment une réponse. Il semblerait que toi. "Et bien, tu n'attends même pas le repas principal." Tu souris, remettant une mèche de cheveux en arrière. Si tu étais plus à l'aise dans la conversation, tu es à nouveau un peu gêné et anxieux, comme si tu devais trouver la bonne réponse. "Figure-toi que oui, j'ai eu des relations sérieuses dans ma vie." Un peu vexé de la question, tu émets que ces relations se sont rarement bien finies, mais hors de question de faire aveu d'échec ce soir. Tes doigts tapotent la table, tu donnerais tout pour qu'une météorite se plante pile dans le restaurant pour éviter cette conversation. "Et ma dernière relation date de quand j'étais à Tokyo." Il y a plus de trois ans pour être précis, mais tu laisses volontiers de côté ces précisions pour éviter le jugement de ton amie. Encore l'anxiété qui parle.
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how i'm overthinking everything i never said
Alma Parrish
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
multicomptes : jace jenkins (c. evans) ılı enzo rosales (t. carreira) ılı kai butler (c.deidrick)
à contacter : le personnage concerné par la demande
présence : · PRÉSENCE QUOTIDIENNE ·
RP SANS PRESSION
âge : âme arrêtée sur les traits d'un visage à la beauté flamboyante et dont le temps et les années semblent sans égal sur l'immortalité offerte et à sa portée trente brises soufflées dépassé et passée sous silence où elle flâne sur le sable de la jeunesse écoulée et envolée face au souvenir du solstice qui se joue sur ses lippes carmin visibles que sur le papier glacé éclairé par l’astre lunaire qui lui rappelle sans cesse le passé loin d’être effacé autant qu'elle le prétendrait bien loin d'accepter la trentaine arrivé devant le chaos d'une vie brisé dont les sourires cristallins et éclatées ne cesse de vibrait sur son visage.
statut civil : éprise de sa liberté qu'elle chantonne mélodieusement devant les corps qui vacillent autour d'elle, l'incantation qui se répète devant ses prunelles insaisissables avec le refus de s'accrocher une nouvelle fois, myocarde bousiller en morceaux, traumatisme d'une fissure faussement effacée par les sourires contre ses lippes. célibataire, qu'elle hurlera avec conviction au refus de sentiments qui se faneront jusqu'à sa perte, le coeur pas totalement réparé avec la peur immense d'une nouvelle fois s'attacher au risque de se re-fracasser et devance cette peur constante à l’idée que cette fois-ci, elle ne pourrait s'en relever.
occupation : diplômée de journaliste, elle a commencé en bat de l’échelle avant de monter les marche et devenir chroniqueuse de sa propre émission intitulé love and other words spécialisés les relations amoureuse et la sexualité domaine dont dont elle excelle lorsqu’il s’agit d’aider les autres autant qu’elle utilise sa notoriété pour vivre de cette passion qu’elle a refusé d’abandonner avec le titre d’influenceuse de voyages, aventurière dans l’âme, les cultures qui l’ont toujours fascinées ou face à son succès et parce qu’elle se refuse de se cantonner à un seul titre, elle est devenu aujourd’hui une véritable femme d’affaires redoutable quand elle a lancé sa propre société nommé xtravagance en compagnie de sa meilleure amie derya, netflix a décidé de collaborer avec les filles pour plusieurs reportages à travers le regard de chacune, pour alma ces voyages qui font un succès planétaire, elle incapable de rester en place, ou aujourd’hui elle vit son rêve et sa passion les yeux grands ouverts.
adresse : appartement luxueux situé à fortitude valley qu'elle partage avec sa partenaire de crime depuis toujours, sa meilleure amie et aujourd'hui associée derya aslan où une des chambres a été décoré lorsque lou, la fille de sa meilleure amie y vient et qu'elle se transforme par plaisir en baby sitter, un plaisir de retrouver cette ambiance qu'elle aime tant
warning : [ aucun en particulier] 彡 à discuter en amont
infos rp : [ nombre de mots ] en fonction de l'inspiration ça varie en moyenne entre 900 à plus de 2000 mots tant qu'il y a de la matière, seule la qualité compte ┄ [ dialogue ] réponses le plus souvent à la troisième et parfois à la seconde personne au présent et de préférence en français même si je me débrouille en anglais ┄ [ fréquence de rp ] variable selon mon irl et mon inspiration, mais lorsque celle-ci est présente en moyenne réponse en quinze jours, aucune pression.
Si elle savait que cet univers était pitoyable, il y avait aussi une poignée de gens différent, ceux qui faisait la différence comme c’était le cas de Kaleb, dès son arrivée, elle avait pu l’observer pour le voir à l’opposé de ces jeunes qui arrivait avec le rêve déterminé de monter les marches jusqu’à croire que marcher sur les autres feraient sans doute d’eux les nouvelles stars de la petite télé. Souvent elle avait roulé des yeux en remettant certain à leur place avant de croiser à plusieurs repris Kaleb où c’est le sourire qui venait se poser contre ses lippes. Il n’était pas comme les autres et le potentiel qu’elle avait toujours vu en lui n’avait pas mis longtemps à Alma à venir se présenter à lui. D’une certaine manière, elle se sentait proche de lui sans doute parce qu’elle se rappelait de ses rêves à travers lui de celle qui avait choisi de s’imposer dans cette chaîne oubliant ses projets, mais ne voulant pas lâcher prise en songeant qu’un jour elle finirait par briller par sa performance et rien d’autre. Alma suivait son émission avec intérêt, elle adorait entendre les témoignage de ses personnalités qui part la présence de Kaleb se mettait facilement à l’aise, elle se doute qu’il ne le voyait pas parfois trop timide, mais lorsqu’il se trouvait face à ses contacts, une certaine assurance s’y dégager assez pour vouloir en connaitre davantage et découvrir en lui quelqu’un d’admirable, quelqu’un qu’elle voulait aider pour que sa vie soit plus belle, elle ne le connaissait peut-être pas autant qu’elle le prétendait, mais à sa manière, il lui rappelait de ne jamais abandonner ses rêves sans doute était-ce la raison pour laquelle le courant était vite passé entre eux. Alma savait mettre à l’aise les gens et d’une manière Kaleb lui rappelait la raison pour laquelle elle continuait à travailler pour la chaîne, qu’il y avait des gens qui en restait exceptionnel et faisait ce travail avant tout par passion comme c’était son cas. Si elle sortait beaucoup avec certain de ses collègues, ce soir profitait d’une soirée auprès de Kaleb semblait le moment parfait pour que son cerveau ne cesse de penser et le besoin de se libérer du boulot et surtout de cette réunion.
Assise à ses côtés, elle adorait le taquiner, relation presque fraternel ou plus le temps passé et plus elle adorait le découvrir, il y avait quelque chose de fragile et fort chez lui quelque chose qu’elle espérait ne disparaitrait jamais. « Oh, merci ! J'ai beaucoup de choses en route pour le podcast, ça devrait te plaire. » Alma l’écoute avec attention logeant un simple sourire contre ses lippes. Elle l’admet, elle se passionne pour chacune de ses interview où la passion est sans égal devant le rappel de la raison de cette émission qui lui tenait à cœur. « J’ai le droit d’avoir des infos en première ? » curieuse, elle l’observe, elle se doute qu’il tentait de changer de discussion après qu’elle l’a vu complètement ensorcelée à regarder la jeune femme au loin, elle s’amuse, le taquine parce qu’au fond elle sait qu’il est toujours déstabilisé mais apprécié ce moment parce qu’au fond, il est loin de ces types trop sûre d’eux, loin de l’idéal qu’on pouvait imaginer. « T’es mignon à rougir comme ça, je trouve ça chou moi, même si tu n’es pas fort pour la discrétion, mais vu comment elle t’observait je dirais que tu es loin d’être le seul » clin d’œil qu’elle sait le rendra plus rouge comme une tomate ou elle se retient de rire amusée laissant le verre de vin venir contre ses lèvres. « Tu sais si ça se trouve elle était aussi timide que toi et ne savait pas comment t’aborder si ce n’est à te regarder comme toi tu le faisais » elle rigole avant de mettre sa main devant sa bouche tentant de prendre son sérieux. Alma ne doute pas qu’il est déstabilisé, mais loin de lui mentir quand peut-être cette fille aussi avait sans doute songer à lui parler sans pouvoir y arriver. « Tu me dis quand t'as fini de faire la maligne, je sais que ça peut durer longtemps. » elle pourrait, elle l’admet continuer comme ça pendant toute la soirée, rien ne bien méchant, elle adore le taquiner comme un petit frère qu’elle voit souvent à travers son regard. Au fond, elle souhaite que son bonheur et qu’il puisse voir que malgré tout, il avait tout pour plaire. « Tu es là depuis deux minutes, comment tu peux savoir si elle semble intéressée ou non ? » elle hausse des épaules presque outrée qu’il puisse lui demander une telle chose avant de bouger légèrement son verre de vin et le poser sur la table pour relever son regard vers lui. « Dois-je te rappeler mon boulot peut-être ? » elle s’amuse avec lui avant de reprendre son sérieux et de glisser son regard vers le sien « Parce que je suis quelqu’un de très observatrice Kaleb, la plupart ne remarque pas les petits détails tandis que moi j’ai un don pour ça, c’est souvent ces petites choses qui font toute la différence la raison j’imagine qui fait que je suis à force experte pour les autres » si les conseils étaient facile à offrir aux inconnus et à ceux qui venaient parfois se confier à elle. Alma l’admet, tout en devenait compliqué quand ça la concernait. « Tu es peut-être quelqu’un qui observe, mais on sait tous les deux que quand c’est à propos de soi-même les choses deviennent compliqués et crois-le, il n'y a pas que toi à le ressentir de cette manière et puis c’est aussi pour ça que je suis là non ? » sincérité qui se dégage, elle se doute qu’il doit être dans le doute et pourtant elle n’en démordait pas. « T'es gentille Alma, je sais que ça part d'un bon sentiment mais je ne vais pas en mourir si une jolie fille que je croise sur son lieu de travail n'est pas intéressée par moi. » Elle sourit simplement avant de croiser ses bras sans doute qu’il n’en mourrait pas, mais elle voulait qu’il puisse voir que loin de ce qu’il songeait lui aussi avait plus de charme qu’il le prétendait. « Je ne suis pas spécialement gentille en te disant tout ça, mais surtout je suis franche que toi et comment tu peux savoir qu’elle ne s’intéresse pas à toi si tu ne vas pas l’aborder ? à moins d’être médium ou de lire dans les pensées des femmes je ne vois pas comment tu peux le faire alors je t’en prie je t’écoute ! » elle porte à ses lèvres à nouveau le verre de vin attendant réellement la réponse de Kaleb, elle ne cherchait pas à le mettre mal à l’aise bien au contraire, juste qu’il prenne plus confiance en lui comme lorsqu’il se retrouvait à interviewer ces personnalités pour ses reportages. Elle tentait de comprendre ses relations au point de ne pas hésiter à lui poser les questions nécessaire pour y voir le trouble dans son regard. « Et bien, tu n'attends même pas le repas principal » elle ne dit rien si ce n’est de soutenir son regard vers le sien se songeant que la question pouvait être trop direct, mais elle était ainsi refusant de tourner autour du pot pour tenter surtout de le comprendre. « Figure-toi que oui, j'ai eu des relations sérieuses dans ma vie. » elle ne doutait pas qu’il avait dû avoir des relations, mais elle se doutait que l’une avait dû le marquer pour se sentir aussi vulnérable comme à cet instant. Elle reste silencieuse pour lui laisser du répit. « Je suis désolé si tu t’es senti mal à l’aise ou vexé de ma question surtout que ce n'était pas mon but. Je n’ai aucun doute dessus et malgré ce que tu peux penser. Tu as beaucoup de charme Kaleb sauf que tu ne le remarques pas ou tu ne le veux pas au point que je me demande qui a pu autant te faire mal pour que tu doutes autant de toi ? » Peut-être était-ce la réponse au fait qu’il prenne parfois voir tout le temps la fuite au lieu de foncer surtout quand la personne elle-même en était intéressée. « Et ma dernière relation date de quand j'étais à Tokyo. » elle ne dit rien gardant cette info enregistré au coin de sa tête. Elle ne le jugeait pas comment le pourrait-elle quand elle-même était bien loin de suivre ses propres conseils assez pour combien parfois c’était difficile de remonter la pente plus qu’il ne le croyait. « Je peux te demander ce qui s’est passé ? Et loin de ce que tu peux imaginer je te le répète, je ne te juge pas, j’essaye juste de comprendre pourquoi tu sembles tant te renfermer ? » elle essayait tant bien que mal de trouver les mots se doutant à quel point confier tout ça n’était pas facile pour lui, mais elle lui avait assurer être là pour l’aider et c’était ce qu’elle comptait le faire. « Et crois-moi je peux comprendre que ce soit difficile, si tu veux savoir, quand il s’agit de moi ça ne se voit peut-être pas, mais c’est plus compliqué pour moi de me tourner vers quelqu’un » elle se protéger loin de faire facilement confiance, pas quand sa dernière relation quand elle était encore plus jeune y avait laisser des traces et des marques loin de s’être dissipés. « Je sais combien ça peut être difficile et faire mal, mais tu mérites d’être heureux et mon but n’est pas de te mettre mal à l’aise et puis je trouve dommage que peur d’hommes soient comme toi, loin de ce que tu imagines les femmes cherche quelqu’un qui pourra les aimer, les protéger et les voir telles qu’elles sont » elle se retient de ne pas en dire plus prenant la bouteille de vin pour la remplir avant de jeter un regard à Kaleb peut-être en avait-elle trop dit, mais au fond elle parlait avec son cœur quand parfois celui-ci avait dû mal à s’exprimer sans doute était-ce plus facile quand Kaleb ne la regardait pas comme un objet, mais une véritable personne.
Kaleb Fujii
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 675
rps : 36
pseudo : valkyries (éléonore)
id card : conan gray (moonaetics, vocivus, doom days)
occupation : fils de deux universitaires, tu as poursuivi des études en sociologie. grâce à un ami de ton père, t'as réussi à trouver un travail comme assistant producteur d'un journaliste à la abc brisbane. tu déniches des sujets, des contacts à interviewer, écris des rapports journalistiques. à côté, tu as lancé une émission de podcast "child of" qui parle de race, d'immigration et de témoignages personnels.
adresse : 87 south bank & west end w/ livia
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : racisme
infos rp : réponses courtes, autour de 500 mots. / dialogues en français. / écriture à la 2ème personne du singulier. / code dialogue : cc3333. / présente en fin de journée et le week-end.
Malgré ta timidité, tu n'avais jamais eu aucun mal à te lier aux autres. Il se dégageait de toi une sincérité, une attention au monde, qui faisaient souvent écho aux autres. Aussi inoffensif qu'une mouche, si un certain nombre de personnes pouvaient te percevoir comme faible car ne rugissant pas à chaque instant, ne voulant pas te faire remarquer pour n'importe quoi, et n'imaginant pas un moment marcher sur les autres pour atteindre tes idéaux, la plupart des personnes que tu avais croisées au cours de ta vie appréciaient sincèrement qui tu étais. Ta bonté, ta curiosité, ta loyauté, parlaient d'elles-mêmes. Tu avais depuis longtemps compris qu'en restant toi-même, tout roulerait plus facilement qu'en affichant une carapace où personne ne pourrait t'atteindre. C'était bien parce que tu étais atteignable que les autres se sentaient en confiance. Comme tu étais toi-même, en toute circonstance, tes proches -et même des inconnus- pouvaient l'être aussi. Tu n'avais donc pas tant été étonné de te lier à Alma. Si vous étiez différent, elle avait aussi en elle cette capacité à lire les autres, à les comprendre sans encore les connaître. Vous vous étiez connectés par votre passion commune pour votre métier, et aviez noué un lien parce que vous ne saviez pas comment être un autre que vous-même. Et cette relation à base de bienveillance et de taquinerie te faisait du bien. De savoir que tu avais quitté ton second pays, le Japon, après avoir déjà quitté le premier, l'Irlande, et tout de même réussir à nouer des liens forts, te faisait vibrer. Les gens pouvaient t'accepter n'importe où. Tu pouvais être toi-même partout. Quelle pensée rassurante.
Tout était parti du travail, et d'un respect mutuel, avec Alma. Et cela continuait. Il n'y avait pas un instant où l'un ne croyait pas en l'autre. Tu admirais sa façon de rendre les relations humaines et amoureuses si limpides à décrypter, si universelles et spéciales à la fois. Elle savait comprendre les autres et c'était une qualité que tu admirais. Et tu savais qu'en retour, elle suivait ton podcast et pouvait être impressionnée par le travail acharné que tu menais pour le rendre aussi professionnel et utile que possible. "J'ai pu interviewer un ancien prisonnier sur les questions raciales et de discrimination en prison. Et j'ai rendez-vous dans deux semaines avec un sociologue expert sur le sujet." Ce que tu aimais le plus dans ton métier, le principal comme le secondaire, en plus d'apporter du savoir et de l'information, c'était de te lier avec des personnes que tu n'aurais jamais rencontrées. S'il t'était aussi facile de te lier dans ta vie amoureuse, la vie serait plus facile. Mais dans ce domaine là, tu pêchais. Impossible de reconnaître quand une personne était intéressée par toi, tu bafouillais dès que tu essayais de draguer quelqu'un, c'était une catastrophe sans nom. Rares étaient les fois où tout s'était passé avec fluidité, naturel. Verre de vin en main, tu faisais tourner le liquide en essayant d'arrêter de rougir mais Alma ne t'aidait pas pour cela. Bienveillante et envieuse de t'aider dans ce domaine, la conversation te gênait cependant. Toi qui osais et aimais parler de tout, il fallut dire que ta vie amoureuse était l'intrus. Elle visait juste, la belle brune : tu étais très observateur sauf quand tu étais le sujet principal. Là, toutes tes capacités s'envolaient. "Je sais que tu as raison ... sûrement." Pas prêt à totalement l'avouer à haute voix, il ne fallait pas exagérer non plus. Tu reposais le verre, jouant avec tes doigts sous la table. Tu lançais un regard à Alma, captivé par sa capacité à discuter de tout ça aussi facilement. Tu avais presque l'impression d'être l'invité d'une de ses émissions. Mais non, là elle n'était pas payée pour parler de tout ça, elle te disait les choses par amitié. "Et qu'est-ce que tu conseilles que je fasse alors ? Que je l'aborde ? Et pour lui dire quoi, je ne sais pas s'il y aurait un sujet accrocheur, il y en a tellement, et si je ne trouve pas le bon et que je loupe ma chance ?" Tu commences à t'emballer. Dès que tu sens le stress monter, ton débit de paroles augmente. "Et si elle pouvait être intéressée mais que je me débrouille comme un crétin et qu'elle se dit que finalement, non, il a l'air bizarre ce garçon ?" Tu parles d'expérience, c'est déjà arrivé par le passé. Ce n'est pas pour rien que tu es aussi hésitant à aborder une fille ou un garçon, tu ne sais pas comment te mettre en valeur et te retrouve à trop en dire ou ne pas en dire assez. Mais c'est rarement le juste milieu, celui qui peut séduire, intriguer. Tu soufflerais de nerfs si tu ne savais pas te tenir. La suite de la conversation ne manque pas de te gêner encore plus et de ramener avec elles des souvenirs que tu préférais enfuis. "J'ai déjà été dans une relation et la personne avec qui j'étais s'est désintéressée de moi pour voir ailleurs. J'ai été trop blessé pour avoir une discussion mature et savoir où j'avais pu mal faire." Tu hausses les épaules. Tu étais encore jeune, à peine sorti de l'adolescence, et le mal que la tromperie t'avait causé avait remis en cause ta confiance en toi plutôt que de chercher à creuser ce qui n'allait pas dans ton couple. "Et pour Tokyo ..." Tu commences, tapotant tes doigts sur la table. "C'est que je commence à avoir faim avec tout ça." Tu changes de sujet, mais le regard désapprobateur d'Alma te ramène à terminer ta phrase, non sans mal. "Je savais que je n'allais pas rester au Japon et elle n'était pas prête à me suivre ici, ce qui est normal. Et je crois que je n'en avais pas très envie de toute façon. Ca s'est terminé plus amicalement mais ce n'est pas mon pays ici, et je ne suis pas à l'abri d'une envie de voyage ou de retourner chez moi. Est-ce que ça vaut le coup de m'engager et faire perdre mon temps à quelqu'un dans ces conditions ?" Tu finis, simplement. Tu aimais sincèrement Brisbane et tu n'avais pour l'heure aucune envie de partir d'ici, pas alors que tu te construisais une belle vie. Mais est-ce qu'une nouvelle relation n'aurait pas le mauvais réflexe de te faire fuir ?
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âge : âme arrêtée sur les traits d'un visage à la beauté flamboyante et dont le temps et les années semblent sans égal sur l'immortalité offerte et à sa portée trente brises soufflées dépassé et passée sous silence où elle flâne sur le sable de la jeunesse écoulée et envolée face au souvenir du solstice qui se joue sur ses lippes carmin visibles que sur le papier glacé éclairé par l’astre lunaire qui lui rappelle sans cesse le passé loin d’être effacé autant qu'elle le prétendrait bien loin d'accepter la trentaine arrivé devant le chaos d'une vie brisé dont les sourires cristallins et éclatées ne cesse de vibrait sur son visage.
statut civil : éprise de sa liberté qu'elle chantonne mélodieusement devant les corps qui vacillent autour d'elle, l'incantation qui se répète devant ses prunelles insaisissables avec le refus de s'accrocher une nouvelle fois, myocarde bousiller en morceaux, traumatisme d'une fissure faussement effacée par les sourires contre ses lippes. célibataire, qu'elle hurlera avec conviction au refus de sentiments qui se faneront jusqu'à sa perte, le coeur pas totalement réparé avec la peur immense d'une nouvelle fois s'attacher au risque de se re-fracasser et devance cette peur constante à l’idée que cette fois-ci, elle ne pourrait s'en relever.
occupation : diplômée de journaliste, elle a commencé en bat de l’échelle avant de monter les marche et devenir chroniqueuse de sa propre émission intitulé love and other words spécialisés les relations amoureuse et la sexualité domaine dont dont elle excelle lorsqu’il s’agit d’aider les autres autant qu’elle utilise sa notoriété pour vivre de cette passion qu’elle a refusé d’abandonner avec le titre d’influenceuse de voyages, aventurière dans l’âme, les cultures qui l’ont toujours fascinées ou face à son succès et parce qu’elle se refuse de se cantonner à un seul titre, elle est devenu aujourd’hui une véritable femme d’affaires redoutable quand elle a lancé sa propre société nommé xtravagance en compagnie de sa meilleure amie derya, netflix a décidé de collaborer avec les filles pour plusieurs reportages à travers le regard de chacune, pour alma ces voyages qui font un succès planétaire, elle incapable de rester en place, ou aujourd’hui elle vit son rêve et sa passion les yeux grands ouverts.
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Le calme règne quelques instants, Alma sourit simplement observant silencieusement les quelques traits de Kaleb, elle remarque facilement qu’il s’égare dans ses pensées, s’il n’est pas aussi à l’aise que ça, elle remarque qu’il n’est pas offensé sans doute car à force du temps passé ensemble, il finit par la connaitre. Ce n’était pas son genre de fréquenter des personnes du boulot en dehors, elle avait beau apprécié certaine personne, elle gardait une part de son monde à elle loin des autres parce qu’au fond même si on ne le voyait pas, elle aussi pouvait être effrayé qu’on découvre qui elle était réellement. Si elle avait une certaine confiance en elle, Alma aussi avait ses peurs, ses doutes et un passé qui l’avait marqué au point qu’elle se renfermer de peur qu’on ne la blesse et plus encore de voir son cœur se faire arracher une nouvelle sans pouvoir cette fois-ci s’en relever. Avec le temps, les années, elle avait cette facilité à décrypter les gens, leur comportement. Pour sa patronne, elle y voyait cela un don tandis qu’Alma n’y prenait pas forcément attention, c’était sa manière de tenter d’aider les autres, des paroles juste pour les aider à avancer sans rien regretter, elle remarquait chaque regard, chaque gestuelle assez pour en devenir experte du comportement humain et loin de ce que l’on pensait ce n’était pas toujours facile quand très souvent elle se retrouvait incapable de leur tourner le dos à trouver les mots, des conseils qu’elle espérait avisés pour tenter à sa manière de les aider, si certain avait apprécié le geste, elle savait que cela n’était pas toujours le cas. Le doigt glisse sur le verre de vin laissant un certain écho se glisser pour mettre terme à ce silence bien trop intense. Elle remarque les prunelles de Kaleb sur elle, il ne dit rien, mais semble apprécié les quelques compliments qu’elle lui offre sur son émission, elle admirait Kaleb, il avait beau dégager un sentiment de peur face à son propre regard, mais lorsqu’il interviewer ses personnes aux personnalités trop fortes et qui aurait pu mettre mal à l’aise n’importe qui, elle le voyait devenir grand et puissant, quelqu’un dont la confiance aurait pu être inébranlable assez pour rester curieux d’en découvrir davantage sur sa personnalité et cette amitié naissante qu’elle appréciait à son contact. « J'ai pu interviewer un ancien prisonnier sur les questions raciales et de discrimination en prison. Et j'ai rendez-vous dans deux semaines avec un sociologue expert sur le sujet. » Elle le regarde élargissant son sourire à sa réponse. Elle admettait, elle était intéressée à chaque sujet qu’il abordait, la raison pour laquelle son émission en devenait pour elle un moment de plaisir à écouter. Il profitait de cet instant pour mettre en avant des personnes à l’opposé de cette société, celle souvent oublié et rejeté avec le rappel que chaque personne quel qu’il soit avait une histoire à raconter. L’éclat dans ses yeux explosent admirative à l’écouter avec attention gardant une main ferme sur son verre jusqu’à poser son regard sur lui. « C’est vraiment incroyable ce que tu peux apporter, je veux dire tu as fait de cette émission quelque chose de vrai, de sincère et tu peux être fier de toi » elle savait qu’il n’était pas le plus à l’aise avec ce genre de compliment, mais Alma estimait qu’il était important qu’il prenne conscience de son potentiel. « J’ai vraiment hâte d’écouter ton émission, c’est vraiment incroyable ce que tu fais et surtout que tu ne manques pas de prendre des risques » elle se doutait que c’était plus facile de le faire de manière professionnel que lorsque ça touchait le cœur bien trop fragile ou parfois revenir en arrière n’était pas possible, elles nous marquaient à jamais assez pour le voir silencieux et gênait de ces questions. « Je sais que tu as raison ... sûrement. » elle sourit une nouvelle fois où sans aucune hésitation, elle sait parfaitement qu’elle a raison, sa manière de répondre lui prouvait, mais ne dit rien pour lui laisser un temps de répit sans pour autant refuser de la laisser tranquille, elle voulait l’aider parce qu’elle savait qu’il méritait d’être heureux. « Et moi je sais que ce n’est pas facile surtout quand il s’agit de soi-même, mais je ne voudrais pas te voir avoir un tas de regrets dans ta vie, tu as beau dire tu es jeune et la vie devant toi et sans doute c’est vrai, mais si tu ne prends pas de risques comme tu le fais avec ton émission, je me demande si tu ne passeras pas à côté de belle chose » Kaleb pouvait être une énigme se cachant derrière des murs qu’il avait construit autour de lui et de son cœur au point de se demander quelle personne lui avait brisé le cœur. « Et qu'est-ce que tu conseilles que je fasse alors ? Que je l'aborde ? Et pour lui dire quoi, je ne sais pas s'il y aurait un sujet accrocheur, il y en a tellement, et si je ne trouve pas le bon et que je loupe ma chance ? » Alma fonce légèrement son regard, elle voit bien le stress dans sa voix, il parlait trop vite face à la peur, l’expérience d’un vécu ton intense où pendant quelques secondes, elle le laisse reprendre ses esprits. Le voit tapoter ses doigts sur la table lui prouver une légèreté anxiété avant de poser son regard sur lui. « Ce qu’on oublie souvent, c’est qu’il n’y a pas de sujet accrocheur, si tu crois que les hommes qui viennent aborder une femme avec leur soit disant paroles accrocheur attirent les femmes, tu te trompes, on se moque souvent d’eux parce qu’il n’y a rien de plus horrible que d’entendre les phrases bateaux quand ce genre de mecs n’attend qu’une chose s’est juste espéré y voir une fille facile pour passer la nuit avec » elle ne manque pas de franchise, elle en avait eu l’expérience ou parfois par besoin d’un corps sur le moment, elle se laissait aller à leur âneries, c’était souvent elle qui avait le contrôle. « Il n’y a pas de titre ou de sujet accrocheur parfois il suffit simplement de se présenter et faire preuve de sincérité, tu ne t’es jamais dit que ça pouvait faire craquer une fille, j’ai l’impression que tu ne le remarque pas, mais loin de ce que tu crois tu es quelqu’un de séduisant c’est juste que tu n’arrives pas à le voir et pourtant c’est le cas » Elle se doute que ces paroles pourraient le faire rougit, mais peu importe, elle voulait qu’il prenne conscience de cette réalité sans comprendre pourquoi il ne le voyait pas. « Et si tu loupes ta chance ? Et bien tu auras essayé à force de te poser des questions, tu pourrais aussi passé sur une chouette histoire tu ne t’es pas dit ça ? » elle se doute déjà de la réponse, parfois à trop réfléchir on finissait par oublier le plus important. Vivre le moment présent. « Et si elle pouvait être intéressée mais que je me débrouille comme un crétin et qu'elle se dit que finalement, non, il a l'air bizarre ce garçon ? » elle hausse de ses épaules pour replonger son regard dans le sien. Elle sent sa nervosité, il n’était pas difficile de la déceler assez pour poser sa main sur la sienne et tenter de le calmer. « Alors c’est elle qui perd au change pas toi, mais à te poser toute ses questions, c’est toi que tu tortures, tu ne seras jamais si ne te tentes pas. Peut-être que ça fonctionnera, peut-être pas, mais ça ne veut pas dire que quelque chose cloche chez toi surtout qu'elle pourrait aussi se dire que ce garçon a l'air intéressant et sympa tu y penses au moins ? » ce n’était jamais facile de se sentir rejeté et loin de ce qu’il pouvait croire, elle aussi avec ses propres peurs assez pour le comprendre rien n’était simple quand les sentiment se mêlaient, mais elle savait aussi que cela l’avait aidé à se forger et en devenir une force. « Si tu as besoin je suis là, mais te refermer ne t’aidera pas, je n’ai pas envie de te voir finir seul et à regretter même si tu penses que c’est le mieux, crois-moi tu as tort » elle soupire quelque seconde pour retrouver sa main qui tient son verre pour venir le boire d’un trait.
Soirée intense où elle-même se retrouve plongé dans ce passé presque à la troubler. « J'ai déjà été dans une relation et la personne avec qui j'étais s'est désintéressée de moi pour voir ailleurs. J'ai été trop blessé pour avoir une discussion mature et savoir où j'avais pu mal faire. » sa confidence la touche en plein cœur, elle comprenait bien plus qu’il ne pourrait l’imaginer. Elle n’avait aucune pitié pour lui, non elle était sincèrement triste qu’on est pu autant le faire souffrir. « Je suis vraiment désolé Kaleb qu’on t’es autant blessé et brisé le cœur, je sais par expérience que ça demande du temps avant de pouvoir passer à autre chose. Je ne vais pas te dire que ça s’effacera, mais un jour ou l’autre quand tu te sentira prêt tu pourras accepter d’avancer parfois le problème ne vient pas de nous, mais de la personne en question » elle n’avait peut-être pas vécu la même relation que Kaleb, toutefois, la culpabilité l’avait longtemps rongé pour comprendre qu’elle n’était pas responsable. « Et pour Tokyo ... C'est que je commence à avoir faim avec tout ça. » elle sourit simplement, elle ne voulait pas le forcer à en parler si elle ne le souhaitait pas, mais elle lui avait assuré que s’il avait besoin, elle serait là pour le conseiller ou simplement l’écouter. « On pourrait commander à manger, j’avoue que je meurs aussi de faim » elle n’avait presque pas manger de la journée assez pour lever la main en l’air et voir un serveur acquiescer d’un geste de la tête leur apportant le menu ou son regard se perd dessus. « Je savais que je n'allais pas rester au Japon et elle n'était pas prête à me suivre ici, ce qui est normal. Et je crois que je n'en avais pas très envie de toute façon. Ca s'est terminé plus amicalement mais ce n'est pas mon pays ici, et je ne suis pas à l'abri d'une envie de voyage ou de retourner chez moi. Est-ce que ça vaut le coup de m'engager et faire perdre mon temps à quelqu'un dans ces conditions ? » Alma relève le regard vers lui avant de poser le menu sur la table, elle pouvait comprendre, elle-même avait cette tendance à voyager à travers ses reportages, elle était le genre de femme à partir sur un coup de tête et parfois, elle l’admettait tout ça lui manquait. « Comment tu peux savoir ce que désire la personne si tu décides pour lui ou pour elle ? » elle secoue la tête avant de déboucher la nouvelle bouteille de vin posé sur la table. « Tu ne peux pas le savoir si tu n’abordes pas le sujet avec la personne en question qui te dit qu’elle ne prendrait pas le risque, il y a des gens qui acceptent cette condition, car parfois il vaut mieux avoir vivre une relation même de courte durée que pas du tout, mais pour ça il faut que tu laisses la personne décidé et non choisir pour cette personne » elle se doute que tout se mélangeant dans la carcasse de Kaleb assez pour appeler à nouveau le serveur sans doute que la nourriture aiderait à calmer ces doutes. « Pour le moment tu es à Brisbane alors tu devrais songer à vivre le moment présent quant au reste, tu verras bien quand ça arrivera non ? » elle espérait qu’à force il finirait par se rendre compte qu’à trop réfléchir, c’est lui qu’il punissait assez pour sourire avant de se pencher une nouvelle fois sur lui « T’as choisi ce que tu voulais ? » elle tentait d’apaiser ce stress qu’elle peut très bien lire dans ses opales et tenter malgré tout de passer une soirée agréable quand elle aussi avait besoin d’effacer ses pensées qui torturait trop souvent son esprit.
Kaleb Fujii
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 675
rps : 36
pseudo : valkyries (éléonore)
id card : conan gray (moonaetics, vocivus, doom days)
occupation : fils de deux universitaires, tu as poursuivi des études en sociologie. grâce à un ami de ton père, t'as réussi à trouver un travail comme assistant producteur d'un journaliste à la abc brisbane. tu déniches des sujets, des contacts à interviewer, écris des rapports journalistiques. à côté, tu as lancé une émission de podcast "child of" qui parle de race, d'immigration et de témoignages personnels.
adresse : 87 south bank & west end w/ livia
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : racisme
infos rp : réponses courtes, autour de 500 mots. / dialogues en français. / écriture à la 2ème personne du singulier. / code dialogue : cc3333. / présente en fin de journée et le week-end.
Tu ne pensais pas que la conversation pourrait dériver comme cela, aussi vite, aussi intensément. Tu n'étais pas du genre à te confier. Premièrement, car il y avait trop de choses qui se passait dans ta tête au même moment, et que devoir verbaliser tout cela demandait souvent beaucoup d'effort pour un résultat peu satisfaisant. Deuxièmement, car tu avais du mal à être le centre de l'attention, de la discussion. Si tu pouvais parler d'un peu près tous les sujets du monde, même ceux que tu ne maîtrisais pas car la curiosité était toujours assez vivace pour poursuivre une conversation, être le sujet, c'était autre chose. Troisièmement, car, de tout ce qu'il pouvait se passer dans ta vie, tes relations amoureuses étaient ce qu'il y avait de moins intéressant. Tu n'avais jamais mis l'amour sur un piédestal, car le savoir était ce qui te faisait vivre. Jamais tu n'aurais jugé quelqu'un qui mettait l'amour au centre de tout, mais ce n'était simplement pas ça qui te faisait vibrer. Enfin si, aussi, mais pas autant qu'autre chose. Pas autant car rares étaient les personnes qui te faisaient vibrer. Dieu sait que beaucoup de personnes t'intéressaient pourtant, mais les connexions plus intimes, plus profondes, plus réelles, plus spéciales, étaient plus rares pour toi. La plupart du temps, cela te convenait bien comme cela. Des fois, quand le monde bouillonnant de l'extérieur se calmait un peu, tu ressentais cette pointe de solitude, d'envie de partager ce que tu vivais avec quelqu'un. Tu avais eu pour exemple tes parents. Deux personnes passionnées et passionnantes qui avaient tout donné l'une pour l'autre. Changement de pays, de vie, de culture. Pas de regret. La magie de trouver le bonheur auprès de quelqu'un et de pouvoir le trouver partout ailleurs. Couple idyllique qui te mettait peut-être un peu de pression : comment arriver à ce stade à ton tour ?
C'est vrai que tu manquais rarement de prendre des risques. Quitter l'Irlande pour étudier au Japon. Quitter le Japon pour t'installer en Australie. Te lancer dans une nouvelle vie sans aucun repère. Créer un podcast en plus d'un travail déjà complet et prenant. Ne pas avoir peur d'aller démarcher des experts et personnes concernées pour tes émissions. Sous tes airs timides et rêveurs, il y avait une vraie force de la nature. Une étincelle qui savait briller au bon moment. Tu étais fier qu'Alma puisse le voir, le reconnaître. Tu hochais la tête à ses compliments. Être soutenu comme cela était déjà très plaisant, mais être vu, vraiment vu, donnait plus de courage encore. Il suffisait que ce courage puisse aller du côté relationnel hors professionnel. Alma le savait. Tu le savais. Tu ne savais juste pas comment. "Je n'ai pas envie de passer à côté de belles choses, non." Tu avouas, sincèrement. Tu donnais ton maximum pour éviter cela d'ailleurs. Vivre, apprendre, découvrir, à fond pour ne rien regretter. Encore jeune, tu voyais cependant les années passer rapidement et cela n'irait pas en s'arrangeant. Alors que la conversation se poursuivait, tu commençais à balbutier, à te perdre dans des paroles et des gestes. Tu agissais comme cela quand tu étais stressé. Tu ne savais pas si c'était toute la conversation avec alma qui te mettait dans cet état ou l'idée d'aller draguer quelqu'un. Cela te sortait tellement de ta zone de confort que rien d'y penser était tendu. "Je comprends ce que tu dis Alma. Je crois que j'ai besoin d'être un peu poussé comme tu le fais pour oser me lancer. Peut-être pas ce soir, mais je le ferai." Tu ne sais pas encore si tu étais prêt à te lancer ce soir. Pas en présence de ton amie, c'était certain. L'idée d'être jugé t'effrayait, que ce soir par elle ou par la jolie serveuse. C'était encore une fois ton esprit qui travaillait trop. "Faisons un pacte." Tu lançais, attendant d'avoir capté l'attention d'Alma, ce qui fut chose faite rapidement. "La prochaine fois qu'on verra, hors lieu professionnel sinon c'est trop facile, j'aurais une anecdote de date à te donner. Soit un vrai date, soit une tentative de moi draguant quelqu'un." Ce qui pouvait te parler, c'est le challenge. Alma ne connaissait peut-être pas encore cette partie de toi. C'était l'occasion. "Et si je faillis à cette parole ... et bien je te laisse trouver quelque chose !" Joueur, tu l'emmenais jouer avec toi. Que cette conversation puisse t'aider, que ses efforts ne soient pas vains. Qu'au lieu d'un peu de pitié ou de forcing, elle y trouve son compte, elle s'amuse avec toi de cette situation.
Un serveur passa déposer des menus. Tu le scindais, écoutant attentivement la jeune femme. Elle avait raison sur beaucoup de points. L'humain, elle connaissait mieux que toi. "Mmmh donc ce que tu dis c'est de faire confiance à l'autre." Ta capacité à réfléchir en non-stop créait malheureusement une envie de tout contrôler autour de toi. Réfléchissant à toutes les issues, toutes les possibilités, il est vrai que tu laissais assez peu de place au hasard, ou simplement, à l'autre. Tu ne le faisais pas de façon étouffante, mais en manquant de confiance en toi, tu manquais peut-être et surtout de confiance en les autres. "C'est vrai que c'est un peu fort de ma part de penser savoir comment les autres réagiraient. Je me projette peut-être un peu trop avec ma propre perception, ou mes mauvaises expériences." Tu souris, enfin un peu, alors que le serveur revenait prendre vos choix. "Je vais prendre un burger traditionnel, avec une salade. Merci." Laissant Alma commander à son tour et le serveur repartir avec vos commandes et les menus, tu te laissais aller à t'adosser un peu plus, presque relaxé. La jeune femme ouvrit une nouvelle bouteille. "Je vais pas trop abuser, un dernier. J'ai déjà raconté trop de choses ce soir." Tu ne tenais pas forcément bien l'alcool, d'ailleurs. Mais tu sentais déjà que cela t'aidait à te relaxer un petit peu. Tu t'étais confié et Alma n'était pas partie en courant. Malgré le fait que tu étais pour le moment le centre de l'attention, la soirée n'était pas si terrible.