Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
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· Sam 17 Fév - 20:22
leo & harlan River City Cruises
A l'occasion de cette Saint Valentin, vous vous êtes inscrit·es à cet événement organisé en ville avec votre moitié. On vous a concocté un moment inoubliable dans un lieu bien particulier, à l'aide du fameux love test auquel vous avez répondu. Maintenant, il ne vous reste plus qu'à rejoindre votre partenaire pour un date un peu particulier.
Pour cela, rendez-vous au terminal River City Cruises, où a lieu votre rendez-vous. Du moins, pour cela, vous devrez monter à bord d'un bateau pour un dîner sur la Brisbane river, face au soleil couchant.
○ Afin de favoriser l'avancement du sujet, l'intrigue étant éphémère, nous vous conseillons des réponses courtes. ○ Il n'y a aucun ordre de passage prédéfini, commence qui veut.
_________________ COMPTE PNJ - NE PAS MP SAUF MENTION CONTRAIRE. (ne pas répondre au mp de membre en danger pour une demande de délai au risque que ce ne soit pas vu, contacter un compte admin, merci)
Leo O'Toole
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
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pronom irl : she.
multicomptes : sam (gillepsie), stevie (mitchell), dexter (barnes), hunter (butler), noe (guerrero), zeke (allan white), renfield (poulter), bart (tømmeraas) & fred (claflin).
à contacter : tout dépend de la demande, un peu tous.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
âge : princesse qui a entamé son quart de siècle sans aucun soucis, philosophie, hakuna matata
statut civil : elle tente de tourner la page, actuellement en couple avec un homme qui n'est pas lui.
occupation : elle vit de sa passion, la musique rythme sa vie depuis un moment. ingénieuse son au brisbane powerhouse.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
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infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #ff6633.
I know it's ugly turning on the news. There's people fighting over point of view. Sometimes it's like there's nothing left to lose. And I don't know what to do. But I know it's better with you
« Love boat. Love, exciting and new. » tes lèvres s’étirent en voyant le bateau. Aujourd’hui, tu te sens chanceuse. Chanceuse parce que tu vas passer une super soirée. Chanceuse parce que tu es à ses côtés. Chanceuse parce que pour une fois, c’est toi qu’on a choisi. Tu as décidé de voir le bon côté des choses, laissant les aléas de côté. Tu as envie de croquer la vie à pleines dents, d’en profiter au maximum. On ne sait pas quand tout cela pourra se produire à nouveau. Tel Agnès dans moi moche et méchant, tu attrapes le bras d’Harlan et trépigne sur place. Il pourrait prendre peur, mais ce n’est pas la première fois que tu as un excès comme celui-ci. « Come aboard. we're expecting you. » que tu continues à lui dire. Ton sourire qui ne s’efface pas. Il pourrait te prendre pour une folle, mais soyons réalistes : c’est déjà fait. Il aurait pu partir depuis bien longtemps, mais il est toujours là. À croire que tu lui plais tel que tu es. Tu ne t’attendais pas à un dîner sur un bateau en vous inscrivant à cet événement. Autant en profiter. « ça va être trop bien, t’as pas le mal de mer j’espère ? » ta main qui se glisse dans la sienne. Tu te sens bien. Tu te sens pas honteuse ou encore moins ‘pas à ta place’. Tu as une jolie robe, parce que ça t’arrive d’être apprêtée de temps à autre. Le générique de cette série toujours en tête, tu avances vers ce merveilleux bateau. Ton estomac qui salive d’avance des mets que vous allez dévorer. Oui, dévorer, tu n’en restes pas moi toi, pas de chichi. « J’espère avoir une ambiance digne de la série ! » et c’est à ce moment que tu te dis, qu’il n’a peut-être pas la référence. Tu pourras toujours lui montrer, qui ne connaît pas la croisière s’amuse ? Peut-être lui. Ta mère adorait en tout cas et ça te plaisait de regarder avec elle, même si ce n’est pas tout jeune.
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(All I know it's simple ain't it? Everything has changed) And all I feel in my stomach is butterflies. The beautiful kind, making up the lost time, Taking flight, making me feel right (...) And your eyes look like coming home.
Harlan Myers
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ADMIN ☆ midnight love i'm not your consolation prize
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pronom irl : elle.
multicomptes : maverick, moisés johann, senàn, arshan, hasan et joel.
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : trente-et-un ans, maintenant, il commence à faire attention à son âge, la nouvelle dizaine, elle fait mal.
statut civil : en couple avec leo, en bonne passe pour oublier dora et les blessures causés par l'échec.
occupation : reporter de guerre, carrière dont il est fier et qu'il compte bien mener loin.
La saint valentin, ce n’était clairement pas son truc à Harlan. Il était le premier à dire que c’était juste un truc commercial, le moment de l’année où les chocolats devenaient hors de prix, simplement parce qu’ils étaient mis dans une boîte en forme de cœur. Une invention qui n’était bonne qu’à faire dépenser plus d’argent. Lui, il prenait les chocolats à n’importe quel moment de l’année et peu importait la forme de la boite. Mais cette année c’était un peu particulier. Cette année, il n’était pas seul, alors il s’était dit pourquoi pas ? Ils en avaient parlé avec Leo et ils avaient décidé de s’inscrire à ce truc de date. Ça leur permettrait d’avoir une surprise et de n’avoir rien à organiser, en prime. C’était parfait du coup. Arthur était chez Noe, alors ça lui faisait ça de moins à gérer. Il n’avait donc qu’à profiter de cette soirée avec Leo et peut-être même qu’il parviendrait à se réconcilier avec la saint valentin. En tout cas, il était ravi de retrouver Leo et de se lancer dans cette expérience. Un dîner à bord d’un bateau, pas le truc auquel il aurait pensé, le brun et pourtant, l’idée était plutôt sympa. Leo avait l’air très enthousiaste, chantonnant une chanson qui d’après lui remontait à trop loin pour qu’il connaisse vraiment. « Non, pas le mal de mer et toi ? » Il demanda, même s’il se doutait bien qu’elle serait bien moins motivée si elle avait le mal de mer. « Imagine, on recrache par-dessus bord tout le repas, vive le gachi. » Il ajouta dans un léger ricanement. Non, lui il avait l’intention de bien profiter du repas et de le conserver dans son estomac. Dommage pour ceux qui avaient, en effet, le mal de mer et qui venaient quand même tenter leur chance ici. Ils avaient fini par s’installer à la table désignée. « Je vais peut-être te décevoir, mais je m’estime bien trop jeune pour cette série. » Il répondit, sourire amusé sur les lèvres. Pourtant, il était plus vieux qu’elle, mais non, cette série, vraiment pas son truc. « Alors, t’as fait quoi de beau aujourd’hui ? » Il demanda en ouvrant la carte qu’on venait de leur apporter, toujours passionné par ce qu’elle avait à raconter.
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Leo O'Toole
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Un dîner à bord d’un bateau, ce n’est pas commun et surtout ce n’est pas une idée que tu aurais eue. Tu n’es pas romantique pour un sous, ça t’arrive de fantasmer sur certaines scènes de film culte. Est-ce que les-dites scènes se sont réalisées ? Négatif. Tu attends toujours qu’on vienne avec une vieille radio sous ta fenêtre. Toujours est-il que pour l’heure tu es à bord d’un bateau avec un garçon charmant et tu comptes bien en profiter. « Je ne pense pas, on allait souvent en mer avec mes parents. Pas pour ce genre d’événements, mais pour les besoins professionnels de mon père. Et puis j’adore l’eau, pas autant que mon frère. » Damian, le poisson de la famille, il te manque cruellement en ce moment, mais tu as compris son besoin d’évasion. Tu chasses cette pensée dite mélancolique de ton esprit pour te focus sur cette soirée. Grimace qui apparaît sur ton visage en écoutant les mots d’Harlan. « ça serait catastrophique et je dirais même plus absolument pas romantique. Quoique j’aie entendu un couple se créer suite à une cuite. Il lui tenait les cheveux, puis ils ont passé la soirée à discuter. Tout est possible de nos jours, » dis-tu en haussant les épaules, même si tu trouves la scène marrante. Main sur le cœur. « je suis choquée, moi qui pensais que tu avais vu plus de chose ou alors c’est moi qui te mens depuis le début sur mon âge. Après tout j’suis peut-être plus vieille. » sourire mutin qui apparaît sur ton visage, tu adores ce genre d’échange avec lui. Harlan, il t’amuse et ça depuis le début, ce qui est bien avec lui c’est que tu peux parler de tout et de rien. Pas de tabous ou presque. « Rien d’extraordinaire, même s’il se peut que je suis en liste pour le prochain projet de la boîte. Je croise les doigts, c’est une comédie musicale. Et toi ? » du gros boulot, mais ça ne t’effraie pas, tu as su faire tes preuves. Tes collègues connaissent ton boulot et tu sais que tu es douée comme ingénieuse son. Tu sais que tu peux le faire. « Imagine on finit comme Titanic ! J’te préviens tout d’suite, y a d’la place pour 3 minimum sur ce bout de planche ! » ton regard qui se pose sur le menu de ce soir, tout ça a l’air fortement appétissant ! Le serveur revient vers vous pour prendre la commande de vos boissons et t’en profite pour prendre un léger cocktail… sans alcool. Ce soir, t’as pas envie de boire, y a des jours avec et sans.
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Harlan Myers
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C’était sympa ce petit rencard sur un bateau. Ça changeait, il trouvait ça original Harlan et ça lui convenait bien. En principe il n’était pas du genre à rentrer dans les clous, n’aimait pas spécialement faire comme tout le monde. Déjà, participer à la saint valentin, c’était pas mal pour lui, alors autant faire ça de façon un peu moins classique que ce qu’on avait l’habitude de voir. « Parfait du coup. » Il répliqua à l’adresse de Leo. Si ni lui, ni elle n’avait le mal de mer, c’était encourageant. Ils allaient pouvoir passer un bon moment, sans craindre d’avoir du mal à garder le repas dans leur estomac. « J’imagine qu’il y a des couples qui se créent pour tout et n’importe quoi. Mais ouais clairement, c’est pas hyper romantique. » Ni même glamour d’ailleurs. Tenir les cheveux de l’autre pendant qu’iel vomissait ses tripes, ça ferait presque partie de ses tue-l’amour à lui. Il pourrait bien se retrouver à gerber aussi, alors vive la soirée d’enfer. « Tout ce que tu m’as dit depuis le début ne serait donc qu’un mensonge ? Tu vas m’annoncer qu’en vrai, t’as soixante-dix ans, mais que tu as trouvé le secret de la fontaine de jouvence, c’est ça ? » Il répondit dans un léger rire. Il se doutait bien que Leo n’avait clairement pas soixante-dix ans et qu’elle ne lui avait pas menti sur son âge, mais partir dans ce genre de délire était beaucoup trop tentant. « C’est sympa ça, je croise les doigts pour toi également. » Pas forcément un grand fan de comédie musicale, mais clairement d’un point de vue professionnel, c’était une aubaine pour Leo. « Moi, je travaille sur quelques docs en ce moment, mais rien de très fou. » Il haussa les épaules. Le terrain lui manquait vraiment. Pas simplement traîner dans les rues de Brisbane et aux alentours, non, il avait envie de retourner dans des zones où il aurait vraiment l’impression que ses reportages servent à quelque chose. « L’eau est moins froide ici, c’est déjà ça. Mais on est d’accord, elle aurait pu lui laisser de la place sur cette planche. » Il répondit dans un soupir, comme exaspéré par Rose. Puis il commanda un cocktail pour suivre Leo et commencer à apprécier cette carte qui donnait l’eau à la bouche.
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Tout ceci, c’était une première pour toi. Et pour une fois, t’avais envie de jouer le jeu, peut-être pas à fond, parce que tu restes fidèle à toi-même, mais un peu. T’es contente qu’il ait accepté de participer à cet St valentin avec toi. Tout est si simple avec Harlan, que parfois ça te fait peur. C’est ça être dans une relation saine ? Apparemment. Tu essaies de ne pas trop te poser de question, de profiter de l’instant, même si la crainte reste dans un coin de ta tête. Peur qu’il se rende compte que tu n’es pas assez bien pour lui. Ça fait mal d’y songer, mais pour l’instant tu préfères savourer chaque moment. « On est d’accord, après ils ont une histoire à sortir, ça doit bien les faire rire, mais la romantique que je suis… trouve qu’il y a mieux. » Et oui, tu viens de lui avouer que tu avais une âme de romantique. Tu baisses un peu le regard, honteuse de ce mot. Ce n’est rien, mais c’est une partie de toi, que tu caches un peu. Tu as des scènes plein la tête, surtout à cause des films des années 90. Tu aimerais un jour vivre la même chose, mais tu vas te contenter de ce dîner sur un magnifique bateau. « Exactement ! Par contre une fois que je t’aurais tout avoué.. eh bien tes jours seront comptés, j’pense que tu peux comprendre. » dis-tu en souriant. Simple. Tellement simple que ça en est effrayant, mais tu ne veux pas y songer. Pas maintenant. C’est juste que tu n’as pas l’habitude. T’as pas l’habitude de tout ça, de l’attention qu’il te porte, du regard qu’il pose sur toi. Ou juste d’être heureuse en couple. C’est tout nouveau et ça en est effrayant par moment. « C’est gentil, j’avoue que je me donne à fond. T’as pas envie de retourner sur le terrain ? » que tu lances machinalement. Tu sais qu’il en a parlé, tu sais qu’il en meurt d’envie, mais qu’il y a Arthur. Un petit frein dans son évolution, mais tu aimes le voir parler de son fils. Et tu comprends ses craintes, vivre sans père, tu ne le souhaites à personne. « tu n’es pas obligé de partir en zone hostile ça peut être des docus plus simples au début. » continuant sur ta lancée. Tu ne souhaites pas qu’il se braque, mais au contraire tu lui montres que tu le soutiens. Que tu l’écoutes. Que tu souhaites son bonheur. Vos cocktails finissent par arriver. Un petit merci, et tu te lèves ton verre dans sa direction. « A notre soirée et surtout au fait qu’elle abuse sur sa planche ! » grand sourire. Tu aimes ce genre de moment à ses côtés. Il comprend tes références et ça te plaît. « Je peux te confier un secret ? Mais tu promets de pas te moquer. » tu bois une gorgée, plantant ton regard dans le sien. Attendant le signe pour que tu avoues ce qui te pèse. « C’est ma première saint valentin accompagné… j’dois te paraître ringarde, » ton regard qui se baisse. Tu te sens stupide et jeune. C’est bien la première fois que tu ressens ça, mais tu avais envie qu’il sache que ça te plaît tout ça. Ce moment, ce lieu, lui.
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Il n’était pas un grand romantique, Harlan. Au contraire, en principe, l’amour, ça avait tendance à le dépasser un peu. L’amour, il l’avait même fuit pendant la plus grande partie de sa vie, alors il devait bien admettre qu’il n’y connaissait pas grand-chose. Il se disait qu’il ne devait sans doute pas être un type particulièrement romantique, mais il fallait croire que Leo savait s’en contenter. Tant mieux pour lui, ça lui évitait de partir avec des points de retard. Pourtant, Leo se définissait, apparemment, comme étant romantique. Il lâcha un léger rire, suite à la remarque de la rousse. « Je sais pas si je suis très romantique moi, mais je trouve aussi qu’il y a mieux. » Probablement pas besoin d’aimer le romantisme pour être capable d'admettre qu’on pouvait faire mieux qu’une soirée vomi, à tenir les cheveux de l’autre. Quitte à créer des souvenirs en compagnie de Leo, il espérait bien que ça allait tourner autour d’autre chose que de ça. A première vue, c’était bien parti, parce que ni lui ni elle, ne semblait avoir le mal de mer. Heureusement, ça leur permettra de mieux profiter de cette soirée, organisée sur un bateau. « Zut, je suis pas certain de vouloir savoir du coup. » Il répliqua, dans un nouveau rire. Le secret de la jeunesse éternelle pourtant, si ça avait été un vrai truc, ça aurait pu l’intéresser. Même si globalement, il avait l’impression d’avoir fait la paix avec ses trente ans. « C’est plus facile quand on est passionné. » Se donner à fond dans un domaine qui nous passionnait, c’était toujours plus facile, en effet. Il trouvait ça vraiment chouette pour Leo qu’elle ait trouvé cette voie, dans laquelle elle semblait si épanouie. « Si, je commence sérieusement à y songer. J’aime ce que je fais, même en restant à Brisbane, mais j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose. » Il se sentait moins vibrer dans les petits reportages locaux qu’il faisait, que lorsqu’il était sur le terrain. Il savait que c’était plus dangereux et pour cause, il s’était déjà pris une balle en faisant son travail. Mais malgré ça, il savait que c’était le reportage de guerre qui le faisait vibrer. Alors forcément, il avait envie de s’y remettre. « Ouais, de toute façon, faut reprendre petit à petit. » Il répondit, en haussant les épaules. Conscient qu’il ne pouvait pas juste retourner en zone hostile, alors qu’il n’avait rien fait de tel depuis un moment et qu’il y avait quand même le traumatisme de la balle qui restait ancré en lui. Il fallait qu’il y retourne à son rythme, mais il fallait qu’il y retourne, c’était important pour lui. Il leva son verre vers la rousse, trinquant avec elle, avant de rire suite à son toast. « Surtout à cette planche, ouais. » Au moins, ils avaient des références communes et s’amusaient des mêmes choses, tous les deux, c'était plutôt bon signe. « Évidemment que je ne me moquerai pas. » Ce n’était pas son genre, après tout et puis, vu le secret qu’elle avait à lui avouer, il était bien mal placé pour se moquer, de toute façon. « Et ben écoute, si c’est un truc de ringards, on est deux dans le même bateau. Littéralement. » Il répliqua, sourire aux lèvres. C’était bien la première fois de sa vie qu’il célébrait la saint valentin, Harlan. « C’est pas vraiment mon truc d’habitude, la saint valentin. Mais en bonne compagnie, c’est sympa. » Il conclut, le sourire encore accroché aux lèvres. Ouais, avec Leo, c’était sympa, si bien qu’il l’appréciait, cette saint valentin.
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Sourire qui ne s’estompe pas. Tu n’as pas besoin de le chercher, il est là. C’est naturel et simple. Deux mots que tu emploies pour définir ta relation avec Harlan. Oui, c’est simple, tu n’as pas besoin d’en faire des tonnes. Il t’accepte comme tu es et ça te fait du bien. Une relation saine, sans problème, ça te surprend par moment, mais c’est juste que tu n’as pas l’habitude. Lui révélant au passage ton âme de romantique. Il n’a pas l’air de vouloir partir en courant, bon signe. Tu n’es pas une romantique à souhait, quoique ? Tu as juste une passion pour les vieux films qui abordent ce sujet. Est-ce que tu rêves secrètement qu’on te fasse la même chose : affirmatif. Sauf qu’avec Harlan, tu sais que c’est différent et ça te va. Tu cherches pas le changer ou le forcer à te faire ce genre de geste. « écoute pour l’instant tu t’en sors pas trop mal. » dis-tu en souriant, ta main que tu viens déposer sur la sienne. Lui faisant passer un message, ça te va, tout te va en sa compagnie. C’est fluide, pas de gêne, tu peux le taquiner sans problème. Ça ne semble pas le déranger. « T’as bien raison, le rouge sang ne me va pas au teint, » dis-tu en plaisantant. Pas que tu es déjà essayé, mais le rouge pour une rousse, ça fait un peu cliché tu trouves. Tout comme le orange, mais là n’est pas la question. Tu bois une gorgée tout en écoutant ses mots, la passion. C’est quelque chose que vous avez en commun, chacun pour son métier. Toi tu adores le tien, tu comptes continuer là-dedans, tu sais que tu y as ta place et surtout que tu es doué. Tu adores ton job, parler de musique, voir des spectacles. Tout ça t’anime, tout comme lui avec le journalisme. « Tu sais je pense que ton bonhomme a envie de te voir épanouie plutôt que triste dans ton coin. Je ne dis pas que tu es triste, mais je pense qu’à un moment tu te lasseras, » tu n’es pas psychologue, mais tu as appris qu’il fallait aimer ce qu’on fait. Tu sais qu’il aime son métier, mais il lui manque un truc. Après tout, il vient de te l’avouer et pour faire un métier qui te passionne, tu comprends. « mais je pense que tu sais ce qui est mieux pour toi » tu ne veux pas jouer à la copine trop pressante ou qui l’oppresse. Ça reste sa décision, tu veux juste l’encourager, le soutenir à ta façon. Tu sens que la soirée va bien se passer, un beau souvenir en perspective. Tu continues de sourire, de profiter de l’instant. Pas de mal de mer en vue et cette fois il a capté ta référence. Une chance, tu commençais à douter de son âge ou du tien. Allez savoir. C’est aussi l’heure aux confidences, tu te sens un peu gêné de lui avouer ceci, pourquoi ? Bonne question. « C’est vrai ?! » lâches-tu surprise par ses propos ? Oui, tu es surprise, tu pensais qu’il l’avait déjà célébré. « Je ressens la même chose, jusqu’à maintenant, c’était.. compliqué dirons-nous, mais je suis surprise qu’on soit dans le même bateau. » tu pensais et tu t’es trompé, enfin tu ne parles pas de ce bateau, mais tu sais qu’il a compris. « est-ce que ça fait de nous des bras cassés ? » demandes-tu en rigolant. Ou juste des gens qui n’ont pas de chance ou qui n’aiment pas cette fête. Un peu des deux.
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Contre toute attente, il était plutôt content de la fêter, cette saint valentin. Il n’avait pas l’habitude, bien au contraire, plutôt du genre à ignorer ce genre d’événement, parce que ça ne l’intéressait pas. Mais c’était différent avec Leo, parce qu’il s’était attaché à elle, alors, ça avait du sens de passer la soirée avec elle, ce soir. Il n’était pas habitué à tout ça, ne se sentait même pas l’âme d’un romantique, le brun. « Ouf, je suis rassuré. » Au moins, Leo trouvait qu’il ne s’en sortait pas trop mal, c’était une bonne nouvelle. En même temps, être romantique, c’était sans doute bien, mais mieux valait éviter d’en faire des caisses, non ? Lui, il avait tendance à penser que les grands élans romantiques étaient souvent mielleux et niais et ce n’était pas ce qu’il avait envie d’être, Harlan. « Très bonne raison d’éviter d’aller plus loin là-dedans, alors. » Il répondit, dans un léger rire. Ce n’était pas vraiment le teint de la rousse qui était le problème pourtant. De toute façon, ce n’était que des plaisanteries. Ils avaient ramené un peu de sérieux dans la conversation, en évoquant leur travail. Elle avait des projets intéressants, Leo et il en était ravi pour elle. Lui, de son côté, c’était encore un peu flou. Il avait des envies, mais pas encore de projets concrets. Mais il allait falloir qu’il se décide, parce qu’il ne pouvait pas rester dans cette posture éternellement, il avait besoin de bouger, Harlan. « Je suis d’accord, je pense que si je reste trop longtemps sur place, je vais finir par devenir fou. » Il avait besoin de bouger Harlan, c’était comme ça. Rester au même endroit trop longtemps, c’était compliqué. Il le faisait pour Arthur, mais il savait qu’il n’allait pas tenir. Il fallait qu’il reparte. Peut-être pas à l’autre bout du monde pour commencer, mais y avait moyen de trouver des sujets intéressants, même en Australie et sans forcément retourner tout de suite dans des zones à risque. « J’espère. » Il haussa les épaules. Il avait l’impression de bien se connaître et de savoir ce qui était bon pour lui. Et clairement bouger, faisait partie des choses dont il ne pouvait pas se passer. Leo et lui avaient fini par se trouver un autre point commun : c’était la première fois qu’ils fêtaient la saint valentin. Au moins, ça lui donnait l’impression d’être un peu moins paumé. « J’ai pas eu beaucoup de vraies histoires, je me suis beaucoup concentré sur le boulot et à force de bouger, j’ai fini par me dire que c’était pas fait pour moi. » Il haussa les épaules, autant être honnête. Avec son boulot, il n’avait pas été intéressé par les histoires qui durent. Alors la saint valentin, jusqu’à présent, c’était le cadet de ses soucis. « Non, ça va, c’est que la saint valentin, je pense pas que ce soit nécessaire de se sentir nul pour ça. » Il répliqua, sourire aux lèvres. Y avait assez de raison de culpabiliser et de se sentir nul dans la vie, pour ne pas en ajouter une de plus juste pour la saint valentin.
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Trying so hard to get over you
Wanna go back to the place where we started At the party, I see you, but you keep your guard up. We could be something special if you wanted I'm afraid that if we try to You would just give up.
Leo O'Toole
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
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messages : 199
rps : 38
pseudo : same.
id card : cowen.(endlesslove)
pronom irl : she.
multicomptes : sam (gillepsie), stevie (mitchell), dexter (barnes), hunter (butler), noe (guerrero), zeke (allan white), renfield (poulter), bart (tømmeraas) & fred (claflin).
à contacter : tout dépend de la demande, un peu tous.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
âge : princesse qui a entamé son quart de siècle sans aucun soucis, philosophie, hakuna matata
statut civil : elle tente de tourner la page, actuellement en couple avec un homme qui n'est pas lui.
occupation : elle vit de sa passion, la musique rythme sa vie depuis un moment. ingénieuse son au brisbane powerhouse.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : she.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #ff6633.
I know it's ugly turning on the news. There's people fighting over point of view. Sometimes it's like there's nothing left to lose. And I don't know what to do. But I know it's better with you
Tout se passait bien, très bien même pour deux novices de la Saint-valentin. Tu te sens bien à ses côtés, tu peux lui balancer des blagues et parler sérieusement l’instant d’après. C’est simple, peut-être pour certain ? Mais tu n’as pas envie de te poser de questions, pas ce soir. Non, ce soir tu savoures cet instant, ta première Saint-Valentin. Cette relation te pousse vers le haut et tu le ressens, Harlan il t’encourage dans tes projets. Et t’as envie de plus. Ce qui est bien. T’es aussi à un carrefour, tu sais que si tu montres pas tes capacités, le poste te passera sous le nez. Maintenant ou jamais ? C’est un peu ça. « C’est ce que je me suis dit en début d’année, ça et le fait que j’ai pas envie que ce poste me passe sous le nez. Je te dis pas de quitter ton boulot, t’as des responsabilités, mais de ce que j’ai compris la mère d’Arthur t’encourage et t’aide. Si tu as envie d’un truc, fonce, il est encore jeune, c’est le moment. » tu comprends qu’il ait aussi peur, y a de quoi, sauf que tu as décidé de rester positive. Est-ce bien ? Tu ne sais pas trop, tu as pour habitude de rejeter le négatif, de foncer droit vers le positif. Et puis tu as surtout envie de l’encourager. Vous êtes qu’au début de votre relation, tu pourrais lui dire ‘pars-pas', mais non. Tu veux le meilleur pour lui et s’il veut faire des reportages, qu’il fonce et puis ça ne veut pas forcément dire que votre relation sera finie. T’en sais rien. Juste qu’il faut qu’il soit bien dans tes baskets, c’est le plus important. « puis t’es pas obligé de retourner sur des terrains hostiles, y a d’autres sujets intéressants à couvrir, tiens par exemple les touristes qui abîment les côtes ou bien la migration des oiseaux. » dis-tu en rigolant. Tu doutes que ces sujets l’intéressent réellement, mais bon ça reste du journalisme de fond. Savourant ce plat, ainsi que l’instant, les sujets avancent. Tu lui confies tes insécurités sur ton passé et il te rassure. Bon sang, c’est ça d’être dans une relation saine ? Que tu te surprends à penser. Ça fait du bien. « On est vraiment dans le même bateau, à nous. » que tu dis en trinquant, parce que tu n’as jamais vécu de vraie relation non plus. La raison? Ils n’étaient pas lui. Et voilà qu’il s’immisce dans ton rendez-vous. D’un sens, tu le voulais bien, tu as tout fait pour les comparer à Cole, sauf Harlan. Parce qu’il serait temps que tu tournes la page. Que tu avances. « hum.. ça te dit un petit jeu ? » petit regard mystérieux. Tu tentes de te la jouer intrigante. « petit, tu t’imaginais comment ton avenir ? Et maintenant tu l’imagines comment. » deux questions en une. Ton sourire qui s’élargit, t’aimes bien ce genre de question. Savoir, imaginer. Voir les différences entre les rêves de gosses et ceux d’adultes. « Ou on peut aussi tenter de voir qui envoie son morceau de pain le plus loin. » dis-tu en haussant les épaules. Lui qui choisis.
Spoiler:
pardon pour l'attente
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(All I know it's simple ain't it? Everything has changed) And all I feel in my stomach is butterflies. The beautiful kind, making up the lost time, Taking flight, making me feel right (...) And your eyes look like coming home.
Harlan Myers
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pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : joe keery (monocle@av ; sweetpoison@sign, ; stefansalvatored@gif))
pronom irl : elle.
multicomptes : maverick, moisés johann, senàn, arshan, hasan et joel.
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : trente-et-un ans, maintenant, il commence à faire attention à son âge, la nouvelle dizaine, elle fait mal.
statut civil : en couple avec leo, en bonne passe pour oublier dora et les blessures causés par l'échec.
occupation : reporter de guerre, carrière dont il est fier et qu'il compte bien mener loin.
Il était content d’être là ce soir, Harlan. Passer du temps avec Leo, c’était agréable. Quand il était avec elle, il se sentait apaisé. Loin des problèmes du quotidien. Loin de tout ce qu’il avait pu vivre avec Dora et qui lui avait fait du mal. Il avait l’impression qu’avec Leo, il réussissait peu à peu à reconstruire tout ce qui avait été brisé. Il n’aurait jamais cru pouvoir apprécier un jour la saint valentin, lui qui avait toujours vu ça comme une arnaque, un truc commercial qui poussait simplement les couples à dépenser de l’argent. Finalement, il se prenait au jeu et il aimait ça, Harlan. La soirée s’annonçait agréable. « Ouais, c’est vrai, qu’on arrive bien à gérer Arthur à deux. Je voudrais juste pas qu’il m’arrive quelque chose et que ça ait des conséquences sur lui. » Il haussa les épaules. Il était partagé entre l’envie de repartir sur le terrain, de renouer avec ce qui le faisait vibrer. L’adrénaline du terrain, ça commençait à sérieusement lui manquer. C’était peut-être idiot de sa part, mais il aimait ça, tout autant qu’il aimait l’idée de rapporter des informations importantes, voire même primordiales sur ce qui pouvait se passer dans le monde. « J’me suis déjà pris une balle perdue, je crois que ça m’angoisse un peu du coup. » Il ajouta dans un léger soupir. Il n’en avait jamais parlé de ça avec Leo, parce que c’était un sujet compliqué, un traumatisme contre lequel il luttait encore. Mais il se sentait assez en confiance avec la rousse pour oser en parler. « En vrai, tu sais ce qui me tenterait : la faune australienne. On est réputé pour avoir une faune particulière, j’aimerai bien faire une série de documentaire là-dessus et aller me balader au milieu des crocodiles. » Il lâcha un léger rire. Peut-être que ça faisait de lui, un grand taré, mais il fallait bien admettre que les animaux, même dangereux, lui semblaient moins hostiles que des hommes armés, prêts à tirer sur tout ce qui bouge. Disons qu’au final, les animaux semblaient moins imprévisibles. Ils avaient fini par parler un peu d’eux et de leur ressenti quant à la saint valentin et leurs histoires d’amour. « En effet. » Il trinqua avec elle. Au moins, ils étaient sur la même longueur d’onde, à explorer une première vraie relation. « Toujours partant pour un jeu. » Il lança, en haussant les épaules, avalant au passage une gorgée de son verre. Il était joueur Harlan, alors elle pouvait lui proposer ce qu’elle voulait, il y avait de fortes chances qu’il rentre dans le truc. Encore une fois, il rigola, suite à ses propos. « On m’a toujours appris à ne pas jouer avec la nourriture. » Il pouvait déjà imaginer Ruben lui lancer un regard noir, s’il s’amusait à jeter du pain. Alors autant éviter. « Petit, je voulais devenir Jedi ou nageur professionnel, alors on en est un peu loin. » Il répondit en ricanant. « Plutôt libre en tout cas, j’ai toujours voulu bouger, découvrir le monde et de ce côté-là, j’ai assez bien réussi. » Son métier lui permettait de bouger, mais il s’était aussi beaucoup permis de voyager, avant Arthur, ça avait été facile de juste préparer un sac et de partir à l’aventure. « Et maintenant, je sais pas trop. J’veux voir mon fils grandir, j’ai envie de lui apprendre à jouer de la guitare et pour le reste, j’aimerais évoluer dans mon domaine, pourquoi pas écrire un livre sur le journalisme de guerre, parce que c’est un boulot fascinant et peut-être un peu trop méconnu. » Il haussa les épaules. Il avait bien quelques projets, quelques rêves, mais c’était plus compliqué de se projeter dans l’avenir ces derniers temps, parce que devenir père avait changé beaucoup de choses dans sa vie. « A ton tour. » Il lâcha, en avalant une nouvelle gorgée de sa boisson, curieux d’entendre les réponses de Leo.
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L’amour, ce sentiment vif qui pousse à aimer quelqu’un, à vouloir du bien, à aider en s'identifiant plus ou moins. Sentiment qui pousser parfois à faire des choses invraisemblables, un peu comme jouer les amoureux transis le jour de la Saint-valentin. Un événement que tu as toujours considéré comme commercial, tu n’as rien contre, tu n’es pas de mauvaise foi. Ce n’est pas parce que tu es seule, souvent, que tu maudis cette soirée, journée. Jusqu’ici la Saint-valentin, tu la célébrais à ta manière, sans te soucier des autres. Tu adorais contempler les autres, sans forcément les jalouser et là. Là tu fais partie de ces gens, ceux que tu contemplais, pas enviait. Tu n’es pas jalouse. Tu aimes ce que tu as. Tu t’es toujours contenté de peu, ou bien d’être la bonne copine. Et là, tu es la copine d’Harlan, vous êtes un couple. Et comme certains couples, vous participez à ses festivités. « Normal, ce que tu as vécu est comment dirait-on… traumatisant et puis aujourd’hui tu n’es plus seul. Tu dois penser à lui, eux. Ils ont besoin de toi. » oui, tu inclues la mère de son fils, parce que tu te doutes qu’il est là pour elle. Tu connais leur relation et t’es pas jalouse, tu trouves ça bien. Qu’ils soient présents l’un pour l’autre, pour le bien de leur fils. Toi, tu es la copine qui l’encourage et non qui le freine. Tu ne voudrais pas qu’il s’abstienne de vivre ses rêves à cause de toi. Non, tu n’es pas ce genre de fille. Ta main qui se pose sur la sienne, sa confiance te fait du bien. Il t’en avait jamais parlé, il se confie de plus en plus à toi et ça te plaît. Ton regard qui le remercie. Tu le remercies de te faire confiance, de croire en vous. Ça te fait du bien. « Crocodile Dundee en gros, ouais je peux t’imaginer avec le chapeau et parcourir la jungle Australienne. » tu rigoles, mais c’est un super projet. Tu prends une bouchée de ce délicieux plat. « Je rigole, mais en vrai c’est cool, tout le monde aime les animaux. Je serais la première à regarder. » toujours encourageante, toujours chaleureuse. Tu n’en fais pas exprès, tu es comme ça, que ça soit avec lui, comme les autres. « Par contre j’exige une dent de croco, je la mettrais en collier, je pourrais me la péter en disant que mon mec est un grand explorateur. » tu ne tardes pas à t’esclaffer. Parce que ce n’est pas toi, tu n’es pas comme ça et tu ne mettrais jamais une dent de crocodile en collier. Tu aimes trop les animaux pour ça, même s’ils risquent de te manger. « Qui n’a jamais voulu être un Jedi ? Détruire l’étoile noire ou bien Palpatine. Je comprends. » et oui, tu t’y connais. Parce que tu adores ces films, mais aussi tu as trois frères. Tu as plus baigné dans l’ambiance héros de la galaxie, que barbie. Et ça te déplaît pas, bien au contraire. « eh bien Monsieur Myers, je vois que vous avez de beaux projets. C’est bien beau tout ça, Arthur a changé beaucoup de choses dans tes projets ? Tu t’étais imaginé père ? » simple, tu aimes cette fluidité entre vous. Pas besoin d’en faire des tonnes, tu restes toi-même. « Hum.. j’aurais bien aimé être une sirène... » tu rigoles, buvant une nouvelle gorgée. « non en vrai, j’ai toujours aimé la musique, l’art. Sauf qu’avec mes trois frères, c’était un peu compliqué. Un qui a suivi les traces de mon père dans l’armée, l’autre de ma mère dans la littérature. Un génie du tennis, et il restait moi. La princesse. Celle qui rêvait de musique, d’art, mes parents ont eu du mal à m’imaginer là-dedans. Ils avaient peur pour moi, mais m’ont encouragé, » tu n’as pas peur de trop parler, de dire qui tu es. D’aussi loin que tu t’en souviennes, la musique a toujours été ta passion. « Et euh… je m’imagine bien continuer à produire des shows, j’aimerais bien faire une tournée, mais j’ai peur. Oui, je reconnais que ça m’effraie un peu de quitter mes bases. Sauf qu’en même temps, je me dis y a l’adrénaline des tournées. Faudrait que je trouve un show qui me plaît assez pour que je veuille les suivre. Ou alors je fais la propre mise en scène de mon groupe.. » ton groupe. Tu baisses un peu la tête en songeant à eux. Les gars dont un que tu évites. Parce que tu l’as choisi lui, tu as envie de croire en votre histoire. En cette relation qui te plaît et tu as bien fait. Tu te sens bien, ta main dans celle d’Harlan. « Merci. » que tu lui dis, pour qui, pourquoi.. tu avais besoin de lui dire. Merci de t’avoir choisi ? De t’avoir donné une chance ? Sûrement.
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C’était bien la première fois qu’il faisait quelque chose pour la Saint-Valentin, Harlan. Ce n’était pas son genre de fête. Eternel célibataire, il n’avait aucune raison de célébrer l’amour. Mais il fallait croire que ça avait changé. Maintenant, il y avait Leo dans sa vie et il avait envie que les choses fonctionnent entre eux. Il n’était pas habitué à ça, le brun, mais il y avait une première fois à tout, alors il avait décidé de faire de son mieux pour que cette relation soit différente de ce qu’il avait connu jusque là. Alors, ce soir, il fêtait la Saint-Valentin avec Leo et, même si ce n’était pas habituel, il trouvait ça sympa. Il passait un bon moment, en bonne compagnie, alors, que demander de plus ? « Ouais, ça change la donne de devenir parent. » Il répondit, en haussant les épaules. Il n’y avait plus que lui à prendre en compte dans les décisions qu’il prenait. Ce n’était pas rien, comme changement. Mais il s’y faisait, petit à petit.« Quelque chose comme ça. » Il répliqua,dans un léger ricanement. « Ouais, j’me dis que ça pourrait être sympa et si j’ai déjà une téléspectatrice, alors raison de plus de me lancer. » C’était un projet qui pourrait lui plaire, alors pourquoi pas ? Il allait y réfléchir et peut-être qu’il se lancerait dans l’aventure. « Compte pas sur moi pour arrarcher une dent à un crocodile. » Il répliqua en rigolant. Non, il ne ferait pas le poids contre un crocodile et même si ça avait été le cas, il ne voudrait pas faire du mal à un animal. « Oui, ça vend du rêve ça. » Il répondit, dans un léger rire. Oui, vivre dans l’univers de Star Wars, ça l’avait fait rêver quand il avait été plus petit, mais il avait grandi alors il avait compris que ce ne serait pas possible. « Plutôt pas mal, hein ? » Il répondit amusé, quant à ses projets. « Non, Arthur n’en faisait pas partie, je voulais pas d’enfants de base, mais c’est arrivé,alors, j’ai assumé. » Il haussa les épaules. Autant être honnête. De base, il ne voulait pas d’enfants et puis Arthur était arrivé. Il n’avait pas pris la fuite, le brun, il avait accepté ses responsabilités. Il lui retourna sa question, rigolant suite à sa réponse.« Ok, Ariel. » Référence au dessin animé de Disney, évidemment. Elle avait déjà les cheveux de la sirène en question, alors elle n’en était pas loin. « C’est bien, tu as su trouver ta voie par toi-même, sans suivre le reste de la famille. » C’était une bonne chose, elle avait su se démarquer des autres et puis elle avait eu le soutien de ses parents, ce qui était encore mieux. « Ce serait vraiment chouette ça. Tu imagines le nombre d’endroits que tu pourrais voir ? » Il avait du mal à cacher l'enthousiasme dans sa voix. Évidemment qu’il trouvait ça chouette, Harlan après tout, il aimait voyager, découvrir de nouveaux endroits, alors si ça pouvait la faire rêver, il serait le premier à l’encourager dans cette voie. « Le monde est grand, ce serait dommage de rester éternellement à Brisbane. » Il haussa les épaules. Lui, le reste du monde le rendait curieux. Il aimait ça, bouger, mais ça ne voulait pas dire qu’il voulait fuir Brisbane. Non. Il savait qu’il finirait toujours par revenir. « Pour quoi ? » Il demanda, interloqué par les remerciement de la rousse. Elle n’avait, après tout, aucune raison de le remercier.
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