(mason) how did it end ?

Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
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 (mason) how did it end ?


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Mason Mayhart
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MEMBRE ☆ midnight love
i'm not your consolation prize
Mason Mayhart
paper rings
messages : 773
rps : 33
pseudo : day.light
id card : @Kidd
pronom irl : elle
multicomptes : joy, poppy, tobby
à contacter : joy
présence : quand je peux
(mason) how did it end ? DTTkfm
âge : trente-trois ans et toute ses dents
statut civil : célibataire jusqu'à preuve du contraire
occupation : photoreporter pour un journal local, travaillait pour une agence de presse avant
adresse : 533, west-end - appartement en rez de chaussé qu'il décore à peine
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : violences sur enfants/animaux
warning : guerre, blessure, amnésie, alzheimer
infos rp : je/il , répond quand je suis inspirée (mini une rep par semaine), pas de nombres de mots moyen
disponibilités : 1/3
- avery
- hanaë

en vrac : 5e enfant des mayhart - toujours plus ou moins vécu à Brisbane - a une staffy de 2 ans - fait de la photo depuis l'enfance - joue au rugby dans son temps libre
(mason) how did it end ? Avason2

présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
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· Mar 21 Mai - 21:55

mason mayhart (il)
TW : blessures, hospitalisation, amnésie, guerre

âge & naissance : trente-trois ans, né un nuageux 27 mars 1991 à Brisbane, Australie. je sais qu'il faisait moche parce que ce n'était pas un temps de saison et quand j'étais gosse j'avais une passion pour la météorologie (don't ask) et j'avais découvert qu'il faisait moche quand je suis né (signe du destin ?)
origines & nationalité : américain d'origine, c'est à dire d'ici et d'ailleurs.. la nationalité australienne depuis la naissance. quand j'avais 20 ans, la curiosité m'a poussé à vouloir savoir d'où venait mon père (à défaut de connaître l'homme pour de vrai..) bah si européen était une origine ça serait la mienne. avec quelques sauts de puces de pays anglosaxons en pays anglosaxons, finit aux US avant d'atterrir le temps d'une amourette irresponsable en Australie.. bravo papa
finances et emploi : $$$$$, photoreporter. j'ai découvert mon amour de la photo il y a... 20 ans ? 21 ans ? aucune idée. Tout ce que je sais c'est que j'ai un mur de mes couvertures du magazine LIFE dans mon bureau depuis que je suis gosse et mes idoles sont derrière les plus grandes photos de journalisme de guerre au monde depuis que j'ai l'âge de comprendre ce qu'est un conflit. J'ai toujours un appareil sur moi et un rêve d'enfant était de devenir photographe de guerre. Je voulais montrer ce que le monde ne veut pas voir. 20 ans plus tard, c'est mon métier mais je suis obligé de mettre le pied au sol après un gros accident sur mon dernier voyage au Brésil qui m'a laissé dans un sale état. Dieu merci je peux encore tenir un appareil mais c'est on va se concentrer sur l'Australie quelques temps... jusqu'à ce que l'adrénaline me manque.
statut civil : Céli-bâtard si vous écoutez mon ex. Plus sérieusement, être seul c'est mieux que mal accompagné et avec un sourire comme le mien, je peux pas me suffire de charmer une seule fille à la fois voyons ! J'ai des principes, la tromperie c'est pas mon truc, donc autant être disponible pour toutes !
orientation sexuelle : hétérosexuel aux dernières nouvelles. Pas testé l'autre côté de la barrière mais ça m'a jamais intéressé. J'écoute les histoires des copains avec un sourire, cool pour eux mais moi ce sont les courbes des femmes qui me font de l'effet.
situation familiale : un peu le bazar de ce côté, faut suivre okay : père biologique, inconnu au bataillon et je n'ai aucune envie de savoir qui il était. le test ADN que j'ai fait vers 20 ans c'était seulement pour savoir si j'avais des risques de maladies bizarres (m'avait couté un rein ce truc...) et avoir une idée d'où je venais. je ne crois pas qu'il y ait le moindre intérêt à découvrir qui était ce gars. si notre mère l'a remplacé aussi vite c'est qu'il était sans intérêt. après il y a notre mère hm... Elle est adorable mais disons qu'elle m'a appris une chose: l'amour ne dure que 3 jours. Un jour pour tomber amoureux. un jour pour vivre cet amour. un jour pour avoir le cœur brisé.
Les frangins après là ça serait trop longtemps à raconter. je suis 5e d'une bande de 8. oui oui.. huit. Les relations entre nous ont évolué au gré des années, des évènements, des changements et en soi, j'aime ma fratrie, très sincèrement, mais je pense qu'on a tous nos jardins secrets et nos trajectoires. Pour le meilleur.
signe astrologique : Le fait que je sache cette information est totalement contre mon gré, mais la frangine s'est pris d'une fièvre Astro à un moment donc c'est cadeau :
☼ Soleil en Bélier
☾  Lune en Vierge
AC Ascendant Capricorne
le pire tue-l'amour : la connerie, la vraie, la profonde... l'ignorance et le choix de rester ignorante ça m'excrète. Je déteste naturellement les gens qui ne vont pas chercher plus loin que le bout de leur nez, mais je suis capable de laisser une nana en plan si elle dit un truc purement méchant ou intolérant, basé sur un simple manque de curiosité ou de connaissances, ça me soule. franchement, ça coute rien d'ouvrir un livre ou de poser des questions pour s'intéresser à l'autre.
un fantasme : j'ai quand même la chance d'avoir réalisé beaucoup de mes fantasmes mais à choisir, un truc que je tenterai bien juste par curiosité c'est de rejoindre le Miles High Club. Mais j'arrive à une période de ma vie où j'ai eu trop d'hôtesses de l'air, donc il me faudrait une partenaire avec la même "curiosité" (ou connerie) que moi pour tenter l'affaire.
à Brisbane depuis : toujours ? je n'ai pas de souvenir d'être ailleurs qu'à Brisbane. J'ai un peu bougé bien entendu au fil des années mais les parents sont ici, les frangins aussi etc. je ne vois pas l'intérêt de partir et ne jamais revenir, on est bien chez soi.
traits de caractère : tout dépend à qui on demande. je me considère comme un gars passionné avant tout. Tout ce que je choisis de faire dans la vie naît surtout d'une curiosité intarissable, d'une envie de plus, de découverte, d'exploration, et d'un besoin profond de trouver la vérité et l'exposer. Je fais tout à 200%, un peu vorace de la vie. Depuis l'enfance, j'ai jamais eu un moment de recul sur ça pour être honnête. Je ne vois pas l'intérêt de mettre les freins sur mon envie de vivre à fond. Certes ce genre de comportement fait que je pose souvent des questions indélicates, que je creuse jusqu'à obtenir ce que je veux et que je n'aime pas qu'on me dise non (attention, le consentement est important mesdemoiselles, dans ce contexte c'est différent promis). Casse-cou, imprudent, parfois à la limite de l'irresponsabilité, je crois que mon ex avait dit que je n'ai pas totalement quitté l'adolescence et l'esprit des vestiaires de rugby où on se faisait des blagues de merde entre potes. La vérité c'est que je ne suis pas méchant mais je n'aime pas prendre des pincettes. ça plaît, ça plaît pas... est ce que c'est vraiment mon problème si les gens se vexent ? Pas sûr. Je suis capable d'admettre quand j'ai tord (mais c'est rare) et de m'excuser si j'ai heurté les sentiments d'une personne mais je ne dis jamais rien pour être mauvais. Niveau tempérament, je pense pas être spécialement impulsif dans mes relations, par contre dans ma vie de tous les jours oui. Ma soeur me dit souvent que je manque de tact parce que trop peu de gens m'ont envoyé chier en grandissant. Et mon frère m'a dit un jour que les gars comme moi se réveillent un jour, le corps fracassé par toutes les conneries qu'ils ont fait en se pensant invincibles, satisfait de leur passé mais avec aucune idée de comment remplir les années qui les attendent parce que l'époque des conneries est passé et il arrive un jour où il faut avoir quelqu'un qui nous attend quand on rentre et que tout le monde autour s'est posé et s'est calmé... mais franchement je pense qu'ils exagèrent tous les deux. J'ai 30 ans, pas 45. J'ai le temps encore pour les conneries, et les filles me préfèrent pour une nuit que pour la vie. Même moi à choisir je me supporterai pas plus longtemps. Trop fatiguant pour ça !
avatar : scott eastwood (anglais, un peu d’allemand, d’irlandais et d’écossais, néerlandais éloigné, gallois éloigné).



the love test

romantisme
(69%)
level de drague
(87%)
engagement
(43%)
passion
(97%)
performance au lit
(89%)
fidélité
(62%)
nombre de cœurs brisés
(76%)
recherche de l'amour
(34%)


♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Mr Bingley et Jane Bennett dans Orgueil et Préjugés, c'est ça le grand amour. Oui j'sais lire. J'ai peut être même une bonne petite collection de romans de ce type chez moi. Mais c'est pas le sujet. Le Grand amour je l'ai vu que dans les médias okay ? Il a jamais sonné à ma porte. Et en soi.. j'comprends. Tout ça pour dire que je pense que le Grand Amour c'est un mythe sympa, bon pour la littérature ou les films, qui vend et enchante mais n'apparaît dans nos vies réelles que trop rarement. Un amour où l'autre est notre meilleur ami. Notre partenaire, notre moitié... Où la relation est un endroit de refuge et de sécurité. Où l'on s'aime par choix et par destinée.. Vendeur hein ?. bref je pense que c'est juste ça. Un truc qui arrive aux autres, par miracle. Voilà, je pense que c'est bon pour les autres. En plus, il y a un niveau de dévotion, de don de soi, dans cette relation d'amour que je ne m'imagine pas capable d'offrir. Pas que je ne veuille pas, ça n'a rien à voir. Je crois juste que pour choisir l'autre, tous les jours, pour le restant de ses jours... il faut être particulièrement dévoué et capable de donner un bout de soi pour l'autre. Il y a une générosité dans l'amour, un altruisme que j'ai parfois l'impression de manquer. Pas que je sois narcissique, mais j'ai conscience de mon égoïsme. Pas sûr qu'il soit très compatible avec l'amour. Donc non. Je ne le cherche pas... c'est pas pour moi ça..

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ? Avoir été un piètre compagnon pour Eva, ma première petite amie sérieuse. C'est bête après ce que je disais avant sur l'amour tout ça mais j'aimais cette fille sincèrement et j'aurai dû avoir l'honnêteté de dire stop quand j'ai réalisé que je m'aimais moi et ma vie, plus que notre relation. Tout l'attachement du monde n'est pas une justification suffisante pour traiter les gens comme j'ai pu le faire avec elle. Certes ça fait bientôt 5 ans depuis qu'on s'est séparé et on est pas resté si longtemps que ça... mais une année entière à la "balader" (ses mots, pas les miens), avec du recul, c'était en effet dégueulasse. Je sais qu'aujourd'hui on se parle, je suis là pour elle et elle pour moi, et finalement être amis nous va mieux car elle avait besoin de quelqu'un qui l'aime à 100% mais j'ai foiré sur ce coup. Je peux pas le nier.

open your heart
(un) la photographie en intraveineuse. depuis que j'ai pris un appareil photo pour la première fois, je ne sais plus voir le monde autrement qu'à travers un viseur. tout est bon pour être mis en image, une perspective, un moment, une personne, une expression, une couleur particulière... je regarde le monde dans l'attente de trouver ce truc qui marquera le moment comme essentiel. l'esthétique passant parfois derrière ce que l'image raconte. les images les plus choquantes sont parfois moches à première vue puis on réalise que ce qu'elles racontent est douloureux, est violent, est essentiel... montrer la vie à l'état brute, la vérité, c'est la voie que j'ai choisi, que j'avais besoin de choisir.  (deux) deux pieds gauches. incapable de danser, même pour sauver ma vie. par contre sur un terrain de rugby on m'arrête plus. ma coordination est très circonstancielle, il en a conscience. Peut être aussi un petit côté "je suis bon quand je veux". J'ai un peu tendance à me donner dans ce qui me plaît, et on me verra pas faire d'effort sur les choses qui ne m'apportent rien. Le minimum syndical, pas emmerder le monde, mais j'y mettrais pas d'énergie clairement. J'aime pas être pas bon. (trois) Avery. Vous avez déjà rencontré quelqu'un de talentueux, intelligent et franchement physiquement intelligent, mais qui vous donne envie de hurler chaque fois que vous vous adressez la parole ? bah voilà, Avery. Et même si, sincèrement, je dirai pas non pour l'avoir dans mon lit, ne serait-ce qu'une fois, et qu'on travaille super bien ensemble (putain ça fait des années..) bah, elle m'insupporte. Vraiment. On dirait une mère acariâtre. Chaque fois qu'elle ouvre la bouche pour s'adresser à moi en dehors du travail, je sais que ce sera pour critiquer un truc. Mes conquêtes, ma façon de me comporter, mes choix vestimentaires (depuis quand on peut plus porter de chemise hawaïenne ouverte sur le torse ?) ou mon côté "imprudent". Elle est désagréable. Et clairement jalouse des filles qui ont droit à mes draps, et mes bras. Sinon elle se comporterait pas comme ça. Franchement, suffirait qu'elle se calme un peu et je suis sûr qu'on s'entendrait. On fait une bonne équipe tant qu'il s'agit du boulot, pourquoi elle a besoin d'être comme ça aussi ? (quatre) Les frangins n'ont pas du tout le même caractère que moi mais on reste une bonne équipe, y a un équilibre certain dans notre fratrie que je n'échangerai pour rien au monde. Je peux me montrer con des fois, on peut dire ce qu'on pense de mes choix de vie, mais on ne touche pas à ma famille. Si un jour, les uns comme les autres souhaitent changer de vie, évoluer, partir ou rester, je serai derrière eux, je les soutiendrai. On est ensemble dans tout ce qui vient devant. Même si on partage que 50% de notre patrimoine génétique (cinq) très peu de choses que je déteste, énormément que j'aime... par contre, un gros souci avec la claustrophobie. c'était déjà un sujet dans le passé, depuis l'enfance, mais récemment c'est devenu pire suite à un accident que j'ai subi pendant un reportage qu'Avery et moi étions partis faire en Amérique du Sud. Les médecins pensent que je pourrais faire un travail dessus, mais je me concentre sur ma rééducation après m'être cassé la jambe. Tant que je me retrouve pas à nouveau sous des éboulements ou enfermé dans un ascenseur dans le noir, ça ira. (six) secret inavouable, j'aimerai parfois être capable de juste tomber amoureux, créer une relation stable, le chien, la maison, les projets et avoir quelqu'un qui nous attend quand on rentre... mais je ne pense pas avoir la capacité de faire tout ça, faire fonctionner une relation. Et personne ne mérite que je me lance là dedans si j'arrive pas à penser que ça marchera. mieux vaut ne faire perdre son temps à personne. Et puis j'ai toujours un numéro ou deux à appeler quand je rentre qui viendra réchauffer mon lit, ça va. (sept) à choisir, je préfèrerai toujours rire que m'offusquer. Pourquoi les gens se vexent tant de nos jours ? il n'y a rien de plus agaçant que faire une blague et que quelqu'un fasse des manières. Je vois le rire comme une bonne manière de dédramatiser, et je ne me moquerai jamais des malheurs des gens mais faut-il vraiment interdire la moindre blague sur des stéréotypes ou des époques révolues ? surtout quand on en rit avec des personnes directement concernées. (huit) je suis nul en dessin, ne le dites à personne, je connais deux trois personnes qui se feraient un plaisir de me rire au nez parce que je me vante régulièrement de n'avoir aucune tare. Mais clairement si. Même un bonhomme fil de fer c'est complexe... Ma nièce aimerait que je l'aide avec ça mais regardez moi, j'ai une tête à dessiner des maisons avec des petits personnages devant ? nope. L'art c'est le truc de ma frangine, je lui apprendrai à lancer des ballons personnellement, ou prendre des photos c'est plus sérieux. (neuf) Un de mes frères m'a offert un chien à ma sortir de l'hôpital. J'ai toujours voulu un animal de compagnie mais avec tous les déplacements c'était même pas une option envisageable parce que sincèrement, quel genre de maître je serai à laisser mon animal seul (ou chez amis ou autre) pendant des semaines régulièrement ? Pas une bonne idée. Sauf que voilà, après l'accident, la sortie de l'hôpital tout ça.. il a décidé que ça serait une bonne façon de me "sédentariser" le temps que j'aille mieux. Pas sûr qu'il soit prêt à le récupérer après si je décide de reprendre mes "aventures"... j'admets que s'endormir avec la petite tête de cette petite staffy de 2 ans c'est agréable. Elle est chouette et me suit partout dans l'appart. J'avais déjà dans l'idée de me calmer quelques mois, prendre le temps de guérir mais maintenant que Lottie est là, j'sais pas si j'arriverai à repartir. Elle est un super soutien en plus. On apprend à faire des tours actuellement ! (dix) ma dernière excursion s'est soldé avec un trauma crânien, un bras cassé, pas mal d'hématomes, quelques jours dans le coma et de ce qu'en disent les médecins, une amnésie rétrograde transitoire.. Grosso modo, ma tête a tapé un peu trop fort sur quelque chose, ajouté au choc psychologique de l'accident que j'ai eu, et j'ai fini à l'hôpital à me demander comment j'avais pété mon appareil photo préféré, perdu du matos, gagné un bronzage que je n'aurai eu qu'au soleil des Antilles ou dans le désert et pourquoi Avery me regardait comme si j'lui avais brisé le coeur. Sachant que Avery qui me regarde mal, j'ai l'habitude. Avery qui a l'air déçue de moi, pareil. Avery qui a l'air de vouloir pleurer en ma présence je pense que c'était la première fois que ça nous arrivait. Mais c'est pas ma faute si c'était une des dernières personnes que j'imaginais au pied de mon lit à mon réveil. J'm'attendais à ma mère, ma soeur... pas sa tête à elle en panique. C'était perturbant. Maintenant elle est partie depuis des semaines, les souvenirs me reviennent doucement sur notre départ en mission et tout mais j'ai encore 50% des 5 derniers mois, notamment les évènements qui ont mené à mes blessures, qui sont un grand flou. Faut que j'arrive à parler avec elle. Qu'elle m'explique, qu'elle me raconte.. bon elle serait capable de dire des conneries pour me faire passer pour un idiot. Mais quand même.



day.light (ava)

âge : à la porte de la trentaine disponibilité pour le forum : régulièrement dans le coin pays : france. personnage : PL de @Lily Mayhart & moitié du duo avec @Avery Söderberg . où avez-vous connu le forum : ça fait un temps que je squatte.. je sais plus comment j'ai fini ici votre avis : toujours aussi doux, toujours aussi beau. crédit icon & gifs : ugly confession (maurawrites.tumblr.com). mot de la fin : merci d'être là  (mason) how did it end ? 3677209775


Dernière édition par mason mayhart le Mer 22 Mai - 12:01, édité 6 fois
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· Mar 21 Mai - 21:55



mars 1991it's a boy
la naissance, les premiers cris, l'appel d'air et les yeux qui s'ouvrent rapidement. Pas anormal pour un bébé, les médecins ont vu pire qu'un nouveau né impatient de découvrir la lumière. Mais garder les yeux ouverts à quelques minutes de la libération reste rare. Je n'ai aucun souvenir de cette période, autant l'admettre, je ne pourrais jamais me vanter d'avoir eu conscience de ce premier moment de vie. Mes plus vieux souvenirs remontent à mes 3-4 ans, et même là, je pense qu'on table plus sur des brides de sensations, de couleurs, quelques rires, quelques sourires et des images sans contexte, plutôt que de vrais souvenirs. Non, la raison pour laquelle je sais que j'ai ouvert très rapidement les yeux, c'est parce que des années plus tard j'ai revu l'infirmière qui aidait ma mère, Hannah Mayhart, à me donner naissance. Le contexte dans lequel on s'est retrouvé était totalement différent -je ne vous spoile pas l'histoire- mais elle a vu mon nom sur les chartes au pied de mon lit d'hôpital et s'est exclamée « mais je connais ses beaux yeux bleus ! » des compliments j'en avais souvent eu, mais d'une femme de plus de 50 ans, dans un hôpital, qui disait reconnaître mes yeux.. jamais. On a papoté et voilà ce que j'ai récolté : un beau bébé rose prématuré de quelques semaines mais rien de critiques, 3kg6 « j'ai vu pire comme enfant mais c'est un poids bien suffisant ! tout joufflu, tout rose ! adorable » je n'imiterai pas le roucoulement qu'a fait Ginnie, l'infirmière, en me racontant ma naissance. Pas de complications mais elle est restée marquée par le fait que j'ai ouvert les yeux après le bain donné peu après la naissance par les infirmières. « comme si tu étais pressé de voir le monde... je n'ai revu que 3 bébés aussi intéressés par la lumière dans ma carrière après. la plupart referme les yeux après, mais on aurait presque dit que tu nous regardais vraiment. » le concept me fait rire jusqu'à aujourd'hui. Hannah, maman, notre mère (je ne suis pas attachée au sobriquet affectif) m'a admit qu'elle trouvait ça surprenant quand j'étais petit. Cette manière que j'avais de regarder tout... avec une attention si particulière que bébé elle s'était déjà demandée si j'étais aveugle et que c'était pour ça que je restais si concentré, le regard dans ce qu'elle pensait être le vide. Puis un jour, dans ma chaise haute, elle avait réalisé que souvent j'observais les fourmis passés, une toile d'araignée dans un coin, les détails d'un objet ou souvent juste la météo dehors. Pas un bébé compliqué à gérer, la tv n'était pas mon truc, par contre on pouvait me poser devant une fenêtre à regarder passer les gens et m'oublier là. Ça n'a duré qu'un temps mais la stratégie était peut être un signe du destin. Un jour j'aurai envie de remplir le monde d'images de ce que j'observais.

1993  ‧  Yann entre dans nos vies. Hannah, garde le celui là s'il te plaît ?

1998  ‧ «de toute façon t'as pas de papa» les enfants sont cruels entre eux mais l'avantage d'aimer lire et rester dans son coin ou avec mes frères et soeurs c'est que j'ai grandi sans porter trop d'importance au sujet de mon paternel. Oui, parfois, je pense que cela m'a manqué que personne ne vienne à mes premiers matchs de rugby avec l'école ou ne s'intéresse à mes premières photos, mais ma mère a fait ce qu'elle a pu. Je n'étais pas seul. Quatre aînés (plus ou moins intéressés mais pas méchants pour un sous) ça aide aussi. J'ai appris tôt qu'on peut se suffire à soi même et qu'aussi, même les enfants avec deux parents n'ont pas forcément une vie plus heureuse que la mienne.

14 août 2002  ‧ click, click, click
Mon premier appareil photo était un Leica M6. Le prêteur sur gage qui me l'a revendu -j'ai réalisé une fois adulte- était un imbécile qui ne réalisait pas la valeur de l'appareil qu'il a vendu à un enfant de 11 ans. J'avais repéré l'appareil dans la vitrine presque 2 ans avant, dans un état correct mais sans pellicule et il fallait changer la lentille. J'ai mis de côté toutes les pièces que j'ai trouvé dans le canapé, tous les billets ramassés dans la rue, la moindre monnaie des courses que j'arrivais à garder et je me suis pointé là bas, avec mes économies, pour acheter mon premier appareil. Je l'ai encore. Il trône sur une étagère à l'appart' avec tous les autres appareils que j'ai chiné et acheté avec les années. C'est avec cet appareil, une fois réparé que j'ai participé pour la première fois à un concours de photos. Des portraits de gens dans les rues de Brisbane, que j'avais développé moi même -certaines ne ressemblent pas à grand chose parce que ma soeur était entrée dans la chambre des garçons que j'avais alors plongé dans le noir pour faire le développement et la lumière a gaché certains clichés. Mais ce n'est pas sa faute - et je les ai encore chez moi. La photographie est venue dans ma vie comme une évidence. Depuis que je suis petit j'aime regarder autour de moi, et l'idée de pouvoir capturer les images qui me fascinent, les scènes de vie, les moments, banals mais aussi exceptionnels, m'a toujours plu. Mais surtout, c'est la photo des tours jumelles qui a changé ma vision de la photographie. De là, c'était comme une évidence. Comment peut-on marquer un monde, des générations, avec juste une image ? un moment suspendu dans le temps qui va changer tout pour une planète entière ? fascinant... j'ai commencé à collectionner les couvertures de magazine après ça, LIFE, le Times, les National Geography... dès que je pouvais mettre la main sur une de ces photos -aujourd'hui j'ai recouvert un mur de mon bureau avec ces mêmes images- je le faisais. Puis après ça j'ai tout fait pour faire de la photo. La majorité des albums photos de la famille compte des photos de tout le monde sauf moi parce que j'étais derrière la caméra. On pourrait dire que c'était ma façon de rester discret, dans mon coin, éviter d'être le centre de l'attention, mais je crois qu'il n'y a rien de plus égocentrique que ce genre de photographies. Je suis partout sans être dans la moindre photo parce qu'en regardant ces images c'est le monde à travers Mes yeux que vous verrez. Vous verrez mes frères et soeurs, de Mon point de vue. Vous verrez ma mère comme Je la vois. Vous aurez une idée de ce que c'était d'être Moi au milieu de cette famille, au milieu de mes amis, dans mon école, à mon club de sport... Et juste ça, me satisfait. Partager mon expérience, ma vérité, à travers des images que j'ai mis en scène, dont j'ai choisi la lumière, le moment précis où appuyer sur le déclencheur... à quelle hauteur, quelle distance.

2008  ‧ last man standing
« oh... je pensais.. y a pas d'autres écoles ? » autant ma naissance ou une partie de mon enfance m'échappe, les souvenirs sont flous, autant ce moment je crois qu'il est imprimé dans mon esprit. Parfois la nuit je me remémore cette conversation avec la conseillère de mon lycée. Journaliste. Photoreporter. Photographe de guerre... j'avais une idée assez précise de ce que je voulais faire de ma vie, et j'avais tout fait, vraiment tout, pour atteindre cet objectif. Depuis des années j'étais à l'affût du moindre petit concours de photo, du moindre cours gratuit, de la moindre opportunité pour pratiquer et apprendre. J'avais écrit à des journaux pour poser des questions à leurs photographes -n'ayez pas peur de tenter, beaucoup plus de gens répondent quand on est curieux et qu'on leur demande gentiment de parler de leur métier-. En entrant dans son bureau je me souviens que j'avais 3 brochures d'écoles dans le pays qui me permettrait de pouvoir vivre mon rêve, rejoindre le monde de ces hommes et femmes qui pratiquaient au quotidien le métier qui me faisait vibrer avant même de l'avoir pratiqué. « tu réalises que ces écoles sont toutes très chères Mason ? tu en as un peu parlé avec tes p..ta mère avant ça ? » je me rappelle ces mots et le froncement de sourcils qui avait tordu mon visage me revient en tête. Aussi bizarre que cela puisse paraître, je n'ai pas souvenir d'avoir jamais été un enfant, ni un adolescent qui répondait négativement aux adultes. Au contraire. Docile était peut être un terme plus adéquat que belligérant. J'ai toujours voulu vivre mes passions, j'étais curieux et bon à l'école, pas plus sage que mes amis, mais par contre je ne me mettais dans des positions de confrontation avec les adultes. Pour éviter que ma mère soit mêlée à mes histoires d'école ? peut être. Parce que je n'avais pas de père pour me dire de me rebeller un peu ? ou parce que j'avais un frère qui le faisait très bien et je ne voyais juste pas l'intérêt. Bref, ce jour là j'ai tenu à me défendre. J'ai pris le temps de revendiquer l'importance de mon rêve, que l'argent ça se trouve, qu'il fallait que je puisse entrer dans ces écoles, que j'avais besoin de mettre un pied dans ce monde. C'était essentiel, vitale. Sans ça, qui deviendrai-je ? personne à mes yeux. « vous comprenez pas ! je peux pas juste... je... ces écoles... je fais quoi si je peux pas faire ça ? j'en ai besoin. » imaginez un ado au coeur brisé. Mais promis, j'ai rebondi derrière. Saviez vous que vous pouvez assister à des cours en auditeur libre dans certaines écoles et que cela coûte soit rien, soit moins cher qu'une vraie inscription ? le jour où j'ai appris que je pourrais potentiellement suivre quelques cours des écoles de mon choix, j'ai repris confiance en mon projet. Il aura fallu 3 ans, durant lesquels j'ai enchaîné les petits boulots chez des vendeurs d'appareils photos et des photographes, avant d'apprendre cela. Après quoi, j'ai mis assez de côté pour pouvoir partir pour Sydney où la National Art School offrait des cours de Photomédia, pour se spécialiser dans les images pour les journaux, l'actualité et tout ça... Pendant 2 ans mes journées se sont divisées entre un boulot d'assistant photo pour un photographe de famille sur Sydney et les cours que je pouvais suivre en auditeur libre. Ces années m'ont servi à réaliser que je n'avais pas réellement besoin d'aller à l'école pour faire mon métier, mais aussi à prendre en confiance en moi, mon charme, ma vision, mon regard sur le monde et la qualité de mon travail. Officiellement je n'ai jamais eu le diplôme, mais entre ces cours et mon job, je suis devenu un photographe accompli et avant la fin de l'année scolaire pour mes "camarades" j'avais déjà été publié dans plusieurs journaux locaux. De photographe amateur, j'ai grandi pour devenir plus professionnel.

2014  ‧ love a little scandal
Ma première couverture. Un coup de folie, un billet sans retour pour Brazzaville, des soirs à squatter les bars des hôtels où je sais que des journalistes dorment en attendant de savoir où est le prochain conflit, la prochaine image importante, le prochain scoop... à coup d'autostop -j'ai traversé une partie de la Mauritanie à l'arrière d'un camion réfrigéré à boire du thé et jouer aux cartes avec des jeunes hommes qui parlaient pas anglais et moi pas français une fois- et de billets passés sous la table, j'ai atterri au Soudan. Ma première couverture était pour la revue Conflits, avec une photo d'enfants soldats. Si vous pensiez que les pires photos que j'ai prise étaient sur des lieux où des gens sont morts ou ce genre de choses, vous vous trompez. 23 ans, la peau tannée par des mois au soleil, la tête pleine de voix parlant des langues qui m'étaient souvent incompréhensibles et l'esprit dépassé par les violences dont j'étais témoin, j'ai posé les yeux sur un enfant une arme automatique autour du corps. Il avait sûrement à peine l'âge que j'avais quand j'ai pris un appareil dans mes mains pour la première fois... et pourtant on était l'un en face de l'autre, avec deux armes bien différentes. Ce moment a cimenté ma carrière à jamais. On était dans un village, le Soudan du Sud se déchirait autour de nous et ce garçon m'a laissé le prendre en photo et révélé au monde une réalité de la guerre que trop de gens choisissait d'éviter. Rentrer en Australie avec ce cliché vainqueur avait un goût doux-amer. J'étais fier et en même temps.. je ne pouvais pas m'arrêter là. Alors j'ai abandonné l'idée de photographier des gravas et des lieux bombés. Quand le conflit en Ukraine a éclaté quelques semaines plus tard j'ai pris l'avion direct pour pouvoir être sur place, et montrer ce que j'étais sûr que personne ne voudrait voir. Comment cette guerre toucherait les civils, vrais victimes des stratagèmes politiques d'hommes et femmes trop privilégiés et concentrés sur eux même pour réaliser que des vies entières étaient détruites au nom de quoi ? de l'ego des uns et des intérêts financiers des autres. Autant le dire, je n'ai pas cessé de bouger de ci et de là, à la chasse de l'image, du moment, de la vérité depuis. La photo de cet enfant est dans mon téléphone depuis bientôt 10 ans, je la remets en fond d'écran à chaque fois que je change pour ne pas oublier pourquoi je fais ça. Pour qui.

2015Rejoint l'agence de presse australienne AAP, retour régulier en Australie. Le premier appartement un peu stable, qui sert plus à stocker des affaires qu'à vraiment vivre. 

2018 ‧ love to hate her
Quand j'ai posé les yeux sur Avery Söderberg autant être honnête que 2 pensées se sont battues dans ma tête -enfin dans ma tête...-. Un, bordel qu'elle est sexy cette nana ? Vous ai-je déjà dit que mon crush plus jeune était Lara Croft ? Oui tout à fait, le personnage de jeux vidéos. Puis Evelyn Carnahan dans La Momie, Kida dans Atlantide, Sydney Fox... oui j'ai un problème avec les nanas avec un petit caractère, une capacité limitée à ne pas prendre de risques et un esprit vif. Je ne m'en cache absolument pas, je craque trop souvent pour une fille têtue qui risque sa vie pour ce qui la passionne. Et Avery... Merde, j'étais obligé d'admettre que ma première réaction à son existence était loin d'être une réaction très mature et intelligente. La deuxième pensée était bordel c'est une emmerdeuse de première. Et le fantasme c'est arrêté net. A noter que je ne "chasse" aucune fille qui va me donner plus mal à la tête qu'autre chose. Et il y a aussi l'expression on ne couche pas là où on mange que me répétait souvent les reporters et collègues que j'ai croisé au fil de mes escapades dans le monde. Leur conseil était surtout pour éviter de choper des MST dans des hôtels éparpillés dans le monde où beaucoup d'entre nous suivions les conflits politiques ou les détachements militaires à la recherche de l'info et l'image qui changerait le monde. Ces filles -et pas que- étaient souvent là autant pour nous vider les poches que servir d'espionnes pour des mafias locales ou des organisations pas plus licites. Et si au passage elles pouvaient nous refiler des saloperies, ce n'était pas tant leur faute que la nôtre pour notre manque de vigilance. Mais d'un autre côté, coucher avec des collègues n'était pas une option. Les mois de reportage peuvent être long. C'est tout ce que je veux dire. Avery donc. Elle était chiante. Elle est encore chiante. Je ne la connaissais pas vraiment à l'époque honnêtement, on a juste eu quelques mots un peu échauffés au bar d'un hôtel avant que je parte pour Le Caire où des histoires sortaient au sujet du Sinaï. Je ne me souviens pas exactement ce qui nous a fait nous prendre la tête - deux inconnus qui ne se recroiseraient sûrement pas de si tôt - mais jusqu'à aujourd'hui la sensation reste vive. Je me rappelle avoir pris une longue douche froide après ça et avoir ruminé dans l'avion. J'ai mis plusieurs jours avant de redescendre suite à cette histoire. Quand je l'ai recroisé des semaines plus tard à la rédaction d'un journal pour qui elle semblait travailler, j'ai évité ce petit bout de femme sans me poser plus de questions. Être sexy et attirante avec un sale caractère, ça ne peut m'apporter que des soucis.

2019 ‧ cette année sera le début de plusieurs années de remise en question, sur plein d'aspect. première relation sérieuse, première rupture sérieuse, première fois où je me suis demandé si je devrai pas poser mes valises quelque part pour de bon, premier doute sur le fait que j'arriverai un jour à refaire une photo aussi importante que ma toute première, premières inquiétudes sur la santé mentale de Hannah, premières réalisations sur l'état de notre famille et certaines des distances qui se sont créées... bref 2019 a été compliqué sous beaucoup d'aspect et quand l'internement de maman nous tomberait sur le coin de la tronche deux années plus tard, j'aurai été obligé d'admettre que cette année m'avait préparé à re-réfléchir à beaucoup de mes choix de vie. J'ai été obligé de faire le point, de respirer un coup et me poser les bonnes questions. Le diagnostic d'Alzheimer de notre mère est tombé en 2020, mon monde a été chamboulé. La séparation avec Eva pas digéré, les pronostics de santé de maman difficiles à accepter, le travail qui m'attirait toujours plus loin de l'Australie... c'était tant de choses qui m'ont plombé le moral du jour au lendemain. Je ne suis pas fier de tous les choix que j'ai pris à ce moment, mais c'était nécessaire. J'ai tenté d'être un bon ex, un bon frère, un bon fils; mais ce que je voulais c'était être un bon photoreporter. Quand la tension dans la famille autour de ça s'est un peu relâché j'ai sauté dans le premier avion. Loin de tout, je respirais mieux, je réfléchissais mieux et je me sentais mieux. Si on devait mettre un mot sur cette période, je crois qu'elle a consolidé un égoïsme dont je ne me pensais pas totalement capable avant. Pas au détriment de mes proches, mais tout de même un peu... Désolé la team, j'avais besoin de vivre pour moi. J'ai besoin de vivre pour moi.

août 2020 ‧ « Mason, attends ! pars pas tout de suite. Je sais que tu comptais joindre Taïwan pour couvrir des manifestations mais j'aurai besoin que tu laisses ça à Fitz. On a recruté une journaliste avec qui j'aimerai que tu bosses sur son prochain article..» Des dialogues comme ça, gravés dans ma mémoire des années après, alors qu'il y a de filles que j'ai oublié le lendemain de notre rencontre. Ce genre de changements de dernières minutes étaient assez "inattendus" pour que je le note mentalement je pense. Ce qui était encore plus inattendu c'est qu'on me donne juste des infos pour prendre un autre vol et qu'une fois à l'aéroport je me suis retrouvé devant Avery Söderberg. La journaliste en question était donc ce bout de femme imbuvable que j'avais recroisé une fois ou deux depuis notre première interaction mais avait pris soin d'éviter quand je pouvais. Je crois que mes mots précis à mon rédacteur quand j'ai vu la brune au même terminal que moi était « j'espère que tu te fous de ma gueule, je travaillerai pas avec une fille comme elle, c'est sûrement une super journaliste mais c'est une plaie, une plaie avec un cul incroyable mais une plaie quand même ! on se déteste okay ? non non vraiment, on ne peut pas se voir en peinture, elle te dira la même chose quand elle va savoir qu'elle doit travailler avec moi » un peu exagéré ? peut être. complètement inutile ? oui. J'ai pris cet avion, j'ai adressé la parole à Avery, j'ai eu droit à des remontrances pour avoir flirté avec l'hôtesse (elle a flirté avec moi, je n'ai fait que répondre) et j'ai passé 3 semaines à fuir ma camarade de reportage avant de rentrer en traînant des pieds. Notre reportage, ses textes, mes photos, ont été pourtant un si franc succès que notre rédacteur n'a pas compris pourquoi j'avais fait -je cite- le bébé avant le départ et que si le résultat de notre mésentente était de cette qualité, il espérait qu'on continuerait de s'insupporter l'un l'autre. Dans cette histoire je vous évite les pics constantes, son comportement insolent, sa manière d'écouter "son instinct" et risquer sa vie à quasi tous les tournants (je sais que j'ai dit que je trouve ça sexy, mais ça ne veut pas dire que je veux être derrière elle tel Nigel qui suit Sydney partout pour tenter de la sauver. J'ai une tête d'aventurier téméraire ?okay j'ai rien dit...). Bref, elle m'a fait suer. Et oui je lui ai rendu la monnaie de sa pièce mais ce n'est pas une excuse !

2021 ‧ have you seen my faith
« je bois ça et.. okay okay... » le Temazcal m'avait été vendu comme un rituel qui changerait ma vie, ma façon d'être, de me sentir, de croire, de vivre... bref. Une révolution personnelle. Je n'y suis pas allé parce que j'étais en quête de l'illumination ou pour retrouver ma foi perdue, détrompez vous. Je me suis retrouvé "par chance" après avoir clôturé un reportage à Cuba avec Avery encore une fois. Refusant de reprendre l'avion avec elle -des semaines déjà que je l'avais dans les pattes- j'ai décidé de faire un stop par le Mexique. Depuis des années, je savais qu'il y avait une forme de tourisme "spirituel" qui grossissait en Amérique Centrâle et du Sud et tant que j'y étais, j'ai voulu faire un stop pour voir si je pourrais prendre des photos intéressantes. Bien sûr les paysages, les visages, toutes les images que je pouvais capturer dans la région valait le coup. Mais une fois arrivé dans ce village j'ai pu observer la réalité de ce type atypique et comment des gens venaient des quatre coins du monde pour se purifier et changer la trajectoire de leur vie. Je ne suis pas vraiment journaliste donc je n'ai pas fait d'interview ou autre, mais avec des brides d'espagnol appris au fil des voyages, j'ai pu poser quelques questions et m'instruire. Le rituel que j'ai fait été une version plus soft que celle qui semblait affectée profondément tous les autres. Et sincèrement, je recommande l'expérience. A mon retour j'avais la tête claire, l'esprit bouleversé, des photos qui ont pu servir à illustrer des articles sur ces cérémonies qui fascinent les occidentaux et je me suis enfin posé. J'ai vidé mon "appartement/débarras" et j'ai enfin décidé de trouver un vrai lieu de vie. C'est ainsi que j'ai échoué à la Cité Radieuse. Le bâtiment m'a plu la première fois que je l'ai vu mais c'est surtout l'ambiance entre les voisins qui m'a marqué. Une sorte de famille dépareillée qui me rappelle la mienne et une chaleur... vous n'avez jamais connu un vrai accueil chaleureux avant d'avoir rencontré ce petit lot de gens. J'étais surpris au début mais ils m'ont vite donné envie de rester un peu plus qu'une nuit tous les 3 mois. J'ai décoré l'appartement, j'ai commencé à participer aux activités de la communauté et j'ai créé des liens que je n'avais pas vraiment su cultiver avec les années. Des amis j'en ai, des conquêtes aussi, quelques histoires de ci et de là, et j'adore mes frères et sœurs... mais trop souvent, ma fuite (ou poursuite) constante à l'étranger, m'a empêché de vraiment m'investir dans des relations humaines stables et de long terme. Prendre un vrai pied à terre et en faire un "chez moi" m'a fait du bien.

2022  ‧ Maman est internée... je n'ai pas de commentaires particuliers à faire sur la question. Je ne suis pas sûr de comment gérer mentalement la première fois où elle m'a vraiment regardé sans me reconnaître. Sans me reconnaître du tout. Sur les 2 dernières années depuis son diagnostic, je l'avais vu répéter les mêmes phrases plusieurs fois, assurer qu'elle se souvenait de ci ou de ça, s'énerver parce qu'on lui disait de penser à son sac à main en sortant avant qu'elle réalise qu'elle n'avait pas mis de chaussures... puis elle m'avait appelé pendant que j'étais à Kaboul un soir. Dehors c'était l'enfer mais c'est au bout du fil que j'ai vraiment eu la sensation d'être en pleine torture. Sa voix.. elle avait peur d'inconnus chez elle. Des gens qui étaient dans son salon en pleine nuit. Un des frangins étaient simplement passés vérifier qu'il ne manquait rien dans le frigo car parfois Hannah oubliait de faire des courses. J'ai dû la rassurer au téléphone, lui expliquer qu'il ne fallait pas appeler la police. Elle a terminé la conversation sur un Merci jeune homme, j'attends l'arrivée de vos secours rapidement alors. parce qu'en cours de conversation elle avait oublié qui elle avait appelé. Je ne lui ai pas reparlé de cet appel. Elle n'a pas besoin de ça. Son internement était une nécessité, pour sa santé, sa sécurité, nous rassurer aussi je suppose. Je déteste qu'on ait eu besoin de faire ça, mais en même temps je ne sais pas comment on aurait fait autrement. Impossible de déménager à temps plein chez elle, un matin sur deux elle ne sait même plus qui de nous huit est son enfant.. les aînés ça va encore, mais moi parfois je vais la voir sans savoir si elle me reconnaîtra. Bref. 2022 a été .. triste.

janvier 2024  ‧ interlude
le village est agité de rires et de conversations, le repas partagé en toute simplicité a mis des sourires sur les visages et les conversations remplissent l'air. des enfants pas encore couchés, vivifiés par la fête en cours, jouent entre les logements et le groupe assemblé autour d'un feu. l'alcool artisanal lui a brûlé la gorge au début mais Mason s'est amusé de la sensation et a vite succombé à un second verre en compagnie des gens qui les ont accueilli ses derniers jours. son appareil toujours autour du cou, il capture quelques photos plus ou moins bien cadrés de la petite assemblée puis pointe son objectif, concentré cette fois, vers le visage souriant d'Avery. La nuit s'étend autour d'eux mais au bord des flammes, il la voit sous un jour qu'il apprécie réellement. Quand elle sourit, qu'elle parle avec les gens, ses yeux brillent d'une lueur particulière. Belle. C'est le mot. Loin d'envies plus primitives qu'il a pu arborer en présence de la journaliste, ce soir -peut être que l'alcool aide- il la regarde avec une tendresse différente. Les derniers jours les avaient étrangement rapprochés, des conversations inattendues étaient nées entre eux, qui les avaient forcés à se regarder l'un l'autre sous un jour nouveau. A s'humaniser. A adoucir l'image qu'ils avaient l'un de l'autre. Il presse le déclencheur puis sourit à la brune quand elle le regarde. Etat-il passé à côté d'années entières à travailler avec elle où elle l'épiait avec amertume ou agacement, quand elle aurait pu le regarder avec autant de tendresse ? de joie ? Aurait-il dû mettre son égo de côté depuis longtemps, pour avoir droit à ça... ce compagnonnage, un partenariat qui lui réchauffe la poitrine et qu'il s'était refusé sous couvert de...? de quoi ? parce qu'ils ne s'entendaient pas sur tout ? parce qu'elle était une tête brûlée et lui un peu trop autocentré ? note à soi même, voir toutes les autres opportunités de bonheur qu'il avait raté à cause de son attitude. Elle l'approche et il lui offre un autre verre de la boisson offerte par les locaux. La conversation est un mélange de mots tendres, d'anecdotes, de 'on a dit qu'on parlait pas boulot ce soir' et de rires. Les choses qui se passent après sont de l'ordre du normal, la proximité et la familiarité entre eux les amenant forcément vers un autre niveau d'intimité. Il se laisse porter, et en même temps, pour la première fois depuis des années, le photographe n'a pas envie de prendre tout ça à la légère. Il ne fuira pas au réveil, il ne cherchera pas à l'éviter après... il a envie d'être là Mason. Avec elle.

mars 2024  ‧ if i could remember
Un bip régulier, la perfusion en intraveineuse et un mélange d'odeurs familières et de javel dans l'air. Et cette lumière blanche... « éteignez la lumière.. » c'est moi qui sonne comme ça ? putain j'ai mal en fait. La gorge sèche, la pateuse même, comme un réveil de gueule de bois. Peut être que c'est ça ? j'ai pris une énorme cuite la veille. Ça expliquerait la douleur. Les côtes douloureuses, le bras lourd... je sens mes pieds, ça va. Par contre je suis où ? les yeux qui s'ouvrent difficilement, bordel j'ai dormi combien de temps ? Le monde est blanc pendant un instant puis les formes, les ombres se précisent, puis enfin je reconnais plus ou moins que ceci n'est pas ma chambre. On est loin murs briques de l'appart ou de la lumière légèrement beige de ma chambre. Le blanc criard de l'hôpital me frappe de plein fouet et je soupire -ou grogne vu le son qui s'échappe de ma gorge- alors qu'une voix me parvient. Lily ? Non.. Avery ? « Qu'est-ce que tu fous là Söderberg ? » j'ai l'air désagréable ? oui bah désolée mais franchement,  si j'ai pris une cuite suffisante pour finir à l'hôpital, c'est pas sa tête à elle que j'ai envie de voir. Son nom m'échappe dans un râle, j'ai l'impression que parler n'est pas une bonne idée mais je réclame quand même qu'elle ferme les rideaux, ou au moins éteigne la lumière... « hey ? si c'est pour me fixer comme ça, tu peux regarder ma photo sur l'site de l'agence. Pas besoin de ça là. » On dirait qu'elle a vu un fantôme, d'une main j'essaie de redresser dans le lit quand une infirmière débarque enfin. La suite est un enchaînement flou de questions, d'informations et d'examens. Pas une cuite finalement. Un accident au Brésil. Qu'est-ce que je foutais au Brésil ? Mes frangins au courant, quelqu'un viendra bientôt me chercher. Des scans à faire. Un trauma crânien. Un bras dans le plâtre. Une amnésie légère. Légère ?? J'étais au Brésil les gars ! je suis épuisé et en même temps je veux des réponses. Pourquoi Avery était au pied de mon lit ? on était au Brésil ensemble ? Merde mon appareil photo. Personne ne sait où il est. J'ai mal. Rentrer maison puis on verra le reste. Amnésie légère... Des exercices à faire, un suivi psy et de la patience. Génial. Ravi d'être en arrêt hein.

présent
je me rappelle du Brésil. Enfin d'y avoir été. Après le retour de l'hôpital, on a tenté de m'expliquer comment je me suis retrouvée dans cet état et tout ce que j'aurai à faire pour me remettre sur pied. Avery est repartie rapidement finir ce qu'on avait commencé et si je trouve toujours bizarre qu'elle ait été là à mon réveil -5 jours de coma quand même...- j'admire son professionnalisme et le fait qu'elle veuille y retourner. J'aimerai y être (pas avec elle, enfin si mais non) pour finir aussi. Et mon matos est toujours incomplet. Impossible de remettre la main sur un de mes appareils. Dire que cela m'agace est un euphémisme. Personne ne réalise mon attachement à mon matériel. Les frangins ont chacun leur petit mot à dire sur ma santé, mon irresponsabilité.. sur un signe qu'il faut peut être que tu ralentisses le rythme. Même le patron de l'Agence m'a proposé de faire un break. Aller bosser tranquillement pour un journal du coin, le temps de pouvoir souffler un coup et peut être revenir avec l'esprit plus clair. Je comprends l'idée, je ne sais pas si je vais apprécier ce break mais je serai complètement débile de refuser. Un peu l'impression que l'univers réclame que je fasse une pause, me remette sur pied et fasse le point. Ou je pourrais continuer d'ignorer l'univers. A voir.


Dernière édition par Mason Mayhart le Jeu 23 Mai - 9:25, édité 21 fois
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· Mar 21 Mai - 21:56

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· Mar 21 Mai - 22:10

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id card : Alicia Vikander - avatar (labxnairs) - gifs profil et signa (reedmoranos) - code signa (awonaa)
pronom irl : Elle
multicomptes : callie (r.ferguson) - esma (m.calamawy) - vicky (r. zegler) - adelaide (e. olsen) - nils (c. hunnam) - mairead (s.miller) - taron (h.cavill) & joan (j. coleman)
à contacter : Avery
présence : présente

(mason) how did it end ? D53db35f8945d16038f9e921f4a561f31d636b44
âge : 32 années sur un compteur qui s'affole. Elle n'a pas vraiment envie d'avancer dans l'âge Avery, elle aime bien l'insouciance de la jeunesse... qui pourtant l'abandonne doucement.
statut civil : Célibataire ? En couple ? Elle ne sait plus réellement. Son coeur appartient à un homme qui a oublié qu'il l'aimait. Sans savoir si elle doit l'attendre... s'il se rappellera...
occupation : Journaliste. Une passion dévorante qui aurait pu lui couter plus d'une fois la vie. Elle n'arrêterait pour rien au monde... ou si pour une personne... un jour peut-être.
adresse : 237 Kangaroo Point - Maison typiquement australienne qu'elle a retapé voilà plusieurs années.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle
trigger : à discuter ensemble.
warning : général : abandon paternel - avortement (principalement)
infos rp : troisième personne - environ 500 mots - réponses régulières - dialogues en français idéalement.
disponibilités : mason 2 + mason 3 + marcus + hanae

réservés : noomi - brody - anastasia
full ( sur demande )

en vrac : (mason) how did it end ? Lc83
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· Mar 21 Mai - 22:11

@mason mayhart je m'installe confortablement (mason) how did it end ? 2675345329
scott si parfait pour mason je trouuuuve (mason) how did it end ? 3677209775

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maybe we’re just two stars born from different constellations, we were never meant to connect, oh, but how we tried, we screamed, but it was never enough.
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Mason Mayhart
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âge : trente-trois ans et toute ses dents
statut civil : célibataire jusqu'à preuve du contraire
occupation : photoreporter pour un journal local, travaillait pour une agence de presse avant
adresse : 533, west-end - appartement en rez de chaussé qu'il décore à peine
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : violences sur enfants/animaux
warning : guerre, blessure, amnésie, alzheimer
infos rp : je/il , répond quand je suis inspirée (mini une rep par semaine), pas de nombres de mots moyen
disponibilités : 1/3
- avery
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en vrac : 5e enfant des mayhart - toujours plus ou moins vécu à Brisbane - a une staffy de 2 ans - fait de la photo depuis l'enfance - joue au rugby dans son temps libre
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· Mar 21 Mai - 22:16

@Avery Söderberg j'vois ça (mason) how did it end ? 2222163309 fais comme si t'étais chez toi !
toutàfai d'accord, très heureuse de ce choix

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Lily Mayhart
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âge : la quarantaine atteinte, c'est début mai qu'elle a soufflé ses quarante-et-un ans et ça, ça lui fait peur, alors, comme tout ses problèmes, elle les noie dans l'ambre doré des fonds de bouteilles.
statut civil : mariage, amour, problèmes. de ce fait, Lily est célibataire, endurcie, au kilométrage dépassé question relations éphémères.
occupation : boulot où elle peut suffisamment bien gagné sa vie si elle a un bon mois, vendeuse automobile chez le concessionnaire cars made simple.
adresse : un petit deux pièces traversant à south bank&west end, le numéro 47, quatrième étage de l'immeuble.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
trigger : à discuter mais à part les principaux ; viol, racisme, violences infantiles..., j'en ai pas énormément
warning : alcool, drogue, sexe, infidélité, maladie, alzheimer, négligence infantile
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· Mar 21 Mai - 22:28

(re)Bienvenue chez toi (mason) how did it end ? 3832728143
Merci x1000 de prendre un des frères Mayhart (mason) how did it end ? 3677209775
j'ai hâte de jouer ce lien avec toi (mason) how did it end ? 3430183086

bon courage pour la suite, déjà la première partie me plait (mason) how did it end ? 1072267795

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· Mar 21 Mai - 22:31

@Lily Mayhart (mason) how did it end ? 1860857402 (mason) how did it end ? 4053624881 merci à toi d'avoir créé ce pl (mason) how did it end ? 3677209775
hâte de jouer tout ça !

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· Mar 21 Mai - 22:49

Rebienvenue dans ta maison (mason) how did it end ? 959938267
J'aime trop ta plume (mason) how did it end ? 4091013445 il va falloir que je repasse pour lire + en détail (mason) how did it end ? 3053517639
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· Mar 21 Mai - 23:06

Rebienvenue (mason) how did it end ? 3053517639
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pronom irl : [ she · her ]
multicomptes : [ jace jenkins ] (c. evans) ▫ [ meera flores ] (s. mitchell)
à contacter : [ le personnage concerné par le mp ]
présence : présence au moins tous les jours
rp selon l'inspiration et de l'irl

(mason) how did it end ? Cd72d6773ec49ce810a073dd355571dc2a1c81ff
âge : [ trente-quatre ans ] 〣
statut civil : [ célibataire ] 〣
occupation : [ lieutenant de police ] 〣
adresse : [ soon ] 〣
intervention pnj : Oui
pronom perso : [ he · him ]
trigger : [ aucun en particulier ] ۰ à discuter en amont.
warning : soon.
infos rp : (( nombre de mots )) selon l'inspiration, mais ça varie en moyenne entre 900 à 1800 mots ┄ (( réponses )) troisième personne au présent et en français ┄ (( fréquence de rp )) aléatoire selon mon inspiration et l'irl, mais lorsque l'inspiration est présente, en moyenne réponse dans les quinze jours voir trois semaines même si ça m'arrive parfois de répondre plus rapidement ou au contraire de prendre plus de temps.
disponibilités : (( totally full right now)) ◦ (00/03) ⠇ noor #01 (en cours) ⦙ jalen #01 (en cours) ⦙ intrigue st valentin (en cours) ⦙ billie #01 (in coming) ⦙ hanae #01 (in coming) ⦙ noe #01 (abandonné)
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· Mer 22 Mai - 0:07

Ta plume est toujours aussi agréable à lire et puis ce pl sans compter Scott et le métier dont je peux qu'être fan (mason) how did it end ? 3462987423 J'ai hâte de voir ce que vous préparez aussi avec Avery (mason) how did it end ? 1294587783

Re-bienvenue chez toi (mason) how did it end ? 3677209775
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Mason Mayhart
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· Mer 22 Mai - 10:48

Merci toi @Dorian Rowe (mason) how did it end ? 3677209775 j'avance j'avance dans la rédaction
@Neela Rowe merchi (mason) how did it end ? 3677209775
@Kai Butler merci (mason) how did it end ? 4091013445 et promis on concocte un petit truc sympa (mason) how did it end ? 2675345329 (mason) how did it end ? 2675345329

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Ruth Aslan
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pseudo : earithralia ✺
id card : M. Pamuk + awonaa // Crackship&Crap/gif+tumblr
pronom irl : Elle/She
multicomptes : Stella Rosales (B. Vargas) & Juliet Chapman (Tessa Thompson) & Billie Butler (E. Exposito) & Noor Winstead (C. Nadir)
à contacter : Stella Rosales
présence : PRÉSENTE
(mason) how did it end ? 950609b6026eb739117645e3134505f52efa7d8d
âge : trente-quatre ans. un âge parmi d'autres. Ruth a cessé de compter le jour de son trentième anniversaire. À quoi bon ? Le compteur ne cesse de tourner et quelques cheveux blancs se sont installés doucement sur son crâne.
statut civil : En couple avec Nils. L'amour reste complexe, mais elle l'aborde avec réalisme cette fois-ci. Prête à s'ouvrir à ce petit oiseau suédois, mais elle reste prudente.
occupation : Présentatrice d'un talk-show En pause de son rôle de journaliste reporter, elle lance "Spill the tea", son talk-show live de société et divertissement autour d'un thé et quelques chroniqueurs. Un virage audacieux de son ancien métier trop sérieux.


adresse : Appart' niché dans une ancienne usine réhabilitée à West End. Malgré les apparences, elle s'y plait.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : prise d'otage, terrorisme, violence, captivité, tromperie, dépression post-partum, fausse-couche, rupture
disponibilités : SUJETS EN COURS --
Wes :: Nils #3 :: best neighbors::Adela :: Nils #4
SMS --
Nils :: Marga :: Emery :: Keith :: Luther ::

en vrac :
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Workalcoholic ; turque jusqu’au bout des ongles ; parle couramment l’anglais et le turc ; a de bonnes notions d’arabe ; a connu la captivité durant plusieurs mois ; n’a pas sa langue dans sa poche, quitte à être parfois méchante ; aime la mode ; joue du piano ; fume en cachette pour se détendre ; a parfois l’impression d’errer sur terre ; ambitieuse ; capable de courir en talons ; joue de la guitare ; imbattable au scrabble ; a remporté plusieurs médailles de concours de dictée au collége ; posséde la légion d'honneur ; porte toujours de faux ongles ; bricole le dimanche ; piétre jardinier ; adore les potins ; voyager ; passe sa vie sur les réseaux sociaux ; coupe ses cheveux blancs pour ne pas les assumer ; n’a plus son permis mais conduit parfois sans; n’est pas douée pour la cuisine et adore manger à l’extérieur ; Mcdo ; mâche tout le temps du chewing-gum pour garder l’haleine fraîche ; a toujours sur elle son trousseau de maquillage… au cas où ; voue un culte à l'équipe de rugby australienne : les Wallabies ;

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· Mer 22 Mai - 11:15

Ohhhh mais ce perso quoi!!! C'est lui le fameux Mason (mason) how did it end ? 3928040945
J'ai sorti Ruth pour l'occaz', parce qu'il y a moyen qu'on se trouve un work connection (mason) how did it end ? 1294587783 (mason) how did it end ? 1294587783 (mason) how did it end ? 1294587783
Bon, toujours un plaisir de découvrir tes persos. (mason) how did it end ? 3832728143
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Adela Källström
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id card : vanessa kirby (ava ; dripping alchemy - sign ; tiny heart - gifs ; rosamndpik)
pronom irl : elle.
multicomptes : monroe (k. knightley) - josephine (f. allan)
à contacter : sur le compte concerné.
présence : Présente.
(mason) how did it end ? 3b93f1746e1fea0c613ff3d1f83e44bb4cbb5762
âge : Trente-quatre ans.
statut civil : Adela a enchaîné les conquêtes, batifolé et n'a jamais su poursuivre une relation plus de quelques mois. Une aventure naissante avec Jacob alors que leur relation était interdite il y a encore quelques semaines. Elle s'épanouie dans ses bras malgré les réticences de certaines personnes de son entourage.
occupation : Infirmière en milieu carcéral.
adresse : #164 south bank & west end.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : violences animales, violences faites aux enfants. - à discuter.
warning : revenge porn, vengeance, deuil.
infos rp : entre 500 et 1000 mots.
rp à la troisième personne du singulier, au passé.
réponse rapide.

disponibilités : rps en cours : CLOSE.

RhettJoelMeganValentinaAlarikNilsRuthJacob #6Special K † Avery † Elio †

sms :

RhettAlarikfamiljAveryJacobElio

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· Mer 22 Mai - 11:48

j'aime déjà trop ce que je lis. (mason) how did it end ? 1624950815
et puis scott quoi. (mason) how did it end ? 2982352239
(re)bienvenue chez toi. (mason) how did it end ? 959938267

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Mason Mayhart
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· Mer 22 Mai - 12:11

@Ruth Aslan (mason) how did it end ? 3677209775 il est bg hein ?
avec grand plaisir tu le sais bien (mason) how did it end ? 3462987423 hâte qu'on discute de çaaaaaaa

@Adela Källström merci (mason) how did it end ? 3677209775 (mason) how did it end ? 3832728143 contente qu'ils vous plaisent ! et oui scott (mason) how did it end ? 1537200355

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· Mer 22 Mai - 21:08

Je viens pour la fiche (mason) how did it end ? 3626511090
De mon côté tout me convient et je valide fort (mason) how did it end ? 3626511090
Je suis sur le téléphone mais j’ai hâte hâte de jouer avec Mason (mason) how did it end ? 1278070387

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Dora Oliveira
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statut civil : en couple depuis peu.
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warning : fausse couche, hypersensibilité, anxiété, blessure par balle, drogue douce.
disponibilités : dispo (1/6).

— rps en cours.
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www › harlan,, 3
www › harlan,, 4
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www › harlan,, 6
www › harlan,, 7
www › harlan,, 8
www › harlan,, 9
www › roomies,, 1
www › harlan,, 10
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· Mer 22 Mai - 21:18

rebienvenue parmi nous. (mason) how did it end ? 634866872
j'ai lu la première partie de ta fiche, je continuerai demain soir. (mason) how did it end ? 3045621873 mais il nous faudra de toute façon l'avis de @Lily Mayhart. (mason) how did it end ? 2487270743

édit : bon j'avais pas vu le post de mvdd entre-temps. (mason) how did it end ? 1705897797 mais je repasse quand même demain. (mason) how did it end ? 3462987423
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Mason Mayhart
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· Mer 22 Mai - 21:36

@Lily Mayhart (mason) how did it end ? 3677209775 (mason) how did it end ? 3677209775 (mason) how did it end ? 3677209775 (mason) how did it end ? 3677209775 (mason) how did it end ? 3677209775
@Dora Oliveira d'accord (mason) how did it end ? 3677209775 je vais attendre patiemment
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· Mer 22 Mai - 22:07

Re Bienvenue (mason) how did it end ? 2728
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(mason) how did it end ? SCYC6
âge : 26 ans. (19.12.1997)
statut civil : célibataire, un ex qui hante encore ses pensées. le cœur accroché à celui qu’elle a brisé par l'envie de voyager et de profiter de la vie. son grand amour sacrifié par ce besoin de sortir de sa zone de confort, crise existentielle en se perdant dans cette spirale. son cœur volage à enchaîner les nouvelles rencontres, tant d’effort pour l’oublier et pourtant elle n’est pas indifférente à celui qui lui a sauvé la vie.
occupation : apprentie pâtissière depuis que cette dame l’a prise sous son aile dans son café-pâtisserie et à ses heures perdues, elle est barmaid et chanteuse au starlight. nouveau départ, se tissant un chemin dans ce domaine où elle entrevoit la lumière après avoir renoncé à ses études et à sa carrière de surfeuse pro. l'étoile déchue des suites d’un accident qui a mis fin à sa carrière trop tôt, mais ça ne l'empêche pas d'avoir toujours la passion.
adresse : nouvelle maison dans le quartier branché à fortitude valley qu'elle partage avec ses colocs depuis quelques mois.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : violences sexuelles, cruauté animale, contenu sexuel explicite.
warning : famille dysfonctionnelle, abandon parental, dépression, décès d'un proche, cardiomyopathie, anxiété de performance, violence psychologique, accident de surf, noyade.
disponibilités : archer + bailey + finn. ~ 0/3 CLOSED.
en vrac : (mason) how did it end ? 9d8f74954c652a5495e1b2de7fb91f49c016e2cf
présentation : présentation
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· Mer 22 Mai - 22:46

(re)bienvenue parmi nous. (mason) how did it end ? 3053517639

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(Onе day we'll meet again) Little star. Feels like you fell right on my head. Gave you away to the wind. I hope it was worth it in the end. I know this thing is broken so I leave my door wide open. Been some time sincе we've spoken. Onе day we'll meet again.
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Azhar Saleh
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MEMBRE ☆ old wounds
you got a little more to prove
Azhar Saleh
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messages : 1029
rps : 93
pseudo : youngblood.
id card : ahmad kontar + aeroplvne (av) + staff bhc (code sign) + miserunt (icons) + huntingpearls (img profil)
pronom irl : elle
multicomptes : sailor (tamino), sierra (r.consentino), kendall (v.hacker), ilsa (m.lafontan) & declan (h.dickinson)
à contacter : sierra.
présence : présente, réponses le week-end
(mason) how did it end ? 2b90c8846fc3e7067f9129d55c408c1ae0a75a02
âge : 30 ans, d'aucuns diraient qu'il est en plein âge d'or, mais lui sent le poids du temps qui l'a eu à l'usure, et son corps déjà grinçant d'avoir été trop malmené.

statut civil : seul avec sa langueur, prêt à se plier en quatre pour un regard qu'il s'épuise d'attendre.

occupation : boxer professionnel, boxeur clandestin, l'appétit de destruction rassasié dans tous les rings. et les gains, dilapidés dans les casinos. les tables de poker comme amantes damnées, pas pour le fric, mais pour le frisson.

adresse : un loft au 17, sb&we. des ceintures et trophées gagnées à la force de ses poings de partout, en guise de déco, et un chien errant dans les pattes.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : hard no : inceste, pédophilie, viol. // selon comment c'est abordé : agression sexuelle, violences conjugales, grooming & relations avec gros écart d'âge. // on peut plus en discuter par mp.
warning : addiction au jeu, violence, grossesse non désirée, abandon paternel.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi.
style rp : j'écris en il ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en olivedrab, français ou anglais.

disponibilités : parlons-en par mp/discord.
en vrac : i bet on losing dogs ; kinsley #3
badlands ; elizabeth #2

présentation : présentation
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· Jeu 23 Mai - 14:26

j'adore le caractère, mason est vraiment haut en couleurs (mason) how did it end ? 3462987423 (re)bienvenue chez toi I love you

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(no church in the wild) human beings in a mob, what's a mob to a king? what's a king to a god? what's a god to a non-believer? we'll make it out alive, no church in the wild.
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Elias Federman
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MEMBRE ☆ midnight love
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Elias Federman
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rps : 5
pseudo : Percival
id card : Ronen Rubinstein (Avatar : Myself / Gif de profil : hqroleplaygifs - Tumblr)
pronom irl : Il / Lui
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âge : Il est né le 03/08/1994. Il a 29 ans est en route pour la trentaine. Le jour de son anniversaire, il a bien l'intention de faire une méga-fête comme il les aime.
statut civil : Actuellement, célibataire, il a divorcé depuis le 15/03/2018. Il est le père d'une petite fille, prénommée Sarah, née le 23/01/2014 et résidant avec sa mère en Israël.
occupation : Elias est chanteur, auteur et compositeur. Son style musical est plutôt tourné vers la pop et le rock. Jusqu'à récemment, il a fait quelques boulots pour arrondir ses fins de mois.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il / Lui
trigger : Aucun
warning : Homophobie / Rejet familial / Conservatisme religieux / Mariage arrangé / Violences
infos rp : Entre 600 et 1200 mots selon l'inspiration et mon temps de disponibilité.
J'écris à la troisième personne du singulier, au passé.
Je peux répondre 1 à 3 fois par semaine, selon mon emploi du temps.

disponibilités : Plutôt disponible en semaine car j'ai souvent des week-ends hors de chez moi.
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· Jeu 23 Mai - 17:54

Re-bienvenue à toi !
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Harlan Myers
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Harlan Myers
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pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : joe keery (lionheart@av ; sweetpoison@sign, ; stefansalvatored@gif))
pronom irl : elle.
multicomptes : maverick, moisés johann, senàn, arshan, hasan et joel.
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
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âge : trente-et-un ans, maintenant, il commence à faire attention à son âge, la nouvelle dizaine, elle fait mal.
statut civil : en couple avec leo, en bonne passe pour oublier dora et les blessures causés par l'échec.
occupation : reporter de guerre, carrière dont il est fier et qu'il compte bien mener loin.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
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· Jeu 23 Mai - 18:18

rebienvenue à la maison (mason) how did it end ? 1742403198

_________________
Trying so hard to get over you

Wanna go back to the place where we started At the party, I see you, but you keep your guard up. We could be something special if you wanted I'm afraid that if we try to You would just give up.
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Mason Mayhart
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Mason Mayhart
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pseudo : day.light
id card : @Kidd
pronom irl : elle
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à contacter : joy
présence : quand je peux
(mason) how did it end ? DTTkfm
âge : trente-trois ans et toute ses dents
statut civil : célibataire jusqu'à preuve du contraire
occupation : photoreporter pour un journal local, travaillait pour une agence de presse avant
adresse : 533, west-end - appartement en rez de chaussé qu'il décore à peine
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : violences sur enfants/animaux
warning : guerre, blessure, amnésie, alzheimer
infos rp : je/il , répond quand je suis inspirée (mini une rep par semaine), pas de nombres de mots moyen
disponibilités : 1/3
- avery
- hanaë

en vrac : 5e enfant des mayhart - toujours plus ou moins vécu à Brisbane - a une staffy de 2 ans - fait de la photo depuis l'enfance - joue au rugby dans son temps libre
(mason) how did it end ? Avason2

présentation : présentation
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· Jeu 23 Mai - 18:36

Hihi merci à tous
Très hâte de jouer ce petit bout d'homme !
@Azhar Saleh ouiii je promets qu'il sera tout aussi cool en jeu

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(ironic) it's a death row pardon two minutes too late and isn't it ironic... don't you think. it's like rain on your wedding day, it's a free ride when you've already paid, it's the good advice that you just didn't take and who would've thought... it figures

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courage avery (mason) how did it end ? 2269198987:
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Simon Gallagher
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MEMBRE ☆ instant crush
and we will never be alone again
Simon Gallagher
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pseudo : utopiandelusion.
id card : François Civil (avatar @panicstation / gif @utopiandelusion / crackship @RAMPLD + @utopiandelusion).
pronom irl : Elle
multicomptes : Zahra (G. Farahani)
à contacter : Simon
présence : Présent
(mason) how did it end ? 7s6g
âge : Vingt-neuf ans, même s’il tente de prouver que l’âge n’est qu’un nombre et qu’il ne le définit pas.
statut civil : Fier de pouvoir enfin crier au monde qu'il est en couple avec Callie, qu'importe leur différence d'âge et les obstacles qui pourraient tenter de barrer leur route.
occupation : Ingénieur du son indépendant, il travaille la majeure partie de son temps pour le Queensland Performing Arts Centre. Quand il ne bidouille pas sur une console ou un ordinateur, ses doigts dansent sur son synthé.
adresse : #400 new farm, dans la maison du bonheur. Il s'est retrouvé là-bas il y a un peu plus d'un an et ne s'imagine pas devoir en partir un jour.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : violences sexuelles, violences animales, pédocriminalité
warning : dépression, suicide
infos rp : (longueur) Entre 500-1000 mots (rythme) Réponse rp tous les 7-10 jours environ, plus fréquemment pour les sms, etc. (écriture) 3ème personne du singulier, présent, dialogue en français (couleur dialogue) #ad4f09
disponibilités : (en cours - FULL) irwancallie #2victorialukatc barbecue

(terminés) callie #1

en vrac : (mason) how did it end ? Hz3q
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· Jeu 23 Mai - 20:15

Re-Bienvenue chez toi (mason) how did it end ? 959938267

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    you drew memories in my mind i could never erase. you painted colors in my heart i could never replace.
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(mason) how did it end ?
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