TW : dépression, suicide
âge & naissance : Né le 3 juillet 1994 à Brisbane, en Australie. Il n’a que vingt-neuf ans, même s’il tente de prouver que l’âge n’est qu’un nombre et qu’il ne le définit pas. Il a toujours eu cette maturité qui fait de lui plus qu’un simple jeune dans sa vingtaine. origines & nationalité : Né d'une mère française et d'un père australien, on ne peut lui retirer son charme de frenchie. Ayant vécu les premières années de sa vie en Australie, impossible de déceler le moindre petit accent mais il ne peut cacher sa préférence pour la prononciation française de son prénom. finances et emploi : $$$$$, sa passion pour la musique ne l’a jamais rendu ni riche, ni célèbre. A défaut d'avoir percé avec son synthé, il s’est lancé dans de courtes études non loin de sa passion. Il est ingénieur son indépendant mais travaille principalement pour le Queensland Performing Arts Centre. statut civil : Amoureux transi d’une femme plus âgée qui n’assume pas leur relation. Il ne parle pas de sa liaison en dehors de son cercle de proches, mais espère pouvoir s'afficher aux yeux de tous. orientation sexuelle : Il n’a connu que des femmes, sans jamais se questionner sur l’étiquette à poser à son orientation. Il n’est pas opposé à quoi que ce soit. situation familiale : Père disparu, mère décédée il y a quelques années. Il ne reste que lui et sa sœur. Elle est tout pour lui, son point d’ancrage, l’amour le plus fou qui puisse exister. signe astrologique : Cancer, le pur et dur. Ce cancer qui pue le romantisme et qui est une source infinie de créativité. le pire tue-l'amour : Il n’est pas trop du genre à s’attarder sur des petits détails, mais le manque d’hygiène reste rédhibitoire aux yeux du jeune homme. un fantasme : Rien de très extravagant, mais faire l'amour sur des musiques classiques ça lui fait clairement quelque chose. à Brisbane depuis : Il y est né et y a vécu jusqu’à ses 10 ans avant d’aller s’installer à Paris, lorsque son père a quitté sa mère. Il est revenu à Brisbane il y a 5 ans lorsqu’elle est décédée. traits de caractère : Loyal - Sensible - Sociable - Désordonné - Généreux - Attentionné - Respectueux - Taquin - Débrouillard - Réaliste - Pacifique - Optimiste - Protecteur - Trop gentil - Fêtard - Doux.  avatar : François Civil (françaises).

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romantisme (100%)	level de drague (60%)
engagement (100%)	passion (90%)
performance au lit (80%)	fidélité (100%)
nombre de cœurs brisés (10%)	recherche de l'amour (60%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Même s’il n’est pas obsédé par l’amour et qu’il n’a jamais été le genre de garçon à chercher à tout prix à se mettre en couple et tomber amoureux, il en croit dur comme fer à l’amour Simon. Il croit en cette connexion absolue entre deux êtres, à la fidélité éternelle, à la passion. Bien évidemment, ce n’est pas quelque chose qu’on ressent pour toutes les personnes que l’on fréquente. Le vrai amour, ça nous tombe dessus qu’une ou deux fois. Peut-être même jamais pour ceux qui n’ont pas la chance de croiser leur moitié. Il sait qu’il est jeune Simon, pourtant ce qu’il vit avec elle en ce moment, c’est bien tout ça. Il se moque de leur écart d’âge et de ses méfiances à s’engager réellement avec lui. Parce que c’est ça aussi le grand amour, ce n’est pas simple et ça se travaille un peu.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
On ne peut pas vraiment dire qu’il ait connu la grosse et fameuse déception amoureuse Simon. Ce qu’il a connu de plus proche, c’était une histoire à la fin du lycée, lorsqu’il a cru bon que de se mettre en couple avec une amie de longue date et membre de son groupe de musique était une bonne idée. Parce qu’elle était sa première, il y croyait avec naïveté et s’est beaucoup investi mais leur relation s’est avérée un vrai fiasco. Il faut croire qu’ils n’auraient jamais dû franchir la ligne fine entre une amitié forte et une relation amoureuse. Il a été déçu de leur séparation, mais loin d’avoir le cœur brisé. Après elle, il n’a fréquenté qu’une ou deux filles sans grands sentiments. S’il y a bien une personne qui pourrait lui briser le cœur, c’est elle pourtant. Celle qu’il fréquente actuellement et qu’il aime si fort que la chute serait monumentale. Quelque chose auquel il ne préfère pas songer.

(FAMILLE) De son père, Simon ne conserve que des brisures de souvenirs flous et éparpillés. Ce dernier a quitté le foyer familial lorsque les enfants étaient âgés de dix ans. Du jour au lendemain et sans même un adieu pour ses enfants. C’est donc entouré de femmes qu’il a grandi Simon, un détail qui joue probablement dans sa façon d’être. Il a toujours été très proche de sa sœur, sa moitié, tout comme de sa mère. Ils formaient un beau trio, soudés, et partageaient tout. Pourtant leur bonheur familial a été lentement terni par la santé mentale de leur mère. Elle n'a jamais connu d'autre homme par la suite et n’a jamais cessé d'aimer celui qui l'avait abandonnée, toujours dans l’attente, toujours avec l’espoir qu’il lui revienne. De longues années de dépression et de traitement ont conduit à un acte malheureux en 2019. C’est sa sœur qui l'a retrouvée, inerte, sur le canapé recouvert de boîtes de médicaments. Bien que son suicide ait été terriblement choquant et douloureux pour les enfants, cela a été aussi un grand soulagement pour deux jeunes gamins qui ne supportaient plus de voir la souffrance quotidienne de leur mère. Depuis, Simon et sa sœur sont plus proches que jamais.

(PARIS) Le départ de leur père n’a pas uniquement changé la vie de leur mère, puisqu’il a eu un impact considérable sur la culture des deux enfants. Afin de recevoir l’aide nécessaire dans une période si douloureuse, ils sont tous les trois allés vivre à Paris, ville d’origine de Catherine. Ils ont grandi dans un appartement social du vingtième arrondissement, profitant de la proximité géographique de leur tante et de son mari. Elle n’aurait probablement pas réussi sans elle Catherine. Trop bouleversée, trop dissipée. Après dix ans en Australie, le choc culturel a été plutôt important mais il s’en est bien sorti. Un français très satisfaisant, un anglais irréprochable. C’est en écoutant un sans abri dans le métro à la sortie du collège qu’il s’est découvert un intérêt pour la musique. Paris lui a d'ailleurs tout appris, la beauté des courbes architecturales, les plaisirs simples de la vie, les rencontres furtives, l’art sous toutes ses formes, ou encore le réconfort des terrasses ensoleillées. Lorsque sa sœur a décidé de retourner à Brisbane au décès de leur mère, quitter la ville lumière lui semblait impensable. Il l’a fait, pourtant. Le peu de semaines qui l’a séparé de sa sœur étant bien plus pénible que l’idée de clore un beau chapitre de sa vie. Malgré la distance entre ses deux villes de cœur, Simon ne manquera jamais une occasion d’aller flâner dans les rues pavées de la capitale française.

(MUSIQUE) Avec un talent indéniable et une passion toujours plus débordante, Simon a rapidement évoqué son désir de suivre des cours de musique, puis d’évoluer dans ce monde, rêvant d'être sur la scène pour jouer ses propres compositions. Il a démarré quand il avait treize ans avec des amis d’enfance. C’est tout naturellement qu’il s’est dirigé vers le piano, pour lequel il a suivi des cours de solfège classiques, puis vers le synthé pour son côté plus moderne. Réaliste quant à son futur de musicien professionnel, il a préféré s’orienter vers des études plus concrètes avec la certitude de décrocher un boulot. Avec son travail d’ingénieur son, il parvient à effleurer l’univers de ses rêves d’une certaine manière. Sa créativité, il la laisse parler sur son temps libre avec son groupe. Il aime la multitudes d’inspirations musicales qui prennent forme dans leur musique. Pas de prise de tête, que du plaisir brut.

(AMOUR FOU) Il n’oubliera jamais la première fois qu’il l’a vue. Cette belle femme, élégante et magnifique. Il travaillait au théâtre un soir de représentation, tandis qu’elle venait voir la pièce. Il n’a pas pu s’empêcher de l’aborder maladroitement, de plaisanter. Ça a été pour lui un véritable coup de foudre. Maladroit, il a pris son courage à deux mains et l’a invitée à boire un verre, invitation qu’elle a acceptée. Puis il y en a eu un autre, et d’autres encore, et voilà qu’ils se fréquentent depuis sept mois maintenant. C’est la première fois qu’il ressent de tels sentiments pour quelqu’un. Elle lui donne l’envie de se surpasser et de lui prouver qu’il est prêt à tout. Ni son âge, son passé et son enfant ne sont un problème à ses yeux.

(COLOCATION) Lorsqu’il a décidé de retrouver sa sœur à Brisbane, Simon s’est d’abord installé chez elle pour la facilité et pour des raisons financières évidentes. Ayant vécu toute leur vie ensemble, leur cohabitation s’est prolongée pendant quelques années sans encombre. C’est seulement il y a un an qu’il a décidé de voler de ses propres ailes. Incapable de vivre seul, il s’est trouvé une chambre dans une grande maison à New Farm. Il a été immédiatement séduit par cette grande colocation, le bruit dans les couloirs de la maison, ses habitants, ses histoires. C’est animé, parfois sale, souvent rempli d’inconnus, mais c’est ce qu’il aime tant. Il ne se voit pas vivre ailleurs pour le moment.

(EN VRAC) Il n’a jamais fumé de cigarette, hormis celle qu’il a essayée comme tout adolescent qui se respecte. Il lui arrive cependant de fumer de l'herbe de temps à autre, principalement en soirée. // Probable héritage de sa vie parisienne, le jeune homme est un fou de bière. C’est d’ailleurs sa principale boisson en dehors de l’eau, puisqu’il n’est pas un grand fan des cocktails trop sucrés ou des alcools forts. // Il rêve d’avoir un chien et songe à faire les yeux doux à ses colocataires afin d’obtenir leur accord. // Décidé à devenir un bon cuisinier, il passe son temps à regarder des vidéos sur youtube et suit de nombreux comptes dédiés sur instagram. Son plat fétiche - parce que c’est celui qu’il réussit le mieux pour le moment - est le risotto aux champignons. // Il s’amuse parfois à jouer le français typique, en caricaturant son accent ou jouant sur les clichés, bien souvent pour amuser ses colocataires. // Il n’a pas son permis. Lorsqu’il était à Paris, il se déplaçait uniquement en transports en communs, à Brisbane il prend principalement son vélo électrique.

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