Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : Trente-quatre ans depuis février 2024, Irwan continue de profiter de la vie en la prenant comme elle vient.
statut civil : Papillon volage, être sans limite. Il est libre comme l'air ; plus célibataire que jamais. Irwan est très ouvert sexuellement parlant, et clame même une certaine liberté sexuelle.
occupation : Le jour il est bibliothécaire à la médiathèque municipale de Brisbane. La nuit il est dealer des drogues qu'il consomme lui-même.
adresse : Il vit en colocation au 400 à New Farm. Il loge dans la deuxième chambre du premier étage.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il
trigger : violence envers les animaux, viol, inceste.
warning : Communauté hippie - drogues - addiction - vol - deuil - perte d'un être cher - liberté sexuelle.
infos rp : - 500 / 1200 mots environ.
- 1 rép / 2 semaines
- #A251A2
S'il se pense discret, Keith se trompe. La porte de sa chambre est fermée plutôt bruyamment, confirmant à Irwan que la voie est libre. Enfermé dans sa chambre, le cadet O'Connor se colle à sa porte pour écouter les bruits dans les lieux communs. Keith descend les escaliers en trombe avant de claquer la porte d'entrée dans la précipitation. Soit. Il doit avoir une urgence. Son état aurait dû inquiéter Irwan mais le brun est trop centré sur ses propres problématiques pour s'inquiéter de l'état de son frère ainé. L'une des principales étant l'argent. Irwan a besoin de blé, constamment. Son minuscule salaire de bibliothécaire ne lui suffit pas. D'autant que celui-ci part entièrement dans la drogue, dans son loyer – lorsqu'il décide de le payer – mais surtout dans les poches de sa communauté hippie. Irwan leur file tout son oseille. Il n'a pas tellement le choix. On lui répète souvent que même s'il n'habite pas avec eux, il doit participer aux achats quotidiens, à leurs dépenses hebdomadaires. Il a beau leur filer gratuitement du LSD, ça ne suffit pas. Jamais. Irwan ne voit pas le problème. Comment le pourrait-il alors que c'est la communauté hippie qui a réussi à le sortir de ses deuils ? De l'aider à remonter la pente ? Certes, à cause d'eux, il a replongé dans la drogue et dans ses addictions les plus terribles. Mais il se sent désormais heureux Irwan. Il est enfin entouré de personnes comme lui, intelligentes, tendres, douces. Des individus qui ne vivent que d'amour et d'eau fraiche ; comme lui. Il est heureux. Grâce à eux. Et pour que cela perdure, il doit continuer de les aider financièrement. Quémander son entourage ne suffit plus. Ses parents refusent le lui filer un billet de plus ; idem pour ses trois frères ainés. Alors la seule solution qu'il a trouvé Irwan, c'est de voler ses colocataires. Il fouille dans leurs poches de blousons, dans leurs sacs. Sa principale victime étant son frère ainé, Keith, avec lequel il vit désormais depuis quelques mois. Dès que Keith s'absente, Irwan pénètre dans sa chambre pour lui dérober ne serait-ce qu'une pièce de monnaie. Et quand il ne trouve pas d'argent, Irwan leur vole leurs provisions pour éviter de s'acheter lui-même de quoi bouffer. Il fait écho à cette réputation qu'a toujours eu la famille O'Connor dans leur quartier quand ils étaient gosses ; ce sont des voleurs, des voyous.
Clope au bec, Irwan l'écrase contre la poignée métallique de sa chambre avant de donner une chiquenaude sur son mégot en visant le cendrier sur son lit. Irwan sort lentement de sa chambre, un fier sourire dessiné sur ses lèvres. Il est sûr de son coup. Si Keith est parti aussi précipitamment, il y a de fortes chances pour qu'il ait oublié son portefeuille dans sa chambre ! Ce soir c'est jackpoooot ! Irwan marche sur la pointe des pieds pour ne pas se faire surprendre par Ruben, son voisin de pallier. Est-ce que Keith a fermé sa porte à clé ? Irwan a remarqué que depuis la fois où il l'a surpris dans sa chambre, Keith a commencé à verrouiller sa porte dès qu'il quitte les lieux. Ce n'est pas systématique, mais suffisant pour que le cadet O'Connor fasse le lien avec lui. Il doit quand même vérifier et glisse donc ses doigts sur la poignée. Par chance, elle glisse tranquillement sans se bloquer ; signe qu'elle n'est pas fermée. Snow a dû entendre la grabuge avec son ouïe surdéveloppée puisqu'il monte les escaliers comme un fou et vient se frotter aux chevilles du brun. Irwan sourit, mais n'a pas le temps pour câliner le fauve. Il ouvre très lentement la porte pour éviter de faire le moindre bruit, le chat entrant en premier juste avant lui. À son tour il rentre, sans regarder à l'intérieur puisqu'il s'affaire à refermer lentement la porte après son passage. Le plus silencieusement possible.
Dès qu'il se retourne pour observer les lieux, et surtout chercher par où il doit commencer à fouiller, Irwan tombe nez-à-nez avec une silhouette qu'il ne connait pas. Un hurlement strident s'échappe d'entre ses lèvres, tant il est surpris par cette présence inattendue. Putain de merde !! C'est qui celle-là ?! Le brun plaque ses mains sur ses lèvres pour ne pas alerter plus ses colocataires, alors que ses yeux ne peuvent s'empêcher de parcourir le corps presque entièrement dénudé face à lui. C'est plus fort que lui, il la reluque Irwan. Il faut dire qu'elle est canon la demoiselle. Irwan serait trop bête pour ne pas en profiter.
– T'es qui toi ?! Et qu'est-ce que tu fous là ?! demande bêtement le cadet O'Connor, en se doutant bien que la brunette face à lui doit être une des charmantes conquêtes de son ainé. Il la tutoie sans la moindre gêne, tandis que ses yeux cessent enfin d'observer sa poitrine pour remonter jusqu'à son visage. Sympa, ne peut-il s'empêcher de commenter avant de lui offrir un sourire amusé. Quel coquin ce Keith ! Et surtout, quel cachotier !
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(somebody to love) When the truth is found to be lies and all the joy within you dies. Don't you want somebody to love ?
Livia Castillo
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
paper rings
messages : 2885
rps : 49
pseudo : Jamie.
id card : Danna Paola - isharewhereiwant (avatar), fromtheastralsea (bannière profil), Elina (gif profil), mingicodes (code signature), sœurdelune (icons signature), Alicia Gallienne (citation signature).
pronom irl : Elle.
multicomptes : Jules de Sario (Hailee Steinfeld).
à contacter : Ce compte ou Jules de Sario, comme tu préfères
présence : Présente
âge : Vingt-neuf ans, née le 7 mai 1995.
statut civil : Célibataire et pleinement satisfaite de cette situation qui lui permet de papillonner quand elle en a envie. Tomber amoureuse et se faire briser le cœur, elle a assez donné, Livia ; désormais, c'est à son bien-être qu'elle a décidé de penser.
occupation : Animatrice de la libre antenne nocturne de la branche radio d'ABC Brisbane, c'est sa voix qui vous accompagne dans vos insomnies et qui vous offre des conseils pour votre vie sentimentale qu'elle-même n'applique absolument pas de son côté.
adresse : Un loft au numéro 87, en plein cœur du quartier de South Bank & West End. Il est beaucoup trop grand pour une seule personne alors, depuis peu, Kaleb l'a rejoint, bousculant ses habitudes – pour le meilleur.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle.
trigger : Violences animales, psychophobie, violences sur les personnes âgées.
warning : Mentions d'alcool, de tabac et de relations sans engagement, deuil/décès, maladie (cancer), problèmes familiaux.
infos rp : (fréquence) passage sur le forum quotidien, RP minimum une fois toutes les deux semaines. (nombre de mots) entre 500 et 1200, mais je m'adapte. (dialogues) en slategray. (full) mais on peut en discuter si besoin
keith#2#3 and i'm aware that you were lying in the gutter, 'cause i did everything to be there by your side. so what do you wanna do, what's your point-of-view, there's a party soon, do you wanna go ? another way to feel what you didn't want yourself to know, another way to be where you didn't want yourself to go, is that a compromise ?
Lorsque Livia ouvre les yeux d'une sieste qui lui est tombée dessus sans prévenir, son réflexe est de jeter un coup d'œil sur l'écran de son téléphone portable, quelque part à sa droite ; il est presque vingt heures. Génial. La brune prend encore quelques secondes pour s'étirer, balaie les alentours d'un regard pour détecter la présence de Snow. Il n'est nul part : elle se dit, sans trop y songer pour autant, qu'il a sans doute retrouvé son spot préféré quelque part en bas, lassé d'attendre que Livia daigne se réveiller pour pouvoir lui prodiguer quelques caresses. Il lui faut quelques secondes, pour comprendre l'absence de Keith à ses côtés : le brun est parti travailler peu de temps avant qu'elle ne s'endorme, et Livia avait proposé de l'attendre dans sa chambre pour qu'ils puissent passer la fin de soirée ensemble. Depuis qu'ils se fréquentent officieusement, ce n'est pas la première fois que Livia se retrouve seule dans cette chambre, à attendre le retour de son ami. D'ordinaire, elle préfère rentrer chez elle, par crainte d'abuser de sa gentillesse. Mais cette fois-ci, l'animatrice s'est retrouvée piégée par son propre rythme de vie et sans même s'en rendre compte ; elle ne se souvient même pas d'avoir fermé l'œil.
La brune frisonne tandis qu'elle s'extrait du lit, trop éloignée du confort et de la chaleur de la couette à son goût. Elle ne porte qu'un tee-shirt bien trop grand pour elle, emprunté dans l'armoire de Keith, et une culotte : pas étonnant, que le contact avec le froid de l'extérieur soit aussi douloureux et désagréable. Elle ouvre le placard à sa droite, s'empare d'un bas de jogging gris ; elle était à peine en train de l'enfiler, la cambrure de son corps laissant la part belle à une vue sur sa poitrine dénudée dans l'ouverture de son tee-shirt, lorsque la porte s'ouvre soudainement à quelques mètres. Surprise, Livia demeure figée, observant un parfait inconnu s'évertuer à refermer la porte le plus discrètement possible derrière lui. Snow profite de l'ouverture pour se frayer un chemin entre ses jambes, venant doucement ronronner aux pieds d'une Livia à l'air toujours aussi interdit. Le brun qui vient de faire irruption dans son espace personnel ne semble pas encore avoir remarqué sa présence : tout affairé à tenter de ne faire aucun bruit ni aucun mouvement trop ample, ce n'est qu'au bout de deux longues minutes qu'il se retourne enfin vers Livia, qui hurle à son tour ; elle n'en a que faire, la brune, d'alerter la colocation toute entière, voire le quartier et tous les voisins.
Le jogging est enfilé en un temps record. Pour la forme, la brune s'empare d'un sweat gris lui aussi, bien décidé à dissimuler au regard de l'indélicat sa poitrine pour laquelle il semble pris d'une soudaine admiration, en témoigne son regard insistant et perturbant. Elle pourrait presque s'inquiéter, Livia, tant elle a du mal à comprendre s'il pense à respirer dans la manœuvre. Une carpe sortie de l'eau aurait plus de prestance. « C'est bon, t'as fini de te rincer l'œil ? Je peux t'envoyer un selfie si t'as besoin de t'en souvenir plus tard, hésite pas surtout. » Elle est furieuse, Livia. Pas tant de l'intrusion, en réalité : après tout, elle n'est pas chez elle, et les méprises de ce genre sont parfaitement excusables puisque possibles. Mais la réaction de l'inconnu devant elle, en revanche, ne lui inspire rien d'autre qu'un profond dégoût : sa manière de la détailler sous toutes les coutures, d'ouvrir des yeux grands comme ceux des loups des cartoons qu'elle regardait quand elle était enfant... Désormais pleinement rhabillée, la brune réduit la distance qui les sépare à grandes enjambées, s'emparant du poignet d'Irwan qu'elle plaque contre la porte de la chambre et qu'elle oblige, de la sorte, à soutenir son regard noir. « Toi, t'es qui ? Un pervers qui s'introduit dans des maisons au hasard ? T'as deux minutes pour me convaincre de pas appeler la police. » Avec un frisson nauséeux, Livia resserre son emprise sur l'inconnu. Elle pense à la femme qui vit ici, avec les autres, et qu'elle a déjà croisé à quelques reprises par le passé et qu'elle a déjà salué. Qui sait ce qui aurait pu se passer, si ce gars bizarre était tombé sur elle avant Livia ?
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le vol prématuré de l'équilibre
J'ai les yeux plus gros que le ventre, c'est vrai, mais je ne peux tout de même pas rétrécir le paysage aux dimensions de mes faiblesses.
Irwan O'Connor
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : Trente-quatre ans depuis février 2024, Irwan continue de profiter de la vie en la prenant comme elle vient.
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occupation : Le jour il est bibliothécaire à la médiathèque municipale de Brisbane. La nuit il est dealer des drogues qu'il consomme lui-même.
adresse : Il vit en colocation au 400 à New Farm. Il loge dans la deuxième chambre du premier étage.
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pronom perso : Il
trigger : violence envers les animaux, viol, inceste.
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Le besoin de thune ça le fout toujours dans des situations merdiques. S'il a cette capacité à voler aisément, il est loin des talents de ses frères ainés. Quand ils n'étaient que des gosses, ses grands frères avaient des capacités supérieures à la moyenne pour dérober des objets insolites – ou de l'oseille – à leur voisinage. Foutre le boxon ça a toujours été leur truc à eux. Des voyous ; c'est tout ce qu'ils ont toujours été. C'est en tout cas ainsi que les voyaient leurs voisins à l'époque, et ce qu'ils continuent de penser de certains d'entre eux lorsqu'ils passent rendre visite à leurs parents. Ceux qu'ils redoutent le plus c'est bien lui, Irwan, le drogué. Celui dont la réputation ne l'a jamais quitté, jamais délaissé. Il a beau être celui à l'apparence la plus innocente, la plus fragile, Irwan dégage tout de l'aura d'un criminel. Il est gentil, pourtant, et a toujours ce sourire tendre qu'il adresse à tous les passants. Il a toujours été doux, tendre et à l'écoute des autres. Surtout depuis qu'il a rejoint secrètement une communauté hippie, et qu'il vit que d'amour et d'eau fraiche. Pourtant, il demeure chez lui cette réputation et cette attitude qui ne l'ont jamais quitté. Irwan est un voyou. La preuve, il vole même son propre frère. C'était en tout cas le plan, jusqu'à découvrir la présence de cette femme dans sa chambre.
Keith et lui n'ont jamais été très bavards l'un envers l'autre. Ils ne se sont jamais tellement confiés sur leur relation amoureuse respective ; tout du moins, sans vraiment entrer dans les détails. Et ces derniers temps, depuis que son aîné l'a surpris en train de fouiller dans sa chambre, leur relation semble en avoir pâti. Il lui confie encore moins de choses ; et certainement pas ce qui explique ses tourments de ces dernières semaines. Car le cadet O'Connor voit bien que son frère n'est pas au mieux de sa forme, que quelque chose le tracasse, mais il n'arrive jamais à faire poser les choses par Keith. En même temps, ils se voient que rarement. Lorsque Keith est à la 400, Irwan passe ses journées au travail puis aux côtés de sa communauté hippie ; et quand c'est lui qui est là, Keith travaille ou est de sorti il-ne-sait-où. Alors cette femme dénudée, elle sort de nul part. Inconnue au bataillon, dont Irwan n'a strictement jamais entendu parler. Et si c'était qu'un coup d'un soir, elle aurait déguerpi bien avant. Keith n'aurait jamais laissé une inconnue seule, dans sa chambre. C'est évident.
La réplique cinglante de la jeune femme ramène Irwan sur terre et le force à la regarder droit dans les yeux. Très vite, il se sent gêné de l'avoir maté de la sorte. Il n'a jamais été respectueux avec les dames. Son attitude ne lui ressemble qu'à moitié et le voilà donc à lancer un regard désolé à l'inconnue qui doit être véritablement gênée d'être dans un tel accoutrement face à lui. Il n'a pas le temps de présenter ses excuses oralement qu'il se retrouve déjà plaqué contre la porte de son frère, les poignets en l'air. La violence ça l'a toujours terrifié. Qu'importe la personne qui lui assène des coups ou se montre violent envers lui, femme comme homme, Irwan a toujours été un fragile, un faible. Son corps se met soudainement à trembler. Lui, son truc, c'est la paix dans le monde. C'est ce qu'il proclame à longueur de journée, aux côtés de la Rainbow Community. Son palpitant s'accélère alors que soudainement, il se transforme en véritable petit garçon.
– Aieuuuuuh. Non.. Je.. Désolé ! lâche-t-il sans essayer de se libérer de la poigne de la femme, réellement en panique.
Punaise, elle fait flipper cette meuf ! Son cœur continue de s'accélérer tant il redoute de se recevoir un coup qui abimerait son beau visage aux traits parfaits. Ses paupières papillonnent dans tous les sens alors que ses iris s'accrochent à celles de la brunette.
– Je suis le frère de Keith et c'est chez moi ici ! pardon, pardon, pardon, je ne voulais pas te mater mais... T'es canon aussi ! Il a de la chance, le salaud, essaye-t-il de la faire rire alors qu'il affiche un regard sincère et vraiment désolé. Et toi t'es qui ? Tu peux peut-être m'expliquer ta présence ici, bien que je la devine, après m'avoir rendu ma liberté, non ? propose-t-il finalement d'une voix toujours tremblante. Ah... Décidément. Irwan restera toute sa vie ce fragile, incapable de se libérer de la poigne d'autrui. D'une femme plus petite que lui, qui plus est...
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Livia Castillo
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âge : Vingt-neuf ans, née le 7 mai 1995.
statut civil : Célibataire et pleinement satisfaite de cette situation qui lui permet de papillonner quand elle en a envie. Tomber amoureuse et se faire briser le cœur, elle a assez donné, Livia ; désormais, c'est à son bien-être qu'elle a décidé de penser.
occupation : Animatrice de la libre antenne nocturne de la branche radio d'ABC Brisbane, c'est sa voix qui vous accompagne dans vos insomnies et qui vous offre des conseils pour votre vie sentimentale qu'elle-même n'applique absolument pas de son côté.
adresse : Un loft au numéro 87, en plein cœur du quartier de South Bank & West End. Il est beaucoup trop grand pour une seule personne alors, depuis peu, Kaleb l'a rejoint, bousculant ses habitudes – pour le meilleur.
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keith#2#3 and i'm aware that you were lying in the gutter, 'cause i did everything to be there by your side. so what do you wanna do, what's your point-of-view, there's a party soon, do you wanna go ? another way to feel what you didn't want yourself to know, another way to be where you didn't want yourself to go, is that a compromise ?
Le regard qu'il pose sur elle lui donne la nausée. Au départ, Livia ne réfléchit pas vraiment aux raisons logiques qui pourraient expliquer sa présence ici : elle n'est pas certaine d'avoir déjà rencontré l'ensemble des colocataires qui vivent avec Keith, et il pourrait très bien être l'un d'entre eux, après tout. Evidemment, cela ne justifie en rien sa présence dans la chambre du brun, et encore moins à pas de loup comme s'il tentait au mieux de ne pas se faire repérer par quiconque. Elle est observatrice, Livia : elle voit bien la culpabilité dans le regard d'Irwan, l'attitude corporelle de quelqu'un qui n'a pas vraiment de raison de se trouver là où il est actuellement, et peu importe le bagout supposé avec lequel il tente pourtant de s'exprimer et probablement de détendre l'atmosphère. Mais ce n'est pas ce qui la préoccupe le plus, Livia : son objectif numéro un est définitivement de lui faire perdre son air satisfait et son sourire en coin, peu importe si elle doit jouer le rôle de la méchante. Sa technique a l'air de fonctionner : Irwan se tasse, se fait soudainement plus petit. Les supplications ont remplacé les coups d'œil déplacés et la blonde ne peut s'empêcher de lever les yeux au ciel quand elle prend conscience qu'il semble craindre une quelconque violence de sa part. Elle ne se bat qu'avec les mots, l'animatrice. « Calme-toi, je vais pas te frapper. » Elle relâche doucement son emprise, croise les bras sur sa poitrine. Ses yeux lancent toujours des éclairs et, malgré la réaction plutôt défensive du brun qui se trouve en face d'elle, Livia ne sait toujours pas si elle a envie de lui faire confiance ou non.
Et puis, Irwan ouvre la bouche, et la blonde sent son sang bouillonner de nouveau. Elle est presque fascinée, de constater l'aisance avec laquelle le jeune homme s'exprime quand il s'agit de débiter un nombre affolant d'offenses à la minute. Dans une autre vie, Livia serait peut-être admirative de ce qu'elle pourrait considérer comme un talent brut, d'agacer autant rien qu'avec la parole. « Promets-moi de ne plus jamais essayer de complimenter une inconnue, s'il te plaît. En fait, n'essaye plus jamais de complimenter qui que ce soit, t'es vraiment écœurant. » Elle grimace, Livia, parce qu'elle n'arrive toujours pas à se sortir de la tête l'expression avec laquelle il l'a dévisagé quelques minutes plus tôt. « Et puis, t'as beau être le frère de Keith, ça justifie toujours pas pourquoi t'es ici, et encore moins pourquoi t'as essayé d'entrer avec autant de discrétion. » Elle s'adoucit un peu sans perdre de son venin, la blonde, car elle semble percevoir un semblant de sincérité derrière le regard du jeune homme. Keith lui a déjà mentionné vivre avec son frère : rien d'étonnant de ce côté d'autant que, maintenant qu'elle le dévisage à son tour, Livia réussit à percevoir des traits de ressemblance. Pas une surprise, que le chauffeur de taxi n'aborde que très peu le sujet de sa famille : s'ils sont tous aussi déplacés qu'Irwan... « Je m'appelle Livia, et toi ? » Elle répond finalement, toujours un peu sur la défensive mais sensiblement plus ouverte à la discussion que quelques minutes plus tôt. Irwan peut être sûr qu'elle mettra cependant un point d'honneur à informer Keith de tout ce qu'il se passe dans sa chambre quand il n'est pas là. « Je suis une amie de Keith, il est parti travailler mais on doit passer la fin de soirée ensemble alors, je l'attends ici. » Au fond, le brun n'a pas besoin de connaître en détails ce qui la lie à son frère. Dans tous les cas, Livia n'a jamais réellement apprécié devoir se justifier auprès de qui que ce soit mais, dans le cas présent, elle est totalement étrangère au reste de la colocation de son ami et estime logique de devoir s'exprimer sur sa présence quand Keith est absent. « Tu cherches quelque chose ? Je peux peut-être t'aider ? » Qui sait : si elle se sent d'humeur charitable quelques heures plus tard, elle pourra peut-être aider Irwan à passer son message. Mais pour le moment, il n'y a que de l'ironie et du sarcasme, derrière ses paroles faussement polies.
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