TW : Mentions d'alcool, de tabac et de relations sans engagement, deuil/décès, maladie (cancer), problèmes familiaux.
âge & naissance : Vingt-huit ans, née le 7 mai 1995 à Brisbane, en Australie. Dès qu'elle a été en âge de voler de ses propres ailes, Livia en a profité pour enchaîner les séjours à l'étranger et voir le monde, mais son cœur finit toujours par la rappeler à sa ville de naissance. origines & nationalité : Australienne born mais pas tout à fait raised, il lui arrive parfois de se demander si ses parents seraient parvenus à éprouver davantage de fierté à son égard si elle était née à Guadalajara comme Moisés. Car les racines mexicaines sont omniprésentes chez les Castillo, et Livia a été élevée dans l'importance des traditions d'un pays qu'elle n'a malheureusement jamais connu. finances et emploi : $$$$$, mais pas seulement grâce à la fortune familiale. En réalité, cela fait bien longtemps que la brune a pris son indépendance financière, en même temps que son indépendance morale et celle de ses valeurs. Elle n'a jamais manqué de rien et n'a jamais pu l'oublier, le discours paternel prenant bien soin de le lui rappeler à chaque occasion, mais c'est bel et bien son métier d'animatrice de la libre antenne nocturne de la branche radio d'ABC Brisbane qui la fait vivre aujourd'hui. Ce n'est pas tout à fait une vie de luxe ni d'opulence, mais suffisamment pour considérer qu'elle a la chance de posséder un train de vie bien au-dessus de la moyenne. Livia est passionnée par ce qu'elle fait, et peu importe si son père continue de grincer des dents quand quiconque mentionne son métier en sa présence. Pas suffisamment ambitieux à ses yeux, sans doute. statut civil : Célibataire aguerrie, Livia n'est pas une adepte des relations longues. Elle préfère papillonner lorsqu'elle en ressent le besoin et l'envie, et elle affirme à quiconque veut bien l'entendre que cette situation lui convient parfaitement. Officiellement, peut-être ; officieusement, c'est une autre histoire. orientation sexuelle : La brune ne s'est jamais réellement posé la question, se considérant hétérosexuelle puisque son regard n'a, pour le moment, été attiré que par des hommes. situation familiale : Benjamine d'une famille traditionnelle mexicaine, Livia a été élevée dans un environnement catholique stricte, accompagné d'une bonne dose de patriarcat et d'étroitesse d'esprit. Tout ce que la brune a très tôt renié, incapable de se reconnaître dans une éducation faussement bien-pensante et aux valeurs exiguës. De toute manière, personne n'a jamais réellement attendu quoique ce soit de la part de Livia : figure du vilain petit canard par excellence, elle s'est rapidement noyée dans la masse d'un grand frère parfait et d'une grande sœur prête à tout pour tirer son épingle du jeu. signe astrologique : Sa date de naissance en fait une Taureau pure souche et, puisque l'astrologie fait partie d'un des domaines pour lesquels la brune se passionne tout particulièrement, Livia sera ravie de vous expliquer pourquoi, à son avis, ce signe astrologique lui colle à la peau. le pire tue-l'amour : Probablement tout ce qui s'apparente à une dynamique de couple similaire à celle qui a caractérisé la relation de ses parents. Malgré ce qu'on a pu lui enseigner lorsqu'elle était enfant, Livia croit dur comme fer à l'égalité entre les hommes et les femmes, et tout ce qui ressemble de près ou de loin à du machisme chez ses amants a tendance à la faire fuir. Elle n'est pas un simple accessoire que l'on exhibe à son bras lorsque cela nous arrange, pas plus qu'une jolie poupée incapable de penser par elle-même : à ses yeux, le manque de respect et de considération n'a pas sa place dans le jeu de la séduction. un fantasme : Ce n'est pas qu'elle n'en a aucun, Livia, bien au contraire. Mais l'avantage d'avoir eu plusieurs amants, c'est que la brune a déjà eu l'opportunité de plus ou moins tous les réaliser. Lorsqu'elle a une nouvelle idée en tête, elle ne se prive pas pour l'exprimer à voix haute et, si son partenaire est consentant, ils se lancent immédiatement. à Brisbane depuis : toujours. Livia connaît la capitale du Queensland sur le bout des doigts, du nord et sa vie nocturne à son sud bohème. Elle en a parcouru chaque recoin, et a probablement des anecdotes à raconter dans chacun de ses lieux emblématiques. Si elle l'a souvent quitté, portée par son envie de voyage, elle considère Brisbane comme sa maison depuis toujours, et pour toujours – probablement. traits de caractère : Sûre d'elle, de ce qu'elle veut et surtout de ce qu'elle vaut, Livia n'a jamais attendu qu'on lui dicte une voie toute tracée pour trouver la sienne. Esprit rebelle, têtue et déterminée dans tout ce qu'elle entreprend, elle vit très mal l'échec et ne supporte pas lorsque les choses ne se déroulent pas comme elle l'avait imaginé. Un brin matérialiste, la brune a toujours aimé profiter des belles choses de la vie et ne s'en est jamais cachée. Si on la considère parfois comme possessive et jalouse, Livia est en réalité très attachée à ses proches, et leur voue une fidélité sans précédent. C'est bien simple : elle est prête à tout pour les protéger. La brune est également connue pour son honnêteté tranchante, peu adepte des pincettes : elle n'a pas sa langue dans sa poche, et n'hésite pas à exprimer son opinion lorsqu'elle en ressent le besoin. Loin de s'arrêter aux premières impressions pour émettre un jugement sur les personnes qu'elle rencontre, Livia a réussi l'exploit de s'extraire du carcan familial pour devenir à la fois indépendante, persévérante, ouverte d'esprit et tolérante. avatar : Danna Paola (mexicaine) – icons (c) gt-icons (tumblr).

(l'impératrice) Pendant longtemps, la tempérance et la douceur de sa mère a été un point de repère essentiel dans la vie de Livia. Elle la trouvait courageuse, forte, menant de front l'éducation difficile de trois enfants aux caractères parfois opposés et l'obligation d'arrondir les angles lorsque son mari agissait avec maladresse, comme elle aimait le définir. Elle voyait bien à quel point Isabela pouvait parfois s'effacer derrière Juan, devinait derrière ses sourires douloureux et ses approbations murmurées qu'elle n'était pas toujours d'accord avec les opinions de son mari, qu'elle aurait probablement souhaité être en mesure de faire valoir son propre point de vue plutôt que de toujours laisser faire, silencieusement. Mais dans leur schéma familial, ce n'était pas une chose permise ni même tolérée, alors Livia ne pouvait pas s'empêcher de lui prendre doucement la main lorsqu'elle la voyait se taire, les épaules légèrement affaissées, le regard éteint. La brune la couvrait de sourires, d'affection, de soutien, désireuse de toujours lui faire comprendre qu'elle ne la mettait pas dans le même panier que son père, quand bien même Isabela n'avait jamais réellement osé prendre le parti de sa fille face à son mari. Ce n'était pas si grave, au fond. L'amour maternel qu'elle lui offrait était bien suffisant. Et puis, un jour, sa mère est tombée gravement malade. Livia l'a vu se battre corps et âme contre le cancer, et a tenté tant bien que mal de la soutenir autant que possible dans cette épreuve dont l'injustice flagrante la rendait difficile à comprendre ou à concevoir. Elle lui racontait des histoires, lui chantait des chansons, restait à son chevet lors des nuits difficiles. La brune s'efforçait de ne pas pleurer devant elle, parvenant parfois à se convaincre qu'il était impossible que sa mère ne puisse mourir un jour. Elle était bien trop forte, bien trop lumineuse pour finir par s'éteindre. Et puis, un matin, le ciel a fini par rappeler l'une de ses plus belles étoiles et, depuis, Livia n'est jamais parvenue à faire son deuil. Au fond, elle n'est pas certaine d'en avoir réellement envie : ce serait comme passer à autre chose, tourner la page, laisser partir cette mère qui lui manque terriblement chaque jour qui passe. Et ça, rien que la simple idée lui est insupportable. Mais elle a gardé tout ça pour elle, Livia. Son père était loin d'être le confident idéal et avait son propre deuil à gérer, son frère et sa sœur également. De toute façon, elle n'avait jamais eu besoin de personne, la brune. Ou était-il moins douloureux de le croire ?

(l'empereur) Ce n'est pas qu'elle n'aime pas son père, Livia. Elle connaît son histoire, sait pertinemment qu'elle devrait ressentir de la gratitude à son égard – et, en un sens, c'est ce qu'elle ressent. Mais pas seulement. Il a beau avoir travaillé dur pour leur offrir une vie de rêve, il a beau s'être illustré dans son ambition par une réussite professionnelle qui force le respect, la brune ne parvient pas à lui pardonner ses valeurs poussiéreuses, son manque de tolérance, ses erreurs d'éducation flagrantes. Bien sûr, élever trois enfants n'est pas tous les jours facile, Livia en est consciente. Encore moins depuis la mort de leur mère, c'est certain. Mais, depuis toujours, la brune a ressenti ce besoin incontrôlable de s'opposer à la figure paternelle des Castillo, la nécessité de lui faire comprendre que malgré ce qu'il avait voulu leur faire croire depuis toujours, le sexisme n'avait plus sa place dans ce monde. Elle s'est souvent sentie seule, dans ce combat. Personne n'avait jamais osé élever la voix face à Juan auparavant, personne ne s'était imaginé qu'il était possible de contredire un seul de ses ordres, de ses idéaux. Mais puisque Moisés demeurait silencieux, à la limite de l'approbation, et qu'au fond Camila ne cherchait rien d'autre qu'un regard fier posé sur elle, il fallait bien que Livia s'en charge, de cette rébellion délicate. Un rôle qui lui colle désormais à la peau, tant elle est douée, à ce jeu. La brune est rapidement devenue le vilain petit canard Castillo, celle dont son père prononce à peine le prénom en dehors des salves de reproches qu'il a à lui adresser sur son métier, ses études, son look, à peu près tout ce qui compose de près ou de loin ce qui fait de Livia, eh bien, Livia. Cette dernière, quant à elle, ne laisse rien passer à Juan, n'hésitant jamais à pointer du doigt ses incohérences, ses fautes, ses absences, tout ce qui fait de lui, eh bien, Juan. Cette querelle familiale dure désormais depuis des années et la brune ne comprend toujours pas par quel miracle elle n'a pas encore été déshéritée. Parfois, cette relation bancale la fait souffrir plus qu'elle ne voudrait se l'avouer. Souvent, Livia se sent triste à l'idée que, peut-être, il n'existera pas un seul jour de son existence où son lien avec son père ne sera pas simplement empreint de rancœur et d'amertume. Mais, plus souvent encore, la brune est certaine de ne pas être en mesure de lui concéder des années de préjugés et d'étroitesse d'esprit.

(le monde) Lorsqu'elle a été suffisamment âgée pour comprendre ce qui se passait autour d'elle, Livia s'est soudainement sentie à l'écart de sa famille, incapable de trouver sa place parmi les siens. Ils avaient beau être une fratrie soudée lorsque l'on creusait au-delà de leur éducation stricte et restrictive, la brune ne parvenait pas à comprendre ce que l'on attendait d'elle, dépassée par un frère parfait et une sœur au rôle de princesse familiale. A sa majorité, et après l'obtention de son diplôme à la fin de son lycée, Livia a tourné le dos à l'université et, par conséquent, à son père, qui n'attendait qu'une telle décision de sa part pour achever de ne plus réellement la considérer comme une héritière digne de ce nom. Elle a profité de ses économies issues de ses anniversaires et de ses différents jobs d'été pour voyager où elle le pouvait, échappant alors au carcan familial. Autour du monde, c'était comme si elle pouvait respirer de nouveau : la brune a observé, appris, ri et beaucoup pleuré mais, surtout, elle a grandi. Elle a tenu bon quelques mois, réussissant à grapiller quelques dollars australiens supplémentaires en effectuant divers petits boulots qui ne demandaient pas beaucoup d'expérience, avant de finir par se résigner à rentrer à Brisbane lorsqu'il ne lui fut plus possible de vivre de ses finances personnelles. La brune a souffert de son retour : son père ne lui adressait presque plus la parole, Camila était désormais pleinement occupée par sa start-up, et Moisés semblait s'être enfoncé si profondément dans son rôle d'héritier des Castillo que Livia le reconnaissait à peine. Elle a fini par renouer doucement avec son quotidien, appréciant de nouveau les plaisirs de la vie australienne, mais il est certain que, dans un coin de sa tête, l'idée de voyager de nouveau un jour est toujours profondément ancrée.

(la force) Livia est tombée dans le monde de la radio par hasard. A son retour à Brisbane, et pour gagner de quoi vivre sans devoir demander de l'aide à son père, elle s'est mise en quête d'un job facile d'accès, et qui ne lui demandait pas d'avoir de diplôme précis. Grâce à une amie, elle s'est fait embaucher dans la branche radio d'ABC Brisbane en tant qu'assistante. Au départ, elle n'avait pas énormément de responsabilités : elle rangeait le studio, préparait les fiches des animateurs, s'occupait de l'arrivée des invités quand il y en avait, touchait parfois au standard quand la situation le demandait. Et puis, un jour, Livia a eu l'occasion de remplacer une des animatrices de la libre antenne nocturne alors que celle-ci était malade et, de fil en aiguille et à force de faire ses preuves, elle a fini par décrocher une place officielle au sein de l'équipe. Elle officie désormais à plein temps, et ne changerait de métier pour rien au monde. Livia aime échanger avec les auditeurs, les conseiller sur les problèmes qu'ils rencontrent, recevoir de leurs nouvelles quand ils ont eu le courage de déclarer leur flamme à leur crush ou de demander leur life partner en mariage. Sa petite équipe est devenue comme une deuxième famille, et elle se sent parfaitement à l'aise à cette place. Bien sûr, il ne s'agit pas réellement de la carrière rêvée par son père, mais qu'importe. Livia est consciente que gagner sa vie en faisant ce que l'on aime n'est malheureusement pas possible pour tous, et elle se considère comme chanceuse.

(l'étoile) Lorsqu'elle ne travaille pas, Livia passe rarement du temps dans son loft pour autant. Du genre à faire le mur quand elle était adolescente pour veiller aux bornes d'arcade avec ses amis du lycée jusqu'au petit matin, véritable party girl depuis qu'elle a l'âge légal pour boire de l'alcool, la brune apprécie sortir, faire la fête, rencontrer de nouvelles personnes, lier des amitiés ou des relations éphémères. Lorsque le cœur lui en dit, elle ne rentre pas seule. Lorsqu'elle sent que ses batteries sociales sont à plat, elle saute dans le premier taxi qui la ramènera au West End où elle finira par s'endormir devant un film en noir et blanc – une autre de ses passions. C'est bien simple : Livia est de toutes les soirées, de tous les évènements mondains ou plus confidentiels, se plaisant à les organiser elle-même lorsque cela lui est possible. Ce trait de caractère, ajouté à son métier au quotidien, lui vaut une petite notoriété sur les réseaux sociaux mais, fort heureusement, pas encore les scandales et désagréments qui y sont trop souvent associés.

(la tempérance) Malgré son fort caractère qui peut parfois donner l'impression que Livia manque d'empathie, elle a en réalité une affection immense pour les animaux, et ce depuis toujours. Livia a longtemps supplié ses parents d'adopter un animal de compagnie, mais ces derniers ont toujours refusé, prétextant que s'en occuper était trop contraignant et qu'ils manquaient de temps. Quand elle est devenue majeure, elle s'est donc engagée pendant un temps en tant que bénévole dans un refuge animalier mais, lorsque son tour du monde l'a obligé à se tenir éloignée de Brisbane pendant trop longtemps pour continuer son engagement, elle a été contrainte de quitter ses fonctions à contrecœur, se promettant d'un jour contribuer de nouveau à la cause animale du mieux qu'elle le pourrait. C'est maintenant chose faite : depuis qu'elle gagne bien sa vie, Livia fait des dons à différentes associations luttant pour cette cause tous les mois et elle a réalisé son rêve d'enfant en adoptant un chien dans le refuge qui l'avait accueilli des années en arrière. Depuis, Puchi ne la quitte plus. Il est le seul à pouvoir l'apaiser quand les choses vont mal, et leurs longues balades dans la nature font office de pansements à chaque fois qu'elle sent ses anciennes blessures se rouvrir.

(le bateleur) Depuis peu et sur son temps libre, Livia s'essaye au chant et à l'écriture de chansons. Elle n'en est qu'à ses débuts et elle n'est même pas certaine de vouloir en faire autre chose qu'une passion éphémère, mais la brune apprécie la créativité qu'elle ressent lorsqu'elle couche sur le papier les pensées qui, parfois, lui brouille l'esprit. Elle n'a pas un niveau professionnel, Livia, et elle ne prend même pas de cours de chant. Pour cette raison, mais également par pudeur et parce qu'il n'est pas question d'en faire son métier un jour, personne n'est au courant autour d'elle, pas même ses plus proches amis. Pour autant, ce désir de rester secrète à ce sujet ne l'empêche nullement de chanter à tue-tête dans le studio radio pendant les coupures pub, ou encore de supplier le responsable de l'antenne de la laisser faire le prochain jingle de l'émission. Un jour, elle y arrivera : c'est certain.

(random facts) Son prénom officiel est Olivia, mais personne ne l'a jamais réellement appelé ainsi, et tout le monde s'adresse à elle sous le surnom de Livia depuis toujours. Tout le monde sauf son père, bien entendu. Surtout lorsqu'il s'agit de lui reprocher quelque chose ♡ Livia fume depuis l'âge de quinze ans, initiée par sa meilleure amie de l'époque. Elle a beau prétendre ne pas être dépendante du tabac et pouvoir arrêter du jour au lendemain si l'envie lui prend, la vérité est qu'elle a déjà essayé d'arrêter deux fois par le passé et que la manœuvre a toujours été un échec ♡ Elle a adopté un chien il y a six mois, un Labrador Retriever mâle qu'elle a appelé Puchi et qui ne la quitte que très rarement ♡ Comme l'ensemble de sa famille, elle est parfaitement bilingue en espagnol, et s'en sert très régulièrement ♡ Au grand dam de son père qui n'y a vu qu'une manière supplémentaire de défier son autorité, Livia possède plusieurs piercings : septum, helix, industrial et daith. Sans oublier le triple lobe, bien entendu ♡ Livia a une collection de parfums impressionnante, appréciant en changer régulièrement et/ou en fonction des occasions et des périodes ♡ Elle est très forte en imitation, et fait toujours un carton aux réunions familiales lorsqu'elle s'amuse à imiter les Castillo à tour de rôle ♡ Livia rêve de créer son propre podcast qui tournerait autour des questions d'égalité et d'inclusion, mais elle n'a pas encore trouvé le temps de se pencher suffisamment sur la question pour créer quoique ce soit d'assez qualitatif pouvant répondre à ses (hautes) exigences ♡ Son sens de l'orientation est désastreux. Elle en rit souvent, persuadée qu'elle serait capable de se perdre dans Brisbane qu'elle connaît pourtant comme sa poche.

(m) · relations d'un soir.
Elle aime plaire, Livia. Elle apprécie ce sentiment de bien-être qui accompagne chacun de ses flirts, aime la fébrilité qui se superpose à l'attente d'un message, d'une publication sur les réseaux sociaux, d'un like déposé sur une photo. C'est toujours flatteur, de savoir que l'on intéresse quelqu'un d'autre, que l'espace d'un instant – quelques mois, quelques années peut-être, cette personne fait de vous le centre de sa vie. Livia n'en demande pas tant : elle papillonne d'un homme à l'autre sans jamais leur mentir, prenant toujours la peine de leur exposer sincèrement qu'elle n'a pas réellement l'intention de trouver l'amour, ni même une relation stable et sérieuse.

(f/m/nb) · le phare dans la nuit.
Iel a appelé le standard un soir, demandant de l'aide à l'équipe de la libre antenne pour un sujet au choix. Livia a été touchée par la détresse émanant de cet auditeur·rice, et s'est beaucoup investie pour tenter de lui trouver la meilleure solution qui soit. Par la suite, l'auditeur·rice a rappelé la radio pour donner de ses nouvelles et, depuis, Livia et iel sont resté·e·s en contact régulier par le biais de sms. Iel ne se sont jamais vu·e·s, connaissent à peine le prénom de l'autre, ne savent pas s'ils sont voisin·e·s ou peut-être même des connaissances ; mais iels s'apprécient et, sans réellement comprendre pourquoi ni comment, iels peuvent compter l'un·e sur l'autre à chaque fois que quelque chose ne va pas de leur côté.