Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
do you still think love is a laserquest? (w/ stella)
Jaime Donaldson
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 236
rps : 25
pseudo : icarian laura.
id card : nicholas galitzine, magmacreations.
pronom irl : elle, iel.
âge : vingt-neuf ans; l'arrivée prochaine de la trentaine fait de l'ombre à sa jeunesse. bientôt, il ne pourra plus continuer de se perdre dans ses rêves d'adolescents.
statut civil : célibataire; des relations par-ci par-là. jamais vraiment sérieux, jamais des histoires qu'il s'attend à voir durer. son coeur est pris, son coeur est prisonnier. taylor, taylor, taylor. le nom qui reste coincé dans sa gorge et qu'il se rêve de pouvoir aimer. taylor, taylor, taylor. il s'est convaincu que c'était trop tard pour eux.
occupation : guitariste du groupe little anarchy; il a vécu son rêve en euphorie. carrière mise en danger, carrière sur le point de renaître. carrière qu'il veut désespérément ne pas perdre mais il observe des options si limitées.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
warning : alcoolisme, cure de désintox, deuil.
infos rp : en général, plus de 500 mots. je peux rester autour des 400, ou dépasser les 900, vraiment ça dépend. ma couleur; #FB5632
with @Stella Rosales. samedi soir, le tic tac d’une horloge assourdissante raisonne sans pause dans les oreilles de jaime. il ne peut pas dormir. le sommeil ne le trouve pas. il a passé les derniers jours assez distrait, depuis la visite de stella, depuis la proposition de stella, après avoir accepté sa proposition. maintenant, ce ne sont plus que quelques heures qui séparent jaime de son fils. il essaie d’imaginer cette rencontre, imaginer la séquence d’une vie. il ne sait pas quels sont les bons mots, comment avoir l’air assez cool pour être aimé. qu’est-ce que tu dis à un garçon de six ans après ne pas avoir été présent à un seul jour de son existence? jaime a essayé de se dire que ce n’était pas de sa faute mais le plus il y pense, plus il devient le seul fautif. six ans en arrière, il a rompu avec stella, pas exactement avec gentillesse et chaleur. pendant les six dernières années, il n’a quasiment pas eu une pensée pour elle. il s’est dit que si elle lui avait dit, à l’époque, il aurait été là. il l’aurait choisie, elle. mais vraiment, l’aurait-il fait? ça aurait été le seul bon choix et pourtant. il a deviné que la rupture abrupte entre eux avait laissé à stella un goût trop amer pour qu’elle le veuille dans sa vie- ou celle de son fils. mais peut-être, peut-être pire, stella a-t-elle estimé que tout simplement jaime ne les aurait pas choisi. et peut-être, peut-être n‘avait-elle pas besoin d’une deuxième réjection de sa part. il y a six ans little anarchy était au sommet de leur gloire. penser qu’il aurait tout abandonné pour une femme qu’il n’aimait pas assez, il ne sait pas s’il en aurait été capable. il est minuit passé, et c’est ce à quoi il pense; les échecs du passé, les abandons, les erreurs commises, les fautes qu’aucune version de lui n’aurait été capable d’éviter. et ensuite, il y a celles qu’il peut encore commettre; piéger entre un groupe et une famille qui tous deux apparemment attendent de sa part. il rencontrera billie dans quelques heures, il s’est demandé s’il a le même feu que sa mère, il s’est demandé si six ans est assez âgé pour exprimer de la colère que jaime mériterait probablement. il n’est pas certain de ce qu’il est censé lui dire. je suis désolé paraît si faible quand il l’imagine. ce n’est mieux que rien mais ça lui semble proche d’un rien, pas grand chose. est-ce qu’il s’est même excusé auprès de stella? il est encore difficile de savoir comment jauger sa relation avec elle. mais à la croire, elle sera plutôt à ses côtés que dans son dos. c’est deux heures du matin passé quand il décide de sortir du lit pour aller chercher un verre d’eau. il y a une boîte de bonbons dans la cuisine; un cadeau de culpabilité. jaime a aussi eu un père qui collectait les années d’absence dans l’enfance de son fils, pendant davantage d’années que billie. il a trouvé les anniversaires toujours particulièrement difficiles en grandissant, toujours à attendre l’arrivée de son père, beaucoup trop souvent déçu par celui-ci. c’était souvent seulement lui et sa mère, ensuite lui et taylor. peu importe la compagnie, il y avait quelque chose d’assourdissant dans l’absence de son père, espérant jusqu’à la dernière minute d’un signe de sa part. il pense aux six anniversaires de billie qu’il a manqué. est-ce qu’une dose de charme et une boîte de bonbons est tout ce dont il a besoin pour rattraper le temps perdu? s’il persiste, s’il reste, il doit espérer qu’ils peuvent avancer; jaime, billie, mais aussi stella.
quand il se réveille, il a une guitare au-dessus de ses genoux. six ans en arrière, il a rompu avec stella pour apparemment être marié à la musique. n’est-ce pas un peu pathétique. il passe une partie de la matinée à regarder des photos de billie que stella lui avait donné il y a quelques semaines, il lui semble que c’était il y a une éternité. désormais il pense à une stella qui disait vouloir croire qu’il puisse vouloir le meilleur pour le garçon qui est le leur. il prend la boîte de bonbons, s’apprêtant à faire face à son sort, son destin, son fils. il devrait conduire sans s’arrêter. il aperçoit un fleuriste et s’arrête. difficile de déterminer s’il s’agit du manque de sommeil ou si sa culpabilité l’empêche d’arriver les mains vides mais il repart avec des tulipes blanches. il porte un dernier regard dans le rétroviseur, est-ce qu’il a la gueule de quelqu’un qui pourrait être père? « stellsbells. » il sourit, charmant, charmeur. se ramenant six ans en arrière avec un surnom qui remonte du temps lointain de leur relation amoureuse. ça et les fleurs. « elles sont pour toi. » c’est assez bizarre, il le sait. la situation de rencontrer son fils est assez étrange en elle-même, il joue sur un territoire dangereux. sa poigne tient encore la boîte de bonbons. « et c’est pour… billie. » il baisse le ton de sa voix, presque murmure son nom, ce qui est ridicule. il est là pour le rencontrer, après tout. il se demande si stella est aussi anxieuse à cette perspective que lui.
_________________
(stop making the eyes at me) i'll stop making my eyes at you. what it is that surprises me is that i don't really want you to.
Stella Rosales
----------------------------------
MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : Vingt-sept ans. À peine le quart de siècle dépassé et pourtant la sensation parfois d'avoir fait le tour de sa vie. Les filles de son âge n'ont pas autant à gérer.
statut civil : Célibataire. Cœur en lambeaux erre dans un vide écrasant laissé par sa rupture avec Eli. Les souvenirs se bousculent, les regrets se mêlent et la douleur est encore trop vive.
occupation : Infirmière sauve des vies plutôt que la sienne.
adresse : New Home (#22,South Bank & West End District) un rêve devenu réalité, l'appartement est magnifique, elle n'aurait pas pu espérer mieux.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : séparation
infos rp : Écriture : 2ème personne Longueur : ~ 600/800 mots Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.
a un fils de 5 ans du nom de Billie ; fan des films Disney ; fantasme sur George Clooney ; boit trop de coca ; mange trop de pizzas ; claustrophobe ; maniaque à en devenir parfois malade ; dépensière à outrance ; s'habille un peu trop coloré ; un chouia trop bavarde ; solaire ; dort encore avec des peluches ; a fait du violon pendant des années ; joue de la guitare également ; s'est inscrite aux auditions pour la saison prochaine de The X Factor ; espère un jour percer comme chanteuse ; passe trop de temps sur tiktok ; rêve d'avoir un cheval; écrit des poèmes ; réussis deux recettes : les gratins de pâtes et les croque-monsieur; s'auto-surnomme aimant à connard
@Jaime Donaldson & @Stella Rosales En tant qu’infirmière et mère célibataire, Stella s’était habituée à gérer les petits défis de la vie avec pragmatisme. À 27 ans, elle vivait une existence plutôt modeste et tranquille. Le soutien de sa famille, en particulier de son frère Enzo, avait été inestimable au cours de ces dernières années. Enzo avait toujours été là pour elle, pour Billie. Elle avait mené sa vie dans l’ombre loin des excès de la vie d’une rockstar. Le fait de devoir maintenant réintroduire Jaime dans leur vie l’angoissait plus qu’elle ne l’avouait. Alors, elle s’était préparée mentalement à son arrivée espérant que la rencontre se déroulerait dans un calmement et en privé. C'était pour cette raison qu'elle avait organisé cette rencontre chez elle, loin des regards indiscrets. La dernière chose qu’elle voulait, c’était de voir des paparazzis débarquer dans son salon. Les préparations pour ce soir avaient occupé ses pensées pendant des jours. Elle avait méticuleusement choisi le repas – un gratin de pâtes et un steak, les plats favoris de Billie. Immobile devant son four, Stella fixait son gratin doré tandis que la piéce s’embaumait de senteurs appétissantes. Le steak frémissait dans une poêle à côté. Le temps semblait s’étirer interminablement alors qu’elle répétait dans sa tête les scénarios possibles cherchant à imaginer comment cette soirée pourrait se dérouler. Elle avait essayé de préparer Billie à ce moment, en lui parlant de son père avec douceur, tout en essayant de ne pas lui imposer une attente trop élevée. À 6 ans, Billie était un petit garçon très intelligent qui était capable de comprendre bien plus qu’on ne le pensait. Ses questions étaient nombreuses et il pétillait de curiosité et d'excitation à cette rencontre. Le moment approchait à grands pas et elle ne pouvait s'empêcher de se demander si elle avait pris la bonne décision et si elle avait fait le bon choix de proposer à Jaime de venir. Alors que les minutes s’égrenaient, elle tenta de se concentrer sur la préparation des derniers détails. Elle avait disposé les assiettes et les couverts avec soin, tentant de cacher sa nervosité derrière une façade faussement calme. « ¡Corre, Billie! » (Dépêche-toi, Billie !) dit-elle alors que sa voix laissait transparaître ses inquiétudes. En ouvrant la porte, la jeune mère se retrouva face à son ex- les mains chargées de tulipes blanches et d'une boîte de bonbons. Le surnom qu'il prononça avec une touche de nostalgie raviva quelques souvenirs et un petit sourire se dessina sur les lèvres de la brune. Jaime avait changé mais le ton familier de sa voix venait calmer sa tempête intérieure. Billie- timide - se cacha derrière sa mère, ses petits yeux épiant Jaime derrière ses jambes. Stella se tourna vers lui, essayant de le rassurer. « Mira qué bonitas son las flores. » (Regarde comme elles sont belles.) puis, se tournant vers Jaime, elle ajouta : « Désolé, il est un peu timide au départ, mais donne-lui cinq minutes et tu n’entendras plus que lui. » Un rire doux s’échappa d’elle alors qu’elle invita Jaime à entrer. Elle le guida jusqu’à la salle à manger, où le repas était presque prêt. Tout semblait en ordre, sauf peut-être son propre état de nervosité. « Si tu veux, tu peux donner lui donner toi les bonbons pendant que je m’occupe d’aller couper le pain. » proposa-t-elle avec un sourire légèrement crispé. Elle se dirigea vers la cuisine, tenta d’y rester un peu plus longtemps pour les laisser faire connaissance. Tout en tendant l’oreilles pour essayer d’écouter les premiers échanges entre le père et le fils…
_________________
EVERY MISTAKE TURNS TO MOMENTS
Jaime Donaldson
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 236
rps : 25
pseudo : icarian laura.
id card : nicholas galitzine, magmacreations.
pronom irl : elle, iel.
âge : vingt-neuf ans; l'arrivée prochaine de la trentaine fait de l'ombre à sa jeunesse. bientôt, il ne pourra plus continuer de se perdre dans ses rêves d'adolescents.
statut civil : célibataire; des relations par-ci par-là. jamais vraiment sérieux, jamais des histoires qu'il s'attend à voir durer. son coeur est pris, son coeur est prisonnier. taylor, taylor, taylor. le nom qui reste coincé dans sa gorge et qu'il se rêve de pouvoir aimer. taylor, taylor, taylor. il s'est convaincu que c'était trop tard pour eux.
occupation : guitariste du groupe little anarchy; il a vécu son rêve en euphorie. carrière mise en danger, carrière sur le point de renaître. carrière qu'il veut désespérément ne pas perdre mais il observe des options si limitées.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
warning : alcoolisme, cure de désintox, deuil.
infos rp : en général, plus de 500 mots. je peux rester autour des 400, ou dépasser les 900, vraiment ça dépend. ma couleur; #FB5632
with @Stella Rosales. jaime se retrouve à pencher le cou pour avoir une chance d'apercevoir billie. il y a une nervosité dans l’air mais il ne peut empêcher un sourire fragile du bout des lèvres, quelque chose d’hésitant au goût de nostalgie. c’est un simple fait, évident pour celui qui a des yeux pour voir, c’est bien l’enfant de jaime. la ressemblance lui paraît frappante. le doux mélange de jaime et stella en ce petit garçon. six années le séparent de stella et billie. il aurait toujours dû être là, il pense. il n’aurait jamais pu être là, il sait. il n’est pas certain comment le jaime de vingt-trois ans aurait trouvé sa place dans cette famille qui semble heureuse. il en a presque trente maintenant. s’il avait été un autre homme, un meilleur homme, ça aurait pu toujours se dérouler ainsi ; une famille qui attend qu’il rentre à la maison. ça n’a jamais été un de ses rêves, de se retrouver attacher à femme et enfant. maintenant, c’est une réalité qui ne paraît plus forcément si horrible, à laquelle il n’échappera pas. c’est une réalité qui risque d’endommager sa carrière musicale, il s'en est inquiété. il regarde stella les quitter pour la cuisine. il pense à l’arrêter. l’attraper par le bras, insister, stella, stella, stella, reviens, parce qu’il ne peut pas rester seul avec billie, parce qu’il ignore comment être seul avec billie. il ne sait pas quoi dire à un enfant de six ans. il ne sait pas quoi dire à son enfant. maintenant qu’il - billie n’est plus caché derrière sa mère, il paraît si petit. c’est une stupide pensée, vraiment. il n’a que six ans, il a déjà six ans. bien sûr, qu’il est encore petit. si jaime joue les bonnes cartes, il semble presque que le temps puisse être rattrapé. les années d’absence ne pourront pas être oubliées mais le garçon peut avoir plus d’années avec son père que sans. « salut. » ; il essaie. c’est un peu faible à ses oreilles. la vérité est que la chose paraît si intense. il a vu des images, de lui, photographies de son fils faite par la mère. mais c’est différent, de le voir dans la chaire, pour de vrai. jaime peut entendre les battements de son propre coeur directement dans ses oreilles. même s’il ne sait pas quoi faire avec lui-même, il sait que ce moment-là est important. il s’assoit à côté de billie. il se trouve à le fixer plus longtemps qu’il ne le devrait. il y a une folie à savoir que ce petit garçon est le sien. « je sais que je l’ai manqué mais … » il serrait encore la boîte de friandises contre lui, il la relâche doucement et la tend au petit garçon. « … c’est pour toi. bon anniversaire, billie. » il essaie le nom du bout de la langue. il observe avec une sorte de fascination les doigts minuscules du petit garçon se refermer sur la boîte. son coeur est toujours dans ses oreilles. « je suis désolé d’avoir eu tant de retards. » des semaines, des mois, des années. à tous les pères qui ne savent pas reconnaître leur tort - oui, celui de jaime. pour ne pas persister à être un fantôme dans l’existence de billie. un joyeux anniversaire et des bonbons semblent un bon commencement. il y aura des questions, sans doute embarrassantes mais jaime n’a aucun plan de disparaître à nouveau. maintenant qu’il est là, il n’y a plus de retour en arrière possible pour lui. il lance un coup d'œil discret vers la cuisine. que fait stella quand il a besoin d'elle?
_________________
(stop making the eyes at me) i'll stop making my eyes at you. what it is that surprises me is that i don't really want you to.
Stella Rosales
----------------------------------
MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : Vingt-sept ans. À peine le quart de siècle dépassé et pourtant la sensation parfois d'avoir fait le tour de sa vie. Les filles de son âge n'ont pas autant à gérer.
statut civil : Célibataire. Cœur en lambeaux erre dans un vide écrasant laissé par sa rupture avec Eli. Les souvenirs se bousculent, les regrets se mêlent et la douleur est encore trop vive.
occupation : Infirmière sauve des vies plutôt que la sienne.
adresse : New Home (#22,South Bank & West End District) un rêve devenu réalité, l'appartement est magnifique, elle n'aurait pas pu espérer mieux.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : séparation
infos rp : Écriture : 2ème personne Longueur : ~ 600/800 mots Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.
a un fils de 5 ans du nom de Billie ; fan des films Disney ; fantasme sur George Clooney ; boit trop de coca ; mange trop de pizzas ; claustrophobe ; maniaque à en devenir parfois malade ; dépensière à outrance ; s'habille un peu trop coloré ; un chouia trop bavarde ; solaire ; dort encore avec des peluches ; a fait du violon pendant des années ; joue de la guitare également ; s'est inscrite aux auditions pour la saison prochaine de The X Factor ; espère un jour percer comme chanteuse ; passe trop de temps sur tiktok ; rêve d'avoir un cheval; écrit des poèmes ; réussis deux recettes : les gratins de pâtes et les croque-monsieur; s'auto-surnomme aimant à connard
@Jaime Donaldson & @Stella Rosales Stella se tenait près de la porte de la cuisine, ses mains tremblant légèrement alors qu'elle arrangeait nerveusement les plats sur un plateau. Le gratin doré et le steak grillé étaient enfin prêts, parfaitement préparés, mais l’intérieur de Stella se sentait tout sauf prêt. Ce moment tant redouté, tant espéré, était là, juste de l’autre côté du mur. Elle essayait d’écouter les bruits étouffés de la conversation entre Jaime et Billie, cherchant à se convaincre que tout ira bien et que cette rencontre se déroulera sans incident majeur. Elle aurait aimé que le temps ralentisse, lui accorde une dernière minute de calme avant d'affronter l'inévitable. Avait-elle fait la bonne chose en faisant entrer Jaime dans la vie de leur fils après tant d’années? La vie qu’elle avait construite avec Billie était stable, paisible, loin des projecteurs et bruits qui accompagnait Jaime. Seulement, le petit garçon était en âge de savoir. Il avait insisté pour que cette rencontre se fasse. Elle ne pouvait pas lui refuser ça.
De l’autre côté du mur se jouait une autre scène qui lui serra le cœur. La voix de Jaime semblait plus hésitante et vulnérable mettant à nu toute la carapace du guitariste. « Tu sais… » commence Billie avec une sagesse troublante pour un enfant de six ans « les retards, ça peut arriver. Mais ce qui compte, c’est ce qu’on fait quand on est enfin là. » Stella se fige frappée en plein cœur. Comment ce gosse était-il capable de voir la vie avec une telle sérénité ? Son petit cœur, innocent et pur ne semblait pas alourdi par la rancune et les promesses brisées. Il avait accepté l’absence de Jaime sans se laisser emporter par le ressentiment. Là où elle et Jaime se noyaient dans les regrets et les non-dits, Billie voyait les choses avec une simplicité déconcertante. Il comprenait quelque chose que ni l’un ni l’autre n’étaient capables d’appréhender pleinement. Et puis, la voix du petit garçon rompit une nouvelle fois le silence : « Tu connais les Avengers ? » comme pour permettre à son père de se rapprocher de son univers. Stella, cachée dans la cuisine, sentit ses yeux s'embuer ravalant aussitôt ses larmes. Il lui offrait une chance de bâtir quelque chose. « Maman m’a promis que si je continuais à avoir de bonnes notes à l’école, je pourrais… » décorer sa chambre en son personnage préféré. Elle ne lui laissa pas le temps de terminer sa phrase qu’elle débarqua dans la pièce pour briser cette bulle qui planait entre eux. Elle s'avança dans la salle à manger, le plateau en main et un sourire forcé sur les lèvres : « J’espère que vous avez faim ! » dit-elle d'une voix légèrement tremblante qu’elle tente de cacher derrière une fausse joie en posant les plats. Elle espérait introduire un peu de normalité dans ce qui ne l'était pas du tout. D’un coups d'œil discrets, elle tenta de chercher des signes sur le visage de Billie qui trahirait ce qu'il ressentait réellement. Il semblait aux anges. Elle prit place face à eux pour mieux les observer d’un côté elle notait le sourire hésitant de Jaime et de l’autre l’émerveillement dans les yeux de Billie. La route était longue, probablement semée d’embûches, mais elle voulait croire qu’ils pouvaient avoir une chance de se reconstruire ensemble.
_________________
EVERY MISTAKE TURNS TO MOMENTS
Jaime Donaldson
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 236
rps : 25
pseudo : icarian laura.
id card : nicholas galitzine, magmacreations.
pronom irl : elle, iel.
âge : vingt-neuf ans; l'arrivée prochaine de la trentaine fait de l'ombre à sa jeunesse. bientôt, il ne pourra plus continuer de se perdre dans ses rêves d'adolescents.
statut civil : célibataire; des relations par-ci par-là. jamais vraiment sérieux, jamais des histoires qu'il s'attend à voir durer. son coeur est pris, son coeur est prisonnier. taylor, taylor, taylor. le nom qui reste coincé dans sa gorge et qu'il se rêve de pouvoir aimer. taylor, taylor, taylor. il s'est convaincu que c'était trop tard pour eux.
occupation : guitariste du groupe little anarchy; il a vécu son rêve en euphorie. carrière mise en danger, carrière sur le point de renaître. carrière qu'il veut désespérément ne pas perdre mais il observe des options si limitées.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
warning : alcoolisme, cure de désintox, deuil.
infos rp : en général, plus de 500 mots. je peux rester autour des 400, ou dépasser les 900, vraiment ça dépend. ma couleur; #FB5632
with @Stella Rosales. jaime hoche lentement la tête, écoutant billie, buvant ses paroles, essayant de donner sens aux mots du garçon. ce qui compte, c’est ce qu’on fait quand on est là. jaime se demande si c’est aussi facile, s’il pourrait juste passer du temps avec son fils, le chercher aux grillages de l’école et simplement se répéter que les six années précédentes ne sont pas celles qui compteront le plus. c’est plus facile, il suppose qu'à cet âge là, te dire que les retards peuvent arriver. ça parait trop simple. les choses, pour jaime ont rarement paru simples. depuis que stella lui a appris qu’il était père, il s’est attendu à ce que la suite deviennent affreusement compliqué. ça l’est, un peu, assez. il se retrouve peu certain de quels seraient les bons mots à dire, de ce que billie rêvait de la rencontre avec son père, de ce qu’il voudrait entendre pour que ce soit parfait pour lui. aux mots de billie, les sourcils de jaime se haussent, décorés d’un sourire incrédule. à moitié n’en croyant pas ses oreilles. il pense, c’est sûrement ainsi que les garçons parlent à leur père, super héro et maman a dit ça. et pourtant, ils sont presque surpris quand stella coupe la conversation. peut-être que c’est la partie qui sera la plus difficile, faire fonctionner le trio composé de billie, stella et jaime. il sait qu’il ne peut pas acheter stella aussi facilement qu’avec des les retards ça arrive. il sait qu’ils ont encore un long chemin à faire. il lance un regard furtif en direction de billie, il a l’air heureux; maman et papa réunis en une famille distordue, c’est ce dont le garçon a toujours dû rêver. « oui, bien sûr. » stella est de toute évidence aussi tendue que jaime. il lui sourit, assez faiblement mais tout de même. peut-être que c’est simplement rassurant de ne pas être isolé dans cet étrange sentiment, celui de ne pas savoir tout à fait où se mettre, celui de ne plus exactement savoir comment mener une conversation. mais stella a passé six ans à être la mère de billie, ça ne fait que quelques minutes que jaime en est le père. d’une certaine manière, il imaginait stella pleine d’assurance, capable de maîtriser la situation d’une main de maître. le seul dans la pièce qui semble être maître de soi est billie. après tout, tu ne rencontres pas ton père tous les jours mais ils ne peuvent vraiment pas devenir la famille rêvée en un dîner, mais jaime veut croire que ça peut valoir la peine d’essayer. « tu as entendu ta mère, donne-moi ton assiette. » il dit doucement à billie, à moitié toujours tourné vers le petit garçon. il y a quelque chose de si simple dans l’acte de servir du gratin de pâtes à ce garçon qui se trouve être son fils. il sait que les questions viendront, du fils et même possiblement de la mère mais il se laisse apprécier ce moment. « stella. » il la sert à son tour en croisant son regard. c’est bizarre. il était une fois, ils étaient… quelque chose. maintenant, pas grand chose et tant à la fois. les dernières semaines, il l’imaginait en ennemie, la femme qui voudrait pourrir sa vie. maintenant, il est difficile de savoir exactement mais c’est différent entre eux. il n’y a ni colère, ni haine, ni ressentiment, de son côté au moins. mais qu’est-ce que ça veut dire, vraiment? ils ont été séparés depuis si longtemps et jaime n’est pas tout à fait certain quels sont les développement qu’elle ou billie attendent. « alors, qu'est-ce qu’il se passe, maintenant? il pense et ne dit pas. qu’est-ce qu’il se passe s’il continue à avoir de bonnes notes? » il essaye de se détendre, il sait que le sourire qu’il offre à stella doit avoir une aura proche d’un sourire charmeur qu’elle a pu connaître par le passé. quand il glisse un coup d’oeil en direction de billie, le garçon lui sourit, montrant assez ses dents pour que jaime s’en sente presque aveuglé. il ne peut empêcher le clin d’oeil qui s’échappe en direction du garçon ; son fils.
_________________
(stop making the eyes at me) i'll stop making my eyes at you. what it is that surprises me is that i don't really want you to.
Stella Rosales
----------------------------------
MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : Vingt-sept ans. À peine le quart de siècle dépassé et pourtant la sensation parfois d'avoir fait le tour de sa vie. Les filles de son âge n'ont pas autant à gérer.
statut civil : Célibataire. Cœur en lambeaux erre dans un vide écrasant laissé par sa rupture avec Eli. Les souvenirs se bousculent, les regrets se mêlent et la douleur est encore trop vive.
occupation : Infirmière sauve des vies plutôt que la sienne.
adresse : New Home (#22,South Bank & West End District) un rêve devenu réalité, l'appartement est magnifique, elle n'aurait pas pu espérer mieux.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : séparation
infos rp : Écriture : 2ème personne Longueur : ~ 600/800 mots Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.
a un fils de 5 ans du nom de Billie ; fan des films Disney ; fantasme sur George Clooney ; boit trop de coca ; mange trop de pizzas ; claustrophobe ; maniaque à en devenir parfois malade ; dépensière à outrance ; s'habille un peu trop coloré ; un chouia trop bavarde ; solaire ; dort encore avec des peluches ; a fait du violon pendant des années ; joue de la guitare également ; s'est inscrite aux auditions pour la saison prochaine de The X Factor ; espère un jour percer comme chanteuse ; passe trop de temps sur tiktok ; rêve d'avoir un cheval; écrit des poèmes ; réussis deux recettes : les gratins de pâtes et les croque-monsieur; s'auto-surnomme aimant à connard
@Jaime Donaldson & @Stella Rosales Autour de la table, une légère tension envahissait l’air malgré les sourires échangés. Stella regardait Jaime interagir avec Billie. La scène semblait à la fois familière et étrangère. Elle voyait Jaime plus hésitant et plus vulnérable aussi. Ce sourire léger qu'il adressa à Billie, ce clin d'œil presque timide... c'était étrange de le voir comme ça, non pas en rockstar, mais en père. Un père qui, visiblement, ne savait pas par où commencer mais qui essayait. Elle avait toujours imaginé ce moment différemment. Peut-être qu'en secret, elle espérait que Jaime débarquerait avec une assurance parfaite, qu'il se comporterait comme le père dont elle et Billie avaient manqué. Mais la réalité était bien plus complexe. Jaime était là, maladroit mais présent. Et Billie, fidèle à lui-même, semblait absorber ce moment avec une sérénité qui la déconcertait. Il n'y avait pas de colère, pas de reproches. Juste cette capacité que seul un enfant peut avoir de tout accepter pour ce que c’est, sans chercher à y voir plus que ce qui est devant lui. Stella, elle, était loin de cette simplicité. Son esprit tournait à cent à l'heure. Elle avait passé les six dernières années à protéger Billie, à faire en sorte qu’il n’ait jamais à souffrir de l’absence de son père. Chaque choix, chaque décision qu’elle avait prise, elle l’avait fait avec la conviction qu’elle faisait ce qu’il fallait pour lui. Et maintenant, tout ce qu'elle avait construit semblait sur le point de changer. Jaime était là lui aussi, prés à jouer ce rôle qu’elle n’avait encore jamais partagé. Elle posa une assiette devant lui et leur regards se croisèrent brièvement. Tant de souvenirs enfouis remontèrent à la surface. Il lui sourit et pour une fraction de seconde elle sentit son cœur se serrer. Cette proximité autrefois si naturelle entre eux n'existait plus. Il y avait trop de distance maintenant, trop de non-dits, trop de choses à réparer mais ils devaient se donner une chance de tout réparer poru leur fils. Elle hocha légèrement la tête, en lui tendant son assiette pour qu’il la serve. Elle regarda Billie, qui mangeait son gratin avec un sourire insouciant. Peut-être que, comme toujours, il comprenait bien plus qu’il ne le montrait. Il était si sage, si mature pour son âge. Mais ce que Stella redoutait c'était que Jaime finisse par le décevoir. Que cette rencontre ne soit qu'une parenthèse avant que Jaime ne s'évapore. Stella voulait croire qu'il avait changé, qu'il était prêt à assumer son rôle de père, mais elle avait peur qu’il retombe dans ses vieilles habitudes. Le monde de Jaime était différent du leur. C'était un monde de bruit, de lumière, de chaos. Et Billie et elle, vivaient dans un monde de routines, de simplicité, loin des projecteurs. Elle le sentit sourire sans même tourner la tête. Ce sourire. Celui qu’elle connaissait par cœur et qui avait autrefois réussi à briser toutes ses barrières. Elle n’eut pas besoin de le voir pour savoir exactement l’expression qu’il affichait, ce léger plissement des yeux, ce coin de lèvres relevé, un mélange de charme et d’arrogance feinte. Jaime était en train de faire ce qu’il savait faire de mieux : adoucir l’atmosphère avec une désinvolture qui, des années plus tôt, l’aurait fait fondre. « S'il continue à avoir de bonnes notes, il sera fier de lui, et moi aussi Et toi aussi, peut être ? N’est-ce pas ? » Elle jette un regard furtif à la star et se demanda s’il comprenait vraiment ce que cela impliquait, être père. Pas juste aujourd’hui, pas juste pour un dîner, mais tous les jours, dans les moments où c'est le plus difficile. « Tu as tout ce qu’il te faut, mon cœur ? » demanda-t-elle doucement à son fils, essayant de masquer son trouble derrière un sourire. Billie hocha la tête avec enthousiasme, la bouche pleine de gratin. Stella se tourna alors vers Jaime, un léger soupir s’échappant de ses lèvres. « Je suppose que c’est un bon début…» dit-elle doucement, presque pour elle-même, sans oser croiser son regard. Un début, oui, mais à quel prix ? Elle se demandait si, après tout ce temps, ils pourraient vraiment trouver un équilibre. Si Jaime pourrait s’inscrire dans la vie de Billie sans la bouleverser.
_________________
EVERY MISTAKE TURNS TO MOMENTS
Jaime Donaldson
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 236
rps : 25
pseudo : icarian laura.
id card : nicholas galitzine, magmacreations.
pronom irl : elle, iel.
âge : vingt-neuf ans; l'arrivée prochaine de la trentaine fait de l'ombre à sa jeunesse. bientôt, il ne pourra plus continuer de se perdre dans ses rêves d'adolescents.
statut civil : célibataire; des relations par-ci par-là. jamais vraiment sérieux, jamais des histoires qu'il s'attend à voir durer. son coeur est pris, son coeur est prisonnier. taylor, taylor, taylor. le nom qui reste coincé dans sa gorge et qu'il se rêve de pouvoir aimer. taylor, taylor, taylor. il s'est convaincu que c'était trop tard pour eux.
occupation : guitariste du groupe little anarchy; il a vécu son rêve en euphorie. carrière mise en danger, carrière sur le point de renaître. carrière qu'il veut désespérément ne pas perdre mais il observe des options si limitées.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
warning : alcoolisme, cure de désintox, deuil.
infos rp : en général, plus de 500 mots. je peux rester autour des 400, ou dépasser les 900, vraiment ça dépend. ma couleur; #FB5632
with @Stella Rosales. il est plus facile de regarder billie que stella. l’amour aveugle contre la rancune à la peau dure. il s'inquiète un peu, que ce sera toujours comme ça, que l’ancien couple soit coincé dans une situation de gêne et de reproches permanents. ce n’est pas la fin du monde. il n’allait pas la demander en mariage. et s’il a été -il était une fois, facile de lui plaire, ils en sont loin maintenant. il a compris; elle l’ imagine disparaître de nouveau, c’est évident. il n’a pas le droit de lui en vouloir, il sait. il est parti. il a disparu de sa vie. mais il n’a jamais vraiment quitté la vie de billie, puisqu’il ne lui a jamais été donné l’opportunité d’en faire partie. six ans, c’est long. six ans à devoir regretter, c’est trop long. il y a six ans, il a facilement rompu avec la mère de billie et maintenant elle le regarde sans amitié, comme si -bien sûr la rock star ne peut pas être un père décent. il est presque certain que chacune de ses paroles doit faire naître le doute chez stella. quoiqu’ils se disent, il semble que le ressentiment sera toujours là, que malgré les six années depuis leur relation amoureuse, jaime sera toujours le connard qui n’a pas eu trop de remords à lui briser le coeur, à ruiner quelque chose qui devait être bon. donc, oui, il est plus facile de regarder l’enfant que la mère. il est plus facile de maintenir son attention sur le petit qui n’a encore pas assez de matière pour en vouloir à jaime. pire que ça, qui l’aime, lui le père que billie ne connaît pas. « bien sûr je suis fier. » il se sent sur la défensive. il semble que ça ne peut pas être tout à fait vrai -il n’y a pas si longtemps, il y a quelques instants en fait, il ne connaissait même pas le garçon. et pourtant. pourtant il sent comme quelque chose s’installer en lui et il pense que c’est vrai. c’est son fils. ce garçon qui aime les films de super-héros et qui est assez malin pour parler de l’importance des actions plutôt que des regrets épouvantables du passé. « je pensais… » il hésite, parce que oui, c’est un bon début mais jaime veut davantage.. il n’est pas certain s’il devrait l’évoquer avec billie dans la pièce, ou s’il devrait attendre que ce ne soit plus que lui et stella. mais ils sont bien censé l’impliquer… n’est-ce pas? six ans est si jeune. et pourtant billie est assez jeune pour demander après son père. c’est un début, quoi qu’il en soit. un repas paisible. une manière pour jaime de montrer qu’il peut être présent et qu’il ne souhaite pas être une menace à l’ordre habituel. il est là, pour les bonnes notes de billie, pour les repas. mais quelque part, ce n’est pas tout à fait assez. il ne veut pas être juste un gars qui vient à un repas de temps en temps quand stella pense assez à lui pour l’inviter. il sait que la continuité des évènements doit venir de lui plus que d’elle. il veut connaître billie, et il veut que billie le connaisse. cette situation paraît assez difficile sous le regard pesant de celle qui n’a pas tant de sympathie pour lui. il essaie de lancer un regard furtif à billie; toujours souriant, bien évidemment. « peut-être que je pourrais montrer à billie où je travaille? » c’est un bon moment pour se sentir reconnaissait de la réunification de little anarchy, ou il n’aurait probablement pas eu grand chose à montrer à son fils. « je - pourrais lui apprendre à jouer éventuellement. la musique, c’est bon pour la mémoire. » il hausse les épaules, comme si ce n’était rien. il pousse trop, il pense. il imagine qu’il est peut-être seulement censé manger silencieusement, et rentrer chez lui sans demander son reste. sauf que ce n’est pas ce qu’il va se passer entre eux trois. il ne sera pas une figure secondaire dans la vie de billie. stella lui en voudra, sans doute, probablement, peut-être, il n'en sait trop rien. tant pis. « si ça te tente, bien sûr. » son regard se balance entre mère et fils, essayant de la jouer cool, anxiété qui se cache sous ses nerfs. il n’y a rien qui empêche fils comme mère de refuser.
_________________
(stop making the eyes at me) i'll stop making my eyes at you. what it is that surprises me is that i don't really want you to.
Contenu sponsorisé
----------------------------------
paper rings
blank space
·
do you still think love is a laserquest? (w/ stella)