Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : Vingt-sept ans. À peine le quart de siècle dépassé et pourtant la sensation parfois d'avoir fait le tour de sa vie. Les filles de son âge n'ont pas autant à gérer.
statut civil : Célibataire. Cœur en lambeaux erre dans un vide écrasant laissé par sa rupture avec Eli. Les souvenirs se bousculent, les regrets se mêlent et la douleur est encore trop vive.
occupation : Infirmière sauve des vies plutôt que la sienne.
adresse : New Home (#22,South Bank & West End District) un rêve devenu réalité, l'appartement est magnifique, elle n'aurait pas pu espérer mieux.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : séparation
infos rp : Écriture : 2ème personne Longueur : ~ 600/800 mots Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.
a un fils de 5 ans du nom de Billie ; fan des films Disney ; fantasme sur George Clooney ; boit trop de coca ; mange trop de pizzas ; claustrophobe ; maniaque à en devenir parfois malade ; dépensière à outrance ; s'habille un peu trop coloré ; un chouia trop bavarde ; solaire ; dort encore avec des peluches ; a fait du violon pendant des années ; joue de la guitare également ; s'est inscrite aux auditions pour la saison prochaine de The X Factor ; espère un jour percer comme chanteuse ; passe trop de temps sur tiktok ; rêve d'avoir un cheval; écrit des poèmes ; réussis deux recettes : les gratins de pâtes et les croque-monsieur; s'auto-surnomme aimant à connard
Ce soir, tu t’octroies exceptionnellement une parenthèse de liberté hors de ton petit cocon maternel. L’ordinaire s’efface pour céder la place à une nuit de folie, loin de tes tracas quotidien. Tu espères te réinventer, toi, Stella, jeune femme célibataire, libre et t’autorisant enfin à passer à autre chose après le deuil de ta relation passée. Eli et toi, c’est bel et bien terminé, tu t’es fait une raison. Et de ton côté, tu es enfin prête à tourner la page. Et quoi de mieux pour ce faire que de rejoindre quelques amis dans l’un des lieux les plus prisés de la ville. Pour cette occasion, tu as revêtu ta plus belle robe, celle qui épouse parfaitement les courbes de ton corps. Parce que ce soir, tu ne seras plus seulement la jeune mère débordée ou la jeune femme qui tente de réparer son petit cœur brisé. Non. Ce soir, tu t’es promis d’être la reine de la nuit et tu comptes bien te déchaîner et danser jusqu'à en perdre haleine s'il le faut.
À l’arrivée, seul Ari est là et ce n’est qu’après vous être installés à l’intérieur que vous recevez en même temps le même message de Tobias. Il ne viendra pas. C’était ton idée cette virée en boîte de nuit et malgré la petite déception, tu ne te laisses pas démonter. Tu es certaine qu'avec Ari à tes côtés, vous allez vous amuser bien que les choses entre vous ces derniers temps méritent quelques clarifications. Vous n'avez plus reparlé de l'épisode avec Eli et il y a bien quelques sujets que tu préféres encore éviter. Enfin pour l'heure tu n'as qu'une idée en tête t'amuser. Mais encore faut-il que tu parviennes à te désinhiber. Jusqu'à présent, tu as toujours joué ton rôle de la petite maman du groupe face aux deux papas. Petite clique de parents bras cassés, échangeant des astuces tantôt judicieuses, tantôt approximatives, et dont les conversations tournent inlassablement autour des trois rejetons. Mais pour cette fois, tu comptes bien transcender cette identité et l’alcool semble être ton meilleur allié.
Les verres se succèdent dans la plus grande insouciance. Tu parles de tout, de rien. Surtout de rien. Un premier verre, puis un deuxième, et bientôt, tu perds le compte alors que tu continues de monopoliser la parole devant un Ari toujours à l’écoute de tes anecdotes. Peu à peu tu sens les barrières se fissurer et l’euphorie s’emparer de toi. Cela fait bien longtemps que tu ne t’es pas sentie aussi vivante : « OH MON DIEU !!!!! J’adore cette chanson ! » t’exclames-tu spontanément broyant le bras de ton ami par la même occasion. Green Day. But in the end, it's right I hope you had the time of your life . Tu sautilles sur place en te laissant emporter par les premières paroles que tu chantes en playback avec ferveur. Tu meurs d’envie de danser dessus. Alors, tu viens aussitôt lui tirer sur le bras avec insistance pour l’entraîner avec toi vers la piste de danse. « Pitié, viens danser avec moi ! » l’implores-tu avec une impatience joyeuse et un sourire malicieux sur le bout des lèvres. Il n’est pas question pour toi de danser avec un inconnu. « Ne me laisse pas affronter cette piste toute seule ! » ajoutes tu en sortant la carte des yeux de chien battu. Tu sais combien elle est efficace sur lui, c’est bien comme ça que Joy et Rio obtiennent toujours ce qu’ils veulent de lui.
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EVERY MISTAKE TURNS TO MOMENTS
Ari Rider
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 166
rps : 29
pseudo : mad cowplant
id card : charles leclerc / (av) paperweights
pronom irl : elle
multicomptes : eli sawyer
présence : présente
âge : la trentaine dépassée d'une petite année, bien qu'on puisse souvent avoir l'impression qu'il a oublié de grandir.
statut civil : célibataire depuis plusieurs années désormais, hanté par quelques regrets, malheureusement.
occupation : employé depuis le début de l'année comme guichetier au Palace James St Cinemas.
adresse : il habite avec sa fille et son chien dans un appartement, quartier south bank & west end, deux chambres, un salon ouvert sur la cuisine et un petit balcon.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon paternel
infos rp : entre 300 et 700 mots, réponse tous les 7 à 10 jours.
Depuis combien de temps n'était-il pas allé en boite de nuit ? Ari n'arrivait même pas à se souvenir, pour être honnête. Depuis l'arrivée brutale de Joy dans sa vie, il avait levé le pied sur tout ça. C'était le moins qu'on pouvait dire. Etre papa célibataire était clairement un job à temps plein et pourtant il devait en assurer un "vrai" en plus. Un qui rapportait des sous pour lui permettre justement d'exercer sa double profession de père. Quelle vie ! Alors entre ses deux jobs, Ari ne trouvait plus que rarement le temps de s'occuper de sa vie sociale. Les choses allaient un peu mieux depuis son retour à Brisbane, quelques mois en arrière. Il pouvait compter sur sa mère et sa sœur pour l'aider avec Joy et il avait renoué avec quelques amis. Il s'en était fait des nouveaux, aussi. Comme Stella. Jeune maman seule comme lui, le garçon lui avait rapidement présenté Tobby et ils formaient désormais un petit trio de parents toujours prêts à se serrer les coudes. Ça faisait du bien. Ce soir, ils avaient décidé de s’accorder un intermède sans enfants, pour décompresser. Il savait que Stella en avait besoin et s’il était vraiment honnête, lui aussi. Sa vie des derniers mois avait été mouvementée. Avec le déménagement. Et Bea. Un sujet complexe qu'il tentait de gérer le mieux possible.
Le voici donc en boite de nuit, Ari. Et suite au désistement de Tobby, il se retrouve tête à tête avec Stella. Après tout, pourquoi pas ? Il n'a jamais passé un mauvais moment avec la jeune femme, bien au contraire. Bon, si on oublie cette fois pour le moins mouvementée au café, lorsque l'ex de la brune avait débarqué. Ari s'était retrouvé au milieu de quelque chose qu'il aurait préféré éviter. Surtout lorsque l'ex en question avait lâché le prénom tant redouté. Juliet. Manifestement, il connaissait la défunte mère de Joy. Mais Ari ne se souvenait pas vraiment de cet Eli à l'époque où il fréquentait Juliet. Ce qui ne semblait pas réciproque. Par chance, ou plutôt probablement par honte, Stella n'avait pas vraiment évoqué l'évènement depuis. Uniquement pour s'excuser à nouveau du comportement de son ex, dont elle n'était absolument pas responsable. Ari était soulagé qu'elle n'ait pas creusé le sujet, en vérité. Il n'avait pas été complètement honnête au sujet de Joy, arrangeant un peu l'histoire à sa sauce pour omettre la partie où Juliet avait tenté de lui parler de sa grossesse. Il n'avait pas envie que Stella soit au courant. De toutes les actions de son existence, c’était celle dont il avait le plus honte. Il savait que cette honte le poursuivrait toute sa vie. Et il n'avait pas envie que le regard que Stella portait sur lui change. Il n’avait pas envie de la décevoir. Vraiment pas envie.
Les verres s’enchaînent et Ari sent peu à peu la douce euphorie provoquée par l’alcool s’installer en lui. C’est agréable. Il passe un bon moment. De temps à autre, son regard s’attarde une seconde de trop sur Stella. Étant doté d’une paire d’yeux fonctionnels, Ari a déjà remarqué par le passé que la jeune femme est loin d’être désagréable à regarder. Et ce soir, il faudrait être complètement aveugle pour ne pas le voir. Apprêtée pour l'occasion, elle est sublime. Alors c'est difficile, de ne pas profiter de la vision qui s'offre à lui. Mais ce n'est pas vraiment approprié, se dit-il et il se reprend rapidement à chaque fois qu'il se surprend à poser un tel regard sur elle. De moins en moins rapidement, au fil des verres qu'il vide. Alors qu'ils sont occupés à discuter, les premières notes d'une chanson provoquent chez la jeune femme une réaction pour le moins euphorique et Ari oscille entre un sourire et une grimace alors qu'elle agrippe fortement son bras. J’adore cette chanson ! Oui, ça il le devine facilement. Il reconnait lui même l'air, assurément familier, sans qu'il ne puisse poser un titre ou un artiste dessus, cependant (honte à toi, Ari). Il finit son verre en regardant son amie sautiller et chanter les paroles. Il n'a même pas le temps d'ouvrir la bouche pour accepter sa proposition - car comment refuser ? - qu'elle le supplie déjà, carte du regard de chien battu jouée. Ari éclate de rire. "Pas besoin de tels arguments madame, je viens !" Posant son verre vide sur le comptoir, il se laisse entrainer par la jeune femme sur la piste de danse, au milieu de la foule. La chanson est relativement calme et, probablement engaillardi par l'alcool qui coule dans ses veines, il pose ses mains sur la taille de Stella avant de commencer à bouger sur la musique. Le geste lui semble simple, naturel. Innocent. Presque. Il lui sourit. "C'est vraiment cool cette soirée, merci d'avoir proposé." commente-il, croisant le regard de la brune. "C'est de qui déjà ? La musique ?" demande-t-il en se penchant un peu plus vers elle pour se faire entendre.
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Stella Rosales
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a un fils de 5 ans du nom de Billie ; fan des films Disney ; fantasme sur George Clooney ; boit trop de coca ; mange trop de pizzas ; claustrophobe ; maniaque à en devenir parfois malade ; dépensière à outrance ; s'habille un peu trop coloré ; un chouia trop bavarde ; solaire ; dort encore avec des peluches ; a fait du violon pendant des années ; joue de la guitare également ; s'est inscrite aux auditions pour la saison prochaine de The X Factor ; espère un jour percer comme chanteuse ; passe trop de temps sur tiktok ; rêve d'avoir un cheval; écrit des poèmes ; réussis deux recettes : les gratins de pâtes et les croque-monsieur; s'auto-surnomme aimant à connard
Il y a quelque chose de simple qui se dégage de ta relation avec Ari. Tout s’est installé naturellement entre vous. Une complicité qui est née grâce à la similarité de votre situation. Pourtant, ces derniers temps, tu sens bien que quelque chose a changé. Tu t’efforces à ne pas y prêter attention et à balayer tes pensées de peur de gâcher ce qui existe déjà. Les signes sont subtils mais présents. Tu sens une tension sous-jacente que tu ne saurais définir. Grâce à l’alcool, tes doutes s'estompent, remplacés par une audace nouvelle. Tu te sent libre, d’humeur joueuse et doucement tu laisses tomber les barrières qui te retiennent. Une onde d'excitation te traverse lorsqu’il accepte de te suivre jusque sur la piste. Tu l’attrapes par la main pour vous faufilez à travers la foule et atteindre le centre. Tu passes tes bras autour de son épaule tandis que les siennes trouvent place autour de ta taille. Tu rougis de cette proximité. Vos mouvements sont légers, rythmés par la mélodie. Ari est différent des autres fois. L’alcool peut être. Sa faussette creusée lorsqu’il sourit, te semble soudain irrésistiblement sexy. Comment ce petit creux sur son visage attire maintenant ton attention. Est-ce l’alcool qui te joue des tours ? Ton esprit vagabonde. Tu reviens à la réalité lorsqu’il te parle. Tu plisses les yeux pour tenter de lire sur ses lèvres ses paroles. La musique est bien trop forte. Alors tu te rapproches de lui tandis que tes hanches frôlent les siennes. Une chaleur douce émane de ce contact. Les souffles se caressent, chargés des effluves d’alcool. « Green Day, tu ne connais pas ? » tu lui adresses un grand sourire et pendant un bref instant, tu sens que vos regards restent accrochés. L’échange, aussi bref soit-il, est empreint d’une hésitation que tu ne parviens pas à interpréter. Ton cerveau se brouille et tu tentes de garder l’air neutre. Tu t’efforces de rester concentrée sur ta danse. Le registre change, de la batchata. Tu pensais retourner t’asseoir après Green Day, mais la nouvelle mélodie t’envoûte et ça serait criminel de ne pas rester. Peu à peu, tu te laisses guider par la musique. Par Ari. Tu fermes les yeux un instant et te laisse emporter par la sensation de ses mains sur ton corps. Et puis la culpabilité vient s’insinuer doucement dans ton esprit. Tu as l’impression que ce qui se passe entre vous n’est pas aussi innocent que vous voudriez le faire croire. Une petite voix dans ta tête murmure des avertissements. Tu penses à ton fils, à la fille d’Ari. Que penseraient-ils de cette proximité nouvelle et ambiguë ? Tu imagines le regard de tes amis ? de Tobby ? Sans oublier ce qu’Eli a dit. Et si Eli n’avait pas menti ? Des milliers de questions traversent ton esprit à une vitesse vertigineuse alors que tu essayes de ne rien laisser paraître. S’en est trop. Tu fais un petit mouvement de recul pour remettre une distance plus convenable entre vous. « Désolé, je… » commences-tu, cherchant une excuse, n’importe laquelle pour expliquer ton geste. L'embarras se lit sur ton visage, tes joues rougissent, tes yeux évitent les siens. « J’ai perdu l’habitude de boire autant, on retourne s’asseoir un peu ? »
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La question est innocente. Incapable de placer un nom sur une musique qu’il sait pourtant connaître, il interroge Stella. Et la réponse de la brune est tout aussi innocente, dévoilant le nom des artistes. Alors pourquoi est-ce que dans le moment qui suit, rien ne semble innocent ? Ils sont proches, leurs regards s’accrochent et Ari peut sentir la chaleur du corps de Stella sous ses mains, malgré l’air déjà surchauffé de la boîte de nuit. Le moment ne dure qu’une seconde à peine mais Ari sent quelque chose l’envahir. Une sensation étrange que son esprit n’ose pas nommer. Une sensation agréable. Une sensation qu'il n'a pas ressenti depuis longtemps. Il repousse les tentatives de son esprit de surinterpréter les choses et grâce à l'alcool, il y arrive facilement. Ce n'est pas l'heure de penser. Il veut profiter. Se laisser porter. Lâcher prise. Il en a le droit, non ? Alors, ils continuent de danser lorsque la musique change, un rythme plus rapide, un genre bien différent. Le garçon suit les mouvements de la brune qui semble plus experte que lui dans le domaine, non pas que ce soit réellement difficile.
Mais, trop rapidement à son goût, le charme se brise. Stella s’écarte. Et elle s’excuse. Ari plisse les yeux dans la pénombre, son regard notant l’air embarrassé de la jeune femme. A-t-il fait quelque chose de mal ? A-t-il mal saisi l’atmosphère ? Peut-être qu’il est le seul à avoir laissé l’alcool amener ses pensées vers un domaine… Dangereux ? Le mot est sûrement trop fort. Un domaine pas vraiment innocent, c’est plus exact. Il sent l’embarras le gagner à son tour. Qu’est ce qui lui a pris ? Il hoche la tête en réponse à la question de Stella. "Oui, bien sûr." L’instinct de prendre la main de la jeune femme pour la guider hors de la foule qu’Ari aurait pu avoir est stoppé. Manifestement, il a mis la brune mal à l’aise et il ne va pas risquer d’empirer les choses. Il se contente alors d’ouvrir la voie, jouant un peu des épaules pour se frayer un chemin vers les tables. "Tu veux que j'aille nous chercher des verres d'eau ?" Après tout, peut-être qu'il se fait des films. Peut-être qu'il n'a rien fait de mal et que la brune a simplement la tête qui tourne, après trop d'alcool. Peut-être qu'il a imaginé l'embarras de la jeune femme. Après tout, les expressions faciales sont dures à lire, dans la pénombre. Oui, peut-être qu'il se monte la tête pour rien. Il pose une main sur l'épaule de son amie et cherche son regard, un petit sourire aux lèvres. "Ça va quand même ? Tu veux qu'on s'en aille ?" Si elle se sent véritablement mal à cause de l'alcool, ils peuvent terminer la soirée dès à présent. Ou simplement sortir marcher un peu. L'air frais pourrait lui faire du bien.
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La soirée avait commencé de manière simple, une de ces rencontres entre amis, sans enfants à l’horizon et qui promettait d’être légère et sans complications. Mais alors que la musique résonnait et que le temps avançait les choses avaient pris une tout autre tournure. L’ambiance s’était modifiée, subtilement dans un premier temps, puis plus intensément. Ce qui s’était passé sur cette piste de danse n’était pas quelque chose que Stella avait anticipé, mais cela avait confirmé bien des doutes. Elle ne se sentait plus totalement maîtresse d’elle-même, et c’est bien pour ça qu’elle évitait généralement de boire. Elle n’avait jamais été très douée pour gérer ses sentiments quand elle buvait, et ce soir avec Ari si proche ses barrières habituelles étaient sur le point de craquer. Quand Ari lui proposa de lui chercher un verre d’eau, elle cligna des yeux comme si la question la ramenait à la réalité puis hocha vivement la tête. Oui, de l’eau, c’était exactement ce qu’il lui fallait. Ce garçon était vraiment parfait. Gentil, attentionné, toujours là pour elle. Pourquoi se torturait-elle encore avec Eli ? Quelle importance avait son avis ? Après tout, c'était lui qui l'avait blessée et qui l'avait laissée tomber. À quoi bon s’accrocher à ce qui lui avait fait mal quand ce qui était bon et doux était juste là sous son nez ? Le verre d’eau dans les mains, elle tenta de retrouver un semblant de contenance. L’eau froide glissa dans sa gorge, apaisant toute son agitation. Elle resta silencieuse un instant comme pour rassembler toutes ses pensées. Il lui proposa de s’en aller et bien que la solution soit facile, elle ne voulait pas fuir. Elle voulait être honnête avec lui, et avec elle même aussi. Puis dans un élan de courage – surement accentué par l’alcool -, elle décida de tout lui dire. Tant pis si cela semblait maladroit ou précipité ou que ça ne vienne tout gâcher. Elle ne voulait plus reculer : « Ari, je… » Elle prit une profonde inspiration pour se donner de la force alors que sa voix tremblait légérement. « Je ne sais pas trop comment t’en parler sans passer pour une folle. Mais j’ai envie d’être sincère avec toi. » Elle sentait son cœur battre à toute allure, comme s'il était prêt à s'échapper de sa cage thoracique. « Sur la piste de danse, j’ai eu très envie que tu m’embrasses. » Les mots étaient sortis de sa bouche un peu trop vite sans qu’elle n’ait eu le temps de les peser vraiment. Elle sentit une vague de chaleur envahir son corps jusqu’à ses joues qui s'enflammèrent instantanément. Elle ne s'était jamais imaginée lui dire cela aussi franchement, et maintenant que c'était fait, elle ressentait un étrange mélange de soulagement et de panique. Que pensait-il de tout ça ? Est-ce qu’elle avait tout gâché avec son besoin impulsif de vérité ? Elle se mordilla nerveusement la lèvre inférieure : « … Et en même temps, j’ai tellement peur que ça gâche tout entre nous. Je veux dire, tu es mon ami, et nos enfants, ils comptent tellement... Je ne veux pas qu’ils soient perdus ou qu’ils se sentent mal à cause de nous. Je ne veux pas que ça devienne compliqué…. Et peut être que ? Enfin je veux dire… Est-ce que tu ressens la même chose ou est-ce que c’est juste moi qui suis en train de tout imaginer parce que j’ai bu un peu trop ? Est-ce que toi aussi, tu as pensé que... enfin, que nous deux, ça pourrait être plus qu’une simple amitié ? » Elle parlait trop, elle le savait, mais c’était plus fort qu’elle. Ses pensées virevoltaient dans sa tête et s'entrechoquaient en désordre. Le temps de reprendre son souffle qu’elle se lançait de nouveau dans un monologue maladroit, typique d’elle lorsqu'elle se laissait emporter par ses idées : « Je sais, c’est n’importe quoi ce que je raconte, mais je me dis que si je ne te le dis pas maintenant, je n’aurais plus jamais le courage de t’en parler. Et puis j’en ai marre de me taire, de faire semblant que tout va bien qu’il n’y a rien alors qu’au fond je meurs d’envie de savoir ce que ça ferait si toi et moi… enfin, si on essayait… » elle se perdit un moment dans le bleu profond des yeux d’Ari, alors qu’elle sentit son regard glisser vers ses lèvres et s’attardant sur la courbe délicate de sa bouche : « Je meurs d’envie de goûter à tes lèvres. » confessa-t-elle dans un mumure spontané achevant ce qu’il reste de leur amitié…
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L'atmosphère entre eux avait changé si rapidement. Ari ne saurait mettre le doigt sur le moment exact où cela s'était produit. Probablement peu de temps après que Stella l'ait entrainé sur la piste de danse et que leurs corps se soient rapprochés, ses mains venant se glisser doucement autour de la taille de la jeune femme. Et puis, tout aussi brusquement, l'atmosphère avait changé une nouvelle fois. Stella s'était écartée, visiblement perturbée. Presque... Embarrassée ? Lire les expressions faciales n'avait rien de simple dans la pénombre, avec en plus un certain degré d'alcool dans le sang. Mais quelque chose clochait, ça il n'y avait pas de doute. Après les avoir mené hors de la foule, il se proposa de récupérer des verres d'eau et fila remplir sa mission au bar dès que Stella approuva. En attendant que le barman remplisse leurs verres, le brun ne put s'empêcher de réfléchir. Avait-il fait une erreur ? Stella avait-elle remarqué quelque chose ? Dans ses gestes ? Son regard ? Avait-il été trop proche ? Avait-elle vu les quelques coups d'oeil qu'il avait laissé s'attarder sur elle, si sublime ce soir ? Ou bien ses yeux avaient-ils trahi l'étrange sensation qu'il avait senti l'envahir quelques instants auparavant, sur la piste de danse. Du... Désir ? Une envie. De quoi ? C'était un terrain dangereux et il le savait, Ari. Il savait aussi qu'il ne pensait pas clairement, avec tout cet alcool. Un verre d'eau lui ferait du bien, à lui aussi. Il avait pensé être discret mais peut-être que Stella avait ressenti ce changement d'atmosphère. Et que ça ne lui avait pas plu. Il l'avait mise mal à l'aise. Il ne fallait pas tout compliquer. Ils avaient une bonne dynamique, avec Tobby et puis Billie et Joy. Il ne fallait pas qu'il gâche tout avec ses conneries. Il attrapa les verres d'eau en remerciant rapidement le barman et commença à retourner vers Stella d'un pas décidé. Il allait s'excuser. Lui faire comprendre qu'il n'y avait rien de bizarre. La rassurer. Il lui tendit le verre d'eau et but le sien. Mais si il rendait les choses bizarres en s'excusant, justement ? Peut-être qu'il se faisait des films et que le malaise de Stella n'avait rien à voir avec tout ça. Peut-être qu'elle avait simplement trop bu. Il l'interrogea alors, lui proposant de partir, si elle le souhaitait. Mais elle refusa et sembla se décider à lui avouer quelque chose. Je ne sais pas trop comment t’en parler sans passer pour une folle. Mais j’ai envie d’être sincère avec toi. Ari songea qu'il avait vu juste, il l'avait mise mal à l'aise. Et elle s'apprêtait à le recadrer. Gentiment, bien sûr, puisqu'on parlait de Stella, après tout. Ainsi, le jeune homme n'était absolument pas prêt pour le reste des paroles de la brune. Sur la piste de danse, j’ai eu très envie que tu m’embrasses. Les yeux d'Ari s'écarquillèrent. Avait-il bien entendu ? Oui, malgré la musique autour d'eux, pas de doute possible. Il sentit son cœur battre un peu plus fort et regarda les joues de Stella se teinter de rouge, malgré la pénombre. Il voulait répondre. Il ne savait pas vraiment quoi, en fait il n'avait peut-être pas envie de répondre avec des mots. Mais la brune ne lui en laissa pas l'occasion et se lança dans un véritable monologue. En l'écoutant, les lèvres d'Ari s'étirèrent peu à peu en un sourire de plus en plus large, sans qu'il ne le réalise. Il la trouvait adorable. Et plus elle parlait, plus elle se perdait dans son discours, s'auto accusant de raconter n'importe quoi, plus il la trouvait absolument irrésistible. Je meurs d’envie de goûter à tes lèvres. Toute réticence ou contrôle liés à une peur des conséquences à venir furent définitivement balayées et Ari réduisit la distance entre eux à néant. Ses mains se glissèrent dans le creux de reins de Stella, ses lèvres sur les siennes. Son cœur s'emballa et des frissons le parcoururent, comme si son inconscient avait attendu ça depuis bien trop longtemps. Peut-être était-ce le cas. Il n'avait plus envie de la lâcher. Peut-être car il savait qu'il leur faudrait affronter la réalité, lorsque ce moment passerait. Alors il l'embrassa encore, longuement, oubliant totalement leur environnement, la musique, les gens. Il ne se recula qu'à contre cœur au bout d'un instant, gardant son front collé à celui de la brune et cherchant son regard, presque à bout de souffle. "Désolé, je..." murmura-t-il. Les mots lui manquaient. Les émotions se bousculaient. Une partie de lui voulait désespérément ignorer tous les signaux d'alerte qui clignotaient dans son cerveau. Une autre ne pouvait pas s'empêcher de les voir. "On a beaucoup bu..." ajouta-t-il alors, se décidant à simplement énoncer des évidences qui ne faisaient pas du tout avancer la situation.
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statut civil : Célibataire. Cœur en lambeaux erre dans un vide écrasant laissé par sa rupture avec Eli. Les souvenirs se bousculent, les regrets se mêlent et la douleur est encore trop vive.
occupation : Infirmière sauve des vies plutôt que la sienne.
adresse : New Home (#22,South Bank & West End District) un rêve devenu réalité, l'appartement est magnifique, elle n'aurait pas pu espérer mieux.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : séparation
infos rp : Écriture : 2ème personne Longueur : ~ 600/800 mots Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.
a un fils de 5 ans du nom de Billie ; fan des films Disney ; fantasme sur George Clooney ; boit trop de coca ; mange trop de pizzas ; claustrophobe ; maniaque à en devenir parfois malade ; dépensière à outrance ; s'habille un peu trop coloré ; un chouia trop bavarde ; solaire ; dort encore avec des peluches ; a fait du violon pendant des années ; joue de la guitare également ; s'est inscrite aux auditions pour la saison prochaine de The X Factor ; espère un jour percer comme chanteuse ; passe trop de temps sur tiktok ; rêve d'avoir un cheval; écrit des poèmes ; réussis deux recettes : les gratins de pâtes et les croque-monsieur; s'auto-surnomme aimant à connard
Stella ne pouvait plus contenir ce qu’elle ressentait. Depuis des semaines, des mois peut-être, une petite voix dans son esprit lui chuchotait qu’il y avait quelque chose de différent avec Ari. Quelque chose qu’elle refusait de reconnaître. Mais ce soir, tout était remonté à la surface, incontrôlable. Sur la piste de danse, elle avait senti cette étincelle. Le contact de ses mains sur sa taille, la chaleur de son regard posé sur elle, la tension délicieuse dans l’air. Tout cela avait éveillé en elle des émotions qu’elle n’avait pas ressenties depuis longtemps. Ce n’était pas simplement l’alcool. Non, elle ne pouvait pas tout mettre sur le compte de ces quelques verres. Ces pensées, ce désir latent, étaient là depuis un moment. Ce soir, elles avaient juste trouvé une brèche. Et maintenant, elle ne pouvait plus les ignorer. Alors, avant de perdre courage, elle avait décidé de parler. Les mots étaient sortis, plus rapidement qu’elle ne l’aurait voulu, et elle sentit ses joues s’enflammer. Elle baissa les yeux, incapable de les relever craignant sa réaction. Mais au lieu de ça, elle sentit un mouvement et avant qu’elle ne puisse tout saisir, ses lèvres rencontrèrent les siennes. Le baiser fut doux au départ, seulement la jolie infirmière n’hésita pas longtemps. Elle répondit avec une ferveur qu’elle ne savait même plus comment contenir, prolongeant ce moment comme si elle avait attendu cela toute sa vie. Ses bras s’enroulèrent autour de son cou, l’attirant un peu plus près, comme si elle avait peur qu’il s’éloigne. Une chaleur l’envahit tout entière, et tout ce qu’elle avait essayé de réprimer, explosa enfin. C’était parfait. Tellement parfait qu’elle en oubliait où ils étaient, ce qu’ils risquaient, ou même les conséquences. Elle sentit un sourire se former contre ses lèvres, incapable de cacher l’euphorie qui la traversait. Elle aurait voulu que ça dure toujours. Mais quand Ari recula légèrement et s’excusa la réalité repris doucement sa place. « Désolé ? » l’était-il réellement ? Il n’avait pas à l’être. Elle secoua la tête et déposa une main sur sa joue « C’est vrai qu’on a beaucoup bu… Mais c’est ce que je voulais. » Une petite lueur d’incertitude passa dans ses yeux : « Enfin… j’espère que toi aussi ? » sans toute fois lui laisser le temps de répondre – elle enchaîna : « Et si je ne me contrôle pas, je risque de devenir accro très vite. Mais… il va falloir que l’on se montre prudents. » Elle marqua une pause, cherchant ses mots avec soin. « Je crois qu’on a tout les deux peurs pour nos enfants. Alors… je pense qu’on devrait garder ça juste pour nous pour le moment. D’accord ? » La raison l’emportait toujours chez elle lorsqu’il s’agissait de son fils. A part Eli, Billie n’avait pas rencontré d’autres hommes. Une part d’elle aurait voulu ignorer ses préoccupations, se laisser simplement emporter par l’instant. Leurs vies n’étaient pas aussi simple, alors juste une fois elle voulait se faire passer avant tout le reste. « On pourra redevenir raisonnable lorsque l’effet de l’alcool se sera dissipé. » ses doigts effleurèrent la courbe de sa mâchoire. Elle n’avait pas envie de penser à demain, ni même aux prochaines heures. Tout ce qu’elle voulait, c’était prolonger cette euphorie qu’il faisait naître en elle…