Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : ça y'est, elle a passé le cap fatidique de la quarantaine, le vit-elle bien ? Non, pas du tout. Surtout quand ce jour-là, elle découvre son petit ami au lit avec une autre... plus jeune.
statut civil : elle a mis du temps à croire en cette histoire et lorsqu'elle finit par s'y donner corps et âme... la trahison arrive. callie ne sait plus réellement si elle est en couple ou célibataire... ce qu'elle sait c'est qu'elle est en colère contre Simon.
occupation : L'art jusqu'au bout des doigts, Callie est peintre avant toute chose, puis plus récemment elle a accepté être la conservatrice de la section contemporaine de Brisbane.
adresse : Elle vit dans un appartement qu'elle a acheté et retapé il y a plusieurs années, avant même la naissance de son fils. Duplex dans une ancienne manufacture désaffectée de west end avec pour voisin son meilleur ami.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle
trigger : À discuter en pv
warning : divorce - gap age +10
infos rp : troisième personne du singulier
~ 500 mots
dialogues en français mais j'accepte les dialogues en anglais en réponse.
Calliope repose son portable sur l’ilot de la cuisine ouverte de son loft. Pas de réponse. Le message n’est pas lu. Rien. Il a presque une heure de retard. Elle hésite et s’il n’avait juste pas pris la peine d’ouvrir le message mais qu’il était en route ? Elle hésite encore. Foxy la fixe en remuant la queue ce qui lui arrache un petit sourire, elle attrape sa petite chienne pour lui faire un câlin. « - On dira que je n’ai jamais atteint les quarante ans, t’en pense quoi ? Je peux faire plus jeune non ? » Elle n’en est pas certaine parce que lorsqu’elle regarde son reflet dans le miroir, elle voit ses traits changer. Les rides qui apparaissent. La peau moins élastique, elle a parfois l’air plus vite fatiguée aussi. Est-ce que la peintre a investi dans des crèmes hors de prix ? Évidemment, bon sang, elle est devenue ce genre de femme. Ce matin, elle s’est faite belle, très belle, elle porte une jolie robe, elle s’est coiffée, maquillée, elle porte un collier offert par Simon lors de leur année passée ensemble. Lorsqu’elle y pense, plus d’une année à ses côtés, cela semble fou. Pourtant plus les jours passent, moins elle se voit sans Simon.
Un dernier baiser à Foxy et elle se décide à aller à la colocation de Simon. Ce n’est pas un lieu où elle est particulièrement à l’aise mais peut-être que Simon a eu un problème et elle doit savoir. C’est son anniversaire et ne va pas l’attendre toute la journée. Elle s’arrête en chemin pour prendre deux jus de fruits pressés et des roulés à la cannette. Lorsqu’elle frappe à la colocation, on lui ouvre, elle salue poliment et sans se douter une seule seconde de ce qu’elle va trouver, elle monte jusqu’à la chambre de Simon. Trois petits coups et elle n’attend pas qu’il réponde, elle ouvre la porte. La scène qu’elle voit la heurte profondément. Elle se stoppe sur le seuil de la porte, impossible d’aller plus loin. Deux personnes dans un même lit. Deux personnes et l’une d’elle est son petit ami... l’autre ? Une femme. La blague. « - Je comprends pourquoi t’es en retard... à minuit ça fait des déclarations alors que deux minutes après tu t’es tapé cette fille ? » C’est quoi le problème des hommes avec l’infidélité ? Sous le coup de la colère, elle avance au-dessus de Simon et elle déverse le contenu d’un des gobelets rempli de jus de fruit et dans cette forme de fureur, elle balance tout le reste dans le lit. « - Va te faire foutre Simon » Le jour de son anniversaire. Simon le mec parfait ? Non, les mecs parfaits n’existent pas.
_________________
(There's a place we won't feel so crazy) Been in a hazy mid-morning daydream, i found a shady spot that they saved me.
Simon Gallagher
----------------------------------
MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
paper rings
messages : 461
rps : 32
pseudo : utopiandelusion.
id card : François Civil (avatar @murdock / crackship @RAMPLD + @utopiandelusion).
pronom irl : Elle
présence : Présent
âge : Trente ans, le cap enfin passé et l'impression de pouvoir enfin se targuer d'être un "adulte".
statut civil : Heureux en couple avec Callie, du moins jusqu'à il y a peu. Il a tout gâché avec une erreur stupide, Simon. Une erreur qu'il va regretter encore un moment, mais qui ne le fera pas abandonner la femme de sa vie.
occupation : Ingénieur du son indépendant, il travaille la majeure partie de son temps pour le Queensland Performing Arts Centre. Sa blessure récente à la main a rendu son travail plus compliqué et l'oblige à limiter ses missions au strict minimum. Une baisse de régime qui se ressent déjà sur ses finances.
adresse : #400 new farm, dans la maison du bonheur avec ses six colocataires.
infos rp : (longueur) Entre 500-1000 mots (rythme) Réponse rp tous les 7-10 jours environ, plus fréquemment pour les sms, etc. (écriture) 3ème personne du singulier, présent, dialogue en français (couleur dialogue) #ad4f09
Autour de lui, les gens dansent, rient, s’exclament. Les visages sont flous, indéfinissables, pourtant il se sent bien et en confiance Simon. Les corps qui se meuvent autour de lui et la vibration qui résonne dans sa cage thoracique laissent entendre que la musique résonne et que chacun s’exprime sur ses notes, librement, joyeusement. Il y a des guirlandes, des couleurs vives. Une odeur de cigarette chaude et de bière se dégage de l’air ambiant. Parmi tous les visages vaporeux qui l’entourent, l’un d’entre eux se distingue. Au milieu de la foule, de l’autre côté de la pièce, elle est là, brillante. Une sensation de joie immense le traverse lorsque ses yeux se posent sur Callie. Deux verres de champagne apparaissent soudain dans ses mains, jusqu’alors vides et impalpables. Le brun s’avance, se laisse flotter parmi les corps dansants, jusqu’à arriver à elle. Alors qu’il s’apprête à lui tendre une coupe, un bruit sourd se distingue. Les vibrations des basses laissent place à trois coups forts et distincts. Boom, boom, boom. Et puis tout à coup, tout se dissipe. Les inconnus, les murs, les lumières, même Callie. « Je comprends pourquoi t’es en retard... à minuit ça fait des déclarations alors que deux minutes après tu t’es tapé cette fille ? » Il faut bien quelques secondes au musicien pour comprendre ce qui lui arrive. Le rêve dont il a été extirpé, l’endroit dans lequel il se trouve réellement, puis sa présence.
« Va te faire foutre Simon » Ce n’est qu’à la deuxième phrase qu’il réalise ce qui se passe Simon. Les accusations précédentes de sa petite amie se bousculent dans sa tête, tandis qu’il baisse son regard vers la personne couchée à ses côtés. Andy. Il n’a pas le temps d’assimiler qu’une pluie de jus d’orange se déverse sur lui. Froide, aussi glaçante que l’attaque verbale qu’il vient de se prendre en pleine figure. A côté de lui, son amie se réveille à son tour en sursaut, mais le brun n’y prête pas attention. Parce que tout ce qui lui importe à cet instant, c’est de résoudre l’immense malentendu qui se déroule. « Callie attends » s’écrie-t-il en ôtant le draps de lui, sautant d’un bon du lit inondé et recouvert de ce qui semblent être des gâteaux suédois à la cannelle. Vêtu d’un short et le torse nu, il court vers la peintre qui s’éloigne vers la porte. Il ne peut pas la laisser partir. « C’est pas ce que tu crois, attends s’il te plaît. » Il faut croire qu’il n’y a rien de plus rapide qu’une femme en colère, car elle a déjà franchi le seuil de la porte quand il parvient enfin à lui attraper le bras. « Regarde-moi s’il te plaît » D’un coup, il la force à lui faire face et lui attrape la deuxième épaule pour s’assurer qu’elle ne s’échappera pas. « C’est Andy, l’amie dont je t’ai déjà parlé mille fois. Juste Andy. Il s’est rien passé, je… » Au fur et à mesure qu’il tente d’expliquer la situation, l’intégralité du contexte lui revient à l’esprit. « Mon réveil a pas dû sonner, on a trainé super tard, on a pas vu l’heure passer… » termine-t-il d’une voix paniquée et si perturbé qu'il n'arrive pas à s'excuser.
_________________
you drew memories in my mind i could never erase. you painted colors in my heart i could never replace.
Callie Bergman
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 2752
rps : 188
pseudo : Bittrblue
id card : rebecca ferguson (avatar - fassylovergallery)
âge : ça y'est, elle a passé le cap fatidique de la quarantaine, le vit-elle bien ? Non, pas du tout. Surtout quand ce jour-là, elle découvre son petit ami au lit avec une autre... plus jeune.
statut civil : elle a mis du temps à croire en cette histoire et lorsqu'elle finit par s'y donner corps et âme... la trahison arrive. callie ne sait plus réellement si elle est en couple ou célibataire... ce qu'elle sait c'est qu'elle est en colère contre Simon.
occupation : L'art jusqu'au bout des doigts, Callie est peintre avant toute chose, puis plus récemment elle a accepté être la conservatrice de la section contemporaine de Brisbane.
adresse : Elle vit dans un appartement qu'elle a acheté et retapé il y a plusieurs années, avant même la naissance de son fils. Duplex dans une ancienne manufacture désaffectée de west end avec pour voisin son meilleur ami.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle
trigger : À discuter en pv
warning : divorce - gap age +10
infos rp : troisième personne du singulier
~ 500 mots
dialogues en français mais j'accepte les dialogues en anglais en réponse.
Jamais elle n’a imaginé assisté à une telle scène venant de Simon. Seulement sous les airs de mecs parfait, la réalité est toute autre. Frappante. Le choc. Le cœur qui se brise. Pas besoin d’aller chercher des explications à ce qui se passe ou s’est passé dans cette chambre, voir ce lit. C’est explicité quand elle voit que son petit ami est torse nu. Elle ne veut pas d’explication, ce genre de scènes, elle les connait, elle sait parfaitement ce qu’il va vouloir dire, faire. Non, elle agit. Furieuse contre celui qui vient de lui briser le cœur. Le jour de son anniversaire. Su-per. La fille à côté de lui est plus jeune, c’est l’éternelle ritournelle. Quarante ans et célibataire. L’heure d’un nouveau départ apparemment. Elle est en colère d’abord, c’est elle qui régit ses actes et réactions. Verser le contenu du gobelet sur Simon. Peut-être que cela le réveillera. Et puis quand elle est en colère c’est une tempête. Véritable tempête. Et finalement c’est tout ce qu’elle a apporté – trop conne – qui terminé dans les draps de l’auteur de la trahison. Les mots fusent, elle ne prend pas la peine de faire des reproches, d’insulter l’amante et sa partenaire, elle a plus de dignité que ça. Non, elle se barre et elle ne veut plus entendre parler de Simon Gallagher. Jamais.
Radical comme réaction ? Que feriez-vous ? Votre mec, l’homme que vous aimez, dans un lit avec une fille, qu’importe ce qui s’est passé, sur l’instant tout ce qu’elle voit c’est deux amants qui se sont prélassés dans un lit. Elle suave ce qu’elle peut, se refuse de craquer devant lui, eux. Elle réfléchit déjà à ce qu’elle va devoir dire à Tobias, lui qui adore Simon, comment ne pas entacher l’image qu’il a pour ne pas l’impacter de trop. Bon sang… elle regrette déjà trop de choses, comme avoir présenté Simon à Tobias. Quelle idée stupide. Ses talons claquent déjà dans le couloir lorsqu’elle se fait rattraper par Simon. Elle l’entend à peine la supplier d’attendre. Les yeux bleus glacés de la suédoise se posent sur le geste qu’il entreprend, la retenir, main sur son bras. Il la force à lui faire face, elle déteste ça, elle ne veut pas le regarder, plus jamais. Il tente de lui expliquer. Andy. Là son regard se relève vers lui, la colère gronde encore plus. Andy, elle en a entendu parler. Ex et meilleure amie. Elle ne pensait pas devoir s’en méfier mais il faut croire que si finalement. La gifle part toute seule. « - Andy, ton ex ? C’est parfait, ravale ton vomi, ça ne me regarde plus. Ne me touche plus » Et la voilà qui se dégage de son emprise. « - Je te faisais confiance… j’ai vraiment été une imbécile ! Le jour de mon anniversaire ? C’est quoi ton problème ? Tu attendais pile mes quarante ans pour me foutre à la poubelle, parfait ! Retourne avec cette fille. Nous deux, c’est terminé » Les larmes montent quand elle prononce ces mots, terrible de les dire quand elle sent encore son cœur battre pour lui… quand il se brise un peu plus à chaque battement. C’est trop. Elle a besoin de prendre l’air.
_________________
(There's a place we won't feel so crazy) Been in a hazy mid-morning daydream, i found a shady spot that they saved me.
Simon Gallagher
----------------------------------
MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
paper rings
messages : 461
rps : 32
pseudo : utopiandelusion.
id card : François Civil (avatar @murdock / crackship @RAMPLD + @utopiandelusion).
pronom irl : Elle
présence : Présent
âge : Trente ans, le cap enfin passé et l'impression de pouvoir enfin se targuer d'être un "adulte".
statut civil : Heureux en couple avec Callie, du moins jusqu'à il y a peu. Il a tout gâché avec une erreur stupide, Simon. Une erreur qu'il va regretter encore un moment, mais qui ne le fera pas abandonner la femme de sa vie.
occupation : Ingénieur du son indépendant, il travaille la majeure partie de son temps pour le Queensland Performing Arts Centre. Sa blessure récente à la main a rendu son travail plus compliqué et l'oblige à limiter ses missions au strict minimum. Une baisse de régime qui se ressent déjà sur ses finances.
adresse : #400 new farm, dans la maison du bonheur avec ses six colocataires.
infos rp : (longueur) Entre 500-1000 mots (rythme) Réponse rp tous les 7-10 jours environ, plus fréquemment pour les sms, etc. (écriture) 3ème personne du singulier, présent, dialogue en français (couleur dialogue) #ad4f09
Le choc émotionnel est terrible. Plongé dans un rêve euphorisant il y a encore quelques secondes seulement, Simon peine à attraper ce qui le rattache à la réalité. Tout est beaucoup trop confus dans son esprit, l’odeur sucrée qui se dégage de son corps mouillé, son amie Andy sortie de son sommeil à ses côtés, et surtout, la silhouette enragée de Calliope à côté de son lit. Se retrouver dans sa chambre en compagnie de ces deux personnes n’a aucun sens et perd entièrement le brun, le cerveau encore embrumé par un réveil brutal. C’est lorsque Callie se décide finalement à lui adresser plus qu’une insulte qu’il comprend, Simon. La date d’aujourd’hui, l’heure probablement tardive à voir le soleil qui rentre dans la pièce, la situation aux airs compromettants qu’il offre. Lui, à demi vêtu, Andy, sous l’autre côté de la couette. N’importe qui serait arrivé aux mêmes conclusions que sa petite amie, mais voilà, Simon n’est pas n’importe qui. Et leur histoire à tous les deux n’est pas n’importe laquelle.
S’il y a bien une chose dont il est certain à l’instant, c’est qu’il ne doit pas laisser partir la peintre. Parce que si elle quitte la maison sur cette image, sur cette vision d’Andy et lui, sans qu’ils n’aient pu avoir une avoir une explication, aucun retour en arrière ne sera possible. Terrorisé par l’idée de la perdre, Simon agit sans réfléchir. Ne pas la laisser partir. C’est sans réellement s’en rendre compte qu’il l’attrape et resserre légèrement son emprise autour de ses bras. Le regard noir que la femme lui lance confirme la maladresse de son geste. Ce n’est pas lui. Ses mains relâchent légèrement sans toutefois quitter l’épaule de Callie. Ne pas la laisser partir. La gorge serrée, il profite d’avoir capté son attention pour tenter de se justifier. « Andy, ton ex ? C’est parfait, ravale ton vomi, ça ne me regarde plus. Ne me touche plus » Deuxième erreur. Avant qu’il n’ait le temps de réagir, le brun sent le corps de sa petite amie lui échapper. Il pourrait tenter de l'attraper à nouveau, de la retenir, néanmoins il se retient. Le long de son corps, ses poings se crispent, ravivant une douleur soudaine dans sa main blessée. « Mais puisque je te dis qu’il ne s’est rien passé… » Il aimerait avoir le temps de lui expliquer, de lui faire comprendre que tout n’est qu’une horrible méprise, mais Callie ne lui en laisse pas l’occasion. « Je te faisais confiance… j’ai vraiment été une imbécile ! Le jour de mon anniversaire ? C’est quoi ton problème ? Tu attendais pile mes quarante ans pour me foutre à la poubelle, parfait ! Retourne avec cette fille. Nous deux, c’est terminé » Les deux derniers mots ont l’effet d’une gifle. Dans sa poitrine, son cœur se brise en mille éclats, chacun d’eux transperçant avec violence la chair sur son chemin. Ce n’est pas possible, rien de tout ça n’est réel, il rêve encore. Oui, ça doit être ça. Un silence lourd s’est installé quand une des portes du palier s’ouvre et laisse apparaître une tête curieuse. Irwan scrute la scène avec incompréhension. C’est donc vrai, cette scène, cette conversation, la vie autour. « Viens deux secondes » Sans attendre qu’elle ne lui donne son avis, Simon la traîne dans la salle de bain en lui tenant la main. A défaut de trouver la tranquillité dans sa chambre où se trouve encore Andy, il estime que cette pièce fera l’affaire. « J’ai été un gros con de ne pas mettre mon réveil, j’ai été un gros con de louper notre rendez-vous pour ton anniversaire, je suis désolé, sincèrement désolé » Dans une courte pause, il tente de contrôler sa voix tremblante. « Ça s’est fait à la dernière minute hier soir avec Andy, elle avait besoin de se changer les idées, on a parlé longtemps, on a joué et on a fini par s’endormir » Son regard brillant se plonge dans celui de Callie. « C’est tout. Il n’y a plus rien entre nous, c’est comme ma sœur, je.. » Les larmes lui montent. « Je ne suis pas comme ça, je ne suis pas James. Je m’en moque des autres filles, je t’aime comme je n’ai jamais aimé personne » Pris d’émotion, il s’avance vers elle et la serre dans ses bras. « S’il te plaît, crois-moi » souffle-t-il au creux de son oreille.
_________________
you drew memories in my mind i could never erase. you painted colors in my heart i could never replace.
Callie Bergman
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 2752
rps : 188
pseudo : Bittrblue
id card : rebecca ferguson (avatar - fassylovergallery)
âge : ça y'est, elle a passé le cap fatidique de la quarantaine, le vit-elle bien ? Non, pas du tout. Surtout quand ce jour-là, elle découvre son petit ami au lit avec une autre... plus jeune.
statut civil : elle a mis du temps à croire en cette histoire et lorsqu'elle finit par s'y donner corps et âme... la trahison arrive. callie ne sait plus réellement si elle est en couple ou célibataire... ce qu'elle sait c'est qu'elle est en colère contre Simon.
occupation : L'art jusqu'au bout des doigts, Callie est peintre avant toute chose, puis plus récemment elle a accepté être la conservatrice de la section contemporaine de Brisbane.
adresse : Elle vit dans un appartement qu'elle a acheté et retapé il y a plusieurs années, avant même la naissance de son fils. Duplex dans une ancienne manufacture désaffectée de west end avec pour voisin son meilleur ami.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle
trigger : À discuter en pv
warning : divorce - gap age +10
infos rp : troisième personne du singulier
~ 500 mots
dialogues en français mais j'accepte les dialogues en anglais en réponse.
Andy. Andy l’ex. L’ex-amie. Celle dont elle ne s’est apparemment pas assez méfiée. Elle a voulu faire confiance à Simon et ce matin, elle regrette. Elle regrette presque tout, toute cette année à ses côtés, elle regrette de lui avoir donné son numéro de téléphone après cette pièce de théâtre, elle regrette parce qu’elle a mal. Bon sang, elle tombe de tellement haut. L’atterrissage est pénible. Calliope est presque sonnée par tout ce qui se passe. Simon se rend-il compte qu’il vient de briser le cœur de la peintre ? Elle veut le fuir, le détester parce que c’est beaucoup plus simple d’être dans ce genre de sentiments que d’écouter la pénible vérité. Celle qui n’est pourtant pas celle qu’elle imagine, celle qu’elle ne veut pas entendre parce qu’elle est persuadée que Simon ne peut plus être l’homme parfait. L’image est entachée à cause d’un passé et un fait qui s’est déjà réalisé. A cet instant, tous les hommes sont des salauds, tous les mêmes, bloquée dans une vérité qui n’en est pas une. Les émotions la rendent aveugles. La fuite s’impose mais Simon semble en avoir décidé autrement. Calliope tente bien de mettre un point final à cette relation qu’elle affectionnait tant. Elle est prête à partir claquer la porte de cette grande maison, sous les yeux curieux des colocataires de son ex-petit-ami – ex depuis deux minutes certes.
Elle ne sait pas réellement comment elle se retrouve dans la salle de bains, elle accepte alors qu’elle a déjà la fin de cet instant, de cette dispute. Quoiqu’il dise, Calliope n’est pas prête à entendre, elle ne veut pas et elle est en colère. Ses craintes prennent le dessus, elle ne s’écoute pas, elle le refuse. Son instinct lui a déjà fait défaut. Les bras de la peintre se croisent sur sa poitrine et ses yeux le fusillent toujours du regard. Elle l’écoute qu’à moitié finalement, parce qu’elle a l’impression d’étouffer, elle n’arrive pas à soutenir son regard, ne veut pas être influencer par les yeux larmoyants, il faut qu’elle parte pour faire le point. Des non se dessinent sur son visage dans un mouvement répété. Elle roule cependant des yeux lorsqu’il évoque Andy comme une sœur. « - Non, tu es sorti avec, je ne crois pas qu’on touche avec sa sœur tu vois, tu n’es pas James ? Tu viens de faire la même chose, tu aurais fait quoi Simon si tu m’avais trouvé avec mon ex-mari dans le même lit... ? Tu vas me faire croire que vous êtes endormis et t’as eu le temps de quitter tes fringues. Évidemment. Logique. » Lorsqu’il s’avance pour la prendre dans ses bras, elle le repousse, elle n’y arrive pas. « - Arrête... ne fais pas ça... ne fais pas ça... » Que fait-il au juste Calliope ? Il n’a de cesse de te répéter une vérité qu’elle se borne à ignorer. « - Je veux partir Simon. Je n’arrive pas à croire que vous n’ayez rien fait... je ne sais pas ce qu’il y a encore vous... je n’ai pas besoin de savoir. Je ne veux pas savoir. Je te libère » Elle le libère ? Se rend-elle bien compte de tout ce qui se passe ? Une larme sur sa joue s’éclipse de son œil, elle a tellement mal, comment a-t-elle pu le laisser prendre autant de place ? « - J’y ai tellement cru... mais je ne vois pas pourquoi tu serais mieux que les autres finalement... » Sa langue passe sur ses lèvres, sa bouche est sèche. « - On s’est tout dit je pense... maintenant laisse-moi partir, on s’est assez donné en spectacle. »
_________________
(There's a place we won't feel so crazy) Been in a hazy mid-morning daydream, i found a shady spot that they saved me.