Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
Elle serait volontiers rentrée directement chez elle, ce soir, après le travail. Elle aurait volontiers passé la soirée, dans son canapé, à boire un verre de vin. A déprimer, à tenter de décompresser. A tenter d’oublier. Elle aurait peut-être continué sur sa lancée en commandant quelque chose à manger – ou bien elle aurait sorti un truc du congélateur, sans trop se fouler. Et le dîner se serait terminé par un pot de glace tout à fait cliché, mais parfaitement mérité. C’est tout ce dont elle aurait eu besoin, Marga. Tout ce dont elle se serait contentée, pour oublier sa solitude, oublier sa fille qui lui manque, oublier ce foutu divorce à la con, oublier aussi son con de futur ex-mari. Celui qui veut précisément lui prendre la garde exclusive de leur fille. Mais elle avait confirmé sa présence à cette fichue soirée des semaines plus tôt. Elle l’avait annoncé à ses collaborateurs, à ses amis, aux connaissances même qu’elle appréciait un minimum. Alors elle ne peut pas faire faux bond à cet événement, ne peut pas changer d’avis maintenant. Et puis, si elle le faisait, cela nourrirait les ragots – à présent que l’annonce de son divorce est officielle. Et plutôt crever que de paraître faible. Plutôt crever qu’on l’imagine pathétique, désemparée, à se morfondre de son regretté mari. Elle ne veut surtout pas qu’on l’imagine s’être fait larguer, quand ce n’est pas le cas. Non : elle veut paraître forte, Marga. Comme si elle n’avait besoin de rien ni personne, même si ce n’est pas le cas.
Alors, après l’enregistrement de l’émission, elle s’est rentrée dans sa nouvelle maison, Marga. Mais pour y rester – seulement pour se changer, s’apprêter, se maquiller. Revêtir la robe prévue pour l’occasion, se coiffer, puis repartir. Elle ne tarde d’ailleurs pas entendre que son chauffeur est arrivé. Bientôt, la voilà installée à l’arrière, prête pour l’une de ses premières apparitions publiques – en-dehors de l’émission – depuis l’annonce de son divorce. Au moins, Reece ne sera pas là ce soir – du moins, croit-elle se souvenir – et en cela, elle se sent déjà victorieuse, la brune. Et malgré tout, elle reste encore nerveuse. Même si elle a l’habitude de ce genre de soirées, même si elle sait garder la tête froide – il y aura toujours un peu d’appréhension. Mais quand elle arrive à bon port, elle respire un bon coup comme à chaque fois, puis sort de la voiture, souriant déjà aux appareils photos et caméras qui guettent avec une attention scrupuleuse l’arrivée des invités de cette soirée. Une fois à l’intérieur, Marga ne tarde pas à trouver quelques têtes connues – plus ou moins appréciées – à aller saluer. Se saisissant d’ores et déjà d’un verre – bon sang qu’elle en a besoin, soirée canapé chez elle ou soirée mondaine, c’est du pareil au même –, elle retrouve bien vite ses automatismes, Marga, si habituée au small talk qu’il fait presque partie d’elle, à présent. Elle ne voit même pas le temps passer, si bien qu’au bout d’un moment, la voilà à sec, son verre déjà terminé. Marga en profite pour prendre congé du groupe, lasse des derniers sujets de conversation pas bien passionnants. Elle part donc reprendre une coupe, et se rend compte, au dernier moment, que l’autre homme qui semble avoir eu la même idée n’est autre que quelqu’un qu’elle connaît plutôt bien. « Fred. » se contente-t-elle de dire, calmement, poliment, en guise de salut. Elle lui adresse même un sourire – poli, lui aussi. Pas sincère. Elle sait très bien qu’il ne la porte plus vraiment dans son cœur, rapport à une histoire qui ne le concerne pas : celle de Marga avec Syed, son meilleur ami. C’est à se demander qui est le plus rancunier, entre ce dernier et Fred, vis-à-vis de la brune. « Je crois qu’un photographe est à deux doigts de s’approcher de nous pour nous demander de nous prendre en photo, alors nous devrions sourire et prétendre être les meilleurs amis du monde, n’est-ce pas ? » lui intime-t-elle d’emblée, gardant toujours le fameux sourire qu’elle mentionne. Ce n’est pas le moment de montrer son animosité réciproque, de toute façon, le photographe aura tôt fait de décamper.
Fred Perry
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
à contacter : tout dépend de la demande, un peu tous.
âge : entre le réel et le concret y a un énorme fossé. Moitié gamin, moitié adulte, tout se mélange dans ta tête et dans ton corps. (38 yo)
statut civil : tu n’as jamais eu le temps à consacrer pour une autre personne que toi, puis Daisy est arrivée et tes pensées sont toutes vers elle. (célibataire).
occupation : tu as toujours rêvé de paillettes, d'être reconnu pour ton travail. C'qui est chose faite. (acteur)
intervention pnj : Oui
pronom perso : he.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #339966.
Trois mots que tu pratiques constamment. Ton sourire qui s’élargit, une main dans une poche, style détaché. Tu es beau, tu as du charisme et tout cela sera reflété à travers les photos. Parce que tu sais prendre la pose. Et puis clairement, tu as tout pour toi. Tu souris un peu plus, te décale, joue avec eux. Tout ceci est toujours un jeu à tes yeux. Jouer avec les paparazzi, jouer sur scène, tout ça, tu sais faire et tu es même devenu maître en la matière. Il te réclame et tu aimes ça. Tu adores ton scande ton prénom. Ton ego adore plus que tout. Une dernière pose et tu rentres dans la salle. Laissant échapper un petit soupire au passage. Une énième soirée, tu ne sais même plus s’il y a un but derrière tout ça. Est-ce une soirée caritative ? Ou une soirée organisée pour le lancement de quelque chose ? Tu ne sais pas, plus et dans le fond du t’en moques. Tu as l’habitude tout cela. Pavaner, être vu, ça fait partie du job. Un job que tu n’es pas près de lâcher. Tu aimes être sous le devant des projecteurs, être adulé. Tout ça, c’est une partie de toi. L’autre partie aime rester chez elle, s’occuper de Daisy. Ce qui est encore tout nouveau pour toi ou juste traîner avec tes amies. Bien qu’une adore tout autant que toi se retrouver sous les flashs. Tu souris, avances, joues le jeu. Une tête que tu connais, puis une autre. Tu ne te dégonfles pas, un texte que tu récites à la perfection. Pas un mot de travers, oui, tu es bon là-dedans. Un jour tu mériterais un oscar pour ces magnifiques interprétations que tu donnes. Parce que, soyons réalistes deux minutes, tu te moques éperdument de tous ces gens. Tu ne leur fais pas confiance, tu leur souris juste pour la mascarade. Tu es tellement doué, que tout le monde te pense fort sympathique, amical. Le gendre idéal. S’ils savaient que dans le fond, tu te moques d’eux, qu’ils ne comptent pas. Personne ici n’a de valeur à tes yeux, ils sont tous, ennuyant à souhait. Sauf que c’est le revers de la médaille. Tu as accepté toute cette reconnaissance en devenant acteur. Tu as accepté d’être médiatisé, parfois surmédiatisé. Encore un sourire, puis un autre. Tu regardes ton verre, t’es à sec. Il te faut de l’énergie. Ton regard se pose sur un serveur qui amène des coupes. Parfait. Tu t’excuses poliment, sourire de circonstance et pars à la recherche du Graal. Et peut-être que tu n’aurais pas dû au final. Ton énergie s’évapore au son de cette voix criarde, un son fortement désagréable pour tes oreilles. Pas de regard, tu prends ta coupe. « Gollum. » que tu dis en lâchant un soupire, assez fort, juste pour ses oreilles. Heureux de la voir ? Jamais. Et puis quoi encore. De plus, tu sais qu’elle n’aura pas la référence. Comment a-t-il fait pour sortir avec elle ? Tu te le demandes encore. Et le machin continue de causer, où est le bouton stop ? Voilà ce que tu te demandes. « J’avoue que tu es devenue une experte dans la comédie. » dis-tu en gardant ton sourire impeccable. Parce que tu sais parler en gardant un air supérieur et parfait. Toute façon, tout est parfait chez toi, tu te demandes comment les gens arrivent encore à en douter. Tu te rapproches d’elle, assez pour que la photo soit parfaite, pas que tu en doutes, étant donné que tu es dessus. Modestie ? Pourquoi faire, ce n’est que la simple vérité. « Tu t’es perdue ? Que fait le bas peuple dans ce genre de soirée ? Oh je sais, tu cherches un nouveau mari ? Il paraît que le tien s'en va. » tu es méchant et tu attaques là ou ça fait mal et alors ? Tu n’es pas là pour la plaindre et contrairement à elle, tu n’as pas d’attaches. L’amour et toi, vous n’avez jamais été amis. Pas que tu ne veuilles pas, juste que tu n’as pas le temps et tu t’en moques. On peut t’attaquer sur ce sujet, ça te fera juste bailler.
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(I'll be there for you ) No one could ever know me. No one could ever see me. Seems you're the only one who knows. What it's like to be me
Dernière édition par Fred Perry le Ven 20 Sep - 17:27, édité 1 fois
Marga del Río
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
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rps : 23
pseudo : winter solstice.
id card : ana de armas / nairobi@av, ethereal@header.
pronom irl : elle.
multicomptes : dora & co.
présence : présente.
âge : trente-cinq ans.
statut civil : séparée de son mari, même si cela reste plus ou moins secret.
occupation : présentatrice d'un late show sur ABC Brisbane.
adresse : kangaroo point, maison 812.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : inceste, cruauté animale, violences sexuelles, maltraitance, automutilations, descriptions contenant du sang, age gap +15 ans.
warning : en cours.
disponibilités : dispo (2/5).
— rps en cours. www › fred www › jace www › syed,, 3
Ce genre d’événements, c’est devenu son lot quotidien. Elle en a l’habitude, depuis le temps, Marga. Comme elle a l’habitude de côtoyer du monde, de rencontrer sans cesse de nouvelles personnes. C’est le cœur même de son métier : rencontrer des âmes, les interviewer, raconter leur histoire. Mais tout de même, parfois, elle fatigue. Parfois, elle n’a pas l’énergie de recommencer à fréquenter du monde pour toute la soirée après en avoir vu tellement toute la journée. Parfois, elle a juste envie d’être une humaine normale, de rentrer chez elle, retrouver sa maison ou sa famille, se détendre après sa journée de boulot et se reposer. La seule chose qui l’ait un peu motivée à se rendre à cet événement ce soir, c’est que pour ce coup-là, il n’y avait rien de mieux l’attendant à la maison. Rien d’autre que le silence, le vide, l’absence, et elle, Marga. Alors elle est venue. Ce n’est pas comme si elle avait le choix, de toute façon. Maintenant, elle regrette un peu. Surtout quand elle voit tout le gratin invité. Elle connaît du monde – pourtant, elle se sent tout à coup très seule. Se retrouver tout à coup face à Fred n’a rien de réjouissant. Il n’est pas vraiment ce que l’on peut appeler une figure amicale. Du moins, peut-être l’était-il avant – jusqu’à ce qu’elle ne gâche tout avec Syed, meilleur ami de l’intéressé et dernier ex en date (non officiel) de Marga. Premier amour aussi, accessoirement – même si l’on tend à l’oublier, par les temps qui courent.
Elle se retrouve donc face à Fred en partant se resservir. Fred qu’elle salue poliment, sans enthousiasme évident – son sourire n’est que cordial. Elle sait qu’il ne peut pas la saquer. Ou qu’il s’est fait son idée à son sujet. Fred la salue à son tour, l’appelant ironiquement Gollum – ce à quoi Marga ne répond rien, serrant les dents pour prendre sur elle. Bon sang, qu’est-ce qu’il l’énerve. Néanmoins, elle a remarqué le photographe de la soirée à proximité qui les a repérés, aussi invite-t-elle son ancien ami (?) à prétendre si bien s’entendre – quand il n’en est plus rien, en vérité. La faute à la fin d’une histoire compliquée qui continue de la poursuivre et qui s’est encore complexifiée – à un point que Fred lui-même ne peut imaginer. « Et toi, de toute évidence expert en connerie. » commente-t-elle, contre-attaque-t-elle, plutôt, puisque Fred a visiblement décidé de ne pas la négliger. Cependant, comme lui, elle esquisse un sourire éblouissant, faussement sincère le temps de la photo. Elle ne voit pas venir le coup, cependant – la pique de Fred qui la touche en plein cœur. Putain, elle le déteste, en fait. Elle lâche un rire, amer pour Fred, d’amusement en apparence pour ceux qui les verraient de loin. « C’est vraiment bas de ta part de me balancer un truc pareil. » répond-elle plus bas, après une pause, un silence, histoire d’encaisser le coup. « Mais bon, tu sais pas ce que c’est, toi, le mariage. » attaque-t-elle en retour, Marga, non sans conserver son masque cordial, poli, digne d’une petite fiancée de l’Amérique.
Fred Perry
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occupation : tu as toujours rêvé de paillettes, d'être reconnu pour ton travail. C'qui est chose faite. (acteur)
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pronom perso : he.
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Jouer la comédie, tu sais faire et très bien. Après tout, c’est ton gagne-pain. Être méchant, c’est juste un bonus. Être méchant avec elle, ce n’est que du bonheur. Tu pourrais l’ignorer, continuer à sourire, montrer ô combien tu es l’homme idéal. Le gendre parfait, ta couverture au quotidien. Tout ce que tu fais lors de ces soirées. Seulement tu t’attardes à ses côtés. Grâce à ta présence, une magnifique photo d’elle en sortira. Qu’elle te remercie pas, c’est cadeau. Il est vrai que tu as un ego sur dimension, mais tu ne fais qu’énoncer une vérité. Tu es magnifique, elle est passable. Est-ce la rancœur que tu as envers elle qui parle ? Peut-être bien. Seulement elle a fait du mal à ton ami et ça ne passe pas pour toi. Tu n’es pas du genre à te mêler de la vie de ton entourage. Ils font bien ce qu’ils vont, tu essaies juste de les protéger des rumeurs à ton sujet et surtout de la surmédiatisation. Un accord que tu as avec la presse, ils n’ont aucun droit de s’attaquer à tes proches. Toi oui, ton entourage non. Tu ne veux pas que tes parents soient la cible des paparazzis et encore moins Syed. Il a fait son empire dans les jeux, sa notoriété, mais tu ne veux pas qu’on associe sa réussite à ton nom. Tu as toujours tout séparer, jouer un double jeu entre guillemet, mais c’est pour le mieux. Du coup, tu devrais pas t’en mêler, mais c’est plus fort que toi. Tu as ce besoin de décharger, de t’amuser et plus elle est mal, plus tu jubiles. Au fond, tu sais que tu es méchant, vraiment. Que ce n’est pas dans tes habitudes, enfin oui et non. Tu évolues dans un monde, où il n’y a pas de pitié pour les concurrents, tu ne dirais pas que c’est marche ou ‘crève’ mais presque. Tu as appris que ce monde est sans pitié, qu’une personne peut prétendre être ton amie et te poignarder dans le dos. C’est pour ça que tu mélanges pas, que tu fais attention et que tu joues le jeu à ton tour. Tu joues avec eux et tu sais attaquer là ou ça fait mal. Tu ne devrais pas avec Gollum, elle n’est pas vraiment de ce monde. Vraiment ? Tu en doutes parfois.. mais tu joues malgré tout. À son tour de souffrir un peu. Ton sourire s’élargit à sa remarque, elle te renvoie la balle. Tu adores. Autant tu n’as pas relevé sa remarque sur la connerie, autant là. Là, tu as envie de contre-attaquer. « L’empire contre attaque » que tu lances en rigolant, une référence qu’elle n’aura pas. Sérieusement, qu’est-ce qu’il a fait avec elle, songes-tu. Tu feins d’être blessé. « Aoutch, mais tu sors les crocs. » dis-tu en rigolant. Si elle pense sincèrement que sa remarque sur le mariage t’attend, c’est qu’elle n’a jamais compris qui tu étais. « Je sais juste ce qu’il faut ma chère et si c’est pour avoir une hypocrite à mes côtés, sans façon. Ma compagnie me suffit et m’a toujours suffi. Par contre si tu cherches à me blesser, il t’en faudra un peu plus. » sourire de circonstance. Vile créature que tu es. Tu n’es pas blessé, pas le moins du monde, par contre t’es heureux d’avoir touché une corde sensible. « Tu devrais voir Grimson, il est plein aux as, j’vous donne quelques années de bonheur... » tu laisses ta phrase en suspend. Suffit de voir Grimson pour comprendre. Diablement mesquin que tu es, prenant un malin plaisir à la malmener. « Ou alors je peux demander un doggy-bag ? » l’enfer t’attend de pieds fermes, place aux premiers rangs pour sûr. Pour ta défense, parce que bien sûr tu prépares ton plaidoyer. Elle a fait du mal à ton ami et oui ce n’est pas à toi de gérer ceci, mais tu estimes qu’elle mérite un peu d’être secoué. Trois fois rien.
Spoiler:
pardon pour l'attente et je conçois que Fred est une saloperie.
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Marga del Río
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Fred et Marga, ce n’est pas le grand amour. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi. A une époque, ils s’appréciaient même plutôt bien. Mais quelque chose a changé. Elle a blessé Syed. Elle a merdé. S’est probablement trop vite jetée dans une nouvelle histoire alors qu’elle n’était pas prête, Marga – alors qu’elle avait encore un divorce à mener et une potentielle bataille pour la garde de sa fille à préparer. Mais c’était Syed. Elle n’avait pas pu résister, pas pu lutter contre l’envie de tester quelque chose, d’une seconde chance. Il y avait déjà un baiser – de trop – bien des années plus tôt, quand ils s’étaient retrouvés, quand ils avaient discuté, que le feeling était un peu trop passé, mais que Marga avait déjà Reece, et Valentina dans le ventre. Alors non, en retrouvant Syed, à peine séparée, lui aussi libre, elle ne s’était pas posé de questions. Elle aurait peut-être dû. Réfléchir un peu plus, aux risques, aux conséquences. D’un autre côté, aimer, c’était forcément risquer des choses. Alors elle avait pris le risque, Marga. Et tant pis, si maintenant elle s’en mord les doigts : Syed valait la peine d’essayer. Cependant, Fred semble à présent vouloir le lui faire payer.
Elle ne sait pas ce que c’est, son problème. Enfin, si, elle s’en doute – mais elle doute que Syed attende de lui qu’il le défende, ou même quiconque, d’ailleurs. Peut-être que Fred n’est rien d’autre qu’un con, qu’elle devrait se faire une raison. Mais cela l’insupporte, de devoir endurer son comportement. Pas le choix, considérant son métier à lui et le sien, à elle. Parfois, elle doit l’avoir dans son émission, sourire, faire semblant. Et puis, il y a des fois comme ce soir, où il faut prendre la pose à ses côtés, pour l’image, pour la soirée, parce qu’un photographe l’a demandé. Maintenant, Fred ne cesse de la provoquer, l’agacer, avec succès. Pourtant, elle ne doit rien laisser transparaître face aux autres. Elle déteste cette façon qu’il a de la ridiculiser. « C’est fou comme tu craches toujours aussi facilement ton venin. » se contente-t-elle de rétorquer, sèchement, quoique faisant de son mieux pour ne pas se laisser déborder par son irritation. Mais Fred ne s’arrête pas là, évidemment. Il faut qu’il enfonce le clou jusqu’au bout. Qu’il mentionne son mariage. « Oh, c’est moi l’hypocrite ? Si le public savait combien tu es détestable dans la sphère privée, ta carrière partirait bien vite en fumée. » Elle ne cherche pas vraiment à le blesser, elle. Elle se défend, contre-attaque, c’est tout. Refuse de le laisser s’écraser. Car il n’y va pas de main morte, Fred. Continue dans sa lancée. « C’est vrai, j’oubliais, je suis une opportuniste qui court après l’argent. » Elle lève les yeux au ciel, Marga. Pourquoi est-ce qu’elle s’impose cela ? Rien ne l’oblige à lui parler, rester là. Est-ce qu’on va vraiment le remarquer si elle ne reste pas longtemps parler avec Fred ? « Moi, ça va, mais si toi, tu as du mal à te payer à manger au point de devoir jouer les pique-assiette, ne te prive pas. Un conseil : sois juste discret. » Elle ponctue ses mots d’un sourire de circonstance, simplement pour donner en public le change.