Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge & naissance : Un peu plus de quarante-quatre ans se sont écoulés depuis le 7 juin 1979, jour qui t’as vu naître à Brisbane, en Australie. origines & nationalité : Cocktail d’origines européennes de toutes sortes, celles qui se distinguent principalement viennent du Royaume-Uni, ainsi que de l’Europe de l’Est. Tu ne saurais guère dire à quel degré, exactement. La généalogie, c’était la passion de ton grand-père, pas la tienne. Nationalité australienne, qui a tes yeux n’a que peu de signification. T’as passé dans ce pays moins de la moitié de ta vie, et ça fait longtemps que tu ne t’y sens plus chez toi. finances et emploi :$$$, au tout début de ta vie d’adulte, t’as hérité d’une jolie somme. Rien d’absolument extravagant, mais assez pour te permettre de vivre correctement pendant quelques temps. T’as fait durer ces quelques temps très longtemps, en vivant toujours avec le minimum. Chez toi, le superflu n’a pas lieu d’être. Quand tu restais longtemps à un même endroit, il t’arrivait de bosser un peu, des petits boulots par ci, par là, pour ne pas toujours taper dans l’héritage, et expérimenter un peu différentes vies. T’as notamment donné des cours d’anglais à des adultes, bossé comme plongeuse dans des bars, etc. Aujourd’hui, tu ne travailles pas, mais tu as encore de quoi vivre confortablement - à tes yeux - sans avoir de soucis à te faire. statut civil : Célibataire, tu n’as jamais su t’attacher à un quelconque partenaire. Pas depuis l’adolescence. Trop grande soif de liberté, de changement, tu n’as jamais tenu en place, dans tous les aspects de ta vie. orientation sexuelle : Tu t’éprends des humains, des caractères, des regards passionnés, des frissons de nouveauté. Peu importe la forme que cela prend. situation familiale : Ça fait bien longtemps que pour toi, la famille se résume à un prénom. Juno, ta fille, ton sang, l’amour de ta vie. Relation abîmée, mais existante, qui demandera des efforts pour être tout à fait réparée. Mais la vie semble décidée à vous offrir cette opportunité, et c’est d’ailleurs bien la seule chose qui te console dans ton malheur. Cette chance, tu ne comptes pas la laisser s’échapper, même si tu n’as aucune idée de comment vous allez bien pouvoir vous y prendre. signe astrologique : Gémaux. le pire tue-l'amour : Le manque de curiosité, d’ouverture au monde. Le rejet de la nature, le desintérêt pour ce qui nous entoure, le sédentarisme exacerbé. un fantasme : Retrouver ta liberté. La possibilité d’aller où tu veux, quand tu veux, comme tu veux, sans aucune autre considération. Rencontrer des gens, des cultures, des univers qui te sont encore inconnus. Découvrir des paysages, des couleurs, des goûts, des sensations inédites. à Brisbane depuis : T’y es née, et t’y as grandi. Puis, dès que t’as pu, t’es partie. Ça ne fait que quelques semaines que tu es revenue t’y installer, à ton grand désespoir d’ailleurs. traits de caractère : Ambiguë - Autonome - Avertie - Bienveillante - Bourrue - Butée - Calme - Capable de s’adapter facilement - Concret (esprit pratique) - Créative - Cultivée - Difficulté à exprimer ses sentiments/émotions - Directe - Énergique - Efficace - Entêtée - Exploratrice - Ferme - Fière - Indépendante - Intrépide - Jeune - Montrant peu sa joie ou sa peine - Naturelle - Observatrice - Optimiste - Organisée - Orientée solution - Peu démonstrative - Remuante - Résistante - Responsable - Secrète - Sensuelle - Sportive - Téméraire - Vivante - Volontaire. avatar : Anna Torv (estonian, english, scottish).
the love test
romantisme (20%)
level de drague (70%)
engagement (10%)
passion (90%)
performance au lit (85%)
fidélité (50%)
nombre de cœurs brisés (60%)
recherche de l'amour (15%)
♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ? Qu’est-ce que l’amour, exactement ? De quel amour on parle ? L’amour romantique ? Peuh, perte de temps. Tu l’as jamais recherché, tu l’as jamais trouvé, et concrètement, tu t’en fiches. T’as jamais manqué d’affection, de plaisir des sens, de la chair. Mais les sentiments ? Très peu pour toi. Tu ne sais pas faire ça, tu ne les comprends pas, tu ne sais pas les exprimer. Et t’es même pas sûr de les ressentir. Il n’y a, à tes yeux, qu’un seul véritable amour. L’amour filial. Et celui-là, tu l’as trouvé. L’amour de ta vie, c’est ta fille. Elle ne le sait sans doute pas - t’as jamais su lui dire. Mais peu importe la distance entre vous, ça sera toujours le cas.
♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ? Pour qu’il y ait déception amoureuse, il faut qu’il y ait amour. Tu ne peux donc pas vraiment dire en avoir vécu un jour. Mais comme bien des gens - t’as beau te targuer d’être différente, il y a des clichés qui s’appliquent aussi à toi - s’il faut raconter quelque chose, tu évoquerais sans doute ta première relation. Au lycée. Leon, il s’appelait, et aujourd’hui encore, il tient une place particulière dans ton cœur. Un lien qui a évolué, qui n’a plus rien de romantique, ni même de sensuel, mais une connexion bien présente, et forte. A l’époque, cependant, c’est de la tristesse que tu as ressenti lorsque les choses se sont terminées entre vous. Et t’as pas aimé ça.
Crom (Lucie)
âge : trente ans disponibilité pour le forum : j’y suis tout le temps pays : France. personnage : inventé où avez-vous connu le forum : j’y suis depuis plus de deux ans déjà. votre avis :crédit icon & gifs : icon : aslaug. mot de la fin :
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Thelma Adler
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pseudo : Crom
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(un) T’es arrivée un peu comme un cheveu sur la soupe. Pas prévue, pas particulièrement désirée, non plus. Et ils n’ont pas tellement eu de scrupule à te le faire sentir. Encore aujourd’hui, tu te demandes pourquoi ils t’ont gardée, si c’était pour te faire sentir comme un poids pour eux tout au long de ton enfance. Ils étaient carriéristes, tes parents. Issue d’une classe moyenne tout de même relativement aisée, ta mère s’était très tôt vue répéter que pour réussir dans la vie, il faut travailler. Ton père, venant d’un milieu plus modeste, s’est très jeune mis en tête l’idée de faire mieux que ses parents, de faire fortune un jour. Aussi, très vite, le travail est devenu le centre de leur vie. L’un dans les finances, l’autre dans les ressources humaines, ils passaient leur vie au travail, et ne parlaient presque que de ça à la maison. Ils voulaient réussir, gagner beaucoup d’argent, et si possible avoir un train de vie qui le montrait. Leur réussite était relativement mitigée - même s’ils avaient des salaires respectables, ils étaient loin de la fortune, et vivaient au-dessus de leurs moyens. Et toi, dans tout ce schéma, t’avais pas ta place. Par chance, tes grands-parents maternels ont pris le relais. Tu vivais majoritairement chez eux, et c’est eux qui t’ont élevée. De temps en temps, tes parents, comme dans un sursaut, se souvenaient de ton existence, et te te reprennaient avec eux pour un week-end, ou des vacances. Mais ça ne durait jamais plus que ça. Et avec le temps, t’en es venue à leur en vouloir. Beaucoup. De t’avoir abandonné, d’avoir privilégié leur carrière plutôt que leur fille. Pourtant, ton enfance n’a pas été malheureuse. T’as été aimée, choyée, entourée par des grands-parents qui ont pris le rôle de parent très vite, dans ta place comme dans ton cœur. Ils étaient pudiques, un peu vieux jeu, parfois, et l’expression des sentiments, des émotions, c’était pas leur truc. Et encore aujourd’hui, c’est pas le tien non plus. T’aurais pu te contenter de ça, couper les ponts avec tes parents et vivre ta vie sans plus y penser. Mais ça t’as beaucoup trop marquée pour réussir à t’en défaire. Dès le début de l’adolescence, t’as décidé que tu serais jamais comme eux. Que tu serais tout leur contraire. Et t’as poussé ça à l’extrême.
(deux) A seize ans, t’as perdu ton grand-père. Et à dix-huit, ta grand-mère. Elle a attendu que tu atteignes ta majorité avant de rejoindre son époux, te léguant au passage une grande partie de leur argent et la maison. La maison, t’as hésité longtemps, mais t’as pas eu le cœur de t’en séparer, persuadée pourtant que tu n’y vivrais plus jamais. Tu l’a fais mettre en location, par une agence, dans un premier temps, puis depuis quelques années, elle est restée vide. T’aurais jamais pensé devoir retourner t’y installer, et pourtant … quant à l’argent. T’avais beau avoir la richesse en horreur, cet héritage était pour toi la clé pour pouvoir mener la vie telle que tu l’entendais. Pas de maison, pas de travail, pas d’attaches. Juste la liberté. Tu t’es acheté un van aménagé, et t’es partie. Loin de cette ville, de ce pays, de tes parents, de ton deuil aussi. Avec l’intention de ne jamais y revenir. Ta première destination a été le Royaume-Uni. Tu voulais aller en Europe, et commencer par un pays anglophone te paraissait une idée tout à fait raisonnable. Ton plan était simple. Aller où bon te semble, y rester le temps que tu voulais, et bouger dès que t’en avais envie. Visiter les villes comme les campagnes, alterner culture et nature, rencontrer des gens de tous horizons, découvrir leurs vies, leurs habitudes, leurs langues, et parfois, aussi, leurs corps. Juste, vivre au jour le jour et profiter de ce que le monde a à t’offrir. Et bordel ce que t’as profité. Une sensation de liberté comme tu n’en avais jamais ressenti. Le bonheur à l’état pur.
(trois) Jamais tu n’aurais pu imaginer ce que la vie avait en réserve pour toi. Quelques jours après ton dix-neuvième anniversaire, t’as posé ton camp en Grèce, avec pour objectif d’y passer quelques mois, en parcourant ce pays aux paysages si exquis et à la culture si riche et si ancienne. C’est d’abord vers le Péloponnèse que tu t’es rendue, avec comme idée de commencer par le Sud, et de remonter progressivement, avant, par la suite, de sillonner le reste des Balkans. Huit semaines plus tard, désormais installée près d’Athènes, deux traits bleus sur un test sont venus bouleverser tes plans, ton monde, ta vie. Bien des émotions sont montées en toi en les voyant. Et en premier lieu, de la peur. La peur de ne pas être capable. La peur de ne pas savoir faire. La peur d’être comme tes parents. La peur de perdre ta liberté, aussi. Surtout. Aussi, t’as immédiatement envisagé d’avorter. T’étais incapable d’imaginer une autre option. T’as pris rendez-vous très vite, mais le moment venu, t’as repoussé. Une fois. Puis deux, puis trois. Incapable de te décider, mais incapable aussi de comprendre ce qui te retenais. Puis t’as fini par t’y rendre, à ce rendez-vous. Le médecin qui t’as vu as souhaité faire une échographie de datation, pour s’assurer que le délai légal n’était pas encore dépassé. Il t’as demandé si tu souhaitais voir l’écran. Et t’as dit oui. Pourquoi ? Tu l’ignores. Peut-être qu’inconsciemment, t’avais besoin de te confronter à cette image, de rendre cette grossesse surprise plus réelle, plus tangible, pour véritablement réussir à prendre ta décision. Et ça a été le cas. Juste pas dans le sens que t’envisageais. Ce que t’as vu sur cet écran à fait naître en toi une émotion qui t’étais encore inconnue. Et t’as totalement changé d’avis. Sans un regard en arrière, et sans un regret. T’es restée en Grèce le temps de ta grossesse, pays qui désormais tient une place particulière dans ton cœur, et surtout, seul pays que t’es retournée visiter plus tard, une fois ta fille plus grande. Juno est née le 7 avril de l’année suivante, deux mois pile avant ton vingtième anniversaire. Naissance plutôt mouvementée, tant ta fille était pressée d’arriver au monde. T’étais installée en périphérie de la ville, histoire de ne pas être trop loin de l’hôpital. Quand t’as compris que bébé était en route - avec une petite semaine d’avance - et surtout, que les choses semblaient progresser plus vite que ce à quoi tu t’attendais, t’as appelé les secours, qui sont venus aussi vite que possible. Mais pas assez rapidement pour Juno, qui a pointé le bout de son nez environ deux minutes avant qu’ils n’arrivent.
Et ce jour-là, t’as découvert ce qu’est l’amour.
(quatre) A ton grand étonnement, tu t’es sentie bien plus à l’aise dans ton rôle de mère que tu n’aurais jamais imaginé - toi qui n’avais même jamais penser avoir d’enfant un jour. Juno était une enfant charmante, curieuse, bavarde, et vous étiez très proche. La vie nomade, dans un espace de vie restreint, a favorisé, bien évidemment, cette proximité. Ce mode de vie n’étant pas compatible avec une éducation traditionnelle, tu lui as fait l’école à domicile, avec pour but de t’assurer qu’elle aurait toutes les cartes en mains, plus tard, pour vivre sa vie comme elle l’entend. Mais surtout, ce que t’as le plus aimé, ça a été de découvrir avec elle toutes les merveilles de ce monde, de voir ses petits yeux brillants d’excitation à la vue d’un animal encore inconnue, en entendant une langue nouvelle, de partager cette vie qui toi te semblait idéale avec la personne que t’aimais - et que t’aimes toujours - le plus au monde. T’aurais sans doute été très heureuse de vivre toutes ces aventures seule, libre comme le vent, mais ta fille y a ajouté une dimension tellement plus concrète, t’empêchant de devenir peut-être blasée, de t’habituer. Son émerveillement est devenu le tien, et le monde ne t’en semblait que plus beau.
(cinq) Les choses se sont compliquées, plus tard. Adolescente, Juno est devenue plus difficile. Plus confrontationnelle. Chose normale, sans doute, pour une adolescente. Mais les années passant, les confrontations se sont faites plus dures. Et la communication plus compliquée. T’avais une grande part de responsabilité, là dedans. La communication, l’expression des émotions, faire des compromis, ça n’a jamais été ton fort. Deux points de discorde majeurs ont fini par ruiner la belle relation que vous aviez. Elle a posé des questions sur son père. Et t’as pas pu lui répondre. Parce que t’as aucune idée de qui c’est, son père. T’étais jeune, t’étais insouciante, t’étais stupide. T’as eu des histoires sans lendemain, t’as oublié les noms et les visages. Combien de disputes ont découlé de cet aveu ? T’arrivais pas à te mettre à sa place, à la comprendre. T’étais blessée, aussi, comme si elle te faisait sentir que t’étais pas assez - ressenti sans doute totalement injustifié, mais qui te poursuis encore aujourd’hui. Puis c’est tout votre mode de vie qu’elle a commencé à rejeter. Elle voulait être comme les autres, aller à l’école, se faire des amis. Être normale. Et là encore, t’as pas compris. T’avais si violemment rejeté tout ce qui pouvait te rappeler ta vie d’avant, ton enfance, tes parents, que t’étais incapable d’imaginer que ta propre fille puisse vouloir une autre vie que la votre. Et comme ça, d’un duo soudé et complice, vous êtes devenues deux personnes incapable de se comprendre, de se parler, de s’entendre. T’as merdé, tu le sais. Tu voulais tout faire pour qu’elle ait la vie qu’elle voulait, mais dès lors qu’elle a exprimé un désir différent du tiens, t’as réagit comme tes parents l’auraient fait. Et Juno a fait comme toi. Elle a fini par partir. Ça fait quatre ans, maintenant, et vos contacts sont lointains, distants. Ça te brise le cœur. Elle te manque. Terriblement. T’espères juste qu’elle est heureuse.
(six) Ça a commencé il y a un peu moins de deux ans. Des migraines, des vertiges, de la fatigue, aussi. Au début, tu t’es pas trop inquiétée. Des migraines, t’en avais déjà eu par le passé, la fatigue, t’as mis ça sur le compte de l’âge - même si clairement, la brutalité de la venue de ces symptômes auraient dû t’indiquer qu’il y avait un souci. Ça a duré une bonne semaine, puis alors que t’as commencé à t’inquiéter, c’est passé. T’as supposé avoir chopé un virus à la con, puis t’es passée à autre chose. Jusqu’à ce que ça recommence, peut-être six ou sept mois plus tard. Avec en plus, une sensation de faiblesse, au niveau des jambes. Cette fois, tu t’es décidée à consulter un médecin. Et après plusieurs semaines, et quelques examens, le diagnostic est tombé : sclérose en plaques. C’est tout ton monde qui s’écroule. Et t’as refusé de l’accepter. On t’as parlé des traitements, de l’avenir, et toi, t’as juste fuis. Comme tu sais si bien le faire, t’es juste partie, dans un déni total. Et pendant quasiment un an, ça a été. T’étais un peu plus fatiguée que d’habitude, t’accusais plus le coup, si tu faisais des efforts, surtout au niveau des jambes. Puis une nouvelle poussée est venue te ramener sur terre. T’a compris que la vie, telle que tu l’as vécu jusqu’à aujourd’hui était finie. Réalisation dévastatrice. Comment imaginer t’installer quelque part, te sédentariser. Arrêter de parcourir le monde, en solitaire. Mais t’as pas le choix. Trop compliqué, peut-être trop dangereux, aussi, de vadrouiller ainsi, parfois loin de toute civilisation, alors que ton corps peut, soudainement, te lâcher pour plusieurs jours, voire semaines.
(sept) Le cœur lourd, t’as organisé ton retour vers la ville où t’as grandi. Tu n’y as aucune attache, tu la considère plus comme chez toi depuis bien longtemps. Mais c’est le choix le plus logique. T’y as une maison. T’as encore quelques amis, que t’as pas vu depuis des décennies mais avec qui t’as gardé le contact. Ça t’as fait un drôle d’effet, de revenir dans la maison de ton enfance. Tout était poussiéreux, les derniers locataires ayant quitté les lieux deux ans plus tôt. Une nouvelle vie à construire, repartir complètement à zéro. Te réhabituer à une existence dont tu n’as jamais voulu. T’es désormais suivie par un neurologue, t’as un traitement, mais t’arrives pas encore à digérer le fait que t’es malade. Pour le reste de tes jours. Peu importe ce qu’on t’as dit, sur ce que l’avenir te réserve, peu important les témoignages que t’as entendu, tous ces gens qui vivent une belle vie malgré cette pathologie, t’arrives pas à l’accepter. A voir autre chose que du négatif. T’as peur. T’arrives à peine à verbaliser les choses - personne, encore, n’est au courant, et surtout pas ta fille. Tout ce que tu lui as annoncé, c’est ton retour à Brisbane. C’est d’ailleurs à ta plus grande surprise que celle-ci a décidé de te rejoindre très rapidement. L’occasion, tu l’espères, de te rapprocher à nouveau de celle qui compte le plus au monde, pour toi.
(huit) T’as un chat. C’est le chat de ta fille, en réalité. Adopté très jeune, il s’est si bien adapté à la vie dans le van, aussi, quand elle est partie, elle a préféré te le laisser. Aujourd’hui, tout comme toi, il va devoir s’habituer à tout autre chose. Mais sa compagnie t’es - et t’as toujours été - précieuse. | Une des premières choses que t’as faites en arrivant à Brisbane - aussi étrange que ça puisse paraître - c’est d’aller chez le coiffeur. Et d’une longue chevelure blonde, t’es passé à quelque chose d’une peu plus court, et surtout, de brun. Besoin de changement, de marquer ce nouveau départ d’une manière tangible, visible. | T’as beaucoup de mal avec le fait de rester longtemps en intérieur. Par chance, le climat de Brisbane est suffisamment clément pour te permettre d’être dehors la plupart du temps. | T’es pas dépensière, et t’as toujours mis un point d’honneur à ne rien acheter dont tu n’aies pas besoin. En van, c’est essentiel. Mais par conséquent, la maison est vide, et terne. | Parfois, quand t’as du mal à dormir, tu retournes dormir dans le van, où tu te sens bien plus à l’aise. | Tes parents sont encore en vie, mais tu ne le sais même pas. T’as jamais cherché à avoir de leurs nouvelles depuis ton départ, et ils n’ont jamais cherché à t’en donner. Et surtout, t’as aucune intention de chercher à la revoir, même s’ils vivent dans la même ville que toi.
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Dernière édition par Thelma Adler le Sam 2 Mar - 15:16, édité 3 fois
Daphne Hawkins
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pseudo : @gabulia.
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multicomptes : juno adler (h. l. richardson), disha weaver (a. chalotra), oswin hughes (r. gosling), leon álvarez (p. pascal), arthur wright (b. dechart), harry miller (p. dunster), olive morgan (n. portman).
présence : présente dès que je peux ! (irl chargée ♡)
âge : 44 yo.
statut civil : coeur à la dérive, séparée de son épouse depuis peu, tente de garder la face ; craint par dessus tout de la perdre et que ce break ne se transforme en quelque chose de définitif.
occupation : officier de liaison en violences domestiques à la fortitude valley police station. une vocation, bien plus qu'un métier.
adresse : #077 paddington avec sa femme yaël, leur fils jude et leur chien oliver.
intervention pnj : Oui
pronom perso : she/her.
trigger : je suis open sur plein de sujet, la seule chose qui me trigger est de ne pas me demander mon avis avant.
warning : infidélité, violences conjugales et domestiques, décès d'un parent.
en vrac : J'vais pas te retenir,
Je l'ai déjà fait trop de fois.
Et comme dernier souvenir,
Je ne veux pas de celui-là,
Pas celui où tu t'en vas ~
Re-bienvenue chez toi avec ta splendide Thelma J'aime déjà trop ce que tu as écrit elle est tellement intéressante et je sens qu'elle va me briser le coeur elle-aussi en rp
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i'm growing, the ashes fall slowly. i will let you know, that i need to ask, before i'm alone.
Charlène Nightingale
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à contacter : Charlène Nightingale en priorité, mais je suis joignable sur chacun de mes comptes.
présence : Présente !
âge : Trente-quatre années se sont écoulées depuis qu'elle a vu le jour. Des années parsemées de haut et de bas, mais elle a profité de chaque instant.
statut civil : Célibataire, le coeur en vrac suite à sa dernière relation. Actuellement, son coeur appartient qu'à sa fille, Emmy.
occupation : Institutrice primaire, un métier passionnant qu'elle chérit tout particulièrement. Pour elle, il s'agissait tout simplement d'une évidence.
adresse : Réside dans un appartement à south bank & west end dans avec sa fille. Son appartement se situe au troisième étage d'un immeuble. Si ce n'est effectivement pas le grand luxe, ça semble lui convenir amplement.
infos rp : • Je rp principalement en "tu".
• Mes rps font principalement entre 400 et 800 mots.
• Je m'adapte à mes partenaires.
• Ma présence dépend énormément de mon IRL mais je passe tous les jours sur le forum.
• J'essaie de répondre aussi souvent que possible.
• Je prône le chill et le sans pression.
Maman d'une petite fille depuis le 21 mars 2017 ♛ Joue de la guitare ♛ Passe autant de temps que possible avec sa fille ♛ Ne veut plus entendre parler de relations sérieuses pour l'instant ♛ Amatrice de sport ♛ Adore se rendre au cinéma ♛ Apprécie particulièrement passer du temps avec les personnes qui lui sont chères ♛ Passe parfois son temps libre installée à une terrasse d'un café ♛ Observe énormément le monde extérieur ♛ Adore les chats ♛ Fille unique, proche de ses parents ♛ A un véritable attrait pour le nombre "13".
Bon retour chez toi avec ce nouveau personnage qui me semble déjà si prometteur Hâte d'en lire plus à son sujet
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-- 'Cause I'm a real tough kid, I can handle my shit. They said, "Babe, you gotta fake it 'til you make it" and I did. Lights, camera, bitch, smile even when you wanna die. He said he'd love me all his life but that life was too short.
Ilsa Decker
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âge : 27 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
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trigger : hard no : inceste, pédophilie, viol. // selon comment c'est abordé : agression sexuelle, violences conjugales, grooming & relations avec gros écart d'âge. // on peut plus en discuter par mp.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi. style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc. dialogues : en crimson, français ou anglais.
aaaaah la fameuse thelma (parlons-en de ce prénom, la beauté à l'état pur) est déjà hyper intéressante ; j'ai hâte de voir ce qu'il va se passer avec sa fille
thelma adler a écrit:
Aujourd’hui, tu ne travailles pas, mais tu as encore de quoi vivre confortablement - à tes yeux - sans avoir de soucis à te faire.
cette vie de rêve, btw (re)bienvenue chez toi avec cette nouvelle merveille
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-- summer slipped us underneath her tongue, our days and nights are perfumed with obsession. I am your sweetheart, psychopatic crush; drink up your movements, still I can't get enough.
Keith O'Connor
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
âge : 36 bougies soufflées récemment. Les quarante ans approchent doucement sans que ça ne le préoccupe pour autant. (12/06/87)
statut civil : Célibataire, butine de fleur en fleur sans parvenir à réellement se poser. Keith a déjà eu quelques relations par le passé, plus ou moins longues mais il ne parvient pas à s’accrocher suffisamment longtemps pour construire quelque chose de solide. L’amour, c’est peut-être un peu plus compliqué que ça en a l’air. Et surtout, ça ne se maitrise pas.
occupation : Chauffeur de taxi depuis plusieurs années, il a tendance à gonfler un peu les prix de ses courses parce qu'il est très endetté. Avec un petit sourire, une discussion intéressante lancée à la volée, tout passe avec facilité. Titulaire d'un Bachelor of Business obtenu à la Kaplan Business School de Brisbane, il n'a pourtant jamais poursuivi dans la voie du commerce. Un grand gâchis, selon certaines personnes.
adresse : Keith loge depuis aout 2023 au 400 à New Farm. Une grande maison en colocation avec une joyeuse bande et son petit frère.
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infos rp : * Minimum 400-500 mots mais ça peut vite monter, je m'adapte
* Dialogues en #009900
Je crois que c'est la première fois que je vois Anna sur un forum mais avec toi ça ne m'étonne pas Re bienvenue avec ce nouveau perso
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(Bad Habits) My bad habits lead to late nights endin' alone. Swearin' this will be the last, but it probably won't. I got nothin' left to lose. My bad habits lead to wide eyes stare into space. And I know I lose control of the things that I say. I was lookin' for a way out, now I can't escape.
Taylor Quincey
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âge : lionceau du 23 juillet, il est âgé de 28 ans, sans trop se préoccuper de la trentaine qui approche. impassible face au passage du temps, ça ne l'atteint pas.
statut civil : célibataire en principe seulement, alors que le cœur a déjà été ravi par quelqu'un de très spécial pour lui. terrifié par l'idée de tout gâcher en assumant ce qu'il ressent, c'est dans le déni et quelques relations éphémères qu'il trouve refuge.
occupation : membre du groupe Little Anarchy, au chant et à la guitare. en pause depuis plus de deux ans, carrière menacée de tomber dans l'oubli, un nouvel essor semble possible grâce à un petit coup de pouce du label et le recrutement de Sasha.
adresse : 308 kangaroo point, maison sur les hauteurs de Brisbane. en coloc avec sa chienne et ses nombreux instruments.
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pfiou ce prénooom, je suis fan. et anna en plus. le perso a l'air super chouette. rebienvenue.
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rps : 67
pseudo : wildflower.
id card : margot robbie, (c) labonairs.
pronom irl : elle.
multicomptes : flora & nora.
âge : 32 ans. (14.04.1992)
statut civil : éternelle célibataire au grand cœur, elle enchaîne les relations amoureuses toxiques, une spirale sans fin qu'elle a encaissée et dont elle reste encore ébranlée. le cœur endurci, volage et la peur au ventre de s’engager à nouveau. le cœur épris entièrement par sa fille et par lui. amoureuse de son meileur ami, s'enfonçant un peu plus dans ses mensonges, l’évidence qu’elle évite d’affronter.
occupation : elle était mannequin pendant de nombreuses années, jusqu'à s'en rendre malade et s'y perdre dans ce monde à paillettes. elle est photographe et propriétaire de son propre studio, ce rêve d'ouvrir un jour sa galerie d'art. le monde de l'art visuel et du sport qui la passionne depuis l'enfance, et à ses heures perdues elle est professeure de fitness et de yoga au jetts fortitude valley.
adresse : un appartement dans le quartier culturel et bohème qu'elle partage avec Maia, sa fille, #427 à south bank & west end.
je fais pas dans l'originalité, mais ce prénom (re)bienvenue dans l'coin et bon courage pour la refonte.
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☽☽ I guess sometimes we all get some kind of haunted, some kind of haunted. And I never think of him, except on midnights like this, midnights like this.
Yaël Saunders
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
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messages : 1222
rps : 190
pseudo : Malo
id card : Abigail Spencer (malo pour l'avatar, Elina et Gabulia pour les cs)
âge : La quarantaine est franchie. Yaël a fêté ses 42 ans le 3 septembre dernier.
statut civil : En break. Elle ne sait même pas trop ce que ça veut dire, Yaël, sinon qu’elle ne vit temporairement plus sous le même toit que son épouse.
occupation : Depuis 2012, elle défend les intérêts de l’État en sa qualité de procureur. Elle est affectée aux affaires générales, essentiellement en charge des poursuites d’infractions financières, de cybercriminalité et de cyberintimidation où elle occupe un emploi à 80% afin de concilier vie professionnelle et vie de famille.
adresse : Une maison au #077 Paddington avec sa femme Daphne et leur fils de 8 ans, Jude.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : à discuter ensemble
warning : transphobie, infidélité
infos rp : ± 500/1000 mots ⋄ ≈ 10/15 jours ⋄ #d16d1a
Bienvenue à ce nouveau personnaaaage. Bon courage pour la fin de ta rédaction.
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(I wish I could stay) So maybe, now, instead of balancing on the edge we could put this to bed for good . Can call it quits or risk sinking with this broken ship but I don't think we'd make it through
Maverick Perkins
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ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
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messages : 1826
rps : 37
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (cheekeyfire@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (joseph quinn), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-et-un ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
j'ai hâte de voir le duo avec Juno elle a l'air déjà bien classe la madre rebienvenue à la maison avec ce chouette personnage
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I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Livia Castillo
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
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rps : 45
pseudo : Jamie.
id card : Danna Paola - Elina (avatar), narcobarbies & Elina (gifs profil), ASTRA (code signature), primalucerpg (icon signature), a-devious-route (gifs signature).
pronom irl : Elle.
multicomptes : Jules de Sario (Hailee Steinfeld).
à contacter : Ce compte ou Jules de Sario, comme tu préfères
présence : Présente
âge : Vingt-huit ans, née le 7 mai 1995.
statut civil : Célibataire et pleinement satisfaite de cette situation qui lui permet de papillonner quand elle en a envie. Tomber amoureuse et se faire briser le cœur, elle a assez donné, Livia ; désormais, c'est à son bien-être qu'elle a décidé de penser.
occupation : Animatrice de la libre antenne nocturne de la branche radio d'ABC Brisbane, c'est sa voix qui vous accompagne dans vos insomnies et qui vous offre des conseils pour votre vie sentimentale qu'elle-même n'applique absolument pas de son côté.
adresse : Un loft au numéro 87, en plein cœur du quartier de South Bank & West End. Il est beaucoup trop grand pour une seule personne alors, depuis peu, Kaleb et Lenny l'ont rejoint, bousculant ses habitudes – pour le meilleur.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle.
trigger : Violences animales, psychophobie, violences sur les personnes âgées.
warning : Mentions d'alcool, de tabac et de relations sans engagement, deuil/décès, maladie (cancer), problèmes familiaux.
infos rp : (fréquence) passage sur le forum quotidien, RP minimum une fois toutes les deux semaines. (nombre de mots) entre 500 et 1200, mais je m'adapte. (dialogues) en slategray. (full) mais je suis faible, alors venez vers moi quand même
keith#1#2#3 and i'm aware that you were lying in the gutter, 'cause i did everything to be there by your side. so what do you wanna do, what's your point-of-view, there's a party soon, do you wanna go ? another way to feel what you didn't want yourself to know, another way to be where you didn't want yourself to go, is that a compromise ?
❝ and you see the things they never see ❞ and i want a moment to be real, wanna touch things i don't feel, wanna hold on and feel i belong. and how can the world want me to change ? they’re the ones that stay the same.
Thelma Adler
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
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rps : 2
pseudo : Crom
id card : anna torv (dorystick) ; sign by astra
pronom irl : elle.
multicomptes : hera (k. winslet), holly (a. isaaz), hazel (e. best), charlie (katya), hailey (a.l. wood), molly (a. fleurot), aaron (c. swindells), marnie (c. mulligan)
MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
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rps : 12
pseudo : utopiandelusion.
id card : françois civil (avatar @panicstation / gif @utopiandelusion).
présence : Présent
âge : Vingt-neuf ans, même s’il tente de prouver que l’âge n’est qu’un nombre et qu’il ne le définit pas.
statut civil : Fier de pouvoir enfin crier au monde qu'il est en couple avec Callie, qu'importe leur différence d'âge et les obstacles qui pourraient tenter de barrer leur route.
occupation : Ingénieur du son indépendant, il travaille la majeure partie de son temps pour le Queensland Performing Arts Centre. Quand il ne bidouille pas sur une console ou un ordinateur, ses doigts dansent sur son synthé.
adresse : #400 new farm, dans la maison du bonheur. Il s'est retrouvé là-bas il y a un peu plus d'un an et ne s'imagine pas devoir en partir un jour.
infos rp : (longueur) Entre 500-900 mots (rythme) Réponse rp tous les 7-10 jours environ, plus fréquemment pour les sms, etc. (écriture) 3ème personne du singulier, présent, dialogue en français (couleur dialogue) #ad4f09
âge : le temps qui défile, l'horloge qui court à toute allure et les questions incessantes des proches. à quand le mariage ? et le mioche, c'est pour quand ? et ses vingt-huit ans qu'elle voit s'éloigner dangereusement. (31.10)
statut civil : armoire vide. lit froid. palpitant à l'arrêt. seule dans sa solitude.
adresse : #621, south bank & west end, dans un petit appartement simple, décoré par ses soins et où se cache pas mal de petites lampes de toutes les couleurs et des guirlandes fantaisies accrochées au plafond. histoire que l'appartement n'soit jamais plongé dans le noir. cadavres de cannettes sur le sol. vêtements négligemment balancés sur le canapé. presqu'une garçonnière.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : inceste, torture animale, les rps sex
warning : cancer, abandon, relation toxique
disponibilités : (4/5)
the powerpuff girls ; ari ; adam ; st-valentin
j'ai eu des frissons en te lisant. c'était si beau, et pfiou cette relation avec sa fille. c'est trop triste qu'elles se soient éloignées, mais hâte de les voir se retrouver. bon jeu.
Tu as été ajouté·e dans le groupe qui correspond le mieux à ton personnage, c'est-à-dire ordinary love. Maintenant, passons aux choses sérieuses et essayons de te trouver l'amour.
astro-love Le Gémeaux est un signe avec lequel il est impossible de s’ennuyer. Intelligent et très ouvert, il sait comment divertir son couple et le sortir de la routine. Son esprit libre ne lui permet pas de tenir en place ! L'idéal pour vous, c'est une Balance ou un autre Gémeaux ! En amour, le Gémeaux, léger, bavard et joueur est en accord avec la Balance insouciante, douce et bohème. On imagine bien là un couple d’artistes ! Beaucoup de communication et de discussions riches avec un autre Gémeaux, bien que de rares disputes restent possibles. Avec une Balance ou un Gémeaux, si votre vie sexuelle, tel un tourbillon, part sur les chapeaux de roue, lorsque la relation s'installe dans la durée, l'agitation et l'inquiétude prennent peu à peu le pas sur le désir et la libido. Avec un Verseau en revanche, les Gémeaux risquent de devenir un peu trop « frère et sœur » pour garder une relation amoureuse sensuelle épanouie.
Parce que ça te fait une belle jambe, maintenant, on va quand même de te donner quelques petits coups de pouce, vraiment utiles, pour t'aider à te repérer sur le forum.
les bottins Puisque l'erreur est humaine, il se peut qu'on ait oublié de t'ajouter dans l'un des différents bottins du forum, alors n'hésite pas à aller jeter un coup d'œil par ici (cependant, merci de nous laisser le temps de vous recenser) :
s'intégrer au forum Maintenant, il va falloir inscrire ton personnage dans la vie du forum en lui trouvant des liens et des rps, pour ça, tu pourras jeter un coup d'œil aux liens suivants :
la vie sur le forum Pour finir, on te propose quelques liens pour faire ta vie sur le forum, rencontrer les autres et t'amuser, parce qu'on est là pour ça.
Voilà, maintenant, tout est dit, te voilà dans le game ! On espère que tu te plairas parmi nous ! Si jamais tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas à contacter aux choix : harlan myers, dora oliveira ou scott reeves. Si tu as besoin de plus de conseils en astrologie, ne t'en fais pas, BHC a sa propre madame Irma, toujours présente pour tirer les cartes et lire ton avenir dans les étoiles.
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(sometimes, all I think about is you) usually, I put somethin' on TV so we never think about you and me. but today, I see our reflections clearly.