Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : 28 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi. style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc. dialogues : en crimson, français ou anglais.
TW : mentions de harcèlement scolaire, suicide, deuil, divorce, langage grossier, abus médicamenteux, baiser non consenti, blessure
âge & naissance :
Née au lendemain d'un solstice d'été, le 22 juin 1996, elle a ouvert les yeux sur les colombages de Strasbourg – et clamera se souvenir de la cité alsacienne comme si c'était hier, mais sa mémoire embrumée se superpose de moins en moins fidèlement aux photos. L'insouciance tôt effacée, Ilsa a vu ses 27 années passer à une vitesse folle, doutant parfois d'y avoir réellement assisté.
origines & nationalité :
Franco-australienne ; française de pure souche, la nationalité australienne s'est accolée à ses papiers au terme de quelques années d'insularité. Terriblement fière des origines ancestrales, qu'elle aimerait revendiquer avec plus de fiel, sans doute en rémanence d'une rébellion enfantine qui n'a jamais accepté de se trouver déracinée de sa terre natale. Mais il n'y a qu'elle qui se soucie encore d'où elle vient, plus personne pour l'entendre roucouler dans la langue de Molière en vain.
finances et emploi :
$$$$$– Fraude pour certains, génie pour d'autres : les critiques parlent, s'écharpent à son sujet, et pendant ce temps-là, sa côte ne cesse de flamber. Touche-à-tout, Ilsa a d'abord signé des œuvres de street art du pseudo Fangs – qu'elle a gardé –, s'est essayée à la caméra, et finalement a offert son visage et son corps à des performances extrêmes. Assagie par le temps, ou bien trop peu désireuse de sacrifier le peu qu'il lui reste sur l'autel d'une créativité délétère, elle a finalement accepté d'être considérée comme une artiste plasticienne, quand bien même elle trouverait le terme quelque peu réducteur à l'égard de son ouvrage éclectique. Ses premières amours consumées dans le feu de la performance ont forcé les connaisseurs à la remarquer, à l'implanter solidement dans ce marché cloisonné, et ses œuvres s'arrachent désormais autant parmi les collectionneurs privés que dans des expositions d'art contemporain. Chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation ; Ilsa cherche encore les limites de son inspiration, mais le mal qu'elle exècre et voudrait affaiblir de cette manière est encore trop profond.
statut civil :
Une succession d'échecs, que celles et ceux qui s'y sont frottés n'ont pas hésité à lui imputer. Ilsa, elle est trop et pas assez, tout à la fois. Trop intense, trop passionnée, et pourtant jamais assez disponible pour une vie à deux. L'esprit est souvent ailleurs ; peut-être que le cœur aussi. Elle a l'affection rare et sauvage, sans doute trop discrète, si l'on ne jure que par ces je t'aime qu'elle n'a jamais dits, et dont on pourrait douter qu'elle les ait jamais pensés. Plutôt que d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter, Ilsa a fini par se résoudre au célibat, lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner.
orientation sexuelle :
Une pansexualité embarrassante, non qu'elle ait honte que ses désirs soient pluriels, mais plutôt atterrée de la place qu'y prennent les mâles, lorsqu'ils ont l'audace de s'immiscer dans l'adulation sans faille qu'Ilsa éprouve pour les aphrodites. Le sentiment amoureux, pourtant, c'est dans les bras d'un homme qu'elle l'a frôlé – une faiblesse depuis longtemps enterrée.
situation familiale :
Enfant du milieu d'une fratrie décimée, déserteuse de la famille brisée. Toute loyauté avait disparu quand sa sœur avait sauté ; des enfants Decker – Oscar, Ilsa et enfin Mathilde – n'en restèrent plus que deux, alors qu'ils ne composaient que par trois, et qu'importent les liens de sang, ç'avait été chacun pour soi. Leurs parents s'étaient acharnés à se renvoyer la faute jusqu'au divorce ; Ilsa et son frère s'étaient renfermés sur leur propre culpabilité. Peut-être que s'ils l'avaient fait ensemble, ils se seraient entendus dans une fragile paix ; mais leurs deuils avaient été trop soigneusement cloisonnés.
signe astrologique :
Cancer, dont elle incarne une certaine sensibilité – pas tant dans l'apparence, ayant pour coutume de revêtir une froide façade, mais dans l'empathie et les émotions au plus profond d'elle-même ressenties. Ilsa n'est pas sûre d'y croire – certainement pas au point de se jeter sur un horoscope, ou de prendre pour argent comptant ce que révèle son thème astral – mais l'idée d'une destinée guidée par les étoiles n'est pas pour lui déplaire.
le pire tue-l'amour :
Le contrôle que certains aimeraient bien exercer : de ses actes, ses paroles, ses pensées. Ilsa déteste que l'on croie pouvoir la museler, ou réprimer d'une quelconque manière sa liberté. Dans cette lancée, elle s'effarouche face à la plupart des traces de possessivité – ayant toujours mis un point d'honneur à faire entendre qu'elle n'appartient à personne –, bien qu'elle-même n'ait pas totalement été épargnée de ce travers.
un fantasme :
Faire l'amour les yeux bandés, culmination, à son sens, de la sensualité et de l'abandon aux mains de l'autre. Fantasme sans doute destiné à ne rester que cela, car elle ne s'imagine pas vouer une telle confiance à qui que ce soit.
à Brisbane depuis :
Ses quatorze ans, la désertion du berceau imprimée sur la peau. Sans doute parce qu'elle a rejeté la ville en bloc dès le sol australien foulé, elle ne s'est jamais sentie chez elle à Brisbane – mais les souvenirs l'y lient irrémédiablement, de sorte que chaque fantaisie de départ s'assombrit d'un sentiment de culpabilité paralysant.
traits de caractère :
Elle a connu la loyauté et l'abnégation avant de se bâtir une farouche indépendance, dès lors qu'elle a entrevu les brèches des piliers qu'elle s'était juré de maintenir érigés. On pourrait facilement la taxer d'inaccessible tant elle exsude la froideur ; car, comptant parmi ceux qui estiment que la parole est d'argent et le silence d'or, c'est de discrétion qu'elle s'arme bien souvent. Elle a son monde à elle, Ilsa : son art laisse deviner qu'il est fascinant, mais elle veille à ce que personne n'en discerne les couleurs. Pas même ses amants, qui l'auront tous regardée s'effacer plutôt que se révéler. C'est qu'elle n'aime pas être au centre de l'attention ; exécrant de se sentir devenir transparente, et que l'on commence à la voir. De fait, elle fuit les intimités trop solennelles, craignant que celles-ci ne soient qu'un moyen de lire au travers d'elle. Elle a l'esprit volage des rêveurs, un train de pensée éreintant qu'elle peine à mettre en pause. Lorsqu'elle parvient à se fixer sur une idée, l'obsession guette et s'abat parfois – et alors, Ilsa s'y égare corps et âme, s'oubliant pour ne faire qu'une avec ses créations amères, dans un tourbillon aussi cathartique que délétère. Elle n'a pas peur de grand-chose, considérant dans ses élans de nostalgie que le pire est déjà arrivé ; elle a tôt fait de détromper ceux qui la croient fragile poupée, prompte à mordre avant même de grogner.
Elle entretient une fascination un rien morbide à l'égard des reptiles ; seule la conviction qu'ils sont mieux dans la nature que dans un terrarium la retient d'acheter un serpent. ;; Le statut aisé de sa famille est un tabou pour elle, persuadée qu'avoir grandi avec de l'argent délégitimerait son art et sa parole aux yeux du public. ;; Elle a pris la fâcheuse habitude de couper sa frange seule ; avec le temps et une bonne centaine de coups de ciseaux ratés, elle parvient enfin à faire illusion. ;; Utilise, souvent à outrance, le maquillage comme un moyen de camouflage. Elle ne cherche pas à s'embellir, seulement à se rendre méconnaissable. ;; Elle a emmené le piano de Mathilde dans son appartement, et se risque parfois à y jouer, sans trop de talent. Mais les notes délicates donnent l'impression d'avoir sa sœur à côté d'elle, l'espace d'un instant – quoique, parfois, ce soit plutôt le fantôme d'Haydar qui guide ses mains. ;; Peu adepte de possessions matérielles, de ces objets manufacturés que l'on s'arrache ; Ilsa leur préférera toujours l'unicité d'une œuvre d'art ou d'une fleur, fascinée par le tragique cycle de vie de ces dernières. ;; Elle a par contre un faible pour les parfums, qu'elle semble pathologiquement collectionner. Nulle effluve signature, au contraire, elle s'amuse à en changer fréquemment, de peur qu'on ne la traque à l'odeur. ;; Elle reconnaît aussi un grand mérite aux pièces de haute couture, et pourrait s'imaginer une collaboration avec une grande maison. ;; Parce qu'elle se perd souvent dans ses gouffres mentaux, particulièrement lorsqu'elle a une idée derrière la tête, ses journées sont régies d'alarmes, lui rappelant les besoins les plus primaires d'un être humain – qu'elle serait capable d'oublier, sans les sonneries stridentes pour dicter son quotidien. ;; Danseuse invétérée, quelques notes, mêmes pas entraînantes, suffisent à la voir se perdre dans d'approximatives ondulations. Ilsa y trouve la liberté que d'autres pourchassent dans l'alcool – d'autant plus depuis qu'elle s'en est sevrée – et, à ce titre, fréquente quasi quotidiennement la même boîte de nuit. Non qu'il lui faille un lieu particulier, même de la musique de bar lui suffirait à danser.
(f) · l'étudiante. une étudiante (en art, de préférence, mais ça peut être autre chose tant que ça colle à ce qui suit) qui s'intéresse vivement au travail d'Ilsa et l'a contactée dans le cadre d'un mémoire, d'une thèse, ou autre. Collaboration pouvant ouvrir sur une amitié, lorsque les discussions dévient de l'art pour traiter de société, de féminisme, etc ; autant de sujets chers aux deux femmes.
(f/m/nb) · type de lien. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici. description du lien recherché ici.
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-- that's when you found me, I was waiting in the garden. contemplating, beg your pardon. but there's a part of me that recognizes you, do you feel it too?
Dernière édition par Ilsa Decker le Sam 26 Oct - 22:09, édité 15 fois
Ilsa Decker
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
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rps : 26
pseudo : youngblood.
id card : mara lafontan - soeur de lune (av), eigengrau le s (gif profil), awona (icons sign)
âge : 28 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi. style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc. dialogues : en crimson, français ou anglais.
novembre 2010 ‧ déménagement des decker à brisbane
janvier 2011 ‧ entrée d'ilsa au lycée privé de brisbane
février 2013 ‧ suicide de mathilde
Mathilde, la petite soeur d'Ilsa, se suicide. Tout le monde pointe Celine Jung du doigt ; Ilsa la confronte. Suite cette esclandre, on lui demande de s'éloigner du lycée quelques semaines. Lorsqu'elle y revient, elle apprend que Celine a changé d'établissement.
août 2013 ‧ premier projet artistique & rencontre avec haydar
au coeur d'un hiver trop chaud, tandis que ses parents ne cessent de se rejeter la faute de ce qui s'est passé, Ilsa est perdue ; seule, désespérément vide. Lui vient l'idée, un soir, de s'écrire à même la peau toutes les insultes qui ont poussé Mathilde à en finir, et de se photographier sous toutes les coutures. Postés sur les réseaux sociaux, les clichés lui valent un scandale au lycée – on l'enjoint alors à terminer l'année de chez elle, ce qu'elle accepte volontiers. Dans la foulée, elle reçoit un premier message d'Haydar et commence à lui parler ; elle le rencontrera quelques semaines plus tard.
janvier 2014 ‧ entrée à l'école d'art & début de son couple avec haydar
Ilsa rejoint l'école d'art de Brisbane. Elle s'est mise en couple avec Haydar et ils ne tardent pas à louer un appartement ensemble, Ilsa étant soutenue financièrement par les Decker – bien que ces derniers ignorent l'existence d'Haydar : tout à leur deuil et à leur mariage croulant, c'est à peine s'ils prêtent à Ilsa la moindre attention. Les mois suivants, Ilsa s'adonne à sa passion avec Haydar, faisant de lui son modèle de prédilection ; elle le place au centre de tous ses projets, s'intéressant par ce biais à tous les supports qui lui passent sous la main.
mars 2014 ‧ naissance de fangs
lors d'une soirée étudiante, un camarade saoul tente de l'embrasser. Par réflexe, elle le mord ; dès le lendemain, on l'aura affublée du surnom Fangs, qui deviendra rapidement son nom d'artiste.
juin 2014 ‧ divorce des parents decker
les Decker divorcent ; Ilsa, de toute façon, les voit de moins en moins. Elle a ses études, elle a Haydar, rien d'autre n'importe.
avril 2015 ‧ affirmation du style artistique & de l'engagement d'ilsa
au fur et à mesure de ses cours, Ilsa se prend de passion pour les performances artistiques féministes ; elle sent que c'est cette forme d'expression qui l'anime, que c'est au tour de son corps d'être sa muse, et que c'est pour la cause des femmes qu'il lui faut par ce biais s'engager. Son processus de création devient intime, solitaire. Alors, elle s'éloigne d'Haydar, sans même s'en rendre compte ; instinctivement. Des idées de performance extrême lui viennent, s'abîmer ne lui fait pas peur, au contraire – elle embrasse le sentiment que la douleur la rend légitime, et ne s'en défera que des années plus tard.
janvier 2016 ‧ départ d'haydar
Ilsa se réveille seule ; Haydar l'a quittée dans la nuit, en ne lui laissant qu'une lettre. Elle n'entendra plus parler de lui.
décembre 2019 ‧ fin d'études & premiers succès
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.
2021 ‧ évolution vers des méthodes d'art plus classiques
durant l'année 2021, un revirement s'opère ; se sentant finalement drainée, physiquement comme mentalement, de performances qui la laissent souvent vulnérable, exhibée aux yeux de tous, Ilsa décide de se rediriger vers de l'art contemporain plus classique, utilisant divers supports, selon ses idées. Son engagement, néanmoins, reste le même, et la cote de ses œuvres ne baisse pas.
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Dernière édition par Ilsa Decker le Dim 28 Avr - 15:20, édité 4 fois
Ilsa Decker
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occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
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mathilde decker (pnj) · sa cadette chérie, liées depuis l'enfance et d'autant plus par le déménagement à Brisbane, dont elles se sont accommodées à deux. Pourtant, Ilsa n'a jamais vu les signaux de détresse de Mathilde, et a été laissée sous le choc de son suicide. Deuil éternel, rougi des feux d'une culpabilité encore ardente.
samuel decker · l'aîné d'une fratrie conjuguée par trois, composante essentielle de cette dernière ; du moins, Ilsa l'avait-elle cru, mais lui a choisi de partir dès qu'il l'a pu - choix autant désapprouvé qu'envié. La distance aurait été supportable, s'il n'avait pas été au loin lorsqu'ils ont perdu Mathilde. Mais Samuel n'était pas là, pas avant, et encore moins après. Il a payé les pots cassés de la tristesse d'Ilsa, et de l'instinct de survie l'ayant poussée à se scinder tout à fait des Decker, pour tenter d'oublier.
la bête dans la jungle
haydar emre · premier amour, arrivé au cœur de la tragédie comme pour alléger ses tourments ; elle s'est reposée sur lui, des mois durant, avant d'évoluer différemment. De douce et enjouée, Ilsa est devenue secrète, fermée, comme si se laisser connaître d'Haydar aurait fini par représenter un danger. L'abandon qui a suivi, peut-être l'a-t-elle un peu cherché, tentative inconsciente de pouvoir enfin fonctionner seule, et surtout pas en dépendant d'un homme. Et elle en a accompli, des choses, ainsi isolée : mais Haydar, elle n'a jamais pu l'enterrer.
le péril jeune
celine jung (pnj) · à la mort de Mathilde, c'est Celine que tout semblait accuser. Dans la recherche désespérée de quelqu'un à blâmer, Ilsa s'est contentée de son nom, trop soulagée d'avoir quelqu'un à détester aveuglément. Puis Celine est partie, et Ilsa ne l'a jamais revue, oblitérant presque la soi-disant coupable - jusqu'à retomber sur elle, par hasard, les blessures pas bien refermée et la haine encore aux abois.
arlo mansfield · lien en discussion.
raven butler · artiste au même studio, lien à approfondir en jeu.
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Dernière édition par Ilsa Decker le Mer 10 Juil - 10:37, édité 6 fois
Haydar Emre
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
statut civil : célibataire — oiseau volage aux tendresses de passage, haydar s’entiche et se lasse, aime pour un temps seulement, vibre au gré des cœurs avec passion. Romantisme péremptoire dont il fait son habitude au cours du temps, écorchant à la volée quelques palpitants – et parfois même le sien en passant.
occupation : pianiste — la musique comme amante véritable, celle qui avait accroché son palpitant dès les premiers battements. Une fidélité presque morbide à laquelle il se voue et pour laquelle il vit, la musique qui l’avait un jour enchainé sans préavis.
adresse : fortitude valley — appartement sous les toits, partagé avec son piano, et Duke, son chat.
intervention pnj : Non
pronom perso : il.
trigger : injection de drogues, romantisation des relations toxiques, age gap 15+, agressions sexuelles.
infos rp : • 800-1600 mots en général, en fonction du type de rp
• dialogues en français uniquement
• troisième personne du singulier
• temps de réponse fluctuant.
âge : 28 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
intervention pnj : Oui
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@Haydar Emre je ne connaîtrais donc jamais la paix
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Invité
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Invité
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· Dim 28 Avr - 15:12
-moi qui voit déjà le nom de sam ajouté dans les liens-
Ilsa Decker
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