indigo nights (haydar)

Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
les rps libres
aucun rp libre
tcs en cours
valentine's day
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 indigo nights (haydar)


Haydar Emre
----------------------------------
MEMBRE ☆ midnight love
i'm not your consolation prize
Haydar Emre
paper rings
messages : 101
rps : 10
pseudo : eigengrau.
id card : boran kuzum © kidd/av, self/edit profil, gif
pronom irl : elle/she
multicomptes : theo (n.saavedra), kleo (a. bratt)
à contacter : theo.
présence : présente.
indigo nights (haydar) E78f2a97e2bdc36819831164de513cd0deb8a293
âge : vingt-neuf ans.
statut civil : célibataire — oiseau volage aux tendresses de passage, haydar s’entiche et se lasse, aime pour un temps seulement, vibre au gré des cœurs avec passion. Romantisme péremptoire dont il fait son habitude au cours du temps, écorchant à la volée quelques palpitants – et parfois même le sien en passant.
occupation : pianiste — la musique comme amante véritable, celle qui avait accroché son palpitant dès les premiers battements. Une fidélité presque morbide à laquelle il se voue et pour laquelle il vit, la musique qui l’avait un jour enchainé sans préavis.
adresse : fortitude valley — appartement sous les toits, partagé avec son piano, et Duke, son chat.
intervention pnj : Non
pronom perso : il.
trigger : injection de drogues, romantisation des relations toxiques, age gap 15+, agressions sexuelles.
warning : abandon, usage récréatif de drogues, dépendance affective, relations amoureuses dysfonctionnelles.
infos rp : 600-1600 mots en général, en fonction du type de rp
• dialogues en français uniquement
• troisième personne du singulier
• temps de réponse fluctuant (souvent sous deux semaines)

disponibilités : 2/3 – à discuter en mp.
en vrac : indigo nights (haydar) Fwk3


— jeux en cours :
• ilsa — sandpaper sigh
• aster — uc
• uc

présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
instagram : instagram
blank space

· Mer 7 Fév - 11:13

haydar emre (il)
TW : abandon parental, dépression, homophobie, mention de consommation d'alcool et d'ébriété, dépendance affective.


âge & naissance :

enfant de l’été, né vingt-neuf ans plus tôt dans l’Arkansas, où il ne restera qu’une poignées d’années et où il reviendra seulement pour les vacances, jusqu’à la mort de ses grands-parents. Puis plus du tout : sa mère lui dit que ça la rend triste de fouler ces terres-là, alors ils n'y mettent plus les pieds. Les miettes du paternel ramassées en un patronyme peu significatif, seul vestige du père absent, du père parti ; qu’il garde malgré tout, même s’il aurait pu en changer il y a longtemps. Au creux de son enfance défilent les paysages et les rues de villes passagères, où mère et fils se font habitants éphémères, pour quelques semaines ou quelques années. Rarement plus. Môme trimballé aux quatre coins de la terre pour les besoins du travail maternel, de traductions enchaînées pour des journalistes, des écrivains, ou des diplomates et politiciens haut placés.

origines & nationalité :

Les origines sont turques, la nationalité américaine de par sa famille maternelle, établie depuis plusieurs décennies sur les rives du Mississippi ; mais l’éducation se fait partout, ici et ailleurs, avec une seule attache, une seule figure familière – le visage maternel, comme une accroche perpétuelle. Autour du turc et de l’anglais gravitent les dialectes qu’il apprend pour un temps, qu’il bafouille ou maîtrise comme des bribes de passé qu’on ne s’est jamais permis d’oublier tout à fait. Des cartes postales collectionnées sur le coin de l’esprit, les mots singuliers et les accents pointés que l’on garde contre le cœur comme babioles de lieux égarés. Pendant longtemps, pas de terre fixe, ni de port d’attache : visas accumulés et passeport gribouillé, un brouillage identitaire dont il ne sait parfois plus que faire, et qu’il tentera de conjurer par périodes en s’essayant à un quotidien bien réglé.

finances et emploi :

Pianiste — La musique comme amante véritable, celle qui avait accroché son palpitant dès les premiers battements. Une fidélité presque morbide à laquelle il se voue et pour laquelle il vit, la musique qui l’avait un jour enchainé sans préavis. La trompette comme amour d’enfance et de jeunesse, talonnée plus tard par le piano auquel il se liera avec ivresse. Haydar collectionne les dissonances et les harmonies, exprime avec rudesse la poésie que ses mots taisent ; et il se dit que de tous les dialectes entendus et appris, le langage musical est très certainement celui que l’on parle au paradis. Il arpente les clubs de jazz miteux des villes dans lesquelles il passe, y traine sa passion et sa mélancolie, coud les écorchures de son cœur au bleu, au blues de la nuit. Statut précaire de musicien qui peine à le faire vivre, le plus souvent au service des fortunes de l’immobilier de Brisbane et qu’il distrait, à l’ombre d’un boudoir d’hôtel ou d’un restaurant hors de prix.

statut civil :

Célibataire — Oiseau volage aux tendresses de passage, Haydar s’entiche et se lasse, aime pour un temps seulement, vibre au gré des cœurs avec passion. Romantisme péremptoire dont il fait son habitude au cours du temps, écorchant à la volée quelques palpitants – et parfois même le sien en passant. Il cueille les lèvres pour l’espace d’une saison, laisse flétrir une à une les amours enchaînées, encore secrètement encombré du souvenir d’une fleur qui se refuse à faner : la première connue, gardée secrètement contre le cœur, épinglée. Celle d’une passion de jeunesse qu’il avait un jour chérie pour ce qui lui semblait être une éternité, dans laquelle il avait placé la folie d’un espoir de stabilité jusqu’à ce qu’il n’en restât que des épines. Sorte d’idole morte depuis longtemps et dont il n’a jamais vraiment réussi à se débarrasser, laissant chacune de ses relations souffrir de la comparaison avec celle-ci : compétition impossible, toujours en triste défaveur de celles et ceux qui avaient l’idée de lui confier leur cœur.  

orientation sexuelle :

Bisexuel, épris avec une assiduité changeante d’un genre ou de l’autre, en fonction des périodes ; double-inclinaison dite et formulée avec naturel, en dépit des tristesses adolescentes que celle-ci avaient parfois créées chez lui, dans les cours de récréations. Trop proche des garçons, Haydar, et pas de la bonne façon : puis surtout pas assez intéressé par les injonctions virilistes – parait de toute façon qu’il y a que les tafioles, qui jouent de la musique. Il en fallait pas plus pour le foutre à l’écart, lui faire comprendre qu’aimer autre chose que les filles, c’était se placer en dehors du monde, en refuser les règles pré-éditées. Et que pour ça non plus, fallait pas venir chialer. Pire : qu’il l’avait sûrement bien cherché.

situation familiale :

Fragmentaire. Ils n’ont longtemps été que deux, un plus un, sa mère, lui, et puis les autres qui gravitent, qui restent un peu et dont ils se séparent, les âmes vagabondes que l’on aime pour un temps, et qu’on apprend à laisser au loin. Paraîtrait qu’il a encore une famille en Turquie, quelque part du côté de Trabzon ; et peut-être a t-il été tenté au cours de sa jeune vingtaine de retrouver les racines d’un paternel jamais connu, mais il n’en finira que déçu. Haydar a fait son deuil depuis longtemps maintenant, a pris l’habitude de se créer une famille partout où il passe, sans faire état des liens de sang.

signe astrologique :

Leo.

le pire tue-l'amour :

Les obtus, les esprits étroits, celles et ceux qui coupent une chanson en plein milieu pour foutre la leur, qui ne pigent pas que l’art peut vous dégommer en plein cœur. Les individus au jugement facile, à la langue trop pendue, qui hurlent pour ne rien dire et qui oublient de s’exprimer en silence ; qui n’ont jamais compris que bien maitrisé, celui-ci peut posséder la plus belle des élégances. Celles et ceux qui refusent l’émotion, l’intensité des choses, le gouffre des passions. Qui l’ennuient. Même lorsqu’il ne s’agit que d’une seule nuit.

un fantasme :

L’amour sur un piano, accorder l’ivresse des peaux à la dissonance tendre des touches qui jouent faux. Fantasme sans doute déjà réalisé une ou deux fois, puisqu’il n’est pas dans ses habitudes de réprimer la créativité de ses désirs, de ce côté-là.

à Brisbane depuis :

Ville habitée pendant trois années aux aurores de sa vingtaine, quittée d'un jour à l'autre en n'y laissant que des chagrins sur le bitume. En dépit de l'affection qu'il porte à celle-ci, il a toujours craint d'y remettre les pieds, sans doute par peur de la mélancolie qu'il y attachait ; mais l'eau a coulé sous les ponts, et la nouvelle année l'a convaincu de s'y installer de nouveau.

traits de caractère :

Âme assoiffée de liberté, vagabondant entre badinages légers et mélancolie. La soif de voir et d’apprendre, de rencontrer, un appétit féroce face au monde qu’il arpente avec passion, hyperactif d’un cœur qu’il offre et retire à la déraison. Romantisme noir né du cynisme propre aux solitaires de la première heure, ceux qui s’étaient un jour persuadés que tout passe et se remplace, que les visages changent et s’oublient, s’ornent d’abord de douleur pour finir par en décorer paisiblement les souvenirs. La douceur écorchée dans le regard, le mot tour à tour charmant ou bien rare. L’égoïsme parfois, l’arrogance qui dépasse les contours d’une fierté trop grande, lorsque celle-ci s’en trouve blessée. Et puis la dévotion face à la beauté, adorateur des poésies quotidiennes, esthète discret et invétéré.

avatar : Boran Kuzum (turc)


the love test

romantisme
(75%)
level de drague
(75%)
engagement
(20%)
passion
(90%)
performance au lit
(80%)
fidélité
(50%)
nombre de cœurs brisés
(75%)
recherche de l'amour
(20%)


♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?

Il aimerait se dire qu’il n’y a pas qu’un amour mais plusieurs ; que les cœurs muent à la manière des serpents, selon les saisons. Il aimerait croire que les tendresses sont passagères comme les histoires, que l’on peut aimer à la déraison autant de fois qu’on le souhaite, et qu’un palpitant ne peut s’épuiser de sa propre passion. Il en a fait un mantra, avide de fièvres et de caresses, d’élans romantiques qui le brûlent, le lassent ou le blessent, d’ardeurs collectionnées sur le coin du cœur. Il aimerait se dire qu’on ne peut apposer de majuscule à l’Amour, que faire souffrir celui-ci d’une quelconque comparaison est imbécile, inutile : mais il n’a jamais pu s’en empêcher. De tuer chaque nouvelle histoire d’un rapprochement avec le passé, de trouver dans chaque peau le défaut de ne pas être celle qu’il avait un jour adorée. De lui offrir sa majuscule, à elle.
D’en assassiner les autres possibles de l’amour, et ses pluriels.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?

“ Ilsa,

Je me déteste de t’écrire. Je me déteste pour pas pouvoir te le dire, pour pas réussir à m’asseoir face à toi pour t’expliquer. Si je le fais, il faut que tu comprennes que c’est parce que j’ai pas le choix. Face à toi je pourrais changer d’avis et t’embrasser, je pourrais perdre mes mots et oublier de me souvenir ; de me rappeler qu’il faut que j’arrête de te placer au centre de mon monde.

Je sais bien que t’as rien fait, pour ça. Que tu tes contentée d’exister, capitale et immense, que tu t’es contentée d’être ce que tu es et de m’offrir le privilège d’exister dans ton monde à toi. Pas ta faute, si j’ai décidé d’y construire quatre murs bien droits. Mais dans tes bras, je m’en foutais des murs du monde, tant que tu continuais à le faire tourner, tant que nos nuits en maintenaient la gravité.
Maintenant, j’ai l’impression de le sentir perché sur mes épaules. Qu’il n’y a plus que toi qui tourne, Ilsa, de plus en plus vite, et ça me fait flipper. J’ai peur que tu te fasses du mal, je ne peux pas porter le poids d'en avoir été complice, de pas avoir réussi à garder notre monde en équilibre, et de voir tout finir par s’écrouler. Un univers c’est lourd, tu sais, et j’ai les épaules qui flanchent. Je n’en peux plus des nuits blanches, à douter de ce que tu fais là-haut, au dessus de nos têtes à tous.

La vérité, c’est que j’arrête pas de me dire que je sais même pas vraiment qui tu es. Je t’ai aimée pour ça, autant pour tout ce que tu me donnais à voir que pour ce que tu préférais garder secret. Mais même la lune tourne, Ilsa, même elle finit par se montrer pleine. Et je crois que de toi, je peux plus me contenter d’un croissant. Je suis pas sûr que tu aies envie d’accepter que quelqu’un puisse te connaître pleinement, que t’as besoin de rester celle qui garde l’avantage, avec une carte dans la manche. Et j’ai sans doute cru trop longtemps que cette façon d’être avait une limite, que j’étais cette limite, ou que je pourrais l’être un jour. Mais je suis fatigué de croire, Ilsa. La religion c’est pas mon truc, même la religion de toi. J’arrive plus à lire entre tes silences et à te prêter des sentiments que tu n'éprouves peut-être pas, j’arrive plus à croire à ce que je vois pas.

J’ai besoin d’arrêter, je suis désolé. Avant que mon monde à moi devienne une camisole de force, sans place pour rien d’autre que les espoirs déçus de tout ce que j’aurais aimé qu’on soit. J’ai besoin de rouvrir les murs du monde, quatre c’est pas assez.

Je t’aime, mais c’est mieux comme ça. ”


open your heart
(un) Possède un chat depuis son arrivée à Brisbane, nommé Duke en honneur du musicien du même nom ; bestiole aristocratique qui tire la tronche quand on lui file autre chose à manger que du poisson, qui erre avec nonchalance dans les pièces de son petit appartement, se barre parfois des jours entiers pour aller explorer le voisinage. Matou à l’indépendance aussi farouche que celui qui l’avait adopté, mais qui finira toujours par passer ses nuits blotti contre son oreiller.  
(deux) Une certaine passion pour les pompes, qu’il collectionne depuis des années sans s’en lasser. Dizaines de godasses étalées dans son entrée, des plus neuves jusqu’aux converses mille fois trouées qu’il s’est jamais résolu à balancer ; déteste d’ailleurs se promener orteils à l’air, même dans son propre appartement, et chatouilleux à en crever : n’essayez jamais de frôler sa plante de pieds.
(trois) Jamais lassé d’apprendre de nouveaux instruments et de nouvelles sonorités, il joue aussi de la trompette, de la contrebasse, et se débrouille en guitare.  
(quatre) Noctambule de toujours, il déteste le matin, capable d’hiberner rideaux ouverts jusqu’à ce qu’on ne vienne le secouer pour lui ordonner de se mettre sur pieds.  
(cinq) Il adore l’odeur de la verveine, probablement en souvenir des arbustes épais qui poussaient derrière la maison qu’ils habitaient à Rotterdam. Ironie tendre d’ainsi chérir l’herbe de Vénus – que certains vantent d’attirer l’amour – pour un cœur si volatile que le sien. Il a pris l'habitude d'en garder un bouquet séché chez lui, à côté de son lit.
(six) Une boucle d’oreille porte bonheur, babiole d’argent trempé pendue à l’oreille droite : trouvée dans une rue de Prague, s’arrêter pour ramasser l’éclat métallique l’avait miraculeusement sauvé d’une collision in extremis avec un cycliste aux freins usés. Depuis, il ne la quitte jamais, et devient superstitieux lorsqu’il omet par hasard de la porter.  
(sept) Bordélique maladif lorsqu’il s’agit des affaires qu’il sème, perd et disperse, mais maniaque fini au sujet de la vaisselle qu’on laisse trainer ou des cheveux dans l’évier. Spécialiste des oublis de sac dans les transports en commun, s’est retrouvé plus d’une fois sans pièce d’identité.
(huit) Allergie critique aux agrumes ; oranges et citrons évités tant que possible, le forçant à s’endeuiller devant un certain nombre des plats de son enfance – dont la marmelade aux oranges amères dont sa mère avait fait sa spécialité.  
(neuf) Plus à l’aise pour lire la musique que les lignes d’un bouquin, il a souvent manqué de patience pour la lecture de romans. Un regret flagrant face à son hyperactivité parfois proche d’être maladive.


le blues de la nuit | a soundtrack


1. indigo night — tamino ;
2. her — her ;
3. in a sentimental mood — duke ellington ;
4. to build a home — the cinematic orchestra ;
5. l'amour fou — grand blanc ;
6. prelude in E minor — chopin ;
7. lover, you should've come over — jeff buckley ;
8. my funny valentine — chet baker ;
9. late night — foals ;
10. qui est le plus fragile ? — M ;



eigengrau (marie)

âge : still 26. disponibilité pour le forum : toujours en veille dans les parages vous l'avez pigé à force. pays : winterfell. ou presque. personnage : inventé. où avez-vous connu le forum : c'était discord je crois bien votre avis : promis après j'arrête les nouveaux persos, parce que ça commence à ressembler doucement à une équipe de foot cette affaire crédit icon & gifs : callisto. mot de la fin : bla-bla-bla.


Dernière édition par Haydar Emre le Ven 9 Fév - 23:22, édité 6 fois
Revenir en haut Aller en bas
Haydar Emre
----------------------------------
MEMBRE ☆ midnight love
i'm not your consolation prize
Haydar Emre
paper rings
messages : 101
rps : 10
pseudo : eigengrau.
id card : boran kuzum © kidd/av, self/edit profil, gif
pronom irl : elle/she
multicomptes : theo (n.saavedra), kleo (a. bratt)
à contacter : theo.
présence : présente.
indigo nights (haydar) E78f2a97e2bdc36819831164de513cd0deb8a293
âge : vingt-neuf ans.
statut civil : célibataire — oiseau volage aux tendresses de passage, haydar s’entiche et se lasse, aime pour un temps seulement, vibre au gré des cœurs avec passion. Romantisme péremptoire dont il fait son habitude au cours du temps, écorchant à la volée quelques palpitants – et parfois même le sien en passant.
occupation : pianiste — la musique comme amante véritable, celle qui avait accroché son palpitant dès les premiers battements. Une fidélité presque morbide à laquelle il se voue et pour laquelle il vit, la musique qui l’avait un jour enchainé sans préavis.
adresse : fortitude valley — appartement sous les toits, partagé avec son piano, et Duke, son chat.
intervention pnj : Non
pronom perso : il.
trigger : injection de drogues, romantisation des relations toxiques, age gap 15+, agressions sexuelles.
warning : abandon, usage récréatif de drogues, dépendance affective, relations amoureuses dysfonctionnelles.
infos rp : 600-1600 mots en général, en fonction du type de rp
• dialogues en français uniquement
• troisième personne du singulier
• temps de réponse fluctuant (souvent sous deux semaines)

disponibilités : 2/3 – à discuter en mp.
en vrac : indigo nights (haydar) Fwk3


— jeux en cours :
• ilsa — sandpaper sigh
• aster — uc
• uc

présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
instagram : instagram
blank space

· Mer 7 Fév - 11:13



Napoli

Haydar à six ans. De boucles brunes éparpillées, de paumes ouvertes et de genoux écorchés. L’innocence dans le regard lorsqu’il arpente les rues de Naples en s’échappant à la surveillance de sa nourrice, retrouvant les mômes de son âge avec lesquels il baragouine un italien bancal, appris au gré des jeux d’enfants. Car il paraît que la candeur possède un langage propre qu’il est permis aux gamins de parler, même s’ils sont nés dans des pays trop éloignés.
Il se tient là sur les hauteurs de la ville, surplombe la mer et respire, il aime la couleur que celle-ci prend lorsqu’il la regarde de dessus. Derrière lui traîne encore le pas de Rafaelo qui peine un peu à gravir la pente ardue, la carcasse sûrement trop usée pour les ascensions de ce genre. Il grommelle et tousse, passe des doigts fébriles dans ses épais cheveux gris, puis ajuste ses lunettes sur son nez aquilin.
Rafaelo, c’est leur voisin. C’est lui qui tient la boutique de jouets juste au coin, et hier, il a offert à Haydar un boomerang en bois gravé – celui qu’il lorgnait dans sa vitrine depuis des semaines. Sauf que le môme savait pas bien comment l’utiliser, alors l’aîné lui a promis qu’il lui montrerait.

— Piano, piano ! Grommelle t-il en ravalant une quinte de toux.

Sur les hauteurs de la ville, Haydar s’imagine des airs de conquérant. Il se rêve tour à tour marin, oiseau, explorateur ou roi. Il plisse les yeux pour rendre net l’horizon, essaie de se figurer ce qui se cache là-bas. Dans sa main, le boomerang bien serré dont il ne sait pourtant que faire, qu’il tient malgré tout avec assurance, comme une arme ou un gourdin. Rafaelo se penche vers lui et effectue un signe de main un peu impatient.

— Dammilo, Qu’il ordonne doucement, alors que Haydar lui tend le morceau de bois, docilement.

Rafaelo baragouine quelques mots d’anglais, mais préfère parler italien. Haydar fait semblant de le comprendre, répète les phrases qu’il prononce comme un perroquet.  Mais la plupart du temps, il saisit l’essence de ses phrases grâce à son ton, au florilège d’expressions dont se froisse son visage doux, plissé de fines ridules. Rafaelo ressemble un peu à un arbre, qu’il se dit, aux troncs majestueux à l’écorce ouvragée qui finissent parfois par ployer. Il aime l’observer lorsqu’il ne le regarde pas, ou fait mine de ne pas le faire pour lui en laisser le loisir.
Curiosité enfantine.
L’italien se saisit du boomerang et prend de l’élan, puis le balance dans le vide. Le demi-disque part à toute allure, dessine un vaste arc au dessus de l’eau. Fasciné, Haydar en suit le tracé et éclate de rire, il éclate de ce rire d’enfant qui n’a encore rien vu, et qui trouve encore à s’émerveiller du vol d’un oiseau de bois. Puis finalement, le boomerang revient dans la main du marchand qui s’en saisit avec habilité, et Haydar applaudit.

— Bravo, bravo !
— Impressionato, eh ?
— Come funziona ? Pourquoi il revient ?

Rafaelo s’accroupît face à lui. Dans son regard bleu, il y a la malice des vieux sages, des conteurs chevronnés qui s’apprêtent à offrir une histoire.

— Quelli che ami te lo rimandano, Chuchote t-il du bout de la voix, comme une confession. Ceux qui te manquent prennent le boomerang et te le redonnent.

Et Haydar se demande si quelque part au dessus de la mer, il y a son père.
Que si lui aussi le faisait voler, il serait là pour lui relancer.


Rotterdam

Haydar à douze ans. Le cheveu trop long et l'air négligé des adolescents. Il a découvert le piano il y a un peu plus d'un an et s'en est fait son ami le plus cher, le seul qui reste près de lui lors des déménagements. Il passe des heures à jouer comme un acharné, use tympans et phalanges jusqu'à les raidir, jusqu'à en oublier l'heure de déjeuner  ; paraitrait même qu'il a l'audace d'être doué. Madame De Haan explique à sa mère que c'est pas tant sa mémoire ou son oreille, mais plutôt que la musique l'habite tant, corps, âmes et pensées, qu'en retour, Haydar ne peut s'empêcher de l'habiter à son tour. Sauf qu'il a la sale habitude de jouer trop vite, de manger les notes avec un appétit féroce, comme si elles avaient risqué de disparaître s'il ne les avait pas joué tout de suite. Alors De Haan tape le rythme avec force sur le parquet, scande le nom des notes à voix haute pour en recouvrir le son du piano  ; une bataille à laquelle ils se livrent le temps de quelques mesures jusqu'à ce que Haydar ne se décide à céder, à ralentir la cadence et laisser les croches respirer. De toute façon, il sait qu'il ne sert à rien de lutter, ni contre la musique, ni contre la professeur qui la lui enseigne  ; qu'au jeu des arrogances et des obstinations, cette dernière est certainement bien plus chevronnée qu'il ne l'est. La pulsation, qu'elle lui dit, c’est ce qui donne vie à la musique. Sans rythme il n’y a rien. C'est comme un corps et son cœur, tu sais ? 

Alors peu à peu, Haydar apprend à patienter, à écouter. Laisser aux phrases musicales l'espace et la liberté qu'elles demandent, à les chérir comme elles doivent l'être, cesser de les dévorer. Une façon de faire qu'il applique aux conversations, aux mots autour de lui qu'il écoute avec attention, au monde qu'il prend le temps d'observer, de contempler. Et peut-être qu'en apprenant à aimer la lenteur et le silence, Haydar apprend pour la première fois à être fasciné, à se trouver conquis par la fugacité des beautés passagères, quotidiennes. Celles qui ne demandent l'instant d'après qu'à se taire ou se faner.


Brisbane

Haydar à vingt ans. La posture nonchalante, la tignasse négligée. Couleur corbeau.
Quelques temps maintenant qu’ils se sont installés en Australie, pour souffler, pour trouver une forme de stabilité. Il aime le climat, il aime la côte et la mer qui la borde, la ligne flagrante des horizons plats ; elle lui rappelle celle de Naples. Alors il décide qu’il se plaît là-bas, qu’il y passerait bien une poignée d’années, histoire de construire un truc. Essayer.

Et puis, faut dire aussi que c'est là qu'il l'a rencontrée.

Ilsa. Elle a le regard qui mord, celui qui se méfie puis qui s'abandonne et s'adoucit. Le premier soir, ils ont parlé toute la nuit. Sur la petite terrasse de l'appartement de connaissances communes, échangeant des bribes d'histoires, fringales de quotidien et brèves de vie. Elle ne dit pas grand chose d'elle, Ilsa, elle préfère parler du monde qui l’entoure, qu’elle semble à la fois vénérer et détester. Et durant ces heures enchainées, Haydar apprend par cœur la teinte de ses iris, le tracé anguleux de ses traits  ; se promet de ne pas les oublier, pour pouvoir les reconnaître, si jamais elle disparaissait.

Mais il existe un lendemain, un sur-lendemain. Pas à pas, elle se dessine une place dans son quotidien. Pendant un temps, il n’est question que d’une connivence d’esprits – pas qu’il n’ait jamais songé à plus, ou qu’il n’en ait pas envie. Il se dit juste qu’à elle, la chose lui suffit, et ça lui va. Il donnerait la forme qu’elle veut à leur relation, Ilsa, tant qu’il était assuré que celle-ci pourrait perdurer ; parce qu’il ne gâcherait rien sous prétexte qu’il ait parfois songé à l’embrasser.
On n’assassine pas la connivence des âmes pour quelques ridicules baisers.

Puis y’a un soir, comme ça, où il a vu un truc dans ses yeux, Ilsa. Un truc particulier, un truc dans sa manière de le regarder. Et il n’a pas su quoi dire, parce qu’il est de ces moments où soudain, les mots semblent de trop. Trop lourds, trop maladroits, trop bruts, imprécis, qu’ils ne trouvent ni justesse ni délicatesse, et qu’il ne s’agisse plus de langue, mais de langage. Qu’il faille en trouver un nouveau, qui ne s’encombre plus de consonnes et de syllabes, un langage pour les esprits épuisés par la frustration de ne pas réussir à dire. Les regards s’en chargeaient parfois très bien, mais dans l’obscurité, ils se trouvaient démunis, privés de leur pouvoir premier. Que restait-il alors aux charmants aveugles qu’ils étaient ?

Il se rappelle de son souffle lourd, frôlant l'épiderme de son visage comme suspendu, les pensées plus désordonnées qu'à l'instant qui les avait précédées. Il se rappelle s’être dit qu'il était peut-être allé trop loin. Qu'il n'avait aucune idée de ce qu'il était en train de faire, mais qu'il aimait le goût de sa peau, à Ilsa. Et qu'après tout ce temps, il ne le savait même pas.
De son nez qui frotte le sien, et de l'œil qui s'ouvre, qui attrape celui qui lui fait face ; de l’éclat dans l'obscurité, alourdi par une respiration qui heurte la sienne.

C'est peut-être seulement là, qu'il a compris qu'il allait l'embrasser.

Il se rappelle.
Une nuit blanche aux couleurs fauves, gravées sur la peau, sous les paupières  : leur première. Première lampée d'une ivresse aux airs d'éternité, passion mordante et dévorante qui les agripperait pendant des années, eux qui avaient pourtant juré fidélité à l'inconstance, à l'éphémérité.


Brisbane #2

Haydar à vingt-deux ans. La mine lassée et éteinte, les cernes lourdes aux multiples teintes. Il dort mal, en ce moment. Il passe ses nuits hors du lit, à griffonner sur des partitions blanches des mélodies pour oublier les inquiétudes de son esprit ; des allumettes sur les paupières comme un campement sur le désert, dans l’attente de sa silhouette passant la porte. Des semaines, des mois qu'ils se regardent sans se voir, qu'ils s'embrassent le matin par réflexe et répètent les mêmes scènes de cette routine mortuaire, de cette immense comédie. Pardon, tragédie. Des mois qu'ils habitent le même appartement comme des fantômes errants, qu’il mime avec nostalgie les gestes d'une affection dont ils ne saisit plus la substance. Il l’aime toujours, mais il ne sait plus comment le faire ; peut-être n’a t-il jamais su comment s'y prendre lorsqu’elle était ailleurs, Ilsa, absorbée par les remous de ses propres préoccupations, avalée par le gouffre de ses obsessions. Parfois, il a l’impression de ne plus vraiment exister. Parfois elle le regarde, mais il sait que ce n’est pas lui qu’elle voit ; l’œil dirigé vers l’intérieur à jamais, à scruter le flot de sa créativité jamais tarie, d’une révolte infinie. Il l’avait tellement aimée pour ça, pour sa manière de poignarder le monde de ses idées. Ou peut-être que ce qu’il aimait, c’était de se constituer comme exception, d’exister comme le fil qui la reliait au monde : tu parles d’un piédestal, pas étonnant qu’il n’ait pas supporté le retour à la normale.

Des mois, des années que ça avait duré. À s'aimer entre eux fulgurances, s'enfermer dans l’appartement partagé, s'aimer pour quelques heures ou quelques jours d’affilée, ivres de l'un, de l'autre, ivres de se retrouver et de replonger dans les étreintes qu'ils s'offraient à la déraison. Ils étaient doués pour ça, pour chérir le tracé en pointillé que dessinait leur passion. Et puis, il avait commencé à croire que tout ça durerait, qu’il resterait son exception à elle, à tout jamais ; parce que pourquoi pas, parce qu'il parait que c'est ce que sont les autres, les couples qui sont plus que des amants, qui arrivent encore à exister en dehors des passivités d'un quotidien désarmant.
Terrible arrogant, il y avait cru ; mais la vérité, c'était que le temps les avait tués. Ils n'avaient plus su comment se comporter et comment s'aimer, comment se toucher sans que l’éloignement et l’inquiétude ne viennent assassiner la beauté de ce qu'ils avaient.
Désormais, ils ne sont plus grand chose, rien que des étrangers qui font encore mine de s'en contenter. Mais ça le rend dingue, Haydar, ça le rend dingue de la perdre à petit feu, de voir jour après jour leur relation se flétrir peu à peu ; de la dévisager pour essayer de reconnaître la teinte qu'il avait tant aimé, au creux de ses yeux. Celle qu'il avait juré ne jamais oublier. Il ne veut, non, ne peut plus. Alors ce soir, il le lui dira. Quitte à mettre un point d'orgue à leur amour, autant le faire correctement. Il le lui dira, c'est promis.


Lisboa

Haydar à vingt-trois ans. L'œil ouvert vers le futur, le cœur fendu du passé. Couleur corbeau. Il a laissé derrière lui les vestiges d'une histoire passée, quelques mois plus tôt.
Il ne lui avait rien laissé, Ilsa, ou plutôt, elle lui avait trop laissé : des photos d’elle, des photos d’eux, des fringues qui portaient son odeur, des cheveux sur ses manteaux. Elle lui avait laissé des habitudes, la façon de chercher sa présence dans les draps le matin, en se réveillant ; celle de vouloir l’interpeller, quand il ne mettait pas le doigt sur un mot qu’il avait sur le bout de la langue, ou bien de se disputer à propos des casseroles sales qu’elle laissait traîner. Ilsa était partout, même dans son nouvel appartement. Même après qu’il ait jeté ses photos, changé de continent, elle était partout, et pendant un temps, Haydar n’a pas su quoi faire de son absence. De ses souvenirs.

Des nuits fauves et des murs peinturlurés, des peaux chéries, mille fois explorées ; des journées usées à s'en empêcher de dormir, de la passion qu'ils avaient construite, puis consumée. De la douleur de la routine, de leurs regards d'étrangers. Pendant un temps, il s'est fait recueil, réceptacle de cette mémoire pénible et encombrante, à la fois si belle et si terrible ; et puis il a essayé d'oublier. S'effacer d'un cœur comme une mélodie évaporée, que seul l'instant passé aurait pu jurer voir exister. Acte lâche, et criant de liberté. Peut-être a t-il réussi – peut-être pas.

Mais dans l'appartement et dans les fêlures de son cœur, il n'y a plus de trace d’Ilsa.


Prague

Haydar à vingt-quatre ans. L'air canaille, l'œil noisette et le cheveu en pagaille. Il vit ses plus belles années au Conservatoire, enchaine arpèges et chromatismes le jour, puis se terre la nuit tombée dans les petites salles miteuses et enfumées, où s'entassent les musiciens précaires, les oreilles absolues et les poètes ratés. Ils jouent, ils composent en descendant des bouteilles de whisky bon marché, et n'en sortent parfois qu'aux premières heures, encore ivres de liqueur et de musique, ébahis, abrutis. Sa mère l'appelle encore tous les mercredis, et puis s'arrange pour grimper dans un avion, lorsqu'il joue lors d'un concert important  ; lui proteste pour la forme, mais elle dit que ça la rend fière de le voir sur une scène, que ça la rend fière de le voir capter l'attention, l'émotion de toute une salle. Et puis aussi que ça la fait bien rire qu'il soit obligé de porter un costume, lui qui, depuis tout petit, rechignait à sortir autrement que débraillé. Mais Haydar, ce qu'il ne dit pas encore, c'est que ce n'est pas le classique, qui le fait vibrer  ; Bach, Chopin et Liszt lui avaient appris beaucoup, avaient entrainé ses doigts. Sauf que c'est le jazz, auquel appartient vraiment son cœur, le jazz qui soufflait chaque jour sur la poussière du quotidien pour le rendre plus beau, plus mélancolique, plus surprenant. Pour l'aimer, il fallait aimer improviser  ; pas seulement du bout des doigts, mais dans sa vie entière, il fallait, chérir les incartades musicales spontanées sur les touches d'un piano de bar, il fallait suivre les inconnus qui prétendaient posséder l'un des premiers enregistrements de Duke Ellington, se perdre dans les appartements délabrés, les clubs de musique étroits et planqués, suivre les conversations décousues jusqu'au bout de la nuit, accepter de ne pas savoir ce dont demain serait fait, il fallait faire de sa vie un ballet exquis et extravagant de spontanéité. Ce qu'il a fait, Haydar, à la déraison. Gagnant à peine assez de fric pour acheter les clopes qu'il fumait par paquets, finissant par en délaisser les études rigides au Conservatoire et devenir un oiseau de nuit dédaigneux des aurores. Une créature noctambule et mélancolique, au fil des notes, des cœurs et des corps.


Paros

Haydar à vingt-sept ans. La peau hâlée, la pilule dorée. Une semaine, qu'il est en résidence sur l'île de Paros, tu parles d'une chance  ; on les avait invités pour enregistrer l'album d'une chanteuse locale, dans un cadre qui avait tout du paradis de vacanciers. Le climat, et puis la couleur de l'eau lui rappellent un peu la Turquie, le rendent nostalgique d'un pays dont il ne se rappelle finalement que peu, mais dont il se remémore les odeurs, les accents et les bruits. Haydar se sent bien ici, au milieu de ces façades blanches qui tranchent avec le ciel et en conjurent l'azur, il s'y sent libre.


Ils a rencontré Polina là-bas, dans ce genre de club rempli de types pleins aux as qui veulent voir des filles danser à leur merci, et des musiciens combler le vide sonore des pièces sans chercher à se faire applaudir. Y'a eu contact, sûrement parce que y'a une drôle de ressemblance entre Ilsa et Polina, un truc dans la forme des yeux ou une façon de se toucher les cheveux ; ça a suffi, pour qu’il ait l’impression d’en tomber amoureux.
Et puis Polina, elle a vite compris. À sa façon de l’étreindre, comme si elle avait été tout sauf une inconnue, à sa façon de chérir sa nuque comme s’il l’avait fait mille fois avant. Elle a vite compris que c’était pas avec elle qu’il faisait l’amour, mais avec une autre – un fantôme, une silhouette dans ses souvenirs ; nymphade collée sous ses paupières, invoquée aux dernières jouissances comme une prière. Polina, elle savait. Et au lieu de se vexer, elle en a joué.
Trois fois rien, juste de quoi foutre le doute, entretenir l'illusion, limer la douceur de la torture tout en gardant un sourire innocent. Juste de quoi faire en sorte qu'il reste, parce qu’à la nuit tombée, elle était elle sans l'être : son inconnue à lui, celle qu’elle ne connaissait pas, qu’il aimait au travers du corps qu’elle échouait dans ses draps. Ça devait lui plaire quelque part, de prendre le rôle de celle qui avait été tant vénérée, d’enfiler la peau de quelqu’un qu’elle n’avait jamais été. Et elle jouait tellement divinement bien la comédie qu'elle arrivait parfois à être les deux, en simultané : Ilsa, et Polina.

Ça a duré quelques temps, comme ça. Jusqu’à ce qu’elle cherche à n’exister dans son cœur que comme elle même, et qu’elle comprenne qu’il était incapable de l’aimer comme ça : qu’en abandonnant le rôle de son inconnue, leur amourette resterait toujours incomplète.
Alors elle l’a quitté, un matin. Polina, pas Ilsa ; c’était sans doute bien fait, mais Haydar, il s’est senti crever une seconde fois.



credits icons : comédie humaine, midnight dreamer, booksunflower, beqrsluv, darklingherondale, dizthemonster


Dernière édition par Haydar Emre le Ven 9 Fév - 21:02, édité 7 fois
Revenir en haut Aller en bas
Ilsa Decker
----------------------------------
MEMBRE ☆ old wounds
you got a little more to prove
Ilsa Decker
paper rings
messages : 155
rps : 10
pseudo : youngblood.
id card : mara lafontan - néréide (av), eigengrau le s (gif profil), awona (icons sign)
pronom irl : elle
multicomptes : sailor (tamino), azhar (a.kontar), sierra (r.consentino) & kendall (v.hacker)
à contacter : sierra.
indigo nights (haydar) Iu6x
âge : 27 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.

statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.

occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.

adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : hard no : inceste, pédophilie, viol. // selon comment c'est abordé : agression sexuelle, violences conjugales, grooming & relations avec gros écart d'âge. // on peut plus en discuter par mp.
warning : suicide, deuil, harcèlement scolaire, divorce
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi.
style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en crimson, français ou anglais.

disponibilités : 3/5, dispo, parlons-en par mp.
en vrac : indigo nights (haydar) 23.7

nocturama, w/ nova.
sandpaper sigh, w/ haydar. #2
underwater, w/ celine.
uc, w/ samuel.

présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
blank space

· Mer 7 Fév - 11:44

preums comme je te l'avais promis j'édite après indigo nights (haydar) 1273375535
brise-moi le coeur pitié (ah mince, c'est déjà fait paraît-il)
tout plein de L word sur toi je suis trop trop contente de ce dans quoi on se lance encore indigo nights (haydar) 959938267 indigo nights (haydar) 959938267

il est si beau et touchant haydar, si bien caractérisé comme à ton habitude indigo nights (haydar) 3045621873 et c'est toujours un tel plaisir de découvrir tes mots
je peux pas te dire combien j'ai hâte de découvrir le reste de son histoire et juste de plus te lire en fait indigo nights (haydar) 3462987423
(re)bienvenue chez toi avec cette merveille I love you
(et personne t'en voudra de compléter encore l'équipe de foot hein indigo nights (haydar) 1294587783)


Dernière édition par Ilsa Decker le Mer 7 Fév - 13:21, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Ruth Aslan
----------------------------------
MEMBRE ☆ instant crush
and we will never be alone again
Ruth Aslan
paper rings
messages : 652
rps : 65
pseudo : earithralia ✺
id card : M. Pamuk + awonaa // Crackship&Crap/gif+tumblr
pronom irl : Elle/She
multicomptes : Stella Rosales (B. Vargas) & Juliet Chapman (Tessa Thompson) & Billie Butler (E. Exposito)
à contacter : Stella Rosales
présence : PRÉSENTE
indigo nights (haydar) 4f2db54e3ef6edff44d5f48beea9c7071c5e5008
âge : trente-quatre ans. un âge parmi d'autres. Ruth a cessé de compter le jour de son trentième anniversaire. À quoi bon ? Le compteur ne cesse de tourner et quelques cheveux blancs se sont installés doucement sur son crâne.
statut civil : En couple avec Nils. L'amour reste complexe, mais elle l'aborde avec réalisme cette fois-ci. Prête à s'ouvrir à ce petit oiseau suédois, mais elle reste prudente.
occupation : Présentatrice d'un talk-show En pause de son rôle de journaliste reporter, elle lance "Spill the tea", son talk-show live de société et divertissement autour d'un thé et quelques chroniqueurs. Un virage audacieux de son ancien métier trop sérieux.


adresse : Appart' niché dans une ancienne usine réhabilitée à West End. Malgré les apparences, elle s'y plait.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : prise d'otage, terrorisme, violence, captivité, tromperie, dépression post-partum, fausse-couche, rupture
disponibilités : SUJETS EN COURS --
Luther :: Wes :: Nils #3 :: best neighbors
SMS --
Nils :: Marga :: Emery :: Keith :: Luther ::

en vrac :
indigo nights (haydar) 29e616679d9d6668df657bc4da9785d49bb7061d

Workalcoholic ; turque jusqu’au bout des ongles ; parle couramment l’anglais et le turc ; a de bonnes notions d’arabe ; a connu la captivité durant plusieurs mois ; n’a pas sa langue dans sa poche, quitte à être parfois méchante ; aime la mode ; joue du piano ; fume en cachette pour se détendre ; a parfois l’impression d’errer sur terre ; ambitieuse ; capable de courir en talons ; joue de la guitare ; imbattable au scrabble ; a remporté plusieurs médailles de concours de dictée au collége ; posséde la légion d'honneur ; porte toujours de faux ongles ; bricole le dimanche ; piétre jardinier ; adore les potins ; voyager ; passe sa vie sur les réseaux sociaux ; coupe ses cheveux blancs pour ne pas les assumer ; n’a plus son permis mais conduit parfois sans; n’est pas douée pour la cuisine et adore manger à l’extérieur ; Mcdo ; mâche tout le temps du chewing-gum pour garder l’haleine fraîche ; a toujours sur elle son trousseau de maquillage… au cas où ; voue un culte à l'équipe de rugby australienne : les Wallabies ;

présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
instagram : instagram
blank space

· Mer 7 Fév - 12:05

Ohhhhh, un compatriote. indigo nights (haydar) 959938267 indigo nights (haydar) 959938267
ça veut dire qu'on aura peut être un lien cette fois-ci? indigo nights (haydar) 3626511090
Ça sent le duo de choc indigo nights (haydar) 3677209775 . Je suis curieuse de voir ce que vous nous reservez tout les deux. indigo nights (haydar) 1294587783

Spoiler:
indigo nights (haydar) 2675345329 indigo nights (haydar) 2675345329 indigo nights (haydar) 2675345329 indigo nights (haydar) 2675345329

Bienvenue chez toi, tu connais la maison.
Revenir en haut Aller en bas
Sasha Winchester
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love
we'll build our house in the trees
Sasha Winchester
paper rings
messages : 1506
rps : 21
pseudo : Elina
id card : Zendaya + elina
pronom irl : elle
multicomptes : Elijah (B. Skarsgård) Sinead (K. Winnick) Noah (B. Holbrook) Noomi (Z. Kravitz) Elio (N. Simoes) Alarik (A. Skarsgård) Keith (G. Hedlund)
à contacter : Elijah Hawkins
indigo nights (haydar) Xloe
âge : 29 ans, encore un peu moins d'un an avant d'entrer dans une nouvelle décennie (08/08/94)
statut civil : Célibataire, Sasha est le genre de personne qui se lasse vite. Sa difficulté à s’attacher, sur le plan sentimental, ne l’aide pas vraiment à garder une relation bien longtemps. Si elle a déjà enchainé plusieurs relations amoureuses, elle n’est pas encore parvenue à tomber sur la perle rare capable de changer sa vision des choses. Les coups de cœur sont nombreux mais éphémères
occupation : Son travail de vétérinaire mis de côté, Sasha est à présent propulsée sur le devant de la scène, face à une notoriété naissante depuis qu'elle a rejoint le groupe Little Anarchy en tant que bassiste depuis décembre. Un rêve devenu réalité, qu'elle effleure du bout des doigts
adresse : #200, south bank & west end, appartement partagé avec ses deux meilleurs amis
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : Viol, inceste
warning : abandon maternel, claustrophobie
infos rp : * Minimum 400-500 mots mais ça peut vite monter, je m'adapte
* Dialogues en #AB6FC1

disponibilités : Yaël - Andy - Taylor(1) - Delilah & Vivian - Toi?
En attente : Taylor(2) - Jules

en vrac : indigo nights (haydar) 6d9e
RP terminés : Jimmy(1) - Jimmy(2)
RP abandonnés : Bradley - Jaime

présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
instagram : instagram
blank space

· Ven 9 Fév - 12:13

Un pianiste, peut-être qu'on pourra se trouver un lien entre musiciens indigo nights (haydar) 37499257
Re bienvenue indigo nights (haydar) 2269198987

_________________
(Bright lights)
everywhere I go, I see my name in bright lights. If I keep it up I know that I could fly, I feel like it's a good life. and when I feel it most I feel like I could fly
Revenir en haut Aller en bas
Invité
----------------------------------
Invité
Anonymous
paper rings
blank space

· Ven 9 Fév - 21:45

Re bienvenue par ici !

J'adore la composition de ta fiche et cette playlist god indigo nights (haydar) 3677209775
Revenir en haut Aller en bas
Arlo Mansfield
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds
you got a little more to prove
Arlo Mansfield
paper rings
messages : 2621
rps : 120
pseudo : winter solstice.
id card : madelyn cline / ethereal@av, ethereal@bannière.
pronom irl : elle.
multicomptes : neasa, paulina, camila, gisela, lis, dora, neva, aster, marga.
à contacter : dora.
présence : présente
indigo nights (haydar) Vvaca1i1_o
âge : vingt-six ans, quart de siècle fêté tout récemment.
statut civil : célibataire, encore trop accrochée à son ex.
occupation : assistante de galerie depuis peu, travaille à la Hope of Shades Art Gallery, pour Sahar.
adresse : south bank, appartement 212, en colocation.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : cruauté animale, inceste, violence infantile, agression sexuelle, mutilations.
warning : ghosting, avortement, addiction, drogues, prison, homicide involontaire.
disponibilités : indispo (0/5).

— rps en cours.
www › hasan,, 7
www › jackson
www › sungho

— rps terminés.
www › hasan,, 1
www › hasan,, 2
www › hasan,, 3
www › hasan,, 4
www › hasan,, 5
www › sahar,, 1
www › kinsley,, 1
www › coloc
www › dexter,, 1
www › hasan,, 6
www › kinsley,, 2
www › sahar,, 2


présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
instagram : instagram
blank space

· Ven 9 Fév - 23:07

boraaan, et un pianiste. indigo nights (haydar) 3462987423 il nous faudra un lien avec aster. indigo nights (haydar) 1294587783
rebienvenue. indigo nights (haydar) 3677209775
Revenir en haut Aller en bas
Haydar Emre
----------------------------------
MEMBRE ☆ midnight love
i'm not your consolation prize
Haydar Emre
paper rings
messages : 101
rps : 10
pseudo : eigengrau.
id card : boran kuzum © kidd/av, self/edit profil, gif
pronom irl : elle/she
multicomptes : theo (n.saavedra), kleo (a. bratt)
à contacter : theo.
présence : présente.
indigo nights (haydar) E78f2a97e2bdc36819831164de513cd0deb8a293
âge : vingt-neuf ans.
statut civil : célibataire — oiseau volage aux tendresses de passage, haydar s’entiche et se lasse, aime pour un temps seulement, vibre au gré des cœurs avec passion. Romantisme péremptoire dont il fait son habitude au cours du temps, écorchant à la volée quelques palpitants – et parfois même le sien en passant.
occupation : pianiste — la musique comme amante véritable, celle qui avait accroché son palpitant dès les premiers battements. Une fidélité presque morbide à laquelle il se voue et pour laquelle il vit, la musique qui l’avait un jour enchainé sans préavis.
adresse : fortitude valley — appartement sous les toits, partagé avec son piano, et Duke, son chat.
intervention pnj : Non
pronom perso : il.
trigger : injection de drogues, romantisation des relations toxiques, age gap 15+, agressions sexuelles.
warning : abandon, usage récréatif de drogues, dépendance affective, relations amoureuses dysfonctionnelles.
infos rp : 600-1600 mots en général, en fonction du type de rp
• dialogues en français uniquement
• troisième personne du singulier
• temps de réponse fluctuant (souvent sous deux semaines)

disponibilités : 2/3 – à discuter en mp.
en vrac : indigo nights (haydar) Fwk3


— jeux en cours :
• ilsa — sandpaper sigh
• aster — uc
• uc

présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
instagram : instagram
blank space

· Ven 9 Fév - 23:47

@Ilsa Decker : L word sur toi même, tu sais bien que je suis plus corruptible qu'un politicard devant une mallette de fric (surtout lorsqu'il s'agit de tes idées de liens fantastiques) indigo nights (haydar) 3626511090
tellement hâte de briser mon cœur (ou ce qu'il en reste) encore une fois en ta compagnie indigo nights (haydar) 959938267

@Ruth Aslan la team est là indigo nights (haydar) 3677209775 merci pour tes doux mots indigo nights (haydar) 959938267

@Sasha Winchester à fond, tous.tes les musicien.nes sont les bienvenu.es pour des jam endiablées indigo nights (haydar) 1294587783

@Silena Callewaert adorable, merci beaucoup indigo nights (haydar) 3045621873

@Arlo Mansfield merci à toi, et mon tipi est toujours ouvert pour papoter de ça indigo nights (haydar) 3677209775
Revenir en haut Aller en bas
Adelaïde Brekker
----------------------------------
MEMBRE ☆ old wounds
you got a little more to prove
Adelaïde Brekker
paper rings
messages : 1311
rps : 10
pseudo : bittrblue
id card : Elizabeth Olsen by fassylovergallery
pronom irl : elle/she
multicomptes : Callie, Avery, Vicky, Esma, Nils, Mairead, Taron
à contacter : Callie
présence : Présente
âge : Trente-cinq années passées, bientôt une année à ajouter à ce compteur qui grimpe sans pouvoir être freiné.
statut civil : appelez cela comme vous voulez, auto sabotage, fuite, trouille... Adelaïde n'a jamais été douée lorsqu'il faut parler sentiments, lorsqu'il faut s'attacher. elle reste indéniablement célibataire, parce qu'au moins elle sait le gérer ça.
occupation : une vie avec plusieurs activités. d'abord archéologue métier délaissée pour élever une enfant... devenue alors professeur d'histoire en lycée... et actuellement en congés sans solde... il va falloir songer à reprendre si on ne veut pas voir les finances virer au rouge.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle
trigger : à discuter ensemble.
disponibilités : sur demande
blank space

· Sam 10 Fév - 11:58

j'étais persuadée d'être passée par lààààà mais apparemment pas indigo nights (haydar) 1256992505
tu nous fais toujours de trèèès beau personnage, j'aime beaucoup ce nouveauuuu - je ne suis pas surpriiise indigo nights (haydar) 2292502434
en tout cas, je viendrais quémander un lien avec ma petite violoniste ou même roxane qui joue du piano en chorale toussa toussa indigo nights (haydar) 2292502434
tu es à la maison, mais rebienvenuuuue chez toi indigo nights (haydar) 2269198987

_________________
(Houdini) I come and I go Tell me all the ways you need me I'm not here for long Catch me or I go Houdini I come and I go Prove you got the right to please me
Everybody knows Catch me or I go Houdini
Revenir en haut Aller en bas
Marga del Río
----------------------------------
MEMBRE ☆ old wounds
you got a little more to prove
Marga del Río
paper rings
messages : 231
rps : 11
pseudo : winter solstice.
id card : ana de armas / cosmic light@av, ethereal@header.
pronom irl : elle.
multicomptes : dora & co.
présence : présente.
indigo nights (haydar) Jyq17fVs_o
âge : trente-cinq ans.
statut civil : séparée de son mari, même si cela reste plus ou moins secret.
occupation : présentatrice d'un late show sur ABC Brisbane.
adresse : kangaroo point, maison 812.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : inceste, cruauté animale, violences sexuelles, maltraitance, automutilations, descriptions contenant du sang, age gap +15 ans.
warning : en cours.
disponibilités : dispo (1/5).

— rps en cours.
www › fred
www › syed,, 2
www › jace (à venir)

— rps en cours.
www › syed


présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
instagram : instagram
blank space

· Sam 10 Fév - 19:03

félicitations, ta fiche est validée !

pfiou, quelle histoire. indigo nights (haydar) 3462987423 j'aime beaucoup comme il a voyagé, et puis pianiste, ça va si bien à boran. I love you bon jeu. indigo nights (haydar) 3677209775

Tu as été ajouté·e dans le groupe qui correspond le mieux à ton personnage, c'est-à-dire midnight love. Maintenant, passons aux choses sérieuses et essayons de te trouver l'amour. indigo nights (haydar) 1072267795

astro-love
Le Lion est ambitieux mais surtout très dominateur. Son côté autoritaire et son égo surdimensionné peuvent en agacer plus d’un, mais il est pourtant, fidèle, loyale et très généreux, ce qui séduit à coup sûr, un Sagittaire ou une Balance. Le Sagittaire et le Lion forment un fantastique duo ! Généreux et dynamiques, ils sont très vite sur la même longueur d’onde. Impossible pour eux de s’ennuyer ensemble, ils adorent sortir, voir du monde, organiser des fêtes chez eux, entreprendre divers projets. Le Sagittaire et le Lion aiment la tendresse et peuvent faire monter la température et l'excitation pendant de longs instants avant de passer à l'acte. De sorte que leurs relations sont toujours explosives. Le Lion et la Balance sont tous deux sentimentaux et romantiques, ils ont une sexualité amusante et détendue. Sous la couette aucune prise de tête et aucun tabou ne demeure entre ces deux amants épicuriens. Attention cependant aux Vierges, trop différents, ces deux là ont du mal à s'entendre !

Parce que ça te fait une belle jambe, maintenant, on va quand même de te donner quelques petits coups de pouce, vraiment utiles, pour t'aider à te repérer sur le forum.

les bottins
Puisque l'erreur est humaine, il se peut qu'on ait oublié de t'ajouter dans l'un des différents bottins du forum, alors n'hésite pas à aller jeter un coup d'œil par ici (cependant, merci de nous laisser le temps de vous recenser) :

les avatars les logements les emplois


s'intégrer au forum
Maintenant, il va falloir inscrire ton personnage dans la vie du forum en lui trouvant des liens et des rps, pour ça, tu pourras jeter un coup d'œil aux liens suivants :

faire un pl fiche de liens partenaire rp les rps aléatoires


la vie sur le forum
Pour finir, on te propose quelques liens pour faire ta vie sur le forum, rencontrer les autres et t'amuser, parce qu'on est là pour ça. indigo nights (haydar) 4253753115

flood jeux autour du rp top-sites


Voilà, maintenant, tout est dit, te voilà dans le game ! On espère que tu te plairas parmi nous ! Si jamais tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas à contacter aux choix : harlan myers, dora oliveira ou scott reeves. Si tu as besoin de plus de conseils en astrologie, ne t'en fais pas, BHC a sa propre madame Irma, toujours présente pour tirer les cartes et lire ton avenir dans les étoiles. indigo nights (haydar) 3832728143  indigo nights (haydar) 1230534629  indigo nights (haydar) 2641652910

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
----------------------------------
paper rings
blank space

·

Revenir en haut Aller en bas
indigo nights (haydar)

BROKEN HEARTS CLUB. :: 

habits of my heart

 :: 

like everybody else

 :: 

this is the beginning