Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : 28 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi. style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc. dialogues : en crimson, français ou anglais.
Née au lendemain d'un solstice d'été, le 22 juin 1996, elle a ouvert les yeux sur les colombages de Strasbourg – et clamera se souvenir de la cité alsacienne comme si c'était hier, mais sa mémoire embrumée se superpose de moins en moins fidèlement aux photos. L'insouciance tôt effacée, Ilsa a vu ses 27 années passer à une vitesse folle, doutant parfois d'y avoir réellement assisté.
origines & nationalité :
Franco-australienne ; française de pure souche, la nationalité australienne s'est accolée à ses papiers au terme de quelques années d'insularité. Terriblement fière des origines ancestrales, qu'elle aimerait revendiquer avec plus de fiel, sans doute en rémanence d'une rébellion enfantine qui n'a jamais accepté de se trouver déracinée de sa terre natale. Mais il n'y a qu'elle qui se soucie encore d'où elle vient, plus personne pour l'entendre roucouler dans la langue de Molière en vain.
finances et emploi :
$$$$$– Fraude pour certains, génie pour d'autres : les critiques parlent, s'écharpent à son sujet, et pendant ce temps-là, sa côte ne cesse de flamber. Touche-à-tout, Ilsa a d'abord signé des œuvres de street art du pseudo Fangs – qu'elle a gardé –, s'est essayée à la caméra, et finalement a offert son visage et son corps à des performances extrêmes. Assagie par le temps, ou bien trop peu désireuse de sacrifier le peu qu'il lui reste sur l'autel d'une créativité délétère, elle a finalement accepté d'être considérée comme une artiste plasticienne, quand bien même elle trouverait le terme quelque peu réducteur à l'égard de son ouvrage éclectique. Ses premières amours consumées dans le feu de la performance ont forcé les connaisseurs à la remarquer, à l'implanter solidement dans ce marché cloisonné, et ses œuvres s'arrachent désormais autant parmi les collectionneurs privés que dans des expositions d'art contemporain. Chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation ; Ilsa cherche encore les limites de son inspiration, mais le mal qu'elle exècre et voudrait affaiblir de cette manière est encore trop profond.
statut civil :
Une succession d'échecs, que celles et ceux qui s'y sont frottés n'ont pas hésité à lui imputer. Ilsa, elle est trop et pas assez, tout à la fois. Trop intense, trop passionnée, et pourtant jamais assez disponible pour une vie à deux. L'esprit est souvent ailleurs ; peut-être que le cœur aussi. Elle a l'affection rare et sauvage, sans doute trop discrète, si l'on ne jure que par ces je t'aime qu'elle n'a jamais dits, et dont on pourrait douter qu'elle les ait jamais pensés. Plutôt que d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter, Ilsa a fini par se résoudre au célibat, lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner.
orientation sexuelle :
Une pansexualité embarrassante, non qu'elle ait honte que ses désirs soient pluriels, mais plutôt atterrée de la place qu'y prennent les mâles, lorsqu'ils ont l'audace de s'immiscer dans l'adulation sans faille qu'Ilsa éprouve pour les aphrodites. Le sentiment amoureux, pourtant, c'est dans les bras d'un homme qu'elle l'a frôlé – une faiblesse depuis longtemps enterrée.
situation familiale :
Enfant du milieu d'une fratrie décimée, déserteuse de la famille brisée. Toute loyauté avait disparu quand sa sœur avait sauté ; des enfants Decker – Oscar, Ilsa et enfin Mathilde – n'en restèrent plus que deux, alors qu'ils ne composaient que par trois, et qu'importent les liens de sang, ç'avait été chacun pour soi. Leurs parents s'étaient acharnés à se renvoyer la faute jusqu'au divorce ; Ilsa et son frère s'étaient renfermés sur leur propre culpabilité. Peut-être que s'ils l'avaient fait ensemble, ils se seraient entendus dans une fragile paix ; mais leurs deuils avaient été trop soigneusement cloisonnés.
signe astrologique :
Cancer, dont elle incarne une certaine sensibilité – pas tant dans l'apparence, ayant pour coutume de revêtir une froide façade, mais dans l'empathie et les émotions au plus profond d'elle-même ressenties. Ilsa n'est pas sûre d'y croire – certainement pas au point de se jeter sur un horoscope, ou de prendre pour argent comptant ce que révèle son thème astral – mais l'idée d'une destinée guidée par les étoiles n'est pas pour lui déplaire.
le pire tue-l'amour :
Le contrôle que certains aimeraient bien exercer : de ses actes, ses paroles, ses pensées. Ilsa déteste que l'on croie pouvoir la museler, ou réprimer d'une quelconque manière sa liberté. Dans cette lancée, elle s'effarouche face à la plupart des traces de possessivité – ayant toujours mis un point d'honneur à faire entendre qu'elle n'appartient à personne –, bien qu'elle-même n'ait pas totalement été épargnée de ce travers.
un fantasme :
Faire l'amour les yeux bandés, culmination, à son sens, de la sensualité et de l'abandon aux mains de l'autre. Fantasme sans doute destiné à ne rester que cela, car elle ne s'imagine pas vouer une telle confiance à qui que ce soit.
à Brisbane depuis :
Ses quatorze ans, la désertion du berceau imprimée sur la peau. Sans doute parce qu'elle a rejeté la ville en bloc dès le sol australien foulé, elle ne s'est jamais sentie chez elle à Brisbane – mais les souvenirs l'y lient irrémédiablement, de sorte que chaque fantaisie de départ s'assombrit d'un sentiment de culpabilité paralysant.
traits de caractère :
Elle a connu la loyauté et l'abnégation avant de se bâtir une farouche indépendance, dès lors qu'elle a entrevu les brèches des piliers qu'elle s'était juré de maintenir érigés. On pourrait facilement la taxer d'inaccessible tant elle exsude la froideur ; car, comptant parmi ceux qui estiment que la parole est d'argent et le silence d'or, c'est de discrétion qu'elle s'arme bien souvent. Elle a son monde à elle, Ilsa : son art laisse deviner qu'il est fascinant, mais elle veille à ce que personne n'en discerne les couleurs. Pas même ses amants, qui l'auront tous regardée s'effacer plutôt que se révéler. C'est qu'elle n'aime pas être au centre de l'attention ; exécrant de se sentir devenir transparente, et que l'on commence à la voir. De fait, elle fuit les intimités trop solennelles, craignant que celles-ci ne soient qu'un moyen de lire au travers d'elle. Elle a l'esprit volage des rêveurs, un train de pensée éreintant qu'elle peine à mettre en pause. Lorsqu'elle parvient à se fixer sur une idée, l'obsession guette et s'abat parfois – et alors, Ilsa s'y égare corps et âme, s'oubliant pour ne faire qu'une avec ses créations amères, dans un tourbillon aussi cathartique que délétère. Elle n'a pas peur de grand-chose, considérant dans ses élans de nostalgie que le pire est déjà arrivé ; elle a tôt fait de détromper ceux qui la croient fragile poupée, prompte à mordre avant même de grogner.
avatar :
Mara Lafontan (française).
the love test
romantisme (78%)
level de drague (41%)
engagement (99%)
passion (80%)
performance au lit (80%)
fidélité (100%)
nombre de cœurs brisés (74%)
recherche de l'amour (3%)
♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Elle y avait cru, à dix-neuf ans, à cœur battant. Le grand Amour. Elle le voyait dans la passion, dans l'adrénaline, dans les peaux effleurées, les baisers échangés et l'urgence dans laquelle les corps se scellaient, dans sa silhouette dansant au clair de lune, dans leur vibrance et la facilité que celle-ci avait de lui faire oublier. À présent, qu'importe qu'elle y croie ou non ; qu'importe que les étreintes brisées la brûlent encore. Au-delà d'un idéal romantique, d'un fantasme de l'esprit que la réalité ne pourrait de toute façon que ternir, l'amour en tant que tel et ses sacrifices ne l'intéressent plus. Au moins compte-t-elle parmi les chanceux qui l'ont effleuré – avant d'ouvrir les yeux.
♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Il était parti sans dire au revoir ; admettant, dans la lettre qu'il lui avait laissée, que seule cette lâcheté lui permettrait de s'éloigner. Ilsa avait cherché le sel de ses larmes entre les lignes. Mais, s'il en avait versé, il avait pris soin de ne pas les laisser couler sur l'encre, pour ne pas la délaver. À force, elle en avait appris les mots par cœur – comme pour se faire l'Atlas de leur douleur.
j'ai peur que tu te fasses du mal, je ne peux pas porter le poids d'en avoir été complice. (...) je n'arrive plus à lire entre tes silences et à te prêter des sentiments que tu n'éprouves peut-être pas. (...) je t'aime, mais c'est mieux comme ça.
Elle aussi l'a aimé, pourtant, elle en est persuadée. Même si elle n'a jamais su le lui dire – ou même le lui montrer ; même si elle l'a perdu à trop tarder.
âge : trop vieille pour dicaprio, est-ce que c'est bon pour vous ? disponibilité pour le forum :pays : j'hésite entre une blague sur les JO ou sur les oscars... personnage :pré-lien de @Celine Jung, encore merci pour cette pépite. où avez-vous connu le forum : j'ai une poignée de personnages dans le coin votre avis : pour toujours la maison !! crédit icon & gifs : mars pour le gif, awona pour l'icon. mot de la fin : ça fait beaucoup là non ?
Dernière édition par Ilsa Decker le Dim 11 Fév - 19:13, édité 8 fois
Ilsa Decker
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
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messages : 328
rps : 26
pseudo : youngblood.
id card : mara lafontan - soeur de lune (av), eigengrau le s (gif profil), awona (icons sign)
âge : 28 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi. style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc. dialogues : en crimson, français ou anglais.
Elle aimait l'hiver. Ses cieux gris, ses feux de cheminée, ses effluves de gaufres, de chocolat et de cannelle, ses pluies diluviennes se fracassant contre les carreaux et les gens qui se hâtaient pour y échapper, quitte à glisser sur les pavés trempés. Et l'odeur des gouttes sur ces derniers. Tout naturellement, l'Australie, Ilsa y était parfaitement réfractaire, avec ses saisons inversées et son ambiance solaire. Sans doute aurait-elle haï n'importe quel pays n'étant pas le sien – quoiqu'elle entretenait une certaine curiosité pour les contrées slaves – mais ce choix-là semblait en tous points bafouer ce qu'elle appréciait. Seulement, les Decker en parlaient depuis un moment. Avec le temps, leur principale attache à Strasbourg était devenue la présence d'Adélaïde, la grand-mère maternelle, dont la santé avait inexorablement décliné. Lorsqu'elle s'était finalement éteinte, une matinée d'été, les choses s'étaient accélérées. Pour ce qui était de la temporalité, la machine était bien huilée : arrivés à temps pour la rentrée scolaire, Oscar commencerait l'université à Brisbane, et Mathilde, l'enseignement secondaire. Il n'y avait qu'Ilsa qui s'encombrerait de l'entre-deux délicat de changer d'établissement en cours de route. Une formalité, bien sûr, d'après ses parents. Même l'aîné s'y était mis.
– C'est pas comme si t'avais des amis ici, de toute façon. – Va te faire foutre.
Leur mère avait roulé des yeux, brûlant, manifestement, de reprendre Ilsa sur sa vulgarité ; ses lèvres, pourtant, étaient demeurées closes, les circonstances appelant à l'indulgence. C'était finalement le père qui s'était chargé de calmer le jeu. Enfin, d'essayer.
– Tu sais que l'Australie a une des faunes les plus intéressantes et dangereuses du monde ? Des serpents, des araignées, et toutes ces drôles de bestioles que t'adores. – On pourra enfin avoir un serpent à la maison, alors ?
Elle l'avait dit par provocation, regard fiché dans celui du paternel – oh, il aurait sans doute pu craquer, désespéré qu'il était de lui faire accepter le déménagement imminent. Mais elle cherchait seulement à le contredire, seul plaisir qu'elle trouvait depuis que le départ avait été annoncé. Le long soupir poussé par sa mère ne l'avait pas déçue. De toute façon, l'affaire était entendue.
(( mathilde ))
tw : suicide.
Et ils avaient déménagé. Elle avait joué les ados en colère quelques mois, Ilsa, avant de s'en lasser. Faute d'apprécier la ville, elle s'était au moins prise d'affection pour ses musées ; avait rejoint l'association de dessin du lycée, et aidait Mathilde, et sa diction tragiquement française, à maîtriser l'anglais. En dehors d'un bon nombre de coups d'éclat, ce qu'elle ressentait comme un exil remis sur le tapis, cruellement, pour faire culpabiliser les parents à la moindre altercation, Ilsa semblait s'être accommodée à cette vie-là. Jusqu'à ce que Mathilde se suicide.
Sa classe ne comptait pas parmi celles qui avaient vu l'acte. Pendant près d'une heure, tout avait été flou. Le proviseur avait visité leur salle, avec l'instruction de ne pas laisser les élèves sortir. L'on s'était fait toutes sortes d'idées pour expliquer cette subite mise en quarantaine, servies par la fertilité d'une trentaine d'imaginaires adolescents. Quelques minutes encore, il avait été si amusant d'affabuler. Puis avaient retenti les sirènes. Et on était venu la chercher, elle.
Y avait-il eu des signes avant-coureurs ? C'était la seule question qui tournait dans sa tête, tandis que les mots extérieurs, déjà, s'emmêlaient – on a trouvé son corps par terre, il semblerait qu'elle ait sauté du toit, une enquête va être lancée, tes parents vont bientôt arriver. D'ailleurs, c'était sans doute cette question-là qu'on brûlait de lui poser, et qui n'avait été retenue que parce qu'il était trop tôt ; c'était venu quelques jours plus tard. Est-ce que tu sais ce qui l'a poussée à faire ça ? Elle avait des problèmes, à l'école, ou à la maison ?
Ilsa l'avait déjà entendue pleurer. Vue verrouiller précipitamment son téléphone sitôt qu'elle s'installait à côté. Devenir pâlichonne à l'entrée du lycée, dis, et si on séchait ?. S'enfermer dans sa chambre, ne plus toucher à son piano. Se lamenter de son accent à couper et couteau et même, une fois, lui confier qu'elle regrettait d'avoir un prénom si français – qu'elle en aurait préféré un que les autres puissent prononcer. Ilsa avait tout constaté, d'un oeil triste mais déférent. Mathilde avait le comportement d'une gamine de quatorze ans : un peu mal dans sa peau, sans trop de repères, rien d'inquiétant. Ilsa aussi était passée par là – du moins, l'avait-elle cru, jusqu'à ce qu'ils viennent la chercher, en cette matinée de février.
(( celine ))
tw : mention de harcèlement scolaire ayant entraîné un suicide et d'abus médicamenteux.
C'était une gamine. Voilà ce qu'Ilsa s'était dit lorsqu'elle l'avait vue, celle que tous s'accordaient à désigner coupable – Celine. Une gosse. Avec des airs hautains, un peu princesse, le genre qui voulait jouer les grandes peut-être, mais tout de même, une foutue gosse. Aussi insouciante qu'ils l'étaient tous, à cet âge-là. Aussi cruelle. Avec du temps, Ilsa aurait pu entendre qu'elle – ou n'importe qui d'autre : elle s'était contentée du premier nom qu'on lui avait glissé sans se questionner, dans une recherche désespérée d'un visage à blâmer – avait harcelé Mathilde sans réaliser le mal causé. Parce que c'était un truc de gamin de quatorze ans, de s'en prendre au plus faible pour se faire bien voir, pour assoir cette maigre popularité qui représente tout un monde dans leur microcosme enfantin, pour maintenir une assurance illusoire. Mais, du temps, sa rage sourde ne lui en avait pas laissé.
- Tu l'as tuée.
Elle l'avait dit calmement, le ton presque empreint d'incrédulité. Il y avait eu cet instant flottant où Ilsa s'était demandé ce qu'elle foutait là – ce que cela changerait. Puis la digue avait lâché. Elle avait gueulé à s'en érafler les poumons, faisant de Celine le réceptacle de l'étendue de sa douleur – quand bien même les injures lui étaient tout autant destinées qu'aux autres élèves, les coupables, les complices et les ignorants, et au corps enseignant, bienheureux lui aussi de fermer les yeux. Et à Ilsa elle-même : la protectrice qui avait failli. On l'avait renvoyée chez elle, une fois l'altercation mise en sourdine ; elle avait entendu des profs remarquer qu'on l'avait laissée reprendre le lycée trop tôt, qu'il fallait qu'elle soit suivie de près. Au fond, elle ne les avait jamais qu'entendus se dédouaner, se renvoyer par ricochets une faute trop grave pour que l'on ose en prendre la pleine responsabilité. En rentrant, elle ne s'était pas étonnée de trouver sa mère allongée sur le canapé – elle l'avait à peine quitté depuis l'enterrement. Flacon orange de pilules même pas refermé. Sans même s'en rendre compte, Ilsa l'avait vite mémorisé : à la longue, elle commencerait à envier le traitement, et la plénitude amorphe dans laquelle les cachets semblaient plonger sa mère.
- T'es pas au lycée ? l'avait interrogée la voix venue d'outre-tombe – un vieux réflexe de parent autoritaire refaisant surface ; Ilsa comprendrait vite qu'il n'en restait que la façade, qui déjà se fissurait. - Ils m'ont dit de rentrer. Ils pensent que j'ai encore besoin de quelques jours ici.
Soigneusement, ils avaient alors appris à ignorer la souffrance des autres, comme pour mieux la nier. La mère usait de prescriptions pour se laisser assommer ; le père attendait la nuit pour traîner sa carcasse fantomatique entre les murs du foyer. La maison Decker était devenue une réplique de champs d'Asphodèle désertés, où l'on vient se laisser mourir. Ilsa aussi s'était sentie disparaître, sans personne pour la retenir ; sans personne pour seulement la voir s'évanouir. Lorsqu'elle était finalement revenue en cours, elle avait appris que Celine avait changé de lycée, et n'avait même pas eu la force de s'en émouvoir. Il ne lui restait que quelques mois à tirer dans ce mouroir : le cœur était déjà au départ.
(( haydar ))
On aurait pu croire qu'elle avait touché le fond lors d'un triste dix-huitième anniversaire, entre les cris des parents au bord du divorce et les nappes de chaleur de l'hiver. Ilsa avait passé les mois précédents à fouiller, à comprendre, collectant ainsi nombre d'insultes dont on avait affublé Mathilde, sans savoir qu'en faire. L'illumination était venue au creux d'une nuit blanche. De la pointe d'un marqueur, elle avait souillé son coup de ces premières injures. Puis les clavicules, la poitrine. Des lignes noires répétées à en perdre sens, dizaines de tatouages éphémères, vecteurs de la blessure permanente. Elle s'était photographiée sous toutes les coutures ; le lendemain, la rumeur enflait au lycée, les clichés tournant jusqu'à ce qu'on l'encourage fortement à boucler l'année en étudiant à la maison. En réalité, pour Ilsa, ç'avait été un recommencement. Le coup d'éclat lui avait valu un message d'un certain Haydar – un des rares qui n'avait pas commenté son corps dénudé, ni n'avait démarré par des condoléances. Juste un type qui avait vu un intérêt artistique à son projet, en lieu d'un énième appel à l'aide d'une gamine fêlée – parce qu'elle ne se faisait plus d'illusions, Ilsa : c'était ainsi que tous la voyaient.
Avant lui, elle avait considéré l'attirance charnelle avec une curiosité de passage, s'en tenant toujours à une distance sage. Mais, face à lui, une bête s'était réveillée. Une attraction mystique, aux mâchoires affamées. Quand s'était-elle mise à épier ses lèvres pour un autre motif que celui de mieux boire ses paroles ? Quand son regard s'était-il rivé aux fins doigts de pianiste dans un fiévreux désir qu'ils ne la frôlent ? Cela lui avait fait un drôle d'effet, lorsqu'elle s'en était aperçue ; un drôle de poids dans le cœur, celui du temps perdu. Haydar avait apaisé les béances qui la morcelaient de part en part, ces mélancolies enracinées çà et là, ces humeurs noires. Et il en avait ouvert tant d'autres ; Ilsa n'en prendrait la mesure qu'à son départ. Elle s'était découverte à travers lui ; elle l'avait peint, photographié, filmé, dessiné, chaque jour plus enivrée de ses traits. Elle s'était découverte dans le creux de ses bras, dans le velours de sa peau, puissante et adulée, lorsqu'il la convainquait, d'un baiser, de remettre à plus tard sa volonté de l'immortaliser. Ilsa avait fait d'eux et de leur passion des muses duales – lui, et elle-même.
Peu à peu, ça n'avait plus été qu'elle. Certains cours d'art l'avaient faite s'éprendre d'Abramović, d'Ono ou encore de Schneemann ; elle n'avait plus vu que par son propre corps comme medium d'expression digne de ce nom, laissant la création se muer en un acte intime, et donc résolument solitaire. Un monde de pensées, fragile et dévorant, s'était mis à grandir en son sein abimé. Plus elle le sentait s'accroître, plus elle avait à cœur de le protéger des morsures extérieures. Et même d'Haydar. Pour la première fois, il ne comprenait pas. À moins qu'il n'eût trop bien compris – lui tendant un miroir qu'elle n'avait pas envie de voir.
- Tout ce que tu fais, ça t'aidera pas à comprendre ce qui est arrivé à Mathilde. Ou tout ce qui arrive à toutes ces femmes, partout. La cruauté des gosses et celles des hommes, ça s'explique pas. C'est pas quelque chose que tu puisses intellectualiser, c'est… c'est des réponses que tu cherches au mauvais endroit, des réponses qui n'existent pas. Ce que tu fais a de l'importance, mais il faut que t'arrêtes de te mettre en danger, de te punir en utilisant l'art comme excuse. Ça la ramènera pas, Ilsa.
Ça lui avait fait peur, qu'il voie au travers d'elle aussi clairement. Et, du côté d'Haydar, peut-être que l'énoncer avait été tout aussi effrayant. Il l'avait tout de même prise dans ses bras, cette nuit-là. Ilsa s'était réveillée dans l'étreinte fantôme d'un étrange silence, observée par la lettre en chien de faïence. Elle l'avait lue. Elle l'avait déchirée. Prise de regret, elle s'était acharnée à en recoller les morceaux. Foutu puzzle d'un amour poignardé.
Peut-être que, quelque part, elle avait toujours su qu'il partirait – parce qu'elle savait qu'Haydar était ainsi, un fervent déserteur des lieux auxquels il avait insufflé un peu de vie ; il ne le lui avait jamais caché. Peut-être que, pour le romanesque du geste, Ilsa préférait bel et bien une rupture actée par une simple lettre. Peut-être. Ilsa ne l'avait jamais posée, mais la question lui avait brûlé les lèvres, lorsqu'il lui avait parlé de tous ses voyages, un de ces premiers soirs. Il t'arrive de penser à ceux que tu laisses derrière, quand tu pars ? J'ai enfin la réponse, Haydar.
(( fangs ))
tw : baiser non consenti, blessure.
Un type trop bourré l'avait embrassée à une soirée étudiante ; dans un réflexe mu par le dégoût viscéral que la sensation avait provoqué, Ilsa l'avait mordu. L'adrénaline du geste avait fondu dès qu'elle avait reconnu ce goût métallique, un rien salé, sur le fil de la canine. Alors, dès le lendemain, elle avait hérité d'un surnom parfaitement adapté : fangs. Ca l'avait faite sourire, à Ilsa. C'était mieux que la soeur de la gamine qui s'est suicidée ; et, si être associée à cet enfoiré et à sa bouche baladeuse la dérangeait profondément, elle aimait à ce que l'on sache de quoi elle était capable. Elle aimait l'idée que plus personne ne s'y risquerait. Elle n'avait pas décidé consciemment de s'approprier le sobriquet mais, lorsqu'elle avait emmené Haydar taguer un mur en pleine nuit et qu'il avait fallu signer l'œuvre, c'était Fangs qui était naturellement revenu. Fangs qui ne l'avait plus quittée. Elle s'en fout bien qu'on la voie comme une panthère, une chienne ou un serpent, tant qu'on sait qu'elle a les crocs bien affutés.
(( en vrac )) Elle entretient une fascination un rien morbide à l'égard des reptiles ; seule la conviction qu'ils sont mieux dans la nature que dans un terrarium la retient d'acheter un serpent. ;; Le statut aisé de sa famille est un tabou pour elle, persuadée qu'avoir grandi avec de l'argent délégitimerait son art et sa parole aux yeux du public. ;; Elle a pris la fâcheuse habitude de couper sa frange seule ; avec le temps et une bonne centaine de coups de ciseaux ratés, elle parvient enfin à faire illusion. ;; Utilise, souvent à outrance, le maquillage comme un moyen de camouflage. Elle ne cherche pas à s'embellir, seulement à se rendre méconnaissable. ;; Elle a emmené le piano de Mathilde dans son appartement, et se risque parfois à y jouer, sans trop de talent. Mais les notes délicates donnent l'impression d'avoir sa sœur à côté d'elle, l'espace d'un instant – quoique, parfois, ce soit plutôt le fantôme d'Haydar qui guide ses mains. ;; Peu adepte de possessions matérielles, de ces objets manufacturés que l'on s'arrache ; Ilsa leur préférera toujours l'unicité d'une œuvre d'art ou d'une fleur, fascinée par le tragique cycle de vie de ces dernières. ;; Elle a par contre un faible pour les parfums, qu'elle semble pathologiquement collectionner. Nulle effluve signature, au contraire, elle s'amuse à en changer fréquemment, de peur qu'on ne la traque à l'odeur. ;; Elle reconnaît aussi un grand mérite aux pièces de haute couture, et pourrait s'imaginer une collaboration avec une grande maison. ;; Parce qu'elle se perd souvent dans ses gouffres mentaux, particulièrement lorsqu'elle a une idée derrière la tête, ses journées sont régies d'alarmes, lui rappelant les besoins les plus primaires d'un être humain – qu'elle serait capable d'oublier, sans les sonneries stridentes pour dicter son quotidien. ;; Danseuse invétérée, quelques notes, mêmes pas entraînantes, suffisent à la voir se perdre dans d'approximatives ondulations. Ilsa y trouve la liberté que d'autres pourchassent dans l'alcool – d'autant plus depuis qu'elle s'en est sevrée – et, à ce titre, fréquente quasi quotidiennement la même boîte de nuit. Non qu'il lui faille un lieu particulier, même de la musique de bar lui suffirait à danser.
Dernière édition par Ilsa Decker le Mar 13 Fév - 23:18, édité 16 fois
Invité
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Invité
paper rings
blank space
· Mer 31 Jan - 21:55
rebienvenue avec ce nouveau perso j'aime tout d'ilsa
Invité
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Invité
paper rings
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· Mer 31 Jan - 21:58
OMG ce perso de foliiiiiiiiiiiiie J'aime déjà tellement oh là là j'ai trop hâte de lire la suite
Rebienvenue à la maisooooon
(Et vive l'Alsace )
Theodore Korb
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
âge : vingt-neuf années soufflées aux premières aurores de mai ; le temps qu’il voit filer entre ses doigts crispés, qui délite les cœurs plus qu’il ne les répare.
statut civil : célibataire par intermittence, sans cesse tour à tour propulsé et déçu des amourettes déchues. Quelques passions trop fulgurantes pour être retenues, l’amour comme une religion seulement pratiquée en secret – inclinaison clandestine pour le seul cœur qu'il ne devrait pas convoiter.
occupation : tatoueur — La peau comme prédilection, chair sur laquelle il trace les lignes volubiles que son esprit se plaît à imaginer.
adresse : fortitude valley — colocation fric-frac avec une journaliste bordélique et un cabot survolté.
intervention pnj : Non
pronom perso : il
trigger : injection de drogues, romantisation des relations toxiques, age gap 15+, grooming, agressions sexuelles.
infos rp : • 800-1600+ mots en général, en fonction du type de rp
• dialogues en français uniquement
• troisième personne du singulier
• temps de réponse fluctuant
ça me fume, ce personnage est déjà une fucking masterclass comme d'hab, tes mots sont du miel et se lisent tout seuls bref, je sais pas quand est-ce que tu vas arrêter de nous pondre des 10/10 comme ça (jamais, j'espère en réalité) je suis pas sûre d'être prête pour la suite : je sais très bien que je vais finir en pls à couiner et flemme, mais en même temps on aime tous.tes ça ici il parait
bref Isla est fantastique, en plus d'avoir eu l'audace de choisir Mara en fc (impardonnable et de si bon goût) j'arrête le cirage de pompes, je me pose dans un coin et j'attends le reste avec impatience
Livia Castillo
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
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rps : 49
pseudo : Jamie.
id card : Danna Paola - isharewhereiwant (avatar), fromtheastralsea (bannière profil), Elina (gif profil), mingicodes (code signature), sœurdelune (icons signature), Alicia Gallienne (citation signature).
pronom irl : Elle.
multicomptes : Jules de Sario (Hailee Steinfeld).
à contacter : Ce compte ou Jules de Sario, comme tu préfères
présence : Présente
âge : Vingt-neuf ans, née le 7 mai 1995.
statut civil : Célibataire et pleinement satisfaite de cette situation qui lui permet de papillonner quand elle en a envie. Tomber amoureuse et se faire briser le cœur, elle a assez donné, Livia ; désormais, c'est à son bien-être qu'elle a décidé de penser.
occupation : Animatrice de la libre antenne nocturne de la branche radio d'ABC Brisbane, c'est sa voix qui vous accompagne dans vos insomnies et qui vous offre des conseils pour votre vie sentimentale qu'elle-même n'applique absolument pas de son côté.
adresse : Un loft au numéro 87, en plein cœur du quartier de South Bank & West End. Il est beaucoup trop grand pour une seule personne alors, depuis peu, Kaleb l'a rejoint, bousculant ses habitudes – pour le meilleur.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle.
trigger : Violences animales, psychophobie, violences sur les personnes âgées.
warning : Mentions d'alcool, de tabac et de relations sans engagement, deuil/décès, maladie (cancer), problèmes familiaux.
infos rp : (fréquence) passage sur le forum quotidien, RP minimum une fois toutes les deux semaines. (nombre de mots) entre 500 et 1200, mais je m'adapte. (dialogues) en slategray. (full) mais on peut en discuter si besoin
keith#2#3 and i'm aware that you were lying in the gutter, 'cause i did everything to be there by your side. so what do you wanna do, what's your point-of-view, there's a party soon, do you wanna go ? another way to feel what you didn't want yourself to know, another way to be where you didn't want yourself to go, is that a compromise ?
Re-bienvenue parmi nous avec ce personnage qui promet d'être au top de l'incroyable, comme toujours
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le vol prématuré de l'équilibre
J'ai les yeux plus gros que le ventre, c'est vrai, mais je ne peux tout de même pas rétrécir le paysage aux dimensions de mes faiblesses.
Invité
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Invité
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· Jeu 1 Fév - 16:45
POUSSEZ MOI, EXCUSEZ VOUS! si belle, jlm, bisous bisous que du love
ta plume toujours mieux que des mots d’amour
Jace Jenkins
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
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pseudo : ⋆.˚ ♡
id card : chris evans ✭ @imaginelion (avatar) ༅ @myself (banner) ༅ @myself (crackship profil)
pronom irl : [ she · her ]
multicomptes : alma parrish (s.mitchell) ılı enzo rosales (t. carreira) ılı kai butler (c. deidrick)
à contacter : selon votre préférence
présence : · PRÉSENCE QUOTIDIENNE ·
RP SANS PRESSION
âge : gueule d'ange à l'âme marquée par les souvenirs brutaux d’une enfance chaotique. elle demeure en lui les coups qui lui rappel ses trente-sept années d’un myocarde rompu par la réalité de ses anciennes blessures passé et présent se battent douloureusement dissimulé derrière des faux sourires qu’il a su cacher avec le temps accumulé où à force d’y jouer un rôle, il a parfois le sentiment d’y avoir perdu sa propre identité.
occupation : (( pilote de formule un pour la scuderia ferrari )) ⠇ vitesse sans limite, celle qui lui a permis de retrouver ce goût de liberté. expert d’une vie qui se frôle facilement à faucheuse accroché à lui, mais qui ne semble pas l'atteindre. elle lui permet de toujours repousser ses limites et d'en oublier cette peur avec la seule ambition de se sentir plus vivant que jamais et la facilité de croire que rien ne peut l’arrêter.
adresse : ucey
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : [ he · him ]
trigger : aucun en particulier, mais à en discuter en amont
infos rp : (( nombre de mots )) selon l'inspiration, mais ça varie en moyenne entre 1000 à 2000 faciles ┄ (( réponses )) troisième personne au présent et en français ┄ (( fréquence de rp )) aléatoire selon mon inspiration et l'irl, mais lorsque l'inspiration est présente, en moyenne réponse dans les quinze jours voir trois semaines même si ça m'arrive parfois de répondre plus rapidement ou au contraire de prendre plus de temps.
Ta plume est tellement magique à chaque fois j'en prends pleins les yeux et puis on en parle de ce perso et de ce fc divin ? je suis si fan du perso de tes mots de tout et je peux qu'approuver Strabsbourg re-bienvenue chez toi ma belle
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uc.
Nils Källström
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 39 yo tic tac, tic tac. l'horloge tourne, la quarantaine arrive avec l'impression de ne pas avoir dépassé la trentaine.
statut civil : En Couple il est tombé sous le charme turc que la belle ruth. des années que cette histoire a commencé... maintenant retrouvés, il a bien l'intention de faire en sorte que cette histoire perdure.
occupation : Moniteur en sports extrêmes cinq ans que tu guides les gens dans des aventures folles. l'australie semble être un terrain de jeu parfait. escalade, canyoning, randonnée, plongée, spéléo... saut à l'élastique, en parapente... en parachute...et on en passe. tu réponds à la demande du client.
adresse : 328 Kangaroo Point villa de rêve, colocation folle. (with megan, daniel, alyssa et valentina)
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : Il/He
trigger : à discuter ensemble.
warning : violence - combats illégaux
disponibilités : rps en cours :
- sinead
- barbecue
- ruth #4
- adela
- special k
- (alarik)
ilsa a l'air vraiment super et intéressante rebienvenue chez toi !
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(Starlight) Starlight. I will be chasing the starlight. Until the end of my life I don't know if it's worth it anymore Hold you in my arms I just wanted to hold You in my arms.
Ilsa Decker
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
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pseudo : youngblood.
id card : mara lafontan - soeur de lune (av), eigengrau le s (gif profil), awona (icons sign)
âge : 28 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi. style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc. dialogues : en crimson, français ou anglais.
@Holly Redfield t'es un cœur merci je suis ravie que ce début plaise ! (disclaimer, je connais pas du tout l'alsace, j'ai choisi ça pour coller avec le nom de famille mais je rêve d'aller visiter strasbourg un de ces jours haha)
@Theodore Korb MON MELON ???? je t'avais dit d'y faire gaffe merci bcp chat t'es adorable et venant de toi/tes persos/ta plume ça me va droit au cœur y'a moyen qu'une pls se prépare mais j'en dis pas plus...
âge : 32 printemps fleuris. Le début d'une nouvelle décennie (12/11/91)
statut civil : Célibataire et elle en est ravie. Noomi est libre comme l'air, légère comme un papillon, elle virevolte et se laisse porter au gré du vent. Personne n'est encore parvenu à l'apprivoiser très longtemps.
occupation : Prof de yoga la plupart du temps, elle travaille également en tant que vendeuse dans une boutique de bien-être à mi-temps. Sa jolie voix commence à lui ouvrir des portes et la musique tend à prendre de plus en plus de place dans sa vie.
adresse : Un Appartement en colocation avec Jin, son frère de coeur, Joy, leur petite protégée à quatre pattes et sa collection de peluches sur South Bank & West End
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : Viol, inceste
warning : Alcool, drogue
infos rp : * Minimum 400-500 mots mais ça peut vite monter, je m'adapte
* Dialogues en #DE7A6E
Je ne connaissais pas Mara mais elle est trop jolie Re bienvenue à toi
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(Take my hand) And we can go walking. And we can talk about whatever is on your mind. Be my friend, but secretly like me. I wanna catch you staring and make you go all red.
Je suis un peu plus du sud de l'Alsace, mais Strasbourg est une ville vraiment magnifique, j'espère que tu pourras y aller un jour Et si t'as envie de voir un peu la région, y'a énormément de belles choses (Pardon, je prêche un peu pour ma paroisse )
Leo O'Toole
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
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pseudo : same.
id card : cowen.(endlesslove)
pronom irl : she.
multicomptes : sam (gillepsie), stevie (mitchell), dexter (barnes), hunter (butler), noe (guerrero), zeke (allan white), renfield (poulter), bart (tømmeraas) & fred (claflin).
à contacter : tout dépend de la demande, un peu tous.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
âge : princesse qui a entamé son quart de siècle sans aucun soucis, philosophie, hakuna matata
statut civil : elle tente de tourner la page, actuellement en couple avec un homme qui n'est pas lui.
occupation : elle vit de sa passion, la musique rythme sa vie depuis un moment. ingénieuse son au brisbane powerhouse.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : she.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #ff6633.
I know it's ugly turning on the news. There's people fighting over point of view. Sometimes it's like there's nothing left to lose. And I don't know what to do. But I know it's better with you
"il avait les mots, m'a rendu accroc" ouais j'te sors du sheryfa luna (j'ai honte, mais c'est c'que je ressens) bon. j'adore. je m'attendais à autre chose, mais cette déesse est de toute beauté. je veux en savoir plus sur le lâche à la lettre. bon, par contre ça va plus du tout, dans ta playlist, je ne connais que deux chansons je me fais vieille.
Spoiler:
bon (bis) tu commences à augmenter le nombre (re) bienvenue pôtit chat
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(All I know it's simple ain't it? Everything has changed) And all I feel in my stomach is butterflies. The beautiful kind, making up the lost time, Taking flight, making me feel right (...) And your eyes look like coming home.
Arlo Mansfield
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ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
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pseudo : winter solstice.
id card : madelyn cline / pretty nympheas@av, alcara@bannière, patrocle@icons, billy idol@lyrics.
elle est làààààà. j'espère que la place de bff est toujours dispoooo. quoi qu'il en soit, ilsa et arlo méritent une belle amitié rien que pour l'art en commun et arlo sera sera sa plus grande fan. en tout cas, mara te va trop bien.
rebienvenue.
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(eyes without a face) I spent so much time believing all the lies to keep the dream alive, now it makes me sad, it makes me mad at truth for loving what was you.
Stella Rosales
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : Vingt-sept ans. À peine le quart de siècle dépassé et pourtant la sensation parfois d'avoir fait le tour de sa vie. Les filles de son âge n'ont pas autant à gérer.
statut civil : Célibataire. Cœur en lambeaux erre dans un vide écrasant laissé par sa rupture avec Eli. Les souvenirs se bousculent, les regrets se mêlent et la douleur est encore trop vive.
occupation : Infirmière sauve des vies plutôt que la sienne.
adresse : New Home (#22,South Bank & West End District) un rêve devenu réalité, l'appartement est magnifique, elle n'aurait pas pu espérer mieux.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : séparation
infos rp : Écriture : 2ème personne Longueur : ~ 600/800 mots Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.
a un fils de 5 ans du nom de Billie ; fan des films Disney ; fantasme sur George Clooney ; boit trop de coca ; mange trop de pizzas ; claustrophobe ; maniaque à en devenir parfois malade ; dépensière à outrance ; s'habille un peu trop coloré ; un chouia trop bavarde ; solaire ; dort encore avec des peluches ; a fait du violon pendant des années ; joue de la guitare également ; s'est inscrite aux auditions pour la saison prochaine de The X Factor ; espère un jour percer comme chanteuse ; passe trop de temps sur tiktok ; rêve d'avoir un cheval; écrit des poèmes ; réussis deux recettes : les gratins de pâtes et les croque-monsieur; s'auto-surnomme aimant à connard
Oh mais ce perso qui se dessine!!!! , j'aime trop ce que je lis, ilsa est beaucoup trop mimi. Puis le choix d'avatar, on adore! Bienvenue chez toi, tu connais la maison.
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EVERY MISTAKE TURNS TO MOMENTS
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Invité
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· Ven 2 Fév - 22:18
Citation :
mot de la fin : ça fait beaucoup là non ?
mais je suis d'accord, ça fait beaucoup trop de merveilles pour un seul perso là Entre toutes ces idées trop chouettes et ta plume dont je me lasserai jamais, j'ai dévoré ce début de fiche d'une traite hjitrdgùhosr Trop hâte de connaître la suite de l'histoire de ton incroyable Isla (j'adore le pseudo au passage !)
Invité
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· Sam 3 Fév - 16:40
ihaoisfhasf mais comme je suis déjà en amour avec ce personnage tu as une plume sublime, si douce et crue à la fois, j'adore comment tu exposes la vulnérabilité, on sent les blessures saignantes, mais ça la rend juste plus forte ? bref, j'adore te lire, et déjà je suis tellement tellement reconnaissante que tu prennes mon pl, vraiment, je pourrais pas te dire à quel point j'ai sauté de joie en voyant ton mp !!!! j'ai hâte de lire la suite, ilsa est magnifique, & je dois noter quelques chansons dans ma playlist là rebienvenue
Kaleb Fujii
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pseudo : valkyries (éléonore)
id card : conan gray (moonaetics, vocivus, doom days)
occupation : fils de deux universitaires, tu as poursuivi des études en sociologie. grâce à un ami de ton père, t'as réussi à trouver un travail comme assistant producteur d'un journaliste à la abc brisbane. tu déniches des sujets, des contacts à interviewer, écris des rapports journalistiques. à côté, tu as lancé une émission de podcast "child of" qui parle de race, d'immigration et de témoignages personnels.
adresse : 87 south bank & west end w/ livia
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : racisme
infos rp : réponses courtes, autour de 500 mots. / dialogues en français. / écriture à la 2ème personne du singulier. / code dialogue : cc3333. / présente en fin de journée et le week-end.
mon dieu ce début est déjà si divin à lire, ilsa est si intéressante et nuancée, j'adore (et étant strasbourgeoise, absolument fan de ce choix de ville de naissance ) très hâte de lire la suite et rebienvenue ici
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how i'm overthinking everything i never said
Ilsa Decker
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id card : mara lafontan - soeur de lune (av), eigengrau le s (gif profil), awona (icons sign)
âge : 28 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
occupation : artiste plasticienne – pour simplifier une œuvre plus éclectique. les performances comme premier amour, du scandale pour l'implanter dans l'impitoyable marché de l'art : elle s'est assagie, depuis, mais sa côte reste au sommet. chaque création se revendique d'un discours féministe engagé, d'une dénonciation. mine d'inspiration malheureusement sans fond.
adresse : un loft vaste et lumineux au 108 sb&we, parfois trop grand, parfois trop étouffant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : tout ce qui touche de près ou de loin à l'inceste ou la pédophilie // les descriptions de viol, agression sexuelle, violence conjugale // la romantisation de relations avec gros écart d'âge.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi. style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc. dialogues : en crimson, français ou anglais.
@Leo O'Toole nooooo pas sheryfa luna, pitié haha tu penses bien que j'avais prévu autre chose aussi mais quand ça veut pas.. contente qu'elle te plaise malgré tout, merci ma chaaa (moi aussi je veux en savoir plus sur le lâche, mais j'ai une flemme monstre, jpp )
@Arlo Mansfield la place de bff est prise... par arlo bien sûr (alerte, humour de daron) merci beaucouuup et hâte de développer notre lien
@Harry Miller MERCI j'attendais que ce gif, ça embellit clairement ce sujet mais waw merci beaucoup pour tes mots c'est si gentil j'espère que la suite te plaira aussi !
@Celine Jung merci pour tes jolis mots et de me faire confiance pour ce pl ça m'a donné une inspiration folle et j'ai hâte que ça se traduise en jeu ! et j'espère que mes goûts musicaux te plairont haha mille mercis vraiment
@Kaleb Fujii t'es pas la seule du coin visiblement, faut monter un club merci beaucoup d'être passée par ici et pour ce gentil message, ça me fait très plaisir
Invité
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Invité
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· Dim 4 Fév - 19:43
mes vdd ont déjà tout dit ce personnage promet tellement, j'aime toujours autant ta plume et j'ai hâte d'en apprendre davantage sur Ilsa et puis Mara est un excellent choix rebienvenue chez-toi
Eryn Grayson
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rps : 1
pseudo : wildflower.
id card : jennifer morrison, (c) tearsflight.
pronom irl : elle.
multicomptes : flora, nora, cami & aleyna.
à contacter : le personnage concerné.
âge : 40 ans. (14.04.1984)
statut civil : l’instabilité amoureuse, cette manie d'auto-saboter son bonheur, elle ne sait pas être fidèle la blonde. elle n’est tombée amoureuse qu’une seule fois dans sa vie, ayant facilement l’étiquette de la célibataire endurcie, son cœur qui s’est fait une carapace avec le temps. des relations sans attache, ce qui ne l’a pas empêché de se retrouver en couple, amoureuse avec la bague au doigt, même si elle sait que ce n'est pas l'amour de sa vie. un mariage qui bat de l’aile depuis les déceptions qui s’accumulent et le deuil sur cette vie de famille qu'elle n'aura jamais. en vérité, elle est toujours mariée à ce fantôme, son mari plongé dans le coma alors qu’elle est toujours secrètement amoureuse d'un autre, son premier amour qui hante encore ses pensées.
occupation : destinée à devenir policière, elle a toujours voulu protéger les gens qu’elle aime, peut-être à force d'avoir vu de la violence à répétition qui a marqué son enfance et malgré son talent, elle n'avait pas cette vocation la blonde. elle s'est vite impliquée dans la gestion hôtelière familiale, elle a pourtant tracé son chemin pour bâtir sa carrière. Écologiste dans l’âme, sensible à la biodiversité ainsi qu'à l'avenir de la faune et de la flore. elle est fleuriste et propriétaire des boutiques de fleurs, blooming blossoms qu’elle a créé depuis une quinzaine d'années et à côté, elle est organisatrice d’événements. le monde de l'horticulture, du tourisme et de l’événementiel qui la passionne et qu’elle manie d'une main de maître.
adresse : un appartement dans le quartier culturel et bohème, #531, un immeuble dont elle est la co-propriétaire avec son meilleur ami depuis plus de seize ans et où elle s’est installée au rez-de-chaussée. une vue sur la rue qui attire les visiteurs alors qu’elle entretien une serre ainsi que sa boutique de fleurs qui émane d’un doux parfum l’immeuble et qui en met plein la vue.
Mara est trop jolie. (re)bienvenue par ici, trop fan de ta plume.
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☽☽ This is only begun. I, I do not know if I could just grow into love with you. If you could grow too. I have to get out of this place but instead I'm at peace with staying. Oh we both come and go as we please. Well I guess that's the game that we're playing.
Invité
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· Mar 6 Fév - 19:47
attention, ta fiche est en danger
Cela fait à présent 5 jours que tu as commencé ta fiche, ton délai prend donc fin, de même que ta réservation d'avatar. Cela signifie que si quelqu'un s'inscrit et poste une fiche, avec ton avatar, il lui sera réservé.
Tu as donc deux jours pour nous donner des nouvelles (demander un délai, signaler un changement ou une fiche terminée), ou bien nous serons dans l'obligation de te supprimer. N'hésite pas si tu as des questions, nous y répondrons aussi vite que possible.
Ilsa Decker
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id card : mara lafontan - soeur de lune (av), eigengrau le s (gif profil), awona (icons sign)
âge : 28 ans passés à une vitesse folle, à douter parfois d'y avoir réellement assisté.
statut civil : célibataire, convaincue du bien-fondé de sa solitude ; lassée de laisser chaque nouvelle relation la faner, d'observer les objets de ses désirs s'éprendre d'elle et s'en éreinter.
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infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi. style rp : j'écris en elle ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc. dialogues : en crimson, français ou anglais.
-- that's when you found me, I was waiting in the garden. contemplating, beg your pardon. but there's a part of me that recognizes you, do you feel it too?
Arlo Mansfield
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id card : madelyn cline / pretty nympheas@av, alcara@bannière, patrocle@icons, billy idol@lyrics.
hello @Ilsa Decker, pardon pour le temps, je n'étais pas très dispo cette semaine - je note directement le délai jusqu'au 11 inclus du coup.
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(eyes without a face) I spent so much time believing all the lies to keep the dream alive, now it makes me sad, it makes me mad at truth for loving what was you.
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· Dim 11 Fév - 3:00
ta fiche était absolument divine, mais quel magnifique personnage j'ai eu le coeur tout serré tout du long, j'espère tellement qu'elle trouvera la paix — mais son art est d'une réelle beauté!! merci de donner une si belle vie à ce pl, vraiment, je n'aurais pas pu rêver mieux, trop trop hâte de pouvoir rp avec toi tout est bon pour moi du coup