(( TW ))  ptsd/trauma, violences conjugales, maltraitance infantile, suicide, homicide conjugal, alcool, accident de voiture, anti-douleur/drogues, dépression mise sous silence.

âge & naissance : Premier cri poussé dans la chaleur étouffante de la ville de celle qu'on surnomme depuis toujours la ville qui ne dors jamais. 0 6   o c t o b r e  1 9 8 8. Une date que la mère qu'elle fut une seconde fois en ce jour-là ne pourra jamais oublier. Second enfant arrivé bien plutôt que prévu face à une grossesse bien plus difficile que la précédente comme si elle y avait vu le signe d'y mettre fin sans pour autant y avoir le courage. Elle se souvient encore de cette douleur dans son bas ventre et de cet hurlement de douleur qui l'a amené dans cette clinique pas loin de chez eux. Regard figé et qui se décompose dans le vide. Le myocarde au bout de l’agonie et qui pourtant bat à toute allure tandis que la peur s’empare d’elle laissant l’angoisse de la nuit bien trop agitée prendre le dessus sur tout le reste. Elle se souvient encore de ses mains qui serrent les draps dans lesquels elle n’était plus capable d’y rester où la douleur se fait sentir plus intensivement. Elle a l’impression que tout en elle va se briser avant d’entendre la voix de ce médecin lui dire qu’il était temps tandis que son visage laisse la peur et l’épuisement l’envoyer presque dans le néant qui l’entourait. Si elle se refuserait à s’exécuter, elle est incapable de se retenir lorsqu’elle sent les premières contractions qui lui bloquent toutes les pensées. Elle a le simple réflexe de pousser si fort qu’elle ne manquerait pas de perdre l’oxygène qui lui semble sacrément difficile. Si le soulagement se fait sentir, lorsqu’elle serre ce petit être venu bien trop tôt dans un monde qui lui était inconnu. Ses pleurs sont mélangés d'amour et de peur qui l'enivre à chaque instant qui atteignent très vite le visage de la nouvelle mère rempli d’un amour infini pour ce nouvel être venu dans sa vie autant que le sentiment coupable qui l’anime quand elle songe à la dure réalité qui l’attend. Des excuses qu’elle murmure au creux de son oreille. Un jour, peut-être, qu’il lui pardonnera de cette famille damnée pour l'éternité ou son enfance funeste est malgré lui déjà tout tracé. T r e n t e  -   s i x     a n n é e s    é c l o s e s martelées devant une enfance illusoire pour laisser place à la douleur d'un souvenir passé sous silence, mais ancré dans ses entrailles et loin d'être effacé. Traits tirés bafoués par les astres qui le renvoient à un présent décimé par les années et par les cicatrices porté sur sa peau musclé qu'il barricade à double tour refusant de laisser couler le flot émotionnel du passé sur cette vie qu'il s'est construite.Toile de mensonges où s'entremêlent les faux sourires dont il excelle tel un musicien face à son art. Sans difficulté et depuis son arrivé dans le monde, il est devenu un vrai prodigue du mensonge et des fausses apparences sans nul doute inscrit dans ses gênes. Si les épreuves de la vie sont marquées très facilement sur les traits de son visage parfait et la maturité dont l'homme qu'il est devenu aujourd'hui devrait s'entrevoir. Il n'en est rien. Désabusée d'une enfance et adolescence qu'il n'a pas choisie. Il l'admet sans difficulté que si les années passent. Il s'octroie le privilège de profiter de ce qu'il n'a pas pu avoir. À des années-lumière de l'adulte que l'on peut imaginer. Il est loin d'être l'homme prêt à se poser et encore moins à songer à avoir une famille. Cette idée le paralyse littéralement par la peur qui l'enivre lorsqu'il songe à ce passé dont il est incapable de se défaire. Gamin dans un corps d'adulte se laissant à présent vivre le jour au jour laissant les répercussions loin derrière lui. Des mots qu'il essaye de se répéter encore et encore convaincu qu'à un moment ceux-ci finiront par devenir réel dans son esprit enchevêtrer entre lumière et ombre qui lui colle à la peau. origines & nationalité : (a m é r i c a i n · brownsville, brooklyn) l'Amérique terre de liberté où il a vécu ces premiers instants. Image innocente qui s'est dissipée au fil des années face à la réalité d'une vie chaotique d'un quartier qui se meurt depuis des années où l'image de la violence et du sang sur les murs sont l'illustration parfaite de cet endroit qu'il n'est plus à décrire. Berceau brûlant d'un gosse qui suffoque rêvant sans l'avouer de quitter ce goût de vice où l'enfer semblait avoir trouvé destination sur terre. Drogue, meurtre, prostitution où l'enfant qu'il fut durant un laps de temps disparu sous l'odeur macabre qu'il a vite découvert par la main d'un homme qui lui a véridiquement fait comprendre que les monstres existaient bel et bien dans cet univers. Il a vite appris que pour se sortir de là une seule chose qu'il devait retenir. "Soit tu marches, soit tu crèves". Des mots qui résonnent toujours en lui. Lumière qui s'assombrit devant cette illusion d'espoir qui s'estompe pour faire place à une réalité dure et sans faille d'une destinée non désiré et pourtant bel et bien à sa portée avec un seul choix qui s'offre à lui. Se consumer en silence avec l'espoir toujours présent d'une vie bien meilleur, d'une liberté interdite et dont il se refusait à laisser s'évader dans les fins fonds de l'obscurité qui s'accroît de jour en jour avec l'unique pensée qu'un jour ou l'autre, il aura le courage et la force nécessaire pour quitter cette ville maudite. Ce pays appelé aussi rêve américain disait-on ? Une bien belle foutaise ! Destinée par les vestiges d’un héritage inconnu. Sang qui se mêle à celui d’une existence de décadence. Arrières grands-parents maternels immigrés sur les terres de libertés à l’affût de trésors et richesses ou coulent dans leur veine comme dans les siennes la descendance a n g l a i s e s,  i r l a n d a i s e s   é c o s s a i s e s  e t  g a l l o i s e s tandis que derrière le mal de son géniteur, l’adn de plusieurs générations d’origines a l l e m a n d e s  e t  i t a l i e n n e s ancré en lui qu’il le veuille ou non. finances et emploi : $$$$$$, poudre euphorisante, corps qui vacille aux coins des rues. Les mélodies et la décadence de succomber dans le vice l'héritage du paternel laissé où succomber à entrer dans l'antre du diable aurait sans doute était plus facile. Faiblesse accumulée au fil des années et du temps. Au bout des doigts, la tentation le frôle, il aurait été plus simple qu'il accepte ce destin qu'on lui tend à bras ouvert depuis son arrivé dans ce monde. Odeur des billets verts et de la poudre à quelques pas de lui, vie de facilité pour celui qui a appris de tous les stratèges, l'art de dissimuler, du mensonge inné coule dans ses veines surdouées par l'innocence de ses sourires pour dévorer ses adversaires. Une vie presque tout tracé où il aurait pu se laisser consumer par ce destin avant de décider d'y changer les règles. Carte en main, liberté qu'il découvre à une majorité tant désirée pour s'envoler vers un nouvel horizon où l'adrénaline est seule passion qui coule dans ses veines. Se dépasser pour choisir son propre destin refusant que son paternel ou qui que ce soit puisse avoir le contrôle de son avenir. Au seuil de la pauvreté qu'il a connu le faux ange se transforme avec cette volonté viscérale de repousser ses limites. Écumant les petits boulots de  b a r m a n où chaque jour, il avance la rage au ventre avant que celle-ci lui offre la clé d'un succès tant désiré, mais jamais avoué avant que celui-ci vint à sa portée. Rêve inavoué quand la vitesse devient son essence vitale. Celle qui l'a sauvée de sa propre déchéance. Moteur qui tourne, main sur le volant et ce besoin viscéral de transcender. toute les limites qui ne semblent plus exister. Drogue qu'il accepte avec volontiers sans qu'il puisse pouvoir ou même vouloir la quitter avec la volonté féroce de se dépasser comme si enfin, il pouvait goûter à ce qu'il a toujours espéré sans jamais l'avouer par peur que celle-ci puisse disparaître et qu'il se réveille découvrant l'illusion que rien n'est réel. Bonheur qui serait à sa portée avec le monde à ses pieds, revanche d'une vie après les coups qui l'ont mis bien trop à terre pour devenir ce qu'il a toujours espéré sans penser un jour pouvoir réaliser ce véritable désir. P i l o t e   d e   c o u r s e, esprit rebelle qui se laisse aller à l'adrénaline comme si dans cet instant tout lui était possible. Ni peur, ni pensée, ni règle où la seule chose à laquelle il doit songer, c'est de foncer droit devant lui. À ce moment-là, il le sait, vivre prend tout son sens. Vivant le jour comme la nuit où l'argent coule à flots. Richesse entre ses mains le basculant dans un monde de cage dorée où son passé effacé face à une identité créée parce qu'il le sait pertinemment. L'image est importante dans un monde superficiel où sourire est de rigueur. Si les finances ne sont plus un souci pour lui. Il n'en est pas moins dépensier. Vie rêvée où l'argent coule à flot loin d'oublier son passé assez pour avoir la détermination d'aller au bout de ce projet quand il a décidé d'ouvrir il y a deux ans cette association qu'il a dédiée à la mémoire de sa sœur aînée. H O P E pour les femmes victimes de violences domestiques et également devant la maltraitance infantiles où il donne également des cours de s e l f   d e f e n s e qui lui tient particulièrement à coeur. statut civil : enfance bousillée, myocarde détruit et poignardé au point qu'il en est bien conscient qu'il est incapable d'aimer. Assiéger par ces phrases répétées si souvent qu'il a fini par se laisser convaincre lui-même sans songer une seule seconde que le contraire puisse lui être possible. Plaies toujours autant ouvertes où il accepte sans la moindre difficulté l'apparence d'être un homme froid, distant et prétentieux. Identité qu'il s'est construite pour se perdre dans les fossés de sa propre tromperie écrasé au sol par la douleur colossale dont il est incapable de se défaire malgré les années redoublant d'efforts pour se répéter encore et encore le contraire. Visage souvent fermé et charme ravageur. C é l i b a t a i r e qui demeure depuis la nuit des temps. Il se délecte de l'ivresse éphémère des courbes qui rôde autour de lui, une mascarade divertissante qui semble lui suffire. Fuite en avant lorsqu'on songe à s'approcher bien trop près de lui et de ce cœur défaillant. Refusant d'admettre les blessures qui l'entourent par la trouille qu'un jour, il ne puisse pas se relever. Comédie qu'il joue d'une assurance absolue oubliant le lointain souvenir du jeune homme qu'il fut autrefois et qui a frôlé pendant un instant les quelques battements de son palpitant explosé par cette nuit d'ivresse auprès d'elle, celle dont il se refuse à prononcer le prénom par peur que la réalité lui éclate au visage.  Cette brune qui durant un temps défini à fait naître ce sentiment inconnu et si fort qui fut à la portée de ses mains. Haine passionnelle qu'ils se vouent depuis toujours où à présent elle est devenue un simple fantôme du passé et d'une utopie inexistante. Il aurait pu y songer avant de fuir lorsque la réalité et de ses mots lui sont apparus comme une gifle en pleine figure. Souvenirs lointains devenus poussières. Une plaie demeurant sous silence, mais bel et bien toujours présente tandis que son esprit affirmera avec conviction de la suture faites depuis longtemps au point qu'il s'est construit des barrières infranchissables. Sans admettre loin de tout, qu'une partie de lui demeure la volonté qu'un jour quelqu'un puisse le sortir de cette léthargie présente depuis bien trop longtemps et faire naître en lui l'étincelle inexistante face aux cendres d'un coeur piétiné. orientation sexuelle : ces yeux ont toujours pétillé pour les belles courbes féminines autant que masculines qui se sont glissées devant et auprès de lui. frissons qui l’envahissent face au doux parfum féminin qui vient l’effleurer. b i s e x u e l qu’il a toujours été et assumé surtout adolescent qu'il été. Il se délecte avec délectation de la gent féminine que masculine qui le temps d’une nuit ou de quelques heures sait comment réchauffer et réanimer son palpitant meurtri et profané par les blessures silencieuses et assourdissant d’un passé toujours aussi présent et douloureux. situation familiale : On ne choisit pas sa famille, phrase type qui porte tout son sens face à l'arbre généalogique aussi pourri des racines jusqu'à chaque extrémité de ses branches. À chacun, il répète être orphelin parce que c'est plus facile que la réalité d'une vie rempli de douleur, d'une enfance inexistante laissé par les cicatrices encore présent sur un corps meurtri. R H O D E S, un nom qu'il porte toujours malgré lui le ramenant à chaque instant à ces images et ce passé le nom porté malgré qui lui reviennent en tête. Balayées du mieux qu'il peut en vain sans trouver la possibilité tant espérée les effacer. Parce qu'il le sait, il aura beau la fuir aussi loin que possible, un jour ou l'autre le passé fini toujours par nous rattraper. E l i a s   R h o d e s, géniteur dont les cicatrices demeurent toujours présente plaie loin d'être fermer qu'il le dirait comme pour lui rappeler sa présence bien que celui-ci croupisse en prison et qu'il refuse de voir où la seule fois qu'il viendra lui rendre visite. Ce sera l'instant tant attendu où il lui offrira son dernier souffle et de cette véritable liberté souhaitée. Dans l'équation s'ajoute L i l i a n e   R h o d e s, Lily qui apparaît douce comme l'innocence pure que reflète son regard. Fragilité d'une femme soumise et aveuglée par l'amour d'un bourreau manipulateur. La peur de se retrouver seul face à la dépendance que lui offre son cher mari jusqu'à préférée briser le cœur enfantin de ces deux innocentes qu'elle a voulu à leur naissance protéger. Une seule fois avant de croire qu'il pourrait changer derrière des excuses mensongères qu'elle a pardonnées avant que le dernier coup ne lui soit fatal et que dans un murmure avant de rendre son dernier souffle elle tente le pardon que Jace a été incapable de lui offrir. Colère qui l'anime où il se refuse à lui offrir ce qu'elle n'a jamais pu faire. Vivre une vie normale sans cette culpabilité qui le ronge de l'intérieur. Culpabilité qui porte encore et toujours le nom de sa sœur aînée. H o p e     R h o d e s, espoir dont elle portait bien le nom et dont il a cru naïvement. Elle était personne la plus précieuse dans son univers chaotique. Se protégeant l'un à l'autre face à la promesse de toujours être présent dans les tourments. Coups pris pour elle au point de briser cette promesse pour retrouver la liberté facile, mais retrouvée. Suicide, le mot qu'il a entendu longtemps. Bien trop où les images demeurent qu'il a connu quelques années où il se refuse à se pardonner parce qu'il sait qu'elle à choisi de perdre la vie à cause de lui, de leur paternel bien trop présent dans son esprit prête à la détruire jusqu'à ne plus le supporter. Sauveur dont il la surnommait pour voir finalement, qu'il l'a laissé tomber entre colère et désarroi. C'est une blessure dont il se refuse à cicatriser. signe astrologique : t a u r e a u. Signe parmi tant d'autres pour l'homme qu'il n'a jamais éprouvé le moindre intérêt pour ce genre de chose, mais futilement et parce qu'il ne le dira jamais à haute voix, il demeure comme tout être, un homme curieux. Il admettra sans nul doute et comme pour tout ceux qui peuvent posséder ce signe bien distinctif qu'il est sans nul doute le genre à aimer profiter des plaisirs simples de la vie davantage quand il n'a pas pu le faire durant sa plus tendre enfance. D'une certaine manière, il rattrape ce temps qu'on lui a volé. Borné selon les dires de ce signe, il est certainement né dans le bon mois quand on sait à quel point, il est têtu et borné au point qu'il est incapable de se sortir une idée en tête. le pire tue-l'amour : Loin de ce que l'on pourrait croire, il déteste les femmes refaites de partout, le manque de naturel et de conversation sont un vrai tue-l'amour pour lui autant qu'il n'a jamais compris ceux et celle qui gardait leur chaussette pendant l'acte. Ça a le don de le bloquer et de le faire fuir. On ne parle pas des insultes durant le sexe. Il a beau être un véritable dragueur, les insultes ont le don de le faire fuir par ce qu'il a vécu et surtout parce qu'il n'a jamais compris en quoi cela pouvait être excitant voir sexy d'insulter et de se faire insulter. Très peu pour lui.  un fantasme : Curiosité qui éveille les sens. Esprit qui demeure face à la réflexion suivant à quelle apparence de l'homme qu'il est en donnera la réponse. Si l'on demande à celui que tous semblent connaître. Cet homme d'une assurance sans égal à la frénésie d'une vie bénit des cieux et d'offrir ces sourires ravageurs face aux caméras prêtes à le mitrailler avec la réponse basique qui collerait à l'image donnée. Son ultime fantasme est celui qu'il n'a pas encore découvert et puisse le surprendre. Il n'en dira jamais davantage. Laissant planer le doute, les idées de chaque personne se portant au jeu tandis que lui derrière la part de mystère qui subsiste où ce fantasme est enfoui égoïstement. Incapable de l'admettre par choix ou à lui-même. Réponse qui colle à son image tandis que dans sa réalité, la vraie réponse d'un jeune homme inexistant survivant à l'âme déchirée en deux rêverait d'un simple fantasme inavouable et surprenant : vivre et être comme tout le monde. Un fantasme bien trop triste que personne au fond n'a envie d'entendre et qui demeure la seule qui prend tout son sens. à Brisbane depuis : "Délivrance" pour une terre inconnue, mots qui résonnent encore dans ses tympans devant l'étrangère aux faux sourire. Pitié d'une femme qu'il a pu lire bien trop souvent dans son regard pour préserver ce qu'il n'est pas. Un innocent qui a q u a t o r z e    a n s a vu sa vie calciner de douleur avant de s'être transformé par la mort autour de lui. Faucheuse qui refuse de l'emmener dans cette autre vie et fait de lui le miraculé d'en être l'unique rescapé et devenir ce tout nouveau statut. Orphelin. Mutisme d'un traumatisme qui a demeuré un temps où pendant un instant ses pensées de cette inconnue lui ont fait croire à la fin d'une vie parsemée de souffrance. Marquée par les quelques cicatrices qui rôdent sur son corps. Fabulation d'y avoir cru. Naïf d'avoir songé à un nouveau départ, qu'un nouveau pays aurait pu irrémédiablement tout changer. Famille inconnue aux allures d'un couple de perfection où la muraille de protection s'est vite entourée de lui où il est passé d'un bourreau à un autre. traits de caractère : (torturé :: loyal :: têtu :: méfiant :: protecteur :: courageux :: brutal :: impulsif  :: généreux :: sarcastique :: fidèle en amitié :: colérique :: joueur :: observateur :: autodestructeur :: charismatique :: provocateur (surtout avec lya) :: sûr de lui (en apparence) :: malin... ) —  débris d'un gamin é g a r é et  b r i s é qui s'est toujours caché derrière cette barrière de protection refusant que malgré les os fracassés qu'on puisse le détruire littéralement. Devant les lumières, sourire qui s'anime sur son visage. A p p a r e n c e   t r o m p e u s e qu'il a appris à contrôler par la phrase que tout le monde souhaite entendre pour ne jamais vraiment en demander davantage : "je vais bien" qui n'a jamais laissé transparaître à qui que ce soit ou presque le mensonge dont il finit par se laisser convaincre lui-même. Plongeant tête la première dans un déni d'une réalité où il parfois la sensation de perdre. Entre vie réelle passé sous silence contrôler et consumé par les flammes et celle qu'il a dû se créer pour cette vie dorée. Une chimère plus facile à vivre selon ses dires où il est incapable de songer à ce qui se passerait si la bulle factice qu'on lui à inventé venait à se fissurer. Malgré qu'il tente à le prouver face à la g u e u l e   d ' a n g e qui parfaire l'apparence et dissimule les blessures du passé qui le hantent, les épreuves qui ne cessent de lui revenir en tête encore et encore dont il est incapable de révéler laissant apparaitre l'image d'un homme viscéralement sûr de lui voir b r u t a l dans les quelques paroles qu'il peut parfois énoncés refusant le plus souvent de montrer son véritable visage où faiblesse est un mot qu'il s'interdit à nouveau de vivre. avatar : chris evans (allemand, anglais, irlandais, galloise et italien).

---

romantisme (40%)	level de drague (75%)
engagement (10%)	passion (85%)
performance au lit (99%)	fidélité (40%)
nombre de cœurs brisés (70%)	recherche de l'amour (5%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ?
Des promesses d'un "je t'aime", des serments avertis par des paroles aussi douces que le miel sur leur lèvres des deux protagonistes rêvant de se lier l'un à l'autre faire q'un. Corps de braises, des baisers vers une agonie sans limite où l'existence d'une fin n'existe pas en promettant monts et merveilles alors qu'il n'en est rien. Mensonges qui éclatent. Serment d'illusions qui n'existe que dans l'imagination d'une sécurité loin d'un désir qu'il partage. Vérité inventée par un besoin constant et persistant que dans l'univers quelque chose de plus puissants existe et nous permet de survivre. Un besoin persistant et apparent que pour vivre le bonheur éternel, il faut être deux. Ah ! le grand amour, celui sans limite où gravir les montagnes semblent d'une facilité sans faille. Foutaise d'un cœur qui dégueule lorsqu'il songe à ça : au "grand amour", mot pathétique inconnu au bataillon où demeure malgré lui et tous ses dires la curiosité qui lui fait défaut et la désolation de vouloir s'accrocher à cette curiosité de cette pensée dans son esprit jusqu'au déni qu'il refoule tant bien que mal. Et s'il finissait par un jour le découvrir ? L'idée lui donnerait la nausée tandis que derrière cette prouesse de mots acerbes. Il reste silencieux, regard trahi à vouloir y croire. À l'intensité d'un sentiment si destructeur qui lui donnerait peut-être la sensation d'enfin vivre et faire disparaitre les méandres d'une vie consumée par la souffrance. Accepter enfin de se laisser porter par l'espoir que cette silhouette inconnue non dévoilée dans les flammes brûlantes d'un désir sans limite, lui offrant cette passion pour qui pourrait en devenir destructeur. Imagination qui l'abime dans ses battements devant cette espérance inexistante.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Esprit fané dans l'air du temps, euphorie qui s'élève loin de l'agonie pour goûter à ce fruit défendu au bord de ses lèvres. Regards qui se croisent laissant naître en chacun cette tempête dévastatrice. La Raison qui s'égare devant la séparation impossible. Mots qui s'enivrent dans un murmure enivré par leur myocarde effréné des quelques battements vertigineux où la symphonie de leur corps échauffé s'entremêlant dans un accord parfait qui s'enlace dans le déni du secret d'une romance éphémère et d'une complicité inavouable. Nuit interdite où les astres se sont alignés pour laisser leur sueur échouée sur le drapé blanc où la passion dévorante remonte à la surface lorsque l'aube refait son apparition reprenant leur rôle respectif et du mépris révolue à se briser. Prisonnier de ce déni et des mots qui fusent. Regard sombre de deux cœurs abîmés aveuglés par l'immaturité et la peur de l'attachement incapable d'assumer la réalité. Sentiments réels étouffés dans les cris des regrets et des mots prononcés. Blessures secrètes et inavouables anesthésiées par la rancœur et l'amertume qu'elle a pu déclencher en lui. Damné dans ce rôle et comédie qui leur colle à la peau. Coeur en vrac, âme retournée. Amelya, prénom étouffé dans la colère de ces mots prononcés qui demeure ancré au plus profond de lui. Incapable d'admettre que pendant l'espace d'une nuit, elle a eu un impact sur sa vie. Blessure aujourd'hui mise sous silence, mais bel et bien toujours présente malgré les années passées elle demeure à ne pas vouloir le quitter.

( one ) tw : maltraitance infantile ⦙  Odeur nauséabonde de l'alcool qui coule littéralement dans ses veines. Les mots acerbe d'un homme de terreur. Parce que les chiens sont faits pour crever. Quelques paroles qui s'enregistre dans sa caboche du gamin âgé de quelques années seulement. Pas plus haut que trois pommes lorsque pour la première fois, il s'est retrouvé de l'autre côté du mur. Violence démesurée. Ce que lui a offert son bourreau. Douleur qui se crispe sur son visage étouffé dans les hurlements d'une mère simple spectatrice et bien trop faible pour agir pour cet être qu'il fut disparaissant sur les coups donnés. Agonie écrasante et innocence qui vole en éclats pour se retrouver avec cette dure et sombre réalité d'un enfer qui s'ouvre à lui. Des images qui se répètent continuellement dans son esprit incapable de les oublier brisé par les nombreuses excuses d'une mère lâche et qu'il a autant aimé que détester sans être capable de pouvoir véritablement lui pardonner les premières tâches ensanglantées, mais qui ne fut pas les dernières. Une plaie toujours présente qui se refuse à se refermer. Coups répétés sur un corps brisé refusant d'offrir à son géniteur l'absolue satisfaction. Non, il ne pleurerait pas. Émotion étouffée dans le vide pour s'engouffrer dans l'obscurité. Âme dépouillée, ravagé par la colère et la souffrance mise sous silence et le plonger dans la froideur destructrice parce qu'il est mort avant qu'il ne soit né. ( two ) ⦙ Hope. Un prénom. Cette Liberté qui s'offre à lui dans son simple sourire d'une protection sans limite face à la tristesse qu'il a camouflé et qu'elle à su voir au-delà des apparences. Sœur qui a su calmer ses émotions. Éternelle princesse guerrière qu'il a tenté de protéger devant ses mains tremblantes d'une poupée aussi fragile que la porcelaine de sa peau elle aussi marquée par les coups de leur géniteur et l'incapacité de leur génitrice à jouer son rôle. Esclave des paroles d'un homme qu'elle a refusé de quitter au nom de l'amour et de la dépendance qu'elle n'a pas été capable de se défaire préférant offrir à sa progéniture la route de la déchéance plutôt que celle de la protection. Hope, c'est son joyau à l'état brut, celle qui demeure, la personne qui demeure la plus importante de sa vie. Fort pour elle avec la promesse d'une vie meilleure, avant que la faiblesse ne l'emporte et qu'il la voit disparaître pour rendre son dernier souffle et que les étoiles l'emporte au loin des cieux et de lui. Culpabilité endossé de ne pas avoir pu la protéger choisissant la mort douloureuse d'un corps et d'une âme disparu depuis bien longtemps. ( three ) tw : suicide ⦙ Les flammes l'ont embrasés sans qu'aucune chaleur ne puisse réussir à le brûler. Incapacité à ressentir envahit par ce froid dur et glacial. Battement arrêté de son myocarde devant ces images qui repassent en boucle dans son esprit. Une froideur sans émotion avant  que le mutisme s'empare de lui. Paralysé par la scène qui se joue devant lui. Mort dans l'âme refusant les torrents émotionnels du passé se mélanger dans ce présent mensonger qui lui colle à la peau. Les mots, ces mots à elle qui se répète continuellement dans son esprit. Elle ira bien, quoiqu'il arrive, il ira bien, ils le seront tous les deux. Un jour le bonheur sera à sa portée promesse obtenue et révolue à lui faire tirer un sourire sur son visage qu'elle l'a forcé à répéter durant des heures pour le laisser s'en convaincre. Douce illusion dans la douceur de ses paroles et de ce sauveur dont elle l'a si souvent désigné pour faillir tel un héros déchu qui se noie dans l'obscurité la plus totale. Colombe qu'elle est devenue pour choisir de s'envoler dans un royaume bien plus paisible. Prunelles libérées pour l'emprisonner dans ce regard qui fait naître en lui une tempête dévastatrice à ce souvenir indélébile. Corps froid à terre, regard vide et ce ruisseau rougeâtre couler devant lui. Figé, il aurait dû laisser ses yeux divaguer sur autre chose que  corps et l'emporte dans ce gouffre qui l'enterre. le myocarde fendu a beau toujours battre tandis qu'au fond une partie de son âme est morte avec elle. ( four ) ⦙ Dans le silence insoutenable, la haine transcendante. Il aurait voulu lui hurler à pleins poumons à sa génitrice à quel point il lui en veux. Qu'il l'a déteste pour tout le mal qu’elle lui a fait subir. Qu'il sera jamais capable de lui pardonner d’avoir été si faible et lâche au point d’avoir préféré de vendre ses enfants au diable de ce bourreau et les laisser crever dans la douleur au point que l’un à choisi de mourir parce qu’elle n'a pas été capable de le faire. Il espère au plus profond de ses entrailles qu’elle brûlera de la souffrance qui le bouffe jusqu'à l'os comme lui, ce bourreau qui brûlera un jour. Fin mythique d'un couple à l'odeur nauséabonde où sa paix à lui sera retrouvé. Oui, il aurait voulu avoir cette cruauté et que la colère se tasse. Sauf que ce n'est pas le cas. Il est finalement resté là étouffé dans sa haine, le cœur en vrac avant de voir ses yeux vides pour se rendre compte qu’elle aussi était partie. :: Rose qui se fanes sur les pétales noirs. Son qui se dérobe sous ses pieds. L'esprit ailleurs. Faucheuse qui l'entoure. Des mots qui résonnent tentant de la ramener à la réalité. Tout ira bien ? Mot qu'il n'est plus capable d'entendre. Les yeux qui se ferment pour les ouvrir pour entrevoir ce géniteur mains emprisonnées où le mal aurait dû s'arrêter. Liberté un instant retrouvé. Drame qui se dérobe sous ses pieds tandis que lui revit un instant comme si la réalité s'échappe se laissant porter à croire que peut-être Hope dans ses derniers instants avaient raison. Que tout irait bien. Déni qu'il s'est porté à croire dans ce nouveau pays. Nouveau départ moins douloureux lui aura-t-on répété face à la pitié qui se dévisage laissant les silences se taire et que le drame intervienne une nouvelle fois. Réalité venant le rattraper de plein fouet. Le sort qui s'acharne, mais qu'il se refuse à répéter. Obligé de se renfermer pour se protéger, pour la protéger elle comme il n'a pas pu le faire avec celle qui a choisi la facilité. Il se referme, encaisse les coups accepte cette nouvelle image faussée de lui-même. Secret bien gardé qu'il enfouit derrière un tas de gravats. Pour admettre silencieusement que non, on ne le brisera pas. Pas cette fois. Un jour, il renaîtra de ses cendres. ( five ) ⦙ Arrivé de l’âge ingrat. Motif qu’il pourrait valider lorsqu’elle, Amelya Tian est apparue dans son champ de vision au mauvais moment. Entre eux ? C’est le coup de foudre à coup d’insultes de deux gamins épuisants dans cette petite bande où il s’est retrouvé par la force des choses et surtout celle de sa cousine qui l’a embarqué pour une raison qu'il ignore. Tenter certainement de le rendre plus sociable qu’il n’a jamais été. Nouveau pays, il a tenté jouer le jeu s’efforçant de sourire jusqu’à ce qu’elle apparaisse dans son champ de vision et qu’il n’en soit plus capable. Impossible est le mot qui les définit. Limite franchie où elle ne lui offre qu’une chose à ses côtés : de l’urticaire à souhait. Regard mesquin où les mots fusent, des mots loin d’être aimable comme s’il ne pouvait plus contrôler quoi que ce soit. Il suffit qu’elle apparaisse et qu’il ne contrôle plus les mots qui sortent de sa bouche. Incapable d’être à quelques mètres l’un de l’autre et de la voir autrement comme celle qu’il a jugé à leur première rencontre ou ce qu’elle songe à croire. Fille capricieuse superficielle insupportable d’une jeune madame je sais tout qui a tendance à l’exaspérer qu'il aime bien souvent sans l'admettre la voir explosé par les surnoms qu'il lui a donné. Injures perpétuelles voir incontrôlable d’une rencontre explosive et d’un quiproquo mis sous silence. Elle avait besoin de se défouler, lui avait besoin d’exploser. Deux adultes qui en deviennes des gamins puérils lorsqu'ils se retrouve cote à cote. ( six ) ⦙ Q u i n z e    a n s,  gueule d'ange, corps musclé. Parce qu'il était doué pour se dépenser, sport qui l'anime et lui permet d'oublier pendant un temps sa propre déchéance. Il a accepté de rejoindre l'équipe de foot. Populaire sans vraiment le vouloir. Une façon surtout de se fondre dans l'image. Fêtes sans limite d'un type à l'apparence prétentieuse, celle qui se donne à parfaire. Tandis que dans les silences de la nuit, il l'admet que la solitude est sa plus grande amie ( seven ) ⦙ D i x - s e p t   a n s, dernière année avant la véritable liberté retrouvée. "Ennemis" qui leur collent à la peau sans admettre l'évidence à leur portée. Après l'avoir sorti d'une agression, quelque chose se tisse entre eux dans le silence et les secrets qui les lient. C'est vers chacun qu'il se tourne lorsqu'ils ont besoin de trouver cette échappatoire et d'être eux-mêmes. @"Amelya Tian" et lui. Deux aimants malgré eux, attirés vers l'autre où le temps d'une nuit, d'un moment d'égarement, ce qu'il se répète pour ne pas accepter une vérité devant lui. Ils se sont laissé aller. Corps collé l'un à l'autre, lèvres incapables de se décoller où l'ivresse d'une nuit, ils se sont laissé aller à ce sentiment enivrant. Il a senti son palpitant presque exploser avant que la réalité ne lui explose en pleins visage comme les mots acerbes qu'elle lui a lancé. Blessure qui se refuse de l'admettre où l'un comme l'autre se refuse à admettre que la nuit passée sous silence est bien loin de l'erreur qui veut le faire croire ( eight ) ⦙ Mensonges sont devenus monnaie courante dans sa vie. Identité qu'il a dû s'inventer lorsqu'il a commencé les courses de voitures et qu'il soit devenue sans le vouloir se type incognito devenu populaire. Vie inventée, vie qui parait presque idyllique bien trop, mais que tous semblent avoir le besoin d'y croire au risque que parfois il s'y perd lui-même. Entre la réalité et ce qu'il doit prétendre être, il a parfois la sensation de ne plus savoir qui il est. ( nine ) ⦙ M u s i c i e n qu'il aurait pu être devant la perfection des instruments qui exerce avec une maitrisé d'un doigté dont on ne pourrait en soupçonner. Les doigts qui se parfaire devant l'instrument qui a guidé son enfance un temps devant le prodigue installé devant un piano où durant quelques années, l'enfant vint musicien à ses heures perdus laissant la douleur et la souffrance disparaitre un temps lorsque ses doigts qui se glissent sur les touches du piano pour laisser le rythme l'emportait sur tout le reste jusqu'à couper le souffle de ces interlocuteurs devant sa façon de jouer digne des plus grands. Petit génie du piano comme le surnommait si souvent sa soeur ainée avant que ce don qu'il a hérité par les cieux reste dans le silence absolu. ⦙ ( ten ) ⦙ Depuis son retour à Brisbane et depuis quelques semaines maintenant, il a reçu plusieurs lettres de la prison de Rikers qu'il n'a jamais ouverte sachant très bien qu'il ne s'agit autre que de son paternel qui ne semble plus s'arrêter face au coup de fil incessant de celui-ci. Harcèlement ou nouvelle torture mentale qui le replonge dans ses sombres souvenirs où doucement il se noie dans ses propres cauchemars incapable de vraiment dormir la boisson et la débauche est devenue une partie de sa vie, silence où les sourires cachent la souffrance qui agonise mais dont il est incapable d'y faire face parce que le déni a toujours été plus facile pour lui ou peut-être parce qu'une partie de lui ne cesse de se demander s'il ne paye pas le prix de l'âme brisé de sa soeur songeant que c'est lui que la faucheuse aurait dû prendre des années auparavant..

·  ☾ ·  ☾ · ☾ ·
( en vrac ) La seule chose qu'il est gardée durant ses années mis sous silence, c'est cette chaîne que sa sœur lui à offert avant de faire le choix de disparaître. Colère envahit, douleur qui subsiste. Il lui est pourtant incapable de s'en séparer parce que malgré toute la confusion des sentiments qui rôdent autour de son myocarde perforé dans la souffrance, c'est l'unique chose qui lui reste de celle qui demeure la princesse guerrière qui a tenté de le sauver en choisissant se sacrifier pour lui offrir une chose d'ouvrir ses ailes dans un chemin qui le mènerait aussi loin pour lui sans être capable de le faire pour elle. ⦙ Adrénaline dans le sang, depuis qu'il est en âge de tenir un volant. La vitesse à toujours été sa source de liberté. Ce besoin de laisser sa rage s'évader quand les mots sont incapables de sortir. Son métier, c'est sa passion, mais aussi celle qui demeure sa seule thérapie qui l'empêche de mettre un pied dans la tombe. C'est son échappatoire quotidien pourtant aujourd'hui son échappatoire semble le quitter pour laisser le vide l'emportait dans ce gouffre de souffrance dont il n'arrive plus à échapper ⦙ Il ne parle jamais de ses émotions et refuse de se plaindre et lire la pitié dans le regard des gens. Dévoiler ses émotions aux autres et parler des choses qui ne vont pas et en plus encore de ces sentiments. C'est quelque chose qui n'existe pas dans son vocabulaire et qu'il se refuse. C'est surement le meilleure moyen de le faire fuir et disparaitre loin de tout. Il a tendance à souffrir en silence ou l'autodestruction finira il le sait par le consumer jusqu'à sa perte. Bloqué par le rejet et la peur, il laisse les sourires se parfaire sur son visage devant l'agonie qui s'impose au plus profond de lui où il sait qu'il aurait besoin d'aide au risque de se noyer et couler au fond de l'océan pour périr sans jamais y revenir. ⦙ S'il donne l'apparence d'être un type froid, distant limite inaccessible c'est uniquement par ce besoin de se protéger et parce que loin des idées reçues. Il est pas forcément facile pour lui de se lier et laisser tomber la carapace. Quand il le fait, c'est un véritable ami loyal sur qui on peut compter pour en découvrir un type bel et bien différent de l'apparence qu'il peut donner, il utilise souvent son image publique parce que c'est plus facile et surtout parce qu'à force il a fini ne plus savoir qui il était vraiment. Ainsi pour tous, devant cette image façonnée pour lui, il devient vite quelqu'un de sociable, charmeur, sûr de lui à qui tout semble tout réussir et qui tente simplement de vivre une vie qu'on lui à refusé depuis bien trop d'années. ⦙ Malgré qu'il soit devenu pilote de courses cela ne l'empêche pas quand la nuit tombe de retrouver ses anciennes passions toujours présentes pour les courses de rues roi du drift pour beaucoup où le pro passé l'est toujours dans la rue devant les billets qu'ils remportent et qu'il laisse a surtout donné aux différents centre de quartiers défavorisés, une façon pour lui de ne jamais oublier qui il est et d'où il vient Pendant plusieurs années, il a plongé dans la drogue, la cocaïne a souvent été sa drogue de prédilection jusqu'à l'overdose où c'est son meilleur ami qui l'a sorti de son cauchemar en employant les grands moyens. Destruction totale pour le sortir de cet enfer qui l'a souvent aidé à oublié sa propre existence et qu'il a faillit y passer, s'il n'a plus toucher à la drogue tenant la promesse qu'il a fait à celui qui a toujours été présent dans sa vie, cela ne veut pas dire que les choses soient faciles surtout depuis ses derniers temps où il replonge devant ses vieux démons qui tentent à le rattraper et le faire sombrer assez pour que l'alcool soit devenu sa nouvelle drogue et la débauche dans laquelle il tente d'oublier cette souffrance qu'il veut passer sous silence difficilement et devenir cette personne détestable qu'il n'est pas parce que c'est plus facile en tout cas c'est ce qu'il se répète assez pour s'en convaincre ⦙ Après son accident et une blessure le forçant à rentrée en Australie pour une durée indéterminée et qu'il a le temps maintenant. Il a décidé d'adopter un chien. Hadès. Un croisé boxer, berger australien. Un chien qu'on a pas voulu parce qu'il était différent jugé irrécupérable face aux souffrances infligés. Toutes les raisons pour lesquelles il s'est vite senti lié à lui. Depuis qu'il a Hadès, celui-ci ne le quitte plus. Coup de foudre. C'est son compagnon, mais avant tout sa famille. ⦙ Il pratique bien nombre de sports de combats boxe française, américaine, kick boxing, taekwondo autant dire qu'il sait très bien éviter les coups et les rendre d'une facilité déconcertante même s'il tente de ne jamais utiliser les poings du moins le moins possible par la peur de ne pas réussir à se maitriser et que la violence en lui prenne le pas sur tout le reste ⦙ Il aime et à ce besoin se dépenser autant qu'il le peut, il est le genre de personne qui a besoin de dormir que quelques heures. Pour le reste, il a tendance à se retrouver à courir, boxer toujours en compagnie d'Hadès son fidèle compagnon. ⦙ Casse-cou où besoin que la limite n'existe plus, sa dernière course aurait pu lui coûter la vie. Un accident dont il a bien du mal à se remettre. Voulant aller trop vite pour certain tandis qu'en réalité la route coupé il n'a pas pu l'éviter et s'est retrouvé à en payer le prix et parce que la douleur était trop intense. Les anti-douleurs sont devenues pendant un bref moment ses meilleurs amis. Incapable de s'arrêter, il s'est retrouvé littéralement dépendant à cette autre drogue. C'est lorsqu'il était sur le point de tout perdre une nouvelle fois, qu'il a choisi de se faire aider par la force aussi de son agent et ami qui l'a envoyé anonymement en désintox pour rentrer un peu plus tard en Australie loin des vestiges superficiels que la Californie lui a offerte. Promesse de consulter un professionnel, un psy pour parler, mensonge une nouvelle fois refusant d'admettre à quel point une part de lui aurait besoin de lâcher prise pour vivre véritable sa vie et uniquement la sienne. Toutefois, il n'arrive toujours pas à le reconnaitre. ⦙  Sa plus grande peur ? C'est cette violence qui peut parfois ressentir en lui et qu'il ressort sans qu'il ne soit capable de contrôler quoi que ce soit. Un oncle aussi violent que son propre paternel monstre qui surgit toujours dans la nuit et devant les appels devant sa prison qui ne semble pas l'arrêter. Intouchable face à son métier dans les forces de l'ordre. L'image dissimulée d'une mauvaise blague devant un homme dur et violent et qui prône les coups derrière l'uniforme qui disparaît. Les mains qui se brisent sur son corps avec le refus de revivre une nouvelle perte. Le sang qui coule et le ramène à la réalité. Rage au ventre qui s'évade pour laisser la peur, peur de ressembler à ces hommes et que dans un geste, il puisse devenir lui-même ce monstre caché au plus profond de lui et qu'il refuse de faire sortir, jamais. ⦙ Il porte plusieurs tatouages, l'un d'entre eux est celui du prénom de sa soeur Hope ainsi que la phrase live fast die young inutile de dire à quel pour lui cette phrase porte tout son sens. Pour le reste, il n'en parle pas gardant ces secrets en lui et qui lui permet d'une manière de cacher certaines cicatrices plus profondes. ⦙ Son dernier accident a laissé des traces bien plus préoccupant qu'il n'a voulu l'admettre à ses proches, trauma toujours présent où s'il ne prend pas la peine de se soigner correctement pourrait lui être fatal. Un choc violent de plus et sa fin serait plus proche devant la faucheuse qui semble au plus près de lui et qui pourrait s'investir à prendre son âme pour de bon si celui-ci ne s'arrête pas à temps. ⦙ depuis qu'il a appris que son père pourrait très bien sortir de prison pour bonne conduite, ironie devant la foutaise des mots, il n'a pas pu s'empêcher de cacher une arme loin de lui s'il serait aujourd'hui capable de se protéger physiquement, il sait tout aussi bien l'emprise de cet homme qui pourrait le paralysé assez pour que l'objet qu'il a toujours détesté soit devenue une protection dont il se refuse à quitter et dont il a appris à se servir prêt s'il le fallait à s'en servir.

---