TW : dépression, relation professeur/étudiant et séparation.
âge & naissance : née le 20 novembre 1991, elle est actuellement âgée de 30 ans, un cap célébré en grand et avec excitation, avec cette pointe de nostalgie bien ancrée dans le cœur car fêter trente ans c’est aussi signe de la fin de sa vingtaine, d’une jeunesse à peine vécue. rafaela est née ici-même à brisbane (australie), en avance, bien avant la date prévue, offrant la plus grande peur à ses parents. origines & nationalité : création purement australienne, a hérité des origines guatémaltèques de sa mère et portoricaines de son père biologique. finances et emploi : $$$$$, ça l’importe peu en toute vérité l’argent qu’elle possède ou qu’elle ne possède pas, pour rafe, c’est superflu être riche et ce n’est pas la femme la plus dépensière au monde. se considère comblée dans ce qu’elle fait tous les jours en tant que institutrice de pilates après avoir abandonné des études de droit (alors qu’elle étudiait pour obtenir son master’s degree) pour se concentrer sur cette passion, voilà six ans plus tard, rafe a une application et un site web. il y a un peu moins de 1 an, rafe a ajouté une corde de plus à son arc en publiant un livre de cuisine. statut civil : situation complexe, sans réellement l’être — célibataire et enceinte, quelques mois avant son 30ème anniversaire, rafe a pris cette décision de devenir mère seule, de s’en occuper seule et de ne pas attendre une moitié pour, enfin, fonder une famille. orientation sexuelle : bisexuelle depuis des années lorsqu’elle a ressenti une attirance pour une femme et rafaela s’assume pleinement. situation familiale : aînée de la famille osborn, un père biologique qui n’est plus dans le portrait à la suite d’une séparation, a repris le nom de famille de son père adoptif, le mari de sa mère qui lui a tout appris. signe astrologique : scorpion, digne de ce signe, casse-cou depuis sa plus tendre enfance, qui n’a pas peur de se défendre si se sent menacé. le pire tue-l'amour : les gens rivés sur leurs téléphones, cette impression d’avoir une conversation avec un robot ou avec soi-même, qui ouvrent la bouche pour répondre un mot. un fantasme : fantasy fun cards, juste pour découvrir ce que cela comporte, s’amuser un peu plus et pimenter le tout. à Brisbane depuis : toujours, c’est la maison jusqu’à la fin des temps, n’a jamais rêvé à quitter sa terre natale, bien ancrée jusqu’à la fin de son existence sur cette terre, a ce souhait que la future génération osborn décide d’y rester encore pour un long moment. traits de caractère : impulsive, entêtée, solaire, décontractée, maladroite, joviale, naïve, passionnée, passive, patiente, sans gêne, impliquée, nonchalante, aventureuse, compétitive et honnête. avatar : adria arjona (puertorican/guatemalan).

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romantisme (69%)	level de drague (95%)
engagement (50%)	passion (100%)
performance au lit (90%)	fidélité (100%)
nombre de cœurs brisés (0%)	recherche de l'amour (15%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ?
le grand amour, c’est une entente entre deux personnes qui s’aiment, qui s’aident à évoluer et qui s’apprécient même dans les pires crises. qui ne vont pas se coucher frustrés l’un envers l’autre. si rafe doit désigner un couple qu’elle considère comme le grand amour, elle pointerait ses parents. personnellement, elle n’est pas forcément à la recherche de ce dernier, arrive à se contenter d’être seule ou parfois accompagnée. rafe se considère au milieu, ne le recherche pas absolument, mais ne le refuserait pas s’il se présente un jour.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
ça n’existe pas chez rafe les déceptions amoureuses. des relations, elle en a eu son lot, plusieurs relations ici et là que ce soit avec un homme ou une femme et même si ne duraient assez longtemps, elles se sont toutes terminées dans la bonne entente. tous les deux d’accord de ne pas aller plus loin et c’est correct. rafe, elle en a de la chance dans cette catégorie, les traumatismes d’une relation n’existe pas, du genre à se remettre facilement d’une rupture — même la séparation de sa relation avec son professeur, a à peine blesser rafaela.

r a f a e l a ; la surprise de sa mère, elle qui pensait seulement à un retard de règles, elle qui pensait que cela n’arriverait pas immédiatement, pas avant qu’ils soient financièrement stables tous les deux. sa mère est dans sa dernière année universitaire lorsque le test de grossesse lui confirme qu’elle est bien enceinte et l’idée de ne pas conserver cet enfant ne lui traverse même pas l’esprit ; car, au fond, sa mère a toujours eu ce souhait d’être mère. de s’occuper de quelques enfants. d’avoir une famille nombreuse. comme elle. comme ses parents à elle. et sa mère, l’idée de ne pas donné naissance à cet enfant ne lui a jamais traversé l’esprit, sachant que peu importe la décision de son copain, elle s’occuperait de ce bébé en elle. qu’elle l’aimerait. et ce rôle, lydia la bien réussit. c’est une bonne mère. une mère aimante et protectrice, qui ferait tout pour son enfant. puis, un jour de novembre, rafaela, surnommée rafe, a pointé le bout de son nez, quelques semaines avant la date prévue, causant une surprise et une peur à ses parents. g u a r i s c o ; elle sait qui il est, elle sait ce à quoi il ressemble, cet homme ayant contribué à sa création — rafaela a encore les premières images d’eux, enfoncés dans les pages d’un bouquin comme un secret qu’il faut absolument conservé secret, quelques mois après sa naissance. elle y voit un homme souriant et heureux. un homme prêt à donner sa vie pour son enfant, prêt à remuer le monde pour le bien-être de la gamine. elle y voit un sourire immense aux lèvres. heureux. en compagnie de sa fille, son seul enfant. trente ans plus tard, lorsque rafaela tombe sur cette photo d’eux, c’est la nostalgie qu’elle a dans la bouche, c’est le cœur qui se serre et les regrets qui s’accumulent dans sa tête parce que si elle n’en parle pas en compagnie de sa mère, rafe s’est assurée de suivre la vie de son père biologique. même si elle n’a pas envie d’en parler à personne, elle sait ce qui se passe avec son existence, elle sait cette nouvelle famille qu’il a, ce nouvel emploi stable, cette vivacité qui s’est envolée lorsque sa mère et elle étaient en sa compagnie. et rafe n’arrive pas à lui en vouloir pourtant elle essaie de lui en vouloir, elle n’y arrive tout simplement pas. f a r e w e l l ; (tw : séparation) elle a sept ans lorsque ses parents se séparent, elle a sept ans lorsqu’elle voit son père rester dans cet appartement qui fait pitié pour une dernière fois alors que sa mère lui prend la main, valise dans l’autre main. et il y a ce regard entre sa mère et son père comme s’ils étaient tous les deux d’accord pour dire que c’est mieux ainsi, qu’elle prend la bonne décision de partir avec rafaela. puis sa mère détourne le regard, prête à partir, le cœur en mille morceaux et il y a rafe qui regarde encore son père directement dans les prunelles et pendant une seconde, elle a l’impression de voir cette promesse dans ses yeux, celle qu’il lui fait qu’il ira mieux un jour, que ce n’est pas la fin. mais c’est la fin ; il ira mieux, pour une autre famille. il ira mieux, mais il ne reviendra pas dans la vie de son ex-petite-amie et son enfant. longtemps, elle a cru à cette promesse, se disant qu’un jour, il viendrait la chercher à l’école. ce jour n’est jamais venu. il n’est jamais revenu. o s b o r n ; trois ans après la séparation de ses parents, rafaela est spectatrice de la rencontre entre lydia, sa mère et richard osborn, son beau-père. rafe connaît richard ; elle sait qui il est parce que sa fille à lui, elle est dans sa classe à rafaela et c’est même une très bonne amie. rafe connaît l’histoire derrière le célibat de monsieur osborn, elle sait qu’il sort de divorce houleux d’une femme qui n’est pas gentille. mais jusqu’à ce petit souper entre sa mère, richard, elle et les deux enfants de richard, elle n’avait jamais entendu sa voix ni l’histoire de sa vie. sans filtre, du haut de ses dix ans, rafaela lui pose les questions qui lui semblent importantes. richard comble le vide son père, elle apprécie sa présence, l’attention qu’il lui offre, les conseils qu’il lui donne. elle apprécie l’affection et la tendresse qu’il lui donne, le fait qu’il prenne le temps de lui apprendre à jouer au golf. six ans plus tard, pour son anniversaire, elle lui présente les papiers lui disant qu’elle désire prendre son nom de famille. pour ne plus se sentir seule dans la famille parce que trois ans auparavant, lydia est devenue madame osborn. puis il y a river et riley qui, eux, possèdent déjà le nom osborn. il ne restait que rafaela qui a ce sentiment de fierté lorsque le changement est officiel. ce sentiment d’appartenance. l’impression que le casse-tête est complété désormais — rafaela manuela osborn, ça a un beau son, qu’elle a pensé. l a w ; à la base, c’était son plan : devenir avocate comme son ‘’père’’, suivre ses pas et travailler un jour dans son cabinet d’avocats. c’était ça le plan et même au début, rafaela a ignoré toutes les fois où son cœur lui disait que ce n’était pas sa voie parce qu’elle voulait réellement suivre des études dans ce domaine. elle s’imaginait déjà avec river, à l’université, dans les cours de droit et plus tard, en ville à bosser dans le cabinet d’avocats de leur père toutes les deux. oh ce qu’elle a regretté ce choix rafe, ce qu’elle a détesté les premiers jours, davantage lorsque les jours se sont transformés en semaines puis en mois puis en semestres. à sa deuxième année, elle prétendait toujours aimer cela pour faire plaisir à river et richard. elle ne voulait pas les décevoir. pour continuer de voir les étoiles dans les yeux de richard lorsqu’elle lui parlait des cours, de la réussite des examens ; parce que malgré son manque d’amour pour ce domaine et son ennui mortel, rafe réussissait bien les travaux, les examens. peut-être que dans une vie, elle ferait une excellente avocate, tout simplement pas dans celle-ci, ce n’est pas sa destinée. d o o m e d ; (tw : relation professeur/élève) du début à la fin, leur relation était vouée à l’échec. rien de bon allait en sortir, mais ça rafe va le réaliser plus tard, à la fin. lorsque tout sera terminé. lorsque plus rien ne fera mal même si elle n’a pas réellement eu mal rafe, peut-être un peu déconnectée des sentiments qu’elle a pu ressentir pour cette personne. mais elle était immature malgré les bonnes notes, elle vivait sur une autre planète sûrement. tout ce qu’elle sait est que oui, rafaela a ressenti quelque chose de plus fort pour cette personne, son professeur, que pour toutes les relations éphémères qu’elle a pu avoir dans le passé. qu’elle pourra avoir dans le futur. elle n’est pas en train de dire que c’était sa grande histoire d’amour parce que rafe est convaincue qu’on en a pas seulement un dans une vie. mais que ce sera une histoire qu’elle pourra conserver pour elle un bon moment, que même si ça s’est mal terminée, qu’elle pourra se dire avoir ressenti ce cœur battre plus vite que la normale. quelques mois que ça a duré, pas très longtemps, lui professeur à l’université, elle, nouvellement son élève. d’abord les regards furtifs puis tranquillement, les caresses interdites. puis finalement la collision. de lui et elle. quelques mois sur un petit nuage, quelques mois à vivre avec ce secret qui lui donnait l’impression d’avoir une double identité et un jour, la vérité leur a explosé en plein visage. davantage pour lui que pour elle. et plus de contact entre eux ; peut-être que les regrets sont plus nombreux pour lui que pour elle. peut-être qu’elle, elle goûte plus la nostalgie de ne plus avoir ressenti la même chose lorsque les autres personnes ont suivis. l o s t ; (tw : dépression) la vie continue, les jours défilent et au creux de sa poitrine, il y a ce serrement qui l’empêche de respirer correctement. les mois semblent tous se ressembler, il y a la joie qui manque à ses traits à rafaela ; comme si elle était devenue l’ombre de soi-même. perdue, elle se sent perdue depuis quelques temps ou plutôt depuis sa rencontre avec son père biologique. parce que si elle assure sa mère ne plus se rappeler de lui, ce n’est pas la vérité et à sa mère, elle lui ment. rafe sait qui il est. elle le sait parce qu’un jour, elle a décidé de faire des recherches sur lui, de voir ce qu’il était devenu. avoir le cœur net une bonne fois pour toute. toujours en vie, mais cette fois, heureux. le sourire aux lèvres, la jolie et parfaite famille sur les nombreuses photos de son compte facebook. elle a été remplacé par un petit garçon de trois ans. et si au début, ça lui a fait mal, rafe a aussi réussi à lui pardonner cette trahison, mais ce pardon est seulement venu lorsqu’elle s’est pointée chez lui, qu’elle a toqué à sa porte. rafaela sait qu’il l’a reconnu, mais il n’a rien et rafe, elle, est restée silencieuse avant de tourner les talons et prendre la fuite. elle s’est enfermée dans sa chambre pendant des semaines puis des mois. absente du monde extérieure complètement. les échecs qui s’accumulent ; elle a de la difficulté à accepter un autre échec. et c’est là qu’elle a pris la fuite, qu’elle a abandonné l’université et qu’elle est partie, derrière son volant, à l’extérieur de brisbane pour la première fois. c’est là qu’elle s’est reconnectée à elle. qu’elle a senti les pièces se rattacher. p i l a t e s ; le sport n’a jamais été dans ses intérêts premiers à rafaela. elle n’a jamais été de ces personnes qui ont ce besoin absolument de se réveiller à l’aube pour se taper une séance de sport matinal. ça n’a jamais été dans sa nature principalement parce que rafe aime bien trop son sommeil, elle apprécie faire la grasse matinée. mais c’est également une personne qui apprécie une bonne séance de sport, qui aime bien s’entraîner et qui apprécie l’état dans lequel elle est après une séance de sport et un jour, rafe est tombée sur le pilates. d’abord par simple curiosité avec river, un jour puis ensuite par amour. pour ce que ça fait à son corps, à son âme, à son bien-être. rafaela avait déjà de l’intérêt pour le pilates lorsque l’idée de devenir institutrice lui est venue en tête et ce n’est qu’après l’abandon de l’université qu’elle a fait le grand saut ; qu’elle s’est jetée corps et âme dans ce domaine. aujourd’hui, rafe est fière du chemin qu’elle a fait, elle est fière d’avoir décidé de suivre son rêve et de faire ce métier parce qu’elle se réveille tous les matins, heureuse de faire ce qu’elle fait. elle apprécie enseigner aux autres. elle apprécie cette petite communauté qui s’est formée à travers le temps. une application plus tard, ce n’est que le début pour rafaela. p r e g n a n c y ; le jeudi 3 février 2022, c’est là qu’elle a sa confirmation, rafaela : enceinte. le premier test de grossesse est positif ainsi que le deuxième ainsi que les trois autres qu’elle a fait, au cas où. cette joie est confirmée par une prise de sang qui lui confirme qu’elle est bien enceinte et rafe, elle est heureuse ; bien plus qu’heureuse parce que c’est ce qu’elle veut et même si ce n’est que le début, les doigts ne peuvent pas s’empêcher d’aller caresser son ventre. de visualiser cette image d’elle dans la chambre de cet enfant, de son enfant et le fait de se considérer comme une future membre. ça n’était peut-être pas son rêve d’enfant ni d’adolescente parce qu’en réalité, jusqu’à pas très longtemps, rafe ne s’imaginait pas devenir mère et pourtant, cette grossesse elle en est bien heureuse et attend avec grande impatience d’avoir son enfant dans ses bras en octobre 2022.

d e t a i l s ; adore jouer au golf, c’est un passe-temps qu’elle partage avec son père adoptif. ; a une allergie sévère aux kiwis développée lors de son adolescence. ; peut passer des heures derrière un plan de cuisine, à expérimenter de nouvelles recettes, à tester des ingrédients ensemble sans voir les heures passées. ; très exigeante envers soi-même, elle a tendance à préférer réussir tout dès le premier essai et il lui est difficile d’accepter que parfois ça ne soit pas le cas. ; fait du bénévolat, ça lui tient à cœur de le faire et donner au suivant. ; adore être derrière le volant et conduire pendant des heures, il n’est pas rare de la voir disparaître le weekend pour un roadtrip improvisé dans les environs. ; traîne toujours un appareil photo jetable qu’elle ne jette jamais. ; apprécie le silence qui règne dans une librairie et si elle est stressée, c’est souvent dans ce lieu qu’on peut la retrouver. ; a tendance à toujours porter des bijoux en or sur elle. ; n’a aucun filtre. ; aimerait apprendre à conduire une moto. ; la pomme est son fruit préféré. ; a comme passe-temps le jardinage. ; communique parfois en espagnol avec sa mère.

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