Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
statut civil : mère célibataire, qui peine à s'ouvrir aux âmes qui croisent sa route.
occupation : scénariste d'une série tv.
adresse : south bank & west end, app. 122 avec son fils et leur chat.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : toute description détaillée de viols, agressions sexuelles et violences de toute sorte + inceste, cruauté animale, maltraitance, mutilations.
Elle se sent bien. Ces derniers temps, oui – elle se sent bien. Un peu plus épanouie. Un peu mieux dans sa peau. Un peu sur son nuage. On dirait que tout se replace. Tout rentre dans l’ordre. La vie suit son cours – Leon a commencé l’école. Senàn est présent, maintenant. Le garde parfois même chez lui pour la nuit. Alors Lis, elle est un peu plus libre. Elle profite davantage. Elle sort, elle s’amuse. Fait des rencontres. Des rencontres pour oublier la déception, sans doute, au fond – pour oublier le râteau que lui a mis Senàn. Rien de bien méchant, ce sont des choses qui arrivent. Elle le sait, Lis. N’en garde aucune rancœur. Juste encore un faible espoir, qu’elle a enterré bien profondément, pour ne rien laisser entrevoir. Ne rien gâcher de sa relation de coparenting avec Senàn, qu’ils ont su mettre en place – qui repose sur une bonne dose de confiance, de respect et d’entente. Elle ne voudrait pas compromettre cela, de toute façon ; alors sans doute a-t-il bien fait de lui mettre ce râteau, finalement. Bref : Lis fait des rencontres. Lis tourne la page. Lis délaisse aussi un peu le romantisme. Retrouve l’éphémérité de ses histoires passées, la même qui l’avait conduite à l’époque à rencontrer, puis à tomber dans les bras de Senàn. Cela lui fait du bien. De se prendre un peu moins la tête. De vivre l’instant présent. De vivre, tout simplement.
Aujourd’hui, elle a sa journée de libre. Alors elle a prévu d’en profiter. Elle a bien eu une idée en tête, Lis : foncer chez Renfield. L’un de ses premiers réflexes, sans aucun doute. L’une des premières personnes vers lesquelles elle se tourne au quotidien, de celles qu’elle retrouve si souvent, parce qu’elles lui sont si importantes. Il est important, Ren. Il est son meilleur ami. Comme l’était Patsy – Patsy qu’il a perdu. Que Lis a également perdu. Même si ce n’était pas la même chose ; pas le même lien. Depuis, elle veut constamment s’assurer que tout va bien. Et puis, le pousser à sortir, à voir le monde, à voir des gens – et ce, même si elle est bien la première à avoir besoin de faire des breaks avec les gens, à rêver par moments de s’installer sur une île complètement déserte pour recharger ses batteries, et se protéger un peu aussi. C’est donc tout naturellement qu’elle a inscrit Renfield à la Saint-Valentin à un espèce de truc de dating, du même genre que celui auquel elle avait participé deux ans plus tôt. Maintenant, le rendez-vous a eu lieu, et elle veut absolument savoir comment cela s’est passé. Alors elle débarque chez lui à l’improviste. Ce n’est à vrai dire, ni la première, ni la dernière fois, qu’elle se retrouve ainsi à sonner à l’interphone sans s’être annoncée auparavant. « Renfield, c’est moiiii, la meilleure du monde et de la Terre entière. » s’empresse-t-elle de dire quand elle l’entend décrocher à l’interphone, s’amusant de son propre pléonasme. « Je me disais qu’on pourrait aller manger un morceau quelque part, ça te dit ? » continue-t-elle, en attendant la réponse de son meilleur ami. Reste à savoir s’il sera facile à convaincre, descendra directement ou l’invitera plutôt à monter à l’appartement. Ou l’enverra chier – ce dont elle doute –, tout simplement.
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Renfield Dunphy
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
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messages : 81
rps : 29
pseudo : same.
id card : poulter. (decrescendo)
pronom irl : she.
multicomptes : sam (gillespie), stevie (mitchell), dexter (barnes), ben (doherty), noe (guerrero), zeke (allan white), leo (cowen), bart (tømmeraas) & fred (claflin).
à contacter : stevie.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
âge : les années se sont écoulées, trente et une pour être exacte. Tellement de questions qui restent sans réponses.
statut civil : veuf, une alliance qu'il n'arrive pas à enlever. Un coeur qui ne guérit pas, une amie qui désire qu'il goûte de nouveau à la vie.
adresse : en colocation avec une factrice/souillon à New Farm. (jusqu'ici tout le monde est en vie, y compris les post-its.)
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : he.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #003399.
Staring out at the rain with a heavy heart. It's the end of the world in my mind. Then your voice pulls me back like a wake up call. I've been looking for the answer. Somewhere. I couldn't see that it was right there. But now I know what I didn't know
Mains qui se positionnent devant le placard. Quelque chose cloche. Pourtant tout est ordonné. Tout est à sa place. Pourtant tu as cette impression que ça ne va pas. Tes mains qui se placent devant et là tu vois. Tu vois que ça a été déplacé d’un millimètre. Comment as-tu pu louper ça ? Tu te fais vieux Renfield. Ni une ni deux, tu attrapes les boîtes, les sortant de l’étagère pour tout remettre exactement à sa place. Trois minutes plus tard, tout est en ordre et tu te sens mieux. Tu aurais pu passer un nouveau coup de chiffon dessus, mais tu l’as fait hier. Et ce n’est pas leur journée. Il ne faudrait pas que tu intervertisses, sinon tout le planning part en live. Non. Tu reviendras à la propreté après-demain. C’est à se demander comment elles ont fait pour être aussi mal placé. Emery ? Peut-être, tu devrais lui en toucher deux mots la prochaine fois. Enfin plutôt lui écrire un post-it, tu attrapes ton stylo et le notes sur la liste. La fameuse liste que tu fais pour te souvenir de quoi lui dire, mais aussi pour préparer tes fiches. Tu lui as soumis l’idée de lui faire des fiches pour le ménage de l’appartement. Histoire qu’elle puisse le faire à ta façon. Tu peux déjà entendre la voix de Lis : on ne fait pas ça. Tu pourrais croire qu’elle a raison, mais si tu apprends à Emery à entretenir l’appartement comme tu l’aimes. Tout ira bien, elle ne sera plus une souillon et tu dormiras mieux. Oui, c’est ça, c’est pour votre bien être. Un point de plus pour ta liste. À présent, place à l’aspirateur, les tapis ont besoin d’un coup de frais. Faire le ménage te permet de ne penser à rien et surtout pas cet enfer que tu as vécu avant-hier. La faute à qui ? Lis bien sûr. Pourquoi est-ce que tu l’as écouté ? Parce qu’elle est ta meilleure amie et qu’elle veut ton bien ? Par moment, tu en doutes et fortement. Elle sait que tu détestes sortir, encore plus de tes habitudes et là. Là, elle a fait un mélange de toutes tes phobies. Le drame. Tu respires, puis expires, tout est passé à présent. C’est derrière toi. Ce cauchemar est fini, il ne reviendra pas te hanter. Pas sûr. La sonnette de l’interphone te fait sursauter. Tu ne t’attendais pas à ça et tu n’aimes pas ça. Prudemment tu t’avances, décroches le téléphone. Pas le temps de parler que sa voix se faire entendre. Tu aurais dû le prévoir. Tu soupires. Un temps. Quoi faire ? « Tu veux bien monter, je n’ai pas fini mon ménage. » que tu lui rétorques, sa proposition que tu mets de côté. Tu as besoin de méditer ses mots. Sortir ? Manger à l’extérieur ? Tu n’avais pas prévu ça, non toi tu avais prévu de passer l’aspirateur, de te faire une salade plus tard. Pas de manger dehors, pas de croiser des gens. Pourquoi faire ? Bonne question. Un frisson te parcourt rien qu’en songeant à aller dehors, non pas maintenant. Elle ne tarde pas à arriver dans ton appartement, elle connaît le rituel. On prend bien soin de s’essuyer les pieds, on dépose ses affaires sur le porte-manteau. Oui, tu es toqué, mais ton entourage le sait, c’est ça ou rien.
« Je parie que ton invitation cache quelque chose, je te préviens plus jamais. » que tu lui lances lorsqu’elle s’approche de toi. Salutation de loin, elle sait que le contact t’effraie encore plus. Tu n’aimes pas la proximité, qu’on te touche. Tout comme la nudité te met très mal à l’aise. Tu as failli perdre pied en croisant Emery la dernière fois dans l’appartement. Ce n’était pas ta faute, elle ne devait pas être là. Ton cerveau s’est emmêlé et tu as vrillé, sa faute, pas la tienne. Tu n’aimes pas voir la peau, les habits ne sont pas faits pour rien. Ils sont faits pour cacher la peau, alors il faut s’en servir. « Horrible. » que tu rajoutes, parce que tu te doutes qu’elle vient pour savoir comment s’est passé cette soirée. Ce rendez-vous qu’elle t’a arrangé. « tu permets, mon tapis ne va pas se faire tout seul. » tu as besoin d’évacuer et donc de passer l’aspirateur. Faire le ménage te détend, tu dois retrouver un sens, un équilibre, oublier ce cauchemar. Sauf que tu ne vas pas pouvoir, elle va vouloir que tu lui expliques. Misère. Quelques minutes plus tard, tu la retrouves dans la cuisine. « La prochaine fois, je te dis non, c’était une terrible idée, tout comme aller manger dehors. On est jeudi et j’ai prévu une salade. Tu es bien sûr la bienvenue. » voir des gens un jeudi et puis quoi encore ? Tu apprécies le calme de ton appartement, ça te rassure et ce soir tu ne verras personne lorsque tu prendras ton service. L’avantage de travailler de nuit. Tu es dans ta bulle et là tu n’as pas envie d’en sortir.
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(Just look into my eyes. 'Cause the heart never lies) Some people fight. Some people fall. Others pretend. They don't care at all. If you wanna fight. I'll stand right beside you. The day that you fall. I'll be right behind you
Lis Keynes
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C’est comme si elle s’était investie de la mission de veiller sur lui. Sur Renfield. C’est important, depuis qu’il a perdu Patsy. C’est important qu’il ne reste pas tout seul, en tout cas pas tout le temps. C’est important qu’on le sorte, qu’on lui change les idées, qu’on lui parle d’autre chose, qu’on lui donne l’occasion lui-même de parler. C’est important, toutes ces petites choses qui sont pour lui de grands pas en avant – en tout cas, selon le point de vue de Lis, peut-être trop optimiste. Toujours est-il qu’il a écouté ses conseils, parfois. Qu’il l’a écoutée quand elle l’a encouragé à se trouver un colocataire ; ou quand elle lui a conseillé de s’inscrire à cet événement de dating organisé à la Saint Valentin. Cela ne voulait pas dire qu’il trouverait l’âme-sœur, ni que c’est ce qu’il chercherait – mais au moins, cela avait le mérite de lui changer les idées, de lui faire rencontrer du monde. Lis n’espérait pas vraiment qu’il tombe tout à coup amoureux – mais peut-être pourrait-il se faire un.e ami.e ? Après tout, c’est bien ce qui lui était arrivé à elle, l’an passé. Elle s’était bien entendu avec Brody et en prime, elle avait bien rigolé toute la soirée, en oubliant ce qui dans le quotidien pouvait la tracasser.
C’est pour cela qu’elle est là, aujourd’hui. Pour cela qu’elle se retrouve à sonner chez Renfield, sans l’avoir prévenu de sa venue. Pas la première fois qu’elle lui fait le coup. Mais il a besoin qu’on le sorte de sa zone de confort. Voilà ce qu’elle se dit, Lis. Voilà pourquoi elle est là. Et puis, elle veille sur lui. A sa façon. Elle finit par sonner à l’interphone, s’annonce quand elle entend que Renfield est de l’autre côté. Sourit malgré elle à sa réponse. Renfield serait-il un peu ronchon ? « Ouiii, j’arrive. » répond-elle avec enthousiasme, pénétrant ensuite dans l’immeuble. Elle monte alors les escaliers jusqu’à l’étage où vit son meilleur ami. Combien de fois est-elle venue ici ? Elle ne s’en souvient pas, tant il y en a eu. Elle entre bientôt dans l’appartement, essuyant ses chaussures, posant sa veste sur le porte-manteau – cela dit, elle n’espère pas rester longtemps. Elle l’a dit : elle veut l’emmener manger quelque part. « Comment ça, plus jamais ? » lui demande-t-elle en haussant les sourcils, intriguée. Puis à la suite, elle ne peut retenir un rire, même si elle ne comprend pas tout de suite à quoi il fait allusion. « Quoi donc ? » Sa question n’est même pas innocente, elle n’a pas compris à quoi Renfield faisait allusion : ce fameux rendez-vous auquel elle l’a poussé à aller. « Hm, oui, bien sûr. » Elle se pousse, Lis, pour le laisser passer l’aspirateur sur son tapis. Habituée à son caractère, il lui en faut cependant plus pour se laisser affecter ou en démordre. Elle part en tout cas dans la cuisine, le temps de le laisser finir. Bientôt, Renfield finit par la rejoindre. Précise ce à quoi il faisait référence : le fameux date. « Pourquoi c’était une terrible idée ? Ça ne s’est pas bien passé ? » demande-t-elle, plus sérieusement, sincèrement soucieuse de son feedback. Après tout, il faut qu’il lui en dise plus, qu’il explique. « Tu peux la faire ce soir, la salade. Il fait super beau, on pourrait manger au soleil. Ça nous fera du bien à tous les deux. » Peut-être agit-elle comme une maman. Renfield ou Leon, c’est presque du pareil au même, finalement. A moins que ce ne soit du Lis tout craché, tout simplement.
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L’innocence, ce n’est pas le mot que tu emploierais pour qualifié ton amie. Elle a beau voir le visage qui le montre, qu’on lui donnerait le bon dieu sans confession. Toi, tu connais la vérité. Tu sais. Tu sais exactement de quoi elle est capable. Elle te force à sortir de ta zone de confort et clairement tu détestes ça. Bon, par moment, ça te fait du bien, comme la fois où elle t’a poussé à parler à Patsy. À lui avouer tes sentiments, là ça avait du bon, mais sinon, tu es contre ses idées, même si la plupart du temps tu le fais. Tu pourrais te rebeller, dire non, continuer ta routine. Sauf que tu la connais. Tu sais qu’elle ne lâchera pas le morceau. Pour la colocataire, elle n’avait pas tort, ça te fait du bien financièrement d’avoir une personne qui paye une part du loyer. Tu n’as pas besoin d’argent à proprement parler, mais cette aide te stabilise. Elle te fait du bien, te rassure pour les coups durs. Est-ce que tu avais besoin de ce date ? Non. Est-ce que tu as aimé ? Bien sûr que non. Tu as attendu et elle n’est jamais revenue. « Tu m’as abandonné en plus, tu avais promis de revenir au bout de deux heures. » ce qu’elle n’a pas fait. Et elle vient te voir avec un sourire angélique. Tu te doutes qu’elle veut aussi les informations, savoir comment la soirée s’est déroulée. Elle pensait bien, mais se fut un échec. Tu ne crois pas en l’amour, du moins tu ne penses pas tomber amoureux une seconde fois. Te faire des amies ? À quoi bon. Tu as lis et ton frère, ces deux-là te suffissent et puis les gens peuvent être plus que décevants. Au début, ils disent comprendre, accepter et au final ils t’abandonnent. Tu marmonnes en finissant de passer le ménage, ce qui a le don de te détendre, mais là. Là, tu hésites fortement, les images de cette soirée commencent à te hanter. Parce que tu sais qu’elle va vouloir en parler, mettre des mots sur tout ça et tu détestes déjà. Pourquoi ?
Le doux bruit de l’aspirateur finit par s’arrêter, tes pas vont directement vers la cuisine. Là où elle t’attend, elle continue son interrogatoire. « Tu t’attendais à quoi, il s’agit de moi. En plus tu m’as emmené dans un lieu de débauche, tu pensais sincèrement que j’avais ma place là-bas ? » ton regard qui se pose sur elle. Tu sais qu’elle meurt d’envie de rire de tout ça, tu ne comprends pas pourquoi. Les gens te dépassent par moment, tu sais que tu devrais apprendre les codes sociaux, comprendre un peu mieux les gens, les connexions. Tu pourrais, mais tu trouves cela bien trop compliqué. Tu aimes le monde à ta façon. Ton regard s’agrandit, « pourquoi tu veux tout changer ? Et je déteste le soleil, » tu pourrais paraître pour quelqu’un de ronchon, mais même pas. Tu ne ronchonnes pas, tu es toi-même. Négatif ? Pas vraiment. Tu as beaucoup de peur, le soleil n’en fait pas vraiment partie, mais la chaleur te met mal à l’aise. « En plus tu voulais manger quoi ? Je te connais, tu vas me dire encore un truc exotique et je vais encore avoir des brûlures d’estomac. Non, une salade c’est plus sage. En plus c’est jeudi et le jeudi c’est salade. » dis-tu en regardant ton réfrigérateur. Chaque chose à sa place, ce qui t’apaise. Emery commence à prendre le coup de main, à croire que tes fiches portent leur fruit. Pourquoi changer lorsque les gens peuvent s’habituer à ton mécanisme ? Qui n’est pas si compliqué. « J’ai même encore de la sauce que tu aimes bien. » dis-tu en lui montrant le petit flacon, si tu peux la faire craquer et que vous restiez ici, tu seras heureux. « Puis tu me dois bien ça, après cette horrible soirée, tu me tortures toujours. Pour une fois, on peut pas juste être là au calme. » non, tu ne lâches pas le morceau. Un peu comme elle, parce que tu sais qu’elle a un plan derrière la tête. Lis, elle te sort toujours de ta routine tout en te disant que c’est bon pour toi. Est-ce que tu as compris depuis le temps ? Non. Et tu ne penses toujours pas que c’est bon pour toi, même tout le contraire.
Spoiler:
encore pardon pour l'attente.
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Lis Keynes
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Aux autres, elle ne l’aurait pas fait. Mais ce n’est pas qu’elle se croit tout permis avec Renfield, Lis. C’est aussi – et surtout – qu’elle sait que parfois, il a besoin d’aide, besoin qu’on le pousse, besoin d’un petit coup de pouce. Elle est un peu pareille, elle-même ; ce n’est probablement pas pour rien qu’ils sont meilleurs amis depuis des années, maintenant. Malgré tout, elle se doute que ce n’est pas facile pour lui, de se remettre dans le bain. D’avancer après Patsy, de donner à nouveau sa chance à quelqu’un. Alors bien sûr, elle doutait que cet événement de dating organisé pour la Saint Valentin lui fasse rencontrer l’amour de sa vie. Mais c’était juste histoire de sortir, de l’aider à tourner doucement la page – ou à l’envisager. Du reste, il peut y aller à son rythme, Renfield. Ce n’est pas Lis qui lui mettrait la pression, d’une façon ou d’une autre. Loin de là. Peut-être qu’elle avait un micro-espoir d’un quelconque crush entre Renfield et cette fameuse personne – mais pour le savoir, il faut déjà que le premier concerné veuille bien en parler.
Quand elle arrive à l’appartement, Renfield est en plein ménage. Il l’accueille en lui disant qu’il sait que son invitation cache quelque chose et Lis demande des précisions à son plus jamais, intriguée. « J’ai dit ça, moi ? » Peut-être feint-elle l’innocence, peut-être qu’elle ne se rappelle tout simplement plus – après tout, Lis n’a jamais rien eu de très machiavélique. De son côté, Renfield ne cesse de faire allusion au fameux date, lui qui pourtant ne semblait pas vouloir tant que cela en parler – elle croyait du moins devoir lui tirer les vers du nez. « Attends, c’était où ? » Renfield n’aime pas sortir de ses petites habitudes, de sa routine. C’est là que Lis intervient, bien souvent. Comme maintenant, alors que lui reste attaché à sa salade, arguant en prime qu’il déteste le soleil. « C’est plein de vitamines D, ça fait pas de mal une petite dose de temps en temps. » La blonde a décidé de ne pas se laisser démonter. Au moins, Renfield lui demande ce qu’elle voulait manger – avant de vite faire allusion aux trucs qui ne feront pas de bien à son estomac. « Et pourquoi pas un sandwich ? On peut en trouver de super bons, et c’est tout simple. » répond-elle, Lis, avant de hausser les épaules. En attendant, Renfield reste accroché à sa salade, parce que c’est jeudi et que c’est jour de salade. Renfield semble même essayer de la corrompre. « Tu ne m’auras pas si facilement. » réplique-t-elle. Elle ne va pas abandonner, de toute façon, Lis. « Une horrible soirée, comme tu y vas. C’est pas de la torture, c’est pour ton bien, tout ça, et tu le sais très bien. » Elle ne peut retenir un sourire, Lis. Renfield reste Renfield, et elle, elle reste Lis.
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« Oui, tu m’as dit que tu viendrais me chercher au bout de deux heures, sinon il faudrait que je prenne un taxi pour rentrer. Et tu sais ô combien je n’aime pas ses engins de mort. Tu m’as lâchement abandonné dans ce lieu de débauche. J’aurais pu mourir. » ton regard qui se plante enfin dans celui de ton amie. De ta meilleure amie, celle qui te connaît aussi bien que tu connaisses tes poches. Lis, c’est ton petit ange gardien, elle veille sur toi, envers et contre tout. Parfois, tu as l’impression d’être un boulet, parce que tu es pire qu’un enfant. Tu n’es pas facile à vivre et tu pourrais compatir envers tes proches. Bon, d’un sens ton frère n’est pas mieux que toi, quoiqu’il est plus doué avec les gens, que toi. À l’inverse, Lis, pourrait toujours partir, rien ne l’empêche d’être à tes côtés. Faut croire, que tu dois avoir des bons côtés. Parfois tu aimes qu’elle te sorte de tes habitudes, tu l’en remercies, mais pas trop. Là en revanche, tu lui en veux un brin, elle devait venir te chercher et elle n’est pas venue. Elle n’est pas venue te récupérer et tu as dû te débrouiller pour rentrer. « dans un endroit, entouré d’alcool, avec des gens des plus étranges. Tu pensais vraiment, que je serais bien ? Est-ce que tu as pris un coup sur la tête ce jour-là ? Parfois ça peut mener à une commotion, il faut faire attention. » non, tu n’es sarcastique, tu t’inquiètes vraiment. Peut-être qu’elle a vraiment pris un coup sur la tête, surtout pour te dire que c’est une bonne idée. Toi dans ce lieu ? Et puis quoi encore ? Impossible. Et elle garde son petit air, son petit air mutin, tu l’aimes bien, mais tu sais que parfois ça cache quelque chose. La preuve, elle veut te sortir, elle veut encore casser tes habitudes. « tu vois, tu recommences, ce n’est pas prévu dans le programme. Et je prends des vitamines D tous les matins. » que tu rétorques. Manger dehors ? Et puis quoi encore. La prochaine fois, elle te dira de monter en haut d’une montagne et de faire des pirouettes. Elle en serait capable, quoique ? Elle sait que tu as le vertige. Ou alors elle voudrait que tu manges des artichauts froids. Lis, tu l’aimes autant qu’elle t’effraie, surtout avec ses idées. Qui mange dehors ? Inconcevable. « Je ne comprends pas ce que tu sous-entends, j’y peux rien, s’il me reste de la sauce que tu aimes. Oh et j’ai fait des muffins. C’est bien meilleur qu’un sandwich, une très bonne salade et un muffin myrtilles. » le repas idéal. Le repas du jeudi. Ta tête qui se tourne vers ton amie, « mon bien ? Non, c’était horrible, j’ai dû discuter avec une personne. Je crois que tu te rends pas compte ô combien c’est dur pour moi. Bon elle n’était pas méchante, mais je n’aime pas faire la discussion. Je ne sais jamais quoi dire. » oui, terrible idée. Votre amitié peut surprendre, vous êtes tous les deux, opposés et alors ? Tu étais l’opposé même de Patsy et ça fonctionnait. Toute façon, tu es toujours différent des autres. « salade ? » dis-tu en sortant une assiette pour ton amie , « oh ! Et en continuant sur tes merveilles idées. J’ai rencontré ma souillon de colocataire, elle était nue. N-U-E Lis, ça aussi tu vas me dire uque ce n’est pas horrible ? » tu trembles rien qu’en disant le mot. Tu as des sueurs froides et tu te sens pas bien. Tu détestes la nudité, elle te met mal à l’aise et là, se fut le pompom. Elle ne devait pas être là, tu ne devais pas la rencontrer, tu avais dit à Lis que c’était une mauvaise. « Tes idées vont me conduire six pieds sous terre ! » que tu finis par dire en rangeant ton aspirateur. Tu l’aimes, mais parfois tu doutes de ses intentions.
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pronom perso : elle.
trigger : toute description détaillée de viols, agressions sexuelles et violences de toute sorte + inceste, cruauté animale, maltraitance, mutilations.
Cet événement de dating n’a sûrement pas fait de mal à Renfield. Cela l’a peut-être un peu mis mal à l’aise, car cela changeait de ses habitudes, car il n’est pas toujours à l’aise avec ceux qu’il ne connaît pas, parce qu’il pense encore sans doute à Patsy. Mais selon Lis, le fait qu’il y soit quand même allé, c’est déjà une victoire en soi. Un petit pas en avant. C’est en tout cas ce qu’elle pense, la blonde, mais elle doute que ce soit son cas à lui. Preuve en est qu’il lui reproche maintenant de l’avoir laissé tout seul, l’autre fois. « Mais tu n’es pas mort. » répond-elle, petit sourire en coin. Non, Renfield a survécu puisqu’il se trouve face à elle, en chair et en os, ne ressemblant nullement à une apparition, un fantôme ayant élu domicile dans l’appartement de son meilleur ami. Celui-ci entend bien ne pas s’arrêter là, puisqu’il en remet de lui-même une couche. Cette fois en insistant sur le lieu où a eu lieu le fameux date. « C’est pas moi qui ai choisi l’endroit. » Hausse les épaules, se dédouane avec humour, sans peine. Il en faudra plus pour la faire regretter de l’avoir poussé à participer à cet événement. « J’ai pensé que ça te ferait du bien. Et le fait que tu y sois allé, c’est un grand pas. » Peut-être qu’elle fait un peu sa maman avec Renfield, elle doit l’avouer, Lis.
À présent, elle adorerait réussir à faire sortir Renfield (et à lui faire cesser son ménage). Mais cela, ce n’est pas gagné, loin de là. Il faut rivaliser d’ingéniosité pour comprendre son ami de l’écouter et de mettre le nez dehors. Ce n’était pas prévu, et Renfield n’aime pas ce qui n’est pas prévu, n’aime pas l’imprévu. « Et alors ? Ça ne fait pas de mal, parfois, de changer le programme. Et peut-être que tu prends des vitamines D, mais ça ne vaut pas les vitamines naturelles. » Elle hoche la tête en disant ces mots, la blonde. Il en faudra plus également pour que Renfield parvienne à la convaincre aussi facilement. Elle peut être têtue quand elle le veut, Lis. Seulement, son meilleur aussi, il en remet d’ailleurs une couche avec son histoire de muffin myrtille. « Mais on peut emporter tes muffins avec nous pour les manger en dessert. » Sourire angélique qui se dessine sur les lèvres de Lis. Non, définitivement, elle ne baissera pas les bras. Finalement, Renfield aborde à nouveau le sujet du date, de lui-même. « Oh, si, je me rends compte. Mais c’est bien que tu aies quand même essayé. Elle était sympa ? À quoi elle ressemble, qu’est-ce qu’elle fait dans la vie ? » lui demande-t-elle avec curiosité. Après tout, c’est la raison première de sa présence ici : elle vient pour le débrief, pas seulement pour le sortir. Et peut-être que Renfield râle, rouspète, mais au moins il a admis que la personne était sympa et il en parle de lui-même. Comme il ne tarde pas à lui parler de sa colocataire, et cela, autant dire que Lis ne l’a pas vu venir une seule seconde. Elle hausse les sourcils, malgré elle, face à la réaction de Renfield. « Hm, j’avoue que c’est un peu gênant… » Cela étant, y a-t-il une raison pour laquelle il réagit de cette façon ? « Comment ça se fait ? Comment ça s’est passé ? » Comment cette situation a-t-elle pu se produire et comment ont-ils réagi, sans doute ? C’est là la grande question. Au moins, Renfield range finalement son aspirateur.
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don't want anything in particular, just you, a nice tune and some Cheerios. no more calls and Facetimes, dates without mine.