medicine (jace)

medicine

@Jace Jenkins
Jake l'a raccompagné chez elle après que Jace soit partit en la plantant dans ce restaurant et la colère de la brune avait atteint un tel paroxysme qu'il lui avait fallut beaucoup de temps avant de réussir à se calmer mais même ce matin en se réveillant elle sentait que sa rage était toujours là et Derya détestait cette sensation abominable. Ce n'était pas qu'il ai été vu en compagnie d'Effie qui lui posait problème ni même que Jake ai évoqué cette rousse comme pouvant être une possible conquête non ce qui l'avait mise hors d'elle était son comportement inapproprié de la boisson jusqu'à prendre le volant alcoolisé et pire encore il l'avait laissé derrière lui et la brune ne comptait pas laisser passer ça. Le doute persistait dans son esprit quelque chose avait changé hier soir quand il était revenu du comptoir avec un nouveau verre et elle n'avait cessé d'y penser mais Derya n'était pas du genre à se torturer en attendant de comprendre, non elle avait décidé d'y aller et de le confronter et vu sa rage il allait certainement le sentir passer mais elle ne serait pas désolée cette fois ci car une fois de plus il s'était comporté comme un imbécile. Elle pensait que l'histoire du bouquet de fleur n'était qu'un détail mais il avait réitéré ses mauvaises manières hier soir et elle n'était pas d'accord avec ça ainsi la brune prit sa voiture et roula jusqu'à la villa de Jace dans ce quartier qu'elle appréciait et dans lequel elle avait l'habitude d'aller maintenant qu'il avait emménagé sauf que leurs retrouvailles ne se passaient pas exactement comme prévus depuis qu'il était revenu et la magie qu'ils avaient ressentis ensemble sur le paddock s'était effacée pour laisser la place aux incertitudes et aux disputes . Jake avait été adorable avec elle en la ramenant s'excusant une centaine de fois et Derya lui avait assuré que ce n'était pas sa faute. Elle se gara et sortit sa clé pour entrer dans la maison pas de robe ou de talons aujourd'hui elle avait troqué ses vêtements qui la mettait en valeur pour un jean et des baskets elle était énervée et il n'était nullement question de séduction cette fois. Elle ouvrit la porte avec fracas la maison était vide et silencieuse et c'est en passant devant sa chambre qu'elle constata qu'il dormait comme un loir grâce à sa magnifique gueule de bois. Elle failli entrer pour le secouer mais son instinct prit le dessus quand elle passa la chambre pour aller dans la salle de bain et ouvrir les tiroirs. Quelque chose n'allait pas il n'avait pas été dans son état normal hier soir, ça n'excusait évidemment rien mais il était revenu changer du comptoir et ce qui l'alerta ce fut le nombre de boîte d'anti douleurs qu'elle trouva. Il y'en avait des tas, des vides et des remplies mais il n'était pas censé avoir besoin de toutes ces boîtes d'autant plus maintenant qu'il souffrait moins qu'au moment de l'accident.

Derya pris plusieurs boîtes dans ses mains elle était trop en colère pour réfléchir comme il le fallait et quand elle entra dans la chambre elle eu la bonne idée de les lui jeter dessus une par une. Réveilles toi ! Boîtes qu'elle lui jetait à la figure , ne lui laissant pas le temps de se réveiller correctement ni même d'articuler une parole. Qu'est-ce que tu regrettes le plus hein ? Ta gueule de bois du matin, les anti dépresseurs que tu t'enfiles comme des bonbons ou de m'avoir planté au restaurant peut être ?! Elle était hors d'elle et se fichait bien de la tête qu'il tirait décuvant visiblement de la veille. T'es qu'un abruti Jace Jenkins je ne sais pas ce qui est le pire ! Elle tremble et maintenant qu'elle n'a plus de boîte dans les mains elle se retient de lui lancer tous les objets à sa portée.

⌜ medicine... ⌟

@derya aslan & @jace jenkins

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Sous les auspices d’un brouillard sombre et à peine visible, il s’était levé, les paupières qui tentait de se maintenir éveillé sans comprendre tout ce qui venait de se passer. En quelques secondes à peine, la soirée qui aurait dû s’avéré parfaite venait de viré au cauchemar au point de se demander si tout ceci était réelle et pas encore une nouvelle fois produit dans sa tête. Il avait tenté à mainte reprise de ce jouer le scénario pour se rendre compte de l’évidence. Il n’avait pas rêvé. L’atmosphère à l’ambiance romantique s’était vite effacé pour en devenir lourde au point qu’il n’avait pas réussi à rester calme comme il avait toujours l’habitude de le faire. Sourire, faire semblant que tout allait bien, hoché de la tête, garder l’image qu’il jouait en permanence devant les caméras et surtout face à sa relation avec Derya qu’uniquement ses proches en détenait la vérité avait été bien plus pensant qu’il ne l’avait cru. Tout se jouait continuellement dans son esprit soufflant pour se tenir à la porte quand il était allait au bout de sa colère et de sa déception à disparaitre pour laisser la femme qu’il aime avec ce type. Il avait secoué la tête à plusieurs reprises pour se rendre de l’erreur qu’il avait fait et surtout de sa manière d’avoir agi avec elle, pourtant, prisonnier, il savait qu’à rester et continuer à garder les yeux rivés sur cet homme loin de vouloir disparaitre de leur soirée aurait fini par le faire perdre pied quand il n’arrivait plus à réfléchir correctement. La chaleur avait monté d’un grand tirant sur sa chemise où il étouffait littéralement, la main tremblante il n’avait pas tout de suite compris ce qui lui arrivait. La tête tourné quelques secondes prêt à revenir sur ses pas avant de s’arrêter. Il se doutait que s’il l’avait fait, les suspicions auraient résidé assez pour ouvrir la porte du restaurant et trouver l’air dont il avait besoin. Il suffoquait, mais plus encore il éprit de remords, la culpabilité s’était faufilée sans la quitter. Dans la voiture qu’il avait démarré alors qu’une part de lui hurlé de se stopper au risque que tout se dégrade. Sans doute aurait-il dû appeler Nate pour venir le récupérer, mais au vu de son état, celui-ci aurait vite compris que quelque chose n’allait pas et il ne voulait pas y voir chez lui comme chez elle cette déception qu’il pourrait provoquer et surtout mentir continuellement comme il le faisait à se répéter que tout allait bien. Après tout, ce n’était que quelques compris pour maintenir la douleur qui le pesait et cela même si le médecin lui disait qu’il allait bien, c’était dans sa tête. Quelque chose n’allait pas se doutant de la raison à laquelle il préférait oublié quand il avait vu les marques de culpabilité sur le visage de Derya, il ne voulait pas la revoir ainsi toutefois il sait qu’il venait de la blesser. Une partie de lui hurlait de revenir à la raison, de stopper la voiture, prendre un taxi pour faire demi-tour et lui dire combien il était désolé de son comportement à ses côté, mais il ne regrettait pas pour autant d’avoir été si méprisable auprès de ce type qu’il ne connaissait pas, mais semblait étrangement être un peu trop présent dans leur vie et surtout dans la vie de sa petite amie. Brutalement, il interrompt ses pensées, s’arrêtant sur le bas-côté pour se rendre à l’évidence qu’il n’allait pas bien. Sa tête tourne avec la sensation de recevoir un millier de coup de poing au point de poser sa main sur sa poitrine, son cœur bat trop vite, ses mains tremblent autant que les sueurs froides lui vient petit à petit. Les prunelles se ferment pour faire glisser ses doigts dans la poche de sa veste et y sortir cette boite de pilule. Il ne lit pas les instructions voyant qu’il ne lui en resté que deux. Il soupire sans vouloir admettre la réalité se répétant que ce soir était différent, demain tout irait bien, demain il irait la voir pour s’excuser et s’assurer qu’elle allait bien. Il ne réfléchit pas portant à sa bouche les deux gélules qu’il avale fermant les yeux pointe de culpabilité et de regrets qui s’entremêlent, mais dont il se refuse à admettre. Il allait bien, il s’était répté à mainte fois ça pour finir par s’en convaincre.

Il ne sait pas comment il était arrivé jusqu’à chez lui et encore moins dans le lit ou il se trouvait, la nuit avait été difficile au point que sa mémoire lui jouait des tours, les pupilles toujours fermé, il n’arrivait pas à se réveiller laissant ses cauchemars lui revenir sans pouvoir y sortir tout de suite avant de sentir s’enfoncer dans ce profond sommeil face à l’alcool et le mélange de médicaments qui avait fini par l’achever laissant le chaos régner dans ses songes auquel il se battait contre lui-même. Des heures passés, combat acharné où plus rien autour de lui n’existe presqu’inerte dans les draps qu’il n’avait pas quittés avant de sentir cette sensation interrompre les quelques contrée de ses souvenirs qui refont surface. Il fonce les sourcils secouant légèrement la tête sans pouvoir réussir tout de suite à ouvrir les yeux. L’écho de cette voix lui parvient de loin, il grogne légèrement tenant entre ses mains le drap qu’il resserre pour sortir la tempête qui cogne dans son corps incapable de bouger. Pas tout de suite, première tentative qu’il échoue lorsqu’il essaye d’ouvrir ses yeux. Il remarque la silhouette flou sans arriver à la reconnaitre, en vérité, il n’en a pas besoin, il se doute que c’était elle, il le ressentait, mais ne dit rien. Sa bouche est sèche autant qu’il ressent son cerveau lui faire un mal de chien. Derya ? il sait que c’est elle, mais incapable de se retenir avant de sentir sur lui des objets qui fini par le faire revenir à la réalité et qu’il entend sa voix avec plus de clarté. Réveilles toi ! La violence l’atteint au point de poser sa main sur son crâne toujours en feu où il tente de se repasser le film de la soirée sans doute aurait-il préféré ne pas le faire ou il se redresse sur le lit avant de poser une main devant lui quand un nouvel objet pointe dans sa direction. Il n’a pas le temps de comprendre ce qui ce passe si ce n’est de tenir l’un entre ses mains ou il ferme les yeux devant le regard coupable qu’il ne peut pas cacher. Qu'est-ce que tu regrettes le plus hein ? Ta gueule de bois du matin, les anti dépresseurs que tu t'enfiles comme des bonbons ou de m'avoir planté au restaurant peut être ?! Il regrettait tout, c’est ce qu’il aurait dû lui dire, mais il ne pouvait pas, il savait que dans cet état, elle ne l’aurait pas écouté, pas tout de suite quand tout avait dégénéré par sa faute en tout cas une partie. Ses mains glissent sur son visage avant de cette fois-ci réussir à soutenir son regard vers elle. Il n’aurait pas dû quand il voit combien elle est blessée assez pour se relever ou sa tête se met vite à balancer de tous les côtés, mais tente de faire abstraction à ce sentiment, il tente un premier pas dans sa direction sans oser la toucher. Je suis désolé pour tout et surtout de t’avoir laissé comme ça, je regrette vraiment . Il ne savait pas vraiment si tout avait un sens mais se tenter à être sincère et ça même s’il savait qu’il lui devrait bien plus d’explications. T'es qu'un abruti Jace Jenkins je ne sais pas ce qui est le pire ! Il déteste la voir dans cet état surtout lorsqu’il sait qu’il est responsable de son regard noir qui se glisse vers lui. Elle ne le détestait pas sans doute aurait-il préféré que voir ses larmes prêt à venir sur glisser le long de ses joues. Il secoue la tête rattrapant sa main quand elle veut lui jeter un nouvel objet au visage. Tu as raison je suis un abruti et je vais pas chercher d’excuses, mais je pouvais pas resté et j’aurais dû faire quoi ? Te dire de me suivre alors qu’on est censé être ami, j’aurais dû faire quoi ? Faire semblant que le voir gâcher notre soirée était pas en train de me rendre dingue ? Il savait qu’elle s’était efforcé faire de son mieux, mais il n’arrivait pas à lâcher cette colère contre ce type face à la soirée gâché à nouveau devant le rappel de celle de son anniversaire. En ce qui concerne les pilules si je t’en ai pas parlé c’est pas pour t’inquiéter comme tu le fais, je vais bien, j’en ai juste besoin quand la douleur est trop forte. Il ne voyait rien de mal, il le pensait sans même se rendre compte véritablement de la pile qu’elle lui avait jeté. Ses pupilles se verrouilles à l’observer incapable de quitter ses iris. Il voit sa souffrance assez pour secouer la tête. Je t’en prie parle-moi, mais m’ignore pas s'il te plait... La sensation est atroce, mais incapable de bouger pour lui laisser cet espace dont elle semble avoir besoin avant de la voir revenir vers lui sans doute prête à lui cracher son venin dont il est prêt à assumer. Je regrette de te blesser à chaque fois. Il ne cherche pas d'excuses, mais Il ne pouvait pas nier la vérité quand c'était lui qui finissait toujours par lui faire plus de mal que n'importe qui ou silencieux il attend qu’elle lui lance ces paroles qu’il sait aura mérité.

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@Jace Jenkins
Si sa colère avait pu se matérialiser en une couleur elle serait rouge vive mais il n'y avait qu'elle et toute cette rage qu'elle lui balançait au visage à l'aide de toutes les boîtes anti douleurs qu'elle avait trouvé Derya était une véritable furie elle avait eu le temps de laisser sa colère grandir au fur et à mesure de la soirée et encore plus cette nuit où elle n'avait pas dormi et n'avait eu de cesse de se repasser le comportement détestable de Jace la veille la brune lui en voulait terriblement ne s'attendant pas à ce qu'il la plante dans ce restaurant et même si Jake avait essayé de l'apaiser il n'avait pas pu y arriver. Elle crie pour qu'il se réveille et se fiche de le tirer d'un sommeil dont il avait besoin elle n'avait pas fermé l'oeil de la nuit à cause de lui et Derya pouvait se montrer mauvaise quand elle était dans cet état mais Jace était bien placé pour le savoir. Il ouvre les yeux et rattrape une nouvelle boîte qu'elle lui jette dessus son silence voulant en dire plus que les mots mais Derya au fond n'avait pas besoin de ses explications elle savait que quelque chose n'allait pas et elle le ressentait au fond d'elle même. Tu es désolé... Un air grave s'installe sur le visage de Derya si seulement ses excuses pouvaient suffire mais ce n'était pas suffisant cette fois au delà du fait que leur soirée avait été gâchée par l'arrivée de Jake ce n'était pas une raison pour la laisser de côté et surtout derrière lui comme si elle n'avait jamais compté. Pas cette fois Jace ça ne me suffit pas tes excuses. Elle croise les bras sur sa poitrine. Tu étais ivre et tu as pris le volant. C'était dangereux et il aurait pu lui arriver n'importe quoi car même en colère Derya s'inquiète toujours pour lui. Tu m'as laissé rentrer toute seule et il aurait pu m'arriver n'importe quoi si Jake ne m'avait pas raccompagné ! Elle n'avait pas sa voiture et il faisait nuit Derya lui en voulait de l'avoir laissé et il n'avait pas le droit de faire ça. Tu étais tellement en colère que tu as négligé ma sécurité ! Elle en avait lourd sur le coeur mais elle estimait ne pas mériter ce qu'il lui avait fait la nuit dernière elle n'y était pour rien et n'avait rien fait de mal. Jace rattrape sa main avant qu'elle ne lui lance un nouvel objet à la figure. C'est trop facile ça Jace ! T'aurais du inventé une excuse n'importe quoi et on serait rentré. Ils se seraient éclipsés et auraient trouvé une autre façon de passer la soirée Derya l'aurait évidemment suivi.

Ce qui était le plus grave était qu'il niait son état en minimisant sa consommation de ces pilules et la brune se sentait déboussolé face à la négation qu'il s'évertuait à garder. Personne n'a autant de boîte chez lui si ce n'est "rien" tu en as pris hier soir ? Elle savait déjà la réponse mais Derya voulait voir s'il était capable de lui mentir. Et combien tu en as pris ? Il l'avait blessé c'est vrai et elle n'avait pas envie de le contredire cette fois en réalité elle ignora sa phrase pour se concentrer sur les boîtes qu'elle avait dans les mains. Une qu'elle ouvrit pour sortir la notice. C'est marqué ici qu'il ne faut pas les mélanger avec l'alcool et qu'à haute teneur ça peut être addictif. Elle serre ses doigts sur la notice. Tu en prends depuis combien de temps ? C'est ce que Derya veut savoir.

⌜ medicine... ⌟

@derya aslan & @jace jenkins

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Le silence l’entoure, la culpabilité s’enfonce, il se rappelle sa culpabilité, il s’était arrêté à peine dans la ruelle à quelques pas du restaurant pour revenir sur ses pas et qu’il entend cette serveuse sourire mêlé à sa pitié pour lui dire qu’ils étaient partis. Il n’y avait pas prêté plus d’attention regret qui l’avait parcouru à l’idée de ce qu’il venait de faire. Soupire qui se glisse pour retourner à sa voiture cognant sur le volant assez pour remarquer que ses phalanges sont irritées et toujours rouge. Tout est encore flou, mais il n’a pas le temps de réfléchir plus lorsqu’il sent cet objet le faire revenir de ses pensées qu’il a bien du mal à comprendre assez pour relever son regard vers elle pinçant sa lèvre sans qu’il ne puisse lui dire un mot. Il sait qu’il a foiré en beauté, qu’il n’aurait jamais dû la laisser et que sa colère est légitime. Que pouvait-il lui dire de plus quand il ne cesse de songer à quel point il avait été égoïste à ne penser qu’à sa frustration devant la soirée qui aurait dû être pleines de souvenirs et avait fini en un véritable cauchemar. Tu es désolé... Sa voix est sans appel. Dur, froid pleine de mépris et de déception sans doute était-ce la pire de la voire face à lui et d’y lire combien il ne l’avait pas uniquement blessé, mais déçu. Il l’était plus qu’elle ne pourrait l’imaginer, mais à cet instant il sait que cela ne suffira pas. Pas cette fois Jace ça ne me suffit pas tes excuses. Il ne savait pas ce qu’elle attendait de lui, renfermé sur lui-même, Jace se relève attrapant ses quelques vêtements au passage ou il remarque dans le reflet du miroir derrière elle, ses prunelles percés par la fatigue, creux ou les poches s’y glisse. Il jette sa tête en arrière avant de reculer d’un pas pour lui tourner quelques secondes le dos incapable de se retrouver devant elle quand la honte s’imprègne et qu’il a l’impression de revenir en arrière quand d’un geste il se referme sur lui. Les mots n’auraient aucun impact, il le sait qu’il avait été trop loin à la laisser, mais loin de ce qu’elle croyait s’il regrettait tout ce qui était arrivé auprès d’elle, rien ne changeait de sa méprise pour ce type dont il se rappelait et avait le sentiment qu’il n’avait pas dit la vérité. Toutefois, Jace se retient de l’évoquer se doutant déjà de son regard et de sa colère s’il osait le faire assez pour se retenir et se coller derrière le muret derrière lui attendant qu’elle lui jette son ressentiment dont elle en avait eu tous les droits. Tu étais ivre et tu as pris le volant. Son regard scrute les opales de Derya, sa colère s’efface quelques secondes pour y voir la peur et surtout son inquiétude. Bras croisés contre son torse glissant ses mains sur son visage. Je n’étais pas aussi ivre que tu peux le croire, mais ce n’était pas une excuse. Je sais que je n’aurais jamais dû faire ça et je sais que tu dois me détester et que je te déçois, que tu étais inquiète, sache je n’ai jamais voulu tout ça, j’ai pas réfléchi, je sais que ce n’est pas une excuse, mais c’est la vérité. Il aurait dû réfléchir sans comprendre pourquoi il s’était retrouvé avec un état d’ébriété aussi avancé. Il tenait l’alcool bien plus longtemps. À une époque, il pouvait boire sans que les effets se manifestent avant deux bouteilles vidés, là à peine deux voire trois verres et il s’était retrouvé dans un état dans lequel les souvenirs étaient vagues incapable de comprendre pourquoi tout était flou et qu’il n'arrivait pas à se rappeler de tout. Tu m'as laissé rentrer toute seule et il aurait pu m'arriver n'importe quoi si Jake ne m'avait pas raccompagné ! Ses poings se serrent pour croiser et décroiser ses bras secouant la tête conscience qu’il aurait pu lui arriver quelque chose par sa faute ne soulignant pas au passage ce prénom qui le met hors de lui sans cette fois-ci y montrer un signe. Il le sait, ce n’était pas le moment ce type tel un vrai chevalier blanc, de quoi vomir songe-t-il. Je suis revenu Derya, j’ai regretté à la seconde même, je m’en voulais d’avoir été un aussi gros connard avec toi, mais quand je suis arrivé, la serveuse m’a dit que tu étais déjà parti. Il aurait très bien pu venir chez elle pour s’excuser par lui-même, mais il ne savait pas pourquoi ou même comment, il s’était retrouvé chez lui. Tu étais tellement en colère que tu as négligé ma sécurité ! Elle avait tort, il n’était pas en colère contre elle, mais la situation qui lui avait échappé. Il s’était imaginé une soirée dans les moindre détails à fêter leur un mois ensemble, un mois ou rien n’avait été simple pour l’un comme pour l’autre. Il avait réussi à arranger cette soirée pour qu’elle sache que même s’il n’avait pas autant d’attention que certains hommes, il n’en oubliait pas le plus important, mais encore une fois tout avait été un vrai fiasco. Je n’étais pas en colère contre toi, mais par ce type, par cette soirée sans que je comprenne comment on en est encore arrivé là, j’étais blessé parce que j’ai bien vu que tu croyais plus en lui qu’en moi. Elle pouvait le nier, mais il l’avait remarqué que dès lors il avait souligné cette femme, elle n’avait pas rechigné si ce n’est de croire en ses paroles. « Je ne retourne pas la situation si c’est ce que tu peux croire, mais ça m’a aussi fait mal de voir que t’as pas hésité à y croire, croire que j’aurai pu te faire ça » Il ne savait pas trop ce que cela voulait dire si elle ne lui faisait pas confiance. Il soupire pour tenter à nouveau de comprendre ce qui avait pu se passer. Et s’il t’étais arrivé quelque chose, jamais j’aurai pu me le pardonner, crois-moi, je me déteste assez comme ça pour avoir pu faire une telle connerie, je suis désolé Derya, vraiment désolé, je sais pas ce qui s’est passé, c’était comme si je n’arrivais plus rien à contrôler. Sa voix tremble légèrement, il était rassuré qu’elle n’avait rien eu, mais il ne pouvait pas nier à quel point l’angoisse était toujours là quand il savait combien il n’avait eu cesse de faire des erreurs auprès d’elle. C'est trop facile ça Jace ! T'aurais du inventé une excuse n'importe quoi et on serait rentré. Elle avait tort, rien n'était facile, elle l’aurait vu si elle ne croyait pas sans cesse en ce type qui n’avait pas arrêté de les coller sans refuser de les lâcher ou plutôt elle. Dis-moi ce que j’aurais dit et s’il avait compris hein tu sais ce qui se serait passé, s’il n'était pas venu rien de tout ça ne serait arrivé, mais apparemment tout est de ma faute alors très bien. Il avait regretté de l’avoir laissé, de ne pas l’avoir ramené, il regrettait au point que sa tête lui faisait si mal qu’il avait dû mal à tenir debout s’asseyant sur la chaise pas loin de lui tenant celle-ci entre ses mains.

Il la voit avancer vers lui posant les quelques boites devant lui, il se doute déjà de ce qu’elle va lui dire, mais encore une fois il ne dit rien parce qu’il sait qu’elle ne le croirait pas. Pour ça, il aurait fallu qu’il y croit lui-même. Personne n'a autant de boîte chez lui si ce n'est "rien" tu en as pris hier soir ? Sa tête est baissée incapable de la regarder droit dans les yeux posant sa main sur sa bouche sans qu’il ne puisse tout de suite lui répondre. Il ne pouvait pas lui mentir. Oui… mais uniquement parce que j’avais mal. Il le pensait et à force il ne voyait pas d’autre raison qu’il aurait pu le pousser à le faire. Et combien tu en as pris ? Jace avait dû mal à tout se souvenir, désorienté quelques secondes il tente de se rappeler, mais impossible soupirant pour hausser des épaules. Sans doute deux ou trois... je ne sais plus Derya C’était la vérité, c’était encore ce qu’il répétait sans réussir à la regarder droit dans les yeux, sa colère était difficile à soutenir et plus sa déception et tristesse qui lui arracher les entrailles face à ses regrets de toujours se planter à ses côtés. C'est marqué ici qu'il ne faut pas les mélanger avec l'alcool et qu'à haute teneur ça peut être addictif. Jace n’ose pas dire un mot se doutant déjà de ce qu’elle imaginait assez pour soupirer et attraper la bras de Derya pour qu’elle avance un peu plus près de lui. Elle avait beau lui en vouloir, il savait qu’elle s’approcherait quand même, il l’espérait. Si je voulais retombé dans un truc addictif dans ce cas j’aurais pris de la drogue ce qui n’est pas le cas et oui je n’aurais pas dû en boire avec de l’alcool, j’ai été con, vraiment con si ce n’est plus que ça. D’habitude, il en prenant directement, il ne se rappelle même pas d’y avoir mélangé avec de l’alcool. Exaspéré de ne pas comprendre pourquoi il avait perdu une partie de la soirée de sa mémoire. Tu en prends depuis combien de temps ? Tout en devient lourd, la tension est palpable creusant un peu plus le fossé entre eux et qu’il se relève pour s’échapper de son contact et y laisser la distance se maintenir. Son regard se perd sur le ciel à peine dégagé au point de se demander depuis combien de temps était-il resté dans un état à la limite léthargique. Le médecin m’en avait prescrit après mon accident, du moins quand j’ai pu à nouveau ressentir mes jambes, la douleur était violente. Sur le moment, il avait hésité, mais la souffrance avait été trop difficile à supporter assez pour se laisser aller sans songer à un moindre danger tandis qu’aujourd’hui tout lui échappait. Je n’ai pas envie que tu me détestes des semaines entières. Il n’avait pas envie de se retrouver quelques mois en arrière à revivre la même situation qu’à son anniversaire. Je vais surtout croire que je suis maudit à chaque fois que je songe à tenter quelque chose à un moment important pour toi, pour nous, tout foire ou est-ce que ça vient de moi. Ses mots sortent si rapidement sans voir qu’il avait dit ça à voix haute. Son reflet dans la fenêtre pour y laisser cette déception qu’il a de lui-même et surtout à ne pas réussir à lui prouver à quel point elle compté pour lui, plus qu’elle ne pourrait le contraire si ce n’est de faire le l’inverse.

medicine

@Jace Jenkins
Derya était dans une colère noire elle ne pouvait se calmer et cette fois-ci ses maigres excuses ne suffiraientpas car il avait coché trop de fautes sur la liste de la brune, bien qu'elle n'était pas résolue à l'ignorer car Derya ne savait pas rester loin de Jace trop longtemps mais son comportement était inacceptable et elle n'appréciait pas ça. Il s'habilla en lui tournant le dos et Derya se montrait silencieuse presque trop patiente quand elle ne l'était pas du tout et qu'en réalité elle ruminait ses pensées colériques envers lui se retenant de lui lancef une nouvelle boîte de médicament à la figure consciente que son comportement était sûrement puérile mais aux yeux de la brune il méritait qu'elle soit en colère. Je m'en fiche de savoir à quel point tu étais ivre tu t'es mis en danger tu n'as pas cinq ans Jace ! Il se moquait d'elle ? Était-il un enfant à qui il fallait faire la morale pour le sermonner sur ses bêtises ? Il avait passé l'âge et elle aussi mais visiblement il fallait tout de même y revenir et Derya ne savait comment gérer cet élan de colère qui menaçait de s'exprimer une nouvelle fois. Non ce n'est pas une excuse. Elle était sans doute trop dur mais pour elle ça avait été la goutte de trop. Oh tu es revenu ! Elle fait de grands gestes avec ses bras en marchant d'un côté à l'autre de la pièce car elle ne pouvait rester immobile face à l'intensité de sa nervosité. C'est vrai que ça change tout ! Il aurait fallut ne pas partir peut être ! Elle s'en fichait qu'il regrette et qu'il fasse patte blanche pour se faire pardonner le résultat était le même il l'avait laissé derrière lui ironie du sort quand dix ans en arrière c'est elle qui était partit sans doute un retour de flamme auquel elle ne s'était pas attendu. C'était une façon de te venger c'est ça ? Un air grave vient s'installer sur son visage pas énervée cette fois mais abattue. Tu dis que tu m'as pardonné mais c'est faux tu as voulu me rendre la monnaie de ma pièce ? Elle passa ses mains dans ses cheveux perdue. La brune fronce les sourcils. Je n'étais pas en colère car il parlait de la copine de Nate j'étais en colère car tu venais de boire je ne sais combien de verre et que tu n'étais pas dans ton état normal quand tu es revenu à table. Elle s'en fichait même si ça avait piqué sa jalousie ce n'était pas ce qui avait provoqué cette colère chez elle. Il n'avait plus réussi à se contrôler et la brune ne savait plus quoi penser. Des excuses nous aurions pu en trouver mais inutile de remettre la faute sur lui il n'a pas vu le mal en revanche ton comportement était inacceptable. Elle n'en demordait pas il n'avait pas agit comme il l'aurait du et ce n'était pas bien la brune avait l'impression d'avoir un enfant face à elle.

Derya avait de plus en plus de mal à croire en ces douleurs se demandant si ce n'était pas surtout dans son esprit mais ce qu'elle voulait surtout savoir c'est combien il en avait pris. Deux ou trois en une soirée... il y'a un soucis Jace. Ce n'était pas normal s'en rendait il au moins compte ? Elle doutait de sa capacité à faire preuve de discernement car il semblait se voiler la face. Il attrapa son bras st la brune se rapprocha de lui un peu plus calme mais pas moins rassurée. Je ne dis pas que tu le veux mais ce sont des dépendances silencieuses Jace je ne suis pas certaine que tu t'en rendes compte. Il recule et elle le laisse faire ne se sentant pas capable de le rattraper tandis qu'elle observe cette boîte entre ses doigts. Je comprends que tu en ai eu besoin après ton accident mais tu ne devrais plus en avoir besoin aujourd'hui. Derya soupire. Je ne te déteste pas. Elle ne le détestait pas et si elle avait prévu de ne plus lui parler elle ne serait pas venu le voir chez lui. Ce n'est pas ta faute ce sera pour une autre fois. Elle est résignée la brune et elle n'a pas le coeur à sourire.Je vais faire du café. Elle sort de la chambre pour aller dans la cuisine et faire couler deux tasses de cafés.

⌜ medicine... ⌟

@derya aslan & @jace jenkins

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Il déteste ce sentiment qui s’empare de lui voulant hurler de toute ses forces pour se retenir quand elle ne comprendrait, jamais elle ne le pourrait et cela même si elle y tentait. La honte s’imprègne sur son visage ou fatigue des dernières semaines finissent par s’apercevoir. Les yeux rouges par l’éclat des vaisseaux sanguins mélange de la nuit dernière entre les antidouleurs pris d’assaut pour tenter de rester serein où la douleur s’était efforcée de lui parvenir. Une partie de lui ne mentait pas, il souffrait. Les cauchemars s’enfonçaient serrant sa cage thoracique et d’en manquer d’air. Sursaut, le corps en sueur face à faire face à nouveau à ce monstre. Il lui avait assurer qu’il serait son enfer, celui qui l’emmènerait avec lui dans cette autodestruction. Il combattait un fantôme qui venait glisser dans ces rêves pour détruire l’idée de croire qu’il pourrait être heureux, tant qu’il serait là il n’y parviendrait pas totalement et pour Jace c’était une souffrance sans fin, un de ces celles qu’il n’arrivait plus à se défaire et y trouver le réconfort dans ses anti douleurs qui lui permettait d’effacer chaque pensées noir. Planté devant elle se doutant que sa colère l’emporterait sur tout le reste, il se retient d’émettre une excuse quand elle lui lance une nouvelle boite de pilules. Il avait besoin d’aide sans l’admettre répétant continuellement qu’il pouvait parvenir à contrôler cette addiction qu’il ne voyait pas. Je m'en fiche de savoir à quel point tu étais ivre tu t'es mis en danger tu n'as pas cinq ans Jace ! L’agacement lui parvient, ses mains glissent dans ses cheveux fermant les yeux pour les ouvrir à nouveau quoiqu’il dirait, elle ne l’écouterait pas se laissant porter dans ces idées et admettre qu’elle avait raison. Non ce n'est pas une excuse. Qu’attendait-elle de lui ? Qu’il mette un pied à genou pour qu’elle puisse voir à quel point il s’était coupable de la soirée, coupable de l’avoir laisser et faire face à son erreur auquel il ne pouvait se pardonner à lui-même. Il avait imaginé le pire, mais une nouvelle fois, ce chevalier servant avait été là lorsque lui avait fui incapable de réprimer ce sentiment qui l’avait parcouru avant de reprendre le dessus. Il était revenu, mais se doutant qu’elle n’y prêterait aucune attention. Oh tu es revenu ! Sa mâchoire se serre, refusant de la regarder quand elle aussi agissait ainsi. Il savait que s’il ouvrait la bouche les choses empiraient. Il l’écoutait se doutant que rien n’aurait d’impact sur elle quand elle avait besoin de lui cracher au visage tout ce qu’elle ressentait au point de la laisser faire. Il savait qu’une part d’elle avait raison tandis que l’autre elle semblait aveuglée par cette soirée qu’il maudissait une nouvelle fois. C'est vrai que ça change tout ! Il aurait fallut ne pas partir peut être ! Ses mains le retient de dire quoique ce soit. Sa tête prête à exploser ou les paroles qu’elle risque de sortir ne sera une nouvelle fois qu’à encaisser. Elle pouvait lui envoyer à la gueule ce qu’elle désirait, il le méritait, même s’il savait qu’à rester à cette soirée, il aurait fini par commettre une erreur à s’en prendre à ce type à se demander s’il ne l’avait pas fait exprès de l’avoir poussé à bout. Ses prunelles dans les siens et qu’il y remarque sa détresse. Son cœur s’arrache, sa gorge se serre, il aurait voulu prononcer son prénom, lui dire de ne pas se mettre dans cet état pour lui, cause perdu quand il revivait pour elle, mais comme toujours il se montrait sur la défensive au point de se renfermer. C'était une façon de te venger c'est ça ? Confusion se glisse dans sa carcasse, le regard perdu par ses paroles sans savoir ce qu’elle tente à lui dire. La colère se dissipe quelques secondes pour y faire apparaitre cette douleur aux paroles qui l’accompagnent et qu’il n’arrive pas en saisir le sens. Tu dis que tu m'as pardonné mais c'est faux tu as voulu me rendre la monnaie de ma pièce ? Ses mains derrière sa tête avec le sentiment d’être encore dans un de ces nombreux cauchemars, mais lorsqu’il se retrouve proche d’elle marqué par y laisser une distance, il se rend compte que malheureusement cette fois-ci c’était la réalité. C’est vraiment ça ce que tu penses ? Que tout ce temps et surtout pendant cette soirée j’ai fini par faire tout ça pour te faire souffrir intentionnellement et me venger ? Il voulait croire qu’elle disait tout ça sur le coup de la colère, mais Jace est bien conscient que ce n’était pas le cas, mais qu’elle y croyait. Peu importe ce que tu penses de moi, tu veux croire que j’ai voulu me venger et que j'aurais te faire ça de manière, à te faire du mal intentionnellement très bien. Cela lui faisait bien plus de mal qu’il n’aurait pu le dire, il aurait préféré ne pas avoir entendu ça quand il regrettait chacun de ses gestes, mais certainement pas les mots lancé à ce type, jamais. Je n'étais pas en colère car il parlait de la copine de Nate j'étais en colère car tu venais de boire je ne sais combien de verre et que tu n'étais pas dans ton état normal quand tu es revenu à table. Il aurait fallut qu’elle sache qu’il avait évoqué la copine de Nate, mais se retient. Je n’ai pas bu autant de verres que tu peux t’imaginer, mais qu’importe ce que je te dirais tu n’en croiras pas un seul mot. Il n’avait pas besoin qu’elle lui réponde, il arrivait toujours à lire en elle bien qu’il aurait parfois voulu ne pas y parvenir, pas quand il la décevait encore une fois. Des excuses nous aurions pu en trouver mais inutile de remettre la faute sur lui il n'a pas vu le mal en revanche ton comportement était inacceptable. Tout ça l’épuisait mentalement, il secoue la tête, pince sa lèvre inférieur pour s’empêcher de hurler à croire que tout revenait à ce type dont il se refuse à évoquer. Je ne vais pas te dire quoique ce soit parce que je n’ai aucune excuse tu as raison c’est vrai que je n’aurais pas dû te laisser, mais ne pense pas ce que je lui ai dit je vais me sentir coupable pour ça parce que c’est pas le cas et loin de ce que tu crois ce n’était pas de la jalousie, je sens pas ce type c’est tout. Son sentiment ne l’avait pas quitté et cela depuis qu’il l’avait vu sur le paddock, il avait vu la gent masculine s’approchait de Derya rien de nouveau et si parfois il était loin d’en apprécié les gestes, jamais il ne s’était mis dans cet état si ce n’est avec ce Jake quand pour Jace quelque chose n’allait pas, mais se retenait de lui dire lorsqu’il voit le regard que lui porte Derya prête à lui cracher au visage l’ange gardien sans doute qu’il avait été avec elle.

Il n’avait pas envie d’avoir cette discussion, mais il savait qu’il ne pourrait y échapper incapable de complètement lui mentir, mais encore moins d’admettre la vérité, il voit que derrière sa colère se cache une inquiétude pour lui, une inquiétude qu’il refusait qu’elle est pour lui lorsqu’il se répétait qu’il allait bien, qu’il gérait la situation parce qu’il y croyait réellement. Deux ou trois en une soirée... il y'a un soucis Jace. Il ne voyait pas les choses de cette manière face à ces cauchemars, à la souffrance qui lui parvenait au point de parfois se retrouver figé bloqué par ces angoisses qui le parcourait à être incapable de réagir effrayé comme le gosse qu’il avait été, il ne voyait pas cela comme quelque chose de grave, si ce n’est une manière temporaire de se sentir lui et de pouvoir contrôler cette vie loin d’être aussi stable qu’il aurait voulu lui faire croire. Je n’en prend pas autant que ça, je t’assure juste quand ça devient impossible à gérer pour moi, ça me calme simplement Caresse contre le bras de Derya pour essayer de l’apaiser, il s’approche d’elle lorsqu’il en avait besoin sondant son regard dans le sien avant d’y déposer un doux baiser sur son front refusant qu’elle s’inquiète pour lui. Elle n’en avait pas besoin, il allait bien. Je ne dis pas que tu le veux mais ce sont des dépendances silencieuses Jace je ne suis pas certaine que tu t'en rendes compte. Doucement, il se détache d’elle portant son regard sur son propre reflet. Qui il tentait de convaincre lui-même ? Sans doute, dans le plus grand silence, la tension est tangible. Il ne savait pas ce qu’il devait lui dire pour la rassurer. Rien ne le ferait, mais y tente quand même, il ne se voyait plus comme cet homme d’autrefois, l’accro à la poudre blanche qu’il avait été à la limite de se détruire lui-même. Si j’étais aussi dépendant que tu le crois, je ne pourrais pas m’arrêter d’en prendre sauf que ce n’est pas le cas et je ne les ai pas volés au cas où tu le crois, c’est juste que oui parfois ça aide quand ça devient trop difficile à gérer la pression de l’accident et du reste. Rien n’était idyllique, pas dans cette vie qu’il avait choisie, mais qu’il aurait aimé que sa vie privée ne se retrouve pas à la une des journaux où pointé du doigt comme un criminel qu’on avait cru de lui, celui qui longtemps avait mis en danger les autres pilotes jusqu’à la vérité. Je comprends que tu en ai eu besoin après ton accident mais tu ne devrais plus en avoir besoin aujourd'hui. il se perd dans son regard sans lui offrir de véritable réponse, une demie vérité qu’elle n’y croirait pas ou parce que loin de ce qu’elle pensait, il était loin d’être complètement guérit, les séquelles étaient toujours là simplement, elle n’était plus physique. Je ne te déteste pas. Soulagement qu’il lâche d’un long soupire même s’il se doutait bien qu’elle ne lâcherait pas ses incertitudes aussi tôt, mais pour le moment, il n’y avait pas envie d’y songer. Ce n'est pas ta faute ce sera pour une autre fois. La pointe de tristesse lui parvient, il s’approche glissant sa main sur son visage qu’il caresse tendrement avant de venir glisser ses lèvres doucement sur les siennes. Peut-être ou peut-être pas, mais j’aimerai pour une fois que tu vois tout ce que tu représentes pour moi et non juste le mauvais côté. Cela n’avait pas été facile après la soirée d’anniversaire, mais cette fois-ci, il finissait par croire que le sort s’acharnait. Je vais faire du café. Il la suit le regard criant de culpabilité avant de quelques minutes la rejoindre, elle le dos tourné concentré sur sa tâche. Il reste à la contempler avant que ses pas avancent vers elle pour glisser ses mains contre sa taille et la faire venir près de lui. Je n’aime pas quand tu es fâché contre moi et ça même si j’ai mérité tout ce que tu m’as dit. Je voulais juste que cette soirée soit parfaite, moi aussi j’avais prévu quelque chose et une nouvelle fois, tout a été gâchée. Baiser contre sa joue pour la voir se retourner ses bras s’accrochant à son cou, déception se glisse sur son visage. Il avait voulu marqué le coup, mais surtout lui montré que même s’il n’était pas l’homme le plus romantique, les moments important était loin d’être dans l’oubli, au contraire, il se souvenait de tous les moments saisissant depuis qu’elle était entrée dans sa vie. Attend ici. Il n’en dit pas plus lorsqu’il rejoint à nouveau la chambre glissant sa main du haut de l’armoire et laisser la boîte venir entre ses mains. Retour auprès d’elle soufflant sur la boîte pour y apparaitre une boîte en bois pour l’avancer sur la table et attiser il le sait la brune qui s’y approche. Tu veux savoir si je suis toujours épris de colère, de vengeance ou de sentiment noir à ton égard ? Et bien ouvre-là et je pense que tu seras la manière dont je te perçois réellement. Il se doute que le flot de questions doit la gagner, il aurait pu lui offrir la réponse par ces paroles, mais les gestes étaient à cet instant plus parlant que tout le reste et elle devait le savoir. Savoir à quel point véritablement il n’avait pas pu l’effacer et loin de son idée, ses sentiments à son égard n’avait jamais été autrement que d’un amour pur qu’il n’avait pu exprimer de manière orale, mais par ces souvenirs qu’il n’avait jamais pu détruire.

medicine

@Jace Jenkins
Derya est en colère et agacée et elle ne se gênait pas pour le lui signifier car elle ne pouvait cacher à quel point il l'avait mise hors d'elle il aurait du faire plus attention et surtout se montrer plus responsable. Ses excuses ne suffisaient pas et il aurait du ne jamais partir plutôt que revenir la brune n'allait pas attendre de voir s'il changeait d'avis elle était partit aussitôt passablement triste et en colère à cause de lui et ça la détruisait. Puis plus elle parle plus la terrible conclusion lui vient à l'esprit se demandant si ce n'était pas là une façon de lui faire comprendre que c'est ce qu'elle avait fait il y'a des années en arrière et qu'il en avait souffert en tout cas elle en avait eu un aperçu et elle avait détesté ça ce qui aurait du la calmer et lui rappeler qu'elle avait fait bien pire mais ce qui l'empêchait de le faire c'était surtout l'inquiétude qu'elle avait ressentit en le voyant partir ivre et dans un état second. Non pas que tu as fais ça intentionnellement mais qu'au fond peut être que c'était une façon de me le faire comprendre ? Derya s'embrouillait dans ses pensées et ses mots mais elle n'avait plus le courage de lui faire face à ce moment là revoyant encore cette soirée catastrophique la veille. Ce n'est pas ce que je pense de toi mais je me suis posée la question ! Elle passa sa main dans ses cheveux en faisant les cent pas c'était une façon pour elle d'évacuer le trop plein de sentiments qu'elle ressentait elle qui était temps perdu et qui s'en voulait de ne pas avoir vu plus tôt que quelque chose n'allait pas car ce n'était sans doute pas la première fois que Jace prenait autant de cachets mais jusqu'à présent il l'avait plutôt bien caché du moins assez pour qu'elle ne s'en rende pas compte. Tu en as bu assez pour que ce soit dangereux avec tes médicaments ! Il ne sentait pas cet homme et la brune leva les yeux au ciel car elle n'en croyait pas un seul mot elle ne comprenait pas pourquoi il était autant sur la défensive et voyait ça comme de la jalousie bien qu'il lui maintenait le contraire. Derya préféra ne pas surenchérir pour ne pas provoquer encore une dispute même si elle n'en pensait pas moins.

Sa consommation n'était pas normale et elle le maintenait même si il voulait éviter la conversation Derya ne le laissait pas vraiment faire car il fallait qu'il le sache et qu'il l'entende si Jace ne s'en rendait pas compte alors ils n'auraient aucun moyen de pouvoir l'aider car pour s'aider il fallait s'accepter. Ce sont des anti douleurs Jace ce n'est pas fait pour t'aider à te gérer. Il caressa son bras et elle le laissa faire passant ses bras autour de lui pour l'enlacer car elle aussi en avait besoin elle souffrait de la situation malgré le baiser sur son front qui était censé la réconforter. Ce n'est pas censé t'aider à gérer la pression... Ce n'était pas fait pour ça et elle avait envie d'hurler mais Derya se retenait elle ne se pensait pas paranoïaque et était sûre d'avoir raison malgré l'air sûre de lui qu'il affichait en insistant sur le fait qu'il allait bien alors qu'aux yeux de la brune non il n'allait pas bien. Derya ne le détestait pas et elle n'avait pas envi qu'il le pense malgré la colère qu'elle ressentait à son égard. Je ne vois pas que le mauvais côté. Elle voyait ce qu'il voulait bien lui montrer et il ne montrait pas toujours ses pires côtés elle savait l'homme qu'il était et c'était pour ça qu'elle l'aimait. La brune se détourne pour aller faire du café et s'occuper les mains et l'esprit essayant de faire redescendre sa colère ce qu'elle finit par faire quand elle sentit les bras de Jace venir l'enlacer dans son dos et qu'elle déposa l'arrière de sa tête contre son torse. Je ne suis plus vraiment fâchée contre toi mais ça ma fait de la peine. Il embrasse sa joue et Derya se retourne en passant ses bras autour de son cou pour le regarder le laissant partir pour aller chercher quelque chose. Il pose une boîte sur la table et la brune s'approche pour la prendre dans sa main et venir l'ouvrir ébahit quand elle découvrit des photos et des objets qui avaient symbolisé leur relation du début à maintenant. Jace... Elle prenait les photos dans ses mains, les parcourait des yeux il y'avait tant de choses à voir et à regarder, allant jusqu'aux lettres qu'ils s'étaient écris quand ils étaient loin l'un de l'autre et que plus jeune Derya avait décrété que c'était plus romantique que de longs texto. Je ne savais pas que tu avais gardé tout ça. Elle embrassa tendrement ses lèvres en tenant la boîte contre elle. Merci ça me touche beaucoup. Elle avait les larmes aux yeux mais de joie cette fois quand elle reposa la boîte sur la table et qu'elle enlaça sa nuque en l'embrassant plus passionnément.

⌜ medicine... ⌟

@derya aslan & @jace jenkins

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Il méritait ses paroles virulentes. Il en avait conscience avant de relever son regard vers elle quand ses doutes se plantés face à lui et qu’il penche sa tête, le regard confus sans doute avait-il malentendu. Il s’était répété ça à plusieurs reprises avant de poser ses prunelles vers les siennes et y voir qu’elle pensait chaque parole qu’elle venait de lui envoyer au visage. Cela lui faisait un mal de chien ou à son tour la colère trépasse. Ses poings se serrent ou la pointe de sarcasme se faufilerait sur son visage. Il hurlait intérieurement secouant la tête à mainte reprise sans doute aurait-il voulu ne pas se réveiller pour entendre ses foutaises qui à son tour ne font que le blesser et si c’était dans cette attention pour lui montrer ce qu’elle avait ressenti, elle s’y prenait à merveille. C’est vraiment ce que tu vois ? De la pure vengeance ? J’y crois pas c’est totalement insensé et complètement fou ! Il le devenait à son tour ramenant ses mains qui glisse dans ses cheveux laissant ta tête partir en arrière, il avait en envie de lâcher prise au point de songer que si elle pensait réellement ce qu’elle lui lancer, alors il ne comprenait pas ce qu’il faisait ensemble. « Si tu penses vraiment ça c’est que tu as des doutes c’est que tu n’as pas confiance en moi. » Et c’était le plus difficile de la regarder et qu’il n’arrive pas cette fois-ci à savoir ce que son âme pouvait lui dire. C’était comme revenir en arrière comme si à nouveau elle se laissait parcourir par les doutes, par les paroles de cette femme, par tout ce qu’il lui avait demandé de ne pas faire. Si elle ne croyait pas en lui alors ils étaient tous les deux perdus. Non pas que tu as fais ça intentionnellement mais qu'au fond peut être que c'était une façon de me le faire comprendre ? Il n’avait vraiment pas envie de répondre à sa question, si elle ne le voyait pas, si elle continuait à émettre le doute sur ses sentiments envers elle alors il se demandait pourquoi était-elle avec lui. Elle l’aimait, mais pas assez pour croire en lui, en eux. Je ne sais pas quoi te répondre Derya, j’ai l’impression que tu douteras toujours alors je me demande ce que tu fais avec moi, si tu crois vraiment que j’aurais pu avoir l’idée malsaine de me venger alors que je t’aime putain ! Mais elle ne semblait pas le voir bien trop aveuglé par sa colère. Il avait beau faire confiance à Derya, il était incapable de faire face à son regard. Je sais que tu veux une réponse, mais t’en auras aucune parce que si tu n’arrives pas à le savoir alors c’est que tout ça, toi et moi où ça mène ? Moi je sais ce que je veux et même quand t’es en colère je sais que tu m’aimes et si tu te poses la question, c’est sans doute que tu n’es pas certaine. Il n’arrivait plus à s’arrêter de parler avant de mettre ses mains devant lui, dépité pour se retourner portant son regard vers l’horizon. Ce n'est pas ce que je pense de toi mais je me suis posée la question ! Il ne dit rien sur le moment si ce n’est de lâcher un long soupire. Le fait que tu te poses la question veut en dire long. Qu’est-ce que je dois comprendre ? Qu’à chaque fois qu’on se disputera ou que je ferais une grave erreur tu douteras à te demander si je ne tente pas à me venger ? Il n’avait pas envie d’imaginer les répercussions que cela aurait lorsqu’il devront faire à aux médias, il sait qu’à un moment cela finirait par se savoir. Elle lui avait promis de ne pas douter de lui et pourtant déjà là son esprit se perdait dans la confusion à croire réellement que sa vengeance avait été la raison de son départ et de sa colère.

Il n’avait plus envie d’en parler, pas pour le moment et elle semblait plus inquiète devant les tubes de gélules vides qu’elle tenait dans ses bras. Il n’avait pas envie non plus d’évoquer la raison pour laquelle il en avait eu autant soupirant quand il sait qu’il n’y échappera pas. Jace se retourne vers elle, il remarque bien qu’elle n’arrive pas à tenir en place, son cerveau en ébullition au point de tenter de l’appeler, mais rien n’y faisait, elle refusait de l’écouter. Tu en as bu assez pour que ce soit dangereux avec tes médicaments ! Loin de ce qu’elle croyait, il n’avait pas réaliser si ce n’est de prendre ces gélule pour tenter de se soustraire à ces douleurs auxquels il avait eu le sentiment d’en crever. Cela l’avait soulagé temporairement, mais assez pour croire qu’il allait bien et à force de se le répéter, il y croyait réellement. Pinçant sa lèvre sentant l’anxiété le parcourir, mais reste silencieux de peur qu’elle puisse voir qu’au plus profond de lui, il avait dû mal à se défaire de son passé plus présent que jamais. Il ne lui mentait pas vraiment à lui dire qu’il souffrait sans doute pas comme il le prétendait, mais il ne pouvait pas lui dire, il n’y arrivait pas, elle s’inquiétait déjà assez pour lui. Ce sont des anti douleurs Jace ce n'est pas fait pour t'aider à te gérer. Cela l’aidait à sa manière, effet placebo quand tout s’apaiser durant les brefs heures passé à croire que le monde lui ouvrait les bras. Jace laisse ses doigts glisser contre ses bras, sa peau frissonne malgré elle, il sourit simplement pour l’approcher un peu plus près. Ses bras l’entourent quand elle vient s’y glisser, ses lèvres se posent avec douceur sur son front et caresser le haut de sa tête. Rassure toi je vais bien mon amour, arrête de t’en faire pour moi. Il culpabilisait de lui donnait tant de soucis, jamais il n’avait voulu ça et avant même qu’elle tente de lui répondre, il dépose ses lèvres sur les siennes par besoin de la retrouver et qu’elle puisse s’évader avec lui. Ce n'est pas censé t'aider à gérer la pression… Il savait qu’elle ne lâcherait pas prise si facilement, cela ne l’aidait pas pour la pression, mais d’une manière cela l’aider à effacer ces sombres pensées bien plus noir qu’elle pouvait le croire. Jace tente de détourner la conversation sur un autre sujet soulagé qu’elle ne puisse pas le détester. Je ne vois pas que le mauvais côté. Il savait qu’il était responsable toutefois, il ne peut s’empêcher de sourire de savoir qu’elle voyait au-delà, elle y voyait sans doute bien plus qu’il ne le dirait et c’était ça ce qui l’inquiétait. Il ne dit rien de plus si ce n’est de l’embrasser sur sa tempe gauche avant de la voir s’éloigner, ils avaient besoin de remettre les idées en place tandis que lui avait besoin de prendre une douche rapidement et d’y porter des vêtements propres.

De dos, il voit Derya silencieuse concentré sur le café ou bras croisés, il se colle au mur pour la regarder. Il songeait à quel point cette femme était belle autant à l’extérieur qu’à l’intérieur et comme chaque relation, il se devait de la préserver, mais surtout lui montrer tout ce qu’elle représentait pour lui. Il s’avance, bras qui s’enroule autour de sa taille pour la rapprocher de lui, ta tête se collant contre son torse ou baiser se fondent sur ses épaules. Je ne suis plus vraiment fâchée contre toi mais ça ma fait de la peine. Jace se sentait coupable de toute sa tristesse, il détestait qu’elle puisse douter, mais conscient de sa responsabilité pour venir la serrer contre lui embrassant sa joue, son nez et qu’il parvienne à y déceler un sourire toujours trop timide. Il s’était éloigné, elle ne comprenait pas, mais lui assurant qu’elle le ferait dans quelques minutes. Il avait gardé tout ça précieusement tel un jardin secret ou même des années après quand il avait assurément à tout le monde quelle était un lointain souvenir gardé cette coffre bien loin des dires qu’il avait pu prononcer. En vérité, elle ne l’avait jamais quitté et il espérait que son esprit s’éclaire à voir ce qu’il tentait si souvent à lui dire sans y parvenir figé ou paralysé par la peur monstre de la perdre ou qu’elle ne puisse pas assez le croire. Il la voit avancé, curieuse qu’elle était pour la laisser prendre son temps. Elle glisse ses doigts sur le bois du coffret, les détails n’étaient pas là pour rien, ils représentaient des dignes, des symboles d’une manières à la représenter autant qu’eux. C’est mon jardin secret à moi que je veux que tu découvres, mon bijou le plus précieux. Jamais il n’avait monté ça à quelqu’un, mais il réalisait qu’à cet instant Derya avait besoin de le voir pour comprendre ses véritables sentiments à son égard. Il voit son regard brillé, la disparition de la tristesse parvient à y faire pénétrer la surprise autant que le choc. Le coup de l’émotion est réelle et il sourit pour la laisser parcourir chaque objets, chaque lettre, chaque chose qui la représentait. Jace… Jace embrasse son épaule, il s’écarte quelques secondes, il savait qu’elle avait besoin de cette intimité pour comprendre et voir à quel point loin de ses doutes, lui n’en avait jamais eu. Il l’aimait et rien d’autre ne comptait et même sous leur colère rien ne pourrait ébranler ces sentiments qui lui portait. Je ne savais pas que tu avais gardé tout ça. Il la voit avancé vers lui, collant son nez contre le sien, il aime l’entendre rire, cela lui fait du bien. C’est pour ça qu’on appelle ça un jardin secret, c’est comme un journal intime qui nous représentent, je sais que je ne te le montre pas assez et même quand j’essaye regarde le fiasco. Il aurait pu en rire si cela n’en était pas à chaque fois douloureux, il aimerait tant qu’elle le voit et qu’elle puisse lui faire confiance et ne pas laisser les doutes parsemé par les gens mal intentionné se faufilé en elle. Cette boite est tout pour moi comme tu l’es, je sais que je manque de tact avec toi, mais jamais je pourrais te blesser intentionnellement, tu es tout pour moi et si tu en doutes encore, j’espère que cette boite répondra à chaque question que tu te poses. Il la voit le regard planté dans le sien pour y voir déposer la boite sur la table de la cuisine, il n’a pas le temps de réfléchir quand les lèvres de Derya se plaque sur les siennes et se laisser aller à ce moment de bonheur retrouvant la femme qu’il aimait. Ses bras se glissent contre ses hanches ou il la soulève d’un geste sentant ses jambes s’enrouler autour de sa taille. Il sourit pour intensifier ce baiser dont il avait besoin comme si à nouveau, il respirait.

medicine (jace)

brisbane, australie

kangaroo point

take me home