Des heures qu’il tourne en rond, la musique qui imprègne la pièce sans qu’il n’y prenne aucune attention quand son esprit se parcours à toujours se torturer vers les mêmes images qui ne cessent de tourner où il n’est plus capable d’y faire face. Se relevant laissant ses mains glisser dans ses cheveux. Les prunelles qui se ferment avant de glisser ses mains sur son visage où il tente d’effacer ses obscures aphorismes qui le consume depuis quelques temps. Son manager avait tenté de lui changer les idées en lui proposant de partir quelques jours loin de Brisbane et se retrouver comme à cette époque de l’année à jouer à apparaitre le temps d’un évènement pour les sponsors, il se doutait aussi qu’il n’avait pas abordé le sujet sans raison et s’il avait accepté d’y participer dans quelques semaines, il savait que partir à ce moment-même n’était pas la meilleure chose quand il ne serait pas capable de se concentrer et de se montrer aussi professionnel. L’image était importante, aucune fissure n’y devrait apparaitre, mine parfaite tout devait l’être. Perfection, ce mot finissait par l’épuisé quand rien ne l’était, il ne l’avait jamais été assez pour être fatigué de faire semblant quand cette semaine avait été éreintant. Il ne comprenait pas comment ils étaient tous passé d’un moment heureux à une tragédie amer où les doutes persistaient à ne pas le quitter. Les jambes qui tremblent quand il n'aime pas ce silence, si la musique adoucie les mœurs, il fallait croire que cela ne fonctionnait pas sur lui. Jace se relève pour récupérer sa veste, les clés de sa voiture et laisser s’évader son esprit ailleurs où l’endroit il sait le ramènera là où il a besoin de trouvé refuge auprès de celle qui semble souvent avoir les mots justes pour l’apaiser et cela même s’il se doute que lui avouer la vérité sur cette brune qui trouble ses pensées ces derniers temps ne serait pas aussi réjouissant qu’il aurait espéré, mais il sait qu’il ne peut plus faire marche arrière, pas quand les quelques messages envoyé lui assurait qu’il serait là pour lui tenir compagnie le temps de sa pause.

Contrôles qu’il avait besoin de faire dans la foulée quand à force, l’hôpital en devenait presqu’une demeure secondaire, bien loin d’y voir une enthousiasme quand des mois durant, il s’était retrouvé dans l’une des chambres avec le sentiment d’être détruit. Dégâts dans son esprit qui se faufile à ne pas le lâcher avant qu’il entre au sein de l’hôpital sourire aux lèvres où parfois il se surprend presque à ce qu’on le reconnaisse, rien de surprenant face à ses infirmières qui l’avait soignés avec attention où elle assure que Lily serait là dans quelques heures assez pour suffire pour tourner les talons et retrouvé Meredith qui certainement se trouvé déjà à la cafétéria amusé à songer à son regard loin d’être attrayant quand on savait à quel point la nourriture de l’hôpital était loin d’être la meilleure si ce n’est le contraire. Pas qui avance un peu plus rapidement laissant ses prunelles s’égarant vers les inconnues avant de la reconnaitre de dos et y arpenter un sourire pour avancer près d’elle ne s’empêchant pas de sourire à la voir hésitation à songer si elle devait prendre le risque de goûter à cette chose dont le nom pourrait le faire fuir s’il savait de quoi il s’agissait. « J’ose espérer que tu m’offriras un plus beau sourire qu’à cette chose que tu tiens en main » il se penche doucement pour laisser ses lèvres se coller à sa joue heureux de la voir pour s’asseoir face à elle l’air dubitatif à ce plateau face à elle. « C’est censé être quoi le menu du jour ? » les doutes persistes soupirant où parfois il se demandait la raison pour laquelle la nourriture sortait tout d’un droit d’un film d’horreur « Je vais finir par croire qu’on mange mieux en prison ! » il hausse des épaules sans qu’il n’en ai aucune idée, mais le sourire au coin des lèvres quand il la voit reculer le plateau « Je vois que tu n’oses pas le risque, mais comme je m’en doutais et que tu pourrais mourir de faim, j’ai pris un repas sur la route. Un resto italien que t’arrête pas de me parler, je me  suis dis que peut-être ça pourrait te tenter ? Alors ? » les yeux éblouis de Meredith finisse par l’amuser se doutant qu’elle n’y refuserais pas et au fond, il espérait que par ce biais son humeur serait des plus agréables. « Je crois que ça veut dire oui ça, non ? » il dépose le plateau sur un table vide laissant le sac pleine de nourriture se poser sur la table laissant la brune ne pas manquer à sa curiosité avant de la regarder sans être incapable de se retenir de rigoler. « Et avant que tu me le demandes, oui j’ai pensé au dessert » il en avait pris plusieurs incapable de faire un choix la laissant déballer chaque plat avec envie, un moment agréable auquel lui-même en avait besoin.

Légèrement fébrile, la nuit a été courte bien trop quand il s’est réveillé comme à son habitude en sueur quand sa reine est loin de lui tout semblait s’assombrir et s’il a tenté de l’appelé, il a fini par jeté aux oubliettes cette idées quand les mots fusent dans son esprit et que la blessure et colère qui se mélangent laissent sans le moindre son égo prendre le dessus. Elle avait besoin de temps, mais lui aussi. S’il acceptait beaucoup de son caractère si fort, il le sait qu’il faudra que l’un comme l’autre face des compromis, des mots posés, mais dont la parole se perd quand tout se fige dans sa tête bien trop entremêlé par un tas de sentiments contradictoire. Heureusement, Meredith n’est pas loin, il sait qu’elle aussi à beaucoup à réfléchir, les soucis avec son mari, les quelques évènements qui l’ont poussé également à s’assurer qu’elle allait bien parce qu’il sait à quel point perdre quelqu’un peut être une douleur sans fin. Les pas qui avancent rapidement où il ne peut s’empêcher de sourire quand il l’avait regardé au loin, le regard qui se fonce laissant la veine sur son front se voir devant son agacement ou son désespoir face à son repas loin d’être si appétissant, il s’amuse presque à la torturer avant de finalement quelques minutes craquer devant la moue qui se dessine et le fait rire, il en a besoin de cet instant où il le sait parfaitement son esprit se perdra à ne plus réfléchir si ce n’est de profiter de sa pause avant que la réalité lui reviennent en pleine gueule. C’est parfois étrange comme la vie peut être surprenante et Jace en est conscient quand Meredith était loin de lui être autant inconnue, s’il la connu par la présence de César, il lui aura fallu quelques temps pour se rendre compte que gamin elle était celle qui n’était jamais loin. Des regards, quelques sourires, des mots échangés, mais des souvenirs pleins la tête durant une époque loin d’être parfaite pour un Jace trop brisé, s’il avait grandit en prenant de l’assurance en accédant au rêve de gosse qu'il n’aurait espéré, Jace est aussi conscient que le passé n’est jamais loin prêt à tout saboter toutefois à s’asseoir en face d’elle, le sourire se glisse au coin de ses lèvres devant le rappel de ce moments paisibles et qui anime son palpitant à ne pas songer à ces sombres idées. Le sac posé sur la table, l’odeur ne met pas longtemps à venir se pointé vers la brune qui ferme les yeux profitant assez pour qu’il secoue la tête amusé de voir sa réaction nulle doute qu’elle devait mourir de faim. « J’avoue que le repas de l’hôpital donnerait envie de fuir au loin ou pire » il n’ose le dire, mais sans doute que les morts a la morgue devait résidé à laisser les gens mourir de faim quand peu oserait touché à ce qu’il peut y avoir dans ce plateau repas, il s’en souvient encore Jace au point de se sentir à la diet et que ses proches finissent par le sauver. « Salade sans gout, même les instagrameuses healthy n’en voudraient pas … Je pense qu’elles mentent toutes d’ailleurs … » les paroles qu’elle lui lance ne mettent pas longtemps à le faire rire avant de hausser des épaules et de tirer un regard loin d’être envieux à ce repas. « J’admets que ça donne pas du tout envie et puis tu le sais bien les photos sont trompeur, la réalité est différente suffit de voir ton repas actuel » il attrape le plateau pour venir le poser plus loin sous l’œil curieux de Jace qui soutient son regard « On sait jamais, ça peut toujours servir, même si je doute que le chien devant qui attend y prendra goût mais tentons le coup ! » il se doute déjà du reniflement de l’animal au risque s’il pouvait d’insulter Jace, mais n’en dit pas plus pour voir Meredith s’animer et émerveiller par chaque plat qu’il revenait de lui ramener. « Je suppose que ce genre de repas alléchant qu’elles doivent en réalité manger ces fameuses influenceuses sur instagram sauf que forcément elles vont jamais posté ça si elles sont censé pratiqué la bouffe Healthy » qu'il pointe entre guillemet avec ses doigts. Il ne sait pas trop ce que sait tout ça, sans doute devrait-il le demandé à Derya, mais à la voir manger, il se doute qu’elle ne pratiquait pas ce genre de choses. « Tu es incroyable ! » Il sourit simplement ravi de la voir épanouit par ce simple repas ou lui ne s’était commandé qu’un café loin d’avoir l’appétit, il avait juste envie de la voir pour s’assurer qu’elle allait bien et sans doute lui parler de Derya sans trop savoir comment faire part de ce sujet quand Meredith l’avait vu il y a pas mal d’années souffrir après qu’elle soit partie. Moment délicat ou par ce repas, d’une certaine façon, il osait croire que cela passerait mieux. « Même si je sais que je le suis, j’admets que c’est toujours bon de l’entendre » il n’a jamais été avare à apprécié ce genre de compliment qui flattait son égo. « Et sinon ta matinée pas trop difficile ? » il tente de gagner du terrain, mais aussi parce qu’il s’intéressait à sa vie se doutant que ce n’était jamais évident face à son métier. « Puis… je voulais savoir comment tu allais genre vraiment ? » il sait que sa vie n’est pas évidente en ce moment assez pour vouloir s’assurer que malgré tout, elle tenait le coup. Jace reste silencieux quelques secondes tenant fermement le café entre ses mains pour y boire une simple gorgée avant de retrouver le regard de Meredith qui semble conquise par ce festin. « … qu’est ce qui t’amène à jouer les livreurs Delivroo aujourd’hui ? » il hausse des épaules secouant la tête, un bref instant il hésite avant de continuer à boire ce café bien trop fort mais dont il avait besoin ou par chance cela ne se voyait pas sur son visage. « J’avais des examens à faire, quelques check up rien d’important donc je me suis dit autant en profiter de venir te voir à ta pause » c’était une vérité, mais pas l’unique. Il soupire pour se redresser sur sa chaise hésitant quelques minutes pour lâcher prise. « Je sais pas si tu te souviens de Derya, Derya Aslan tu sais mon ex avec qui je suis restée un an ? » il serait sans doute difficile de l’oublier quand Jace n’avait pas eu de relation après elle, pour le peur elle avait toute déboulé dans sa vie le temps de quelques heures sans qu’il puisse arriver à s’attacher réellement à quelqu’un. « Disons que je l'ai revu il y a quelques temps de ça... » il n’en dit pas plus laissant le temps qu’elle digère les infos espérant que ce repas fasse effet à la garder malgré ses dires de bonnes humeurs

Il appréciait la compagnie de Meredith ou le sourire étire ses lèvres à la voir plongé dans cette nourriture comme si le reste autour d’elle n’existait plus. Il n’était pas là par le plus grand des hasards, ce n’était vraiment l’endroit où il se sentait à l’aise, pas comme elle où après des mois à se remettre de son accident et des blessures importante, la convalescence s’était apparu comme un poids énorme, il avait mis tellement d’énergie à s’en sortir qu’il espérait ne plus se retrouvé dans ce lieu auquel il en reconnaissait tous les recoins comme des nombreux visages auxquels il sourit avant de porter toute son attention une nouvelle fois sur la brune qui semblait appréciait son repas. « J’imagine que c’est bon si je dois en juger à ta tête ? » Il était heureux de voir son sourire lorsqu’il sait que ces derniers temps rien n’était simple pour Meredith qui vivaient des moments difficiles, il avait tenté de l’écouter, de la soutenir, mais rien n’était simple dans sa situation encore plus qu’il n’était pas particulièrement le plus apte à lui offrir les conseils dont elle avait sans doute besoin. Il ne pouvait lui offrir qu’une oreille attentive, ses bras pour la consoler et se montrer aussi patient pour tenter de lui donner quelques pistes qu’il espérait l’aiderait dans son mariage qui battait de l’aile. Il n’osait pas le lui demander, la crainte de voir sa tristesse regagnait son visage préférant songer que si elle voulait lui en parler, elle n’hésiterait pas à le faire comme ils ont toujours pu compter l’un sur l’autre. « Tu as raison ! » Perdu, il reste silencieux pour la voir croquer dans cette nourriture qui semblait bien plus attractive que ce qui l’entourait. Il secoue la tête encore plus amusée que tout à l’heure attendant d’en savoir davantage bien qu’il appréciait d’avoir raison. « Je crois que même la terre n’en voudrait pas comme engrais. Les plantes et les légumes protesteraient et on aurait plus aucune ressource de nourriture… » L’éclat de rire se fait entendre, si elle en avait eu besoin, pour lui aussi ce fut le cas, un moment de légèreté qu’elle savait toujours lui offrir, il savait qu’il n’avait rien à craindre. Ses examens étaient bons, physiquement, il était remis et pourtant quelque chose en lui le pétrifiait voir parfois le paralysait sans doute la peur, l’angoisse à revenir sur les pistes. « Je vois, en faites vous servez ce genre de nourriture pour forcer les patients à rester, bonne astuce, quoique non oublie ! Parce que j’y fuirais loin pour leur repas si on peut ça de cette façon ! » Il secoue la tête bien loin d’y avoir gardé un sourire remerciant le plus souvent Nate de lui avoir sauvé la vie à lui ramener de la vraie bouffe qui l’avait sans doute aidé à ne pas perdre pied. « C’est presque thérapeutique la nourriture enfin quand je te regarde je finis par croire que c’est vrai. » Il avait pu observer son expression loin d’être si heureuse sans doute tourmentée en réalité, il ne savait pas trop ce qu’il aurait dû penser, entre son boulot loin d’être si évident qu’on l’imaginait et par les problèmes avec Wade, il se doutait qu’elle en avait sur la conscience. « Je préfère quand même quand tu souries comme ça. » Il n’avait jamais aimé la voir triste et même s’il savait que cela n’était que temporaire, il appréciait ce brin de légèreté qu’elle pouvait posséder à ses côtés.

Loin des idées reçues, il savait que si son métier comportait des moments précieux de la vie, d’un bonheur sans égal, il pouvait aussi avoir un côté à l’opposé bien plus difficile quand parfois les nouvelles n’étaient pas toujours aussi bonne et qu’elle devait y voir ses regards se dépites face à elle et pire encore se perdre dans le désespoir quelque chose qu’il n’aurait jamais pu faire face assez pour la voir toujours vu comme une force de la nature. « Je ne vais pas me plaindre. Une journée sans crises, des rendez’vous majoritairement de routine … » Il se doute qu’elle aurait aimé en dire autant dans sa relation ces derniers temps, il avait le sentiment qu’elle passait plus de temps ici que chez elle assez pour savoir que les choses ne s’étaient améliorés si ce n’est de s’être empiré. « écoute, je fais tout mon possible pour aller bien … » Il tentait de sourire, l’écoutant attentivement, il savait qu’il ne pouvait rien faire d’autre légèrement frustré quand il aurait aimé connaitre les paroles magiques pour lui assurer que tout irait bien, mais il n’était pas certain et cela même s’ils l’espéraient quand leur couple avait dû en voir des tempêtes. « Je dois avouer que c’est dur d’être toute seule … » Sa main se glisse sur la sienne, le regard relevé vers le sien. Il n’avait pas vécu la même situation que lui, mais il savait pertinemment ce que l’on ressentait de sentir brisé par quelqu’un qu’on aimait. « Vous avez pu vous parlez depuis ? Des changements ? » La sincérité se glisse dans ses quelques paroles, une part de lui aurait aimé y avoir une réponse positive, mais au fond, il savait que si sa tristesse demeurait toujours à ne pas lâcher prise dans ses prunelles, c’était sans doute parce que rien n’était arrangé peut-être pire, il osait espéré le contraire. « Et tout va bien ? » La question était simple, du moins en apparence, mais elle demeurait à le laisser dans le doute. En vérité, il ne le savait plus confusion dans son esprit encore plus depuis que Derya était revenu dans sa vie. « Oui ça va, la routine comme toi tu sais. » Demi vérité qu’il souligne tandis qu’il garde le reste ancré dans son esprit. Il n’avait pas envie de l’avoir s’inquiéter pour lui, mais le retour de cette brune dans sa vie avait mis en émoi chaque parcelle de son âme au point qu’il ne savait plus où il en était. Évoquer Derya avait toujours été auprès de ses proches compliqué surtout après son départ et qu’il se retrouve dans un piteux état, mais une partie de lui ne l’avait jamais oublié et plus encore depuis son retour, elle ne cessait d’envahir tout son être entre sourire qui parcelle son visage comme la confusion qui ne met pas longtemps à l’engloutir. « Tu l’as revue ? Où ça, quand, pourquoi ? » Il sourit simplement sans doute était-ce plus simple de se concentrer sur sa vie que la sienne assez pour lui offrir ce moment de répit dans sa vie haussant des épaules. « Elle était sur le paddock pour la dernière course et j’avoue que j’ai eu un sacré choc au point que j’ai cru que mon esprit me jouait des tours, mais en faites non c’était bien elle, ça remonte à quoique quelques semaines, j’imagine. » Il ne savait plus vraiment  encore plus par sa dernière réponse sans comprendre ce qu’elle voulait dire. « Comment ça pourquoi ? Tu veux dire pourquoi elle est revenue ou pourquoi je l’ai vu ? » Perdu, il se retient d’en dire davantage pour s’appuyer sur la chaise les mains glissant dans ses cheveux. « Et tu l’as revue ou “revue” ? » Jace ne la quitte pas des yeux fonçant encore plus son regard tentant de comprendre ce qu’elle tentait à lui dire. « Y a une différence je suppose à ce que tu me dis ? » Il reste silencieux pour voir ses iris se montrer insistant et qu’il comprenne mieux ce qu’elle essayait de sa voir. « Excuse-moi de ne pas comprendre vos codes, mais pour répondre à ta réponse, quand je l’ai revu non, disons que sous le coup de l’alcool, elle m’a embrassé, mais je suis pas allez plus loin avec elle. » Ce n’était pas l’envie qui lui avait manqué, mais ne tentant pas de le souligner. « Mais l’autre soir, elle est venu chez moi et une chose en entrainant l’autre, je te fais pas de dessin je suppose ? » Il ne regrettait rien, mais tout lui semblait encore plus compliqué encore plus quand il ne lui avait pas parlé depuis qu’ils avaient passé la nuit ensemble, une nuit loin d’être oubliée. « Tu vas me dire que c’était sans doute une connerie et une part je sais que t’aurais pas tort, mais d’un autre côté… j’admets que je regrette pas même si ça n’arrange rien c’est pas comme si dix années ne s’étaient passé, c’est fou de replongé à nouveau dans le passé non ? » Il ne savait pas ce qu’il espérait, lui qui avait cru l’avoir oublié, il se rendait compte comme un idiot être bien naïf quand en réalité, elle occultait toute ses pensées.