TW : intimidation, suicide, addiction, médication excessive, négligence parentale, accident (équitation), blessure, dépersonnalisation.
âge & naissance : tu dois l'avouer, tu aimes célébrer ton anniversaire. tu en fais tout un plat à chaque année, avec une fête, des cadeaux, et un énorme gâteau. tu ne sais que célébrer en étant entourée — chaque onze juin, quand tu souffles les bougies. la dernière fois, c'était pour célébrer tes vingt-trois ans. ça t'a rendu un peu nerveuse, de réaliser que t'étais presque à la mi-vingtaine, le temps qui passe vite, ça te rend vertigineuse. toi qui savait tellement où tu allais — maintenant, rien n'est aussi certain. origines & nationalité : tes parents sont tous les deux du vietnam, et c'est là que tu es née. même si tu te considères australienne avant tout, tu restes fière de tes origines. tu possèdes tout de même la nationalité australienne, étant arrivée très jeune au pays. finances et emploi : $$$$$, tu ne manques d'absolument rien, même que tu es habituée à tout avoir à portée de main. tu as toujours baigné dans l'argent, et pas juste un peu d'argent — princesse selon tes termes, tu vis cependant plus modestement depuis ton accident. ce qui te rendait si heureuse — vêtements, bijoux, gadgets — ne semblent plus t'apporter la même chose. faut dire que tu étais lancée, ta carrière en sports équestres, particulièrement le saut à obstacles, n'annonçant que les éloges et les records. tu étais une véritable star, une prodige, ton chemin déjà tout tracé. il n'a fallu qu'un faux mouvement, qu'une chute, et c'était terminé. tu ressors tout juste d'une longue réhabilitation, pas tout à fait terminée, et tu dois retrouver ta place. sur un coup de tête, tu as décidé de débuter des études vétérinaire. tu as un long chemin devant toi, mais tu es déterminée.  statut civil : tu n'es pas la plus facile en amour, il faut l'avouer. tu aimes te faire chasser, mais pas trop — tu aimes chasser en retour, mais tu te lasses vite. un peu difficile, sachant peut-être trop ce que tu aimes, ton intérêt est difficile à capter et encore plus à conserver. les relations que tu as trouvées sont précieuses pour toi — quand tu t'attaches, c'est pour de vrai, et c'est pour la vie. mais tu sais aussi que le coeur est éphémère, que la vie est imprévisible, et tu ne tiens pas rigueur à ce que les histoires se terminent. pour le moment, tu es célibataire, ta réhabilitation ayant été un peu compliquée pour te trouver un prince charmant. maintenant que tu vas mieux, que tu rencontres du monde sur le campus, t'as bien envie de te lancer dans une nouvelle histoire. orientation sexuelle : tu as essayé, d'embrasser les filles. ça ne t'a pas déplu, mais au final, le coeur n'y était pas vraiment, et le désir non plus. tu es donc hétérosexuelle, même si tu n'aimes pas y placer un terme, tu te laisses guider, et c'est loin d'être impossible que ça change. situation familiale : tes parents étaient un mariage catastrophique. ils se sont déjà aimés, peut-être, c'est ce que ton père t'a toujours dit. la maternité a eu une drôle d'emprise sur ta mère, cependant, qui est devenue instable, accro à ses médicaments et ses bouteilles de vin. le classique de la femme au foyer qui laissait ses enfants à une nounou pour dormir toute la journée. heureusement, t'étais trop jeune pour en être affectée, et t'avais pas quatre ans qu'ils ont divorcés. ton père s'est remarié, et t'es débarquée comme une fleur dans une famille déjà bien remplie. t'as gagné trois frères aînés, et tu t'es fait ta place sans jamais la demander. vous êtes familiers les uns avec les autres, sans être particulièrement complices — mais tu ne t'es jamais sentie comme une intruse parmi eux. tu restes davantage proche de ton père, appréciant bien ta belle-mère, ta propre mère complètement oubliée. signe astrologique : née sous le signe du gémeaux, tu incarnes à merveille sa spontanéité, son incohérence, sa malice. libre comme l'air, à en donner le vertige, on ne t'arrête pas, et tu es aussi incroyablement adaptable. ta lune en taureau indique ta persistence et ton intuition et ton venus en lion ton côté effronté. le pire tue-l'amour : tu es du genre un peu compliquée en amour, mais s'il y a bien une chose que tu ne supportes pas, c'est quand on joue avec toi. t'as besoin d'honnêteté, et dès qu'il y a des cachotteries ou de la manipulation, tu claques la porte. tu préfères avoir la vérité brutale, plutôt que te faire jouer dans le dos — et si ça t'arrive, tu n'hésiteras jamais à te venger. un fantasme : tu es plutôt du genre à faire ce que tu as envie, mais il y a bien un truc que tu aimerais essayer sans que tu trouves la bonne personne pour le faire — le dirty talk. rien de trop intense, juste quelques mots dans le creux de l'oreille pour te faire frissonner, et te donner une nouvelle expérience. à Brisbane depuis : depuis que tu as sept ans, après avoir été trimbalée ici et là, de l'australie au vietnam, passant par la corée du sud. tu es bien à brisbane, t'as jamais vraiment voulu en repartir. traits de caractère : espiègle, capricieuse, imprévisible, indélicate, moqueuse, déterminée, confiante, bornée, polyvalente, impatiente, envahissante, bavarde, rancunière, persuasive. avatar : hanni pham (vietnamienne).

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romantisme (40%)	level de drague (80%)
engagement (50%)	passion (30%)
performance au lit (70%)	fidélité (80%)
nombre de cœurs brisés (90%)	recherche de l'amour (70%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Tu ne sais pas, en fait. Tu aimerais croire que ça existe — l'idée te plaît, te donne envie de sourire, et au fond de toi, tu sais que tu le sauras quand tu trouveras la bonne personne. Peut-être que c'est pour ça que t'amuses autant, parce que tu sais que quelque part, il y a la personne parfaite pour toi, et que tu vas la trouver. Tu aimes cependant l'amour qui se ressent simplement, sans complications. Alors tu le recherches sans vraiment le faire — tu aimes juste être aimée, et en ce moment, tu te sens un peu seule, et tu as bien envie de compagnie. Tu veux vivre pleinement, et tu crois que pour y arriver, il faut ouvrir son coeur aux autres, et l'amour est une belle chose. À quelque part, tu espères que ça aidera à te trouver, que tu pourras aimer entièrement et complètement, et donc pouvoir comprendre un peu mieux qui tu es.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Tu n'es pas du genre à vivre avec des regrets, même si tu as quelques expériences qui te sont restées dans le creux de l'estomac. Tu regrettes de ne jamais vraiment avoir donné sa chance à Sungho ; tu regrettes de ne pas avoir insisté auprès de Juni pour qu'il reste ; tu regrettes de ne pas avoir davantage exploré certaines relations ; tu regrettes de parfois t'être un peu trop attardée auprès de ceux qui n'en valaient pas la peine. Mais tu ne te laisses pas abattre par tout ça, pas le moindrement — tu regardes devant toi, et tu ne veux que croire que le plus beau est à venir.

ENTP/A — hotter than your ex, better than your next — i wear heels bigger than your d*ck — daddy's girl — it girl energy — occupation: princess — let girls be angry — slight identity crisis — "my kink is when people admit i was right" — might be a sinner and might be a saint — experience taught her. hurt raised her. neither defined her — let's cause a little trouble.

(headache) tw/ négligence parentale, addiction, médication excessive. gamine née une journée chaude et humide, dans la capitale de hanoï, tu as vécu tes premières années dans une communauté riche et relativement close. si ton père t'as toujours aimé de tout son coeur, et te voulait ardemment, ce n'était pas tellement le cas de ta mère — elle a détesté sa grossesse, et ne voulait qu'en avoir fini. de sa part tu n'as jamais ressenti une quelconque tendresse, qu'un certain désintérêt, voire même un dégoût. pas fait pour être mère, au final, n'aimant que l'idée de la maternité, prétendant en avoir par-dessus la tête alors que c'est une nounou qui s'occupait de toi toute la journée. ton père, travaillant dans le domaine de la finance, rentrait toujours tard le soir, et partait souvent en voyage d'affaire — mais en revenant, que ce soit après une longue journée ou après quelques jours à l'autre bout du monde, venait toujours te lire une histoire. ta mère, tu ne la voyais que rarement, sauf quand les apparences le demandaient. elle passait ses journées à parler au téléphone, à faire du shopping, et à enfiler un verre de vin et une pilule dès que tu lui disais le moindre mot. tu me donnes la migraine, voilà ce qu'elle te disait. gamine intelligente, tu n'étais vraiment exécrable qu'avec elle, adorable avec le reste du monde. t'es devenue exigeante, tu lui as poussé des crises, juste histoire de la voir déboussolée, juste histoire qu'elle te déteste autant que tu la détestais elle.

(family) un jour, ta mère n'est pas rentrée à la maison. t'étais trop jeune pour comprendre, mais ton père t'a annoncé leur divorce — et le fait que vous déménagiez en australie pour son travail. tu l'as suivi avec émerveillement, et ta mère ne t'a jamais manqué après ça. vous vous êtes installés à brisbane, où ton père t'a rapidement présenté quelqu'un — et juste comme ça, tu avais une nouvelle famille. trois frères aînés, qui t'ont regardé comme un extraterrestre, mais toi, ça ne t'a pas fait un pli. tu t'es installée chez les jung, adoptant le nom de famille comme s'il avait toujours été le tien. à peine arrivée que tu as à nouveau été déracinée, une tragédie familiale emmenant tout le monde à s'installer en corée, où vous restez presque trois ans. tes premiers souvenirs sont donc vraiment de busan, le coréen appris presque en même temps que l'anglais et le vietnamien. tu es restée très proche de ton père, toujours accrochée à son bras dès que tu le pouvais, mais tu as toujours bien aimé ta belle-mère, et tu t'es un peu raccroché à levi, le plus proche de toi en âge. tu leur as donné bien des maux de tête — toujours avec le sourire. même si vous n'avez jamais été particulièrement soudés, vous êtes là les uns pour les autres, et tu sais qu'au moindre appel, et même si vous ne partagez aucun lien de sang, tes frères seront là pour toi.

(home) après ces trois années à busan, vous retournez en australie, et vous allez à brisbane pour y rester. tu as à peine huit ans, et t'es pas mécontente de pouvoir enfin t'enraciner quelque part et construire ton petit monde. famille riche, tu n'as jamais manqué de rien, et ton caractère de petite princesse s'est affirmée — mais ne t'as jamais pourri non plus. t'as juste trouvé ton caractère, gamine qui savait toujours tirer son épingle du jeu, qui se faisait des amis facilement, qui comprenait le monde autour d'elle. tu évolues dans le monde des country club aux côtés de tes frères, où tu t'intéresse rapidement à l'équitation. tu as du talent — beaucoup de talent, même. tu décides donc qu'il s'agit de ce que tu veux devenir, et à peine douze ans, tu te jettes corps et âme dans ton entrainement. tu apprends le sport avec ton propre cheval, whisper, et tu participes à des compétitions. tes parents veulent t'envoyer dans une école publique des environs, quand c'est le temps pour toi d'entrer au secondaire, mais tu les supplies d'aller à l'école privée. tu veux un peu de prestige — et ils acceptent finalement ton caprice. tu navigues le monde autour de toi sans le moindre mal, populaire à l'école, douée dans ton sport, raflant médailles et applaudissements.

(blame) tw/ suicide, intimidation. une fille comme toi a son lot d'amis et d'admirateurs — mais ton caractère admire inévitablement les ennemis. un petit groupe à ton école décide de se liguer contre toi, voulant voler la couronne qui s'est naturellement installée sur ta tête. ils te rendent la vie difficile, mais t'as toujours un pas d'avance sur toi. tu es imperturbable, leurs tentatives glissant sur toi. tu ne prétends même pas que ça ne t'atteint pas — t'as juste ce genre de naturel à ne pas donner de ton énergie à ceux qui ne valent pas ton temps. mais ça finit par dégénérer. une de tes camarades de classe saute du toit de l'école, et on te colle ça sur le dos. elle l'intimidait. elle la manipulait. tout le monde sait la vérité, mais l'histoire fait tellement parler que tu es tout de même excusée de l'école. tu es blanche de colère, mais on te retient de ne pas aller casser quelques nez. au final, tu es transférée dans une école publique, où tu décides de faire profil bas. tu te fais tout de même remarquée, mais tu adoptes une autre attitude, beaucoup plus détacheé — et tu te concentres beaucoup plus sur l'équitation. tellement, que ton père te souffle qu'il te faudrait varier tes loisirs. tu rejoins donc, sur un coup de tête, le club de photo de l'école. tu y rencontres sungho, qui a, tu le sais bien, un crush sur toi. t'as cependant pas très envie d'être en couple, et tu le mènes un peu en bateau. tu l'aimes bien, mais pas comme ça — même si tu penses l'embrasser un jour, alors que vous travaillez de paire pour faire l'album de fin d'année. tu lui promets un rendez-vous avant qu'il parte à la fin de l'année scolaire, mais le temps file entre tes doigts, et il te demande au bal trop tard. a shame. tu es cependant encore jeune, et tu penses à autre chose, et tu aimes te faire désirer — encore peut-être un peu trop.

(exhale) tw/ intimidation. l'année suivante, sungho n'est pas là, et tu décides d'un peu plus explorer ta sexualité. tu tentes tes premières relations de couple, sans grand succès. les garçons de ton âge ne sont pas intéressants — pas ceux qui te cours après. tu rejettes d'ailleurs un type populaire, matt, qui était convaincu de pouvoir t'avoir, et il ne le prend pas vraiment. devient légèrement odieux avec toi. personnellement, ça ne t'affecte pas, mais tu le vois intimider les autres. certains qui répliquent, d'autres qui ne le font pas. et tu te promets de le venger d'une manière ou d'une autre. l'opportunité vient vers la fin de l'année, alors que tu proposes une alliance avec ton partenaire en science, juni. il est mignon, a du caractère, et il a besoin de faire payer son bully, qui, après ton refus, s'est tournée vers la fille sur juni avait l'oeil. tu l'invites à aller au bal avec toi — en échange d'une ou deux dissertations rédigées — et tu concoctes un plan digne d'un film. tout se déroule sans accro, et tu humilies matt devant toute l'école lors du bal. l'adrénaline dans les veines, tu t'enfuis au bras de juni. vous allez manger des frites et vous parlez toute la nuit. au final, vous vous entendez si bien, que vous finissez par vous fréquenter. il est ton premier vrai copain, et au final, vous serez ensemble pendant près de deux ans. à vous accompagner mutuellement dans la vie après le secondaire, alors que juni se plonge dans ses études et que tu continues tes compétitions et ton entraînement, sans relâche.

(breathless) et juste comme ça, juni s'en va. inscrit à une école de cuisine à sydney, il plie bagage et quitte la ville. tu te retrouves l'herbe coupé sous les pieds, et bien que tu relèves rapidement le menton, t'as un peu le coeur brisé. il va te manquer. tu rebondis rapidement, cependant, te dévouant complètement dans ta carrière montante. les compétitions ne sont presque pas suffisantes pour toi — tu décides, sur un coup de tête, de créer un centre de refuge pour les chevaux en lien avec le centre équestre où tu évolues depuis des années. tu accueillis des rescues, et tu prends le temps de les remettre sur pied avant de les placer en adoption. ton idée est tellement populaire qu'on te propose d'aller lancer un même concept dans un autre centre à queensland, puis en tasmanie. tu aimes te promener, tu ne t'arrêtes jamais vraiment, tu vis ta meilleure vie — enchaînant les nouvelles rencontres et les nouvelles expériences.

(fracture) accident (équitation), blessure. t'es revenue à brisbane il y a seize mois avec la bonne résolution de reprendre un entraînement rigoureux. tu recroises sungho lors d'un événement, renouant avec ta vie d'avant. tout semble aller pour le mieux, tu vises une compétition nationale lorsqu'on te demande de l'aide avec un cheval récemment secouru. un jeune cheval venant de loin, difficile d'approche, que personne n'est capable de vraiment apaiser. tu passes des semaines à nouer une relation avec lui, à doucement le calmer. puis, un après-midi, un faux mouvement et un grand bruit pas bien loin le fait sursauter. tout arrive en quelque seconde — tu te retrouves projetée de son dos, et tu tombes de travers. sous le choc, soufflée, la douleur ne vient pas tout de suite — et après, il n'y a que ça. tu passes des semaines à l'hôpital, et le constat n'est pas bon. fracture vertébrale, en plus d'une entorse au poignet et d'une commotion cérébrale. ta remise sur pied sera longue et pénible, et les médecins t'avisent rapidement que tu ne pourras pas remonter à cheval avant des années. peut-être même jamais, sauf pour risquer la paralysie complète. tu t'enfonces dans ton lit d'hôpital, et t'as l'impression que ta vie entière est terminée. tu te renfermes du reste du monde, déprimée et en douleur constante. tu es frustrée de tes progrès trop lents, de ce que tes blessures t'empêchent de faire, du temps qui passe à ne pas pouvoir bouger comme tu le veux. tu ne veux voir personne — le seul que tu acceptes de voir est levi. juste comme ça, ta carrière est terminée, et t'as l'impression que ta vie aussi. tu vas faire quoi, maintenant ?

(nowhere) tw/ dépersonnalisation. tu n'es suffisamment rétablie que depuis quelques mois. tu t'es retrouvée au début de l'année en ne sachant pas quoi faire, et avec trop de temps sur les bras. tu ne voulais pas retourner au centre équestre, pas tout de suite — et tu as un peu paniquée à devoir trouver un nouveau sens à ta vie. tu ne veux pas laisser ton accident te traumatiser, cependant, et tu veux garder un lien avec les animaux que tu aimes tellement sauver. tu t'inscris donc à l'université en soins vétérinaire, complètement sur un coup de tête. tu entres au semestre d'hiver, un peu en retard, pour faire des cours complémentaire, et la route est longue devant toi. pour le moment, tu n'y penses pas. tu ne veux que continuer d'avancer, obstinément, même si tu ne veux pas avouer que ton accident t'a profondément changée. on dirait que tu ne sais plus trop qui tu es, comment agir, si tu es toujours la même — déboussolée, comme si tu étais encore par terre, soufflée, à regarder les nuages bouger doucement, attendant que la douleur te prenne toute entière. comme si tu étais encore dans ce lit d'hôpital, des semaines à attendre de savoir si tu pourras même marcher normalement à nouveau. tu te sens plus vulnérable, horriblement vulnérable, toujours en attente, toujours à avoir peur. ta blessure te pèse, aussi, te fait mal. parfois tes pensées se mélangent, et tu as ces instants d'absence, cette dépersonnalisation que tu ne comprends pas encore tout à fait. tu veux être la même qu'avant, tu cherches la même énergie, mais c'est ce que tu fais — tu la cherches. elle est toujours là, mais elle se défile plus.

(unsteady) ton premier semestre à l'université se passe plus ou moins bien, faut l'avouer. tu n'as pas été à l'école depuis le secondaire, où tu n'as jamais vraiment eu besoin de travailler pour tes résultats. cette fois, tout est différent — et faut dire que t'as passé des semaines à profiter de la vie de campus au lieu de vraiment te pencher sur tes cours. tu es donc en train de tout échouer, et ça se passe relativement lamentablement. tu as honte, mais tu ne sais pas comment t'y prendre — et ton orgueil t'empêche de demander de l'aide pour le moment. tu essaie doucement de te reprendre en main, parce que cette voie te plaît. t'as décidé d'aller vivre chez levi, parce que c'est plus facile que d'être toute seule, et sa présence te fait du bien — tu t'es plus ou moins imposée chez lui, mais t'as plus envie de repartir. tu dois trouver un juste milieu, tu dois te discipliner, tu dois te retrouver. tu y arriveras. peut-être. sans doute. tu es celine jung, et tu peux tout faire.
right?

(varia) tu as grandi dans l'argent. ton père en a toujours eu, de la carrière qu'il s'est construit, et ensuite, en se mariant dans la famille jung, tu n'as jamais manqué de rien. tu ne connais donc que ce confort de vie, l'indulgence, et la richesse générale — tu en profites sans t'en vanter. le téléphone dernier cri, les vêtements de marque, même si tu as apprécie la simplicité à ta manière. mais tu es privilégiée, tu le sais, et t'as pas peur d'en profiter. :: tu aimes aller chercher le thrill, le petit rush d'adrénaline dans tes veines, ce feu qui s'allume à l'intérieur de toi. tu aimes jouer avec les limites, voir jusqu'où tu peux pousser avant que ça se brise. troublemaker, tu excelles particulièrement dans les plans de vengeance, sans jamais être cruelle, tu aimes les manigances, et aider juste un peu le karma à agir dans ton sens. :: pendant longtemps, dans tes relations amoureuses, tu as cherché cette même énergie, un peu dangereuse, à ne pas vouloir te poser. juni a été une exception, c'était une relation plus stable, mais sinon tu préfères ce qui éclates, être chassée, chasser en retour, ne jamais se reposer sur ses lauriers. tu aimes qu'on te tourne autour, être tout ce qu'il y a dans la tête de l'autre, drive them crazy. depuis ton accident, cependant, tu as envie de plus de douceur. de quelque chose de rassurant, de quelqu'un qui saura te stabiliser. alors que tu as du mal à te retrouver toi-même, tu aimerais quelqu'un qui te connaîtra, dans le bon, dans le mauvais, dans la clarté, dans le brouillard. :: on te catégorise souvent comme mean girl, et ce n'est pas si loin de la vérité. tu as une franchise et une manière d'agir qui pourrait faire compétition à regina george, mais la différence est que tu n'es jamais cruelle. tu n'es pas méchante, tu ne l'as jamais été. tout ce que tu as fait, c'était mérité, et jamais par simple malveillance. tu as toujours laissé tranquille ceux qui ne t'emmerdent pas, et tu es, au fond, très loyale et sympathique à côtoyer. tu as juste un caractère de princesse, que te pousses à toujours aller chercher ce que tu veux, que ce soit un garçon ou un peu de justice. :: tu parles l'anglais, le coréen, le vietnamien et un peu d'espagnol, courtoisie de juni. :: tu aimes jouer avec ton style au quotidien, ne t'arrêtant jamais à une seule chose. colorée, puis minimaliste, tu y vas selon ton goût du jour. :: tu aimerais peut-être remonter à cheval un jour, mais tu n'es pas prête. pour le moment tu restes loin de ce monde, hantée par le souvenir de ta chute, préférant changer ta vie complètement. :: tu es une grande admiratrice de negroni et d'aperol spritz. c'est un ou l'autre, ou rien. :: tu aimes bien manger, et tu es un peu difficile au niveau nourriture. pas que tu n'aimes pas un burger gras de temps en temps, mais il faut qu'il soit un minimum bon. :: depuis ton accident, tu aimes bien aller nager. ça t'aide avec la douleur dans ton dos. :: tu refuses encore d'aller suivre une thérapie pour ton accident. tu iras un jour, que tu dis à tout le monde. un jour. :: tu adores les fleurs de cosmos. tu en as souvent un bouquet dans ta chambre. :: tu adores faire la fête, et quand tu le fais, c'est sérieusement, et pour toute la nuit. :: tu n'es pas très artistique, mais tu as le pouce vert. tu as quelques plantes dont tu aimes prendre soin. :: tu adores totalement et absolument le chien de ton frère, et tu t'assures toujours d'aller la promener. :: tu n'as jamais revu ta mère, et tu n'as aucune envie de la retrouver.

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