TW : Mention de racisme
âge & naissance : Né le 13 juin 1991, Arman a 32 ans. Une jeunesse qu’il savoure à pleines dents. origines & nationalité : Né en Australie, il possède la nationalité australienne. Concernant ses origines, il en extrêmement fier: sa mère est mexicaine et son père est lui-même un métissage méditerranéen et moyen-oriental. finances et emploi : $$$$$, Ses finances sont bonnes. Arman est illustrateur. Son travail chez Jolie Plume consiste à préparer des illustrations et des couvertures pour les livres de cette maison d’édition. La spécificité d’Arman ? La technologie et lui font deux. De ce fait, il travaille quasi exclusivement avec des matières physique. Fort heureusement, il peut compter sur Anastasia pour lui donner des cours d'informatique et l'aider quand il est en panique devant un écran (qui n'a pas besoin d'être bleu, un simple freeze et le voilà en position latérale de sécurité) statut civil : Célibataire, il papillonne en attendant sagement que la foudre ne vienne le frapper en plein cœur. Il aspire, un jour, à vivre une romance à faire jalouser les lignes de Casey McQuiston. Alors, en attendant, il observe, rencontre et attend le jour ou son cœur va lui dire: c'est lui ou elle. orientation sexuelle : Arman est bisexuel, pleinement assumé. Il est complètement soutenu par sa famille.situation familiale : La famille De Leon, c’est quelque chose. C’est le genre de famille nombreuse où le chaos règne, mais dans le bon sens : avec autant d’enfants, on peut vite se laisser submerger, mais ce n’est pas le cas des parents qui savaient (et savent toujours !) diriger cette petite équipe d’une main de fer dans un gant de velours. S’occuper d’autant d’enfants, c’est plus que du sport. Pour eux : c’est de l’entreprenariat. Là ou maman De Leon s’occupait des comptes et des devoirs, c’est papa qui gérait les repas et le ménage. Ça, sans compter les nombreuses sollicitations envers les enfants. Chez les De Leon, tout le monde participe ! Tous ont des tâches et même si aujourd'hui Arman a la trentaine passée, ses parents auront toujours une bonne liste de chose à faire quand il revient à la maison. Arman, étant l’ainé, a toujours mis un point d’honneur à aider ses parents et sa fratrie. Tel un troisième parent pour certains, il avait le mérite d’être plus souple que Maman et Papa et surtout, d’être parfois salement complice des conneries qui pouvaient être faites.  signe astrologique : Il est gémeaux, le meilleur signe astro quand on est artiste et c'est scientifiquement prouvé. le pire tue-l'amour : l'incapacité de suivre ses principes ou de reconnaitre ses erreurs. On peut en faire, mais ne pas réussir à identifier celles qu'on peut faire ou les ignorer est une red-flag rédhibitoire. Arman n'est pas la pour éduquer ses partenaires. Et sur un plan plus intime, les chaussettes au lit, c'est non, même si elles sont à motifs. un fantasme : Le faire pendant un magnifique sunset. Bon, peut-être aussi qu'il aimerait bien tenter une salle de cinéma mais ça... C'est moins romantique. à Brisbane depuis :Toujours, le jeune homme est né ici. traits de caractère : Arman est solaire. C’est le genre de personne qui aura très souvent —pour ne pas dire toujours— le sourire aux lèvres. Pour rester dans la comparaison solaire, il serait ce genre de soleil doux, un matin d’été annonçant un bel après-midi ensoleillé. Le jeune homme est tendre avec ses proches et aura toujours mots justes pour prendre soin d’eux. Si les mots durs doivent être dits, ils le seront mais uniquement s’il en est obligé. A choisir, bien sûr, il préfère prendre soin de ses amis et de sa famille. Il aura toujours le petit truc pour faire sourire ses collocs ou adelphes. Il est déjà arrivé qu’Arman soit là, ne dise rien et se contente d’écouter, de prendre ladite personne dans ses bras... Et de ses simples gestes, avait réussi à aider. La simplicité, ça a parfois du bon. La douceur aussi.

On retrouve aussi ce trait de caractère dans son travail. Qu’il s’agisse de ses illustrations, ou dans sa façon de collaborer avec ses collègues, il en dégage toujours quelque chose d’aussi doux qu’un nuage. Oui, parfois Arman peut être aussi piquant qu’un petit piment, mais cette espièglerie n’est rien d’autre que de l’humour. Il aime charrier, quand il sait qu’il peut. Mais une chose que sa mère lui a toujours appris, c’est que la bienveillance sera toujours plus gratifiante que la haine et que le pardon fera toujours plus de bien que la vengeance… Pour être aimé, il faut savoir aimer. Ceci étant dit, son père était aussi là pour lui rappeler que si des baffes doivent être donné car il n'y a plus que ça, il ne faut pas hésiter à en distribuer. (quand je vous dis que cette famille est good chaos, c'est vraiment ça)
Même devant la technologie et l’informatique qui le rendent dingue, Arman sait garder son calme. Il préfère rire de ce genre de situation plutôt que de s’énerver. Tout finit par trouver une solution et il est du genre à privilégier le calme à la colère. Cela étant, il est humain, ça lui est déjà arrivé de s’énerver, mais c’est rare et surtout, il préfère quand ça n’arrive pas. Le positif amène le positif, un mantra qu’il adore.
avatar : Taylor Zakhar Perez (mexicaines, méditerranéennes et moyen-orientales.).

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romantisme (85%)	level de drague (55%)
engagement (85%)	passion (80%)
performance au lit (75%)	fidélité (100%)
nombre de cœurs brisés (5%)	recherche de l'amour (100%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Le grand amour ? Difficile à dire… Car pour Arman, c’est une chose qui se défini à deux. C’est une chose qu’on ne reconnait que lorsqu’elle arrive. Et cette arrivée, c’est souvent sans crier gare. Le grand amour pour lui, c’est fait de ses petites choses qu’on ne peut partager qu’avec cette moitié. Pour certains, c’est partager ses frites, d’autres de pouvoir parler de ses passions pendant des heures là, ou pour encore d’autres personnes, le grand amour, c’est de pouvoir être soit même dans sa forme la plus pure, presque innocente. Pouvoir être soi-même, sans jugement, uniquement de la bienveillance. C’est aussi cette notion de partage car, un tel amour, c’est de vivre les moments de bonheur à deux, mais aussi les peines et les difficultés de vie. Aimer passionnément, c’est aussi être le phare pour l’autre quand la mer nocturne déchire la lune. Une vision peut être utopiste, mais qui démontre bien l’image qu’Arman de l’amour. Dans un sens, il aimerait avoir un couple aussi solide que ses propres parents. Malgré des péripéties, six enfants, ils s’aiment toujours. Pas sur qu’il souhaite autant de petits chez lui, mais cette solidarité face à l’adversité de la vie, c’est, pour lui, la plus belle preuve d’amour.
Et oui, l’artiste le recherche. Tout du moins, il garde espoir et continue de se dire qu’une telle aventure de vie lui arrivera. Un jour, il le souhaite, son cœur va manquer un battement quand il verra cette personne. Ce coup de foudre, il l’attend et le désir plus que tout.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Quand on a une image aussi fantasmé de l’amour, on finit souvent par être déçu. Et Arman ne fait pas exception. Il se souvient très bien de cette fille avec qui tout semblait allait. Au point où, après trois ans d’une vie commune sans nuage, elle décida de lui demander sa main. Une femme demandant à l’homme de l’épouser, en voilà une belle et moderne vision de l’amour, n’est-ce pas ? Dans la théorie oui, Arma avait adoré. Il aurait tout autant apprécié pouvoir dire oui, sauter dans ses bras et lui dire qu’il l’aimait mais… Au moment où son regard s’était plongé dans le sien, son cœur n’avait pas ce courant électrique, celui qu’il attendait. Celui du coup de foudre. Un regard qu’elle avait malheureusement bien compris. C’était de trop pour la dame, qui sans plus sommation, disparue. Un soir place de la République, qui l’avait rendu bien triste…  
Pendant longtemps, il s'est demandé si ce n'était pas là, une peur de l'engagement, mais non. aussi cruelle soit cette raison, Arman s'était simplement rendu compte qu'il ne l'aimait pas assez pour ça. Son couple n'y avait pas survécu, la déception et l'incompréhension à son propre égard n'avait de cesse de grandir. Aujourd'hui, il va mieux, ayant réussi à tirer les leçons de cette douloureuse histoire/

(un) Très vite dans son enfance, Arman a éprouvé le besoin de créer. Qu’il s’agisse de dessin ou de collage approximatif, tout y passait. Et le mur des escaliers aussi. Encore aujourd’hui, certains y sont… Aux côtés des autres œuvres d’art de toute la tribu. Tous dans des cadres, entres les nombreuses photos de famille. Ses parents —Isabella et Adir— ne se sont jamais opposé à ce que leur premier fils se tournent vers les arts. Cependant, ils avaient posé une condition. Une seule. Celle qu’il pratique du sport en club. Un deal raisonnable vu qu’à l’époque, le collégien adorait nager. (deux) Une pratique de la natation qui lui a valu bourse universitaire au vu de ses excellents résultats lors des compétitions scolaires. D’après son coach de l’université de Brisbane, Arman avait tout ce qu’il fallait pour devenir un nageur professionnel, mais ce n’était pas là qu’il s’imaginait. La preuve étant : une fois ses études d’art plastiques finies, le jeune homme a cessé les compétitions. Cela étant dit, il conserve un très bon souvenir de ses années de pratique (en plus d’une plastique dont il est fier). Aujourd’hui, il continue de pratiquer pour se maintenir en forme, en plus d’aller à la salle où d’aller courir de temps en temps.  (trois) Ses études en arts se sont bien déroulées… Si on oublie sa difficulté indescriptible avec la technologie. Arman n’a rien contre, il est même pour l’avancée technologique, simplement, il a une difficulté colossale à savoir utiliser tout ça. Le strict minimum et c’est tout. Même en étant enfant, il ne parvenait pas à utiliser son téléphone correctement… Et finissait par ne jamais le prendre avec lui, faisant perdre la raison à ses parents plus d’une fois. Aujourd’hui, il parvient à user de son smartphone sans trop de problème mais plus, ça devient une épreuve de tous les maux. Mais comment faire pour réussir ? (quatre) La question semblait complexe au début de sa carrière d’artiste plasticien, mais c’est en revoyant ses collages d’enfants qu’il avait compris. Ce qu’il ne pouvait pas réussir à faire sur écran, il allait le réaliser sur sa feuille. Composer son illustration en usant tout ce qu’il a sous la main, créer une composition unique, la scanner et pouvoir la mettre en ligne. Ça ne semble pas sorcier dit ainsi, mais le travail est pharamineux quand on souhaite pousser cet art à son sommet. Avec le temps, Arman a développé diverses capacités artistiques entre le dessin —oui ça semble logique—, la peinture, la découpe, la gestion de la colorimétrie, des mélanges de matières et dans une certaine mesure, la photographie de ses œuvres.  (cinq) C’est grâce à cette spécificité artistique que, malgré ses défauts évidents avec la technologie, qu’il se fait repérer part Jolie Plume. En parallèle de ce poste qu’il occupe avec Anastasia l’illustratrice principale, il vend certaines de ses illustrations. Il a, par ailleurs, déjà fait des expositions dans des galeries ici mais aussi à Canberra. Autant vous dire que sa mère était tout de même vachement fière. (Le père aussi, même si, lui et l’art, ça fait quelque chose comme quarante-douze). (six) Il peut sembler étrange qu’un jeune homme de 32 ans soit encore en colocation. Pourtant, derrière cette maison à trois, il y a une singulière histoire. De base, oui, Arman vivait seul. Mais à la suite d’un gros dégâts des eaux, une procédure judicaire qui lui a coûté un bras ; il n’avait pas d’autres choix que de vivre en colocation. Et ce qui était une absence de choix a finalement était le bon choix. Car dans ses compagnons de vie, Arman a trouvé bien plus : des amis. Les gens allaient et venaient, mais à chaque fois les choses se passaient bien. Jules était devenue une véritable sœur tant ils avaient partagé. Avec la petite dernière de la coloc les choses sont différentes mais toujours sous le spectre d’une amitié inattendue mais au combien agréable. Talia, elle aussi, arriva à prendre sa place dans le cœur du jeune homme, devenant une nouvelle sœur sur laquelle il pouvait compter et dont il prendrait plaisir à chouchouter. Ce trio d’amis qui, même les flammes de Brisbane n’ont pas réussi à les séparer sont installé dans une belle maison. Un équilibre de vie qui pourrait sembler curieux pour certains et certaines mais qui n’est motivé que par leur forte amitié. (sept) En parlant de ce procès, il l’a rapidement gagné. Il s’était retourné contre son propriétaire, qui lui avait assuré que l’appartement était salubre. Ô que sa surprise fut grande quand le fameux dégât des eaux arriva seulement deux semaines après son déménagement et qu’en plus, ce même propriétaire attaqua Arman pour destruction de bien privée. Une histoire à dormir sur la tête qui semblait motiver surtout par un racisme à peine dissimulé. Par change, la justice australienne donna raison au locataire.  (huit) Un des nombreux talents cachés du jeune homme est la pâtisserie. Il est assez doué pour avoir faire la pièce montée des vingt ans de mariage de ses parents. C’était d’autant plus touchant que toute la fratrie avait mis la main à la pâte… Littéralement ! (neuf) Il est extrêmement fier de ses frères et sœurs. En étant l’ainé, il est toujours celui qu’on appelle quand il y a un problème et pour éviter la case parent… et ça depuis des années. Et malgré les nombreuses soirées où il a parfois paniqué pour elleux, il ne changerait rien pour tout l’or du monde. Toutes les galères de ses petits et petites sont les siens. Il fera tous pour les aider, et peuvent compter sur lui, sans l’ombre d’un doute.  (dix) Arman a un attachement émotionnel très fort pour ses origines mexicaines. C’est un pays qu’il adore visiter —notamment pour voir ses grands-parents et autres cousins— et dont il aimerait sincèrement faire visiter à sa moitié. Pas une fête mexicaine n’est oubliée à la maison et gare aux niños y niñas qui ne sont pas là ! Blague à part, il lui est déjà arrivé de ne pas être présents et de le fêter à la maison avec ses colocs, ou même seul. Peu importe, il faut savoir marquer le coup. (onze) Arman parle couramment l’anglais, l’espagnol, le français et il comprend l’arabe et le portugais. Il fait souvent le faux modeste à ce sujet, mais il adore crâner quand il comprend les conversations qui l’entourent… Il voit ça un peu comme un super pouvoir.

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