TW : drogue, accident, prison, deuil, cancer, dépression, automutilation.âge & naissance :  il est né le 9 février 1996 ce qui lui fait actuellement vingt-six ans, le quart de siècle dépassé, comme ont dit. Il fait partie de ses jeunes, nés avec une cuillère en argent dans la bouche ; pourri gâté et pourtant toujours en train de se plaindre ; vingt-six ans et déjà un avenir brillant, sans problème, grâce à papa, comme ça qu'on le voit, pas comme ça qu'il vit les choses. Il est né dans un hôpital privé à Brisbane.  origines & nationalité : de nationalité australienne, il a des origines indiennes, par son père, mais aussi britanniques par sa mère, un joli mélange, dont il est plutôt fier.  finances et emploi :$$$$$, riche, trop riche diraient certains, le genre de gars qui peut claquer des milliers de dollars sur un coup de tête sans que ça n'ait de conséquence ; compte en banque bien fourni, grâce à son père, et place de choix dans sa compagnie ; papa dirige une chaîne d'hôtels de luxe ; il est chargé des relations publiques, gérer l'image de la boite, ça le pousse à travailler sa propre image, à devenir un homme qu'il n'a pas envie d'être, mais il n'a pas vraiment le choix le brun. statut civil : célibataire, instable, pas de temps à perdre là-dedans qu'il dit bien volontaire, réaction presque hautaine qui cache une certaine insécurité ; l'amour le vrai il l'a perdu bien malgré lui. Sans doute qu'il finira par se marier histoire de se caser, d'avoir une vie normal, un mariage normal et un parcours qui plaira à son père ; pour l'instant il essaie juste de tourner la page sur une histoire encore trop ancré en lui.  orientation sexuelle : pansexuel, libre d'aimer qui il veut sans se soucier d'un genre. Secret bien gardé, certain que son père deviendrait fou en apprenant ça, qu'il dirait qu'il surf juste sur la vague d'un truc un peu à la mode ; propos vexant et blessant qu'il imagine très bien sortir de la bouche de son patriarche tant il est habitué à l'entendre dire du mal de tout ce qu'il fait de sa vie, sa sexualité ne ferait pas exception.  situation familiale : fils cadet de sa famille il a une demi-sœur, elle répond au nom de Pravesh elle aussi, même si elle n'en a pas les traits. Elle n'a que ceux de sa mère et d'un père inconnu. Ils étaient proches avant tous les deux, mais les choses ont changées ; il y a ses parents aussi, au moins son père, parce que sa mère, elle est morte quand il était adolescent. Cancer du sein, tragédie dont il ne s'est jamais remis, le brun.  signe astrologique : verseau, c'est de là que lui vient son côté créatif et son envie de liberté et sa grande sensibilité. Ascendant sagittaire qui lui donne son côté indépendant et social. Vénus en poissons pour renforcer sa sensibilité.le pire tue-l'amour : il serait tenté de dire que tout passe, quand on est défoncé ; mais il a du mal avec les gens qui parlent trop ; le dirty talk et notamment les insultes ça le dépasse un peu ; mais aussi les commentaires divers et variés, ça lui semble toujours un peu étrange. Il ne comprend pas les gens qui ont besoin de commenter ce genre de moments. Et plus c'est vulgaire, moins ça passe. Pas coincé pourtant, mais peu désireux d'entendre des "alors t'aime ça ?" au beau milieu de l'acte - même après, cela dit, c'est toujours bizarre. un fantasme : les toilettes de la Gallery of Modern Art, de Brisbane. Probablement l'endroit qu'il préfère en ville, alors ce serait le meilleur endroit pour ça. Les toilettes, c'est pas le plus romantique, mais c'est l'endroit ouvert au public le plus privé ; cela dit, pas bien difficile, n'importe quelle pièce lui conviendrait. à Brisbane depuis : toujours, il y est né et y a grandi ; ne la quittant que pour voyager ici et là, vacances à l'autre bout du monde, séjours divers et variés, voyages improvisés aux quatre coins du globe. Il l'a également quittée temporairement pendant ses études. traits de caractère : dynamique, social, extraverti, susceptible, brisé, loyal, impulsif, colérique, manque de confiance en lui, pessimiste, beau parleur, inconstant.  avatar : avan jogia (father – Gujarati Indian & mother – English, Welsh, some German, Irish, French-Canadian/French)

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romantisme (60%)	level de drague (80%)
engagement (30%)	passion (70%)
performance au lit (90%)	fidélité (20%)
nombre de cœurs brisés (70%)	recherche de l'amour (10%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ?
Il n'y a jamais vraiment cru, Hasan. Le grand amour, c'était peut-être ce qu'il y avait entre sa mère et son père pourtant. Elle était la seule à faire tomber le masque du patriarche Pravesh. L'homme froid et autoritaire devenait agneau auprès de son épouse. Peut-être que c'était ça le grand amour. Si oui, alors, il en a vu les bons moments comme les plus horribles. La mort de sa mère a rendu son père encore plus horrible qu'auparavant. Plus froid plus distant, comme si son cœur était mort avec elle. Il s'est toujours dit que si c'était ça l'amour, alors il n'en voulait pas. Trop beau et trop destructeur à la fois. Pourtant, y a eu Arlo et il l'a aimée. Assez pour savoir qu'il avait raison. L'amour, c'était beau et destructeur. Très peu pour lui alors. Sans Arlo, il redevient le mec instable qui passe de lit et lit sans se poser de questions.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Arlo, sans l'ombre d'un doute. Sa seule véritable histoire. Amourette d'été au premier abord, rien de sérieux qu'il s'était dit Hasan, parce qu'il ne faisait pas dans le sérieux. Mais la blonde l'a fait changer d'avis. Elle le comprenait mieux que personne, pansait ses plaies sans même s'en rendre compte. Il était bien avec elle. Mais ça s'est terminé. L'accident de voiture lui a tout pris. Arlo également. Il n'a pas cherché à la contacter en prison, il n'a pas essayé de la retrouver après. Certains sont trop brisés par l'amour pour renter leur chance, lui il est trop brisé pour l'amour.

(pravesh) nom qu'il devrait porter avec fierté ; son père ne le dira jamais assez, ses parents à lui, ils ont bâti un empire en Inde, ce qui leur permet à eux de se démarquer ici aux Etats-Unis. La famille, c'est la fierté, on devrait tout faire pour sa famille. Ce sont les discours d'un père de famille exigeant qui a toujours voulu voir ses enfants marcher dans ses pas. Homme rigide et sévère qui dirige sa famille un peu comme son entreprise. Hasan et son père, ils ont toujours eu du mal à se comprendre ; il s'est toujours senti plus proche de sa mère, il a toujours eu l'impression qu'elle le comprenait et qu'elle se souciait de son bonheur, plus que de l'image de la famille. (brotherhood) Il a une sœur aussi. Née quelques années avant lui. Quand ils étaient petits, ils étaient inséparables, soudés malgré le sang pas totalement partagé, un peu comme s'ils étaient la moitié l'un de l'autre. Maintenant, c'est plus compliqué, elle a souvent couvert ses conneries et il a longtemps été une source de déception pour elle. Elle a pris ses distances et s'il le regrette parce qu'elle lui manque énormément, il se dit que c'est mieux pour elle. Ils s'aiment tous les deux, mais ils peinent beaucoup à se le dire. (mother) Il était très proche de sa mère Hasan ; c'était une pianiste appartenant au brisbane symphony orchestra passionnée de musique et d'art. Un truc que son père appréciait de loin. Le genre d'homme allant aux concerts de musique classique, au théâtre, à l'opéra, plus pour son image que par passion. Il y avait rencontré son épouse, mais son amour pour tout ça restait limité. Il n'aimait pas voir son épouse encourager leur fils à dessiner, peindre, pas plus qu'il n'aimait la voir lui apprendre le solfège puis le piano. Il l'a laissée faire parce qu'il aimait son épouse. Probablement la seule personne qu'il ait vraiment aimée dans ce monde. Sa mère à Hasan elle lui a donné son goût pour l'art, sa fibre artistique. Elle l'emmenait à ses concerts, dans les musées. Le musée d'art moderne de Brisbane c'était son endroit préféré à elle, avant d'être le sien. Ils y passaient des heures ensemble sans jamais se lasser. Un moment privilégier, rien qu'à eux où il se sentait échapper à la pression familiale. Un jour, la nouvelle est tombée, comme un coup de couteau en plein cœur. Cancer du sein. Découvert trop tard. Elle s'est battue, il l'a vue changer, s'affaiblir, donner tout ce qu'elle avait pour finalement mourir. Un drame dans la famille, son père est devenu plus froid encore, comme si son cœur s'était éteint avec elle. Lui, il a commencé à sombrer à cette époque. Il n'avait que dix-sept le brun et encaisser a été trop dur pour lui.  (studies) il voulait étudier l'art le brun, mais ce n'était pas en option pour son père. Il n'a pas vraiment eu le choix, il s'est inscrit en sciences politiques à la australian national university Canberra, l'une des meilleures université d'un pays. De quoi rendre son père particulièrement fier, quand bien même ce dernier s'est contenté d'un c'est bien, froid et distant quand il lui a annoncé qu'il avait été pris. Classique chez son père. Hasan, il a fait ses études sans beaucoup de motivation, d'abord un bachelor en sciences politique, avec une année passée à l'étranger, à Paris plus précisément ; ensuite il s'est dirigé vers un master en communication. Lui son rêve, c'était de vivre de la peinture, des toiles qu'il peignait dans son coin et que son père jugeait comme sa merde, là où sa mère l'avait toujours encouragé à continuer. Il rêvait de tout plaquer le brun, pourtant, il est allé au bout de son cursus et finalement, il a commencé a occuper un poste dans l'entreprise de son père, sans grande motivation. (arlo) elle était belle, Arlo avec ses longs cheveux blonds et ses yeux noisettes ; son sourire, sa simplicité. Il était à une soirée quand il l'a rencontrée et y a eu ce truc en eux, presque évident. Ils se sont vus et revus, ils ont commencé à se fréquenter et c'était une belle histoire. A l'abris des regards indiscrets. Pas du même monde. Roméo et Juliette des temps modernes. Son père aurait probablement jugé de toute façon. Pas assez bien pour lui. Croqueuse de diamant qui n'en voulait qu'à son argent. Non, Arlo, elle n'était pas comme ça. Elle s'en fichait de son nom, de sa fortune, de sa réputation. Elle le voyait comme il était derrière les apparences. Il ne s'est jamais senti aussi vivant qu'aux côtés d'Arlo. Elle était cette bouffée d'air frais dans sa vie, celle qui a su briser ses chaînes. Elle lui a donné de l'espoir alors qu'ils faisaient des plans. Tout plaquer, vivre à avec elle. Il peindrait, elle l'exposerait dans sa galerie, des rêves, rien de plus. Un été à rêver à ses côtés c'était mieux que rien. Quelques mois, perdus dans le temps où il a été vraiment heureux. Y a qu'avec elle qu'il l'a connu le bonheur et à la fin de l'été, il a promis qu'ils se retrouveraient, qu'ils ne se perdraient pas de vue. (the crash) soirée alcoolisée avec ses potes, vacances improvisées à l'autre bout du pays, alors que l'été s'achevaient, mélanges entre boissons et drogues, leur façon de s'amuser, d'échapper à la réalité dans laquelle ils étaient tous coincés, loin de leurs rêves, obligés de répondre aux exigences familiales. Pas la première fois qu'ils se sont retrouvés autant défoncés, déchirés. Mais ils ont pris la voiture ce soir-là. C'était Brett qui conduisait, son meilleur ami de toujours et ce qui devait arrivé est arrivé, y a eu un accident. Il a perdu le contrôle, s'est écrasé à tout allure contre une barrière de sécurité. Sa copine, elle est morte sur le coup. Ils sont restés là comme des cons à essayer de trouver une solution, alors que le corps sans vie de la jeune femme signait leur chute. Brett, il avait déjà des problèmes avec la justice et ses parents le laisserait se démerder pour sauver leur image. Il était déjà sur la sellette, il risquait cher. Alors Hasan il a décrété qu'ils diraient que c'était lui qui conduisait, que c'était lui qui était responsable du carnage. Il voulait protéger son meilleur amie le brun. Sans doute qu'il aurait dû penser à sa vie à lui. Arlo, dont le dernier message datait déjà de plusieurs heures. Je sors avec les potes ce soir, désolé si je réponds pas. Dernier message qu'elle aurait de lui avant qu'il ne disparaisse de la circulation. (jail) cinq ans de prison, pour en faire un exemple. Homicide involontaire. Une leçon pour ces jeunes qui passent leur temps à boire avant de prendre le volant, volonté du juge de marquer le coup en touchant à la jeunesse dorée qui semblait toujours au dessus des lois. Cinq ans, au début, il avait fait sa paix avec tout ça, presque certains que de toute façon, la prison, ça ne changeait pas beaucoup de son quotidien. Mais il était ce fils de riches, balancé au milieu de prisonniers souvent remontés contre les gens comme lui. Il a connu l'enfer en prison, les passages à tabac. Cauchemar dont son père s'est servi pour lui mettre la pression. Il paierait la caution pour le sortir de là à une condition : il devrait arrêter ses conneries et accepter un poste à responsabilité dans son entreprise. Il pensait à Arlo, à la peinture, à la galerie. Ses rêves qu'il avait été à deux doigts de poursuivre, ça l'a aidé à tenir des mois, jusqu'à ce qu'il craque et accepte le deal, n'importe quoi pour sortir de là. Il n'était qu'un lâche le brun, pas fichu de tenir cinq ans au fond du trou. Trop faible pour résister aux coups et à la pression. Tout ce qu'il voulait c'était sortir de là. (brisbane) libre, il s'est retrouvé à travailler dans l'hôtel familial, volonté de son père à laquelle il n'a pas pu dire non. Un choix qu'il a fait pour qu'il soit près de sa sœur, comme si elle, elle saurait le tenir en laisse. Sans doute qu'il avait raison, il n'avait pas envie de la décevoir, il l'avait déjà trop fait. Alors il rentre dans le moule le brun, il fait ce qu'on lui dit de faire, il s'investi dans ce job qui ne lui plait pas du tout, il se tue à la tâche pour essayer de penser à autre chose qu'à l'enfer qu'est devenu sa vie. Il déteste ce job, il déteste son père, il déteste sa vie. (broken heart) il l'a revue Arlo. Dans le restaurant de l'hôtel, alors qu'il dînait avec ses potes. Il a croisé son regard, alors qu'elle prenait la commande et d'un coup, ce qu'il allait manger n'avait plus la moindre importance, parce qu'il ne pourrait rien avaler de toute façon. Fallait garder la face, répondre rapidement, juste un plat avant de baisser les yeux et d'essayer de revenir dans la conversation entamée un peu plus tôt avec ses amis. Fallait qu'elle bosse ici Arlo, évidemment. Il n'avait pas pu lui écrire pendant un an et il n'avait pas cherché à le faire après sa sortie de prison. Il a retrouvé son téléphone, tous les messages non lus depuis tellement de temps. Il n'a pas répondu. Pour dire quoi ? Désolé, j'étais en prison, alors on en était où ? Clairement pas une bonne idée. De toute façon, il n'avait plus rien à lui offrir à Arlo. Il était coincé dans cette vie qu'il n'avait pas vraiment choisie. Y aurait pas de d'histoire idyllique, pas avec lui en tout cas. Ses rêves à lui, ils étaient morts quand il avait accepté ce deal avec son père, ça ne voulait pas dire qu'elle ne pouvait pas vivre les siens. Elle elle aurait sa galerie, elle aurait tout ce qu'elle voulait Arlo, mais ce serait sans lui et dans le fond, c'était sans doute mieux comme ça. (the fall) hasan, il a eu beaucoup de problèmes dans sa vie, il a commencé à fumer quand sa mère est morte et c'est allé crescendo au fil des années ; ça restait contrôlable avant la prison, drogues de fêtes qu'il prenait pour échapper à la réalité mais dont il n'était pas tant dépendant que ça, ça lui a fait faire des conneries c'est sûr, mais ça restait gérable. La prison, ça l'a éloigné de tout ça et il aurait pu repartir sur un bon pied. Mais il déteste sa vie le brun, il se sent malheureux. Rongé par la dépression, mal dans sa peau, l'artiste brisé par excellence. Alors il replonge, lentement mais sûrement, fait bonne figure devant les autres. Costard, cravate, sourire et tout ce qui va avec pour bien vendre l'hôtel à la face du monde et dès qu'il se retrouve seul dans son coin, il se noie le brun. Fêtes alcoolisées, drogue, la décadence encore cachée aux yeux de son père, de sa sœur. Des appels à l'aide à répétition, que personne n'entend. (same old love) il l'a retrouvée Arlo et il ne sait pas quoi faire. Toujours partagé entre l'envie d'être avec elle, son cœur trop attaché à elle, ses rêves ancrés dans les siens. Et l'impression de ne pas être une bonne chose pour elle, comme une bombe, prête à exploser, un incendie dans lequel il ne voulait pas la voir brûler. Il l'aime Arlo, mais avant d'avoir quoi que ce soit à offrir à quelqu'un, le mieux, ce serait réussir à se reconstruire lui-même. Chose qui lui semble impossible ces derniers temps. Alors, Arlo, il l'attire vers lui autant qu'il la repousse. Deux options entre lesquelles il n'arrive pas à choisir.

(en vrac) parle le gujarati et l'hindi, les deux langues de son père, ainsi que l'anglais, la langue de sa mère, il peut passer d'une langue à l'autre sans le moindre problème et sans accent. Il parle également le français, avec un accent très marqué, mais il a bien dû apprendre à se débrouiller, puisqu'il a passé un an à sciences po, à paris. Il a également des bonnes bases en espagnol, son père ayant insisté pour qu'il se débrouille en langues, après tout des touristes du monde entier vienne à l'hôtel. • artiste dans l'âme, il est très doué en dessin, en peinture, un peu touche à tout il aime créer à partir de tout ce qui lui tombe sous la main. Il a un petit atelier en ville, une collection d'œuvres qu'il juge sans importance aujourd'hui ; continue de peindre à l'occasion, balance la toile dans un coin et l'oublie. • il aime écrire aussi, des petites nouvelles, des mots sur un carnet qui lui aussi, reste dans son coin. Des pages arrachées brûlées dans ses excès de colère et de frustration, il n'en fera jamais rien de toute façon. • musicien également, il a appris le solfège et le piano avec sa mère, la guitare quand il est devenu adolescent, le violoncelle entré dans l'âge adulte. Sa mère était pianiste, une grande artiste, continuer la musique, c'était la faire vivre à travers lui, mais il n'a pas touché le moindre instrument de musique depuis qu'il est sorti de prison. • sportif, il aime surfer, l'escalade, son traditionnel jogging du matin, très tôt le matin quand la ville est encore endormie et le monde si calme. Il aime également les longues randonnées et le camping, loin du reste du monde. Doué au tennis, il a joué pendant des années quand il était jeune, se démerde pas mal au golf, il joue beaucoup avec son père, seul moment de complicité qu'ils partagent tous les deux ; bien que son père trouve toujours un moyen de le redescendre. • vit dans une suite de luxe dans l'hôtel de son père. Il a ramené avec lui ses chats, deux gros main coon : picasso et monet qui ont tendance à se balader un peu partout dans l'hôtel, pour le plus grand malheur du personnel qui se retrouve à nettoyer de la pisse de chat ici et là et retrouvent les draps et serviettes plein de poils. Tant pis, ses chats ont tous les droits. • il a des tatouages, ici et là, certains qu'il a fait complètement bourré, d'autres qui ont plus de sens, il en voudrait plus, sa peau comme œuvre d'art, ou au moins moyen d'expression, mais il a trop conscience que les tatouages doivent restés cachés sous le costume qu'il porte au quotidien, alors à quoi bon ? Une œuvre, c'est fait pour être vue. • fume trop et pas que des cigarettes. • sort souvent jusqu'à pas d'heure, fréquente des clubs divers et variés, picole, se drogue et couche avec le ou la première venue ; paie parfois des escortes ou des prostituées ; presque de la provocation envers son père. • mutilations discrètes, coupures diverses et variées; cigarettes éteintes à même la peau, le mal-être gravé sur la peau, successions de comportements autodestructeur et un appel à l'aide encore trop discret, il déraille, il déconne et personne ne s'en rend compte, trop bon comédien il sait masquer ce qu'il ne va pas. • souffre d'insomnies, aime passer ses nuits dehors quand le sommeil ne vient pas ; c'est plus constructif que de se retourner dans son lit. • manque de confiance en lui, marqué par un père qui ne manque pas une occasion de lui rappeler qu'il n'est qu'une merde et qu'il ne serait rien sans lui. • amateur de littérature en tout genre. • mauvais cuisiner, de toute façon, il n'a jamais eu besoin de se faire cuire ne serait-ce qu'un œuf. • gamer occasionnel, grand consommateur de netflix et compagnie. • possède une voiture de luxe, décapotable d'un rouge bien voyant dont il est assez fier mais préfère la moto. • allergique aux crustacés et aux piqures de guêpes.

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