TW : divorce, alcoolisme
âge & naissance : 35 années de vie sur cette petite planète, née un doux 15 août 1988 origines & nationalité : australienne born and raised mais si on remonte aux origines de ses parents on trouve de tout. le test adn pourrait être drôle. américain, irlandais, anglais, portoricain, les premiers lignes d'un futur qui part dans tous les sens. maman, so fair, so delicate. papa, so strong, so warm. finances et emploi : $$$$$, des impôts elle en paie et beaucoup. le seul problème de gagner autant qu'elle le fait aujourd'hui. Mais elle ne s'en plaint pas. elle est avocate et adore son job. statut civil : célibataire, elle ne changera pas ce statut tant qu'on ne lui aura pas passé la bague au doigt. enfin pour que ça ça arrive il faudrait déjà qu'elle laisse quelqu'un s'approcher à ce point. orientation sexuelle : pansexuelle. les hommes, elle ne les aime pas, ils l'attirent. les femmes, elle les aime et elles l'attirent. le reste du monde, elle pourrait lui faire l'amour s'il lui promet un orgasme.  situation familiale :une soeur. son sang. des demi-frère et soeur, sa famille. et des parents. parce qu'il en faut pour commencer toute famille. même si cela signifie supporter des relations bancales, des appels téléphoniques irréguliers et un remariage. signe astrologique : LEO sun, TAURUS moon, SAGITTARIUS ascendant le pire tue-l'amour : l'hygiène. elle n'a jamais compris les gens sales. joy ne porte jamais ses vêtements de dehors à l'intérêt. enlève tes chaussures si tu veux entrer chez elle. un fantasme : sur son bureau. un power play peut être. elle ne cherche pas forcément à dominer, cela peut être même le contraire. mais sa littérature ero lui a appris qu'il y a un côté sexy à faire ça au travail. à Brisbane depuis : Elle est née là donc toujours est une réponse adéquate, mais pas vraiment. Ses études à Sydney étaient sa bulle d'air. Mais elle est revenue quand même, parce que there's no place like home et elle est de retour depuis 10 ans. traits de caractère : un tempérament de feu, une morale limite, pas de filtre, un besoin viscéral d'être franche et directe mais le coeur sur la main avec ceux qu'elle aime ou porte en haute estime. Joy n'a aucun problème à être la connasse de service. elle prend l'étiquette, se la colle sur le front et sourit avec plaisir aux gens qui l'insultent parce qu'elle sait que ce n'est pas ce qu'elle est au fond. Elle peut être une peau de vache, mais les gens qui l'aiment et qu'elle aime savent qu'en réalité, elle sait très bien être bonne pour les bonnes personnes. Et qu'elle a des crocs pointus et des griffes acérées aussi. Les gens qu'elle aime vous la présenteront plutôt comme une personne dévouée, volontaire, généreuse et présente. Elle donnerait des années de sa vie pour qui a besoin dans son entourage, tout l'or du monde aussi. avatar : aubrey plaza (américaine, portoricaine, irlandaise, anglaise).

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romantisme (41%)	level de drague (52%)
engagement (67%)	passion (72%)
performance au lit (86%)	fidélité (91%)
nombre de cœurs brisés (12%)	recherche de l'amour (25%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Le grand amour. Vous êtes mignons vous. Joy elle cherche pas. Joy elle veut plus. Joy elle a lâché l'affaire. Joy elle a compris qu'il y a plein de poissons dans l'océan et que l'un d'entre eux, peut être, un jour, potentiellement, si tout va bien, si la vie, le destin, dieu(x), la météo, la société, l'univers, le veut... ce poisson sera le sien. Mais pas à elle. Elle ne le possédera pas. Tout comme ce poisson dans l'océan, dans la foule, dans le monde, dans l'univers, ne la possédera pas. Ils seront l'un pour l'autre ce bout de l'âme qui leur manquait. Ils seront l'un pour l'autre une bouffée d'air qu'on ne savait pas qu'on attendait pour mieux respirer. Ils seront l'un pour l'autre un moment de répit, un pic de joie, un lieu de repli, un regard clair, un sourire tendre, une main tendue, un espoir permanent, une source de plaisir, un objet de désir, un truc en plus. Ils seront l'un pour l'autre. Ils existeront dans cette union, cette réunion. De deux corps, deux âmes, deux coeurs, deux vies. Ils seront et ça sera cool, ça sera beau, ça sera chaud, ça sera tendre, ça sera doux, ça sera. Mais en attendant, parce qu'elle ne veut pas l'attendre, Joy elle continue d'avancer. Elle regarde les années qui passent et se dit qu'après tout le grand amour elle le rencontrera peut être à la maison de retraite. Et ce n'est pas si pire. Ce n'est pas si grave. Elle ne veut pas qu'il la trouve triste, déprimée et en attente. Son poisson dans l'océan.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Elle s'appelait Faith. Foi. Y a rien de plus violent qu'être déçue par la foi. Parce qu'après ça, comment la garder ? Comment continuer quand le symbole même de cette émotion vous a détruit ? Faith c'était les premières fois hors de ses habitudes avec les hommes. Faith c'était la meilleure amie devenue plus. Puis devenue rien. Faith c'était autant d'amour que de violence. Faith c'était une relation comme Joy n'en aura jamais plus. Elle a appris sa leçon. Bordel ça fait mal les leçons que nous balance l'univers. Joy elle a ramassé les morceaux de son coeur petit à petit. Elle les a recollé comme elle a pu. Elle a essayé de ne pas le coller trop fort, de peur de plus avoir de place après pour ceux qui comptent, ceux qui peut être viendront après. Parce qu'elle a perdu la foi, ouais c'était con mais une part d'elle a gardé l'espoir. Parce que la douleur était franche, la peur est présente et la peine restera mais on ne peut pas savoir de quoi le futur sera fait. Joy veut rester joie, elle veut pas tomber dans ces douleurs primaires, celles qui vous rendent incapable d'aimer même ceux qui ne vous briseront jamais parce qu'à un moment quelqu'un a pris votre coeur et la réduit en miettes. Non. Elle va se protéger Joy, mais elle ne cessera pas d'aimer. Elle choisira juste mieux qui elle aimera.

[prélude ou suite logique]

La première fois est censée être magique. Mais ça c'est seulement ce qu'on nous apprend. La réalité c'est que la magie c'est quand chaque fois fait l'effet d'une première fois. Avant Faith elle avait eu des premières fois. Premier baiser, première partie de jambes en l'air, premier saut dans l'océan à poil, première cuite, premier coeur brisé, premier appart, première déception amicale, premier rejet professionnel, premier examen foiré, premières règles, premier décès, premier accident, première frayeur au volant, première bière, premier verre de vin, premier voyage solo, premier faux-espoir… mais tout ça a été effacé quand la jeune femme est rentrée dans sa vie. Faith était Sydney. Elle l'est encore dans la tête de l’avocate. Tout ce qui faisait que Joy était une fille de Brisbane, était identifiable chez Faith comme la fille de Sydney. Elles se sont rencontrées dans un café. Le genre de clichés à la con que Joy déteste encore aujourd'hui 12 ans plus tard. L'une était étudiante en 2e année de droit avec une addiction au café assez sévère et l'autre était une barista qui tentait d'arrondir ses fins de mois avec des piges dans des journaux locaux. L'une était sur la bonne voie pour devenir ce qu'elle rêvait de devenir. L'autre galérait à trouver la voie. C'était pas un flash, pas de grand coup de foudre ou d'éclat, juste deux regards qui se croisent et les mains du destin qui font un noeud entre leurs deux fils de vie. Les Mors les ont choisi. Entanglement. Le mot apparaissait dans une des énoncés de Joy quand Faith avait posé une tasse de café supplémentaire sur le bord de sa table. Geste gracieux plein de grâce. Sous la tasse une serviette. Sur la serviette un numéro. Dans ce numéro milles promesses. Estrangement C'était presque pareil, c'était beaucoup moins doux. C'était bien plus tard, c'était bien plus décevant. Elles sont disparues de la vie de l'une l'autre. Plus précisément, Foi et Joie ne faisaient que rimer, mais elles ne fonctionnaient pas forcément ensemble. Le numéro a laissé place à des mots. Les mots à des gestes. Les gestes à des émotions. Les émotions à des déclarations. Les déclarations à des disputes. Les disputes à des absences. Les absences à la violence... La violence verbale, la violence morale, la violence jamais physique. L'une avait peur des gestes, l'autre savait trop bien manié les mots. Qu'est ce qu'elle peut être vilaine quand elle veut Joy. Qu'est ce qu'elle peut être méchante. Frapper là où ça fait mal. Dire ce qu'elle pense tout bas très très haut. Et Faith... oh Faith... Elle ne lui rendait pas. Non. Pas en face en tout cas. Non Faith elle a fait pire. Elle a pris sa vie, leur vie, et elle l'a détruit bout par bout. Foutre en l'air des meubles. Revendre des bouquins. Voler des bijoux. Casser l'électroménager. Raconter des mensonges aux voisins. Coucher avec une amie. Ou plusieurs. Laisser le poison s'infiltrer dans tout ce qui faisait leur relation. Mais entre le moment où leurs destins se sont enchevêtrés et celui où elles sont devenus des étrangers, deux années avaient passés. Alors que Joy retournait à Brisbane pour son stage de fin d'année, croyant rentrer dans quelques mois pour retrouver la femme qu'elle aimait, potentiellement réparée ce qu'elle ne savait pas encore irréparable, Faith continuait d’œuvrer pour tout détruire. Ruiner leur bonheur était son obsession, sa quête, sa voie. Et les vestiges de leur amour étaient si sanglants, si sombres, si fragiles... La claque, la violence, le coup au coeur. Joy avait de nouveau 12 ans. Ses parents s'étaient ruinés pour justifier du divorce. Une relation en lambeau. Un coup au corps, direct, paralysant, brutal, maelström d'émotions insensés. Elle a mal au ventre, aux côtes, au crâne, au coeur. Ses jambes lâchent. L'appart est vide. Sur les murs plus les trâces de cadre retirés, sur le sol la poussière qui entourait le tapis, la cuisine résonne du vide laissé par la machine à café et toutes les soirées qu'elles y ont passé. Plus rien. Un néant qui la frappe de plein fou, profond, noir, et déprimant. De ce qu'elles ont vécu ici plus une marque. Seulement un carton au milieu de l'entrée. Ses affaires à elle, en tout cas ce qui n'a pas été jeté. Et sur le dessus, comme une signature, une façon de dire oui tu as bien compris, je suis partie, c'est fini ; un polaroid. Des seins qui ne sont pas les siens et des mains qu'elle pensait siennes. Des formes qu'elle ne reconnait pas mais une bouche qu'elle a mille fois embrassé. La photo est aujourd'hui le marque page du livre de leur amour. Il marque la dernière page où Faith a craché sur leur histoire. Cruelle, cruelle, cruelle foi. Pourquoi tu t'attaches à moi ?

(zero)

(un) divorce. le mot sonne mal. il sonne violemment. il sonne comme une gifle. joy le nie. joy l'ignore. joy ne voudra jamais en entendre parler. même quand elle, la femme qui devait lui montrer le chemin, part. même quand elle ne devient qu'un numéro, un matricule, un identifiant dans son téléphone, dans son carnet de correspondance, dans ses papiers. même quand lui, il retrouve l'amour. même quand lui, il avance. même quand il y a des nouveaux enfants sous leur toit. même quand il y a ce nouveau nom dans le livret de famille. même quand il faut redéfinir le mot famille. joy ne fait pas d'éclat. joy ne se battra pas. joy gardera la tête dans la vie, dans l'existence, dans l'existant, dans le présent. s'attarder dans le passé c'est comme se perdre au fond de son verre de vin. dangereux.

(deux) joy aime les fraser. pas de doute sur la question. bordel qui oserait remettre ça en question ? oui, elle ne s'est pas impliquée quand senàn a été accusé. oui elle a gardé ses mots pour elle. oui elle se demande toujours pourquoi son père a choisi cette famille, détruit celle qu'ils avaient avant. oui elle aimerait revenir comme avant quand c'était sa maman, son papa, sa emery. oui elle pense que les liens du sang sont plus importants. mais à la fin de la journée, elle donnerait son dernier souffle, chaque goutte de son sang et de son temps pour les fraser. parce qu'à la fin de la journée ce sont ces gosses avec qui elle a passé son adolescence. et maintenant qu'elle a appris à les aimer, comme gosse et comme adulte, elle compte pas repartir en arrière. même si sa mère lui manque. même si quelque chose a été changé en elle quand elle était encore si jeune et qu'elle mérite qu'on remette les morceaux à leur place.

(trois) faire confiance à quelqu'un, elle ne veut plus en entendre parler. faire entrer des gens dans sa vie ? c'est trop compliqué. joy aime les gens qu'elle a. joy chérit les gens qu'elle a. joy ne veut plus avoir à aimer quelqu'un qui va la briser. le coeur, la voix, le dos, la foi... elle ne veut plus. parce qu'après ça ? non. elle ne peut pas. joy veut rester juste ça, une joie. alors elle monte au créneau, elle met les briques une à une pour construire son mur, muraille de chine imprenable et elle se protège. elle se protège elle, et ceux qui sont avec elle. son coeur, son âme, ceux qui ne lui ont pas encore fait du mal.

(quatre) si elle avait pu, elle aurait donné le monde à emery. juste parce qu'un jour elle s'est réveillée et son père l'a emmené à l'hôpital et ce bébé est devenu le centre de son monde. parce que c'était sa poupée préférée, puis son sourire préféré, puis son rire préféré, puis ses exploits préférés. parce qu'emery est la seule chose qui est restée constante dans sa vie. même son père n'a pas su rester le même. et qu'elle n'a qu'une seule soeur biologique. c'est elle. il n'y a pas de doute dans le coeur de l'avocate. emery est son sang et si Joy a parfois eu l'impression de faillir à son rôle de soeur, de grande soeur, elle n'en pensera jamais moins. personne ne changera jamais ça.

(cinq)toujours un verre de vin à la maison après le boulot. au début c'était de temps en temps. puis c'est devenu une habitude. elle ne boit pas spécialement ailleurs qu'à la maison. une habitude. pas une addiction. ou peut être qu'elle ne l'admettrait pas ? c'est étrange en fait. il n'y a rien de mieux qu'un verre de vin en lisant un dossier. pas quinze, pas même trois, juste un. le même verre peut passer des heures avec elle, et une fois vide ? elle met de l'eau. elle oublie le verre. elle remplace par un spiritueux désalcoolisé. elle ne veut pas de l'effet de l'alcool sur son psyché. juste ce goût en bouche. le début de la relaxation. et puis joy ne boit que rarement en public pour une raison et une raison seulement. elle sait que tous ses murs tombent quand l'alcool la frappe. elle ne peut pas se laisser aller comme ça. elle a besoin de se protéger. pourquoi ? ça, elle ne l'admettra pas.

(six) son caractère est sa force, c'est comme ça qu'elle le décrirait. oui il peut s'avérer insupportable, non ça ne plaît pas à tout le monde, oui elle peut s'avérer être bien plus sympa quand on la connaît depuis longtemps, non elle ne compte pas devenir agréable avec les gens qu'elle ne connaît pas. une chose sous son toit, on lui a appris à aimer les siens et à respecter les autres. pas à aimer les autres. la gentillesse c'est pour les gens qui veulent se faire briser le coeur ou se faire utiliser. elle n'est ni du premier ni du deuxième groupe. alors joy elle met sa carapace chaque matin quand elle enfile ses chaussures. et cela ne change rien qu'elle aille au travail en stiletto ou en baskets. dans les deux cas elle sera aussi piquante quand on lui adresse la parole avant le café, aussi dure quand on lui demandera des conseils - ah les internes -, aussi tranchante quand un client oubliera des pièces pour son dossier et toujours aussi impitoyable dans ses négociations. il y a pas écrit bonne poire sur son front.

(sept) avocate. c'était pas une option. il fallait que ce soit ce job, cet endroit, cette vie, tout ça. elle voulait les tenues cintrées, les escarpins, le code sur son bureau, la cour, les bureaux avec une vue qui décoiffe, le côté sérieux et le côté superficiel. joy voulait le titre. joy voulait le job. joy voulait faire justice. joy voulait qu'on la voit faire justice. joy veut sauver le monde et en même temps qu'on la voit le traverser comme si elle avait une armure et que tout ça, l'existence ? c'était simplement un chemin de paquerettes qu'elle traversait. 6 ans d'études, diplôme en poche, un job et bim 10 ans qu'elle pratique le job qu'elle aime. Addict aux post-its, stylo noir pour signer -un mont blanc reçu en fin d'études-, des talons pour que les internes aient peur en l'entendant dans les couloirs, et une collection de bouquins de droits ridicules qui couvrent les murs de son bureau. parfois elle pense vivre le fantasme du job, qu'elle n'est pas vraiment avocate, juste ce que ressemblerait le rêve si elle le vivait éveillée. Et puis elle se retrouve avec ses clients, à la cour ou après pour célébrer une victoire et elle sait que c'est sa vie.

(huit)  Joy a un péché mignon, un parmi tant d'autres, mais un surtout : les rositas. ne lui demandez pas de partager, ni comment elle s'en procure. son grand père paternel étant portoricain, paix à son âme, son père avait grandi avec des sucreries que l'Australie n'a jamais eu le plaisir d'expérimenter. Enfant elle y a gouté une fois grâce à un paternel nostalgique, et une fois adulte elle est retombée sur ce bout de sucre et biscuit et c'était fini. heureusement qu'elle est sérieuse avec son régime alimentaire sinon elle en descendrait un paquet par jour. minimum.

(neuf) parfois elle hésite à voir un psy. mais à la place elle s'enfonce dans le boulot, ou elle matche un pompier sur une appli de rencontre, ou elle sort voir ses amies, ou elle offre une visite impromptue à son père et sa belle mère juste histoire d'avoir un repas de famille entre deux dossiers interminables. la fuite en avant, les murs haut de vingt mètres et le tempérament de feu en public : sa recette pour ne pas se laisser dévorer par le passé auquel elle ne veut pas faire face. voir des signes, comprendre des choses, parler de d'autres. elle a laissé son enfance derrière. éternellement coincée dans le présent pour ne pas se laisser happer par le passé. et ceux sur des stiletto, une clope au bec, un sourire narquois au coin des lèvres et une volonté de fer de ne pas tomber dans le mélo personnel.

(dix) amoureuse ? elle l'a été. amoureuse ? elle le sera à nouveau. amoureuse ? d'elle même clairement. elle ne compte foncer dans le tas pour l'instant. pas qu'elle a peur, mais honnêtement, elle n'arrive pas à croire en ça, comme ça. l'amour ça existe. okay. jusque là, joy elle vous suit. mais honnêtement ? elle s'en passera. l'amour filiale okay. l'amour fraternel okay. l'amour amicale no problem. mais la passion ? vivre par, pour, avec, à travers l'autre ? non. elle veut dormir tranquille la nuit. en tout cas c'est ce qu'elle dirait aujourd'hui. mais la vie, tout ça.

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