TW : déception familiale, abandon, infidélité, trahison.
âge & naissance : Encore un gamin de fin d'année, mais tu aimes ça. Tu aimes être de la fin de l'année, tu as vu le jour le onze novembre de l'an 92 . C'qui fait que tu as trente ans et que tu es en pleine crise de la trentaine. Ouais, tu le vis moyennement bien, toutes ses responsabilités qui te tombent dessus. Grandir? Pourquoi. C'est peut-être pour ça que tu prends du plaisir à faire chier la voisine. origines & nationalité : Tes papiers indiquent que tu es australien, mais d'après ton arbre généalogique tu aurais des origines irlandaises, anglaise, 'fin européenne.  finances et emploi : $$$$$, la route n'a jamais été simple, mais aujourd'hui tu t'en sors pas trop mal. L'époque du gamin qui fait que des conneries est plus ou moins révolu. Aujourd'hui, tu es propriétaire du garage "auto-repair", tu n'en crois pas, mais c'est vrai. Tu as signé les papiers y a deux mois, histoire de bien commencer cette nouvelle année. Toi patron, qui l'aurait cru ? statut civil : Gueule d'ange ou presque, démon qui se cache derrière. Ne jamais se fier à l'apparence, tu n'es pourtant pas un crétin avec la gente féminine, tu as juste décidé de ne plus t'engager. Parce que l'amour ça craint et que tu t'es fait avoir une fois, pas deux. célibataire , fier d'enchaîner les plaisirs le temps d'une nuit, voir deux si elle est mignonne. orientation sexuelle : Que ça n'en déplaise à ces messieurs, mais les courbes féminines ont toujours hérissé ton poil. C'qui fait que tu es hétéro et ça ne risque pas de changer. Tu aimes satisfaire ces demoiselles en détresses. situation familiale : complexe c'est le mot que tu emploies pour décrire ta famille. Tu viens d'une famille pratiquante, croyante, nombreuse, trop nombreuse. Gamin du milieu, qui a toujours eu du mal à trouver sa place. Celui qui faisait trop de conneries, qui n'arrivait pas à se fondre dans le moule. Celui qui est parti, celui qui a vécu un temps chez son oncle, ce mentor qui a bien voulu de toi. Des cousines qui sont devenus des petites sœurs avec le temps, même si tu as aussi un peu merder avec elle. Parce que t'es doué pour décevoir les gens. Aujourd'hui, tu n'es plus en contact avec tes parents ou tes frères et sœurs, tu essaies de rester en contact avec ton oncle et sa femme et les filles.  signe astrologique : complexe et sensible, t'es un scorpion et assez fier d'en être un. Qu'importe qu'on te dise que tu as le pire signe, t'aimes bien être un gamin de novembre et puis ne dit-on pas que le scorpion est bon au lit ? le pire tue-l'amour : sans réfléchir, tu dirais les filles qui sont focus sur elle, les centriste ce n'est pas ton délire. Tu as dû mal avec les nanas qui ne pensent qu'à elle et surtout les accrocs aux réseaux sociaux. Toi qui pige quedal à tout ça.  un fantasme : Gamin qui a grandi dans les années 90 (meilleures années), tu as reçu tes premiers émois face à une jeune blondinette en tenue d'écolière. Tu plaides coupable, l'écolière façon Britney Spears, c'est le goal pour toi. Pour l'instant, aucune a réussi le challenge, tu pourrais faire clicher et dire la princesse Leia, mais to basic. à Brisbane depuis : toujours fief de ta famille, tu n'as pas bougé, t'es pas le gamin qui a eu la chance de voir d'autres horizons. Pas sûr que tu en ais envie dans le fond. Parce que tu aimes ta ville.  traits de caractère : syndrome de peter pan tu reconnais avoir dû mal à grandir, assumer les responsabilités. Tu préfères la légèreté, l’insouciance de l'enfance, c'est peut-être pour ça que tu taquines tes voisins sans cesse. Chiant, têtu, parfois impulsif, tu n'as pas un passif qui joue en ta faveur. Tu avoues avoir été ce gamin qui se foutait dans les pires plans, démon qui avait sans cesse besoin d'adrénaline. Sous ta carapace se cache un gamin qui a été blessé par sa famille, par cet abandon, par ce manque d'amour. Tu es loyal envers ceux qui comptent pour toi, affectueux, protecteur, même si tu le montres pas.   avatar : jeremy allen white (ukrainian (paternal grandmother), english, german, scottish, scots-irish/northern irish, distant dutch).

   

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romantisme (62%)	level de drague (88%)
engagement (35%)	passion (90%)
performance au lit (95%)	fidélité (60%)
nombre de cœurs brisés (45%)	recherche de l'amour (10%)

   ♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Zeke, c'est pas un grand romantique. C'est pas le gars qui rêve de fonder une famille, d'un mariage et d'avoir une ribambelle d'enfants. Tout ça, il a donné durant son enfance, lui il rêve juste de trouver une personne qui l'accepte tel qu'il est, avec ses défauts et ses qualités. Une personne qui arrive à le voir vraiment, pas juste par intérêt ou parce que ça fait longtemps. Il a été amoureux, il a tout donné pour cette demoiselle. Il s'en est brûlé les ailes le gamin, aujourd'hui, il préfère s'amuser. C'est moins dangereux que de parler de sentiment. Parce que dans le fond, il a peur, il se protège. Il a peur de décevoir et d'être déçu.

   ♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
elle. Leia. Une histoire qui remonte. Une histoire qui l'a vu grandir ou presque. Ils étaient que des gosses quand ils se sont rencontrés. Un amour de lycée, un amour qui n'aurait pas dû durer. Et pourtant, à l'époque, il lui aurait tout donné pour un sourire. Il a tout tenté pour la rendre heureuse, mais jamais assez, elle en voulait toujours plus. Elle voulait de l'engagement, du concret, ce dont tu étais incapable à l'époque. Elle t'a brisé en partant avec ce gars, t'annonçant que tu n'étais qu'un bon à rien. Des mots qui marquent, une infidélité qui te fait douter sur le genre humain. Des blessures qui restent et la peur d'être déçu à nouveau. Peur de se dévoiler à nouveau. Parce que l'amour c'est beau, mais ça fait mal.

   
[.Cleanin' Out My Closet.] Gamin du milieu, ça a souvent été ton étiquette, celui perdu entre les aînées et les cadets. Celui qui n’a jamais trouvé sa place. Pourquoi ? Parce que tu ne respectes pas les ‘critères’ de ta famille. Parce que tu n’en as toujours fait qu’à ta tête. Parents croyant, de ceux qui vont à la messe tous les dimanche. Supplice pour l’enfant que tu étais, t’en avais marre de rester assis sur ce banc. D’écouter les paroles d’un homme soporifique. Être carré, croire en des choses qui t’échappent, rentrer dans le moule. Être créatif, être productif, faire les choses par soi-même. Tout ça, ça t’a vite énervé et cela depuis ton plus jeune âge. Tu faisais toujours l’inverse de ce que tes parents voulaient. Peut-être que tu cherchais de l’attention, t’en sais rien. Juste qu’aujourd’hui tu te portes bien sans eux, que les familles nombreuses t’effraies et que tu connais la contraception. Parce que neuf frères et sœurs ça marque.

[.Lose Yourself.]Y a des regards qui ne trompent pas, des mots plus haut que l’autre. Tu savais que tu étais une déception pour eux. Tu n’essayais pas, dans le fond, tu ne voulais pas. Tu savais que ce n’était pas toi. Pourtant tu avais des rêves, des envies, tu voulais devenir ébéniste. Tu aimes créer de tes propres mains, voir le bois devenir utile, indispensable. Seulement, c’était plus fort que toi, tu avais ce démon au fond de toi qui demandais à sortir. Tu as reçu tous les noms de leur part, mais surtout celui de bon à rien, tu enchaînais les conneries, alcool, cigarettes et j’en passe. Tout ce qui faisait de toi un mauvais chrétien. ‘Si tu franchis cette porte, ne reviens jamais.’ qu’il t’a dit ce fameux soir. Ce soir, où tu as dépassé les limites, où tu as volé, que tu as entaché le nom de ton père. Tu as lu la honte dans son regard. Personne ne t’a retenu, alors t’es parti. Et sur ta route, tu as croisé cette lumière, cet espoir. Ton oncle. Lui qui ne ressemblait pas à ton père, lui qui t’a recueillie chez lui, qui t’a fourni un toit, un foyer. Pourtant ça aussi, tu as foiré, plus fort que toi, le démon demandait à sortir. Tu avais toujours ces mauvaises fréquentations, tu rentrais tard, tu travaillais pas à l’école, tu te moquais de tout et de rien. De toi surtout. Puis Earl est arrivé.

[.Love The Way You.] La première fois que tu as croisé son regard, t’étais qu’un gosse. Rayon de soleil qui a traversé la pièce. Nouvelle en ville. Regard qui s’échange et tu sens ton cœur qui s’emballe. Sauf qu’à l’époque, tu savais que tu la méritais pas. Parce que t’étais pas le gars qu’on fréquente, celui qui était au fond de la classe. Qui s’ennuyait en cours, qui enchaînait les conneries, petites comme grosses. Celui qui ne voulait pas grandir, celui qui ne voulait pas d’avenir. Puis Leia est arrivée et a changé ton monde. Au début, c’était mignon, innocent, un amour de lycéen, tu ne pouvais pas lui offrir la vie qu’elle rêvait. Tu ne voyais pas plus loin que le bout de ton nez. Trois ans d’un ‘je t’aime, moi non plus’, vous vous quittiez pour un rien, puis reveniez l’un vers l’autre. Attraction. Puis deux ans d’amour intense, sans rupture, sans faille. Jusqu’à ce jour. Ce jour tu as découvert la vérité, tu n’étais rien, loser qu’elle t’a dit. Parce que ce mec était mieux que toi, qu’il avait plus à lui offrir. Et c’est ainsi que vos chemins se sont séparés et que tu as fait une croix sur l’amour. Tromperie qui laisse une marque dans ton cœur. Mots que tu n’arrives pas à éloigner de ton esprit.

[.Dancing in the Moonlight.]Le départ de Leia a laissé un vide en toi. Heureusement qu’Earl était à nouveau là. Lui et ses outils. Lui qui t’avait sauvé quelques années avant. Lui qui t’a donné un tournevis et t’a dit ‘bosse’. Au début, tu n’as pas compris, tu ne voyais pas où il voulait en venir. Puis réparer ces bécanes, ces moteurs, ça t’a permis de guérir. De croire en toi, de voir que tu étais capable de quelque chose. Que tu n’étais pas un bon à rien, que tu pouvais leur prouver le contraire. Est-ce que tu es devenu un acharné du travail ? Pas vraiment, mais tu prenais plaisir à te lever le matin. Puis le temps a passé, d’une colocation fort sympathique, tu es passé à une vie seule. Un appartement pour toi. Nouveau départ. Puis tu as croisé son regard à la boîte aux lettres, un regard charmant, conquît par le bâtiment, mais ça. Ça c’était avant de savoir que Leia allait se marier. Un an que tu sais la nouvelle, tu as digéré le tout à présent. Et ce regard est devenu ton pire cauchemar, enfin ça dépend des jours. Est-ce que tu es prêt à t’abandonner à l’amour ? Assurément pas. Tu sais juste que tu aimes ces petits jeux, ces chamailleries. Et puis la proposition est tombée ‘veux-tu reprendre le garage ?’ tu ne savais pas s’il blaguait ou pas. Pourtant, tu as dit oui. Parce qu’Earl t’en croyait capable et dans le fond tu t’en croyais capable. Nouveau chapitre qui s’ouvre à toi et ça te fout un peu les jetons.

   

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