Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : 35 ans tout rond cet été bébé. l'âge n'est qu'un chiffre et honnêtement ce n'est pas moi qui vais me plaindre de comment la trentaine me traite.
statut civil : le célibat c'est dans la tête, elle est amoureuse et il est ce qu'elle a de plus cher, mais de là à s'identifier à un couple... sa jalousie réclame le label, sa rationalité sait qu'ils n'ont pas besoin de ça
occupation : associée dans un cabinet d'avocats. spécialisé dans le pénal . c'était pas une option. il fallait que ce soit ce job, cet endroit, cette vie, tout ça. elle voulait les tenues cintrées, les escarpins, le code sur son bureau, la cour, les bureaux avec une vue qui décoiffe, le côté sérieux et le côté superficiel. joy voulait le titre. joy voulait le job. joy voulait faire justice. joy voulait qu'on la voit faire justice. joy veut sauver le monde et en même temps qu'on la voit le traverser comme si elle avait une armure et que tout ça, l'existence ? c'était simplement un chemin de pâquerettes qu'elle traversait. -- chez Hoston & Rise
adresse : 245CENTRAL BUSINESS DISTRICT - quand il a fallu choisir où vivre joy a fait simple : proche des cafés ouverts tôt pour les white collar eg du boulot pour éviter les embouteillages inutiles quand elle peut y aller à pied. Elle aime l'effervescence, l'odeur de l'asphalte et les gens pressés d'arriver au bureau. Le quartier idéal.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : divorce
infos rp : longueur - je m'adapte
demandez par mp pour les rp sans souci
en vrac : déteste les avocado toast - le petit dèj c'est café et on se casse - commande du vin une fois par an pour remplir la cave - n'est pas végétarienne mais la viande c'est qu'au resto, elle a pas de ça dans son frigo - vendrait un poumon pour sa soeur, ou plus - le coeur est plus brisé mais elle est pas trop pour retomber amoureuse
Elle ne devrait pas être là, au bout du bar, avec son carnet de notes, son dossier actuel et son whiskey mais demander à Joy de faire les choses de façon réglo quand il s'agissait de son quart d'heure de réflexion solo n'était pas envisageable. 11 ans bientôt qu'elle pratiquait le droit pénal et 11 ans qu'elle trouvait un bar pour se poser dans un coin avec un verre et un dossier. Généralement elle n'amenait avec elle que les dossiers qui ne risquaient rien si un peu de condensation ou des voisins de bar un peu chiants qui renverseraient leur bière. L'habitude lui était d'abord venu d'un besoin de trouver quelque part où réviser en paix -vous seriez étonné du calme dans les bars quand on vient avant 17h et la sortie du bureau- mais aussi d'évacuer ses soucis avec un breuvage alcoolisé. Quand elle était étudiante elle sirotait une bière insipide ou un verre de ginto, aujourd'hui elle avait les moyens et le palet pour un vrai whiskey et assumait son choix de boisson. Ce n'était pas une régulière donc elle n'avait jamais fait lever la tête au moindre barman qui se demandait si elle devait s'arrêter là. Mais d'un autre côté, elle commençait à revenir au connor's pub assez souvent pour faire réagir. Elle s'en tenait toujours à la même place depuis des semaines, au bout du bar, sur un tabouret, un verre d'ambre et son dossier grand ouvert. Ce soir n'y dérogeait pas. Elle avait besoin de ça, de ce break.. « les gens sont bêtes... des criminels en carton.. » grogne-t-elle en fixant ses notes sur le procès d'un gars qui avait renversé une vieille dame avant de faire un délit de fuite... cet idiot avait cumulé le tout avec un casse dans une bijouterie. Les éléments étaient beaucoup trop gros pour qu'elle ne gagne pas ce procès mais dans tous les cas, elle devait prendre le temps de tout décortiquer.. Elle pince l'arête de son nez et boit la dernière gorgée de son verre avant de lever le verre vers le barman avec une mine mi agacée mi désolée « un au... hm ? » elle n'a pas le temps de finir sa phrase qu'un homme pose la main sur sa main avant de lui sourire (pourquoi les hommes sourient comme ça quand ils essaient de draguer ? on dirait georges de la jungle quand il voit Ursula pour la première fois.. niais..). « laissez moi vous l'offrir.. c'est pas vraiment une boisson de femme mais chacun ses défauts » Joy laisse l'expression du dégoût se trâcer sur son visage alors qu'elle fixe l'inconnu, retirant sa main en fronçant les sourcils « mais ça va pas de dire ce genre de choses aux gens ? »
Dernière édition par joy king le Dim 12 Mai - 14:45, édité 1 fois
Taron O'Connor
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 331
rps : 52
pseudo : bittrblue
id card : henry cavill by show me your icon
pronom irl : elle/she
multicomptes : callie (r.ferguson) ; avery (a.vikander) ; misha (t.palmer) ; victoria (h.dodd) ; adelaide (e.olsen) ; nils (c. hunnam) ; anita (e.bader) ; joan (j.coleman) ; eugenie (a.chalotra)
à contacter : Taron
présence : présente
âge : 39 yo trop vécu pour un âge pas si avancé, des années de bonheur brisées et l'envie de s'y remettre sans savoir comment. (28/09)
statut civil : séparé techniquement, tu n'as jamais signé les papiers, alors tu n'es pas divorcé de Lyana. Indirectement, tu la retiens encore... Pour l'heure, tu ne vis tout de même plus sous le même toit que ta femme... même si ce n'est pas l'envie qui te manque de la retrouver. Tu ne sais juste plus comment t'y prendre.
occupation : propriétaire d'un pub dans New Farm à la sueur de ses bras, un endroit auquel il tient particulièrement. Et lorsque l'occasion se profile, lorsque les comptes sont à sec, tu deviens arsène lupin, bien trop doué dans l'art du larcin.
adresse : tu vis dans un appartement à New Farm au dessus du bar.
disponibilités : full :
- keith
- irvan
- joy
- monroe
- cassie
en vrac :
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· Sam 11 Mai - 19:49
un verre en plus bartender
@joy king & @Taron O'Connor Il voit souvent les mêmes têtes Taron. Des habitués qu’il apprécie retrouver. Une espèce de grande famille. C’est son petit ville, ce bout d’Irlande qu’il a recréé sans avoir eu la chance de mettre les pieds dans le pays d’où viennent ses ancêtres. C’est quelque chose qu’il aimerait. Il pourrait sans doute se plaire sur l’île aux mille légendes. Il aime apprendre des choses sur la culture locale et elle semble si différente de celle de l’Australie. Ses pupilles parcourent l’endroit, le bar. Résonne des mélodies celtes en fond mais pas trop fort. Du moins, pas autant que d’habitude. Il a noté qu’il y avait une cliente récurrente qui aime venir bosser ici. Joy est avocate de ce qu’il a compris. Cela autant impression dans la réalité. Taron n’est pas un homme de lettres, du moins il aime lire mais n’a pas fait d’études. Il a tout sans ses mains, l’endroit dans lequel il se tient, ce pub en est la preuve. Il a de l’or dans les mains pourraient peut-être tenter d’en faire quelque chose. Autre chose que servir des pintes en tout cas. Parfois il se le dit et puis il admire les lieux pour se souvenir combien il aime les lieux. C’est devenu le QG de la famille O’Connor, pas un jour sans que l’un des membres de sa famille ne franchisent la porte pour se faire offrir un verre. Il a pris l’habitude, il aime même les voir venir. Ils pourraient sans doute tous tenir les rênes de l’endroit... enfin tous... Non peut-être pas Irwan, il se méfit du benjamin de la fratrie qui serait capable de vider les stocks gratuitement par pur altruisme. Ou peut-être d’augmenter les consommations pour se faire du profit. Tout l’un ou tout l’autre.
Enfin voilà, la musique est belle et bien là mais quelque peu moins forte. Il lustre le bar en bois, nettoie quelques verres, en sert de nouveaux. Ses yeux sont rivés sur son ouvrage et pourtant quelque chose le pousse à relever la tête. Il perçoit une situation loin d’être plaisante. Ses sourcils se froncent, les paroles lui viennent aux oreilles lorsqu’il décide de s’approcher. Tim fait partie d’un petit groupe passer, ses amis sont à l’extérieur sur la petite terrasse, ils ne semblent pas non plus se rendre compte que leur pote abuse sévèrement. Un regard vers l’extérieur le lui confirme et il soupire, agacé. Tim est pourtant un habitué et jamais il n’a manqué de respect à une femme mais à voir que la pinte qui lui a été servie est celle de trop. Sans craindre son client, Taron s’approche derrière lui pour l’attraper par le t-shirt. « - Allez, tu dégages et tu la laisses travailler maintenant » Un ton fermé, quelque peu sévère. Tim n’apprécie pas, pas du tout, il tente de se dégager, il sent l’alcool, évidemment qu’il a trop bu. Il lui prend d’ailleurs le reste de celle qu’il a entre les mains. « - Je crois que tu as trop bu, je vais te raccompagner vers tes potes dehors allez. » Mais le client ne semble pas d’accord, il se dégage davantage. C’est de l’agressivité que perçoit Taron ? Il semblerait mais trop tard. « - Lâche-moi putain » Résonne dans la salle. Cela attire forcément les regards sur Joy et les deux hommes. Et Taron qui voudrait temporiser se prend d’un coup un coup dans la pommette. Outch. Heureusement que Tim n’est pas taillé comme lui, mais le coup pique tout de même. « - Allez, ça suffit, t’es chez moi ici, dehors » Et cette fois, il ne demande pas son reste au client et le fout dehors. Sous le regard quelque peu médusé de ses potes il ajoute. « - Il est ivre et vient de me frapper, maîtrisez-le où j’appelle les flics, d’accord ? » Tous semblent un peu étonné mais personne ne contre. Taron pénètre à nouveau dans la salle avance vers Joy. « - J’espère qu’il n’a pas été trop pénible... vraiment désolé, je vous offre le prochain verre pour me faire pardonner » Et mettre de la glace sur sa joue qui va marquer à tous les coups.
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l'autre cri du coeur
Do you remember when we didn't care. We were just two kids that took the moment when it was there Do you remember you at all. Another heart calls. I remember when we stole the night. We'd lie awake but dreaming 'til the sun would wash the sky
joy king
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occupation : associée dans un cabinet d'avocats. spécialisé dans le pénal . c'était pas une option. il fallait que ce soit ce job, cet endroit, cette vie, tout ça. elle voulait les tenues cintrées, les escarpins, le code sur son bureau, la cour, les bureaux avec une vue qui décoiffe, le côté sérieux et le côté superficiel. joy voulait le titre. joy voulait le job. joy voulait faire justice. joy voulait qu'on la voit faire justice. joy veut sauver le monde et en même temps qu'on la voit le traverser comme si elle avait une armure et que tout ça, l'existence ? c'était simplement un chemin de pâquerettes qu'elle traversait. -- chez Hoston & Rise
adresse : 245CENTRAL BUSINESS DISTRICT - quand il a fallu choisir où vivre joy a fait simple : proche des cafés ouverts tôt pour les white collar eg du boulot pour éviter les embouteillages inutiles quand elle peut y aller à pied. Elle aime l'effervescence, l'odeur de l'asphalte et les gens pressés d'arriver au bureau. Le quartier idéal.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
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Joy n'a jamais été le genre de clientes de bar qui prend de l'espace, attire l'attention ou cherche à discuter avec les personnes qui s'approchent. Ce n'est pas plus son attitude dans la vie de tous les jours de base. La brune avait beaucoup de qualité mais la sociabilité n'en était pas une. Pas forcément introvertie, elle n'aimait juste pas discuter pour rien et cela pouvait se montrer un peu bloquant pour créer du lien avec des nouvelles personnes. Son air constamment renfrogné n'aidait pas beaucoup non plus, mine fermée qu'elle affichait surtout à cause des soucis rencontrés dans ses dossiers. Les années passaient et elle n'était pas plus agréable dans le cadre du travail, et l'assumait pleinement. Elle n'était pas payée pour être agréable, et cette mentalité était la raison principale pour laquelle l'avocate ne perdait aucun procès. Bien sûr, elle avait déjà eu à accepter des conditions peu satisfaisantes pour résoudre des affaires mais perdre n'était pas dans son vocabulaire. Mélanger tout ça, et vous obtenez le genre de personnes qu'il ne faut pas venir déranger quand elle est juste là pour s'occuper de ses affaires et ne cherche pas à parler à qui que ce soit... Donc l'inconnu et son attitude -déplacée il faut le dire- la surprennent autant parce qu'elle n'avait pas l'impression d'être le type de nana qu'on accoste au bar comme ça, mais surtout parce que son manque de délicatesse appelait clairement à une réponse sans moins de délicatesse. Son ton est coupant quand elle lui répond. Il a l'air décontenancé, comme s'il était sûr de n'avoir rien dit de mal et Joy referme son dossier avant de fixer le jeune homme qui l'a dérangé dans sa réflexion « faut arrêter de boire si c'est pour sortir des aneries pareilles. » Il fronce les sourcils et s'aprête à répondre quand Joy lève les yeux vers une figure qui attrape son solliciteur par son col. L'avocate suit l'altercation sans y participer, gardant un oeil sur le barman qui gère le jeune homme. Les suivants du regard, elle prend quand même le temps de noter l'heure de la prise de tête et quelques détails sur la tenue du jeune homme. Il n'était pas spécialement agressif avec elle et sûrement juste un peu maladroit à cause de l'alcool, mais Joy préfère baliser. Et elle fait bien quand le jeune en état d'ébriété frappe le barman au visage, faisant réagir plus d'une personne dans la pièce. Rèflexe automatique, l'avocate se lève et attrape son téléphone, prête à appeler la police s'il faut. Trop eu de rencontres avec des idiots qui ont voulu se faire passer pour des victimes après les faits et l'attitude du jeune imprudent lui rappelle ce genre d'incidents. Il suffirait qu'il dise qu'il s'est juste défendu parce que le barman l'a attrapé en premier et la police créerait des soucis à l'homme plutôt qu'au perturbateur. Le numéro est prêt à appeler mais l'avocate attend de voir si la situation dégènére avant de presser le bouton d'appel. Quand l'homme qui avait contourné le bar pour venir s'occuper du jeune importun revient à l'intérieur, Joy coupe son téléphone et se rassied comme si de rien n'était, un peu soulagée. Elle lève un regard surpris vers celui qu'elle ose croire être le tenancier quand il lui parle et secoue la tête « plus de peur que de mal.. il aurait pu dire pire. Mais merci. » elle jette un oeil à ses papiers puis soupire avant de regarder la porte du bar puis l'homme. Joy avait différents bars sur Brisbane où elle venait se poser ainsi quand les 4 murs de son bureau ou de son appartement étaient trop suffoquants, mais elle était particulièrement attachée à celui là. Le O'Connor n'était pas un grand bar de luxe avec toutes les agréments d'un bar d'hôtel ou autre, mais c'était un lieu chaleureux, presque familial, et même si elle y venait pour faire de la relecture, elle s'y sentait à l'aise. Et l'homme qui lui parlait s'appelait... le nom était au bout de sa langue. C'était sûrement la première fois qu'elle lui adressait la parole pour plus qu'un simple verre supplémentaire mais quand même. « Si je peux juste avoir un verre comme celui là en plus.. ça sera top. Et un verre d'eau. Je voudrai pas finir comme notre petit ami, dehors. » elle sourit doucement en poussant son verre dans la direction de.. TARON ! Elle replace le nom, entendu entre employés à l'occasion « S'il m'avait pas touché la main j'aurai rien dit mais.. ça va aller votre joue ? il y a pas été de main morte. » dit-elle en fixant le début de marque rougie sur la joue de l'homme qui a pris sa défense. Elle était convaincue qu'elle aurait subit un sort similaire si elle avait eu à gérer la situation seule. Cette pensée envoie un frisson dans son dos et l'avocate croise les bras en regardant Taron « S'il revient pour plus d'embrouilles vous me direz, je peux être témoin après de la police »
Taron O'Connor
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occupation : propriétaire d'un pub dans New Farm à la sueur de ses bras, un endroit auquel il tient particulièrement. Et lorsque l'occasion se profile, lorsque les comptes sont à sec, tu deviens arsène lupin, bien trop doué dans l'art du larcin.
adresse : tu vis dans un appartement à New Farm au dessus du bar.
Son bar c’est sa maison et Taron n’aime pas voir n’importe qui rentrer et ne pas respecter les règles. Elles ne sont pas compliquées les règles, le respect est en tête de liste. Et lorsqu’il perçoit que l’un de ses clients franchit une limite au convenable, il n’hésite pas à intervenir. Peut-être qu’il ne craint pas tellement le risque parce qu’il a la carrure qui va avec. Tim est un client qu’il voit souvent pourtant, il n’aurait pas misé sur lui pour avoir un comportement peu correct. Seulement lorsqu’il devient trop lourd, limite insistant il intervient. Il ne s’attendait surement pas à se prendre un coup, c’est vrai. Ce coup de poing a le mérite de lui remettre les idées en place. Il pourrait se laisser emporter par cette colère qui ne l’a jamais quitté après tout ce qui lui est arrivé. Il ne se laisse pas consumer, il garde une forme de self control qui l’épate lui-même. Il finit par le mettre à la porte, le ramenant à son groupe de porte sur se trouve sur la petite terrasse devant l’établissement. C’est à eux de le gérer maintenant, s’il a trop bu. Il ne veut plus en être responsable. Bien qu’aux yeux de la loi, il l’est pourtant. Il revient vers la victime, peut-on réellement parler de victime ? Elle semble avoir un bon caractère, une réplique à toute épreuve mais le moins qu’il puisse faire c’est tenté de faire que sa soirée ne soit pas gâchée par cette note désagréable.
Elle note l’état de sa joue, il fronce les sourcils, il n’a pas envie qu’elle s’inquiète, surtout pour lui. Un signe de la main pour lui montrer que ce n’est rien. Pourtant, lorsque ses doigts touchent sa joue il grimace, c’est douloureux et à tous les coups cela va virer à une nouvelle couleur. « - Ok, je devrais peut-être mettre un peu de glace dessus » Il tente de garder un ton léger mais il est quelque peu sonné, il faut bien l’avouer. A nouveau, un geste de la main pour lui offrir sa nonchalance bien connue. Souvent Taron offre l’impression que peut de chose ont de l’importance. N’a-t-il pas déjà perdu tout ce qui comptait de toute façon ? « - Non, ça ira, Tim a été lourd mais j’ai envie de croire que ce n’est pas un mauvais bougre. » Haussement d’épaules. Il s’éclipse pour aller remplir un torchon de glace et se servir un verre de bourbon pour accompagner la cliente. Il revient vers elle et avant de s’asseoir, il lui lance un regard interrogateur. Il ne veut pas être forceur, comme son client. « - Je peux ? Promis je ne suis pas là pour draguer ou faire le lourd, je vais peut-être veiller à ce que vous… puissiez travailler ? » Une gorgée de bourbon, le torchon sur la joue. « - Vous faîtes quoi dans la vie ? » Elle ne semble pas des plus ouvertes mais cela intéresse un peu Taron, peut-être pour ne pas noyer son âme seul.
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joy king
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occupation : associée dans un cabinet d'avocats. spécialisé dans le pénal . c'était pas une option. il fallait que ce soit ce job, cet endroit, cette vie, tout ça. elle voulait les tenues cintrées, les escarpins, le code sur son bureau, la cour, les bureaux avec une vue qui décoiffe, le côté sérieux et le côté superficiel. joy voulait le titre. joy voulait le job. joy voulait faire justice. joy voulait qu'on la voit faire justice. joy veut sauver le monde et en même temps qu'on la voit le traverser comme si elle avait une armure et que tout ça, l'existence ? c'était simplement un chemin de pâquerettes qu'elle traversait. -- chez Hoston & Rise
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L'interaction l'avait plus surprise qu'autre chose, Joy n'était pas du genre à s'apitoyer sur son sort et au fond ce n'était ni le premier ni le dernier con en état d'ébriété qu'elle croiserait et qui lui ferait ce genre de scène. Certains étaient finalement plus polis qu'autre chose quand on leur disait non, mais des idiots comme celui-ci arrivait à être sexiste tout en essayant de draguer et ça la dépassait. Qui leur avait appris ce genre de technique ? Cela fonctionnait il avait qui que ce soit ? L'avocate avait du mal à y croire. Elle suit donc l'altercation entre le barman et le jeune homme éméché avant de reposer les yeux sur son travail qui attendait d'être avancé. Elle n'avait finalement pas appelé la police en voyant que Taron gérait la situation. D'un autre côté, ça ne devait pas être la première fois qu'il devait faire ça. Joy lève un regard surpris puis plus compréhensif sur l'homme quand il revient offrir un verre pour s'excuser de la gêne occasionnée. La brune pourrait refuser mais elle ne le fait pas parce qu'au fond même si ce n'est pas la faute du barman, ce serait malpolie de refuser. « c'est très rouge quand même.. » fait-elle remarqué en montrant sa joue, s'inquiétant plus pour son état que son verre gratuit. L'attitude désinvolte qui disparaît après qu'il ait touché la plaie la fait légèrement sourire, toujours amusé par ces hommes qui se pensent au dessus d'une petite blessure sous prétexte qu'ils sont des grands gaillards et peuvent survivre à un coup. L'envie de soupire ah les hommes la traverse mais elle se retient, ne voulant pas qu'il pense qu'elle se moque de lui après qu'il l'ait aidé. Elle commence à ranger ses affaires en le voyant s'en aller et Joy réalise qu'elle n'a vraiment pas avancé sur ce dossier. Quand le barman revient et pose des verres sur le comptoir à côté d'elle, la brune le regarde surprise puis sourit légèrement à la vue du torchon « Oui oui.. pas mon bar, vous faites comme vous sentez. ça va aller ? » la trentenaire s'enquit à nouveau de la joue de celui qui a sauvé sa fin de journée en jetant le jeune homme saoul dehors. Elle qui n'en a généralement rien à faire, réalise qu'elle est tout de même parfois -juste parfois- capable d'empathie. La sensation est étrangère mais elle ne s'attarde pas dessus et finit de ramasser son dossier avant de prendre le verre offert « je vais m'arrêter de travailler pour l'instant mais c'est gentil. Je suis avocate, pénale.. pour les affaires criminelles quoi. » elle ne savait jamais trop comment expliquer aux gens qu'elle était surtout là pour foutre des criminels en taule et pas le genre à pas payer ses taxes ou une fraude aux assurances. Non Joy, sans l'avoir vraiment voulu, était le genre qui regarde des photos de crimes plus ou moins sanguinolents toutes les semaines depuis 10 ans et s'assurent que les accusés finissent aux trous avec une peine assez grosse pour que ses clients -l'accusation, les victimes- se sentent vengées, et que l'accusé regrette un minimum ce qu'il a fait. Ce n'était jamais simple mais après une décennie.. elle aimait ce qu'elle faisait d'une certaine manière. Elle avait l'impression d'aider pour de vrai. De rendre justice. « merci pour le verre.. je ne vous demande pas ce que vous faites dans la vie ? c'est un peu visible. Barman et physio. » elle esquisse un sourire en buvant une gorgée, remerciant le ciel pour la création de son alcool favori. Ce n'est pas trop bien vu d'avoir un alcool de prédilection mais Joy se fichait de ce que cela pouvait montrer vis à vis d'elle. Elle était accroc au café et à son verre chaque soir. C'est ça ou la clope. Enfin la clope aussi fait partie de sa vie... un régime de vie pas terrible mais au bout de 10 ans, elle n'a jamais eu de raison de remettre tout ça en question « je crois que c'est la première fois ici que je tombe sur un gars comme.. tim c'est ça ? »
Taron O'Connor
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occupation : propriétaire d'un pub dans New Farm à la sueur de ses bras, un endroit auquel il tient particulièrement. Et lorsque l'occasion se profile, lorsque les comptes sont à sec, tu deviens arsène lupin, bien trop doué dans l'art du larcin.
adresse : tu vis dans un appartement à New Farm au dessus du bar.
Il n’a pas l’habitude de jouer les chevaliers servants. Ce n’est clairement pas un rôle qu’on lui a donné l’occasion de jouer. Pourtant quand un type se montre beaucoup trop grossier et familier dans son bar, il n’hésite pas à intervenir. Les risques du métier ? Se prendre un coup de poings d’un de ses clients c’est rare aussi. Le client est bien imbibé par l’alcool, mais faut-il pour autant lui pardonner ? Non. C’est pour cela qu’il est conduit à la porte. Simple et plus efficace. Il en gardera sans doute quelque séquelles, une joue violette pour le lendemain. Cela ira avec la panoplie du mec triste dans sa vie, non ? On n’osera peut-être pas l’emmerder si on croit qu’il est capable de se battre. C’est une hypothèse. La jeune femme lui note cependant que sa joue vire bien rouge, une grimace évidemment. Il ne tarde pas à aller prendre un torchon plein de glaçons pour soulager le feu qui nait dans sa joue. Il ne tarde pas à s’approcher à nouveau d’elle en la rassurant d’un signe positif de la tête. Il va s’en sortir. Le voilà qui se pose la question, est-il aussi pénible de Tim précédemment ? Il n’espère pas, elle lui en aurait sans doute dit. Il ose poser une question peut-être intime après lui avoir offert un verre pour pardonner la gêne occasionnée. Taron n’a pas fait de longues études, il est plus manuel qu’intellectuel, même s’il aime tout même la littérature, il faut l’avouer. Il s’enfonce dans la chaise, quelque peu impressionnée. « - Woh, ce n’est pas rien ce qui se passe par ici et vous arrivez à bosser dans mon établissement ? » Ce n’est pas toujours calme, bien que la soirée ne le prouve pas. Il fait beau, les gens sont devant l’établissement, au niveau de la terrasse.
Il s’amuse de la suite. Pas besoin d’aller chercher midi à quatorze heures. Effectivement, on peut difficilement douter quant au domaine dans lequel il travaille. « - Propriétaire, j’ai retapé cet endroit avec ma sueur » C’est loin d’être charmant mais qui a dit que Taron était de ce genre-là ? Personne, ce n’est pas sur son cv. Il boit une gorgée également de whisky, la morsure de l’alcool est douce pour lui, addictive, mais l’avocate n’a pas besoin de le savoir. « - C’est ça, Tim. En général, j’essaie de les recadrer, je ne l’ai pas vu s’approcher discrètement et franchement je ne sais pas ce qui lui a pris. » Il parle de son comportement envers elle, principalement. « - Pour le côté bagarre, ça arrive quand il y a des matchs et que certains ne sont pas pour la même équipe mais en général, c’est plutôt un bar bon enfant. On fait en sorte. » Une nouvelle gorgée. La glace sur sa joue, cela commence à être désagréable. Il écarte les glaçons. « - Qu’est-ce que vous en pensez ? » Il rit un peu, montre sa joue à la jeune femme histoire d’avoir un avis sincère.
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l'autre cri du coeur
Do you remember when we didn't care. We were just two kids that took the moment when it was there Do you remember you at all. Another heart calls. I remember when we stole the night. We'd lie awake but dreaming 'til the sun would wash the sky
joy king
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 35 ans tout rond cet été bébé. l'âge n'est qu'un chiffre et honnêtement ce n'est pas moi qui vais me plaindre de comment la trentaine me traite.
statut civil : le célibat c'est dans la tête, elle est amoureuse et il est ce qu'elle a de plus cher, mais de là à s'identifier à un couple... sa jalousie réclame le label, sa rationalité sait qu'ils n'ont pas besoin de ça
occupation : associée dans un cabinet d'avocats. spécialisé dans le pénal . c'était pas une option. il fallait que ce soit ce job, cet endroit, cette vie, tout ça. elle voulait les tenues cintrées, les escarpins, le code sur son bureau, la cour, les bureaux avec une vue qui décoiffe, le côté sérieux et le côté superficiel. joy voulait le titre. joy voulait le job. joy voulait faire justice. joy voulait qu'on la voit faire justice. joy veut sauver le monde et en même temps qu'on la voit le traverser comme si elle avait une armure et que tout ça, l'existence ? c'était simplement un chemin de pâquerettes qu'elle traversait. -- chez Hoston & Rise
adresse : 245CENTRAL BUSINESS DISTRICT - quand il a fallu choisir où vivre joy a fait simple : proche des cafés ouverts tôt pour les white collar eg du boulot pour éviter les embouteillages inutiles quand elle peut y aller à pied. Elle aime l'effervescence, l'odeur de l'asphalte et les gens pressés d'arriver au bureau. Le quartier idéal.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : divorce
infos rp : longueur - je m'adapte
demandez par mp pour les rp sans souci
en vrac : déteste les avocado toast - le petit dèj c'est café et on se casse - commande du vin une fois par an pour remplir la cave - n'est pas végétarienne mais la viande c'est qu'au resto, elle a pas de ça dans son frigo - vendrait un poumon pour sa soeur, ou plus - le coeur est plus brisé mais elle est pas trop pour retomber amoureuse
Elle savait que le choix d'un bar, surtout de ce genre de bar, pour travailler n'était pas commun mais Joy n'avait jamais été une femme commune. Depuis Sydney, elle avait appris à ne pas travailler dans le silence. Même chez elle, il y avait toujours des bruits de fond -souvent la TV les premières années et puis plus tard elle avait investi dans des boites à bruit blanc- et à son bureau aussi. Elle avait besoin de l'effervescence pour se concentrer aussi bizarre que cela pouvait paraître. Le fait de faire volontairement abstraction du monde autour lui donnait l'occasion deux fois plus concentrée. Et dans un monde de bruit, son esprit était moins facilement dérangé par des micro changements dans l'atmosphère de la pièce. La notion pouvait paraître étrange mais on entend plus facilement une épingle qui tombe dans une pièce vide que dans une salle bien animée. Elle ferme son dossier pour échanger avec le barman, mettant son travail de côté pour accepter le verre proposé « j'aime l'atmosphère des bars pour travailler. Le bruit extérieur évite le bruit intérieur. » ça peut paraître philosophique mais il fallait le prendre littéralement. Joy boit un peu de son whiskey et soupire, appréciant l'agréable piqûre du liquide ambré dans sa gorge. « félicitations, c'est un établissement bien.. retapé. » elle laisse échapper un petit rire sur ce dernier mot, ne voyant pas d'autres façons de décrire le lieu. Elle trouve ça sympa, c'est tout ce qui compte. Joy n'a pas d'autres mots pour en parler. Pour elle les bars sont plus identifiés par leur atmosphère que par leur apparence après tout. « propriétaire de bar.. le rêve de beaucoup de petits garçons. Vous avez de la chance je suppose » elle en avait croisé tellement d'hommes rêvant de leur propre tireuse et du bonheur d'être leur propre patron « je vois.. ce sont des choses qui arrivent. Si c'était devenu physique j'aurai plus mal réagi. » et grâce à l'homme face à elle, elle n'avait pas eu besoin de laisser ressortir cette part d'elle même. Joy était d'autant plus tranquille psychologiquement comme ça. Se battre contre un peu garçon un peu pompette dans un bar ne ferait pas joli sur son dossier à la cour, autant rester sage. Même s'il avait eu des mots déplacés. Elle regarde un peu autour d'elle, imaginant un soir de match, quand le houblon et l'adrénaline viennent troubler les esprits et les humeurs au point que des supporteurs opposés en viendraient au main. Note à moi même, vérifier les jours de match pour ne pas venir dans les bars ces jours là. Cela ne lui était jamais arrivé, mais qui sait ? « hm ? oh.. c'est rouge, mais ça devrait aller. Vous devriez survivre. » elle regarde la plaie et hausse une épaule en buvant un peu plus « j'aurai bien dit que ça vous donne un air un peu effrayant, mais vous êtes déjà assez imposant comme ça. ça ne vient que compléter votre apparence d'homme qu'on a pas envie d'embêter » elle se passe une main dans les cheveux, ne cherchant ni à vexer ni à le flatter. C'est un grand gaillard, avec une bonne stature et le genre de visage qui a déjà pris des coups. Elle ne lui apprend rien « rappelez moi de vous laisser une carte si un jour une de vos bagarres dégénère. Je me ferai un plaisir de dire à la police que vous faites un peu peur mais vous n'êtes là que pour éviter que les embrouilles partent trop loin. Eviter un délit de faciès. »