TW : divorce, adultère, alcoolisme
âge & naissance : to be 35 years old - 15 about 1988. origines & nationalité : australienne, d'origine américain, irlandais, anglais, portoricain. finances et emploi : $$$$$, avocate pénale - associée dans un cabinet . statut civil : en couple & amoureuse orientation sexuelle : pansexuelle.  situation familiale : une sœur biologique, parents divorcés avec père remarié et deux frères et une soeur de ce mariage. signe astrologique : LION le pire tue-l'amour : l'hygiène mal entretenue. un fantasme : sur son bureau. un power play peut être. elle ne cherche pas forcément à dominer, cela peut être même le contraire. mais sa littérature ero lui a appris qu'il y a un côté sexy à faire ça au travai. à Brisbane depuis : revenue il y a 10 ans après ses études de droit à Sydney. Née à Brisbane. traits de caractère : un tempérament de feu, une morale limite, pas de filtre, un besoin viscéral d'être franche et directe mais le coeur sur la main avec ceux qu'elle aime ou porte en haute estime. Joy n'a aucun problème à être la connasse de service. elle prend l'étiquette, se la colle sur le front et sourit avec plaisir aux gens qui l'insultent parce qu'elle sait que ce n'est pas ce qu'elle est au fond. Elle peut être une peau de vache, mais les gens qui l'aiment et qu'elle aime savent qu'en réalité, elle sait très bien être bonne pour les bonnes personnes. Et qu'elle a des crocs pointus et des griffes acérées aussi. Les gens qu'elle aime vous la présenteront plutôt comme une personne dévouée, volontaire, généreuse et présente. Elle donnerait des années de sa vie pour qui a besoin dans son entourage, tout l'or du monde aussi.. avatar : Aubrey Plaza (portoricaine, americaine, anglaise, irlandaise).

boit du vin blanc principalement + adepte des relations sans lendemain + a déjà pensé à devenir sugar mommy + ne pense pas faire d'enfant un jour, pas peur pour sa carrière + totalement dévouée à sa famille mais aussi à son travail + passionnée par les docu sur les baleines + fait des pilates + a une sévère addiction au café + porte autant de talons que de baskets + les soirées mondaines sont son terrain de drague préféré + ne mange de la viande qu'au resto, pas chez elle + a un chat, enfin nourri un chat du quartier.

(un) divorce. le mot sonne mal. il sonne violemment. il sonne comme une gifle. joy le nie. joy l'ignore. joy ne voudra jamais en entendre parler. même quand elle, la femme qui devait lui montrer le chemin, part. même quand elle ne devient qu'un numéro, un matricule, un identifiant dans son téléphone, dans son carnet de correspondance, dans ses papiers. même quand lui, il retrouve l'amour. même quand lui, il avance. même quand il y a des nouveaux enfants sous leur toit. même quand il y a ce nouveau nom dans le livret de famille. même quand il faut redéfinir le mot famille. joy ne fait pas d'éclat. joy ne se battra pas. joy gardera la tête dans la vie, dans l'existence, dans l'existant, dans le présent. s'attarder dans le passé c'est comme se perdre au fond de son verre de vin. dangereux.

(deux) joy aime les fraser. pas de doute sur la question. bordel qui oserait remettre ça en question ? oui, elle ne s'est pas impliquée quand senàn a été accusé. oui elle a gardé ses mots pour elle. oui elle se demande toujours pourquoi son père a choisi cette famille, détruit celle qu'ils avaient avant. oui elle aimerait revenir comme avant quand c'était sa maman, son papa, sa emery. oui elle pense que les liens du sang sont plus importants. mais à la fin de la journée, elle donnerait son dernier souffle, chaque goutte de son sang et de son temps pour les fraser. parce qu'à la fin de la journée ce sont ces gosses avec qui elle a passé son adolescence. et maintenant qu'elle a appris à les aimer, comme gosse et comme adulte, elle compte pas repartir en arrière. même si sa mère lui manque. même si quelque chose a été changé en elle quand elle était encore si jeune et qu'elle mérite qu'on remette les morceaux à leur place.

(trois) faire confiance à quelqu'un, elle ne veut plus en entendre parler. faire entrer des gens dans sa vie ? c'est trop compliqué. joy aime les gens qu'elle a. joy chérit les gens qu'elle a. joy ne veut plus avoir à aimer quelqu'un qui va la briser. le coeur, la voix, le dos, la foi... elle ne veut plus. parce qu'après ça ? non. elle ne peut pas. joy veut rester juste ça, une joie. alors elle monte au créneau, elle met les briques une à une pour construire son mur, muraille de chine imprenable et elle se protège. elle se protège elle, et ceux qui sont avec elle. son coeur, son âme, ceux qui ne lui ont pas encore fait du mal.

(quatre) si elle avait pu, elle aurait donné le monde à emery. juste parce qu'un jour elle s'est réveillée et son père l'a emmené à l'hôpital et ce bébé est devenu le centre de son monde. parce que c'était sa poupée préférée, puis son sourire préféré, puis son rire préféré, puis ses exploits préférés. parce qu'emery est la seule chose qui est restée constante dans sa vie. même son père n'a pas su rester le même. et qu'elle n'a qu'une seule soeur biologique. c'est elle. il n'y a pas de doute dans le coeur de l'avocate. emery est son sang et si Joy a parfois eu l'impression de faillir à son rôle de soeur, de grande soeur, elle n'en pensera jamais moins. personne ne changera jamais ça.

(cinq)toujours un verre de vin à la maison après le boulot. au début c'était de temps en temps. puis c'est devenu une habitude. elle ne boit pas spécialement ailleurs qu'à la maison. une habitude. pas une addiction. ou peut être qu'elle ne l'admettrait pas ? c'est étrange en fait. il n'y a rien de mieux qu'un verre de vin en lisant un dossier. pas quinze, pas même trois, juste un. le même verre peut passer des heures avec elle, et une fois vide ? elle met de l'eau. elle oublie le verre. elle remplace par un spiritueux désalcoolisé. elle ne veut pas de l'effet de l'alcool sur son psyché. juste ce goût en bouche. le début de la relaxation. et puis joy ne boit que rarement en public pour une raison et une raison seulement. elle sait que tous ses murs tombent quand l'alcool la frappe. elle ne peut pas se laisser aller comme ça. elle a besoin de se protéger. pourquoi ? ça, elle ne l'admettra pas.

(six) son caractère est sa force, c'est comme ça qu'elle le décrirait. oui il peut s'avérer insupportable, non ça ne plaît pas à tout le monde, oui elle peut s'avérer être bien plus sympa quand on la connaît depuis longtemps, non elle ne compte pas devenir agréable avec les gens qu'elle ne connaît pas. une chose sous son toit, on lui a appris à aimer les siens et à respecter les autres. pas à aimer les autres. la gentillesse c'est pour les gens qui veulent se faire briser le coeur ou se faire utiliser. elle n'est ni du premier ni du deuxième groupe. alors joy elle met sa carapace chaque matin quand elle enfile ses chaussures. et cela ne change rien qu'elle aille au travail en stiletto ou en baskets. dans les deux cas elle sera aussi piquante quand on lui adresse la parole avant le café, aussi dure quand on lui demandera des conseils - ah les internes -, aussi tranchante quand un client oubliera des pièces pour son dossier et toujours aussi impitoyable dans ses négociations. il y a pas écrit bonne poire sur son front.

(sept) avocate. c'était pas une option. il fallait que ce soit ce job, cet endroit, cette vie, tout ça. elle voulait les tenues cintrées, les escarpins, le code sur son bureau, la cour, les bureaux avec une vue qui décoiffe, le côté sérieux et le côté superficiel. joy voulait le titre. joy voulait le job. joy voulait faire justice. joy voulait qu'on la voit faire justice. joy veut sauver le monde et en même temps qu'on la voit le traverser comme si elle avait une armure et que tout ça, l'existence ? c'était simplement un chemin de paquerettes qu'elle traversait. 6 ans d'études, diplôme en poche, un job et bim 10 ans qu'elle pratique le job qu'elle aime. Addict aux post-its, stylo noir pour signer -un mont blanc reçu en fin d'études-, des talons pour que les internes aient peur en l'entendant dans les couloirs, et une collection de bouquins de droits ridicules qui couvrent les murs de son bureau. parfois elle pense vivre le fantasme du job, qu'elle n'est pas vraiment avocate, juste ce que ressemblerait le rêve si elle le vivait éveillée. Et puis elle se retrouve avec ses clients, à la cour ou après pour célébrer une victoire et elle sait que c'est sa vie.

(huit)  Joy a un péché mignon, un parmi tant d'autres, mais un surtout : les rositas. ne lui demandez pas de partager, ni comment elle s'en procure. son grand père paternel étant portoricain, paix à son âme, son père avait grandi avec des sucreries que l'Australie n'a jamais eu le plaisir d'expérimenter. Enfant elle y a gouté une fois grâce à un paternel nostalgique, et une fois adulte elle est retombée sur ce bout de sucre et biscuit et c'était fini. heureusement qu'elle est sérieuse avec son régime alimentaire sinon elle en descendrait un paquet par jour. minimum.

(neuf) parfois elle hésite à voir un psy. mais à la place elle s'enfonce dans le boulot, ou elle matche un pompier sur une appli de rencontre, ou elle sort voir ses amies, ou elle offre une visite impromptue à son père et sa belle mère juste histoire d'avoir un repas de famille entre deux dossiers interminables. la fuite en avant, les murs haut de vingt mètres et le tempérament de feu en public : sa recette pour ne pas se laisser dévorer par le passé auquel elle ne veut pas faire face. voir des signes, comprendre des choses, parler de d'autres. elle a laissé son enfance derrière. éternellement coincée dans le présent pour ne pas se laisser happer par le passé. et ceux sur des stiletto, une clope au bec, un sourire narquois au coin des lèvres et une volonté de fer de ne pas tomber dans le mélo personnel.

(dix) amoureuse ? elle l'a été. amoureuse ? elle le sera à nouveau. amoureuse ? d'elle même clairement. elle ne compte foncer dans le tas pour l'instant. pas qu'elle a peur, mais honnêtement, elle n'arrive pas à croire en ça, comme ça. l'amour ça existe. okay. jusque là, joy elle vous suit. mais honnêtement ? elle s'en passera. l'amour filiale okay. l'amour fraternel okay. l'amour amicale no problem. mais la passion ? vivre par, pour, avec, à travers l'autre ? non. elle veut dormir tranquille la nuit. en tout cas c'est ce qu'elle dirait aujourd'hui. mais la vie, tout ça.


(f/m/nb) · légal et paralégal.
Joy est dans le monde du légal depuis presque toujours. D'abord comme la fille admirative de son père, Arthur King, avocat réputé en Australie, puis comme major de promotion à l'université de Sydney entre 2007 à 2013, puis comme avocate pénal à Brisbane depuis près de 10 ans. Elle a beau avoir l'attitude d'un requin et en rien laisser passer autour d'elle, elle n'a pas mauvaise presse auprès de ses collègues et anciens camarades promos qui la savent apathique et bosseuse, mais pas méchante. Possibilité de liens avec n'importe qui du milieu judiciaire

(f/m/nb) · c'est une période d'essai si ça dure moins d'un mois.
Joy et X n'étaient pas fait l'un pour l'autre mais il y a quelque chose que la fierté des uns et des autres ne peut pas accepter : c'est la défaite. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'ils se rendent compte que ça ne fonctionnerait pas, pourtant ces 10 dernières années ils ont retenté plusieurs fois sans trop faire d'effort plus de 48h. Chaque fois c'est le même cirque mais résultat des courses, ils restent dans la vie de l'un et l'autre et ce qui devait devenir une amourette est une amitié aux limites étranges mais qu'ils ne regrettent pas d'avoir développés.

(m) · if hating you was a game, i win every single one.
Joy n'a jamais pu s'entendre avec X. Ils se connaissent depuis l'enfance, il a grandi dans le coin. Et ce que sa mère appelait "un garçon qui t'aime bien", Joy a toujours vu comment un affront personnel. Comment ce garçon osait se moquer d'elle à l'école ? Comment se permettait-il de juger sa robe au bal de promo ? Ils ont grandi en parallèle puis se sont perdus de vue. Et après des années ils se retombent dessus et Joy se revoit, 14 ans, l'impression qu'elle le détestera pour le restant de ses jours et une chose à ne pas oublier sur Joy : elle est rancunière. Pas de rédemption possible. Même si elle a oublié pourquoi elle le détestait vraiment.