TW : divorce, crise existentielle, pression familiale, anxiété
âge & naissance : ( thirty-five years old ) célébrés le quatorze Février dernier. Enfant de la St-Valentin, transformant à jamais les plans romantiques de ses parents pour cette fête qui se veut celle des amoureux, troquant les roses et les dîners à la lueur d’une chandelle par les fêtes d’enfant et gâteau en forme de dinosaure. origines & nationalité : ( australian ) l’accent ne trompe pas, ni les mate placés par réflexe au bout des phrases – où le pot de Vegemite qu’il s’entête à cacher dans ses valises. Australien de naissance, malgré les innombrables étampes qui ornent son passeport, il ne troquerait la couverture pour rien au monde. Malgré sa fierté australienne, il n’ignore pas les origines anglaises et juives égyptiennes qu’il détient de ses grands-parents et arrière-grands-parents. finances et emploi : $$$$$, ( producer, freelance travel photographer ) revenus annuels qui oscillent selon les contrats, selon les occasions. Aussi selon les voyages qui meublent son emploi du temps. Derrière la caméra, il est producteur d’une émission d’aventure et de voyages depuis plusieurs saisons sur une chaîne spécialisée australienne. Émission qui a eu des débuts sobres avant que les vues ne s’accumulent sur les réseaux sociaux en raison des péripéties parfois imprudentes de la tête d’affiche. Les habitués peuvent reconnaître Shane qui, bien qu’il ne soit pas à l’aise devant l’objectif, suit les aventures et se prête aux mêmes jeux que le reste de l’équipe. Il lui arrive aussi de vendre ses clichés de voyage à différents sites et magazines. statut civil : ( a whole mess, still married ) cette bague qu’il a enfilée sur un coup de tête, sur le coup d’une impulsion, d’une blessure à son orgueil. La distraction parfaite dans un moment de faiblesse. Cette union qui a pris tout le monde par surprise, peut-être lui compris. Aujourd’hui, ce mariage qui ne tient plus la route – l’avait-il déjà tenue, seulement ? Cette bague qu’il retire de son doigt et remet, parfois. Ne sachant pas quelle option est la moins absurde. orientation sexuelle : ( heterosexual ) sans l’ombre d’un doute, sans le besoin d’expérimenter auprès de la gente masculine pour confirmer son orientation sexuelle. Homme à femmes, ses parents ne lui laisseront jamais oublié qu’il s’était mis en tête de courir après toutes les filles de sa classe, à cinq ans, à tenter de les embrasser. Anecdote qu’on ne peut s’empêcher de ramener au sein de la famille, à chaque fois qu’il doit les informer que sa dernière fréquentation s’est finalement terminée. situation familiale : ( a son and a brother ) Il est le troisième fils et le quatrième d’une fratrie de six enfants. D’abord, ses deux frères aînés, sa sœur aînée, lui, et finalement les deux petites sœurs. Coincé au milieu de tout ce monde, souvent oublié entre les frasques et crises d’adolescence des aînés et les besoins des plus jeunes. Pas nécessairement jaloux de l’attention et des attentes qui ont été mises sur ses frères de la part de leur père, mais pas non plus totalement comblé dans ce rôle du milieu à qui l’on répète qu’il est assez vieux pour se divertir seul, à qui on fait des promesses brisées pour la fièvre de la plus jeune ou pour aller chercher l’aînée qui a trop bu pour rentrer en voiture seule. signe astrologique : ( aquarius ) Signe qu’il ne connaît que parce que sa sœur la plus jeune adore l’astrologie et qu’elle a dû lui répéter à des centaines de reprise son signe solaire et tous les autres. Elle a abandonné le projet et considèere qu’il retienne qu’il est verseau comme une victoire. Elle lui a déjà dit que son signe symbolise la liberté et l’indépendance. C’est suite à ça qu’il l’a retenu. le pire tue-l'amour : ( fakers ) Sentir que sa partenaire exagère ses gémissements et réactions. Ultimement, il comprend que c’est peut-être par nécessité et se sent mal de se dire qu’elle a pu avoir pris l’habitude de faire semblant pour faire croire à un empoté qu’elle y prenait plaisir aussi, mais il n’oubliera jamais cette fille qui se tortillait à gémissait à en réveiller les voisins alors … qu’il ne l’avait pas encore touchée. un fantasme : ( good vibrations ) Un de ces jouets qui est contrôlé par une télécommande. Avoir cette petite manette dans sa poche et s’amuser à la surprendre. Un endroit complètement inapproprié; Noël chez la famille ou le mariage d’un cousin ou d’une vieille connaissance de la fac. Un jeu qui requiert certainement une complicité, un brin de folie et le goût du défi. Peut-être qu’il se dit qu’il n’a jamais eu de copine qui serait assez joueuse pour cela, peut-être qu’au fond, il a toujours eu une seule personne en tête pour un jeu comme celui-là… à Brisbane depuis : ( 18 years old - kinda ) Il a quitté sa ville natale, Stanthorpe, pour s’installer à Brisbane pour ses études universitaires. Depuis sa graduation, il a quitté souvent. Ne tenant pas à place, il quitte des semaines, parfois des mois. Parfois pour le travail, parfois pour ses propres aventures. Son appartement parfois vacant, parfois sous-loué. Toujours un pied à terre à Brisbane. Malgré sa dernière absence qui s’est éternisée bien plus longtemps qu’à l’habitude. traits de caractère : indécis, volage, charmeur, aventurier, curieux, fougueux, impulsif, irréfléchi, orgueilleux, loyal, (hyper)actif, charismatique, taquin, protecteur. avatar : oliver jackson-cohen (english, egyptian jewish).

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romantisme (40%)	level de drague (80%)
engagement (60%)	passion (80%)
performance au lit (90%)	fidélité (70%)
nombre de cœurs brisés (70%)	recherche de l'amour (50%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Être perdu et rempli de contradictions. Il pourrait jurer être en constante recherche de l’amour. Du vrai, celui avec le grand « A ». Pourtant, il ne s’engage jamais vraiment, ne fait jamais vraiment d’efforts – une fois que la proie a été conquise, certes. Il préfère le jeu de séduction aux rencontres de parents après quelques mois de fréquentation. Il butine et ne fait pas de promesses, ou du moins ne le fait pas par exprès. Et quand il laisse un goût amer et une autre déception derrière lui, il ne réalise pas tout à fait que c’est de sa faute. Lui et son sourire trop charmeur, lui qu’on espérait pouvoir changer et garder un peu plus longtemps à nos côtés.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Il dirait que c’est toutes ces fois ou il avait eu trop d’attentes et de pression. Ou on essayait de le retenir, qu’on disait aimer son côté aventureux, sa soif de découvrir de nouveaux horizons et puis que ça perdait rapidement de son charme et qu’on lui reprochait de ne pouvoir rester en place, de ne pouvoir s’engager dans une relation, de vouloir bâtir plutôt que de fuir sur le premier vol dès que la mention d’un « nous » devenait monnaie courante dans les plans et discussions. Mais avec le recul, Shane sait que ce n’est pas ça. Que c’est plutôt cette relation qu’il s’est acharné à démentir, à nier toute autre amour que simplement platonique. C’est Solana, le seul centre de son univers qui puisse le ramener au bercail, inévitablement. Le seul appel assez fort pour le tirer de n’importe quelle aventure.

( the outcast ) Il a toujours eu l’impression de ne pas tout à fait faire partie à part entière de sa famille. Il sait qu’il est aimé, évidemment, mais il est un peu différent. Il le sait, tout le monde le sait. C’est celui qui va dans les directions opposées. Politique, religion, ambitions (ou manque de), … Le mouton noir qui détonne du lot. Si ce n’était de la frappante ressemblance physique entre son père et lui, on pourrait facilement croire qu’il a été adopté. S’il les aime et qu’il ferait (presque) tout pour ses frères et sœurs, il sait qu’une part de son besoin d’évasion est parce que cet amour et entente repose sur une fragile équilibre – c’est-à-dire ne pas passer trop de temps avec eux. Sans quoi les tensions et différences refont surface. ( the search ) Âme perdue, vagabonde. Une famille où tous ont suivi avec fierté le parcours du patriarche, se battant pour son attention, son approbation. Il s’est laisse entrainer aussi, Shane. Au début, pas très longtemps. Il s’est inscrit à l’université dans des études de droit, comme ses aînés. Comme on attendait de lui, espérant que l’enfant tête à l’air et distrait qui ne tient pas en place trouve finalement son chemin. Études qui n’auront duré bien longtemps avant qu’il ne change de cursus – brillant davantage par son absentéisme en classe que par son potentiel. Une année sabbatique d’université et, surtout, son premier périple hors du pays pour seul compagnon son sac à dos et un billet allé simple. ( the need ) Le besoin de se découvrir, d’être, de se démarquer. De trouver sa propre identité dans une famille où il se sentait incompris. Attiré par la nouveauté, l’aventure et les nouvelles expériences. Il a fait de l’escalade, de la moto, sauté en parachute. Ajouté toutes sortes d’étampes à son passeport, goûté à des mets aussi exotiques qu’à la salubrité douteuse. Enchaînant les lubies et les hobbies, toujours soudainement passionné d’une nouvelle chose. Toujours instable, volage. Prêt à ce que son attention soit captivée par la nouveauté. De même pour les femmes à son bras, rarement la même plus de quelques mois – tout au plus. Et s’il hausse les épaules et réplique qu’il a une curiosité et une soif d’aventure tout simplement insatiable, en réalité lui-même s’inquiète. Lui-même se demande pourquoi il ne se sent jamais tout à fait heureux, complet, ou accompli. ( the “friend” ) Solana. Sa seule constance. Comme le Nord sur sa boussole, lui c’est Solana qui le guide à la maison. Dans une vie mouvementée et parfois chaotique, elle est son point de repère, son phare. Et quand il est sur un vol de retour et qu’il se dit qu’il a hâte d’être à la maison, c’est peut-être son visage qui lui vient en tête. Jamais plus que des amis, qu’il arrive à son convaincre pendant aussi longtemps que possible. Il aurait pu y avoir plus, il a voulu qu’il y ait plus. Cette première soirée, cette fête où ils se sont connus. Puis, ils se sont recroisés et il ne pouvait pas se convaincre de l’inviter à sortir. Parce qu’il était trop bien, trop lui, trop encré à ses côtés. Ses relations ne duraient jamais, et, cette fille-là, il savait qu’il ne pourrait plus s’en passer, quittes à être des amis. Des bons amis. ( the fight ) Dans les dernières années, il a été plus à l’étranger. Se contentant de faire des aller-retours rapides lors d’occasions spéciales, parfois sans même annoncer son retour, avant de repartir de plus belle. Il le niera, mais ce besoin plus présent que jamais de s’exiler coïncide avec la dernière relation sérieuse de Sol. Et quand il a appris que son père était décédé, ils se sont parlé. Et il aurait voulu que ça ne soit pas comme avant. Mais c’est eux, c’est Sol et Shane. Ça coulait et ça lui a fait ce bien fou, cette envie de revenir, mais il ne connaissait plus sa place. Pas quand cette relation perdurait, pas quand il serait celui de trop. Alors, il n’est pas revenu. Pas avant que, des mois plus tard, il apprenne que Sol était célibataire. Il est revenu, un billet simple. Sans départ à l’horizon, incapable d’avouer ce qu’il venait chercher, ce qu’il espérait. Une dispute, des années de non-dits, la distance des dernières années. Il est reparti aussitôt, ne trouvant plus à Brisbane l’impression d’y être à la maison, pas quand Sol ne désirait pas sa présence. ( the mess ) Rachel. Rachel et ses longs membres élancés et élégants. Rachel et sa chevelure blonde et ondulée. La distraction parfaite dont il avait besoin. Rencontrée lors d’un périple en Thaïlande. Plus impulsive que lui, c’était son idée à elle de se marier. Ils ne se connaissaient que depuis quelques mois et il a accepté. Conscient que la femme devant lui était tout le contraire de celle qu’il fuyait. C’était sûrement puéril et complètement injuste de dire oui, de se lier à elle. Pour le meilleur et pour le pire. Peut-être que dans un autre univers ils auraient fonctionné, qu’il l’aurait aimée. Ils fonctionnaient parce qu’ils étaient en voyage, une version d’eux-mêmes qui n’existent qu’en dehors de la réalité, de la routine. Les disputes ont débuté rapidement. Les tensions et les pleurs. Et il s’accroche à ce mariage, parce qu’il ne peut pas faire autrement. Parce qu’il a franchi le cap de la mi-trentaine, qu’il n’est plus un gamin et qu’il se sent ridicule. Qu’il ne trouvera probablement jamais ce qu’il semble chercher depuis toujours et que tout le monde juge ce mariage précipité. Un divorce ne serait qu’un échec de plus, qu’un embarrassement de plus. D’un commun accord, ils se donnent du temps et il est venu seul à Brisbane. Se promettant naïvement que cette pause et cette distance leur permettrait de souffler et de se retrouver mieux.

( misc. ) rougit très facilement – ce qu’il déteste, bien que ça fasse souvent craquer les femmes –– Particulièrement doué aux jeux de pub comme le billard et les fléchettes. Il tentera sûrement de vous faire un pari sur une partie en faignant ne pas trop savoir jouer. –– Son love langage c’est être chiant, moqueur et taquin. Il mettra ça sur le dos de ses grand-frères et le tough love avec lequel il a grandi. –– Toujours à cause de sa famille, il lui est presque impossible de refuser quand on le met au défi. Peu importe la dangerosité ou la stupidité dudit défi. Il perd toute notion d’intelligence quand on le met au défi. –– Tout le monde est toujours étonné de voir à quel point il est ordonné. –– Il a une bibliothèque impressionnante, mais surtout composée de manuel sur diverses compétences ou hobby qu’il a tenté d’apprendre, puis a abandonné. –– Grâce à Solana, il a un vocabulaire intermédiaire en espagnol. Et une tolérance Presque impressionnante pour la nourriture épicée, toujours selon Sol.

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