TW : drogue, overdose, mort, deuil, aggression sexuelle
âge & naissance : 10 juin 1995. Vingt-huit ans, bientôt vingt-neuf. Tu t’approches doucement de la trentaine, et c’est le coeur lourd que tu te rends compte que tu as encore tant de chose à reconstruire et à stabiliser. Le temps qui passe ne t’avait jamais fait peur avant, éternelle anticonformiste, mais le monde va trop vite, trop loin, et sans toi. origines & nationalité : Père australien et mère espagnole qui t’a donnée ses cheveux foncés et ses traits marqués. Née sur le sol australien, tu as donc la nationalité de ton pays de naissance, même si ton coeur se trouve dans chaque pays dans lequel tu as vécu et construit ta réalité et tes idéaux.  finances et emploi : $$$$$, méli-mélo chaotique et enivrant. Destinée à changer le monde, à ta manière, tu avais commencé avec des études avant de te rendre compte que la vie conformiste t’aurait étouffée et broyée. Artiste dans l’âme et dans l’action, tu touches à toutes les possibilités : illustration, collage et peinture, sculpture, linogravure, photographie. Ton coeur aventurier a aussi eu envie de donner un peu de toi aux autres en filmant ta vie, ton travail, tes questionnements. A côté de ton travail artistique, tu as une chaîne youtube où tu parles d’art, de lifestyle, de ta vie. Créatrice de contenus, c’est ce qui paie majoritairement tes factures et te permet de tester des choses en te créant une communauté fidèle et inspirante. statut civil : En couple depuis peu avec ton amour de lycée. Une romance qui te fait rougir les joues, qui te redonne un peu d’espoir en l’amour et en la vie. Elle t’inspire Dora, elle te donne des papillons dans le ventre comme elle le faisait quand vous étiez adolescente. T’as des fois l’impression que c’est trop beau pour être vrai de l’avoir retrouvée à ce moment si charnière de ta vie, avec tout ce que tu as pu vivre.orientation sexuelle : Farouchement homosexuelle et revendiquée dans ton art et tes vidéos. Une grande partie de toi vit pour aimer les femmes : en tant qu’amoureuses, qu’amies, que modèles à suivre. Cette impression détonante d’une grande sororité qui te fait vivre.  situation familiale : Ta relation à ta famille est compliquée. Ton esprit libre a beaucoup été calquée de celui de ta mère, femme passionnée et brillante repartie en Espagne après le divorce des Butler. Deux filles bien différentes restées alors avec leur père. T'as toujours été choyée et aimée, cela ne fait aucun doute que ta situation familiale a été privilégiée. Cependant, ton caractère à vivre les choses -les drames surtout- en solitaire t'a poussée à t'éloigner de ton père et de ta soeur. Partie sur un coup de tête à l'aventure, tu donnais que trop rarement des nouvelles à tes proches. Deuil à traverser, raison de vivre à trouver, tu pensais qu'ils ne te comprendraient pas comme tu en avais besoin. Alors t'as disparu de leur paysage pendant des années, donnant des nouvelles par cartes postales ou coups de téléphone quand tu en ressentais le besoin. Tu sais que t'as loupé beaucoup de choses les concernant et qu'un fossé s'est créé, surtout avec ta petite soeur Billie. Si tu en avais besoin sur le coup, une grande partie de toi regrette la fuite. De retour à Brisbane pour une vie plus stable, tu es prête à donner du tien pour (re)créer des liens avec les tiens. signe astrologique : ☉ gémeaux - ☾ sagittaire - ↑ poisson le pire tue-l'amour : Le manque de respect. Les gens que tu aimes, tu les hisses sur un pied d’estale, au sommet de ton monde. Tu leur donnes tout ce que tu as, parfois trop, mais tu attends de même en retour. un fantasme : Ce n'est pas un fantasme à réaliser dans l'absolu, mais si un jour tu as l'occasion, tu aimerais tester le polyamour. L'idée d'aimer plusieurs personnes et de faire cohabiter ces relations te parait un beau signe de liberté et de découverte.à Brisbane depuis : Ta naissance, avant de partie en études à Melbourne et de finalement les abandonner pour voyager en Asie puis en Europe, et surtout en Espagne, retrouver tes racines. Tu es revenue à Brisbane depuis quelques mois maintenant, de façon stable. Cela te fait encore bizarre de reconstruire une vie plus conforme aux attentes de la société.  traits de caractère : Femme libre et peu conventionnelle, tu respires au quotidien pour l'art et la découverte. Un peu -trop- dans ton monde, t'as cette facheuse tendance à beaucoup penser aux autres dans leur généralité (par militantisme ou en créant des connexions plus communautaire) et un peu moins dans leurs individualités. Tu as du mal à t'accrocher aux autres, mais tu adores les rencontrer, les avoir autour de toi. T'as juste toujours l'impression que tu ne seras jamais réellement comprise, toujours trop à l'écart. Passionnée de la vie, de l'art, des relations humaines, t'es une femme solaire, souriante et extravertie qui se lie facilement aux autres et qui ne supporte pas la solitude. Persuadée que chaque instant peut être significatif, tu penses assez peu à l'avenir, plus au moment présent. Assez peu responsable et terre-à-terre, tu sais que ça peut en agaçait certain, mais tu as passé l'âge d'avoir des comptes à rendre aux autres. Caractère aussi doux et chaleureux, tu peux autant être un esprit appaisant qu'un esprit aventureux et excentrique. A l'écoute des autres mais égoïste, tu vis de paradoxes. Créative et curieuse, tu te nourris de tout ce que tu vois. Très secrète cependant, tu parles rarement des moments durs et ne vois pas le mal à tout gérer toute seule. Tu portes en toi beaucoup de valeurs, que tu exprimes autant dans ton art que dans des manifestations ou autres actes militants. avatar : Blanca Padilla (espagnole)

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romantisme (60%)	level de drague (60%)
engagement (50%)	passion (100%)
performance au lit (80%)	fidélité (100%)
nombre de cœurs brisés (40%)	recherche de l'amour (0%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Tu es très attachée aux relations humaines. Leurs complexités te font battre le coeur, et t'inspirent énormément dans ta vie quotidienne et ton art. L'amour te fascine, pour sûr, même si c'est quelque chose qui te fait peur. Car quand tu aimes, tu le fais à cent pour cent, sans retenu, sans superficialité. Tu le fais comme si tu pouvais mourir demain, car tu sais que c'est possible. Le grand amour, c'est quelque chose qui t'emporte, rajoute un plus à ton quotidien et ton bien-être. Ce n'est pas spécialement quelque chose que tu recherches, plutôt le contraire même. Et pourtant, ça t'est tombé dessus quand tu as revu Dora, ton amour du lycée. L'impression de devoir tout rapprendre sur le couple, la stabilité, l'amour, comme vous avez pu le découvrir il y a dix ans de ça.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Les relations amoureuses, tu en as connu plusieurs. Plutôt volage et libérée lors de tes années de voyage, l'engagement et la stabilité n'étaient pas tes morts d'ordre. Les déceptions, c'est donc souvent toi qui en étais l'autrice. Ton histoire la plus intense et passionnelle, l'une des rares fois où tu as vraiment aimé, s'est soldée par la mort de cette personne. Rien ne peut être plus déceptif que quand tout s'arrête d'un coup, qu'il n'y a plus de lendemains possibles et encore pour de retour en arrière. Déception car aveuglée par la jeunesse et l'amour, tu n'as pas compris les signaux. Débutante dans ta vie, tu ne savais pas qu'un couple ça pouvait engendrer une aussi grande responsabilité. Un adieu brutal et traumatisant, qui a fait que tu as souvent laisser de côté l'amour pour te concentrer sur le plaisir.

(famille butler) Dans un autre monde, vous auriez tout eu d'une famille parfaite et soudée malgré les affres de la vie. Une mère passionnée et forte de ses opinions, un père attentif et au grand coeur. Un duo gagnant. S'enchaîne pourtant le divorce, le départ de la mère pour son pays qu'est l'Espagne, ton départ pour l'Université à Melbourne. Il ne restera que ton père et Billie à Brisbane, et avec le temps, tu disparaîtras un peu plus encore. Des liens qui s'effilochent, se perdent, s'effacent. Ton besoin de liberté t'a coupée d'une véritable relation avec ta famille, ce que tu regrettes un peu, surtout pour Billie. Elle avait besoin de toi à plusieurs moments difficiles, et tu n'as jamais répondu présente, trop obnubilée par ta propre vie. Ce qu'il reste, c'est l'espoir des liens à reconstruire. (homosexualité) D'aussi loin que tu t'en souviennes, ton homosexualité n'a jamais été une surprise. Tu avais du mal à te lier aux autres, et si c'était le cas, ce n'était qu'avec des filles. Elles te fascinaient, te passionnaient, t'inspiraient. Tu as bien vite compris qu'autour de toi, il n'y aurait que très peu d'hommes. Un sens de la sororité qui a animé beaucoup de passion et de valeurs. Un coming out étrangement facile, car tu n'as jamais pensé que l'avis des autres pouvait exercer un quelconque pouvoir sur ta vie. Depuis l'adolescence, tu n'agis et ne résonnes que pour toi. Peu importe les autres, tant que tu es toi-même. Un mantra que tu gardes encore en toi adulte. (militantisme) La beauté de la vie est vite devenu paradoxale avec l'horreur du monde. Plus tu t'informais, plus tout te paraissait perdu d'avance, et plus tu redoublais d'espoir. Une seule ambition alors : changer le monde, au moins un peu. Ne pas être sur cette terre pour ne servir à rien et n'aider personne. Tes valeurs se construisent au fil de tes rencontres, de tes lectures, de tes actes militants (collages, manifestations ...). Se créait autour de toi une bulle à protéger, une flamme qui te fait avancer. Dans cette vision, tu pars pour Melbourne pour suivre des études supérieures en sciences politiques. Malgré les épreuves vécues, et les aventures lointaines, tu n'as jamais oublié le socle de tes valeurs. (lana) C'est à l'université que tu rencontres Lana. Elle fait partie d'une association féministe sur le campus auquel tu adhères rapidement. Vous vous liez immédiatement. Moins douce que toi, elle est forte et déterminée, grande gueule, supporte mal l'autorité. Elle croit en l'intelligence collective et en l'être humain. Des discussions passionnées s'engagent entre vous, ainsi qu'une attirance qui se concrétisera seulement quelques semaines après votre rencontre. Elle est rayonnante comme toi Lana, elle veut changer la face du monde comme toi. Tu tombes amoureuse et tout est si facile. Main dans la main sur le campus, ensemble à l'animation de réunions féministes, vous ne vous quittez plus. Tes yeux sont emplis d'amour et avec ça, aveugles. Lana elle était parfaite à tes yeux, mais elle cachait un problème : la drogue. Addicte, que tu ne l'as appris que trop tardivement, quand elle a été retrouvée morte d'une overdose. Incompréhension. Comment tout ton avenir pouvait s'éclipser comme ça ? Comment la femme que tu aimais de tout ton être pouvait disparaître du jour au lendemain ? Comment as-tu pu être aussi idiote pour ne pas te rendre compte que quelque chose n'allait pas ? Tu as redécouvert l'horreur du monde avec sa mort. (la fuite) Impossible de faire face à la réalité, impossible de rester à Melbourne comme si de rien n'était, comme si tu ne venais pas de perdre la femme que tu aimais et tous tes projets d'avenir. Alors tu es partie. T'as lâché tes études -à quoi bon de toute façon-, ignoré toutes tes amies, et t'as visité les villes les plus éloignées de là où tu étais. Appels et messages ignorés, tu n'avais plus la force mentale de penser à quoi que ce soit. Ta survie dépendait de ce temps off que tu pouvais t'accorder. Puis ce temps off c'est devenu ton quotidien, et petit à petit ta vie s'est construite d'une autre façon. Ayant fait le tour de l'Australie, t'as quitté le pays pour l'Asie de l'est, puis de l'ouest avant de finir en Europe. Ce périple a duré plusieurs années. T'es devenue une autre personne, t'as fait des rencontres inoubliables, vu des cultures différentes. Tu t'es imprégnée de tout ce qui t'entourait pour faire ton deuil, survivre à la perte. T'as fait de cette fuite ta nouvelle vie, ta nouvelle stabilité. (l'art) En plus du voyage, ce qui t'a maintenu sur les rails c'est l'art. Créative depuis toujours, tu t'es rendue compte que l'art pourrait soulager ton mal-être, tes blessures, tes doutes. L'art pouvait tout soigner, même le pire. Illustration, peinture, collage, dessin, sculpture, linogravure, photographie et toutes autres techniques qui te permet de sortir de ton monde, de voir les choses sous un autre angle. T'as fait de ce besoin un métier. Tant bien que mal, tu vis de ton art, alliant ce que tu réalises à la vidéo. Besoin de retracer ton chemin, d'enfermer tes souvenirs quelque part pour ne rien oublier. T'as lancé ta chaîne youtube et ton compte instagram autour du voyage, de ta vie au quotidien, ton art, tes expériences. T'as réuni tout ce qui était toi dans ces vidéos. C'est surtout de ta chaîne que tu vis aujourd'hui. (l'agression sexuelle) Espagne, pays de ta mère, racines à découvrir. Ce fut ton dernier voyage, avant un nouveau drame, un nouveau traumatisme. Une agression sexuelle lors du vernissage d'une amie. Soirée arrosée, foule immense, homme menaçant. T'as pas eu le courage d'en parler à qui que ce soit sur place, t'as fait ce que tu sais faire de mieux : fuir. Alors t'es partie une semaine après, rejoindre Brisbane. Ton chez toi que tu n'avais quasi pas revu depuis ton départ de l'Australie. Déclic cruel d'un besoin de stabilité que tu as. (retour à brisbane) Fini de fuir, il te faut guérir. Pour cela, t'as eu besoin des tiens, de renouer avec eux, et de créer de nouvelles relations, des durables cette fois. Retour chez les Butler, puis déménagement en colocation quelque temps après. Redécouvrir la camaraderie australienne, et vite. Installation dans un studio d'artistes ensuite, pour avoir ton propre atelier et pouvoir plus expérimenter et te libérer dans ton art que jamais. Tu rejoins en parallèle un groupe de parole pour pouvoir parler de ton agression sans que ce vécu te définisse. Besoin d'être entourée de personnes qui te comprennent, au moins une fois dans ta vie. Tu ne seras jamais réellement conforme aux attentes de la société, mais à l'aube de tes trente-neuf ans, t'as besoin de voir un peu plus clair dans un lieu sûr. Cet endroit c'est Brisbane. Prête à tenter la folle aventure d'une vie presque normale. (dora) Et comme un mirage, Dora. Ses cheveux bruns, ses yeux perçants, ses traits que se sont affinés avec l'âge. Tu revois la Dora du lycée, celle que tu avais aimé d'un amour adolescent : c'était brut, beau, nouveau. Dora qui apparaît à ce moment si charnière de ta vie où tu te découvres un peu plus, comme écrit. Le sourire aux lèvres comme quand t'avais dix-huit ans, les papillons dans le ventre parce qu'elle te rappelle une période de ta vie où tout était plus simple. Elle te fait du bien Dora, c'est facile d'être toi avec elle. T'as envie de voir où tout cela vous mène, t'espères que tu ne feras pas foirer cette relation. (divers) Tu parles couramment espagnol, et tu as des notions de vietnamien, de thaïlandais et de français. ☆ Sur les conseils de Dora, tu as rejoint des cours de self defense depuis peu. ☆ Tu es végétarienne. ☆ Tu adores les grands rassemblements, les fêtes, les parades, les manifestations. Dès qu'il y a du mouvement et de la vie, tu te sens en sécurité. La solitude te terrifie. ☆ Très attachée à la notion de sororité, tu adores t'entourer de femmes aux parcours différents et pouvoir t'inspirer un peu d'elles. ☆ Tu ne fumes pas et ne bois pas. Depuis la mort de Lana, tu t'éloignes de tout ce qui pourrait se rapprocher d'une addiction. ☆ Tu adores cuisiner, et avec tes nombreux voyages, tu as une palette colorée de recettes et de saveurs. ☆ Tu ne sors jamais sans un sketchbook. ☆ Tu passes ton temps entre ton atelier et les cafés. ☆ Avant Dora, tu as enchaîné les relations non-sérieuses et non-exclusives. Ne sachant jamais quand tu partirais de tel pays, tu n'as jamais voulu de relations sérieuses. De ça tu retiens deux choses : tu adores flirter et plaire, et tu ne sais plus comment on fait pour être en couple. ☆

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