Friday, I'm in love (w/--ari)

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 Friday, I'm in love (w/--ari)


Billie Butler
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Billie Butler
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pseudo : earithralia ✺
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pronom irl : Elle/she
multicomptes : Ruth Aslan (M. Pamuk) + Stella Rosales (B. Vargas) + Juliet Chapman (Tessa Thompson)
à contacter : Stella Rosales
présence : PRÉSENTE
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âge : à seulement (vingt-six ans) son existence consumée laisse entrevoir un ciel déchiré par les erreurs du temps.
statut civil : Solitaire, son cœur vide danse seul dans les ombres de ses addictions, incapable d'aimer et de se laisser emporter par les flots de l'affection. Le (célibat) comme seul allié.
occupation : Elle encaisse les billets, les rêves des autres, alors que ses propres aspirations de danseuse étoile restent en suspens, inassouvies, attendant leur moment sur la scène de sa vie. Elle est guichetière au Palace James St Cinemas
adresse : #88 South Bank et West end, en colocation avec Wes.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : addiction, FIV, divorce, relations toxique
infos rp : Écriture : 2ème personne
Longueur : ~ 600/800 mots
Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.

disponibilités : SUJETS EN COURS --
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· Lun 19 Fév - 22:13

Friday, I'm in love.

@Ari Rider & @Billie Butler
Le réveil est difficile. Tu as la tête lourde et la sensation de plomb dans tout le corps. La lumière du jour te fait cligner des yeux. Et comme si cela ne suffisait pas Wes, ton nouveau colocataire est rentré à une heure indue, claquant les portes et faisant vibrer les murs de l'appartement comme s'il était seul. Tu le détestes. Sa simple présence dans l'appartement est comme un nuage noir planant au-dessus de ta tête. Il ne fait aucun effort pour être discret. Tu t'étais imaginé que ce nouveau départ serait une bouffée d'air frais. Au lieu de ça, tu survis à cet colocation en attendant de trouver mieux. Sans compter que ça va faire presque trois mois maintenant que tu tiens bon, trois mois sans toucher à cette satanée drogue qui a failli te détruire. C'est pas facile tous les jours, mais tu te bats comme une lionne. En attendant, tu te forces à sortir du lit, luttant contre l'envie de t'enrouler encore dans ta couette comme une chrysalide récalcitrante. Mais Ari t'attend. Le beau Ari. Ah, Ari…  rien que de prononcer son nom ça fait naître un sourire timide sur tes lèvres.  tu te réjouis secrètement de le croiser ce beau gosse aux fossettes irrésistibles et au sourire charmeur. Il a ce je-ne-sais-quoi qui attire irrésistiblement ton regard. C'est un peu devenu ton nouveau leitmotiv pour affronter tes journée aussi attrayante qu'un menu sans dessert. Tu te mets presque à rosir enchanté par la seule idée que tu vas le croiser de nouveau. Tu jettes un coup d'œil furtif au réveil et tu te rends compte que tu as suffisamment traîné. Si tu continues comme ça, tu vas être en retard pour le boulot et ils vont te virer. Tu ne peux pas te permettre de perdre ce travail, pas après tout ce que tu as traversé pour l'obtenir. Tu as un emploi à conserver, une vie à reconstruire. Avec un soupir résigné, tu finis par te lever. Enfin. T’enchaînes les gestes machinalement, comme si ton corps était encore engourdi par la nuit. Tu enfiles un jean et un t-shirt, pas vraiment motivée pour choisir une tenue qui en jette et pas non plus le temps pour ça, de toute façon tu devras porter ta tenue de travail, alors à quoi bon se casser la tête. Tu te coifferas dans le bus. Tu sors de chez toi et tu te mets en route vers le cinéma. La rue est déjà animée, les gens pressés se bousculent, Tu te fonds dans la masse d’un pas précipité pour rejoindre ton arrêt. Autrefois, tu avais de grands rêves, tu pensais finir danseuse étoile mais la vie en a décidé autrement. Et pour l'instant, tu dois te contenter de ce que tu as. C’est juste un boulot alimentaire, mais c'est un bon moyen de gagner ta vie honnêtement. Tandis que tu te calles au fond du bus, les écouteurs enfoncés dans tes oreilles, tu te laisses emporter par la musique qui t'isole du brouhaha de la ville. Les vibrations familières du véhicule te bercent doucement alors que tu observes distraitement les rues qui défilent sous tes yeux. Après plusieurs minutes de transport, tu te redresses légèrement sur ton siège lorsque tu vois le cinéma se profiler devant toi. Tu rejoins aussitôt la porte arrière du bâtiment, pressée de commencer ta journée de travail. Tu te frayes un chemin à travers les quelques employés qui fument une cigarette à l'extérieur et tu pénètres dans le bâtiment. Tu te diriges directement vers les vestiaires ou tu te changes rapidement. Alors que tu finis d’attacher tes lacets et d’ajuster ta chemise, tu l'entends. Sa voix, familière et chaleureuse, résonne. Il est là Ari. Tu essayes de rassembler tes pensées, de rester calme et professionnelle. Tellement toi, n’est-ce-pas ?  « Eh bien le bonjour mon rayon de soleil ! » lances-tu, d'un voix teintée de coquetterie. Tu te mords légèrement la lèvre, consciente que tu flirte un peu trop ouvertement. Ce genre de taquinerie peut être risquée, mais tu ne peux pas t'empêcher de jouer avec le feu, surtout quand il s'agit de ce nouveau collègue. « Tu veux encore que je te remplace tout à l’heure pour aller chercher ta fille ? J’ai rien à faire après. »  Rester au boulot est ton salut. Ça t’empêche de penser à autre chose. Et si en plus tu peux lui rendre service, alors c'est un double avantage.


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Ari Rider
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âge : la trentaine récemment atteinte, bien qu'on puisse souvent avoir l'impression qu'il a oublié de grandir.
statut civil : célibataire depuis plusieurs années désormais, hanté par quelques regrets, malheureusement.
occupation : employé depuis le début de l'année comme guichetier au Palace James St Cinemas.
adresse : il habite avec sa fille et son chien dans un appartement, quartier south bank & west end, deux chambres, un salon ouvert sur la cuisine et un petit balcon.
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pronom perso : il
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· Mer 28 Fév - 21:20

Friday, I'm in love.

@Ari Rider & @Billie Butler
Routine matinale. Se lever, préparer le petit déjeuner, réveiller Joy, la préparer, se préparer. Départ pour l’école, déposer Joy, promener Rio. Ramener Rio à l’appartement et puis partir pour le cinéma. Tout était calibré plutôt correctement. Ça fonctionnait. Il y avait bien sûr des petits couacs, de temps à autre. Qui pouvaient prendre différentes formes. Un réveil rebelle, un pipi de Rio découvert juste avant de partir, une Joy bougon qui n’aimait pas sa tenue du jour. Oui bien sûr, tout n’était pas parfait. Ari avait encore beaucoup à apprendre. Et la joyeuse troupe qu’ils étaient s’ajustait encore à leur nouvelle vie à trois, dans cette nouvelle ville. Nouvelle pour la petite fille, du moins. Brisbane était un territoire connu pour Ari. Parfois trop connu, sûrement. Beaucoup de souvenirs. Beaucoup de fantômes.

Son nouveau job au cinéma n’était pas l’emploi plus passionnant du monde. Mais ce n’était pas non plus le plus horrible de tous les emplois alimentaires qu’Ari avait testé au fil des années. Clairement, la paye pourrait être meilleure. Mais c’était le premier endroit qui avait accepté de l’employer lorsqu’il avait commencé à chercher pour revenir au bercail. Depuis l’arrivée de Joy dans sa vie, Ari avait fait une croix sur les jobs dans le monde de la nuit, trop compliqués à gérer avec un enfant. Avec le cinéma, il pouvait bien sûr arriver qu’il assure les shifts du soir mais il s’était arrangé pour que cela ne soit pas l’essentiel de son emploi du temps.

Le chiot déposé à l’appartement après sa promenade matinale, Ari avait pris la direction du cinéma. Un trajet en métro s’imposait pour rejoindre son lieu de travail. Ari préférait largement ce moyen de transport à la voiture qui rimait avec les interminables embouteillages de Brisbane le matin. Arrivé sur place, il fila vers les vestiaires pour enfiler sa tenue et salua quelques collègues dans le couloir lorsqu’une voix féminine l’interpella, alors qu’il passait devant le vestiaire des filles. Immédiatement, un sourire amusé se dessina sur ses lèvres et il se retourna pour faire face à la jeune femme. Billie. « A ce point-là ? » demanda-t-il. « Bonjour à toi aussi très chère. Comment vas-tu en cette belle journée ? » Il rentrait volontiers dans son jeu, apparemment. Sans trop y réfléchir. Ari ne connaissait pas Billie depuis longtemps mais le courant était bien passé entre jusqu’à présent. Ils étaient les deux petits nouveaux du mois de janvier. Il fallait se serrer les coudes, sûrement. Il continua son chemin dans le couloir, se dirigeant vers l’entrée du cinéma et les caisses, leur poste de travail à tous les deux. Il haussa les sourcils devant la proposition de Billie. « Oh non c’est gentil mais ma mère doit passer la récupérer. Je ne veux pas t’embêter. » Il était surpris par autant de gentillesse. « Et rien à faire ? J’y crois pas. » ajouta-t-il, taquin. Il ne connaissait rien de la vie de Billie, à vrai dire. Mais elle semblait plutôt sociable. N’avait-elle pas des amis à retrouver, un petit ami même, peut-être ? « On prend un café avant l’ouverture ? » Ari regarda sa montre. Ils avaient encore un peu de temps.


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· Dim 3 Mar - 22:39

Friday, I'm in love.

@Ari Rider & @Billie Butler
Tu n’es clairement pas la seule à en pincer pour Ari. Toutes les filles ici ont l’air de tomber pour ces beaux yeux. Tu ne peux pas vraiment leur en vouloir, c'est un jeune homme attentionné, un père dévoué, et il dégage une aura de gentillesse et de compassion qui ne laisse personne indifférent. Et puis son statut de père célibataire fait toujours son effet auprès de la gente féminine. Il y a quelque chose de profondément attirant dans le fait de le voir jongler avec ses différentes casquettes. Néanmoins, tu sais que de ton côté il faut y aller mollo. Tu apprécies sa compagnie, tu te délectes de vos interactions, mais tu sais qu'il est essentiel de te concentrer pour l’instant sur ta propre guérison. Alors, tu te contentes d'admirer Ari de loin, de le dragouiller de temps en temps pour flatter son ego et parce que ça t'amuse aussi de rentrer dans ce jeu de séduction subtil. Tu ne veux pas risquer de brûler les étapes. Et à ce stade de ta vie, tu serais probablement la pire chose qui pourrait lui arriver. Ça serait égoïste d’impliquer qui que ce soit dans ton train de vie actuelle alors que tu n’es toi-même pas fixée. Tu préfères pour l’instant être quelqu'un sur qui il peut compter. Ton quotidien est bouleversé d'incertitudes, de luttes et de tes désirs contradictoires. « Tu ne m’embêtes pas. » ajoutes-tu laissant échapper un petit clin d’œil malicieux. Il y a quelque chose de délicieusement interdit dans cette complicité taquine. Tu sais que tu ne franchiras pour l’instant pas la ligne mais ça ne t’empêche pas de flirter avec. Une mou faussement boudeuse s’installe sur tes lévres « Et pourtant si… » tu évites au maximum de sortir, de te retrouver en soirée ou dans des fêtes pour ne pas replonger. Tu es encore beaucoup trop vulnérable aux tentations, aux influences extérieures, et t’as peur que même une simple soirée innocente puisse dégénérer. Alors, tu fais de ton mieux pour éviter ces situations. Tu restes chez toi plutôt que de sortir avec tes amis. Ce n'est pas facile, surtout lorsque tu les vois s'amuser sans toi et profiter, mais c’est le prix à payer pour rester sur le bon chemin. « Va pour un café. » dis-tu prenant direction vers la cafet’ à l’entrée du cinéma. Une fois les commandes prises, tu t’installes à une table face à lui. Tu flirtes du regard, lui lançant quelques sourires aguicheurs, incapable de résister à l'envie de jouer avec lui. C'est plus fort que toi, cette attirance irrésistible pour le jeune père. « C’est cool que tu puisses compter sur ta maman… la mienne s’est barrée quand j’avais seize ans. » elle ne t’a pas totalement abandonné, elle a divorcé et t’a laissé le choix d’aller t’installer en Espagne avec elle, mais tu as tendance à déformer la réalité pour rendre ton histoire plus poignante. Tu n’as jamais réussi à te remettre de la séparation de tes parents et c’est un peu de là que viens tout ton mal être finalement….


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· Mar 5 Mar - 19:22

Friday, I'm in love.

@Ari Rider & @Billie Butler
Il y a quelques années de ça, avant Joy et avant une certaine Beatrice, Ari aurait saisi immédiatement le petit jeu qui était en train de s’installer entre Billie et lui. Une forme un peu déguisée et inoffensive de séduction. Dragueur invétéré, il serait rentré allègrement dans le jeu de la jeune femme. Mais une relation sérieuse de plusieurs années suivie de responsabilités parentales inattendues avaient un peu rouillé ce côté de la personnalité d’Ari. Ainsi, s’il rentrait un peu dans le jeu de la jolie blonde, ce n’était pas vraiment consciemment. C’était agréable, ces petits échanges de sourires, ces petits regards en coin. Mais Ari ne réfléchissait pas plus loin que l’instant présent dans son esprit. Il était loin d’imaginer que quoi que ce soit de concret puisse se passer avec Billie. La possibilité n’avait même pas effleurée son esprit. Ce dernier étant bien trop occupé pour l’instant par toute la logistique compliquée de sa vie. Et par une autre blonde, bien qu’il s’efforçait de ne pas trop y songer, à elle. Il avait un milliard de chats à fouetter, Ari. C’était donc simplement plaisant, ce petit jeu avec Billie. Inoffensif. Pas besoin de penser plus loin. La proposition de la jeune femme de le remplacer en fin d’après-midi pour qu’il puisse récupérer Joy surprit Ari. C’était gentil et il n’aurait jamais osé abuser de la gentillesse de Billie ainsi. Ils ne se connaissaient que depuis quelques semaines. Elle devait bien avoir mieux à faire, non ? Pourtant, elle lui affirma que non. Ari sourit une nouvelle fois, amusé devant la moue boudeuse de la jeune femme. Le moins qu’on pouvait dire, c’est qu’elle savait jouer de son charme, Billie. « Je pensais qu'à ton jeune âge on avait une vie sociale trépidante, les choses ont bien changé depuis que j'ai quitté la vingtaine. » Il la taquinait. Exagérait grandement. Jouait au daron alors qu'il ne devait pas être beaucoup plus âgé qu'elle, en vérité. Il lui proposa alors un café, envie de prolonger un peu ce moment agréable en sa compagnie. Ils s’installèrent avec leurs boissons l’un face à l’autre. Ari ne put s’empêcher de remarquer que Billie était souriante. Très souriante. Et très jolie, bien sûr. Lui aussi, souriait. Un peu moins lorsqu’elle reprit la parole, un air compatissant se dessinant alors sur son visage. « Oui c'est cool. Et désolé d’entendre ça… Les parents parfois, hein… Je compatis. Mon père s’est barré quand j’avais cinq ans. » Confession non prévue au programme mais qui s'était faite naturellement. Il haussa les épaules, buvant une gorgée de son café. « T’es née ici ? T’as des frères et sœur ? » Un parent dysfonctionnel mais peut-être une fratrie plus douce. « Pardon ça fait un peu interrogatoire. » dit-il aussitôt avec un petit rire, regardant toujours la jeune femme dans les yeux.


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· Mar 5 Mar - 23:02

Friday, I'm in love.

@Ari Rider & @Billie Butler

Ton rapport à la fête est complexe, obscur. Malsain. Depuis ta première incursion dans cet univers, tu n’as de cesses de t’y perdre. Dés que tu trouvais l’occasion de t’échapper de ta réalité, tu le faisais. Et à force, cette évasion est devenue une dépendance, une quête totalement désespérée de bonheur éphémère. Les drogues comme compagnes de route car elles te promettaient un soulagement momentané de tes tourments intérieurs. Tu te perdais dans les lueurs éblouissantes des boîtes de nuit. Et la plupart du temps tu terminais la soirée en oubliant qui tu étais. Cette évasion est devenue une prison dorée, t'emprisonnant dans un cycle de dépendance et d'autodestruction. Mais comme chaque matin, la réalité finissait par te rattraper, cruelle et impitoyable, puis rebelotte. Cette recherche constante d’évasion est devenue ta prison dorée, t'emprisonnant dans un cycle de dépendance et d'autodestruction. Tu as eu du mal à t’en défaire, incapable de rompre le lien malsain qui te liait à ces nuits sans fin. Et puis la soirée de trop comme un réveil brutal sur ta situation, un moment de lucidité où tu as fini par te rendre compte à quel point tu t'étais égarée. « Ah, les temps changent. On est plus modéré, nous ! » Il ne sait pas ce que tu as vécu dans le passé, il ne connaît pas tes nuits sans fin, tes excès et ta recherche frénétique de cette vie sociale ‘trépidante’ dans laquelle tu étais autrefois. Et peut-être que c'est cela qui rend le contact avec lui si facile, si naturel. Il ne porte pas de jugement, il ne sait rien de tes erreurs passées, et ça crée une quelque chose de léger. Tu cherches un peu à le déstabiliser. Tu te retrouves à lui parler de ta mère, alors que ce n'était pas du tout prévu non plus que tu en parles. Pourtant, les mots sortent naturellement de ta bouche. Il te révèle que lui aussi a été confronté à l'absence d'un parent. Son père est parti plus tôt que ta mère. Cinq ans, c'est jeune, trop jeune pour avoir à affronter l'abandon d'un parent. Un grognement s’échappe de ta bouche, tu pestes. « Pauvre bout de chou… » murmures-tu, une moue boudeuse sur les lèvres. Tu viens caresser doucement son épaule, comme pour lui offrir un réconfort silencieux, alors qu'un sourire radieux revient se dessiner sur tes lèvres. « En tout cas, t'as pas eu besoin de lui pour devenir ce que tu es. » murmures-tu avec tendresse. Puis viens la question sur les frères et soeurs. T'aurais voulu en avoir, ça aurait peut être amélioré ta situation. « Non je suis toute seule. Mes parents se sont séparés quand j’avais dix-sept ans, ils ont jugé que j’étais suffisamment grande pour ne pas être impactée. Mais ils n’ont jamais voulu avoir d’autres enfants. » bizarrement, ça te fais toujours aussi mal d’en parler. Presque dix ans après, ce divorce a laissé ses cicatrices. Tu te dévoiles. Il s’excuse de son intrusion. Il s'excuse de son intrusion, conscient de la sensibilité du sujet. « C’est rien, tu ne fais que poser des questions, ce n'est pas un interrogatoire. » lui assures-tu avec un sourire chaleureux, effaçant toute trace de tension. « Et puis je n’ai rien contre les interrogatoire si on me passe les menottes ensuite. » plaisantes-tu, tes yeux pétillants trahissent l'étincelle espiègle qui se cache derrière tes mots.


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· Mer 20 Mar - 21:47

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Ah, les temps changent. On est plus modéré, nous ! Ari pouffa devant cette réponse. Déjà, il en doutait grandement. Et puis il savait très bien que ces airs de vieux crouton prétendant que les choses avaient changé depuis son époque étaient totalement illégitimes. Une simple plaisanterie. Il avait quitté la vingtaine depuis... moins de six mois ? Il n'avait toujours pas trop enregistré cette information, à vrai dire. Mais en fait, Ari avait de toute manière l'impression d'avoir vieilli d'un seul coup, lorsqu'il avait découvert sa paternité. Bien plus que lorsqu'il avait troqué le chiffre deux pour le chiffre trois dans son âge. C'était surement normal. Brutalement, ses préoccupations n'avaient plus été les mêmes. Joy était au centre de toutes ses priorités. C'était le bien être de la petite fille avant tout, même avant son propre bonheur. Qui dépendait étroitement de celui de sa fille, en fait. "Permets moi d'en douter." dit-il, amusé. "Et puis tu crois que j'ai quel âge d'abord ?" ajouta-t-il, un air faussement offusqué sur le visage alors que c'était lui même qui était parti dans cette direction. Assis face à face, ce café fut l'occasion inattendue pour quelques confidences sur leurs vies privées respectives, Ari expliquant à la jeune femme l'absence de son propre père. En tout cas, t'as pas eu besoin de lui pour devenir ce que tu es. Il eut un petit sourire amer. Non, il n'avait pas eu besoin de son père et sa mère avait toujours été là pour lui. Il ne voulait pas d'un père lâche, capable d'abandonner deux enfants sans se retourner. Pourtant, Ari avait fini par découvrir qu'il avait eu un comportement similaire à celui de son géniteur, bien malgré lui. Depuis, il pensait parfois que la pomme ne tombait jamais loin de l'arbre, malheureusement. "C'est gentil, mais je suis loin d'être parfait." murmura-t-il alors doucement. Il écouta ensuite Billie répondre à sa question, hochant la tête. Etre seule et avoir des parents pas la hauteur, ce devait être encore plus difficile. Lui au moins avait sa soeur. Elle était la prunelle de ses yeux, avant l'arrivée de Joy dans sa vie - qui avait assurément volé la première place -. Conscient que ses questions étaient peut-être un peu intrusives malgré leur inclinaison apparemment mutuelle à se confier l'un à l'autre, Ari s'excusa de lui faire subir un interrogatoire. La réponse de Billie fut complètement inattendue. Il ouvrit de grands yeux, son visage affichant un air à mi-chemin entre la confusion et l'amusement. Wow, que répondre à ça ? Il était désarmé, là, ne s'attendant pas à une telle réplique. C'était carrément du rentre dedans, hein ? Non ? Si ? Purée il était vraiment trop rouillé. Finalement, après une seconde de silence un peu surpris, il éclata de rire. "Tu vois, tu m'as l'air d'avoir bel et bien une vie sociale trépidante, finalement." Jouer le ton de l'humour c'était probablement la manière la plus sure de répondre. Déjà, il doutait toujours qu'il s'agisse vraiment de drague de la part de la blonde. Peut-être qu'elle plaisantait ? Aveugle, Ari. Et puis de toute façon, même si ce n'était pas qu'une blague, il n'allait pas rentrer dans son jeu. Non pas que Billie ne soit pas à son goût. Il était tout simplement incapable à l'heure actuelle d'envisager sérieusement de draguer une fille. Son esprit était trop encombré par tous les changements récents dans sa vie. Son déménagement, recroiser Beatrice. Il allait surement lui falloir plus de temps. Du temps pour désencombrer. Du temps pour que son cerveau se taise. Du temps pour apaiser.


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Billie Butler
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âge : à seulement (vingt-six ans) son existence consumée laisse entrevoir un ciel déchiré par les erreurs du temps.
statut civil : Solitaire, son cœur vide danse seul dans les ombres de ses addictions, incapable d'aimer et de se laisser emporter par les flots de l'affection. Le (célibat) comme seul allié.
occupation : Elle encaisse les billets, les rêves des autres, alors que ses propres aspirations de danseuse étoile restent en suspens, inassouvies, attendant leur moment sur la scène de sa vie. Elle est guichetière au Palace James St Cinemas
adresse : #88 South Bank et West end, en colocation avec Wes.
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· Mer 10 Avr - 0:27

Friday, I'm in love.

@Ari Rider & @Billie Butler
NB : petit changement dans l’histoire de famille de Billie, elle a une grande sœur.

Une atmosphère teintée de badinage enveloppe le petit café où vous vous êtes installés, l'endroit n'est peut-être pas très chic, mais il a le mérite d'être pratique. Les bruits étouffés des clients et le murmure lointain des machines à café ajoutent une ambiance cosy à votre échange. « Dès l'instant où tu laisses entendre que tu as quitté la vingtaine, tu deviens vieux… » Trente et un, trente-deux, il ne doit pas être si âgé que ça. Tout au plus, trente-trois mais tu as bien envie de le taquiner lorsque d'un air faussement offusqué, il te demande quel âge tu lui attribues. Tu décides de jouer le jeu, un sourire espiègle ourlant tes lèvres alors que tu fais mine de réfléchir : « Je dirais Trente-trois ans ? » avant même qu’il ne puisse réagir tu reprends la parole « Non, ça ne colle pas…. Disons plutôt trente-quatre, t’as quelques cheveux blancs qui commence à pousser de ce côté…»  Tu agrémentes ta réponse d'un sourire taquin, mais le jeu se dissipe rapidement, laissant place à des confidences plus profondes qui émergent naturellement. Tu te délectes de sa pudeur, admirant la façon dont il esquive tes compliments avec une délicatesse presque désarmante. Tu taquines ses réserves avec une petite pointe d'audace pour t’amuser. La provocation est une seconde nature chez toi, bien que tu espères ne pas le faire fuir à la longue. Son commentaire te tire un rire léger. Il est à des années lumières de ce que tu combats en ce moment. Toi, ton mal être, tes difficultés quotidienne à essayer de rester sobre. Si tu t’embêtes à garder l’image d’une fille sure d’elle, la réalité en est tout autre. « Je te taquines… » lâche tu finalement comme pour apaiser l’atmosphère que tu viens de créer. Il ne faudrait pas le froisser. Tu vois bien qu’il ne se montre pas réceptif à tes remarques et ça te pousse à t’arrêter net de peur de basculer dans l’embarras. « Ne va pas t’imaginer des trucs, je suis une fille très sage. » déclares-tu avec un clin d'œil complice comme pour dissiper toute ambiguïté alors que de nouveau un petit rire s’échappe de tes lèvres venant trahir le contraste entre tes paroles et la réalité. Toi et Sage dans la même phrase ? Rien qu'à t'entendre prononcer ces mots, ça sonne comme une ironie terriblement fausse. Mais peut-être que maintenant, tu as de vraies raisons de le devenir. C'est quelque chose à laquelle tu ne veux plus échapper. T'as juré que tu ne mettrais plus les pieds dans un centre de désintoxication, que tu ferais tout pour rester sur le droit chemin. Trois mois, c'est rien pour beaucoup, mais pour toi, c'est un véritable miracle d'être toujours clean à ce stade.


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âge : la trentaine récemment atteinte, bien qu'on puisse souvent avoir l'impression qu'il a oublié de grandir.
statut civil : célibataire depuis plusieurs années désormais, hanté par quelques regrets, malheureusement.
occupation : employé depuis le début de l'année comme guichetier au Palace James St Cinemas.
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· Jeu 18 Avr - 19:14

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@Ari Rider & @Billie Butler
Il ne pouvait pas contredire Billie sur son commentaire, lui même ayant longtemps eu le même raisonnement, redouter les trente ans qui le mettraient immédiatement dans la catégorie "vieux". Pourtant, pour Ari le temps avait filé extrêmement vite. Ses vingt-cinq ans ne lui semblaient pas si lointains, même plutôt proches et c'était pourtant il y a déjà plus de cinq ans. Les dernières années avaient été mouvementées, certes. C'était un peu contradictoire mais même s'il n'avait plus rien à voir avec l'homme qu'il était il y a cinq ans, il avait parfois l'impression que c'était hier, la moitié de sa vingtaine. Un air outré se dessina sur son visage à l'écoute des paroles de Billie sur ses supposés cheveux blancs. "Quoi ?!" Il n'avait jamais remarqué ça, était-il passé à côté ? "Sérieux ?" Il sortit son téléphone de sa poche pour se regarder dans l'écran éteint, inquiet et tombant complètement dans le panneau. Team premier degré sur ce coup-là, Ari. L'ambiance passait d'un extrême à l'autre, entre taquineries et confidences plus intimes. C'était curieux mais pas désagréable. Plutôt l'inverse, même. Le jeune homme resta interdit devant la blague de Billie quelques secondes avant d'éclater sincèrement de rire. Elle était surprenante, cette fille. Et encore une fois, c'était curieux mais pas désagréable. Trop rouillé et trop perché pour être bien sûr de saisir le sous-jacent dans les comportements de sa collègue, Ari choisit de tout prendre à la rigolade. C'était plus sûr. Et au pire, si c'était réellement du flirt de la part de la blonde, il ne la remballait pas vraiment. Il n'y avait pas de mal dans leurs interactions. Encore une fois : pas désagréable. Il croisa le regard de la blonde avec un air malicieux lorsqu'elle déclara le taquiner. "C'est ça, ouais." renchérit-il en rigolant doucement. Il arqua un sourcil alors qu'elle se prétendait sage. "Bien sûr ! Je n'en doute pas. Moi aussi, je suis très sage mais c'est à cause de mon grand âge ça !" Il leva les yeux au ciel, toujours faussement outré, avant de terminer son café. Il regarda sa montre. "Arf, bientôt l'heure. Y a pas un nouveau film qui sort aujourd'hui, en plus ? On va se taper plein de monde." Leur job n'était pas extrêmement fatiguant mais il pouvait arriver de tomber sur des gens franchement désagréables, comme dans tous les métiers en contact avec de la clientèle. Il fallait être armé de patience, parfois.


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