nobody is perfect, i'm nobody (w/--wes)

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Billie Butler
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Billie Butler
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pseudo : earithralia ✺
id card : e. exposito + © fyeahlovethem
pronom irl : Elle/she
multicomptes : Ruth Aslan (M. Pamuk) + Stella Rosales (B. Vargas) + Juliet Chapman (Tessa Thompson)
à contacter : Stella Rosales
présence : PRÉSENTE
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âge : à seulement (vingt-six ans) son existence consumée laisse entrevoir un ciel déchiré par les erreurs du temps.
statut civil : Solitaire, son cœur vide danse seul dans les ombres de ses addictions, incapable d'aimer et de se laisser emporter par les flots de l'affection. Le (célibat) comme seul allié.
occupation : Elle encaisse les billets, les rêves des autres, alors que ses propres aspirations de danseuse étoile restent en suspens, inassouvies, attendant leur moment sur la scène de sa vie. Elle est guichetière au Palace James St Cinemas
adresse : #88 South Bank et West end, en colocation avec Wes.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : addiction, FIV, divorce, relations toxique
infos rp : Écriture : 2ème personne
Longueur : ~ 600/800 mots
Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.

disponibilités : SUJETS EN COURS --
ari :: wes :: kendall ::raven
SMS --
wes :: lenny :: raven

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· Mar 20 Fév - 18:13

nobody is perfect, i'm nobody

@Billie Butler & @Wes Edison
Les amis de nos amis ne sont-il pas censé devenir nos amis, selon le dicton ? C'est ainsi que tu as été présentée à Wesley, par le biais du meilleur ami de ton ami, Lenny. À ce moment-là, tu avais encore la conviction naïve que tout se passerait bien. Tu t’étais dit que s'il est proche de Lenny, il devrait être capable de t'accepter aussi et de t'intégrer sans trop de difficultés. Au départ, tu avais placé beaucoup d’espoir dans cette nouvelle colocation, persuadée que la relation entre toi et ton nouveau colocataire serait fluide et agréable. Mais à mesure que les jours sont passés, vos différences se sont révélées de plus en plus évidentes. Tu t'es vite rendue compte que son attitude détachée et désinvolte était en totale opposition avec toi. Tu as essayé de rationaliser et de trouver des compromis avec lui, mais rien n'a fonctionné pour l’instant. Au point, que tu te surprends parfois à fantasmer sur des moyens de te débarrasser de lui. Enfin techniquement c’est plus chez lui que chez toi.  Et c’est un service qu’il rend à son ami de t’accepter comme colocataire, mais depuis que t’es là, t’as l’impression qu’il fait tout pour t’énerver. Tu te demandes même s'il ne cherche pas délibérément à te pousser à bout pour tester tes limites et te faire craquer. Peut-être qu'il trouve une sorte de jouissance sadique à te faire sortir de tes gonds. Ça ne t’étonnerait pas, ça se voit qu’il est vilain. Grossier personnage ! Son attitude dédaigneuse commence clairement à t’agacer.

Tandis que tu rentres chez toi après une journée de dur labeur, ton esprit fatigué ne rêve que d’une chose : retrouver le confort de ton lit. Tes pas traînent lentement dans le couloir de ton immeuble, ton sac à main pesant sur ton épaule. Tu t'arrêtes devant la porte de ton appartement, Enfin à la maison ! Mais lorsque tu plonges la main dans ton sac à la recherche de tes clés, tu as un moment de panique. Elles ne sont pas là ! Tu te souviens alors qu’en partant ce matin tu n'as pas fermé puisque Wes sortait au même moment. Tu tentes de garder ton calme, compose son numéro avec impatience. Il te promet qu'il sera là en quinze minutes. Même Lenny et Livia qui auraient pu te dépanner, brillent par leur absences. Tu les maudis silencieusement à cet instant, assise dans le corridor sombre de votre immeuble. Les quinze minutes se transforment peu à peu en éternité. Ton supplice de tantale. Quinze minutes, hein ? Tu jettes un coup d’œil à ta montre et ça fait bien plus qu’un quart d’heure que tu attends. Une heure s'écoule, puis une autre. Tu es stupéfaite devant l'ampleur de son retard, il a intérêt à avoir une bonne excuse. Il le fait exprès pour te torturer, tu en es sûre. Ton impatience s’est transformée en exaspération. Tu le détestes. T’espères que sa mort sera aussi lente et douloureuse que l’attente qu’il te fait subir. Et quand il arrive enfin, tu le fusilles du regard avant de te redresser. « J’aurais pu mourir trois fois que tu ne servirais à rien ! » le bombardes-tu aussitôt. Tu le fixes d'un regard accusateur, tes yeux lançant des éclairs de colère. « Je ne t’aurais jamais fait ça, moi ! » t’aurais fait pire !


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-- Constantly, boy you played through my mind like a symphony. There's no way to describe what you do to me, you just do to me, what you do And it feels like I've been rescued.
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Wes Edison
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présence : présente
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âge : ( trente-quatre ans ) -- l'âge n'a pas d'importance. il a vécu plus de choses dans sa vie que d'autres personnes bien plus âgées. et pourtant, il embrasse cet esprit d'éternel adolescent, qui n'a pas été épargné par la vie.
statut civil : ( officiellement célibataire ) -- l'amour ça fait mal. ca brûle et ça broie le coeur. il est en miette, ce coeur qu'il n'a jamais reconstruit. armé de sa carapace il préfère jouer et se délecter de relations sans véritables engagements. c'est le résumé de celle qu'il vit actuellement, dans les bras de la douce derya, qui n'a eu de cesse de pardonner ses frasques et mensonges.
occupation : ( JRI - journaliste reporter d'images ) -- communément appelé caméraman, il arpente le monde et plus particulièrement les zones de danger et de guerre auprès de son binôme de toujours, harlan, pour la chaîne de télévision australienne, abc brisbane. passionné par son métier, il n'a pourtant pas été épargné par des images traumatisantes qui restent gravées dans un esprit plus totalement sain.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : il/he
trigger : viol et agression sexuelle, maltraitance animale, cannibalisme, pédophilie ...
warning : guerre, prise d'otage, tromperie, mensonge
disponibilités : disponible -- billie ; ruth ; derya ; meera
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· Sam 24 Fév - 17:31

nobody is perfect, i'm nobody

@Billie Butler & @Wes Edison
Wes n’était pas quelqu’un de difficile à vivre. Peu présent chez lui, gouverné par son travail, il n’y avait que peu de raison pour cette nouvelle colocation de ne pas marcher. Et pourtant. Tout partait absolument dans tous les sens et Wes se maudissait d’avoir accepté la venue de cette gamine hystérique dans son havre de paix. Ou peut-être sa garçonnière. Cela faisait un moment qu’il n’avait plus vécu avec qui que ce soit. A la fac sûrement. Peut-être était-il vraiment devenu invivable ? Après tout, il laissait ses affaires traîner et mangeait à toute heure devant la télévision. Non. Il refusait de croire que quelque chose chez lui pouvait clocher. C’était elle, l’hystérique, maniaque et complètement dérangée. C’était à se demander pourquoi elle et Lenny étaient amis. Wes ne le comprenait guère. Surement une histoire de physique. Peut-être que Lenny cherchait juste à mettre la jolie blonde dans son lit. Sûrement. Peu importe. Il devait bosser. Sur le montage de ce documentaire sur lequel il travaillait depuis des mois. Plongé sur son ordinateur, son esprit est pourtant vite ramené vers Billie, sa nouvelle colocataire. Il soupire lorsqu’il voit le nom de Billie la sorcière s’afficher sur son téléphone. Que lui voulait elle encore ? Il l’ignore quelques minutes avant de se résoudre à regarder. Peut-être avait-elle encore cassé la machine à café ou qui sait, mis le feu à l’appartement. Cette fille était un danger public. Rien d’autre. Elle était à la porte. Sans clé. Il soupire. Sombre idiote. Il regarde l’heure. Dix-huit heures. Il était de toute manière, grand temps qu’il rentre. Il pianote quelques mots sur son téléphone, l’informant de son arrivée imminente. Il rassemble ses affaires et s’apprête à tout fermer pour quitter son bureau. Mais à peine a-t-il mis son manteau que sa responsable l’interpelle. Il soupire doucement. Elle voulait le voir, immédiatement dans son bureau. Bon et bien Billie attendra quelques minutes supplémentaires. Ça ne pouvait pas lui faire de mal. Il repose ses affaires et suit sa responsable. Son irrémédiable et beaucoup trop bavarde responsable. Il était question d’une nouvelle mission, d’un nouveau sujet pour un nouveau reportage qui allait faire du bruit. Peu à peu il se laisse prendre au jeu, y allant de ses idées, oubliant totalement ses engagements. Ce n’est que deux bonnes heures plus tard qu’il se rappela de Billie. Oups. Il quitte rapidement le bureau pour rejoindre son appartement. Sans courir, il ne faut pas exagérer. Lorsqu’il arrive enfin, il voit Billie assise seule sur les marches, le nez dans son téléphone, désespérée. Elle ne tarde pas à le remarquer et à se redresser. Il ne peut s’empêcher de sourire, son agacement avait quelque chose d’amusant. « J’aurais pu mourir trois fois que tu ne servirais à rien ! » Il hausse les épaules avec cette nonchalance dont lui seul avait le secret. « J’ai été retenu au boulot. » Il ne développe pas davantage. Elle n’avait pas besoin d’en savoir plus et il n’avait pas envie de se justifier à celle qui avait réduit à néant ses vêtements dans un autre excès d’hystérie. II passe à côté d’elle, comme si tout était absolument normal. « Je ne t’aurais jamais fait ça, moi ! » Un rire moqueur s’échappe naturellement des lèvres du jeune homme. Sombre menteuse. « Non toi tu aurais fait pire. » C’était une certitude qu’elle ne pouvait guère nier. II laisse la porte ouverte derrière lui pour la laisser le suivre. Il jette ses affaires par terre, retire ses chaussures qu’il balance sans la moindre précaution et se dirige vers la cuisine. Le nez dans le frigo, il continue de s’adresser à elle. « Et puis, je ne suis pas à ton service. Tu n’avais pas d’amis chez qui aller ? Quoi que je me demande qui peut être amis avec toi. » Il hausse les épaules avant d’attraper une bière. Il hésite puis rabat la porte du frigo. « Bière ? » Il n’avait pas encore perdu tout son savoir vivre. Pas tout à fait.

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· Dim 3 Mar - 17:24

nobody is perfect, i'm nobody

@Billie Butler & @Wes Edison
Toi t’as toujours été compliquée. T’as toujours eu des exigences bien au-dessus de la moyenne et tu n’es clairement pas quelqu’un de facile à vivre. Tu te rends bien compte que tes attentes sont parfois démesurées, que tu tends vers la perfection d'une manière presque obsessionnelle depuis que t’as décidé de reprendre ta vie en main. Pourtant tu as bien conscience que tout cela n’est pas toujours possible. Mais tu as besoin de te cacher derrière cette façade de fausse d'assurance pour cacher tes fragilités . Tu ne te montres jamais tel que tu es réellement parce qu’en vrai tu as peur. Peur d'être déçue, peur de te laisser submerger par les émotions, peur de ce que les autres pourraient te faire ou pourraient penser de toi. Une vraie petite fragile, une écorchée vive qui cache ses blessures derrière un masque de fausse bravoure. Le fait est que le courant ne soit pas passé avec Wes n’est pas si étonnant finalement. Vous êtes deux mondes à part, deux univers qui avance diamétralement opposés et qui se heurtent avec fracas. Lui, c'est l'insouciance incarnée et toi, tu es l'angoisse en personne. Il n’est pas comme toi, il n’a pas besoin de vérifier à trois reprises que la porte est bien fermée. C’est un électron libre qui vit au rythme de son propre tambour, insouciant, voire même irresponsable. Alors que de ton côté, il te faut trois fois rien pour te plonger dans l'abîme de tes tracas intérieurs. Il a cette apparente facilité à vivre que tu n’as pas, cette aisance déconcertante à être lui et ça te fais sentir minuscule, perdue dans l'immensité de ton mal-être. Sa désinvolture te met hors de toi.

Et pourtant si tu veux que cette coloc puisse bien se passer, il va falloir mettre de l’eau dans ton vin chose qui ne semble pas tout à fait être à ta portée. Tu as clairement du mal à le supporter. Pourquoi devrais-tu sacrifier une partie de toi-même pour accommoder quelqu'un qui semble si peu concerné par ton bien-être ? Tout à l’air facile pour lui et ça t’agace. Son attitude hautaine te fait plisser le front lorsque tu lui reproches son retard. Sérieusement ? Pas d’excuses ? Comment peut-il être aussi sûr de lui quand toi tu te débats constamment avec tes propres incertitudes ? La colère fait frémir les traits de ton visage, tu pourrais le foudroyer avec les yeux mais maintenant qu’il est là tu ravales tes nerfs. L’exaspération prend le pas lorsqu’il rentre et qu'il jette ses affaires par terre d'un geste négligent, le concept de rangement lui est totalement étranger. Le bruit des objets heurtant le sol vient amplifier ta frustration qui monte en flèche. Prend sur toi Billie, prend sur toi. Ne le tues pas. Tu serres les dents. Lui, de son côté poursuit son chemin vers la cuisine, comme si de rien n'était, laissant derrière lui ce sillage de désordre et ton irritation. « J’ai des tas amis ! » ripostes-tu avec vivacité lorsqu’il t’accuse de ne pas en avoir. « J’en ai plus que toi surement ! » ajoutes-tu prête à parier sur ça mais le soucis avec tes amis c’est que la moitié n’est peut-être pas faite pour toi depuis que t’as décidé d’arrêter de te droguer. Tu as dû prendre tes distances avec beaucoup de monde pour sauver ta peau. Pas d'alcool, sauf occasionnellement, pour ne pas risquer de développer une autre habitude dont tu pourrais avoir du mal à te défaire.  « Coca, merci ! » réponds-tu avec un sourire contraint, t'efforçant d'être moins crispée en sa présence. Tu tentes de dissimuler ta tension derrière une façade de normalité. « Et toi, comment ça se fait que tu sois ami avec Lenny ? » reviens-tu sur le sujet des amitiés, Lenny votre seul ami en commun, celui-là même qui vous a convaincus que cette colocation pourrait vous faire du bien. Maudit soit Lenny. Si seulement il savait dans quel guêpier il vous avait jetés en vous convaincant de partager un toit. Où avait-il la tête en pensant que vous pourriez vous entendre. Mais c'est trop tard maintenant…


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· Jeu 21 Mar - 22:21

nobody is perfect, i'm nobody

@Billie Butler & @Wes Edison
Wes avait vécu trop de choses difficiles et compliquées pour rendre son quotidien perturbé. Hors de son travail, il aimait sa tranquillité. Il menait une vie simple, sans prise de tête, gouverné par l’envie de faire ce qu’il souhaitait sans qu’on vienne lui mettre des bâtons dans les roues. Sa capacité d’adaptation en surprenait plus d’un quand en vérité, ce n’était qu’évidence. Lui qui partait à l’autre bout du monde, pour capter des images terribles, dans des pays où les citoyens n’avaient rien, où ils vivaient au jour le jour, sans savoir si le lendemain, une bombe n'exploserait par sur leur maison, ou s’ils parviendraient à se nourrir convenablement. Il avait connu la guerre, tout en étant spectateur de la torpeur, de la souffrance et de la violence que cela engendrait sur ce qu’on pouvait appeler les « dommages collatéraux ». Et puis, il était devenu victime. Victime de ravisseurs armés. Victime de groupuscule violent. Des terroristes. Il avait été témoin. Témoin de ces atrocités. Témoin de la mort. Témoin de la blessure d’innocents. Puis de son ami, Harlan. Toutes ces expériences l’avaient renforcé, tout en le fragilisant à cœur. Si bien qu’une fois son confort australien retrouvé, il abordait la vie d’une toute autre façon. Il n’avait pas de temps à perdre pour des prises de tête sans le moindre intérêt. Celle avec Billie en était une. Aussi désagréable soit-elle, elle ne parvenait pas encore à le rendre fou, à le sortir de ses gonds. Si tant est qu’elle soit en capacité d’y parvenir. Il avait embrassé la patience et préférait jouer de sa nonchalance habituelle pour contre-carrer tout énervement de son interlocutrice. Il avait tendance à juger ses agacements futiles et c’est probablement ce qui énervait encore plus Billie. Il ignorait ce qui la rendait aussi exigeante mais il n’avait pu s’empêcher de détecter un léger mal-être, sans pour autant lui dire quoi que ce soit sur ce sujet. Il l’avait gardé pour lui, comme à chaque fois qu’il parvenait à lire un peu trop dans ces personnes qui tentaient pourtant si bien de camoufler leurs failles. Ils ont tous les deux une manière opposée de camoufler leurs fragilités, leurs failles, mais Wes avait capté quelque chose, sans pour autant, encore tout à fait le comprendre. Finalement, ils avaient quelque chose en commun. Qui aurait pu le croire. Certainement pas eux, à l’heure actuelle, en train de se chamailler pour une histoire de retard. Wes prenait tout à la légère, comme à l’accoutumer, quand Billie, elle réagissait à l’exact opposé. Elle bouillonnait de l’intérieur. Elle luttait contre elle-même pour ne pas exploser, quand Wes, lui ne semblait pas être atteint par cette situation, quand bien même il ne pouvait s’empêcher de répondre à ces piques incessants. Il joue même avec ses nerfs en agissant comme il avait l’habitude de le faire, tout en sachant pertinemment qu’elle détesterait cette attitude. Celle de jeter ses affaires avec nonchalance. Pourquoi se mettait-elle dans des états pareils pour une paire de chaussures. II l’ignorait et n’avait pas encore envie de chercher à savoir pourquoi. Si bien qu’il se rend dans la cuisine, perpétrant ce jeu du chat et de la souris qu’ils avaient mis en place dès leur première rencontre. « J’ai des tas amis ! » Il laisse échapper un rire. Franc. Le genre qui lui échappe sans qu’il ne s’en rende compte. « J’en ai plus que toi surement ! » Il hausse les épaules, faisant mine de réfléchir. « Tu as probablement raison. Mais combien sont tes vrais amis ? Je te rappelle que tu as attendu longtemps dans les marches et que personne n’est venu t’aider. » Wes avait un don pour frapper là où ça faisait mal, tout en gardant son flegme légendaire. Le but n’était pas de la blesser, simplement la remettre à sa place. Il n’était pas son ennemi, mais il ne se laissait pas marcher sur les pieds. Jamais. « Coca, merci ! » Les choses s’apaisent. Du moins en apparence. Wes acquiesce avant de lui tendre un coca qu’il décapsule avant. Serviable. Il pouvait l’être. Il fait de même avec sa bière, alors qu’il se retourne vers le frigo, à la recherche de quelque chose à manger. Appétit d’ogre, il mangeait tout et n’importe quoi n'importe quand. « Et toi, comment ça se fait que tu sois ami avec Lenny ? » Lenny était son ami. Depuis des années. Depuis une éternité. Une amitié forte s’était tissée entre eux à travers les années. Tant qu’il aurait pu faire absolument n’importe quoi pour lui. A commencer par accepter cette colocation. « Ça a l’air de t’étonner que je puisse être ami avec lui ? C’est toi la fille désagréable ici, moi je suis super facile à vivre. » Il émet un petit rire amusé, alors qu’il avale un morceau de brioche trouvé dans un placard. Ce n’était pas la sienne. Peu importe. Il avait faim. « C’est mon meilleur pote, ça fait des années qu’on se connait. » Poursuit-il finalement, laissant un instant de côté les railleries. « Il y a qu’à lui que j’aurais pu dire oui pour t’héberger ! » Chasser le naturel, il revient au galop. Il l’acène d’un clin d’œil avant de prendre une gorgée de sa bière. « Tu devrais t’estimer heureuse, t’es la première fille qui a le privilège de vivre avec moi, enfin si on omet ma mère et ma sœur. » Wes était habitué de la cohabitation avec des femmes. Il avait d’ailleurs entendu à de si nombreuses reprises sa mère et sa sœur, le conjurer de ranger ses affaires, en vain. « Et toi alors, c’est quoi votre histoire ? » A elle et Lenny. Cette question avait piqué sa curiosité. Les deux jeunes adultes étaient presque aussi différents que lui ne l’était d’elle.

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· Ven 19 Avr - 21:31

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nobody is perfect, i'm nobody

@Billie Butler & @Wes Edison
L'exaspération que tu ressens envers Wes est indescriptible. Elle remonte à votre première rencontre. Et pourtant, malgré cette première intuition, vous avez tout de même choisi de tenter l'aventure de la colocation ensemble. Dés le départ, cette histoire sentait la très mauvaise idée, vos personnalités toutes deux incompatibles ne présageaient rien de bon. De ton côté, tu as été poussé par l’envie d’être enfin indépendante mais aussi la volonté de fuir les démons du passé. C’était soit ça, soit continuer à vivre chez ton père qui a décidé de hisser un cocon de protection autour de toi jusqu’à t’étouffer. Depuis son retour à Brisbane, il ne cesse de vouloir compenser son absence passée en te couvant d'une attention un peu trop excessive. Il culpabilise surement à l’idée que tu aies été seule pendant quelques années. Sans compter qu’il est l’un de ceux qui a été le plus impacté par tes dépendances. Impuissant face à ta destruction, tu n’imagines pas comment ça a dû être dur pour lui aussi. Mais depuis, tu as fait des progrès considérables. Trois mois sans la moindre drogue, c’est un exploit dont tu es particulièrement fière. Et tu n'as pas très envie de devoir le rassurer à chaque fois que tu franchis une étape de guérison. C’est un défi quotidien pour rester sur le droit chemin et tu tiens à prouver à ton père que tu es plus forte que tes démons. Tu veux qu’il voit que tu es capable de t’en sortir par toi-même et qu’il arrête d’être constamment sur ton dos. À choisir, tu préfères encore la cohabitation avec le journaliste. Lui, au moins, n'a jamais fouillé dans tes affaires pour s'assurer que tu n'as pas replongé. Et pour cause, il ignore tout de cette sombre période de ta vie. T’as fait promettre à Lenny de ne rien lui dire car après tout, cela ne le concerne en rien. Tu ne veux pas de sa pitié s'il découvrait ton passé, et encore moins qu'il te ménage. Tu aimes vos échanges vifs, le piquant des réparties entre vous qui fusent sans le moindre détour. Et il n’est pas question que ça change s'il venait à tout savoir de toi. D'ailleurs, il te lance une pique sur tes amis et tu lui fais bien savoir que tu en as plein, mais sa réponse cinglante te laisse sans voix. Touché. Une flèche en plein cœur qui te laisse muette un instant. « ... les gens ont leur propre vie à gérer. » que tu te contentes de répondre un peu mauvaise. Tu es blessée mais ne laisse rien. Tu portes le goulot de ta bouteille de coca à tes lèvres, prenant quelques gorgées pour apaiser l'amertume qui s'installe au fond de ta gorge. La conversation s’étale sur Lenny. « Ton meilleur pote ? Je me souviens pas qu’il m’ait parlé un jour de toi… » lances-tu, saisissant la perche qu'il t'a tendue pour lui rendre son coup, non sans une pointe d'ironie dans la voix. Son affirmation totalement erronée te hérisse le poil par son absurdité. Tu le reprends donc, un brin agacée « Et tu ne m’héberges pas… je payes également une partie du loyer. » tu tentes de contenir l'exaspération qui monte en toi.  Et voilà qu'il en remet une couche, ce macho imbu de lui-même. Il semble persuadé que sa simple présence est un cadeau pour toi ce qui t’arrache une grimace que tu peines à cacher. « Je m’estimes heureuses pour beaucoup de choses mais vivre avec toi ne figure pas sur cette liste. » tu viens te poser sur une des chaises hautes de la cuisine alors qu’il t’interroge sur ta relation avec Lenny. Tu n’as pas vraiment l’intention de te confier sur ce point. Surtout que c'est une partie de ta vie que tu ne veux pas lui dévoiler. « Du cul… » mens-tu alors que tu n’as jamais vu Lenny nu de ta vie. « Du sexe… » continues-tu avec un sourire malicieux, tu prends un malin plaisir à être gênante pour que plus jamais il ne s’intéresse à ce pan de ta vie. « Un truc bien crade, tu vois. »  tu plaisantes en témoigne ton sourire au bout du lèvres, mais au fond de toi, tu espères que ça suffise pour qu'il ne creuse pas davantage. « Un vrai coquin ce Lenny. »


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-- Constantly, boy you played through my mind like a symphony. There's no way to describe what you do to me, you just do to me, what you do And it feels like I've been rescued.
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