As if the world had never turned (w/--kendall)

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 As if the world had never turned (w/--kendall)


Billie Butler
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MEMBRE ☆ midnight love
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Billie Butler
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messages : 94
rps : 12
pseudo : earithralia ✺
id card : e. exposito + © fyeahlovethem
pronom irl : Elle/she
multicomptes : Ruth Aslan (M. Pamuk) + Stella Rosales (B. Vargas) + Juliet Chapman (Tessa Thompson)
à contacter : Stella Rosales
présence : PRÉSENTE
As if the world had never turned (w/--kendall) 6659ee77d7d0274722f80432259d0648c1f85aec
âge : à seulement (vingt-six ans) son existence consumée laisse entrevoir un ciel déchiré par les erreurs du temps.
statut civil : Solitaire, son cœur vide danse seul dans les ombres de ses addictions, incapable d'aimer et de se laisser emporter par les flots de l'affection. Le (célibat) comme seul allié.
occupation : Elle encaisse les billets, les rêves des autres, alors que ses propres aspirations de danseuse étoile restent en suspens, inassouvies, attendant leur moment sur la scène de sa vie. Elle est guichetière au Palace James St Cinemas
adresse : #88 South Bank et West end, en colocation avec Wes.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle/she
trigger : violence, cruauté animale, inceste
warning : addiction, FIV, divorce, relations toxique
infos rp : Écriture : 2ème personne
Longueur : ~ 600/800 mots
Temps de réponse : Variable selon l’inspi - no pression.

disponibilités : SUJETS EN COURS --
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SMS --
wes :: lenny :: raven

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· Mar 27 Fév - 13:21

As if the world had never turned

@Kendall Ackerley & @Billie Butler
tw : drogue, addiction, relation toxique


Trois mois. Trois mois d'abstinence. Aux yeux de tous, ça peut paraître insignifiant, mais pour toi, c'est un énorme exploit. Tu n’as jamais tenu autant. Des années de lutte mais aussi et surtout des années de rechutes et de désespoir. C'est une victoire que tu ne te serais jamais crue capable d'atteindre. Tu es tombée dedans jeune, cherchant à l’époque désespérément l'attention de tes parents. Hélas, une fois emportée, tu n'as plus jamais décroché. Chaque jour sans drogue est une victoire que tu fêtes silencieusement face à tes ombres du passés. Tes vieux démons dansent toujours dans un coin de ton esprit. Ils te murmurent parfois quelques promesses tentantes, des souvenirs flous de plaisirs éphémères. Mais tu les repousses, tu résistes. Un jour à la fois. Une heure à la fois. Même une minute à la fois s’il le faut. Tu ne veux plus redevenir cette fille. Elle n’est pas toi. Pourtant les moments de faiblesse sont nombreux. Chaque fois que la vie te donne un coup dur et que tu te sens seule, chaque fois que l'envie de fuir la réalité devient écrasante, tu penses à ce shoot. Ta volonté tantale est mise à l'épreuve tout les jours. Ça serait tellement facile de succomber de nouveau. Tes doigts démangent, ton esprit crie, mais tu serres les dents. Tu tiens bon cette fois comme un cow-boy agrippé à l'ultime corde lors d'un rodéo de salon. Tu t’accroches aussi fort que tu peux. Tu refuses de céder à cette tentation qui menace de t'engloutir à nouveau. Tu ne veux plus de cet enfer, tu le dois, à toi-même. Tu te bats aussi pour montrer aux autres aussi que tu es plus forte que cette addiction qui a pris possession de toi, bien trop longtemps.

Pourtant, même si tu te bats contre toute cela, une autre tentation tout aussi destructrice te guette, prête elle aussi à t'entraîner dans ses filets. All D(rug) k(ick) End, résonne ironiquement comme l’anagramme parfait de Kendall. L'inéluctable conclusion vers laquelle il semble te mener. Lorsque ce n'est pas la drogue, c'est lui, toujours lui, encore lui. Son emprise sur toi est aussi puissante que celle de n'importe quelle substance chimique que tu t’es souvent injectée. Et dés que tu te sens faible et que le vide se fait trop pesant, tu te tournes vers lui. Comme tout addict, tu tombes trop vite, trop facilement. Tu ne décroches pas totalement et tu te retrouves à chaque fois à ses pieds, cherchant désespérément l’attention qu'il sait si bien te donner. Des mois que tu joues les mortes, tu l’as bloqué sur tous les réseaux et tu refuses de lui adresser la parole. Tu ne lui as laissé aucune chance de revenir vers toi. Tu voulais mettre un terme à cette relation nocive, tout autant pour lui que pour toi. Et voilà qu'à trois heures du matin, tu te retrouves devant chez lui. Tu as bien essayé de résister, de lutter contre l'envie qui t’assaille depuis quelques jours déjà. Mais en fin de compte, ce qui au départ n’était qu’une impulsion s’est transformé en besoin urgent de le revoir, même si tu ne sais pas te l’expliquer. Et maintenant t’es là, devant chez lui. Il doit surement dormir. Il ne sera probablement pas ravie de te voir, en tout cas pas après ce qui s’est passé entre vous la dernière fois. Mais là, de suite, c'était soit lui, soit te piquer et le choix a été rapide. Tu espéres qu'il habite toujours là, que tu ne sois pas venue en vain et surtout tu pris pour qu’il soit seul. Et alors que tu te tiens là, sur le seuil de son monde, tu assènes trois gros coups à sa porte sans la moindre hésitation. À peine apparaît-il dans l’encadré de la porte que tu te jettes dans ses bras pour te blottir dedans. Tu ne veux pas laisser place aux mots. Tu l’enlaces avec fermeté, désespoir. Il t’a manqué.


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Hypnotized by your destiny
-- Constantly, boy you played through my mind like a symphony. There's no way to describe what you do to me, you just do to me, what you do And it feels like I've been rescued.
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Kendall Ackerley
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MEMBRE ☆ old wounds
you got a little more to prove
Kendall Ackerley
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messages : 570
rps : 42
pseudo : youngblood.
id card : vinnie hacker - esmerald (avatar) - awona (code & img sign)
pronom irl : elle
multicomptes : sailor (tamino), azhar (a.kontar), sierra (r.consentino) & ilsa (m.lafontan)
à contacter : sierra.
présence : 7/7, réponses au feeling.
As if the world had never turned (w/--kendall) 15.7
âge : 26 ans, et toute l'insolence qui va avec. nul autre souci que les premières rides, pourtant imperceptibles.

statut civil : il se dit célibataire, bien qu'englué dans une relation en dents de scie ; le cœur brisé par la perte d'une idée fantasmée, jamais le cran d'agir, bien meilleur en coups d'un soir qu'en engagement.

occupation : mannequin, aux yeux du monde. et de grands rêves de musicien, assouvis en secret, lorsque les doigts s'envolent sur les touches du piano.

adresse : loft au 530 cbd.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : hard no : inceste, pédophilie, viol. // selon comment c'est abordé : agression sexuelle, violences conjugales, grooming & relations avec gros écart d'âge. // on peut plus en discuter par mp.
warning : deuil, accident de la route, alcool, drogue, dépression.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi.
style rp : j'écris en il ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en blueviolet, français ou anglais.

disponibilités : 6/5 -- pas de nouveaux jeux.
en vrac : follow the night, w/ hasan.
jeux d'enfants, w/ livia.
disorder, w/ kleo.
the conflict of the mind, w/ aster. #2
annoyance, w/ aaron.
as if the world had never turned, w/ billie.
could be your alibi, w/ cartier band.

présentation : présentation
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· Dim 3 Mar - 22:08

As if the world had never turned

@Billie Butler / tw : relation dysfonctionnelle, mention de somnifères.

Trois heures du matin. Yeux grand ouverts. Rien à faire : le sommeil l'évite comme la peste.
Et qui blâmer, si ce n'est lui-même ? Kendall a irrévocablement déréglé son pendule interne avec, paradoxalement, une minutie d'horloger – à force de nuits blanches, de suites de décalages horaires, et de toutes sortes d'excitants dont son corps n'est plus qu'un vulgaire cimetière. Naïvement, il s'était longtemps persuadé que son système ferait la différence entre des soirées endiablées et celles, plus tranquilles, passées dans la solitude de son loft, et s'adapterait en conséquence. L'heure avancée que sa montre affiche avec insolence est une preuve, s'il en fallait, du contraire. Trois heures, et des paupières même pas lourdes ; des lumières stroboscopiques y dansent lorsqu'il a le malheur de les fermer, réminiscentes des paysages artificiels qu'il serait généralement en train de laisser l'aveugler à ce moment précis. À son grand dam, la seule fatigue qu'il semble ressentir est en réalité une lassitude, assommé qu'il est de voir les mêmes pensées virevolter. S'il n'a pas envie de dormir, il en a besoin ; ne serait-ce que pour éteindre son cerveau, une bonne fois pour toutes. Et sans doute qu'en secret, son corps geint pour un peu de repos, lui aussi. Mais c'est le mental qui le préoccupe.

Le regard lorgne sur le tiroir de sa table de chevet. Parce que, bon sang, il a tout essayé. Douche tiède, poses de yoga, et même ces comprimés que sa mère lui a conseillés – mélange pseudo-miraculeux de mélatonine, de pavot et d'allez savoir quelle autre plante bienfaitrice. Sur le coup de deux heures et demie, après de longues minutes dans le noir et des bruits blancs plus bourdonnants qu'apaisants, il s'est même jeté sur une nouvelle qu'il avait laissé de côté depuis un moment. Mais, dans le tiroir, le précieux sésame l'attend. Ses somnifères.
Qu'est-ce que cela ferait, s'il n'en prenait qu'un – serait-ce si grave ?

La réflexion n'est pas menée à son terme. Kendall entend trois coups frappés à sa porte – ce qui, dans son état, pourrait très bien n'être qu'une hallucination. Sauf que, si c'est réel, ce doit être sérieux. Il ne connaît pas grand-monde qui s'acheminerait jusqu'à sa porte à cette heure-là. Il y décompte ses amis, sa sœur. Personne qu'il ne laisserait sur le palier. Il n'a aucune envie de s'extirper du lit, pas pour s'apercevoir que le bruit n'était qu'une manifestation de son esprit, mais les et si supplantent, avec urgence, l'ennui. Traînant des pieds, il s'en va ouvrir le battant. Et il a à peine le temps de reconnaître Billie que la tornade blonde s'est précipitée dans ses bras.
Il lui faut quelques secondes pour réaliser.
Billie.
Il serait faux de dire qu'il n'a pas pensé à la retrouver – car, soyons francs, il n'y a pas eu un seul adieu sur lequel ils ne soient revenus. Et, à chaque fois que l'idée lui avait traversé l'esprit, il s'était plutôt dit qu'il la toiserait de haut, ce jour-là, rien que pour cajoler son propre orgueil éraflé. Car, si lui savait se détacher avec une indifférence cruelle, il n'avait bien sûr jamais accepté qu'on lui retourne la pareille. Si Billie lui avait laissé le temps de la regarder, de comprendre ce qui s'est soudainement joué sur son palier, sans doute aurait-il trouvé la contenance de la rejeter.
Mais elle s'est immédiatement nichée entre ses bras ; alors, il les resserre contre elle, comme s'il n'y avait nul autre choix.

« Tout va bien, j'suis là. » Murmure-t-il, par réflexe, le long d'une oreille, tandis qu'une de ses mains vient trouver les cheveux de son ex et s'y glisser. Malgré toutes les fois où il a clamé le contraire, mettant des points finaux – à moins qu'ils n'aient été de suspension – à leur relation, prétendu qu'il ne ressentait rien et pourrait très bien poursuivre seul le cours de sa vie, même lui n'a pu rester parfaitement de glace, par la force des années. Billie l'a eu à l'usure. Cette relation épuisante l'a eu à l'usure. Et même s'il n'en veut pas, il éprouve de la tendresse pour elle – faute de nourrir un sentiment amoureux qui, peut-être aurait pu les sauver. « Qu'est-ce qu'il y a, Billie ? Qu'est-ce qui va pas ? »


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Dernière édition par Kendall Ackerley le Sam 16 Mar - 22:11, édité 1 fois
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· Dim 3 Mar - 23:22

As if the world had never turned

@Kendall Ackerley & @Billie Butler
tw : drogue, addiction, relation toxique


Dans l'étreinte de ses bras, tu peux presque sentir chaque battement de son cœur qui résonne contre le tien, chaque souffle qu'il expire caresser ta peau. C'est là, dans cet abri formé par ses bras, que tu trouves refuge. C’est ton oasis de sécurité et de paix au milieu du chaos du monde qui t’entoure. Tu te sens enveloppée dans cette bulle, comme si ce qui se passe à l’extérieur ne pouvait plus t’atteindre. Kendall est rancunier, tu le sais. Et probablement que si tu lui avais donné le temps de réagir, il aurait peut-être trouvé le moyen de te refermer la porte au nez. Il est déconcerté, pris au dépourvu par cette manifestation soudaine de tes sentiments. Mais toi, là de suite, tout ce que tu désires, c'est du réconfort. Un réconfort qui ne peut venir que de lui. Son réconfort. Pourtant ce qui vous unit ce n'est pas de l'amour. Ce n'est pas ça, l'amour. L'amour ne détruit pas. L'amour véritable ne laisse pas de ruines derrière lui, il n'attise pas les flammes de la douleur et de la souffrance. Vous, ce que vous partagez c’est bien plus sombre et bien plus malsain. C'est le genre de relation empoisonnée. Vous êtes comme deux aimants de polarité opposée, irrémédiablement attirés l'un vers l'autre mais incapables de coexister sans vous repousser. Et malgré la toxicité évidente de ce qui vous lie, tu t’y accroches, comme si tu étais condamné à perpétuer ce cycle infernal. C'est Kendall, ton Kendall, celui qui t'a vu dans tous tes états, qui a traversé avec toi les hauts et les bas, et qui te connaît surement mieux que personne. Tout comme tu le connais surement mieux que quiconque. Entre vous, plus de filtres ni de masques. Il n'y a pas de faux-semblants, pas de barrières. Peu importe où tu vas ou ce que tu fais, une partie de toi se sent incomplète trop longtemps sans lui. Pourtant, tu sais bien que ce retour vers lui n'est pas sain, que c'est quelque chose dont il faut sortir. Tu sais que tu as besoin d'avancer, de te reconstruire seule. Ses mains s'accrochent à tes cheveux dans cette étreinte, comme s'il avait compris ce que tu étais venue chercher. Ton museau s'écrase contre son épaule, cherchant avidement à humer ce parfum qui t'a tant manqué. Tu avais besoin de cet instant, aussi éphémère soit-il. Besoin de sentir sa présence, de ressentir sa chaleur contre toi. « Je voulais juste te revoir. » Pendant des mois, le vide laissé par son absence a été remplacé par la rancœur. Tu l'as détesté, laissant chaque pensée à son égard resurgir une colère noire. Tu l'as repoussé de toutes les manières possibles, ne lui laissant aucun moyen de contact. Et puis, soudain, presque de nulle part finalement, ces derniers jours, tu as commencé à ressentir un manque. Un vide qui s'est creusé en toi. Tu as l'impression d'être pris au piège. Parfois, tu te met à douter de ta propre valeur, parce que malgré tes résolutions de tourner la page, tu te retrouves encore et encore à revenir vers lui. Tu détestes cette sensation, t'abandonner ainsi à ses décisions et à sa volonté mais c’est plus fort que toi. C'est épuisant, éreintant pour vous deux, cet incessant va-et-vient, cette danse macabre de rapprochements et d'éloignements. « Je peux entrer ? » demandes-tu. Il est tard, et tu espères ne pas passer le reste de la nuit sur ce palier. Ton regard cherche le sien.


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· Sam 16 Mar - 22:10

As if the world had never turned

@Billie Butler / tw : relation dysfonctionnelle.

En vertu d'un esprit trop aventureux pour son propre bien, il y a bon nombre d'imprévus que Kendall accueillerait à bras ouverts. Cependant, se trouver pris au dépourvu de cette manière – pris au piège, et vulnérable – n'a rien pour lui plaire. De la présence de Billie, là, sur son palier, il ne sait que penser ; encore moins du réflexe de l'avoir accueillie dans ses bras, arrêtant vite de subir l'étreinte pour s'en faire acteur à part entière, dans un geste que seule une remarquable mauvaise foi oserait qualifier de machinal, ou de détaché. De cette relation où l'amer trop souvent supplante le doux, il est autant complice que victime. Un coupable avec une myriade de circonstances atténuantes, mais un coupable tout de même. « Ah… Je pensais qu'il y avait un truc grave. » Peut-être que s'ils s'étaient contentés de se tenir assez longtemps, sans rien dire, la magie dramatique aurait quelque peu perduré, et achevé de l'adoucir. Qu'il aurait été pleinement heureux d'entendre, en sous-entendu, qu'il lui avait manqué – mais seul son orgueil déplacé qui ronronne d'un malsain plaisir. C'est néanmoins ainsi que cela devrait se passer ; le bonheur de se voir, d'en entendre l'envie. Il faudrait qu'elle puisse se pointer chez lui sans raison, pour une étreinte, un baiser. Kendall n'en ressent rien ; juste le vague soulagement de l'avoir devant lui, en chair et en os, visiblement pas en trop mauvais état. Par ailleurs, la sensation qui prédomine est celle d'un poids dans l'estomac. De l'anxiété, de celle qu'il ne réserve qu'à Billie. Quand il sait qu'ils ont remis une pièce dans la machine. Qu'une fois de plus, ils sont voués à se déchirer – et s'y adonneront comme des bêtes.
Il ne peut pas le lui reprocher, cela étant : il aurait pu être le premier à craquer. Il aimerait prétendre qu'il ne l'a pas été par pure volonté, mais cela doit relever d'un concours de circonstances. De l'indéniable simplicité d'une coïncidence.

Puis, sur un bref acquiescement, il se décolle d'elle et tient ouverte la porte, en guise d'invitation à entrer. Ravalant, par la même occasion, un jet de venin ; t'es là, maintenant, et c'est trois heures du matin, tu ne me laisses pas vraiment le choix. Injuste, oui. Ce n'est pourtant pas un trait qu'on lui prête souvent. Une autre tare qu'il réserve à Billie. Un autre signe qu'il l'a un peu trop dans la peau – et que cela ne réussit à aucun d'eux. Peut-être qu'il lui en veut un peu. Billie est l'incarnation de tous ses démons, et sans doute ne pourra-t-il jamais totalement le lui pardonner, quand bien même, rationnellement, il sait qu'elle n'y est pour rien. Qu'elle n'a pas demandé de se trouver entremêlée à quelqu'un d'aussi instable que lui, et qu'elle doit le détester tout autant. Dans un masochisme certain, l'idée le rassure. Qu'elle le déteste. Ce doit être préférable à une triste asymétrie de sentiments. « Tu veux boire un truc ? Je peux faire chauffer de l'eau. » Il n'a pas que de l'eau, évidemment. Ses placards sont remplis de bouteilles pleines de promesses plus extatiques, mais il est tard, et il ne veut pas s'abandonner à cette spirale-là – pas ce soir. « Alors, t'étais dans le coin ? » Il ne trouve rien de mieux à demander ; cherche encore une justification à sa présence, comme si, pour lui, qu'elle veuille le revoir n'en est pas une suffisante. Il doit bien y avoir quelque chose d'autre – sinon, à quoi bon ces éloignements, ces soulagements de se croire enfin libre, et finalement ces rechutes fatales ? Il lui faut quelque chose de plus tangible, pour expliquer ces retrouvailles létales.


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· Ven 29 Mar - 15:05

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Faut-il que quelque chose de grave se produise pour qu'il abandonne sa vanité ? Tu te tiens là, en attente, sur le seuil de sa demeure, tandis que ton palpitant se débat comme un forcené, tiraillée par la dure réalité de tes paradoxes intérieures. Ne devrait-il pas te recevoir avec une satisfaction pleine et entière ? Ta simple présence devrait lui suffire, tu as perdu et il a gagné. C’est bien ça les règles du jeu de ce Jeu malsain.  Depuis quand fait-il la fine bouche ? A-t-il enfin trouvé la force de te rejeter, de mettre un point final à cette mascarade qui n'en finit pas. Seule sa repartie mordante semble témoigner d'une brève éclaircie de courage pour te faire barrage. Parce que tout le reste t’invite à rester. L'étreinte chaleureuse dans laquelle il t'enveloppe, te berçant dans un cocon d'illusions apaisantes. La porte qu'il maintient ouverte, refusant de la claquer devant toi. Tout en lui, sans exception, semble ouvert à cette relation vénéneuse, et tu te laisses engloutir par cette fausse impression de sécurité et par ce mirage de bonheur. À tes yeux, c'est amplement suffisant pour te glisser à travers la minuscule fissure qu'il te laisse encore entrevoir. Ta fierté, tu t’es assise dessus depuis bien trop longtemps avec Kendall. Avec lui, étrangement, tu ne te tiens pas sur tes ergots comme tu le ferais avec le reste du monde. Tu tolères ses sautes d'humeur, ses brusqueries, ses silences glaciaux, jusqu'à ce que la coupe déborde et que tu t'éloignes dans ton coin, en attendant que l'un de vous cède à nouveau. Cycle vicieux dans lequel vous vous êtes enfermés depuis bien trop longtemps. Il serait si simple de le haïr, de nourrir cette flamme de ressentiment à son égard. Mais même ça, tu n'en es pas capable. Ce qui vous lie n'est ni amour, ni haine, mais plutôt une forme de dépendance. Une dépendance aussi vorace que la drogue que tu t'injectes dans les veines lorsque le monde se ternit sous tes yeux. Cette liaison n'a rien de beau, rien de noble, elle est juste l'illusion éphémère qu'elle te procure lorsque vous êtes tout les deux. Et le plus triste dans tout ça c’est que tu es consciente de sa nocivité mais tu t’y accroches avec une avidité désespérée. « De l’eau ? » Sa proposition t’étonne. La retenue ne fait pas partie de votre jargon. Il est trois heures du matin, l'heure où tous les interdits s'effacent pour laisser place aux désirs dans l'obscurité de la nuit, pour être ensuite regrettés au lever du jour. Ne te désire-t-il plus ? Au lieu de cela, il te propose simplement de faire chauffer de l'eau. Les mots résonnent dans ta tête comme un écho déformé. « Buvons du thé, oui. » sonne mauvais sur tes lèvres, le ton sarcastique et mordant alors que tu essayes de garder un sourire détaché. Vous deux en train de boire du thé, on aura tout vu. « J’espère que tu as des biscuits pour les tremper dedans. » ajoute tu, laissant cette phrase à double sens en suspens, comme pour lui tendre une seconde perche qu’il n’a pas su saisir en te voyant arriver. Tu es venue jusqu'à lui, après tout, alors pourquoi ne tente-t-il rien ? Ton agacement grandit face à l'indifférence qu'il te porte. Pourquoi ce manque d'intérêt persiste-t-il ? Ok, il est tard mais tout de même. Et puis techniquement, c'est toi qui devrais être froide après votre dernière dispute, même si tu l'as puni à ta façon. Et te voilà confrontée à son silence et à son absence d’initiative. « Je ne t’ai pas manqué ? » demandes-tu, une pointe de frustration dans la voix. « Je suis clean maintenant. » ajoutes-tu dans un ultime effort pour provoquer une réaction de sa part.


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Kendall Ackerley
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Kendall Ackerley
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pseudo : youngblood.
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pronom irl : elle
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à contacter : sierra.
présence : 7/7, réponses au feeling.
As if the world had never turned (w/--kendall) 15.7
âge : 26 ans, et toute l'insolence qui va avec. nul autre souci que les premières rides, pourtant imperceptibles.

statut civil : il se dit célibataire, bien qu'englué dans une relation en dents de scie ; le cœur brisé par la perte d'une idée fantasmée, jamais le cran d'agir, bien meilleur en coups d'un soir qu'en engagement.

occupation : mannequin, aux yeux du monde. et de grands rêves de musicien, assouvis en secret, lorsque les doigts s'envolent sur les touches du piano.

adresse : loft au 530 cbd.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : hard no : inceste, pédophilie, viol. // selon comment c'est abordé : agression sexuelle, violences conjugales, grooming & relations avec gros écart d'âge. // on peut plus en discuter par mp.
warning : deuil, accident de la route, alcool, drogue, dépression.
infos rp : présence : quotidienne, réponses toutes les 2-3 semaines selon l'inspi.
style rp : j'écris en il ; entre 400 et 1500 mots, selon le rp, l'inspi, etc.
dialogues : en blueviolet, français ou anglais.

disponibilités : 6/5 -- pas de nouveaux jeux.
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· Sam 13 Avr - 22:52

As if the world had never turned

@Billie Butler / tw : relation dysfonctionnelle, mention d'alcool, addiction.

Ce cliché selon lequel les filles sont incompréhensibles l'a souvent, à l'écoute, fait ricaner d'un air méprisant. Pourtant, Kendall est en plein dedans : non seulement le petit jeu de Billie le laisse parfaitement confus, mais en plus, il ne lui dit rien qui vaille. Le pire, c'est qu'il sait qu'il tient là une exception, dans cette morne humeur. Qu'un autre jour, il se serait amusé cruellement de cette mécanique des cœurs. Acceptant sans hésiter la valse macabre, et ne manquant pas, à son tour, de faire virevolter Billie, encore et encore.

Mais pas ce soir : il est fatigué, lassé, et les piques insolentes qui lui auraient la veille tiré un mauvais sourire lui entaillent directement la chair. Il y a quelque chose d'enrageant, dans la manière qu'a Billie de s'inviter chez lui et de questionner chacune de ses assertions, comme s'il lui était intrinsèquement impossible de donner à son corps un rien de répit. De claquer la porte à la gueule des démons le taraudant – comme il aurait sans doute dû le faire, avec elle. L'évidence est criante, maintenant. Foutue faiblesse du palpitant. « Si t'es là pour te bourrer la gueule, Billie, tu trouveras tout ce qu'il faut dans le placard. Tu sais lequel. » Qu'il lâche, dépité, ne prenant même pas la peine de désigner le compartiment correspondant. Elle est suffisamment venue là, sollicitée ou pas, pour connaître les lieux comme sa poche. Et surtout chaque recoin où l'on pourrait trouver quelques grammes de bonheur, en poudre ou en gouttes. Kendall, alors, se contente de lui sortir un de ces immenses verres à vin qui font sa fierté, le glissant au travers de son îlot de cuisine en direction de Billie, dans des airs de puéril défi. La mâchoire carrée de tension, le regard bien droit. Craquera, craquera pas ? « Tu te doutes bien que si moi, j'avais eu envie de boire, je serais soit encore dans un trou en ville, soit en bonne compagnie ici. Dans les deux cas, tu serais restée sur le palier, alors je vois pas de quoi tu te plains. » Manoeuvre bien basse pour détourner le sous-entendu de Billie ; avec une autre, j'aurais couché sans hésiter. Rien n'est plus faux, évidemment. Mais, habile, elle a tiré sur la corde sensible, et Ken préfère la blesser en retour plutôt que d'avoir à reconnaître verbalement que, pour le moment, son désir est aux abonnés absents.

« T'aimerais vraiment que je te dise que oui ? » La voix s'est légèrement départie de son venin ; c'est une curiosité désabusée qui se charge de l'interrogatoire. Il le dirait, si cela suffisait pour avoir quelques heures de paix. Sans doute, même, pourrait-il sincèrement le penser. Mais après ? À quoi cela les a-t-il jamais avancés, de se manquer ? « Pourquoi t'es là, alors, Billie ? T'es jamais restée clean, avec moi. » Il n'y a plus de froideur sous-jacente : quand bien même il l'aurait voulu, la révélation l'a trop pris au dépourvu. Sauf qu'elle n'explique rien ; au contraire, la venue de Billie – et surtout son comportement, ses avances, ses piques – semble directement contredire son auto-proclamée sobriété. Car Kendall n'est pas compagnie saine, à cet égard – et à bien d'autres, mais c'est le plus saillant – ; même armé de la meilleure volonté du monde, il ne pourrait s'empêcher de déclencher une quelconque envie de consommer. « C'est bien, en tous cas. Ça fait combien de temps ? » Il lui en veut de s'être pointée de cette façon chez lui, de souffler le chaud et le froid, de l'attirer encore dans son maelstrom de chaos ; mais l'instinct protecteur devient prédominant, celui qui, malgré tout son ressentiment, juge que préserver la santé de Billie – sa sobriété – est le seul objectif digne de ce nom.


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âge : à seulement (vingt-six ans) son existence consumée laisse entrevoir un ciel déchiré par les erreurs du temps.
statut civil : Solitaire, son cœur vide danse seul dans les ombres de ses addictions, incapable d'aimer et de se laisser emporter par les flots de l'affection. Le (célibat) comme seul allié.
occupation : Elle encaisse les billets, les rêves des autres, alors que ses propres aspirations de danseuse étoile restent en suspens, inassouvies, attendant leur moment sur la scène de sa vie. Elle est guichetière au Palace James St Cinemas
adresse : #88 South Bank et West end, en colocation avec Wes.
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· Mar 7 Mai - 23:29

As if the world had never turned

@Kendall Ackerley & @Billie Butler
tw : drogue, addiction, relation dysfonctionnelle
Tu es arrivée là le cœur audacieux mais l’esprit mêlé d'appréhension, et au fond de toi, tu espérais un accueil plus chaleureux. Mais face à son silence éloquent, tu sens grandir en toi un sentiment de frustration. L'amertume s’immisce dans ta gorge et tu tentes en vain de reprendre contenance face à son attitude flagrante. Est-ce de l'indifférence ? Du mépris ? Ou simplement un manque total de considération ? Pendant un instant, tu te sens désemparée mais par fierté, tu gardes une façade stoïque pour ne pas lui montrer à quel point tu es agacée. Tu le fixes à ton tour t’installant sur l’une des chaises hautes autour de l’ilot, le verre vide entre les doigts. Tu resserres ta prise sur le récipient par crispation devant la froideur qu’il te serre et te mords la lèvre pour réprimer toute réaction impulsive. Tu bouillonnes intérieurement alors qu’un sourire ironique vient habiller tes lippes. Tu as appris à te protéger et à te défendre contre ses petites attaques et tu ne veux pas lui donner le plaisir de te voir déstabilisée sur sa dernière allusion. Tu hésite glisser un commentaire acide en retour parce que l'image de lui avec une autre est insupportable. « Oui… » souffles-tu, te mettant un instant à nue sur ton envie de l’entendre te dire que tu lui as manqué. Tu te raccroches à cette idée avec fébrilité, un peu comme si cela pouvait changer quelque chose et guérir les blessures qui vous séparent. Tu veux croire que même dans les moments les plus sombres, il y a toujours un truc entre vous. Obsession malsaine qui te maintient prise au piégé dans cette relation qui ne vous apporte pourtant que de la peine et de la détresse. « Je sais que ça n'a pas toujours été facile entre nous, mais j’ai envie que les choses changent. » Il n'est certainement pas la meilleure influence pour rester sur le droit chemin, mais avec lui tu peux simplement être toi-même. Tu pourrais lui répondre que ça fait précisément trois mois et neuf jours que tu luttes contre tes démons et que c’est encore difficile pour toi de rester sur la voie du sevrage, surtout quand chaque jour semble s'étirer à l'infini. Mais la lourdeur de son regard te renvoie à l'amère réalité : la simple vérité ne suffira pas à dissiper les doutes qui s'insinuent en lui. Il fait partie de cette longue liste de personnes dont tu dois de nouveau regagner leur confiance. « Je suis sérieuse cette fois-ci, j’ai envie de rester clean. » l’envie ne fait probablement pas tout, mais tu as l’intime conviction que cette fois c’est la bonne. Tu te redresses de ta chaise, abandonnant le verre vide sur l’ilot pour t’approcher un peu plus du jeune homme. Une fois à sa hauteur, tu oses de nouveau un contact. Une main sur son visage, alors que tes yeux se ferment à la chaleur de sa peau. Et du bout des doigts, tu viens effleurer ses joues en lui susurrant « … ne me rejettes pas. »


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