Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : ( trente-cinq ans ) -- l'âge n'a pas d'importance. il a vécu plus de choses dans sa vie que d'autres personnes bien plus âgées. et pourtant, il embrasse cet esprit d'éternel adolescent, qui n'a pas été épargné par la vie.
statut civil : ( officiellement célibataire ) -- l'amour ça fait mal. ca brûle et ça broie le coeur. il est en miette, ce coeur qu'il n'a jamais reconstruit. armé de sa carapace il préfère jouer et se délecter de relations sans véritables engagements. c'est le résumé de celle qu'il vit actuellement, dans les bras de la douce derya, qui n'a eu de cesse de pardonner ses frasques et mensonges.
occupation : ( JRI - journaliste reporter d'images ) -- communément appelé caméraman, il arpente le monde et plus particulièrement les zones de danger et de guerre auprès de son binôme de toujours, harlan, pour la chaîne de télévision australienne, abc brisbane. passionné par son métier, il n'a pourtant pas été épargné par des images traumatisantes qui restent gravées dans un esprit plus totalement sain.
@Alma Flores & @Wes Edison Un traquenard. Elle avait insisté. Sa responsable. Elle lui avait juré que cela lui ferait du bien, qu’il allait beaucoup aimer retrouver les équipes dans un contexte différent. Wes n’était pas convaincu. Il n’aimait pas vraiment ce genre de soirée. Il n’était pas le dernier pour faire la fête, mais pas dans le cadre du travail. Ils étaient tous obnubilés par leur image quand lui n’en avait que faire. Ils étaient tous rythmés par l’envie de faire la plus belle photo pour apparaître sur les réseaux sociaux aux côtés des personnalités les plus influentes. Il y avait du beau monde à cette soirée organisée par la chaîne, c’était une certitude. Et pourtant. Il ne se sentait pas vraiment à sa place. Après tout, il n’était qu’un caméraman. Un homme de l’ombre qui se sentait parfois à l’étroit face à ceux qui ne cherchaient que la lumière. Mais il avait accepté. Elle l’avait eu à l’usure. Il avait cédé comme un idiot et il se retrouvait dorénavant avec l’ensemble des convives à devoir sourire et faire la conversation alors qu’il n’en avait finalement, pas vraiment envie. Il avait quand même fait l’effort de mettre une chemise. Lui qui était un grand adepte du jean – t-shirt sombres. Il avait coiffé ses cheveux, avait troqué ses habituels basket pour des chaussures un peu plus habillées. Il faisait presque preuve d’élégance. Même s’il n’était pas complètement à l’aise. II essaie quand même de se fondre dans la masse. De profiter du moment. De participer à des conversations qui parfois, l’exaspèrent plus qu’elles ne l’intéressent. Et puis, il finit par s’ennuyer. Par regarder l’heure et par chercher une excuse pour rentrer chez lui. Il est encore tôt, il ne peut décemment quitter le navire aussi rapidement. Alors il jette un œil vers la pièce, bondée, à la recherche d’un visage familier. D’un Harlan par exemple. Cet idiot n’est même pas là quand on a besoin de lui. Il le maudit un instant avant que tout ne s’envole. II vient de repérer la personne parfaite. Alma. Collègue, elle était devenue une amie, il y a des années de cela. Elle était différente des autres, moins superficielle, plus intéressante, plus normale en somme. Et ce malgré son influence et son physique parfait. Elle faisait partie de ces rares collègues qu’il voyait en dehors du travail, pour faire la fête la plupart du temps. Il se faufile alors entre les convives et rejoint la belle brune aux allures de gravure de mode. Il attrape sur le chemin deux coupes de champagne. La chaîne mettait les moyens. Toujours lorsqu’il y avait du beau monde et des caméras. Elle était penchée vers le buffet, à la recherche d’un truc à se mettre sous la dent probablement. « Tu ne trouveras pas mieux mieux que ce que j’ai là. » Il affiche un sourire amical alors qu’il lui tend la fameuse coupe de champagne. Cela faisait un moment qu’ils ne s’étaient pas vus. Ces derniers temps, Wes s’était fait plus rare en soirée et il ne cessait d’enchaîner les missions pour s’occuper l’esprit. Il s’accoude à sa gauche avant de lever sa coupe vers la sienne. « Alors comment se porte l’Amour ? » Alma n’était autre que l’animatrice star d’une émission consacrée à l’amour. Autant dire qu’il ne s’agissait guère du genre d’émission que Wes regardait, si bien qu’il s’amusait toujours à la taquiner sur ce sujet, arborant ce petit air taquin dont lui seul avait le secret. Buvant une gorgée de son breuvage qui permettrait peut-être de soulager son mal-être, il hausse les épaules. « Je crois que tu es le seul visage intéressant de cette soirée ! » C’était une certitude. Alma était la seule personne qu’il appréciait véritablement dans cette pièce et il comptait bien en faire sa partenaire dans ce calvaire. Elle qui était toujours partante pour ce genre de chose.
Dernière édition par Wes Edison le Mar 16 Juil - 16:28, édité 1 fois
Alma Parrish
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
multicomptes : jace jenkins (c. evans) ılı enzo rosales (t. carreira) ılı kai butler (c.deidrick)
à contacter : le personnage concerné par la demande
présence : · PRÉSENCE QUOTIDIENNE ·
RP SANS PRESSION
âge : âme arrêtée sur les traits d'un visage à la beauté flamboyante et dont le temps et les années semblent sans égal sur l'immortalité offerte et à sa portée trente brises soufflées dépassé et passée sous silence où elle flâne sur le sable de la jeunesse écoulée et envolée face au souvenir du solstice qui se joue sur ses lippes carmin visibles que sur le papier glacé éclairé par l’astre lunaire qui lui rappelle sans cesse le passé loin d’être effacé autant qu'elle le prétendrait bien loin d'accepter la trentaine arrivé devant le chaos d'une vie brisé dont les sourires cristallins et éclatées ne cesse de vibrait sur son visage.
statut civil : éprise de sa liberté qu'elle chantonne mélodieusement devant les corps qui vacillent autour d'elle, l'incantation qui se répète devant ses prunelles insaisissables avec le refus de s'accrocher une nouvelle fois, myocarde bousiller en morceaux, traumatisme d'une fissure faussement effacée par les sourires contre ses lippes. célibataire, qu'elle hurlera avec conviction au refus de sentiments qui se faneront jusqu'à sa perte, le coeur pas totalement réparé avec la peur immense d'une nouvelle fois s'attacher au risque de se re-fracasser et devance cette peur constante à l’idée que cette fois-ci, elle ne pourrait s'en relever.
occupation : diplômée de journaliste, elle a commencé en bat de l’échelle avant de monter les marche et devenir chroniqueuse de sa propre émission intitulé love and other words spécialisés les relations amoureuse et la sexualité domaine dont dont elle excelle lorsqu’il s’agit d’aider les autres autant qu’elle utilise sa notoriété pour vivre de cette passion qu’elle a refusé d’abandonner avec le titre d’influenceuse de voyages, aventurière dans l’âme, les cultures qui l’ont toujours fascinées ou face à son succès et parce qu’elle se refuse de se cantonner à un seul titre, elle est devenu aujourd’hui une véritable femme d’affaires redoutable quand elle a lancé sa propre société nommé xtravagance en compagnie de sa meilleure amie derya, netflix a décidé de collaborer avec les filles pour plusieurs reportages à travers le regard de chacune, pour alma ces voyages qui font un succès planétaire, elle incapable de rester en place, ou aujourd’hui elle vit son rêve et sa passion les yeux grands ouverts.
adresse : appartement luxueux situé à fortitude valley qu'elle partage avec sa partenaire de crime depuis toujours, sa meilleure amie et aujourd'hui associée derya aslan où une des chambres a été décoré lorsque lou, la fille de sa meilleure amie y vient et qu'elle se transforme par plaisir en baby sitter, un plaisir de retrouver cette ambiance qu'elle aime tant
warning : [ aucun en particulier] 彡 à discuter en amont
infos rp : [ nombre de mots ] en fonction de l'inspiration ça varie en moyenne entre 900 à plus de 2000 mots tant qu'il y a de la matière, seule la qualité compte ┄ [ dialogue ] réponses le plus souvent à la troisième et parfois à la seconde personne au présent et de préférence en français même si je me débrouille en anglais ┄ [ fréquence de rp ] variable selon mon irl et mon inspiration, mais lorsque celle-ci est présente en moyenne réponse en quinze jours, aucune pression.
Légèrement elle soupire, les bras qui se croisent et se décroisent quand au fond la question s’intensifie dans son esprit. Que faisait-elle là ? Elle n’avait pas eu envie de venir, elle n’avait pas la tête à ça et surtout elle s’était imaginée une soirée reposante devant un bon film avec bon verre de vin, une soirée parfaite annulée par la demande de la production qui ne cessait de lui dire que sa présence était nécessaire et surtout que cela faisait partie de son boulot de venir à ce genre d’évènement dont elle ne se sentait pas si à l’aise que ça et cela même si elle savait le camoufler quand il le fallait. Alma aimait sortir avec ses amies, faire la fête, mais pas à se retrouver dans une soirée qui ne lui ressemble pas à devoir sourire à des hommes et des femmes qui l’observeront pour la juger durant toute une soirée où elle sent déjà qu’elle aurait dû trouver une excuse que de se retrouver ici. Un pas qu’elle fait où elle serre sa mâchoire devant ses talons qui lui faisait saigner les pieds. Elle aurait dû éviter les nouvelles chaussures assez pour vouloir faire demi-tour et s’en aller, mais impossible, elle le savait pour finalement faire son entrée et assurer un sourire parfait et une confiance qui émane en elle. Le genre de femme qui plait par son physique lui donnant le sentiment si facile d’être le stéréotype de la fille facile superficielle qui certainement s’adonnait tous les soirs à ce genre de fêtes. Tous ces regards se trompé définitivement sur son compte, mais elle jouait le jeu parce que c’était plus simple que de montrer cette part d’elle qu’elle réservait à ses plus proches amies. Doucement, elle dépose son regard furtivement sur la droite puis la gauche, elle était curieuse de savoir qui était présent où d’un geste de la main elle les saluent où elle n’a pas l’envie de les rejoindre, elle sait déjà que le groupe formé n’attend qu’une chose : Pouvoir parlé à ses hommes et femmes influent pour se satisfaire d’une carrière plus importante ou obtenir une promotion et cela même si ça voulait dire vendre son âme. Très peu pour elle quand elle avance dans un endroit moins bruyant avant de laisser son regard porté au loin où elle serait presque à des années lumières se laissant aller à quelques rêveries avant d’entendre cette voix au loin en devenir plus proche et qu’elle aurait pu reconnaitre facilement assez pour que le sourire lui revienne quand elle observe son regard heureuse de sa présence. « Tu ne trouveras pas mieux mieux que ce que j’ai là. » Une moue qui se dessine sur son visage, mais elle accepte son verre. À la différence de beaucoup, elle n’était pas une fervente de ce nectar trop acide ou peu de goût, mais accepte le verre que Wes lui tend avant de trinquer avec lui. « À une soirée mémorable ! » un ton ironique avant qu’elle observe les gens autour d’eux où des gens influents sont présents et surtout à voir la plupart de leur collègue faire des courbettes pour espérer un poste plus intéressant, une paye plus énorme tandis qu’elle ne semble pas y prêter plus attention.
Elle appréciait sa carrière son poste et également les projets à côté. « Si tu n’étais pas là, je crois que j’aurais pu m’endormir sur une des tables tant la soirée me semble sophronique bien que je dois l'avouer que je suis étonnée que tu sois venu. » Cela aurait pu en surprendre plus d’un et d’une l’imaginant surement adoré ce genre de soirée quand elle aurait préféré profiter d’être à son appartement devant un film à oublier cette semaine bien plus qu’éprouvante. « Alors comment se porte l’Amour ? » le sourire amusé devant ses quelques paroles avant de se retourner vers lui et de hausser des épaules face à la question qui la laisse perplexe. « Je suppose que ça dépend à quel niveau tu fais référence. Si tu parles de ma vie ou de l’émission en général ? Parce que si c’est la seconde option, il va falloir que tu m’offres plus qu’une soirée en ta compagnie Edison ! » elle aimait ses moments avec Wes, ou au fil du temp, il était devenu un véritable ami. Elle savait que cela ne devait pas être facile surtout après tout ce qu’il avait enduré et d’une certaine manière, elle voulait qu’il puisse se sentir plus libre et ne pas sentir les regards portés sur lui comme à son retour sentiment de bête de foire alors qu’elle avait choisi de lui donner de l’espace avant de venir vers lui sans tenter de lui soutirer des infos mais juste à être l’amie dont il aurait besoin sous toutes les formes qu’elle pourrait lui offrir. « Je crois que tu es le seul visage intéressant de cette soirée ! » large sourire qui se forme contre ses lippes où elle plante son regard dans le sien avant de porter ses prunelles vers les gens vacant à leur discussion où elle ne doute pas de l’hypocrisie engendrait assez pour l’agacer, mais heureuse d’y retrouver Wes qui en deviendrait presque son sauveur comme il l’était souvent à ce genre de soirée. « mais dis-moi c’est que tu sais flatter une femme, c’est presque dommage qu’il n’existe pas autant d’homme que toi. T’es certain de ne pas avoir un frère ? Parce que tu pourrais très facilement obtenir le titre du mec parfait ou du moins en apparence » clin d’œil qu’elle lui offre avant de rire un instant à son regard qu’il lui envoie en guise de réponse. Une main qui glisse contre son bras pour y déposer un léger baiser sur sa joue. « Rassure-toi je ne doute pas de tes capacités exceptionnelles que tu dois posséder ! » Une vérité qui sort, mais certainement une façon à elle de le voir se détendre quand elle sait qu’il n’aime pas ce genre de soirée autant qu’elle. Si elle aimait profiter de la vie, sortir, elle n’aimait pas se sentir dans l’obligation comme à cet instant où elle se rassure par la présence de Wes que finalement cette soirée en deviendra intéressante, elle en était convaincue. « Et sinon, raconte-moi. T'as sauvé le monde à ta manière ? » Alma tentait de lui changer les idées, elle pouvait voir qu’il ne se sentait pas à sa place. Elle le comprenait et puis, elle adorait entendre ces anecdotes, elle admirait ce qu’il faisait loin d’être certaine d’en avoir sa capacité, elle appréciait ces moments avec lui, lui si différent et plus encore, à ses côtés, elle n’avait pas à faire semblant quand il voyait au-delà des apparences et elle devait le reconnaitre, cela lui faisait un bien fou, pas de faux semblants devant une amitié réelle.
Wes Edison
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âge : ( trente-cinq ans ) -- l'âge n'a pas d'importance. il a vécu plus de choses dans sa vie que d'autres personnes bien plus âgées. et pourtant, il embrasse cet esprit d'éternel adolescent, qui n'a pas été épargné par la vie.
statut civil : ( officiellement célibataire ) -- l'amour ça fait mal. ca brûle et ça broie le coeur. il est en miette, ce coeur qu'il n'a jamais reconstruit. armé de sa carapace il préfère jouer et se délecter de relations sans véritables engagements. c'est le résumé de celle qu'il vit actuellement, dans les bras de la douce derya, qui n'a eu de cesse de pardonner ses frasques et mensonges.
occupation : ( JRI - journaliste reporter d'images ) -- communément appelé caméraman, il arpente le monde et plus particulièrement les zones de danger et de guerre auprès de son binôme de toujours, harlan, pour la chaîne de télévision australienne, abc brisbane. passionné par son métier, il n'a pourtant pas été épargné par des images traumatisantes qui restent gravées dans un esprit plus totalement sain.
@Alma Flores & @Wes Edison Wes détestait ce genre de soirée. Parce qu’il devait parler à des hypocrites ou à des gens qu’il n’appréciait guère. Il n’était pas le genre à aller faire du charme aux personnes influentes pour se faire bien voir ou pour se placer. Son travail au quotidien suffisait largement. Et puis, il avait pris une distance avec ce genre de festivités depuis cette expérience traumatisante à l’autre bout du monde, que beaucoup n’avait guère oublié. Il n'avait pas envie que l’on parle de lui, juste pour cette raison et encore moins qu’on l’interroge sur ce qu’il avait vécu, sous couvert d’une conversation amicale avec un verre de champagne à la main. Il détestait le small talk ridicule que ces gens pouvaient proposer. C’était probablement la raison qui le poussait à chaque fois, à retourner sur le terrain, à vadrouiller à travers le monde, loin des paillettes d’une chaîne de télévision, au cœur des véritables sujets. Mais le fait est qu’il y avait été contraint. Tout au moins, il s’était engagé à passer, sans pour autant jurer d’y rester plus d’une heure. Ou peut-être deux, maintenant qu’il avait réussi à trouver quelqu’un d’un tant soit peu intéressant. Alma Flores. Sa réputation la précédait à cette plantureuse femme qui faisait fantasmer beaucoup d’hommes de cette société. Il n’aurait pas été surpris de la voir au bras de l’un d’entre eux un jour. Pourtant, elle n’avait rien à voir avec eux. Elle était différente et c’était ce qu’il avait apprécié chez elle. D’une sincérité et d’un franc parlé déconcertant. C’était appréciable dans ce monde de faux semblant. Leurs verres s’entrechoquent alors qu’ils semblent former une alliance de soutien face à cette soirée superficielle. « À une soirée mémorable ! » Wes ne peut s’empêcher de rire. D’un rire franc. Cette soirée ne serait à coup sûre, pas mémorable. Ou peut-être qu’elle le serait, mais sans lui. « J’attends 22 heures et je me casse. » lâche-t-il en souriant, lui témoignant tout le calvaire que représentait ces festivités. Une gorgée de champagne coule dans sa gorge bien trop habituée aux effluves d’alcool ces derniers temps, et pas vraiment pour de bonnes raisons, alors que son regard se porte sur cette foule de personnes qui font semblant de s’apprécier. « Si tu n’étais pas là, je crois que j’aurais pu m’endormir sur une des tables tant la soirée me semble sophronique bien que je dois l'avouer que je suis étonnée que tu sois venu. » Un large sourire nait sur le visage creusé du journaliste. Elle le connaissait bien Alma. S’ils se croisaient fréquemment en soirée, il était rare que ce soit à celles organisées par leur entreprise. « La vérité c’est qu’on m’a un peu forcé la main pour être là, comme tu peux l’imaginer. Je crois que si je ne t’avais pas vu, j’aurais déjà fui. » Il était à deux doigts de le faire en réalité. Bien plus intéressé par l’idée de rentrer chez lui, même si cela voulait dire qu’il retrouverait son horrible colocataire, plutôt que d’être ici. La conversation dévie rapidement, simplement faisant référence au thème de son émission. Cela faisait un moment que Wes n’avait pas pris le temps de discuter avec Alma, bien trop occupé à ses propres reportages. Si elle semble amusée, elle ne semble pas avoir compris la teneur de sa question. « Je suppose que ça dépend à quel niveau tu fais référence. Si tu parles de ma vie ou de l’émission en général ? Parce que si c’est la seconde option, il va falloir que tu m’offres plus qu’une soirée en ta compagnie Edison ! » Il sourit et hausse les épaules. Il n’était pas le genre de personne à être intrusif dans la vie des gens. Il était évident qu’il ne parlait pas d’elle personnellement. « Je faisais, bien entendu référence à l’Amour en général, à ton émission quoi. Mais tu penses qu’il y a tant de chose à dire que ça sur l’amour ? » Après ses échecs sentimentaux, Wes avait en quelque sorte, fait une croix sur l’amour. Parce que ça faisait mal et qu’il préférait se consacrer à son travail, pour lequel il excellait bien plus. Confidence pour confidence, Wes avoua, sur un ton des plus nonchalants qu’elle représentait le seul visage intéressant de cette soirée. C’était un fait. Après tout, elle n’était pas devenue son amie pour rien. « Mais dis-moi c’est que tu sais flatter une femme, c’est presque dommage qu’il n’existe pas autant d’homme que toi. T’es certain de ne pas avoir un frère ? Parce que tu pourrais très facilement obtenir le titre du mec parfait ou du moins en apparence » Cette fois, c’est un rire, franc et massif qui s’échappe d’entre ses lèvres. Même lui ne croit un traitre mot de ce qu’Alma était en train d’avancer. Le contact qu’elle initie entre eux le désarçonne un instant alors que les lèvres de la jeune femme virent trouver sa joue. Beaucoup d’hommes auraient payé pour être à sa place. « Oh crois moi, Alma, je suis très très loin d’être parfait. » C’était un fait que Derya, Ruth ou Billie pourraient très aisément contredire. Wes était loin d’être l’homme parfait et il n’aspirait pas à le devenir. Cela devait être ennuyeux. « Malheureusement, je n’ai pas de frère. Mais j’ai une sœur si tu veux. » Il affiche un sourire amusé avant de s’hydrater d’une nouvelle coupe de champagne. Il en avait besoin pour tenir. « Rassure-toi je ne doute pas de tes capacités exceptionnelles que tu dois posséder ! » Alma avait un don pour charmer son entourage. Wes mentirait s’il disait y être totalement insensible, bien qu’il soit actuellement complètement fermé à toute sorte once d’amour. « Qui flatte qui maintenant ? » Lui dit-il en la défiant du regard, afin de lui faire croire qu’il n’était pas désarçonné par cette attitude qu’elle avait envers lui. « Et sinon, raconte-moi. T'as sauvé le monde à ta manière ? » Elle savait mettre le monde qui l’entourait à l’aise. A commencer par Wes. Il hausse les épaules affichant une petite moue de fierté. « On peut dire ça comme ça ouais. Plus sérieusement, on bosse pour repartir sur le terrain là, en Ukraine notamment… Je ne sais pas si j’y suis prêt mais bon, advienne que pourra. » Il affiche un sourire détendu, comme si cette décision ne représentait rien, alors que dans sa tête, c’était tout autre. Les horreurs de la guerre, il les avait vécu depuis bien longtemps et continuait de les vivre au travers de cauchemars parfois dévastateurs. Mais il aimait son métier et se refusait à arrêter. « On va se fumer une clope dehors ou tu veux absolument rester ici ? » après tout, Wes n’avait pas forcément l’intention de profiter de la soirée alors à quoi bon rester ?
Alma Parrish
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statut civil : éprise de sa liberté qu'elle chantonne mélodieusement devant les corps qui vacillent autour d'elle, l'incantation qui se répète devant ses prunelles insaisissables avec le refus de s'accrocher une nouvelle fois, myocarde bousiller en morceaux, traumatisme d'une fissure faussement effacée par les sourires contre ses lippes. célibataire, qu'elle hurlera avec conviction au refus de sentiments qui se faneront jusqu'à sa perte, le coeur pas totalement réparé avec la peur immense d'une nouvelle fois s'attacher au risque de se re-fracasser et devance cette peur constante à l’idée que cette fois-ci, elle ne pourrait s'en relever.
occupation : diplômée de journaliste, elle a commencé en bat de l’échelle avant de monter les marche et devenir chroniqueuse de sa propre émission intitulé love and other words spécialisés les relations amoureuse et la sexualité domaine dont dont elle excelle lorsqu’il s’agit d’aider les autres autant qu’elle utilise sa notoriété pour vivre de cette passion qu’elle a refusé d’abandonner avec le titre d’influenceuse de voyages, aventurière dans l’âme, les cultures qui l’ont toujours fascinées ou face à son succès et parce qu’elle se refuse de se cantonner à un seul titre, elle est devenu aujourd’hui une véritable femme d’affaires redoutable quand elle a lancé sa propre société nommé xtravagance en compagnie de sa meilleure amie derya, netflix a décidé de collaborer avec les filles pour plusieurs reportages à travers le regard de chacune, pour alma ces voyages qui font un succès planétaire, elle incapable de rester en place, ou aujourd’hui elle vit son rêve et sa passion les yeux grands ouverts.
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Prétendre et faire semblant sur le papier tout était plus facile au point qu’avec le temps et les années, elle arborait une démarche impeccable de l’image qu’on avait de elle souvent à la faire sourire quand derrière les artifices elle se doutait pertinemment que la surprise en serait énorme et pourtant, Alma n’en avait que faire des sous-entendus, des messes basses sur son passage qui se désignait souvent à l’observer avec plus de ferveur quand elle savait qu’elle avait un physique qui ne laissaient pas les hommes indifféremment et au sein de la chaîne, elle n’avait pas manqué parfois à soupirer jusqu’à être agacé sans répondre. Elle ne comptait pas le nombre de fois où elle avait dû remettre en place certain au point que se retrouver à cette soirée était loin de l’enthousiasmer comme elle en avait tant l’habitude. Ces derniers temps, elle aspirait à vouloir plus, les voyages lui manquaient, elle appréciait sauter dans un avion en direction d’un pays loin à l’image de ce qu’on l’on pouvait à nouveau songer d’elle, capacité réduit à sa beauté quand elle portait en elle à vouloir être bien plus. Ces voyages porté à lui offrir la chance de le montrer et surtout le visage que chaque pays regorgé d’une vérité parfois difficile, loin du paysage féérique, elle n’avait pas hésité à montrer la partie la plus pauvre, celle des oubliés comme elle l’avait si souvent entendu, celle qu’on refuse de voir parce que c’est si facile de fermer les yeux. A travers ses voyages, elle a voulu faire passer un message et ça même si cela voulait dire mettre en jeu beaucoup de choses, sa réputation, sa carrière, elle n’en avait eu que faire devant ces instants de vérités qui l’avait touché, elle qui avait vécu dans la misère durant des années avant de montrer au sommet refusé d’oublier d’où elle venait. Légèrement elle sort de ses pensées quand elle entend son prénom qui fait écho pour sourire en guise de réponse, elle se doute déjà des regards qui se tourne quand la surprise devait intrigué à la voir hésitante, mais elle n’avait pas le choix, sa patronne avait besoin d’elle. Image parfaite qu’elle représentait quand son émission faisait un carton sans compter que les réseaux étaient devenus un vrai business pour elle, don qu’elle apportait à la chaîne qui faisait des audiences sur le net. Elle haussa des épaules quand elle ne sait pas ce qu’elle ressentait, heureuse ou peut-être qu’à force elle finissait par tomber dans le moule quand elle était le genre de femme à bouger. Elle appréciait son métier, aider les autres à sa manière, don pour les conseils amoureux que sexuel se doutant de l’avis des gens sur la questions.
Une main qui glisse dans ses cheveux où l’envie de faire demi tour se suggère dans son esprit qu’elle efface rapidement, ce n’était pas comme si elle avait le choix. Sourire qui aiguise son visage où prétendre, faire semblant en devient un vrai jeu d’enfant, Alma avance, observe comme toujours sans trop savoir où aller. Elle les voit ses hommes pleins aux as, ceux qui sont déjà accompagné par les nouvelles stagiaires qui sourit, éclate d’un faux rire devant les blagues salasses qu’elle a si souvent entendu sans pour autant y répondre. Provocation quand elle sait que cela peut lui couter chère, mais dont elle n’a que faire. Image qui se déploie à faire partie de son business, c’est en tout cas ce que sa bosse n’a eu de cesse de dire pour rattraper ses moments de lucidités quand Alma n’a pas toujours envie de suivre le moule. Finalement, son sourire en devient sincère quand elle le voit et qu’il lui sourit à son tour. Elle se doute qu’il n’est pas là non plus par envie, elle finit par le connaître Wes assez pour sans même réfléchir venir à ses côtés et accepté la coupe qu’il lui tend. « J’aurai préféré une bière, mais j'imagine que ça fera l’affaire » avec lui, elle n’a pas à jouer et au fond cela lui fait du bien peut-être l’un des seuls qui l’a vu au-delà des apparence peut-être parce qu’elle le côtoie en dehors face à sa relation avec Derya. Au fond, elle ne le sait pas, elle apprécie Wes quand lui aussi n’a pas peur d’être lui-même qu’importe les conséquences. Si elle s’amuse à trinquer face à ses sarcasmes, elle se doute qu’être ici pour lui est loin d’être si facile. Elle le voit qu’il n’est pas dans son élément songeant à quel point revenir à cette réalité, celle où tout est faussé d’une image à offrir est loin de lui plaire quand lui en a vu des choses difficiles. « J’attends 22 heures et je me casse. » sa réponse la fait sourie, loin d’être surprise, mais s’y amuse quand elle voit le regard de Wes observait autour d’eux se doutant qu’il ne s’est pas mis dans ce coin par hasard, à l’abri même si Alma en sait les raisons se doutant des questions qui ne cesseraient de lui revenir pour l’agacer au plus au point. « Pourquoi il se passe quoi après 22 heures ? Tu te transformes en citrouille sinon ? » elle tente de lui changer les idées et le voir sourire à ses propos semble marqué des points pour Alma qui apprécie de le voir plus à l’aise que stressé comme il peut l’être face à cette soirée loin d’être animé par le plaisir quand le boulot est toujours de mise par ici. « Je me demande surtout si tu arriveras réellement à tenir deux heures de plus surtout face à ces hypocrites qui t’ont certainement déjà repéré » elle l’a remarqué bien avant lui ou peut-être tente-t-il à sa façon de nier l’évidence, au fond, elle le comprend et prête à jouer le jeu quand elle sait qu’il est là parce qu’il n’a pas dû avoir le choix à lui aussi. « La vérité c’est qu’on m’a un peu forcé la main pour être là, comme tu peux l’imaginer. Je crois que si je ne t’avais pas vu, j’aurais déjà fui. » Prunelles qui ne lâchent pas Wes du regard où elle en accepte le compliment amusée avant de sourire un instant pour boire une gorgée de ce champagne millésime qui a dû coûter une fortune et pourtant qu’elle repose secouant la tête. « Être apprécié de Wes Edison n’est pas donné à tout le monde, je dois être chanceuse, la plus chanceuse ce soir tu fais ma soirée ! » taquinerie avant de glisser sa main sous son bras pour observer attentivement les gens. « Et comment Wes Edison s’amuse dans ce cas parce que ça je veux le savoir ! » elle avait envie d’apprendre à le connaitre loin du boulot, loin de Derya quand finalement Wes et elles ont beaux s’entendre, finalement il en reste un mystère si ce n’est de savoir tout ce qu’il avait enduré. Elles les avaient vu à son retour venir sur lui comme un animal en manque de commérage avant de lever les yeux au ciel se doutant de sa gêne et à quel point cela été difficile. En vérité, elle avait beau avoir tellement de questions face à sa curiosité légendaire, elle s’était retenue parce qu’elle savait combien c’était difficile et que s’il avait eu envie d’en parler, il le ferait de lui-même. Alma se percute à l’observer devant sa question sans savoir vraiment s’il faisait référence à sa vie loin d’être aussi idyllique qu’on ne pourrait l’imaginer à la différence de son émission où elle devait admettre qui lui arrivait d’avoir des questions assez imagée où elle s’estimait heureuse d’avoir l’esprit si ouvert. « Je faisais, bien entendu référence à l’Amour en général, à ton émission quoi. Mais tu penses qu’il y a tant de chose à dire que ça sur l’amour ? » Il semblait véritablement sincère face à sa question et surtout à vouloir savoir, elle hausse un instant des épaules. Au fond, elle se doute que face à cette demande c’est que lui aussi avait dû vivre un calvaire dans ces relations, elle n’était pas dupe quand elle savait tout ce qui s’était passé avec Derya avant de les revoir ensemble sans vraiment comprendre réellement leur relation. « Si tu fais référence à mon émission alors l’amour se porte à merveille, du moins j’ai envie de croire que mes conseils aident les gens face à leur problème » elle espérait quand elle-même en aurait eu besoin, peut-être qu’elle n’aurait pas vécu un tel traumatisme, mais au fond, elle savait que c’était face à cette expérience qu’elle pouvait servir à quelque chose et donné un peu d’amour à sa manière à ces gens qui voulaient et avait besoin d’y croire encore. « Tu sais l’amour c’est vaste, compliqué je le nie pas, mais au fond on a tous besoin, t’es bien placé pour le savoir sinon pourquoi tu es avec Derya une nouvelle fois ? » elle ne jugeait aucune façon leur relation, un brin protectrice avec sa meilleure amie quand la curiosité finissait par faire son chemin. « Si tu veux mon avis, y aura toujours quelque chose à dire en tout cas, j’ai envie d’y croire au moins pour les autres » sincérité qu’elle lui offre quand au fond elle était soulagée que sa question reste du domaine professionnelle. Elle n’avait guère envie de parler de sa vie personne lorsqu’il n’y avait rien à dire. Acharnée du travail qu’elle en devenait ces temps-ci pour tenter d’oublier ce vide et à la fois la peur de se retrouver une nouvelle fois brisé par un homme qui la blesserait encore. « Et puis... j’imagine que c’est rassurant de pouvoir parler de ces soucis, de ces besoins avec quelqu’un qui pourra les aider sans les juger. Je ne suis pas forcément la meilleure dans ce domaine, mais je crois que oui, oui il y a beaucoup à dire dessus, me dis pas que tu es le genre à avoir renoncer, ce serait si triste canon comme tu es » moue qui se dessine sur son visage avant de rire où elle espérait qu’il ne soit pas ma à l’aise quand elle n’était pas le genre à mâcher ses mots avec cette tendance de dire ce qu’elle pensait et avec Wes étrangement cela semblait plus facile qu’elle n’aurait pu le croire. « Oh crois moi, Alma, je suis très très loin d’être parfait. » elle n’en doutait pas, mais qui était parfait quand elle ne l’était pas ? C’était surement plus facile d’offrir une image parfaite que d’y montrer derrière son apparence toute les cassures qui s’y cachait. « Personne ne l’est, mais crois-moi tu as peut-être commis des erreurs, mais tu n’en reste pas moins le genre d’hommes que beaucoup de femmes rechercherait » elle savait que cela n’avait pas dû être simple son histoire avec Ruth, elle en avait comme beaucoup entendu parler et plus encore par Derya, mais elle estimait qu’il n’y avait rien de mal à profiter de ce que la vie pouvait apporter tant que personne n'était blessée dans l’histoire. « J’ai surtout l’impression que tu as peur, peur de ressentir à nouveau quelque chose et j’imagine que cette relation avec Derya te convient parce que justement c’est facile quand vous n’attendez rien l’un de l’autre » elle n’était pas dupe non plus Alma, elle ne veut pas le froisser, mais elle ne pouvait s’empêcher de resté intrigué par Wes se doutant que lui aussi avait dû vraiment souffrir. « Quoique tu penses, toi aussi t’as le droit d’être heureux même si j’imagine que c’est plus facile à dire qu’à faire » expérience qui parle quand elle fonce les sourcils à la recherche d’un verre pour s’exaspérer elle-même. « Une soirée qui vaut des centaines de milliers de dollars si ce n’est million et il pouvait pas songer à autre chose que du champagne » telle une enfant qui secoue la tête avant d’observer les regards qui se montre beaucoup plus intrusif à leur côté se doutant déjà des idées faites et qui l’amuse. « Qui flatte qui maintenant ? » Elle sourit voyant qu'il semblait apprécier ce petit flirt qu'elle offre. Provocation qui s'empare d'elle face à son regard qui ne la lache pas, elle aimait jouer et étrangement elle voyait bien que lui aussi l’était assez pour presque songer que cette soirée semblait plus attrayante certainement grâce à Wes. « Malheureusement, je n’ai pas de frère. Mais j’ai une sœur si tu veux. » finalement, Alma emprunte la coupe de champagne du beau brun pour se désaltérer avant de lui lancer un clin d’œil. « C’est dommage et triste qu’il n’y ait pas deux exemplaires je n’aurai pas dit non, mais je note que tu as une sœur, je l’ignorais et vous entendez bien ? Elle vit ici ? » elle se retient de lui lancer un tas de questions quand sa curiosité prend le dessus pour ne plus l’arrêter. « On peut dire ça comme ça ouais. Plus sérieusement, on bosse pour repartir sur le terrain là, en Ukraine notamment… Je ne sais pas si j’y suis prêt mais bon, advienne que pourra. » cette fois-ci, Alma l’écoute avec attention, silence qui la gagne quand elle le voit malgré ses dires détendu assez pour se sentir soulagé de ne pas l’avoir mis dans l’embarras malgré que le doute plane sans savoir si elle pouvait ou non oser lui poser cette question à laquelle elle se doute qu’on a dû lui poser un millier de fois. « Je ne vais pas te demander si tu penses que c’est une bonne idée après tout ce qui t’es arrivé quand je me doute qu’on te l’a déjà posé, mais toi qu’est-ce que tu veux, je ne suis pas certaine que repartir dans de telle conditions soit une bonne chose, c’est un lourd trauma que tu as vécu Wes, tu ne penses pas que tu devrais en parler à quelqu’un avant de repartir sur le terrain ? » elle n’avait pas envie de le voir se braquer, mais malgré tout, elle comprenait ses dires, faire semblant que tout allait bien, elle en était experte quand derrière les cauchemars étaient loin de se dissiper assez pour se douter de l’ambiance que cela devait être pour lui davantage face à sa propre solitude. « On va se fumer une clope dehors ou tu veux absolument rester ici ? » Alma l’observe avant de regarder les gens derrière eux bien trop occupé à rire et flirté pour obtenir gain à l’idée d’une promotion où de songer à bien plus. « Et si on allait plutôt ailleurs sauf si l'idée ne pas revenir ici te rendrait bien trop triste, je ne voudrais pas brisé le cœur de Wes Edison ! » elle avait envie de continuer cette soirée à ses côtés, mais loin des artifices de ces mondanités ou ce soir elle n’arrive pas à faire semblant quand ces derniers temps elle ne cessait de tout remettre en question.
Wes Edison
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
âge : ( trente-cinq ans ) -- l'âge n'a pas d'importance. il a vécu plus de choses dans sa vie que d'autres personnes bien plus âgées. et pourtant, il embrasse cet esprit d'éternel adolescent, qui n'a pas été épargné par la vie.
statut civil : ( officiellement célibataire ) -- l'amour ça fait mal. ca brûle et ça broie le coeur. il est en miette, ce coeur qu'il n'a jamais reconstruit. armé de sa carapace il préfère jouer et se délecter de relations sans véritables engagements. c'est le résumé de celle qu'il vit actuellement, dans les bras de la douce derya, qui n'a eu de cesse de pardonner ses frasques et mensonges.
occupation : ( JRI - journaliste reporter d'images ) -- communément appelé caméraman, il arpente le monde et plus particulièrement les zones de danger et de guerre auprès de son binôme de toujours, harlan, pour la chaîne de télévision australienne, abc brisbane. passionné par son métier, il n'a pourtant pas été épargné par des images traumatisantes qui restent gravées dans un esprit plus totalement sain.
@Alma Flores & @Wes Edison A mesure que Wes discutait avec Alma, il comprenait toute la subtilité du personnage. Bien loin des artifices et de la réputation qu’on voulait lui donner. Elle n’était pas celle qu’elle transparaissait. Bien sûr, il s’en doutait, à moindre mesure, depuis qu’il la connaissait, pour ces fois où il avait pu discuter avec elle, avec ou sans Derya. Bien sûr, il savait qu’elle était bien moins superficielle qu’elle n’y paraissait et c’était la raison qui le poussait à continuer à aller vers elle. Mais il ne s’était pas attendu à ce qu’elle soit aussi différente de ce portrait que l’on pouvait dépeindre d’elle. Elle était franche et particulièrement intéressante, bien au-delà de son physique. Ce dernier était ce qui attirait l’œil. Des femmes, par jalousie ou par envie, et les hommes, par envie, principalement par envie. Wes n’y faisait guère exception. Du moins, au début. C’était son physique particulièrement attrayant qui l’avait poussé vers elle, tout en gardant une distance raisonnable car il s’agissait d’une amie de Derya. Il n’en restait pas moins un homme. Mais plus il parlait avec elle, plus il voyait au-delà de ce simple corps aux lignes parfaites. A commencer par son indifférence à ce breuvage qui coulait, dans ce genre de soirée, à flots. « J’aurai préféré une bière, mais j'imagine que ça fera l’affaire » Elle trinque pourtant avec lui. Il apprécie l’effort avec un petit sourire amusé. « Je n’aurais vraiment pas cru que la princesse Alma soit Team bière, décidément, tu es surprenante. » Il boit quelques gorgées de champagne, ce liquide gazeux et particulièrement luxueux pour beaucoup. Wes le boit en réalité comme il pouvait boire une bière. Bien que ces derniers temps, il avait plutôt tendance à se délecter d’alcool bien plus fort. « Pourquoi il se passe quoi après 22 heures ? Tu te transformes en citrouille sinon ? » Alma était une femme solaire, ayant un don pour mettre son entourage à l’aise et détendre l’atmosphère. C’était ce que Wes aimait chez elle, après ce naturel déconcertant mais captivant. Il esquisse un sourire. « Uniquement si je reste ici. » Invitation à partir, à fuir cet endroit qui ne lui offrait rien de plus qu’une bonne image auprès de sa responsable. Il attendait impatiemment que ce moment s’achève. Mais pour qu’il passe plus vite, il était évident qu’il cherchait à être en bonne compagnie. Une compagnie qui lui ressemblait. « Je me demande surtout si tu arriveras réellement à tenir deux heures de plus surtout face à ces hypocrites qui t’ont certainement déjà repéré » Elle marquait un point. Wes n’était de toute évidence pas à son aise ici. Il ne l’avait jamais réellement été mais cela s’était intensifié à son retour de mission. La fameuse mission qui l’avait rendu célèbre au-delà de ses simples collègues de bureau. « Tu marques un point, tout dépend de si tu décides de m’abandonner ou pas. » En l’absence de Harlan, Alma était la seule personne avec laquelle il se sentait à l’aise. Alors, il se raccrochait à elle pour supporter cette soirée qui s’annonçait compliquée. Il le lui confiait ouvertement. Il n’aurait pas été capable de rester une minute de plus s’il n’avait pas croiser son regard. « Être apprécié de Wes Edison n’est pas donné à tout le monde, je dois être chanceuse, la plus chanceuse ce soir tu fais ma soirée ! » Un rire franc s’échappe des lèvres du caméraman à la plaisanterie de la jolie brune. Il avait presque l’impression d’être un animal sauvage à ses yeux, incapable de se sociabiliser. Et quelque part, elle avait peut-être raison. Il ne parvenait à se sociabiliser avec l’hypocrisie, c’était un fait qu’il ne pouvait nier. « Tu n’imagines pas à quel point. » Entrant dans son jeu, il lui lance un regard entendu, laissant à penser que cette chance allait bien au-delà de ce qu’elle pouvait imaginer. Alors que la réalité était qu’il n’y avait personne de plus ordinaire que lui. « Et comment Wes Edison s’amuse dans ce cas parce que ça je veux le savoir ! » Wes était en réalité quelqu’un de simple, bien que brisé par la vie. Il aimait davantage voyager, découvrir le monde, partir à l’autre bout du monde pour capter l’essence d’une vie différente que ce cocon australien dans lequel ils vivaient. C’était ce qui le rendait et l’avait toujours rendu vivant. Bien que c’était aussi ce qui l’avait brisé. « Loin de ces gens ? » Plaisanterie acerbe envoyée à l’encore de cette foule d’hypocrisie avant de reprendre son sérieux. « Le voyage, l’aventure, les reportages, c’est ce qui me plait. Mais bon, tout n’est pas que plaisir dans la vie j’imagine. » Mince référence au revers d’une passion. Une passion qui le galvanisait tout en le détruisant… Mais là n’était pas le sujet. « Et toi alors, quels sont les passe-temps préférés de la belle Alma Flores ? » Il était curieux. Curieux de percer un peu plus cette carapace. La belle carapace d’Alma Flores. Elle était intrigante à bien des égards. L’attention dévie sur elle. Créature divine d’Alma Flores et de son émission dont l’essence était l’amour. Une bien sombre notion pour un Wes qui n’y croyait plus vraiment. « Si tu fais référence à mon émission alors l’amour se porte à merveille, du moins j’ai envie de croire que mes conseils aident les gens face à leur problème » Étonné, il l’était. Un peu jaloux aussi peut-être, rêvant secrètement de vivre une histoire simple et sans blessure. Mais il savait que la réalité était bien plus cruelle que cela. Il acquiesce alors simplement, se demandant comment l’amour pouvait se porter aussi bien dans un monde aussi fou. « Tu sais l’amour c’est vaste, compliqué je ne le nie pas, mais au fond on a tous besoin, t’es bien placé pour le savoir sinon pourquoi tu es avec Derya une nouvelle fois ? » Un instant, Wes fronce les sourcils. Alma ne semblait pas avoir parlé à Derya depuis un certain temps. Leur rupture était récente. Trop récente peut-être. « On est plus ensemble avec Derya. C’était compliqué et puis j’étais avec elle pour de mauvaises raisons, elle méritait mieux. » Dans toute cette histoire, Derya était le dommage collatéral le plus évident. Wes n’avait pas été l’homme qu’il aurait dû être avec elle, et la raison avait fini par l’emporter pour que chacun puisse retrouver un nouvel équilibre, loin l’un de l’autre, sans mensonge, sans manipulation, sans tromperie. Derya était quelqu’un de bien. Il avait pu le découvrir ces dernières semaines. Elle méritait une histoire passionnante, un amour inconditionnel et que l’on déplace des montagnes pour elle, ce dont Wes était incapable. « Si tu veux mon avis, y aura toujours quelque chose à dire en tout cas, j’ai envie d’y croire au moins pour les autres » Derechef, ses mots l’interpellent. « Attends, la grande prêtresse de l’amour y croit pour les autres mais pas pour elle ? » Un regard amusé lancé à son interlocutrice sans pour autant essayer de rentrer dans son intimité. Wes la comprenait. Parce qu’il vivait pour son boulot et ne croyait plus vraiment en l’amour depuis quelque temps déjà. « Et puis... j’imagine que c’est rassurant de pouvoir parler de ces soucis, de ces besoins avec quelqu’un qui pourra les aider sans les juger. Je ne suis pas forcément la meilleure dans ce domaine, mais je crois que oui, oui il y a beaucoup à dire dessus, ne me dis pas que tu es le genre à avoir renoncer, ce serait si triste canon comme tu es » Un mince sourire s’affiche sur les lèvres du cameraman. Il n’était pas ce ceux qui savaient qu’il avait un physique attrayant. Bien au contraire. Il ne se voyait que comme un homme lambda, un homme normal, qui pouvait plaire comme déplaire. La beauté était une notion bien subjective après tout. Mais le compliment était agréable à entendre. « Ouais, je crois hélas que je fais partie de ceux qui ont renoncé. » lui-avoue-t-il sans en dire plus, bien qu’elle devait connaître une partie de cette histoire qui le liait à Ruth. Il hausse les épaules, si peu à l’aise avec ce sujet. Peu à l’aise avec les compliments et peu à l’aise avec cette perfection qu’elle lui attitrait. Perfection bien erronée à ses yeux. Même lui en était conscient. « Personne ne l’est, mais crois-moi tu as peut-être commis des erreurs, mais tu n’en reste pas moins le genre d’hommes que beaucoup de femmes rechercherait » Il n’était pas vraiment convaincu de ce qu’il entendait. Il avait tant blessé et été blessé par l’amour qu’il avait dû mal à comprendre comment il pouvait rester quelqu’un d’intéressant pour les autres femmes. « Ah bon ? Je crois que tu as une vision erronée de moi Alma, mais c’est gentil, ça me touche. » lui-dit-il avec un sourire amusé alors qu’il se laissait aller à une nouvelle gorgée de champagne. « Quoique tu penses, toi aussi t’as le droit d’être heureux même si j’imagine que c’est plus facile à dire qu’à faire » Il hausse les épaules. Le bonheur était pour lui, un concept un peu flou. Un concept qu’il n’arrivait à effleurer. Pas même du bout des doigts. « Une soirée qui vaut des centaines de milliers de dollars si ce n’est million et ils ne pouvaient pas songer à autre chose que du champagne » Un nouveau rire. Décidément, Alma était bien plus amusante qu’il ne l’aurait pensé. « Raison de plus pour ne pas rester ! » La fuite était la meilleure solution, c’était une évidence qu’ils ne pouvaient plus nier. Un flirt nouveau s’installe entre eux. Un flirt frais, drôle et qui faisait finalement du bien. Un jeu dans lequel Wes pouvait se lancer sans arrière-pensée et sans culpabilité. Il ne devait plus rien à personne. « C’est dommage et triste qu’il n’y ait pas deux exemplaires je n’aurai pas dit non, mais je note que tu as une sœur, je l’ignorais et vous entendez bien ? Elle vit ici ? » Large sourire laissant apparaitre ses fossettes semblent s’installer de manière pérenne sur son visage. « Hélas, je suis le seul et unique exemplaire de mon espèce, il va falloir se contenter de moi. Mais si tu veux le numéro de ma sœur, je peux te le donner. Elle vit à Brisbane. » Un clin d’œil amusé en direction de son interlocutrice avant d’achever son breuvage, avant que les choses ne redeviennent plus sérieuses. Il mentionne son départ pour l’Ukraine. Un départ pour lequel il ne se sent pas réellement prêt mais qu’il camoufle derrière son habituelle nonchalance. « Je ne vais pas te demander si tu penses que c’est une bonne idée après tout ce qui t’es arrivé quand je me doute qu’on te l’a déjà posé, mais toi qu’est-ce que tu veux, je ne suis pas certaine que repartir dans de telle conditions soit une bonne chose, c’est un lourd trauma que tu as vécu Wes, tu ne penses pas que tu devrais en parler à quelqu’un avant de repartir sur le terrain ? » Alma avait raison. Wes était trop brisé pour retourner sur le terrain. Mais il était trop fier pour l’avouer. Pas devant Alma ni devant personne. Du moins, pas pour le moment. « On verra bien ce qu’il se passera. Je pense qu’il vaut mieux ne pas trop penser. » Le devoir avant l’esprit. Ce n’était pas la voie la plus saine, mais c’était celle que Wes s’était imposée de suivre, jusqu’à ce qu’elle ne lui explose en plein visage. Coupant court à ce sujet qui le mettait d’une certaine façon mal à l’aise, car le confrontait à ses démons, il l’invite à aller fumer une cigarette. Mais il semblerait qu’Alma ait en tête un tout autre programme. « Et si on allait plutôt ailleurs sauf si l'idée ne pas revenir ici te rendrait bien trop triste, je ne voudrais pas briser le cœur de Wes Edison ! » Il affiche un sourire salvateur. Elle le sauvait de cette torpeur et il était bien décidé à saisir l’occasion. « Allons-nous-en d’ici, avec grand plaisir. » Il pose immédiatement son verre et cherche des yeux la sortie. C’était la meilleure idée qu’elle puisse avoir. Une fois à l’extérieur il l’interroge du regard. « Alors, qu’est-ce que la belle Alma Flores a envie de faire ? » La nuit était déjà tombée et Wes était emballé à l’idée de passer une soirée avec Alma, loin des mondanités et surtout, loin des faux-semblants.