and it was your heart on the line (bea)

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Ari Rider
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Ari Rider
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pseudo : mad cowplant
id card : charles leclerc / (av) imaginelion, (ban) alcara.
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multicomptes : eli sawyer
présence : présente
and it was your heart on the line (bea) SRR1yJEp_o
âge : la trentaine récemment atteinte, bien qu'on puisse souvent avoir l'impression qu'il a oublié de grandir.
statut civil : célibataire depuis plusieurs années désormais, hanté par quelques regrets, malheureusement.
occupation : employé depuis le début de l'année comme guichetier au Palace James St Cinemas.
adresse : il habite avec sa fille et son chien dans un appartement, quartier south bank & west end, deux chambres, un salon ouvert sur la cuisine et un petit balcon.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon paternel
infos rp : entre 300 et 700 mots, réponse tous les 7 à 10 jours.
disponibilités : complet

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· Ven 16 Fév - 23:43

and it was your heart on the line

@Beatrice Ramsay & @Ari Rider
Les habitudes avaient la vie dure. Même deux ans plus tard. Le pire surement, c'est que ce matin Ari ne s'est même pas rendu compte que ses pas l'ont naturellement mené dans ces lieux. Sans qu'il n'y réfléchisse. Sans qu'il n'ait réellement l'intention de venir précisément ici. Dans ce café. Ce café qu'il fréquentait presque tous les matins, lorsqu'il habitait à Brisbane, encore deux ans en arrière. Ce café où il avait ses petites habitudes, un café noir sans sucre à emporter et une fois par semaine un roulé à la cannelle, pour accompagner sa commande. Ce café qui se trouvait à peine à quelques rues de son appartement. Son désormais ancien appartement, qu'il partageait avant avec Beatrice. A un autre moment ou bien un autre jour, Ari aurait saisi les risques qu'il prenait en venant ici. Il aurait songé avec tristesse à sa vie d'avant, sa vie avec Bea. Mais ce matin, le garçon n'avait pas pris conscience de ce que ces lieux impliquaient. C'était un café comme un autre. Il était en mode pilotage automatique, Ari. Une panne de réveil avait plongé la famille Rider - composée de lui, Joy et Rio, le chiot - dans un chaos certain. Les yeux d'Ari avaient fini par s'ouvrir grâce à un vague pressentiment que quelque chose clochait, qui l'avait gagné même dans son sommeil. Un rapide coup d'oeil à l'heure sur son téléphone avait mis le jeune homme en mode branle-bas de combat et il avait sauté aussitôt hors du lit et couru dans la chambre de Joy pour réveiller la petite fille. Ils avaient failli arriver en retard à l'école. Mais par un miracle qu'il n'avait pas encore process, il avait déposé la petite fille juste à temps, alors qu'ils étaient en train de fermer les grilles. Mission accomplie. Dans un chaos certain mais peu importe. Ari s'était donc retrouvé devant l'école vêtu des premiers vêtements qu'il avait pu trouver dans l'appartement - soit un sweat-shirt noir et un jean bleu - avec un Rio bien trop excité en laisse. Une petite balade dans un parc s'était donc imposée pour dépenser au maximum l'énergie de ce chiot bien trop vif. Ari ne travaillait qu'à partir de midi, alors autant en profiter. Ce réveil pour le moins brutal l'ayant privé de café, c'est donc naturellement que ses pas avaient fini par le guider ici. Dans ce fameux café qu'il fréquentait, avant. Mais ce réveil brutal et probablement cette absence de café dans son système digestif font qu'il ne réalise pas vraiment qu'il connait les lieux. Il ne se fait pas la réflexion, qu'il venait souvent ici, avant. Il se contente de faire la queue, de passer sa commande, donner son prénom et attendre sur le côté qu'on l'appelle, le nez fourré dans son téléphone, Rio à ses pieds. "Ari ?" Ah, c'est lui. Il relève la tête et s'avance vers le comptoir, vers la barista qui lui tend un gobelet de carton. Il s'apprête à la remercier quand soudain une deuxième barista appelle un deuxième prénom. "Beatrice ?" Ari se fige. Les doigts tendus pour saisir son café, il sent son cœur battre plus vite. Il sent une présence à sa droite mais n'ose pas tourner la tête. Non, Beatrice c'est juste un prénom que pleins de personnes portent, non ? Juste une coïncidence. Ce n'est pas elle. Elle ne vient pas toujours dans le même café, après toutes ces années, si ?  


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Beatrice Ramsay
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· Dim 3 Mar - 23:22

and it was your heart on the line

@Beatrice Ramsay & @Ari Rider
Comme tous les matins depuis pratiquement huit jours d'affilée, la blonde avait honnêtement perdu le compte tellement les heures défilaient entre le boulot, les heures à l'hôpital et le reste de sa vie personnelle, Bea marchait vers son café de prédilection. Un automatisme sans doute, mais cet endroit était son café favori et depuis les dernières années, surtout avec la résidence, la blonde ne manquait pratiquement pas une matinée à venir ici. C'était tout près de chez elle, de l'université, de la bibliothèque et de l'hôpital, les seuls lieux qu'elle fréquentait en réalité si on s'arrêtait à son quotidien. La jeune Ramsay avançait à cent mille à l'heure, en s'efforçant de ne jamais regarder trop en arrière. À plusieurs évènements, comme à une personne en particulier. Un brun qu'elle avait réussi à sortir de son esprit jusqu'à ce qu'il débarque sans prévenir, il y a environ quelques semaines, à son appartement. Qui autrefois avait été le leur. Sans manquer d'avoir insisté pour lui laisser son numéro de portable. Chose qui lui avait été interdite depuis que Ari avait pris ses jambes à son cou, il y a deux ans. Il avait tout plaqué pour une raison qui restait toujours inconnue à la blonde. Bien que ça fait longtemps que Bea ne s'attend plus à rien de la part de son ex. La jeune médecin n'avait pas pris la peine de mentionner cet évènement à quiconque dans son entourage, à quoi bon, ce n'était pas comme si les choses pourraient réellement s'arranger entre eux. Le faussé était bel et bien creusé entre eux et le temps et la distance s'étaient chargés du reste. Du moins, c'est ce que Beatrice se répétait sans cesse dès qu'elle avait le malheur de penser à Ari. Pourtant, depuis qu'il s'était pointé à l'appartement, tout semblait être déboussolé dans la vie de la belle Ramsay. Elle avait refait sa vie pendant un temps, elle avait même été heureuse sans lui. C'était un autre type de bonheur, mais elle avait tourné la page. Du moins, elle le pensait jusqu'à ce qu'elle se réveille un matin et qu'elle voit un échange de messages entre eux, dont elle n'avait aucun souvenir. Après tout, l'alcool, ça ne lui avait jamais fait, ça lui apprendra. Mais les chances qu'ils se recroisent, elles, étaient minuscules voir inexistantes et ça c'était suffisant pour l'apaiser, rien qu'un peu. Elle marchait en direction du café lorsqu'elle reçu un message qui la déchargeait de son quart à l'hôpital. L'australienne se retrouvait donc avec une journée libre. Elle aurait pu rebrousser chemin, mais étant à quelques pas du café, elle en profiterait avant de se rendre à la bibliothèque de l'université ou retourner chez elle pour réviser dans le confort de vêtements plus confortables et son nouveau compagnon félin, Malfoy. Beatrice poussa la porte du café, offrant un sourire en guise de salutation aux baristas qu'elle connaissait pratiquement tous. Sa commande de latté matcha passée, la blonde se pose sur le côté, ne remarquant pas l'entrée d'un brun avec un chiot, alors qu'elle envoie un mail à un de ses profs pour avoir plus de détails sur un rapport qu'elle doit rédiger. C'est quand on l'appelle, le temps de relever les yeux et de poser son regard sur lui que Beatrice se fige. S'il est dans son champ de vision, c'est que lui aussi l'a vu. Merde. L'australienne prend sa commande et sourit à la barista avant de se reculer un peu, impossible de faire comme s'ils étaient des étrangers à cet instant. « Joli chien. » lâche-t-elle, brisant le silence entre eux. C'est pathétique, mais c'est tout ce qu'elle trouve à lui dire sur le moment. Elle lève le regard vers lui puis se remet à fixer son goblet, incapable de le soutenir plus longtemps. « L'appartement, puis ce café… c'est quoi la prochaine, tu t'es inscrit en médecine? » Beatrice rit nerveusement. Elle ne sait pas dire ce qu'elle ressent en ce moment. Si c'est un coup du destin, le karma ou l'univers qui veut se foutre d'elle. Oui, elle est perdue. Et malheureusement ou heureusement pour elle, c'est Ari qui détient la plupart des réponses. Échec et mat.


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Ari Rider
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· Lun 4 Mar - 23:15

and it was your heart on the line

@Beatrice Ramsay & @Ari Rider
Beatrice. Une belle place sur le podium des erreurs de la vie de Ari Rider. Ne comprenez pas que Bea soit une erreur, oh que non. Ce qui avait été une grave erreur, une terrible erreur, c'était de l'avoir abandonné. Une belle performance sur l'échelle de la connerie encore, le jour où il avait pris cette décision. Rongé par la culpabilité suite à la découverte de l'existence de Joy. Aveuglé par la honte, terrifié à l'idée d'avouer à la femme de sa vie quel genre d'homme il était. Il avait préféré fuir. Car Ari, il préférait trop souvent fuir. Sur le moment, il s'était convaincu qu'il faisait la chose à faire. Elle méritait mieux, elle serait mieux sans lui. En vérité, il était terrifié à l'idée de voir le regard que Bea poserait sur lui lorsqu'elle apprendrait qu'il avait laissé grandir une enfant sans père pendant plusieurs années. Lui qui avait si souvent détesté son propre père pour l'avoir abandonné, sa sœur et lui. Il n'avait pas été mieux. Il avait été exactement pareil. Méprisable. Il savait, Ari, comment Bea l'aurait regardé. Des yeux remplis de déception, à ne pas en douter. Il ne pouvait pas s'infliger ça. Et, encore une fois, elle méritait mieux. Inconsciemment, Ari s'était surement puni, ce jour-là. Ce jour où il avait décidé de partir. Sans un regard en arrière. Sans explication. Jugeant qu'une rupture brutale aiderait Beatrice à s'en remettre. Elle le détesterait. Et ça serait plus facile. Et lui, il n'aurait que ce qu'il méritait, avec son cœur brisé. Oh Ari, qu'est ce que tu as été stupide, ce jour-là. Partir réparer une erreur et en faire une nouvelle. Partir pour corriger un abandon et en créer un nouveau. Partir lier une nouvelle relation et en briser une autre. Stupide. Il le réalisait, maintenant. Il l'avait réalisé assez vite, en fait, une fois parti de Brisbane. Vite mais trop tard. Plus de retour en arrière possible, le mal était fait. Pourtant, il avait tenté sa chance, en revenant à Brisbane. Il n'était pas revenu pour Bea. Mais elle avait assurément été un argument qui avait beaucoup pesé dans sa décision de revenir au bercail. Et il n'avait pas su rester loin trop longtemps. Tentative de renouer le contact rapidement avortée par la jeune femme alors qu'il s'était permis de frapper à sa porte, insistant pour lui laisser son numéro de téléphone. Il voulait juste une chance de lui expliquer. De se racheter. De tout lui dire, tout ce qu'il aurait du lui dire. Mais elle n'avait pas voulu. Elle ne voulait plus. Pourtant, elle lui avait écrit, quelques temps après. Alcoolisée, avait-il fini par comprendre. Il ne saurait dire si l'alcool avait enlevé des barrières lui permettant de faire quelque chose dont elle avait envie. Ou si elle avait regretté aussitôt le lendemain arrivé. En tout cas, elle ne lui avait pas réécrit. Et il n'avait pas osé le faire également. Il espérait qu'elle était bien rentrée, ce soir-là. Mais ce n'était plus sa place, de s'inquiéter de ça. Et ce n'était plus sa place, de lui écrire un message en premier. La dernière chose qu'il voulait, c'était causer plus de mal qu'il n'en avait déjà fait.

Ainsi, Ari n'avait désormais plus de cartes à jouer. Il n'allait pas s'imposer. Il n'avait aucun droit de forcer Bea à lui parler. Après tout, il lui avait imposé son silence, deux ans auparavant. Il avait fait assez dégâts. Heureusement - peut-être - pour Ari Rider, le destin décida de lui donner un petit coup de pouce, aujourd'hui. Pourtant, lorsque le jeune homme entend le prénom sortir de la bouche de la serveuse, il est loin de vivre ça comme un coup de chance. Il sent son cœur s'emballer. Une bouffée de chaleur l'envahir. Que voudrait-il, là ? Une coïncidence de prénom ou bien que ce soit vraiment elle ? Au fond de lui, Ari sait. Inexplicablement. Ce n'est pas une coïncidence. C'est elle. Finissant par attraper le gobelet tendu par la serveuse presque un peu inquiète de le voir se figer ainsi, il tourne légèrement la tête. Et elle entre alors complètement dans son champ de vision. Beatrice. Ari sent son souffle se raccourcir, il fixe la blonde sans rien dire quelques instants. Quelle stratégie adopter, bordel ? Va-t-elle fuir ? Que dire pour ne pas la faire fuir ? Au grand soulagement du brun, elle brise le silence en premier. Il baisse le regard sur Rio qui fixe la nouvelle venue avec un air enjoué, remuant la queue. Trop sociable, ce chiot. Complètement inconscient de la tempête émotionnelle qui traverse actuellement son maitre. Ari se racle la gorge. "Merci..." dit-il doucement. "Il s'appelle Rio." Elle s'en fout, non ? Pourquoi est-ce qu'il lui dit ça ? Reprends toi, Ari. Devant la deuxième phrase de Bea, le garçon ouvre un peu plus grand les yeux, d'un air un peu paniqué. "Euh, non ! Je suis venu ici... Par habitude, je suppose." marmonne-t-il, se maudissant intérieurement de ne pas avoir prêté plus attention à l'endroit son habitude l'avait mené. Se maudissant, vraiment ? Etait-ce une mauvaise chose, de tomber sur Bea ? Seul les prochains instants de cette conversation le diraient. "Je ne te suis pas, ne t'en fais pas... Et bonne idée pour la médecine mais je pense qu'on me démasquerait vite quand je tomberais dans les pommes dans la salle d'opération." dit-il avec un minuscule sourire. Wouah, une blague. Pas une blague incroyable, en plus. Audacieux. 


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Beatrice Ramsay
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· Ven 3 Mai - 15:51

and it was your heart on the line

@Beatrice Ramsay & @Ari Rider

Oh ce que Beatrice aurait aimé avoir toutes les réponses en ce moment. Elle qui était toujours préparée à toute éventualité, quand ça en venait à son histoire avec Ari, la blonde était complètement dans le brouillard. La raison et le coeur se confrontaient. Ça avait été plus facile de le tenir à distance après son départ, aussi difficile fût-il. Elle n'avait pas à penser à le croiser ou quoi que ce soit d'autre. Il n'y avait aucun contact. Même si elle avait essayé, il n'avait jamais répondu. Mais voilà que maintenant, en l'espace de quelques semaines le brun redébarquait dans sa vie, sans y avoir été invité. Et Beatrice n'était pas préparée à cette éventualité. Elle avait refait sa vie, s'était reconstruite, et après ces deux années, elle pouvait dire qu'elle était finalement à un semblant de stabilité et de normalité. Comment rester en contrôle de ses moyens alors qu’Ari semblait être partout où elle était? La blonde pouvait tenter de mettre autant de distance entre eux qu'elle le pouvait, elle n'avait pas de contrôle sur les gestes de son ex, et les faits étaient qu'ils fréquentaient beaucoup des mêmes lieux après avoir été ensemble tout ce temps. Pouvait-elle vraiment lui en vouloir? Sans aucun doute, mais pas pour ça. Elle aussi tenterait de retrouver ses marques si elle revenait après autant de temps. Et pourtant, ça ne l'empêchait pas d'être complètement confuse sur ce qu'elle ressentait et sur comment réagir, à cette seconde précise alors qu'il était là devant elle, et que cette fois, il ne semblait pas avoir l'intention de partir comme un voleur. Elle baissa les yeux vers son breuvage, incapable de soutenir son regard trop longtemps. Elle s'y perdrait facilement, au fond, elle le savait, et elle refusait de perdre ce contrôle, elle n'oublierait jamais toute la douleur que ses gestes lui avaient amenée. Ils avaient un futur, quelque chose de vrai, et elle avait été assez stupide pour y croire aveuglément. Cette fois, elle ne craquerait pas pour ses beaux yeux.

Rio. Beatrice hoche la tête sans trop savoir quoi dire alors elle ne dit rien et laisse les pensées défiler avant de revenir au moment présent. « J'ai adopté un chat.. il s'appelle Malfoy. » ajoute-t-elle dans le même sens. Ari n'avait pas eu l'occasion de le voir lorsqu'il était débarqué, notamment parce que son chat était parti se cacher. Il devinait bien ce que Beatrice aurait voulu faire, elle aussi. Oh si elle avait pu partir à l'autre bout du monde pour éviter ce choc de voir Ari de cette façon. Il n'avait pas considéré que peut-être Beatrice n'était pas prête à le voir sans être prévenue. Il avait pensé à ce que lui voulait. Pas à elle. Elle ne devait pas en être étonnée et pourtant, elle semblait toujours voir une partie de Ari qui n'existait plus. Comment l'amour de sa vie avait pu devenir le plus grand étranger dans sa vie. Un inconnu qui connaissait tout d'elle, dans ses meilleurs moments comme dans les plus difficiles. Et elle ne lui faisait plus confiance pour avoir toute cette information sur elle. Tout allait trop rapidement et c'était aussi trop tard. Il avait manqué sa chance. Le temps avait fait son effet, un peu. « Les habitudes c'est difficile de s'en défaire. » elle souffle en le regardant furtivement. L'appartement, le café, Beatrice se tiendrait sur ses gardes, car elle risquait fortement de tomber sur Ari plus qu'elle ne l'avait prévu. Cette situation était tellement compliquée. La blonde ne savait pas par où commencer. Est-ce que c'était réellement possible de reconstruire quoi que ce soit? La jeune médecin en doutait fortement même si elle gardait secrètement l'espoir qu'un jour ils pourraient peut-être être en mesure d'être plus confortables en la présence de l'autre, mais c'en était encore loin. « On sait jamais, tu étais parfois téméraire. » Beatrice hausse les épaules, ne sachant pas trop quoi dire, quoi faire. Elle se mord la lèvre nerveusement, regardant vaguement autour d'elle. « On bloque le passage... il faudrait s'asseoir-enfin si tu as le temps, si tu veux, tu peux peut-être pas avec Rio. » Elle ferme les yeux, regrettant ses paroles, quelle idiote, pourquoi lui proposer de passer du temps ensemble alors qu'ils n'arrivent même pas à se regarder comme deux adultes le feraient?


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· Hier à 19:53

and it was your heart on the line

@Beatrice Ramsay & @Ari Rider
Il s'appelle Rio. Ari se maudit, aussitôt les mots sortis de sa bouche. C'est tout ce qu'il avait à dire, vraiment ? Oui, d'accord, c'est elle qui avait ouvert le sujet, le complimentant sur son chien. Mais manifestement c'était parce qu'elle était mal à l'aise, parce qu'elle ne savait pas quoi dire. C'était normal, tout à fait compréhensible. Lui, il aurait du trouver quoi dire, il aurait du dire quelque chose de mieux que de continuer sur le sujet, donnant le prénom de son chien dont elle n'avait probablement rien à faire. Mais Ari paniquait. Il ne s'attendait pas à croiser Beatrice ce matin. Pourquoi était-il allé dans ce maudit café ? Il ne pouvait pas réfléchir avant d'agir, bon sang ? Pourtant, malgré sa panique, Ari remarque quelque chose. Elle ne s'est pas enfuie. Pas encore, en tout cas. Elle a parlé de son chien. Parce qu'elle ne savait pas quoi dire. Mais donc est-ce que ça signifiait qu'elle voulait... dire quelque chose ? Qu'elle ne voulait pas quitter les lieux, le plus vite possible ? C'était un progrès, ça. En comparaison avec leur dernier échange, qu'elle avait écourté le plus rapidement possible. J'ai adopté un chat.. il s'appelle Malfoy. Ari ouvre de grands yeux, surpris par cette réponse. Elle suit le même chemin de conversation que lui. Elle ne lui a pas dit qu'elle s'en foutait éperdument, du nom de son chien. Elle partage une information avec lui. Une information sur sa vie. Rien d'extrêmement important non plus, calme toi, Ari. "Oh. En référence à Harry Potter ?" Autant continuer sur la lancée, non ? La question de Bea ne fait qu'accroitre la panique sourde qui assaille le jeune homme. Malheur, il ne manquerait plus qu'elle se mette à penser qu'il la suivait. Qu'il passe pour le harceleur flippant. L'ex menaçant, après l'ex lâche. Il explique. L'habitude. Et il hoche la tête devant la réponse de Bea. Ouais, elles ont la vie dure, manifestement. Soucieux de clarifier les choses, il dément aussitôt tout soupçon de filature et, toujours paniqué et pas totalement en contrôle de sa propre langue, apparemment, se permet même une petite blague. Une nouvelle fois, il se maudit intérieurement. Il devait sérieusement se reprendre. Pourtant, Bea ne semble pas s'offusquer qu'il se permette de faire des plaisanteries dans un moment aussi tendu. C'est bon signe ça aussi, non ? Il lui adresse un faible sourire en guise de réponse. Le silence retombe un bref instant. Dis quelque chose Ari, bordel. Mais à sa grande surprise, c'est Beatrice qui reprend la parole. Il écarquille carrément les yeux. Elle lui propose de s'assoir. Est-il dans un rêve ? "Non ! Enfin, euh, si ! Je veux dire..." Il ferme les yeux un bref instant, se mord la lèvre inférieure. Ressaisis toi Ari. "Si, je peux. Bien sûr que je peux." Il veut, même. Il jette un œil dehors. "Tu veux... qu'on s'installe sur la terrasse ?" souffle-t-il. Son gobelet dans une main, la laisse de Rio dans l'autre, il ouvre la voie, pousse la porte des lieux pour laisser passer la jeune femme.


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