TW : élitisme -- accident de la route -- décès -- rejet maternel -- drogue/alcool -- deuil -- prison
âge & naissance : Tu n'es plus un gamin Bart et pourtant tu agis comme tel sur bien des situations. Vingt-sept ans que tu frôles cette, que tu t'en amuses. Il paraît que tous les enfants doivent grandir un jour ? Toi, aussi, tu ne peux faire exception à la règle. Premier cri poussé le treize avril de l'an 96, des draps brodés qui t'attendent, un père qui donne le prénom de son père. Une mère qui grimace, qui ne daigne te voir, regarder. Le début de ta vie, ainsi que des emmerdes. origines & nationalité : australienne est ta nationalité, droit du sol, grandit et éduqué de cette manière. Tu as pourtant des origines norvégiennes de part ton père, une culture que tu apprécies. Des voyages dans ta famille qui t'ont toujours conquis et une langue forte agréable à tes oreilles. finances et emploi : $$$$$, un empire, c'est ce que ta famille a. Toi tu as grandi dans tout ça et franchement, tu adores ça. Tu aimes l'argent et c'est réciproque, l'argent te sied à merveille. Petit fils, de la première fortune d'Australie, un empire qu'est les Hancock, ça ne t'a pas empêché de faire des études. D'être passionné par le droit, surtout le droit fiscal et commercial, avocat que tu es devenu. Tu as obtenu un poste dans l'entreprise familiale, parce que c'était la suite logique. Aujourd'hui qu'en est-il ? Ta mère t'a 'puni', c'est bien le terme, tu as été relayé au poste de stagiaire, aux archives. Un vulgaire grade papier que tu es devenu, n'ayant plus le droit de t'occuper d'une affaire, d'être dans les gros dossiers, de savoir ce qui se passe, de gérer tes clients. Tu n'as pas été radié du barreau, mais de l'empire c'est tout comme et ça fait mal, ton égo ne le supporte pas.  statut civil : Célibataire, ça a toujours été ton credo, pas d'attaches, pas d'attentes. Sauf que ça c'était avant de croisé son regard, que ton cœur s'emballe, qu'elle devienne une partie de ton monde. Aujourd'hui, tu as le cœur brisé, anéanti par les vestiges de l'amour Incapable de te relever, te laissant absorber par tes démons, créant un fossé avec ceux que tu as toujours considéré comme 'famille'. orientation sexuelle : La question ne s'est jamais posé, tu as déjà posé tes lèvres sur celle d'un homme et rien. Pas de vibrations, pas de frissons, peut-être que c'était lui ? Toujours est-il que tu t'es toujours plus ou moins considéré comme hétérosexuel. situation familiale : Y a elle. La source de tout, le pouvoir ultime, la femme d'affaire accomplie Gina Rinehart. Puis y a ta mère, qui a suivi les traces de sa mère, deux femmes redoutables, l'ambition, le pouvoir avant tout. Et puis y a eu toi. L'erreur. Si ton père  n'avait pas été là, tu ne serais pas là à l'heure qu'il est. Parce qu'elle ne voulait pas de toi, tu gâchais ses plans, ce n'était pas prévu. Tu n'étais pas prévu, tu ne devais pas entacher son ascension. Rejet d'une mère, confiance d'un père. Voici les bases de ton enfance et puis Henry est arrivé et là se fut le coup fatale. Henry, le fils prodige, l'enfant tant désiré, celui qui est 'parfait', qui répond aux attentes de ta mère. Celui qu'elle a voulu, désiré, choyé, aimé. On ne peut pas die que l'entente entre vous deux, soit celle des Winchester, mais plus le contraire. Vous vous supportez, rien de plus, rien de moins. Il te déteste, autant que tu le détestes. Et ton père là-dedans ? Il approuve, il aide, il parle, il est là, dans son monde et dans le fond, ça te va. signe astrologique : Le plus fonceur des signes, bélier. Autant dire que cela te correspond très bien. Grâce à une de tes meilleurs amies, tu as appris que tu étais ascendant gémeaux. Tu as dû mal à comprendre tout ce charabia, mais tu fais 'oui' de la tête lorsqu'on t'en parle. le pire tue-l'amour : le manque de culture, ça t'a toujours rebuté les nanas qui n'ont rien dans le cerveau. Tu les aimes autant belles à l'extérieur qu'à l'intérieur, tu aimes être surpris, avoir une discussion au petit matin, même si tu ne reverras plus la demoiselle. Et ne parlons pas de celle qui ont le complexe de Cendrillon, très peu pour toi. Jouer les princes charmants et puis quoi encore ? Les Princes se trouvent au rayon biscuits et puis c'est tout ! un fantasme : elle. La première qui t'a sorti de ta zone de confort, qui a osé te challenger, qui t'a rendu meilleur. Mia. Elle n'en avait rien à faire que tu viennes d'un autre monde, elle t'a jamais mis sur un piédestal, au contraire et tu aimais ça. Tu donnerais tout pour retrouver vos moments, votre complicité physique, mais aussi psychologique. à Brisbane depuis : toujours et probablement à jamais. Tu as pas mal voyagé, mais c'est ici qu'est ta place, même si en ce moment tu en doutes. Rien au monde ne peut égaler Brisbane et ça tu en es conscient. traits de caractère : il ne faut pas se fier aux apparences, cette expression te caractère bien. Gueule d'ange, mais démon aux trousses et cela depuis des années. Tu as toujours eu besoin de plus, de montrer que tu étais là. Charismatique, tu sais enjoliver ton monde, mettre de la pommade ou bien brosser la personne dans le bon sang. Tu es doué avec les mots, tu les aimes, un peu trop parfois. Parce que oui, tu n'es pas qu'une belle gueule, tu as un cerveau et tu es très loin d'être con. Tu aimes joué l'idiot, le fils à papa par moment, histoire de laisser planer le doute, mais le démon se cache dans les détails. Fonceur, tu as toujours eu besoin de te dépasser, d'aller au-delà de tes limites, besoin d'adrénaline, ainsi que de reconnaissance. Gamin, tu as souvent été mis de côté (par ta famille), tu as gardé cette blessure et en a fait ta force. Tu n'accordes pas ta confiance facilement, il faut la mériter, ainsi que conquérir ton attention. Parce que tu te lasses très vite, tu as besoin de surprise, d'énigme, de challenge. Adulte brisé, voilà ce que tu es à présent, reclus sur toi même. Tu fais barrière avec les autres, jouant le con, culpabilisant de tes erreurs, te détestant par dessus tout. avatar : Herman Tømmeraas (norwegian).

   

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romantisme (55%)	level de drague (85%)
engagement (%)	passion (55%)
performance au lit (90%)	fidélité (25%)
nombre de cœurs brisés (80%)	recherche de l'amour (0%)

   ♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Trois lettres, un prénom a jamais tatoué dans son être : mia. Elle était son véritable amour, elle venait d'un autre monde, mais elle l'a accepté tel qu'il était. Elle lui était bénéfique, elle a changé sa vie. Il ne le montrait pas aux yeux des autres, mais elle était son tout. Il a tout gâché. Il l'a perdu à tout jamais, hanté par ses souvenirs d'eux, son amour, sa présence. Elle est partout et nul part à la fois. C'était ça pour lui le grand amour, une personne qui est capable de voir à travers votre masque. Une personne qui vous aime envers et contre tout, qui lève les yeux au ciel lorsque vous racontez des conneries. Qui sourit et tire la langue lorsque vous jouez les caïd. Elle était cette personne, elle était ta personne. Aujourd'hui, il ne recherche rien, il vit avec sa culpabilité, ses remords et ses angoisses. Balayant l'amour de sa vie, ainsi que l'amitié. Réduisant à néant tous les changements qu'elle avait opéré sur lui.

   ♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Toujours ces trois lettres, toujours elle. Parce qu'il se punit tous les jours de sa perte. Parce qu'il se déteste plus que n'importe qui sur cette planète d'avoir pris le volant. Parce qu'elle lui manque. Parce qu'il n'entendra plus son rire. Parce que son sourire s'est effacé ce soir-là. Parce qu'il est amer, perdu et seul. L'amour s'est fini pour lui. Il préfère faire une croix dessus, toute façon, il ne mérite pas le bonheur, pas après ce qu'il lui a fait. Pourquoi mériterait-il l'amour, après avoir privé le monde ce soleil ? Accident ou pas, il est le seul fautif et il continue ses conneries.

    ► chord overstreet -- hold on ; the fray -- changing tides ; imagine dragons -- dream ; the fray -- never say never ; you me at six -- take on the world ; needtobreathe, gavin degraw -- brother ; the fray -- you found me ; imagine dragons -- thunder ; sia -- never give up ; the chainsmokers, codplay -- something just like this ; kaleo -- way down we go ; rag'n bone man -- guilty ; needtobreathe -- happiness ; quietdrive -- until the end (accoustic)



tw : accident de la route, prison, décès, perte, deuil.

à la vie, à la mort

Parfois il suffit d’une rencontre. D’une personne et la vie prend une autre tournure. Hasan. C’est lui ta rencontre. Ta personne. Celle qui a changé la donne dans ton monde. Gamin, qui jouait bien souvent dans son coin. Gamin, qui cherchait sa place dans une famille où on ne voulait pas de lui. Gamin qui subissait les réflexions maternelles. Mère qui ne voulait pas de lui. Amour impossible. Père peu démonstratif, mais l’argent réconfortait. L’argent t’a réchauffé les soirs d’orages -parce qu’on va pas se mentir, dormir dans des draps en soie, c’est cool.-, t’a comblé d’une certaine façon. Tu y as trouvé ton manque et puis surtout ça t’a permis de rencontrer ton partenaire de crime. Vous étiez que des gamins à l’époque, vos parents bossaient ensemble sur un projet et en un regard t’a su. Tu as su qu’il allait devenir important, ce frère qui te comprenait. Parce que c’est surtout ça Hasan, une personne qui te comprend. Qui t’accepte tel que tu es. Qui te soutient, avec qui tu as pu faire les quatre cents coups. En grandissant, vous êtes restés proches, agrandissant les rangs. Trouvant vos semblables. Votre gang. Ces idiots qui sont devenus ta seconde famille, la vraie. Ceux qui t’ont jamais jugé, toi toujours dans l’excès, voulant plus. Eux qui t’ont accepté, compris. Parce que l’argent vous a peut-être réunis, mais y avait pas que ça. Vous aviez vos traumatismes, vos angoisses, vos tourmentes. Vous vous compreniez en un regard, en une phrase. Puissant, c’est ce que vous étiez, êtes ? Aujourd’hui tu ne sais plus ... « T’es encore resté devant j’paris. » frappe derrière la tête. Luna. Ton démon, mais à la fois ton ange gardien. Celle qui comprend tes traumatismes maternels. Celle qui est restée. Celle qui sait que tu n’as jamais réussi à franchir les grilles. Celle qui revient sans celle dans ton loft, bien que tu te tiennes à l’écart. Que tu fuis ce groupe, tes semblables. Que tu n’oses mettre un message dans votre conversation, deuil que tu fais dans ton coin. Silence qui s’éternise. Pourquoi ? Mia.

2017 le début de tout.

Lumières qui flottent dans le noir. Gorge qui se serre. Tu vas prendre tarif, tu le sens au plus profond de ton être. Cette fois, tu ne sais pas comment tu vas te sortir de ce cauchemar. Est-ce la connerie de trop ? As-tu été trop loin ? Peut-être. Tu ne peux pas plaider l’adrénaline, pourtant c’est le cas. L’envie de tester tes limites, de jouer une fois de plus avec le feu. La fois de trop ? Éventuellement. Son regard qui finit par se poser sur toi, dégoût que tu ressens, mais en même temps elle ne te paraît pas étonner. Discussion ‘d’adulte’ entre les forces de l’ordre et tes parents, mis à l’écart sous le regard de ton frère. Grimace qui apparaît sur ton visage. Tu détestes ce que tu lis sur son visage, tu le détestes lui. L’enfant prodige, l’enfant voulu. Il est heureux, il éclate de joie de te voir dans cette situation. Menotté, tu attends ta sentence, adossé à la voiture de police. Tu sais que ça ne va pas s’arrêter là, que l’avocat de la famille va débarquer cette nuit. Que les notes vont se jouer sans toi, ce n’est pas la première fois que cette scène se joue sous tes yeux, mais là. Là, c’est différent et tu es conscient. Tu es un adulte, tu seras traité comme tel. Mains qui finissent par retrouver leurs libertés, mais pas ta conscience. Tu attends. Rien. Pas de mots. Pas de discours. Ton père qui t’indique de rentrer dans la demeure familiale. Sauf que pour la première fois tu sens de la déception dans son regard, dans sa voix. Boule qui se niche au fond de ta gorge. Oui, tu as été trop loin Bart, mais ce besoin est inexplicable. Incontrôlable. C’est le mot qui finit par éclater dans la cuisine, te désignant. Ton procès qui aura lieu dans trois jours. Elle qui n’ose pas te regarder, qui fait comme ci tu n’étais pas là. Ton père qui ne te défend pas, mais il ne faut pas entacher le blason familial. Voilà ce qui en ressort. Quoi faire de toi ? « C’est la dernière fois Barthomolew, la prochaine fois tu pourras dire adieu à tout. » la sentence tombe. Ton regard qui passe d’elle à lui, l’incontrôlable vient de foncer dans le mur et ça fait mal.

Délicat parfum qui arrive à tes narines, tu émerges en douceur. Elle n’est plus là. Cœur qui s’emballe. Est-ce que ? Et puis tes oreilles finissent par saigner, balançant la couette, tu t’extirpes de ton lit. Tes pas te mènent à la cuisine, tes lèvres dessinent un sourire sur ton visage. Heureux de la scène qui se joue sous tes yeux. Palpitant rassuré, elle est là. Elle est là et elle écoute une vieille chanson, tout en chantant dessus, un massacre auditif, mais ça t’amuse. Tu pourrais rester là des heures, à la contempler. Et c’est là que tu prends conscience, ça te frappe d’un coup. Tu l’aimes. Te dirigeant vers elle, l’encercle, déposant un baiser dans sa nuque. « Sept ! » confusion qui se lit sur ton visage, attendant la suite. « Peu mieux faire, ça se dit casanova, mais bon » elle fait une petite moue, et tu comprends. Grimace qui apparaît, ton égo s’en remettra. « je t’aime. » surprise qui apparaît sur son visage à présent. « Oh ! J’vais enlever un point pour corruption. » tu l’attrapes et la déposes sur le plan de travail. Oui, tu l’aimes. Première fois que tu le dis en le pensant. Mia, douceur de ta vie. Deux mois que tes yeux ont croisés son regard. Tu étais là à ce café avec Ken. Est-ce que les choses auraient été autrement si tu avais su ? Su qu’elle lui plaisait aussi, mais tu as été plus rapide. Toi le séducteur, toi qui as toujours refusé le ‘non’. Sauf que tu ne savais pas et que tu ne sauras probablement jamais. Au début, tu ne pensais pas à ça. Tu étais loin de te douter qu’elle retournerait ton monde, le changerait du tout au tout. Mia fut ta bouée, elle t’a sauvé. Mia t’a remis sur les rails. Jusqu’à cette nuit...

Do you dare to look him right in the eyes?

Mains qui se portent sur ton visage. Impossible. Non, tu refuses d’y croire. Les voix autour de toi ne sont que brouhaha. Tu n’entends plus rien. Tu ne vois plus rien. Y a des mots qui arrivent aussitôt, en plus de la panique qui s’empare de ton être. Tu flanches. Tu tombes. Et puis son regard qui se cale sur le tien. « C’est moi. » tu ne comprends pas tout. Lumières qui arrivent au loin, ainsi qu’une sirène. Tout se mélange, tout va trop vite. Et d’un coup ton corps qui se réveille, sueur qui parsème ton corps. Encore ce cauchemar. Toujours le même. Cette nuit. Celle où ta vie, vos vies ont basculées. Celle qui te hante, encore et toujours. Le regard d’Hasan que tu ne peux oublier. Qui transperce ton être. Sa voix. Ses mots. Tu te souviens de chaque seconde de cette nuit. Impossible de l’oublier. Comment l’oublier ? Ton erreur. La tienne. Et lui ? Lui qui en paye les prix. Tout ça pour te protéger, pour t’empêcher de tout perdre. Sauf que dans le fond.. tu as tout perdu. Tu as encore ce pourquoi tu aspires, cette vie de luxe, cet argent qui te permet d’exister. Conscient que sans ça, tu n’es rien. « C’est pas lui, c’est.. » ce ‘moi’ qui ne sort pas. Regard de tes parents qui se posent sur toi. Parce qu’ils ne savent pas, ne sauront peut-être jamais, qu’il a pris le blâme pour toi. Parents qui racontent qu’il n’est que mauvaise influence, qui cessent de travailler avec sa famille. Qui font tout pour protéger le blason familial et toi ? Tu ne dis rien. Tu te terres dans ton coin, oubliant sa souffrance, pire : sa présence. Lâche que tu es, incapable de le confronter, d’assumer tes actes. N’étant pas là pour lui, alors que tu l’as toujours été dans le passé, mais là où il a le plus besoin de toi, tu n’existes plus. Oubliant cette promesse, ce pacte de gamin. Vos sangs qui se sont mêlés, promesse d’une amitié éternel. Peur de son regard. Peur de te mépriser un peu plus. Peur de le perdre réellement, tu préfères le silence à la réponse. Téléphone qui vibre, soupire qui s’extirpe de tes lèvres. Un prénom. paulina Celle que tu as toujours considéré comme une étoile, celle avec qui tu te disputais la première place sur les bancs de l’école. Celle qui t’a aidé à bachoter pour le barreau et vice versa. Celle vers qui tu t’es éloigné. Parce que tu leur as infligé ce mensonge. Ce groupe, tes amies que tu ne voies plus. Parce que c’est mieux ainsi. Une aide. Une attente. Seras-tu au rendez-vous ? Tiraillement en toi. Revenir d'entre les morts ou continuer sur ta lancée ?

EN VRAC : sa mère ne le voulait pas et l'a toujours rejeté. -- henry, de trois ans son cadet. le prodige de la famille. une haine entre les deux. pas de rivalité. juste une incompréhension depuis l'enfance. deux opposés. -- il a rencontré hasan assez tôt et se sont raccrochés l'un à l'autre. -- contrairement à sa gueule d'ange, il a toujours aimé les études et était doué pour ça. -- a décidé de faire du droit et d'entré dans l'entreprise familiale, par choix, par envie. une vraie passion. -- a toujours aimé le danger, l'adrénaline, le besoin de dépasser les limites. d'aller plus loin. -- a toujours déçu sa mère, a très vite arrêté de chercher son approbation. -- malgré ça, il reste sous la coupelle de cette mère incapable de l'aimer. la raison ? l'argent. parce qu'il ne sait pas vivre autrement qu'avec excès et luxe. -- il aurait dû être inculpé pour le vol de voiture. avoir une charge plus lourde sur son casier. mais ses parents ont fait jouer leurs relations. et puis la dite voiture appartenait à la compagnie. -- s'est calmé durant un temps, peur de tout perdre. et puis y a eu mia. -- la jeune femme fut son vrai amour. il ne montrait pas son amour au grand jour, parce qu'il est ainsi, mais elle savait. elle savait qu'il aurait décroché la lune pour elle. parce qu'elle était son monde.   -- il a laissé son meilleur ami prendre sa place dans le viseur de l'autorité. des vacances qui ont tourné au cauchemar. les dernières ensemble. -- il boit trop, pour combler ce manque et calmer ses tourments. -- possède un tatouage en mémoire pour mia. -- déteste sa mère pour l'avoir rétrogradé. punition pour cet excès. -- adore lire, possède une sacrée collection. -- allergique au melon. rien que l'odeur lui donne des nausées. -- il a toujours aimé voyager, mais depuis c'est devenu un enfer. -- parle le norvégien couramment, surtout avec son père. ça lui arrive d'avoir un accent lorsqu'il parle, vu qu'il maîtrise les deux langues depuis son enfance. -- a reçu une éducation stricte, les convenances, les bonnes manières, ne rien montrer, toujours paraître. -- il a toujours fait attention à son alimentation, un esprit sain dans un corps sain, même s'il a été dans l'excès bien trop souvent. -- n'a jamais été accros à la drogue, toujours par plaisir et a mis ce démon loin derrière lui.


   

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