Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
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Sadie Barrows
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ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
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rps : 23
pseudo : evermore (lucie).
id card : s. waterhouse ✧ lumos solem (avatar) · lexiresources (gif) · ec (lyrics).
pronom irl : elle.
multicomptes : scott (c. melton), finn (j. elordi), cole (g. leatherwood), river (r. pankow).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration -- discord ou mp pour les liens/rps ༶ sadie
présence : présente.
âge : trente et un ans ✧ déjà, que tu souffles, car le temps défile et tu ne le remarques même pas.
statut civil : fiancée ✧ tu as dit oui, mais une partie de toi regrette, car tu commences à ouvrir les yeux sur qui il est réellement et puis il y a ce fantôme du passé, qui revient dans ta vie.
occupation : avocate pénaliste dans le droit des femmes ✧ tu te bats pour la justice, donnant tout ce que tu as ; une spécialisation qui t'anime, même si tu vois des cas bien souvent difficiles.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : infidélité, mention de fausse couche et violence conjugale physiologique.
-- I watch all my bridges burn to the ground -- ft. @Bart Hancock ---------------------------------------------------
(tw : mention de fausse couche et de séance psy) Tu cours dans tous les sens aujourd’hui Sadie. Tu n’as pas vraiment eu le temps de te poser depuis ce matin. Tu enchaînes les coups de fil, les rendez-vous. Tu n’as pas vraiment de temps à perdre, parce que tu es sur un gros dossier, actuellement. Ça fait longtemps que ce n’était plus le cas et celui-ci, il te tient à cœur. L’audience est pour dans quelques jours et tu ne peux pas vraiment te reposer sur tes lauriers, car la défense adverse est redoutable, tu le sais. Tu vas devoir venir armée à ce procès, car ça te ferait du mal que cet homme puisse sans sortir sans rien, ou qu’il ait ne serait-ce que la garde de son fils. Tu savais qu’en choisissant cette spécialisation, ça ne serait pas de tout repos. Tu savais que des cas difficiles, tu allais en avoir. Et c’est ce qui t’anime, car tu donnes le meilleur de toi-même. Tu te bats du mieux que tu peux pour la justice et même si ce n’est pas facile tous les jours, tu ne baisses pas les bras Sadie. C’est pour ça que tu es douée, contrairement à ce que Zachary peut parfois dire. Jusqu’à maintenant, tu n’as perdu aucun procès et celui-ci, tu comptes bien le gagner également. Mais il te met une certaine pression. Ça te stresse quand même pas mal tout ça, car la date fatidique approche à grands pas. Mais là Sadie, tu as besoin de souffler un peu, alors tu sors de ton bureau sur le coup de 15h afin d’aller te chercher un café et de prendre un peu l’air. L’air frais de Brisbane te fait du bien. Tu profites d’ailleurs un petit moment des rayons du soleil qui glissent sur ton visage. Tu prends une grande respiration avant de prendre le chemin du coffee shop non loin du bureau, la tête pourtant toujours dans ton dossier.
Ton précieux en main après une bonne vingtaine de minutes, tu reprends le chemin du bureau non sans passer devant ce bâtiment que tu ne connais que trop bien. Ton regard s’arrête dessus, au loin, le temps de quelques instants et tu détournes la tête, comme si tu avais peur que ta psychologue ne te voie de là-haut. Trois fois maintenant que tu annules tes rendez-vous en prenant l’excuse d’un manque de temps. Sauf qu’en réalité, tu évites de t’y rendre, alors que tu sais ô combien tu en as besoin, Sadie. Tu as besoin de parler, en ce moment. Notamment de ta fausse couche, que tu gardes secrète. Un événement qui te mine le moral lorsque tu y penses, même si tu en viens à penser, parfois, que c’est peut-être pour un mieux. Pourtant, cette envie de devenir mère demeure en toi depuis un petit temps déjà. Et même si tu as accepté la demande de Zachary, tu ne sais pas si tu le vois réellement être le père de tes enfants. Alors oui, tu penses devant le bâtiment, la tête tournée, ton café en main. Et c’est de cette façon que ton corps percute celui d’une personne sortant des grandes portes. Ton café se renverse par terre et tu jures, Sadie.
— Fais chier. Que tu laisses échapper alors que tu regardes les dégâts visibles sur ton chemisier blanc. — Il faut faire attention quand on sort d’un bâtiment, hein. Tu redresses la tête tout en disant ces quelques mots à destination de la personne que tu considères comme fautive.
— C’est une blague ? Bart. Tu fronces les sourcils, Sadie. — Je vais vraiment commencer à croire que tu me suis Hancock. Car ce n’est pas la première fois que tu le croises proche ou même dans ce bâtiment, lorsque tu te rends à tes rendez-vous.
Bart Hancock
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multicomptes : sam (gillespie), stevie (mitchell), dexter (barnes), hunter (butler), noe (guerrero), zeke (allen white), leo (cowen), renfield (poulter) & fred (claflin).
à contacter : tout dépend de la demande,un peu tous.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT, irl avant tout.
âge : t'es plus un gamin, serait temps d'assumer tes actes. (27 yo)
statut civil : célibàterre, le coeur en miette et par ta faute.
occupation : relégué au rôle d'archiviste, ton ego en prend un coup, ta passion aussi.
intervention pnj : Oui
pronom perso : he.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #0099ff.
· I watch all my bridges burn to the ground · And you don't want to know me CENTRAL BUSINESS DISTRIC -- w/ @Sadie Barrows tw: accident, dépression, mort.
Mains qui se croisent. Ton regard que tu ne poses pas sur elle. Tu devrais. La question qui reste en suspend. Tu devrais parler. « et vos cauchemars ? » nouvelle question. Ta bouche qui s’ouvre, mais aucuns sons ne s’extirpent de tes lèvres. Tu n’y arrives pas. Tu n’arrives pas à lui parler, cela fait quarante minutes que tu es ici et toujours rien. Tu n’y arrives pas, tu ne veux pas. Une idée de tes parents que tu viennes ici, que tu te confies, que tu parles sur cet accident. Ils en savent quoi eux ? Ils n’étaient pas là. Ils n’étaient pas là ce soir-là. Ils ne savent rien. Ils ne connaissent pas la vérité, ceux eux sont au courant. Tu souffles. « bartholomew, vous devez me parler pour que cette thérapie fonctionne. - à quoi bon. » que tu rétorques du tac au tac. C’est vrai, à quoi bon lui parler ? Parce qu’elle pense que tout ceci va fonctionner comme par magie ? Qu’en deux trois séances, tu vas retrouver ta vie d’avant ? Que Mia sera là ? Non. Tout le monde t’en veut, toi le premier. Prisonnier de tes songes, voilà ta pénitence. Tu souffres en silence. Tu ne parles pas. Tu t’isoles et c’est pour le mieux. Tu ne veux pas qu’une autre personne souffre à cause de toi. Tu évites Hasan, toujours, incapable d’assumer tes actes. Pourtant il te manque. Il te manque cruellement et c’est entièrement ta faute. Tu es responsable de ce silence. Tu aurais dû franchir ses grilles. Tu aurais dû être là pour lui et non écouter tes parents. Tu ne devrais pas être leur fidèle marionnette. Sauf que tu n’arrives pas à défaire tes liens, chaînes qu’ils arrivent à tenir à distance. Tu ne les vois pas et pourtant leur emprise sur toi fonctionne très bien. L’argent. Objet de tes craintes, sans quoi tu ne serais rien. Ils le savent. Voilà comment ils te tiennent, ses chaînes invisibles. Ses chaînes qui t’ont rendus ici aujourd’hui. Dans ce mur lugubre, face à cette femme sans intérêt. Qui te transperce avec son regard. Elle essaie. Elle essaie de faire son métier. Elle essaie de percer ta carapace, mais ton mutisme persiste. Elle se heurte à un mur. Encore et toujours.
Le temps est enfin écoulé. Cette énième séance est terminée. Tu prends ton manteau à la main et sors de cet enfer. Tout n’est qu’enfer à présent à tes yeux. Les gens. Les réunions. Tout. Tu te perds là-dedans, conscient de tout ce qui t’entoure. Tu souffles en sortant de ce grand building. Prenant conscience de ce qui t’attend : des papiers. Tu vas retourner dans les archives, tu retournes dans le noir. Ta nouvelle punition. Tu rêves de retourner sur le devant de la scène. Tu as besoin d’adrénaline. Ça devient vital à tes yeux, mais rien. Juste des lignes jaunes qui t’attendent. Ça jure. Tes yeux qui se lèvent sur la-dite personne qui s’injure devant toi. Apparemment tu n’aurais pas regardé devant toi, fautif à nouveau. Haussement de sourcil, elle n’est pas sérieuse ? Apparemment oui. Tu meurs d’envie de dire ‘on se connaît’, sûrement une admiratrice. « Je n’ai pas que cela à faire, ce n’est pas moi qui ne regarde pas où je vais. » tu décides de répondre, sans rétorquer sur le fait que tu ne vois pas qui elle est. « et puis ce n’est pas moi qui connais l’autre. » parce que c’est plus fort que toi. Elle te connaît, mais toi ? Son visage te parle, mais sans plus, parce que plus rien n’a d’intérêt à tes yeux. Plus rien depuis qu’elle n’est plus là. Oui, tu devrais te servir de cette thérapie pour calmer ce bordel dans ta tête. Tu devrais. Sauf que rien ne se passe une fois que tu es dans ce bureau. Là tu meurs d’envier de déballer ce que tu as sur le coeur. « bon je n’ai pas que ça à faire, vous bougez ou bien ? » tu n’attends pas ton reste, même si tu n’as pas hâte de retrouver les cachots. Tu sens juste qu’au fond de toi tu es une bombe à retardement et tu n’as pas envie d’exploser sur elle. Qui qu’elle soit.
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Living behind my own illusion. Lost all my dignity. Living inside my own confusion. But I'm tired, I will always be afraid. Of the damage I've received. Broken promises they made.
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(tw : mention de fausse couche et de séance psy) Tu nies l’évidence Sadie. Depuis plusieurs semaines maintenant. Tu te plonges dans le travail comme si cela allait résoudre tous tes problèmes. Tu sais que ces séances chez la psychologue peuvent te faire du bien. Tu avais commencé à y aller, pourtant. Mais les questions ont commencé à te mettre mal à l’aise. À te déstabiliser. Et puis le travail a pris le dessus et chaque semaine, tu as commencé à te trouver une excuse pour ne pas y aller. Pour ne plus prendre rendez-vous ou alors, pour sauter les séances. Tu n’as rien dit à Zachary, qui prendrait ça pour de la faiblesse. Tu ne lui as d’ailleurs jamais parlé de ta fausse couche, Sadie. Il ne sait pas, que tu étais enceinte. Que tu attendais son enfant. Tu n’as rien dit et puis finalement, par la force des choses, tu n’as jamais eu à le dire. Ça a brisé quelque chose en toi, cette perte. Comme si une partie de toi était aussi partie avec ce bébé. Personne n’est au courant, après tout, de ce que tu as traversé. Tu pensais pouvoir y arriver seule Sadie. Mais ça ne fut pas le cas. Tu as décidé d’aller toi-même voir une psychologue pour au final, tout faire pour ne plus t’y rendre. Étiez-vous prête à avoir cet enfant avec votre mari ? Une question simple, qui attendait une réponse tout aussi simpliste. Une réponse que tu connaissais, que tu étais prête à dire à voix haute, sauf que tu n’as pas pu lui dire la vérité. Non, tu n’es pas prête à avoir un enfant avec ton mari. Parce que tu sais, au fond de toi, que cette relation n’est pas saine. Tu te demandes même comment, parfois, tu as pu accepter de l’épouser. Toi qui as brisé tous tes principes pour lui. Toi qui as fait du mal, autrefois, à un homme que tu aimais réellement.
Alors lorsque tu passes devant ce bâtiment, comme un enfant qui veut se cacher, tu tournes la tête. Peut-être que tu n’aurais pas dû, car la collision est fatale pour ce café chaud que tu tenais entre les mains. Celui qui te goûtait bien et que tu aurais préféré déguster plutôt que de le retrouver sur ton chemisier. Tu poses ton regard sur celui qui t’a percuté. Lui qui n’avait pas l’air plus attentif que toi. Bart Hancock. Tu crois, rêver, Sadie. Car ce n’est pas la première fois que tu le croises ici. Comme si le fils prodige était envoyé pour t’espionner.
— Pardon ? Tu écarquilles les yeux Sadie avant de finalement t’abaisser pour ramasser ton gobelet vide, le café s’écoulant sur le trottoir. — Monsieur est bien trop haut placé que pour reconnaître ceux qui travaillent avec lui. Quoi que, plus si haut placé que ça. Tu roules des yeux, exaspérée par sa réaction. T’as même du mal à y croire, qu’il ne te connaisse pas. Car ces derniers temps, peu importe où tu te rends, il est là. Jamais bien loin.
— Oh oui, j’avais oublié que vos archives allaient s’envoler. Toi non plus, tu n’as pas que ça à faire. Tu dois rentrer au travail, Sadie. Tu ne dois pas te laisser distraire. Mais à cet instant, c’est plus fort que toi. — Sauf que vous n’irez pas bien loin. Vous me devez un chemisier et… un café. Que tu lui lances, le regard plongé dans le sien, le soutenant, regard narquois sur les lèvres.
Bart Hancock
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Tout ceci est une perte de temps. Un complet désastre. Tu ne devrais pas être là. Vraiment ? Et où devrais-tu être ? En prison. Deux mots qui viennent frapper ton subconscient. T’es conscient que tu es chanceux dans cette histoire. Tu es à l’air libre, tu savoures les délicates odeurs autour de toi. Tu marches librement. Et pourtant, tu ne ressens rien de tout ça. Tu te sens condamner, pris au piège. Celui de tes parents d’abord, parce qu’ils savent très bien que tu n’es rien sans argent. Rien dans ce monde sans les finances qu’ils t’ont toujours apportés. Perdu sans eux et ça te fait mal de l’avouer. Tu n’aurais pas tenu le coup là-bas. Pas comme lui. Lui qui a pris tes responsabilités. Toi qui l’a aussi perdu. Tout aurait pu être différent, si tu n’étais pas un lâche. Et aujourd’hui, tu es juste incapable de parler. D’expliquer ce que tu ressens. Elle attend des mots de toi, mais tu n’en vois pas l’intérêt. La séance qui touche à sa fin, une séance qui n’aura servi à rien. Comme toujours. C’est ce que tu penses. La tête ailleurs, tu ne calcules rien, ni personne, tu ne demandes qu’à sortir d’ici. Pour aller où ? Vers ses papiers ? Vers cet autre enfer. Pas le choix. C’est toujours mieux que dans ce bureau froid. Tu ne fais attention à rien, parce que les autres t’importent peu. Et le drame opère. Elle t’accuse. Responsable à nouveau ? Et pourquoi donc ? Vous êtes deux dans cette situation. Elle ne semblait pas regarder où elle allait non plus. Tu ne vois pas pourquoi tu devrais accepter ses remontrances. T’as autre chose à faire que gérer ses crises.
Ses mots. Tu écarquilles les yeux un instant, elle te connaît. Toi, elle te dit rien. Tu ne prêtes guère attention aux gens qui t’entourent, c’est un fait. Jadis, quand tu étais au poste d’avocat, tu ne prenais pas le temps de voir qui travailler dans les bureaux aux alentours. Ou du moins tu entendais parler de tel ou tel personne, mais ça rentrait par une oreille et sortait aussitôt. Si la-dite personne ne bossait pas avec toi sur un dossier, tu n’en voyais pas l’intérêt. Oui, c’est être égoïste, tu en as parfaitement conscience. Sauf que tu n’as jamais dit que tu ne l’étais pas. « Apparemment on se connaît, désolé de vous décevoir, mais effectivement je ne m’abaisse pas au bas peuple. » ce que tu es devenu Bart. Tu fais partie du bas peuple, ta mère t’a réduit à néant. Elle t’a collé aux archives pour une bonne raison. Elle veut te donner une leçon, t’apprendre la vie à sa manière. Ta carrière en prend un coup, mais tu ne dis rien. Tu attends ton heure, tu attends le retour du prince au pouvoir. Tu sais qu’elle est pour bientôt. Vraiment ? « Je ne vous dois rien du tout, c’est vous qui regardiez pas où vous alliez. Et si vous étiez vraiment pressé vous me tiendrez pas la jambe. » est-ce que tu relèves le fait qu’elle sait. Elle sait que tu es aux archives, mais qui est-elle bon sang ? Ta mémoire te joue défaut et tu détestes ça. Tu pourrais lui donner l’argent et te débarrer d’elle, mais ce n’est pas dans tes habitudes. Les Hancock ne s’abaisse pas. « Et puis qui me dis que vous n’en avez pas fait exprès ? Que vous êtes pas en train de me suivre ? » aux comptes de qui ? Tes parents ? Sûrement, ils sont capables de tout. Ton regard qui se pose sur elle, tu essaies de chercher dans ta mémoire, mais rien. Ou alors ? Non. Ces traits ne te parlent pas, ou peut-être tu l’as croisé ici ?
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Tu évites à tout pris de passer par ici habituellement. Comme tu évites tous tes rendez-vous, prétextant que tu as des réunions urgentes qui se sont mises, que tout va bien, aussi. Alors que c’est faux. Mais tu fais comme si, Sadie. Tu gardes le sourire, tu gardes la tête haute. Tu te plonges dans le travail. Mais tu as décidé de sortir du bureau pour prendre l’air, respirer, et aller chercher un café. C’est pour ça que tu passes devant ce bâtiment tant redouté. Tu as tourné la tête comme pour te cacher et alors que passes devant les grandes portes, on te rentre dedans. C’est une évidence pour toi. C’est lui qui ne t’a pas regardé. C’est sa faute, si ton café brulant a terminé sa route sur ton chemisier et par terre. Tu en avais grandement besoin, pourtant. Le karma, peut-être ? À force de nier l’évidence, le fait que tu as besoin de parler, d’aller à tes rendez-vous, te voilà arrêtée devant l’entrée qui te mène tout droit au cabinet. Mais là, tu as autre chose à faire que de penser à ça. Ton regard a croisé celui de Bart et le ton est monté. Tu le tiens pour responsables, car pour toi, il l’est. Même si tu es fautive aussi, Sadie. Tu as détourné le regard. Tu ne regardais pas où tu allais et la collision a été inévitable.
— Je rêve. Que tu lances, abasourdie par ses mots. Tu savais qu’il avait un sale genre, qu’il se prenait pour on ne sait qui alors que sa notoriété il l’a uniquement à cause de ses parents. Tu l’as déjà vu avec cet air hautain dans les bureaux, lorsqu’il n’était pas assigné aux archives. Oui, tout se sait au cabinet et même si tu ne sais pas le pourquoi du comment, tu as envie de dire bien fait à cet homme imbu de lui-même. — Va falloir vous y habituer pourtant vu où vous travaillez maintenant. Tu roules des yeux, Sadie. Tu es piquante dans tes mots, tu n’as pas envie de te laisser faire. Tu n’es pas d’humeur à ça, car il vient de te bousiller une de tes nouvelles blouses. — Non mais je rêve. Et je n’ai jamais dit que j’étais pressée. Au contraire, j’ai tout mon temps. Tu t’abaisses pour ramasser le carton de ton café par terre avant de le jeter à la poubelle non loin de vous. — Donc oui, j’ai tout mon temps pour un nouveau café. Et je vous enverrai la note du pressing ou de mon nouvel achat. Tu es culottée, Sadie, mais tout ça, ça te met hors de toi. Ses propos te font écarquiller les yeux.
— Au secours, vous m’avez démasquée. Que tu dis presque nerveusement, rigolant jaune à ses questions. — Comme si je n’avais rien d’autre de mieux à faire que de vous suivre. Vous n’êtes pas le centre du monde, sérieux. Tu roules des yeux une nouvelle fois Sadie, avant de soupirer de façon exaspérée. — Vous êtes vraiment pitoyable. Que tu marmonnes.
Bart Hancock
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Le karma ou bien le temps ? Tu ne sais pas quelle option choisir. Tu n’as pas le temps pour ses âneries. Tu n’as pas le temps pour tout ça. Jamais le temps pour t’exprimer. Tu sais que tu perds ton temps lors de ses séances. Sauf que tu as un deal, tu dois continuer, sinon elle le dira à tes parents. Tu détestes ça. Tu détestes être supervisé, fliqué. Tu ne comprends pas pourquoi ils insistent pour que tu suives une thérapie. Depuis quand se soucient-ils de toi ? Une question qui reste dans un coin de ta tête. Tu pourrais en parler avec ta psy, oui tu pourrais, mais non. Tu divagues, tu balances quelques mots, mais rien de concret. Parce que tu as besoin de vivre avec ça. C’est ton fardeau. Ta pénitence. Tu n’as pas envie qu’elle te quitte. Tu as besoin de souffrir. Voilà ce que tu mérites pour avoir gâché toutes ces vies. Y a pas que la tienne qui a été pénalisée. Tu penses à Hasan, mais surtout Mia. Elle serait encore là, si tu n’avais pas foncé tête baissé. Si, tu n’étais pas si entêté. Tu aurais pu éviter tout ça. Tu aurais pu ne pas consommer, autant alcool que drogue. Tu aurais pu éviter tout cette douleur… sauf qu’avec des ‘si’ on pourrait refaire le monde, t’en es conscient. Pour le moment, t’es obligé de vivre avec cette douleur. Tu ne désires pas qu’elle s’échappe. Tu dois subir, voilà tout. Alors oui, tu ne dis rien, tu restes de marbre. Parce que tu ne vois pas l’intérêt de tout ce charabia.
Et le Karma ? Cette rencontre. Cette nouvelle perte de temps. Cette femme qui te prend de haut, toi ?! Elle se prend pour qui ? C’est exactement ce que tu te demandes, mais le pire. Le pire c’est qu’elle te connaît ou semble te connaître. Toi rien. Un visage rien de plus, mais des mots qui blessent. Elle sait. Elle sait que tu as été relégué aux archives. Comment ? Aucune personne de ton entourage sait. Tu fais tout pour éviter les gens et surtout tu évites soigneusement les situations embarrassantes. Tu ne vois personne, sauf toi. Tu ne vas plus aux soirées mondaines, à quoi bon ? Toute façon sans eux, ça n’a plus d’intérêt. Tu soupires et l’écoutes qu’à demi-mot. Elle parle, trop à ton goût, beaucoup trop. Tu soupires à nouveau, tes yeux qui partent en direction du ciel. Un merveilleux temps, mais pas le temps d’en profiter. Tu n’as plus le goût de rien depuis qu’elle n’est plus là. « C’est bon, vous avez fini votre petite crise ? » tu oses poser ton regard sur elle. Non, elle ne te dit toujours rien. Alors comment sait-elle ? Comment sait-elle que tu es aux archives ? Sûrement une spéculation, une supposition rien de plus.
« Je suis pitoyable ? Vous vous êtes pas regardés. » que tu rétorques à ses derniers mots. Tu l’écoutes pas vraiment, mais ce mot tu ne peux pas le laisser passer. Hors de question. Tu sais que tu es pitoyable, mais ce n’est pas une raison pour te le dire. « Je n’ai pas le temps pour votre petite scène de ménage. Encore moins pour une tarée qui passe sûrement son temps à suivre les gens. » oui, tu restes formel, c’est une psychopathe. Tu ne vois pas d’autres explications. « Et de vous à moi, je suis beaucoup plus intéressant que vous. Sinon vous ne seriez pas là. » et toc. Est-ce que tu es assez fier de toi ? Pas vraiment, tu veux juste te débarrasser d’elle. « donc à présent, vous prenez vos petites affaires et vous allez retourner bien gentiment d’où vous venez. Si je vous revois dans mon champ de vision, ça risque de faire mal. » est-ce une menace ? Oui et non. Tu n’as pas envie de croiser son sourire mutin. Elle et ses idées doivent rester loin de toi. Tu lui indiques avec tes mains de faire demi-tour, avec un petit 'oust' qui s'échappe de tes lèvres.
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trigger : infidélité, mention de fausse couche et violence conjugale physiologique.
-- I watch all my bridges burn to the ground -- ft. @Bart Hancock ---------------------------------------------------
De toutes les personnes que tu aurais pu percuter sans faire exprès, il a fallu que ce soit Bart, qui se mette sur ton chemin. Une erreur de votre part à chacun, car même si tu ne regardais pas vraiment où tu allais Sadie, Bart n’était également pas des plus attentifs. Sinon, il t’aurait évitée, tu en es certaine. Mais rien de tout ça n’est arrivé. Vous vous êtes percuté et maintenant, on dirait un vieux couple en train de s’engueuler en pleine rue. Toi qui évites de passer par ici habituellement, tu commences vraiment à regretter de ne pas l’avoir fait. Tu as l’impression qu’on se moque de toi. Que ce n’est autre qu’une caméra cachée. Tu tombes des nues devant son comportement et tu te rappelles que c’est pour cette raison, que tu détestes les personnes comme lui. Il n’a pas être comme ça avec toi et tu le lui fais bien comprendre. Tu as le corps droit, la tête légèrement inclinée, car tu ne te laisses pas faire. T’es hautaine Sadie. Tu ne mâches pas tes mots et lui non plus. Combat de coqs qui doit en faire rire plus d’un. — C’est vous qui prenez un air de gamin pourri gâté, pas moi. Enfin, même si ce n'est pas qu'un air. tu roules des yeux. — Vous n’avez sans doute pas l’habitude qu’on vous rentre dedans, mais j’ai pas peur de vous, Hancock. que tu lui lances en roulant des yeux. Tu t’es juste défendue Sadie. T’es loin d’être du genre à te laisser faire, à te laisser marcher sur les pieds et tu le lui fais bien comprendre.
Mais il surenchérit, l’homme. Tu le suis. Comme si tu n’avais que ça à faire. Tu ne te poses même pas la question de pourquoi il se trouve devant le bâtiment de ta psy. Peut-être une totale coïncidence. Mais non, tu ne penses pas à ça, tu es bien trop remontée sur son comportement que pour t’en préoccuper. — Vous n’êtes pas l’roi du monde hein. Et comme j’l’ai dit, j’ai vraiment autre chose à faire que de vous suivre. J’vois pas l’intérêt. ton regard est posé sur lui et tu le toises. Tu ne comptes pas abandonner, Sadie. Tu pourrais rester là pendant des heures. Mais tu as vraiment autre chose à faire. C’est pour ça que tu ne réponds pas à sa remarque de comme quoi, il est plus intéressant que toi. Ça ne sert à rien de surenchérir encore et encore. Il n’en vaut pas la peine, Bart. Tu te contentes simplement de remettre ton sac sur ton épaule. — Ooouh attention j’en tremble. que tu lui lances non sans laisser échapper un rire ironique. — Connard. que tu lui lances avant de continuer ta route, non sans lui bousculer l’épaule, une dernière fois.
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-- i watch all my bridges burn to the ground. (w/bart)