TW : violence, meurtre (uc)  
âge & naissance : Gamin imprévu, pas forcément voulu, qui a fini par pointer le bout du nez le 17 août de l'an 92 à Cleveland. Là, où tout a commencé, là où le carnage a opéré. Là, où tu pensais être heureux, du moins ce n'était qu'une illusion, malgré l'endroit 'merveilleux'. Ce qui fait que tu as trente et un ans et qu'une partie de toi cherche encore ce qu'il fiche sur cette terre ? Tu aides ton prochain au mieux. origines & nationalité : Un sang anglais qui remonte à loin, des origines oubliés, des descendants qui se sont installés ici y a fort longtemps. Des papiers qui montrent que tu es australien, ta nationalité, ta patrie. finances et emploi : $$$$$, on ne peut pas dire que tu roules sur l'or. Aujourd'hui tu t'en sors mieux qu'il y a un an. Grâce à ce gars qui t'a refilé son job, parce qu'il a obtenu sa thèse. Tu es concierge, un métier qui te rappelle ton ancien travail. Un boulot qui te permet de subvenir à tes besoins et de payer tes factures. Pourtant, ton ancien job te manque, tu avais commencé comme homme d'entretien, puis tu as été mis à l'hôtellerie et enfin tu t'es occupé d'eux. Tu as reçu les formations adéquates, mais être aide soignant en milieu hospitalier te manque. Tu ne diras rien, parce que tu as ta fierté. Tu étais bon et tu te sentais à ta place, aujourd'hui c'est un peu flou.  statut civil : Tu es fait pour être célibataire, pour ne pas faire souffrir la dite personne. Pour ne pas sortir cette noirceur dans un discours que tu regretterais. Pour ne pas finir comme lui. Tu préfères t'octroyer plusieurs partenaires (pas en même temps) plutôt qu'en garder une longtemps. orientation sexuelle : Tu as su rapidement que seul les courbes féminines pouvaient attiser tes sens. Hétérosexuel, c'est la fameuse étiquette qui te convient.  situation familiale : Un mot : bordel. C'est ce qui te vient à l'esprit lorsque tu songes à ta famille. Tout aurait pu être différent, si ton père n'était pas celui qu'il est. Sauf qu'avec des 'si' on pourrait refaire le monde et hélas ce n'est pas le cas. Pas de gomme magique, mais bien un père violent, meurtrier. Des mots qui restent, des faits qui entacheront à jamais cette famille brisée. Une mère qui tente de refaire sa vie, ailleurs, emmenant ses enfants. Voilà ce qu'est ta famille. Aujourd'hui, vous vous êtes 'reconstruits', du moins en apparence. Rien ne peut être effacé, la douleur reste présente. Deux frères que tu as toujours protégé, envers et contre tout. Des jumeaux, ayant un lien sacré et toi. Trois garçons qui s'efforcent de ne pas ressembler à leur géniteur. Une mère que tu vois régulièrement, que tu tentes aussi de protéger. signe astrologique : L'homme Lion est dominateur et séduisant, il se distingue par une grande confiance en soi. Tu ne crois pas vraiment en tout ça, mais tu sais que tu es le roi de la jungle. le pire tue-l'amour : Être amoureux ? C'est peut-être ça à tes yeux le pire tue l'amour. C'est une très bonne question, tu t'es jamais penché dessus. Cependant ce qui te repousse fortement c'est l'absence de premier ou second degrés. Tu aimes l'humour et si la personne en face n'a pas de répondant ou d'humour, c'est rédhibitoire. un fantasme : Buffy Summers. Et oui tu fais partie de cette génération qui a grandi avec Buffy. Et Sarah Michelle Gellar envoyait à tes yeux et dans tous les sens. Tu ne dirais pas non pour jouer au vampire et à la tueuse avec une demoiselle. à Brisbane depuis : tes sept ans. Depuis que ta mère a décidé de vous donner une seconde vie, une nouvelle chance pour être heureux. Toi et les jumeaux avaient trouvé refuge dans cette ville, sûrement la meilleure décision que ta mère ait prise même si le ranch te semblait paisible et magique. traits de caractère : loup solitaire c'est ce que tu t'évertues à vouloir être. Pourtant tu n'es pas si solitaire que ça, tu t'es attaché à un groupe de gens, pour qui tu donnerais tout. Parce qu'une fois qu'on rentre dans ton cercle, c'est bien souvent pour longtemps. Tu te crains toi-même, tu as peur de cette noirceur au fond de toi, des mots qui sortent parfois de ta bouche. Ton moyen de t'exprimer. Tu ne mâches pas tes mots et va direct à l'essentiel. Fin séducteur, c'est souvent ce qu'on dit de toi. Tu ne cherches pas forcément à plaire, c'est ce qui attire l’œil. Pas très bavard, tu te détends aux côtés d'anciens. Ceux qui sont ta source d'inspiration. Auprès d'eux, tu te sentais à ta place, protecteur, gentil, calme. T'es aussi ce gamin apeuré, des cauchemars qui te hantent toujours, même après des années de thérapie.  Tu aimes rire, d'à peu près tout. C'est ton moyen de défense, ta carapace. avatar : austin butler (English, one eighth Finnish, as well as Scots-Irish/Northern Irish, Irish, German, Scottish, and Welsh, distant Swiss-German and Swedish).

   

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romantisme (100%)	level de drague (80%)
engagement (10%)	passion (85%)
performance au lit (90%)	fidélité (30%)
nombre de cœurs brisés (70%)	recherche de l'amour (00%)

   ♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Douleur, souffrance, voilà ce que tu penses du 'grand amour'. Deux mots qui ne vont pas forcément avec ce sentiment, mais c'est ce que tu ressens. L'amour t'a toujours fait peur. Tu as toujours eu peur de souffrir, d'être déçu et pire encore : de finir comme ton père. Parce que tu as vu ce que l'amour pouvait faire. L'amour c'est pas beau, selon toi. C'est tout le contraire, tu t'es toujours tenu à l'écart de ce sentiment, plus facile de ne pas lui ressembler. De ne pas faire souffrir la dite personne aimer. Tu n'es absolument pas un romantique et tu n'envies pas ceux qui sont 'heureux' grâce à ce sentiment. Tu ne recherches absolument pas la personne qui pourrait te convenir. Parce que tu restes persuader que tu la briseras. Tout comme ton père a brisé ta mère, ainsi que vous.

   ♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
emery un prénom écrit en lettre capitale dans son cœur, mais dans sa tête. Parce qu'à la base, c'était un défis, elle devait être qu'une aventure. Une de plus sur la liste. Sauf qu'elle a résisté, elle était différente et l'est toujours. Elle avait ce truc, qui te rendait fou, dingue. Elle est la première qui a réussi à se faire un chemin vers ton coeur, qui a capturé ton esprit. Son prénom que tu as crié tellement de fois, contre elle, contre un mur, elle t'a mis dans des états. Relation complétement toxique, mais la première qui t'a touché. Y avait un truc différent avec elle, tu la ressentis rapidement. Impossible de poser ton regard autre part. Impossible de lui résister. Elle avait, a ce truc ? Aujourd'hui encore tu te poses des questions, est-elle capable d'obtenir tout ce qu'elle veut de toi ? Comme avant ? Est-ce qu'elle peut encore te rendre dingue ? Tu perds ton sang froid quand son regard croise le tien. Tu serres les poings, contrôles ton rythme cardiaque. Tout aurait pu se passer autrement entre vous, c'est ce que tu te dis au fond de toi. Si ça avait été le bon moment, si sa tête était libre. Si vous étiez pas ce que vous êtes ? Oui, ça aurait pu.

   

Can't put back what's been broken.
Can't change the moment
We went too far

tw : père meurtrier, violence psychologique, physique. famille dysfonctionnelle.
Ton histoire, elle aurait pu commencer comme une série, assez célèbre. À l’inverse, d’un père qui te demande de protéger ton frère, c’est ta mère. « Danny va avec tes frères, go ! » Ta mère qui hurlait ce jour-là de protéger les jumeaux. T’interdisant de te retourner, de voir ces lumières. Parce que ce n’était pas la maison en feu, comme dans la-dite série, mais des sirènes de police. Une lumière orange, rouge qui te hante encore la nuit. Une lumière, un son, une scène qui reste ancrée dans ton cerveau. Elle devient floue au fur et à mesure des années, mais toujours présente. Parce que vous ne pourrez jamais réellement oublier ce jour-là. Le jour, où votre famille s’est désunie, ou la vérité a été dévoilée au grand jour. Des bagages qui se sont rapidement préparés, une nouvelle vie qui vous attendez. -- « Danny aide tes frères. » un prénom ou plutôt un surnom. Il n’y a que ta mère qui peut t’appeler ainsi, son Danny, le prénom de son frère, disparu trop tôt. Un prénom qu’elle a voulu donner à son premier fils. Celui qui est arrivé par hasard, celui qui n’était pas prévu. Un excès de colère sur le visage d’Harry. Cet enfant qu’il ne voulait pas. Cet enfant qu’il maudissait déjà. Cet enfant qui ne porterait pas son prénom. Qui ne suivrait pas la tradition. Pourtant c’est lui qui a imposé le prénom Hunter. Ton prénom. Tu ne sais pas d’où lui est venu l’idée, mais ça t’importe peu. Tu aurais pu changer ton identité en entier comme ton frère, mais non. Juste le nom. Parce que c’était là l’idée en arrivant à Brisbane : changer. Un changement qui permettait une nouvelle vie, de ne plus subir cet enfer. Vraiment ? « On dirait ton .. » pas besoin de finir sa phrase. Son regard qui se plonge dans le tien. Tu as compris où ta mère voulait en venir, tu vois dans son regard qu’elle s’en veut. Cette comparaison qui est venue bien trop vite, des mots qu’elle n’a pas eu le temps de songer. Ton père. Voilà où elle voulait en venir. « J’ai dit non. » des mots qui te hanteront toujours. Puis le geste qui s'associe à ses mots. La main. Tu sais où la course va se finir. Tu le sais, parce que c'est toujours comme ça avec lui. Un père absent, dur dans ses mots. Un père secret. Un père qui était censé être un modèle. Des traits que vous avez en commun, des recherches que tu as faites. Parce que tu avais besoin de comprendre. Comprendre qui était cet homme et surtout si tu finirais par lui ressembler. Des articles que tu as lu, dans le dos de ta mère, ne voulant pas qu’elle souffre plus. Des mots violents. A-t-il toujours été cet homme ? Est-ce héréditaire ? Des tonnes de question et jamais vraiment de réponses. Tu aurais pu demander à ta psy, mais non. Tu prétendais que tout allait bien. Seulement dans le fond, une crainte grandissait : lui ressembler. Des traits communs, puis des mots et si c’était ça ton avenir ? Alors tu t’es fait la promesse de tout faire pour ne pas lui ressembler.

I was supposed to protect you
No matter what's to come
But somehow forgot when they told me
"We hurt thе ones we love"

Les gens. Ta faiblesse, mais aussi ta force. Tu ne t’attaches pas vraiment aux gens, par crainte. Parce que tu as peur de leur faire du mal. Pourtant tu donnerais tout pour ceux qui te sont proches. À commencer par tes frères. Deux faces d’une pièce. Des jumeaux. Deux pour le prix d’un. Deux frères a protégé, avec le temps et surtout en grandissant vous avez appris à vous protéger l’un l’autre. Tu donnerais tout pour eux et ils le savent. Parce que gamins ils s’amusaient à te dépouiller de tes bonbons. Et toi ? Tu te faisais avoir à chaque fois. Aujourd’hui c’est toujours le cas, les bonbons en moins, mais tu es capable de tout ou presque pour les faire rire. Même si l’un se trouve ailleurs, tu essaies de garder contact, comprenant son besoin. Tu as failli faire pareil, mais ils avaient besoin de toi. Parce que c’est ce que tu ressens, le besoin de protéger les tiens. -- L’amour est aussi en lien avec les gens. Y a l’amour fraternel, mais l’amour passionnel. Et ça. Eh bien tu l’as toujours mis de côté. Ne pas finir comme lui. Ne pas monter dans les tours. Des scènes de ton passé qui restent toujours présentes en toi. Tu n’étais peut-être qu’un gamin, mais tu les as vus. Se battre verbalement ou lui. Lui et ses gestes. Des flashs qui t’ont toujours hanté, même en sa présence. emery, cette beauté envoûtante. Celle qui a percé les failles de ta carapace. Celle qui a réussi à s’infiltrer dans ton esprit, mais pire encore : dans ton cœur. Est-ce que tu l’avais vu venir ? Non. Parce que tu as toujours pensé résister, être plus fort que tout ça. Les filles ont toujours tout essayé pour te faire succomber, mais rien. Jusqu’à elle. Elle et ses mots. Elle et ses gestes. Tu revenais toujours vers elle et ça te consumait de l’intérieur. Ce n’était pas sain, à croire que tu devenais comme lui ? Et puis un jour se fut fini pour de bon. Vraiment ? Une petite voix en toi, c’est toujours demandé ce qu’il se serait passé si vos vies avaient été autres. Moins compliquée. nyra petit être fragile. Petit bout de femme que tu as rencontré lorsque tu aidais dans un refuge. Son regard t’a dérouté. Puis son histoire. Et sans comprendre pourquoi, tu lui as proposé la seconde chambre. Tu avais besoin d’aide pour le loyer et elle d’un endroit. Tu savais au fond de toi que tu ne risquais rien. Qu’elle avait surtout besoin d’aide et ça tu sais faire. Aider les gens, les autres. C’est ce que tu fais de mieux, pourtant tu as dû mal à y croire. Ça tu l’as appris en étant au contact des anciens. Au début, c’était un job alimentaire, tu faisais le ménage, puis tu as évolué dans la structure. Assez pour devenir l’un des meilleurs aide soignant. Ton directeur t’a fait passer des diplômes, histoire que tu aies les qualifications. Tu étais bon auprès d’eux, toi-même, pas de crainte de finir comme lui. Et puis les choses se sont enchaînées, bien trop rapidement, des flashs à nouveau. Ce géniteur toujours présent, la main qui se lève, mais rien. Tu n’as pas cédé à ta noirceur. Tu as juste pris ton chèque et mis de côté cette aventure. Ce sentiment que tu avais mis de côté jusqu’à Nyra. Celle qui t’a vu dans n’importe quelle circonstance. « Je.. pardon. » son regard qui se pose sur toi, juste vêtu d’une serviette. Gauche. Droite. Vous dansez ensemble, tu poses tes mains sur elle, la déplaçant doucement. Sourire qui ne s’estompe pas. Cette limite que tu aurais pu franchir, mais non. Parce que Nyra est cette douceur dont tu as besoin. Elle te calme sans le savoir, elle t’apaise. À ses côtés, tu te sens presque normal, elle sait pour ta noirceur. Elle sait pour ton passé et elle te juge pas. Tu sens qu’elle comprend. Quand elle te voit en crise, elle pose sur main sur toi et tu sens que ça te fait du bien. Ça t’apaise.


   

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