Can't put back what's been brokеn (joel)

Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
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 Can't put back what's been brokеn (joel)


Hunter Atwood
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MEMBRE ☆ old wounds
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Hunter Atwood
paper rings
messages : 103
rps : 1
pseudo : same.
id card : butler. (.truelove)
pronom irl : she.
multicomptes : sam (gillespie), stevie (mitchell), dexter (barnes), noe (guerrero), zeke (allen white), leo (cowen), renfield (poulter), bart (tømmeraas) & fred (claflin).
à contacter : tout dépend la demande, un peu tous
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
Can't put back what's been brokеn (joel) QpOE
âge : trente et un ans que tu cherches un sens à la vie ? #joke
statut civil : tu t'interdis de t'attacher aux gens, c'est plus simple d'être célibataire que d'être épris d'une personne. Et tu parles en connaissance...
occupation : par ta faute, le job de tes rêves s'est envolé, aujourd'hui, tu es concierge et quelque part tu arrives à te sentir comme avant. Aider les autres, te sentir utile.
adresse : tu vis au #404 fortitude valley, un appartement que tu partages avec une charmante colocataire.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : he.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #663333.
disponibilités :

you · · joel · · you

en vrac :

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When your dreams all fail. And the ones we hail. Are the worst of all. And the blood’s run stale.I want to hide the truth. I want to shelter you. But with the beast inside. There’s nowhere we can hide

présentation : présentation
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· Ven 26 Avr - 17:18

· But somehow forgot when they told me ·
"We hurt thе ones we love"
W APPART DE JOEL. -- w/ @Joel Atwood
tw: //.



Vendredi. Et comme tous les vendredi à cette heure, tu vois ton frère. C’est une habitude que tu as prise grâce ou plutôt à cause de la prison. Jour de visite. Jour où tu venais l’emmerder à ta façon, tu le faisais rire, tu le détendais. Tu passais du temps avec lui, prenais des nouvelles, tu étais là. Et depuis sa sortie, tu perdures cette ‘tradition’, tu viens le voir tous les vendredi. Tu as besoin de ça. Tu ne sais pas si c’est réciproque, mais pour toi c’est bénéfique. Tu te rattaches à lui, tu l’as vu sombrer et tu veux lui montrer que tu es là. Qu’il peut compter sur toi. Qu’il ne finira pas comme lui. Votre crainte. Seulement là, c’est différent, deux semaines que ton frère trouve une excuse. Oui, parce que tu n’y crois pas trop à ses arguments, ses imprévus, ses oublies. Tu n’es pas stupide, il te ment. Il se terre dans son coin et ça te chiffonne. Tu n’aimes pas ça. Tu l’appelles une nouvelle fois, rien. Cela pourrait t’agacer, mais tu gardes ton calme. Tu souffles un bon coup, regardant l’heure. Tant pis pour lui que tu songes. Attrapant ta veste, tes affaires, tu pars en direction de l’appart’ de ton frère. Il n’aura guère le choix que de supporter ta présence. Tu n’aimes qu’on t’évite et tu as besoin de ce moment avec lui.

Tu pourrais lui accorder cette solitude, cette façon qu’il a de se replier sur lui-même. Après tout, il va vécu un enfer. Oui, tu pourrais le laisser tranquille. Sauf que ça serait mal te connaître. On n’abandonne pas la famille, il devrait le savoir que tu ne baisses pas facilement les bras. T’es pire qu’une moule accrocher à son rocher. Tu es là, quoiqu’il fasse ou dise. Regardant ton téléphone, tu repenses à cette soirée. Grimace qui apparaît sur ton visage. Parce qu’elle était là. Tu as croisé son regard et ton estomac s’est retourné. Tu aurais pu faire comme si elle n’existait pas. Hors ce n’est pas possible. De un parce qu’elle est venue vers toi. De deux parce que c’est impossible de l’ignorer. Tu ressens cette attraction, ce besoin limite viscérale d’aller la voir. Tu sais que tu en souffres après, mais tu n’arrives pas à refuser l’appel. Tu as besoin de lui parler, d’affronter ses remarques. Et si tout c’était passé autrement ? Ça t’arrive parfois d’y songer. De te demander ce qu’aurait été votre histoire, si elle était arrivée au bon moment. Y a-t-il un bon moment ? Tu ne sais pas. Toujours est-il que tu es allé vers les ennuies, tu le regrettes oui et non. Tu verras demain. Pour le moment, tu sens encore la colère en toi. Tu ressens encore le besoin d’expulser tout ça. La marche est un bon compromis. Sans t’en rendre compte, tu es arrivé devant l’immeuble de ton frère. Tu saisis le code et te diriges vers lui. Il est là, tu le sens, juste qu’il t’évite, apparemment il te connaît mal. Tout comme tu exiges le nouveau code de son immeuble à chaque fois qu’il change. Envahissant comme frère ? Un chouïa. Trois fois rien.

Tu toques une fois. Rien. Une autre. « je sais que t’es là. » finis-tu par lâcher à voix haute. Sa voisine qui sort de chez elle, le chien à ses côtés. Tu la salues. Un faux sourire et là voilà ailleurs. Levant les yeux au ciel. Tu toques à nouveau. Il croit sérieusement que tu vas abandonner ? Franchement, il te connaît vraiment mal. Quelques minutes supplémentaire la porte finit enfin par s’ouvrir. « Bonjour à toi rayon de soleil. Tu sais que je vais finir par me vexer. Tu me connais vraiment mal brother» sourire qui s’élargit et tu fais bien sûr comme chez toi en rentrant chez lui. Tu ne demandes pas ton reste, tu n’attends pas sa réponse, tu inspectes les lieux. « L’espace d’un instant j’ai cru que tu avais oublié. » petite piqûre de rappel, trois fois rien. Tu lui signales juste qu’il ne va pas se débarrasser de toi ainsi. Et puis quoi encore ? « alors c’est quoi l’excuse du jour ? » que tu lui demandes en posant ton jolie fessier sur son canapé. Oui tu fais totalement comme chez toi et alors ?


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Joel Atwood
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Joel Atwood
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pseudo : sweet poison (anaïs).
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à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
présence : présente
âge : vingt-neuf ans, la trentaine en approche.
statut civil : célibataire, peu enclin à s'engager en amour depuis le décès de sa fiancée ; encore attaché aux promesses d'autrefois, cœur brisé difficile à reconstruire.
occupation : violoncelliste professionnel dans l'orchestre symphonique du queensland.
adresse : appartement 123, south banks & west end.
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warning : violence, meurtre, naissance prématurée, prison, homophobie, dépression.
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fiche de liens : fiche de liens
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· Sam 4 Mai - 20:08



can't put back what's been brokеn.

-- ft / @Hunter Atwood
tw: violence, meurtre, deuil

Il avait tendance à fuir sa famille autant qu’il fuyait ses amis, Joel. Il était devenu une véritable épave suite à la mort de Moira, il avait sombré dans le chagrin, mais aussi dans la colère. Une rage folle l’ayant causé à comettre l’irréparable. Excès de violence qui l’avait conduit en prison et qui pourtant lui semblait justifié. Pourtant, il avait toujours essayé de la fuir, cette violence en lui, de crainte de devenir comme son père, un scénario à éviter à tout prix. Parce qu’il ne voulait pas être comme son père. Une crainte qui le suivait depuis toujours. Pourtant, contrairement à son père, lui, il n’avait tué personne. Pourtant, le type l’aurait mérité. Il avait tué sa fiancée et ruiné sa vie au passage. Sans Moira, son monde s’était écroulé, plus rien n’avait de sens, sans elle. Leurs projets, leurs rêves, tout ça, ça avait disparu avec elle. Il aurait pu - et dû - s’accrocher à Lila, c’était sa fille, elle avait besoin de lui et pourtant, même elle, il l’avait perdue, à présent Confiée à la famille de Moira quand il avait été en prison, il n’arrivait pas à en récupérer la garde. C’était peut-être de sa faute, mais il avait vraiment l’impression qu’on lui avait tout arraché, Joel.

Alors souvent, sortir, voir du monde, par moment, il n’en avait pas envie. Le seul truc qui le motivait vraiment, c’était la musique. Au moins, il avait retrouvé son poste dans l’orchestre, c’était déjà ça. Heureusement qu’il avait encore ça. S’il avait dû se trouver un autre emploi pour lequel le violoncelle devait rester au placard, sa vie serait vraiment devenue le pire des cauchemars. Il était resté un moment dans la salle de l'orchestre pour les répétitions, peu désireux de rentrer chez lui, il s’était quelque peu éternisé, même quand tout le monde avait commencé à partir. Il n’avait pas envie de rentrer chez lui. L’appartement était vide sans sa fille et sans Yurim. Colocataire de fortune dont il avait apprécié la compagnie, bien plus qu’il ne lui avait fait savoir. Il avait quand même fini par rentrer, pas très motivé, sachant très bien qu’en prime, il n’allait pas pouvoir ressortir le violoncelle sans énerver les voisins. Alors, une fois chez lui, il l’avait posé délicatement dans un coin. Il devrait quitter cet appartement, se trouver une maison, histoire qu’on le laisse jouer en paix. Il avait pris une douche rapide pour essayer de se détendre. Puis était resté planté un moment, devant son réfrigérateur comme un con, à se demander quoi manger. Il fut coupé dans sa longue réflexion par quelqu’un qui frappait à la porte. Pas envie de répondre, pas envie de voir du monde. Pourquoi est-ce qu’on venait l’emmerder ? Il reconnut la voix de son frère à travers la porte. Aurait voulu faire le mort, mais Hunter semblait déterminé. Un soupir passa ses lèvres, alors qu’il refermait finalement le frigo, devant lequel il était toujours planté, pour aller ouvrir la porte de son appartement. « Hey. » Il répondit simplement, sans grande motivation, alors qu’Hunter rentrait dans l’appartement, sans attendre d’y être vraiment invité. Joel ferma la porte derrière lui, dans un léger soupir. « Oublié quoi ? » Il lâcha, ayant vraiment oublié. Pas certain de savoir quel jour c’était de toute façon. « J’ai passé ma journée à travailler, c’est pas une excuse, parce que je sais pas de quoi j’dois m’excuser. » Et s’il avait pu passer la nuit entière dans cette salle de concert à juste faire de la musique, il l’aurait fait, puisque c’était bien la seule chose qui le motivait, depuis qu’il était sorti de prison. Retrouver Yurim à l’appartement l’avait aussi aidé à lâcher son violoncelle pour rentrer chez lui, mais maintenant, Yurim n’était plus là.

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