( TW ) : accident de voiture ⁙ deuil parental/familial ⁙ adoption ⁙ relation toxique ⁙ violence conjugale / émotionnelle ⁙ traumatisme ⁙ anxiété ⁙ sexualité
âge & naissance : [ 29 ans ⋄ 05 septembre à Vigan (Philippines) ] ⦙ ♁ νɪʀɢᴏ ѕᴜɴ ☾ ᴀʀɪᴇs ᴍᴏᴏɴ ∞ ʙʟᴏᴏᴅ ᴛʏᴘᴇ ᴀʙ- · Choyée et bercée dans l'amour et une sécurité qui a longtemps été source d'un avenir plein de promesses. Elle a encore le souvenir de la gamine qu'elle était devant la résonance de deux parents qui l'ont porté à croire que tout lui était possible si elle le désirait, Destin prêt à lui tendre les bras où dans la nuit étoilée du chant de l'alouette elle s'est éveillée pointant le bout de son nez sur l'île qui a longtemps bercé son enfance avec la conviction des rêves divins qu'elle a cru avant que la réalité lui rappel tragiquement que rien ne dure jamais longtemps. Elle entend le son de ces paroles rassurantes à la môme espiègle qu'elle fut, pas plus haute que trois pommes entendant encore et toujours cette voix apaisante pour lui assurer avec la conviction éternelle que sa vie serait belle et destinée à de grandes choses. Les mots qu'elle l'entend encore dans les profonds souvenirs qui l'accompagnent de celui qui a longtemps et résidera toujours à être le premier héros de sa lumière, cet être qui l'a protégé comme si le monde en était moins dangereux. La réalité ? Elle est bien loin d'être un conte de fées, c'est une chimère qu'on raconte aux gosses pour leur assurer que le sourire se gagnera toujours à joindre leur lippe, protection imaginaire jusqu'au rappel de la vraie vie. Une vie qui vous malmène, vous provoque devant les épreuves loin d'être paisible. Et quand la chute arrive ? Celles-ci vous fracassent. Carte distribuée, mais bien loin d'en être le joueur que l'on tente à prétendre, car au fond personne ne peut savoir de quoi sera fait demain, on avance simplement avec la croyance que demain sera, un jour, meilleur et croisé le doigts que le karma ne vienne pas nous en mettre dans la gueule. Sentiment qui s'est vite planté dans ses prunelles devant l'bonheur d'une vie aux éclats de rires cristallins avant d'y laisser derrière elle des années de larmes et de souffrance. [ V i n g t  -  n e u f   a n n é e s ] d'errances et d'espérances le souvenir qui s'imprègne devant la femme, celle qui se guide à toujours être l'ange gardien de sa vie, celle qui a fait d'elle la femme qu'elle est aujourd'hui. Le son de voix qui résonne à lui répéter que devant sa naissance a été le plus beau moment de sa vie quand elle s'est pointée, ainée arrivé par surprise bien trop vite, l'impatiente la curiosité qui l'a guidé déjà à vouloir explorer le monde. Le début prometteur d'une nouvelle vie à construire, famille devenue et qui raisonne devant le bonheur infini à croire que rien ne pourra jamais ébranler ce qu'ils sont devenus. C'était beau, simple, c'était eux quatre contre le reste quand plusieurs années plus tard la seconde princesse est arrivée pour compléter le portrait d'une famille d'un amour fusionnel et de la conviction que jamais rien ne les arrêtera. Trop parfait, trop beau pour que cela reste bien trop vrai. Il parait qu'il ne faut qu'une seule seconde, une seule pour que tout éclate et que la réalité connue se transforme en cauchemar. Elle l'a vu de ses propres yeux de gamine cette graine de malheur qui s'enflamme et que tout lui explose à la gueule cauchemar toujours présent pour lui rappeler que rien ne dure jamais vraiment bien longtemps et que les si les belles choses arrivent, un malheur fini toujours par pointer le bout de son nez. Elle les a vu bien trop souvent les âmes s'égarer et à baisser les bras, elle l'a vu ses âmes éclater lui tourner autour prêts à lui tendre la main pour qu'à son tour elle entre dans ce cercle vicieux et l'emporter dans le gouffre de la douleur et la souffrance jusqu'à l'emprisonner avant de les balayer avec la force et conviction que derrière le malheur, un jour ou l'autre, elle le sait, les beaux jours reviendront. Victime effacée devant le refus des visages plein de pitié, la tête toujours haute prête à se relever plus forte que jamais ou si le malheur et la douleur l'ont bien amoché qu'elle ne voudrait le prétendre. C'est pourtant le sourire qui se pointe contre son faciès pour garder le souvenir d'une famille qui lui a appris à ne jamais baisser les bras et surtout à se battre et rendre à son tour les coups pour obtenir de la vie ce qu'elle désire, car un jour, c'est elle qui en sortira la grande vainquante. origines & nationalité : Rose éternelle qui a pointé le bout de son nez sur les terres de ses ancêtres, la fierté qui ne l'a jamais quitté de ses quelques années dans ce pays qui reste encore et toujours le sien. Vigan, là où elle a vu le jour où elle a gambadé d'une simplicité sans égale quand sa famille était loin de rouler dans la fortune. Elle a profité des choses simples de la vie, une enfance qu'elle aurait bien souvent voulu voir durer éternellement surtout si elle avait su que quelques années plus tard tout cela appartiendrait au passé. Fierté de se dire [ P h i l i p p i n e ] endroit cher à son palpitant même si elle n'y a plus mis les pieds, la peur souvent de se retrouver dans cet endroit à nouveau là ou tout a disparu quand ses grands-parents eux aussi se sont plus dissipé pour lui laisser le rappel de l'héritage offert dans ses traits au caractère explosif, le sang [ e s p a g n o l ]  coulent dans ses veines, le caractère de feu qui se dégage de ses prunelles avec la fierté de perpétuité tout ce que cette famille partie trop vite lui a malgré tout laissé, la seule chose qui finalement lui reste de ceux qui l'ont aimés et protéger contre vents et marées. [ é c o s s a i s e    &    i r l a n d a i s e ] qu'elle a hérité de ses grands-maternelle dont elle été très proche et fier de posséder cet héritage jamais délaissé, le souvenir ancré pour garder en elle les moments enfouis et qu'elle refuse de voir dissiper et ça même si elle n'était qu'une gamine, elle sait que cet endroit restera toujours sa première maison, celle qui lui a offert ce sentiment de sécurité avant de le quitter pour une terre d'adoption que fut l'Australie, ville gigantesque qui l'a laissé éblouit par une beauté bien différente de tout ce qu'elle a toujours pu entrevoir dans sa vie. Immigrée devenue sur les terres inconnues pour devenir avec le temps le pays d'adoption [ A u s t r a l i e n n e ], Brisbane est devenu son chez elle, cette nouvelle maison qui a construit celle qu'elle est devenue aujourd'hui, endroit qui l'a défini et si les épreuves de la vie ont voulu la mettre à terre prête à la bousiller jusqu'au entrailles, elle s'est refuser de quitter ce pays, et cela, malgré tous les moments qui l'ont bien plus marqué qu'elle l'admettra, souvent brisés avant de se relever et de choisir avec les années de dessiner de nouveaux souvenirs, espoir du rappel de ses parents de ne jamais baisser les bras devant l'affront d'une vie prête à la clouer au sol avant de se retrouver face à cette seconde famille qui lui a offert la chance inespérée de pouvoir retrouver le sourire qui a longtemps été dissipé par la peur de l'attache et se retrouver une nouvelle fois avec le mot orpheline qui l'a bien fait trembler. Une seconde famille lui rappelant bien souvent que parfois les liens du sang ne sont parfois pas les plus nécessaires. finances et emploi : [ $$$$ ], Murmures qui l'ont bien souvent entourée, le regard bien trop figé à son encontre devant le jugement apporté dont elle en a joué à plus que raisons devant les sous-entendus trop porté à son encontre. Trop riche, trop belle, trop superficielle les "trop" suspendus devant leur lèvres pour que tout soit réel. Sourire hypocrite qui l'ont bien trop souvent encercler le jeu façonné où elle s'y est amuser et qu'elle a souvent cracher pour leur offrir exactement ce qu'il attendait d'elle. Artifice et superficialité qui a rôdait longtemps autour d'elle quand la vérité est bien loin de la réalité. Loin de l'image surfait, Meera, elle n'a rien d'une fille qui est née avec une cuillère en or dans la bouche. Elle l'a connu la misère et les galères des mauvais jours. Les moments où il fallait souvent se serrer la ceinture pour ne pas se retrouver à la rue, les factures qui s'empilaient jusqu'à ce mort s'en suivent et prêt à faire plonger ses parents dans le désarroi de la peur des fins de mois. Les boulots qui s'accumulent pour offrir à leurs deux filles une existence loin de la pauvreté prête à pointer le bout de son nez. Année de galères où ils se sont serré les coudes. Culpabilité face à une mère en pleine galère l'ascension des jours dissipés et devant un père accumulant les heures pour s'octroyer à offrir à sa famille le rêve qu'un jour ou l'autre la promesse tenue des jours sombres finiraient par se dissiper et leur offrir le monde à leur pied. Parole qu'il s'est bien trop souvent répétée quand finalement la seule chose qui comptait, c'était eux quatre contre le reste du monde et c’est certainement parce qu’elle les a connus les mauvais jours et la valeur de l’argent qu’elle a toujours refusé de dépendre financièrement de ses parents adoptifs. Loin de ce qu’on peut imaginer, elle n’a jamais eu peur de se salir les mains et plus encore à repousser ses limites. Les petits boulots ingrats et parfois ceux qui auront eu peine à la sortir des dettes accumulée elle les as connus devant ses études de journalisme au point de souvent alterner entre serveuse la journée et le soir à s'retrouver parfois derrière le bar à devenir barmaid  au point d’en devenir presque experte, fin de mois parfois difficile où les manches retroussé elle n'a pas hésité à faire les ménages pour ces gens trop aisés et même quand la fatigue avait raison d'elle, elle a continué à avancer les pieds devant elle jusqu'à se battre comme une lionne pour en arriver là ou elle en est par sa férocité jusqu'à y voir les effort s'faire récompenser quand le diplôme en poche, elle s'est retrouvé devant ce grand building les yeux pleins la tête, le rêve à sa portée pour entrer dans la cours des plus grands ou presque. L'âme d'une battante née pour briller comme l'écho qu'elle entend encore résonnait en elle assez pour se refuser à rester juste la petite pigiste bonne à ramener le café à sa patronne et encore moins à se fondre devant les petits articles des petits conseils inutiles. C'est face à sa determination que Meera, elle les a observer bien plus qu'elle ne dirait, les conversations sur le même sujet, la complexité de l'amour et ses vices cachés, sujet qu'elle connait malgré elle sur le bout des doigts. La gueule qui plait, la sociabilité qui a jouer assez pour devenir la confidence préférée et la conseillère attitré de ses collègues et parce qu'elle savait utilisé les mots qu'il fallait, les conseils qui ont bien joué et être enfin remarqué quand elle s'est retrouvé face à cette nouvelle chronique, la sienne le champ libre devant les conseils avisés à ces inconnu.es bien trop désespéré. Une seule chance de briller devant ce nouveau statut avisé de [ c h r o n i q u e u s e   d e    l  o  v  e     a n d     o t h e r      w o r d s ] parce qu'après tout, l'amour et le sexe ça fait vendre, l'un ne va pas sans l'autre comme on tenterait tant à le croire. Le tabou effacé, esprit libéré devant l'assurance prôné et le succès garanti et qui explose. Rêve entre les mains d'un succès qui n'arrive jamais tout seul, elle se retrouve à posséder également sa propre émission en direct live par podcast. Fini les les anciennes galères du passé. Elle a vu son compte s'allonger des billets verts revanche qu'elle savoure entre ses mains et en profite sans aucune once de culpabilité. statut civil : [ c é l i b a t a i r e ] Parce que dans la vie, les sentiments sont loin des contes que l'on s'raconte et qui commencerait par le début d'un beau once upon a time pour se finir par et ... qu'ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants... foutaise mis à la poubelle ou l'idée même lui file presque la nausée, elle bien consciente de la réalité. Elle a souvent entendu dire qu'il était plus facile de voir l'amour à travers le regard des autres que de trouver cette moitié pour soit-même. Meera fait parti de la seconde partie de ces gens et ça même si une part d'elle ne le revendiquera pas à voix haute de toujours l'espérer sans vraiment s'y attarder au risque d'en être une nouvelle fois achever. Célibataire, le mot qui pourrait presque lui coller à la peau peut-être un peu trop devant l'attache trop difficile. Elle plait et elle le sait, le physique dont les regards se souvent retourné, loin d'être pudique quand elle revendique haut et fort la liberté qui n'a pas de prix qu'elle chantonnerait presque comme le refrain d'un disque qui se raye à vouloir y croire plus pour les autres qu'elle-même. L'illusion enchanteresse et qui se parfaire devant les sourires qui se cognent contre son faciès, l'assurance qui la guette à se délecter de l'ivresse des nuits célestes. Parce qu'au fond, c'est plus facile de se laisser aller au désir du moment sans se porter aux sentiments, juste deux corps qui se délectent de l'instant avant de se dissiper dans l'aube qui se lève gardant en tête le souvenir d'une aventure sans lendemain et devant l'assurance voilée, des balles tirés jusqu'à y laisser son cœur saigné bien trop éreinté pour en être aussi cicatrisé qu'elle le prétendrait. Elle y a cru et peut-être qu'au fond d'elle, l'étincelle qui s'octroie encore à tenter de briller y croit encore un peu et cela même si la peur l'emporte bien trop souvent devant les sombres souvenirs et le rappel de ces artifices et les mots qui se sont implantés en elle devant le piège refermé pour laisser en elle le traumatisme d'un amour inexistant d'un homme trop manipulateur et possessif incapable d'aimer et qu'en vérité elle n'a jamais pu aimer, les séquelles toujours présent, le refus de sombrer une nouvelle fois au point de cadenasser son palpitant, la forteresse impénétrable quand au fond, elle en crève, de ce vide parce qu'au fond elle n'a jamais connu le véritable amour clamant bien souvent qu'elle n'a pas le temps pour ça et que personne ne semble pouvoir réanimé ce qui s'est glacé il y a bien longtemps presque personne si ce n'est lui, le prénom qu'elle s'interdit se refusant de le dire à voix haute. Impossible parce que c'est son putain de meilleur ami la faiblesse trop fébrile auprès de lui. Elle l'aime comme elle le déteste se noyant trop souvent dans ses ébènes jusqu'à s'y perdre devant l'interdit qu'elle se hurle entre la raison et la réalité qui l'achève et l'arrête devant la peur que si les mots seraient dévoilés, de voir ce rejet dans son regard plein de pitié et le perdre à tout jamais quand elle sait que cette fois-ci, elle ne serait pas capable de s'en relever. orientation sexuelle : [ p a n s e x u e l l e  ] Elle a toujours pensé que le plus important était l'âme d'une personne, l'émotion avant tout le reste. Meera c'est la liberté qui l'appelle, sans les tabous derrière, elle qui a toujours soif d'expérience, elle n'a jamais eu de problème quelqu'il soit avec les relations qu'il soit entre hommes ou femme ou de n'importe quel genre, elle a tendance à songer que le plus important c'est le respect que l'on reçoit et donne. Elle est autant animé par les apollons qui gravite autour d'elle que les sirènes au chant mélodieux que les deux genres tout le reste, au fond est sans importance tant que l'amour ou le sentiment de désir parcours chaque personne.situation familiale : [ F l o r e s     f a m i l y ] ( tw ) :: accident de voiture ...Et devant les épreuves de la vie on oublie jamais d'où l'on vient et encore moins ceux qui nous ont quittés bien trop tôt... À quel moment tout était parti en vrille ? Quand est-ce que le bonheur qui guidait leur rire si innocent s'était fendu à laisser les larmes couler sans même qu'elle ne le ressente comme si son palpitant s'était vidé de tout sens ? La tête qui se secoue devant la raison qui s'était dissipée sans réussir à pouvoir prononcer un seul mot. Elle les voyaient, les regards la scrutaient, leur iris plein de pitié quand en une frasque de seconde elle était passé d'une famille si aimante que rien ne pouvait ébranler au statut d'une gamine devant ce mot désigné jusqu'à lui filer la nausée et ce frisson qui l'a parcouru au point de sentir la vie se dissipé de ce corps bien trop vide face à son nouveau statut d'être celui d'une orpheline, le mot qui se répète se cogne bien trop fort  contre sa cage thoracique sans pour autant réussir à le prononcer. Elle les a aimé à en crever, eux qui lui ont tout offert, les prunelles devant le repère qui l'ont si souvent guidé. Soirée étoilée qui s'est voilée à sombrer devant le cauchemar qui se tasse et se répète en elle avec le question qui se pointe bien trop souvent contre son subconscient. Pourquoi ? Réponse effacée quand celle-ci n'en existe aucune si ce n'est a culpabilité d'avoir survécu. Survivante désignée, mot qui l'a souvent répugné devant le cauchemar loin de s'être dissipé. L'explosion qui retenti encore devant les corps inexistant et qu'elle enterre gamin qu'elle était et ne serait plus, les cercueils vide. Elle a compris ce soir-là que son innocence s'était perdue. Elle n'a pas connu cette enfance malheureuse, elle n'a pas ressenti le rejet de deux parents qui lui ont tout offert et s'imprègne toujours en elle avec le refus de les effacer, et même si la peur la guide souvent qu'avec le temps et les années, leur image s'effacent et n'en devienne que le brouillard d'un souvenir et rien de plus quant au final, ses parents et sa petite sœur étaient ce qui représentait cet univers et qui ont fait d'elle cette femme refusant de rendre les armes où le nom de Reyes se pointe toujours la posséder refusant de quitter ce patronyme qui est la seule chose qui l'a rattache à cette famille décimée, l'héritage parfois trop dur à porter, mais qui demeure toujours au plus près de son palpitant bien trop usé. [ S a l g u e r o   f a m i l y ] ( tw ) :: famille d'accueil/adoption La famille ce n'est pas uniquement les liens du sang, c'est celle qui nous choisit et que l'on choisi en retour Elle les a écumés les familles d'accueils, les visages inconnus incapable de s'y attacher, la colère qui trépasse sans qu'elle ne puisse le hurler. Le produit presqu'à vendre quand elle entend le raisonnement de ses assistantes sociales le sourire bien trop hypocrite à la rendre trop parfaite au risque qu'elle se pointe dans la rue et finir plus bas que terres. Les menaces presque soulignés devant les soit belles, sourit pour te trouver une nouvelle famille quand la tienne n'est plus parce qu'à quatorze ans elle était déjà trop vieille pour que de nouveaux parents est l'envie de la récupéré, elle la fille qui s'était trop paumé et trop rebeller refusant de se fondre dans cette société désobligeante jusqu'à cette rencontre. Le regard se poser sur elle, un air attendrissante quand elle s'est retrouvé pointé devant leur pote, le sourire bien loin de luisait comme on tentait à lui répété. La fuite qui s'est souvent emporté à se retrouver dans cette ancienne demeure la sienne jamais effacé, souvenir d'une vie qui n'existe plus jusqu'à les voir eux, les Salguero qu'elle s'est répété devant leur patiente et qu'elle accepte leur présence. Ils étaient différents qu'elle avait songé eux qui n'ont pas hésité à déménagé au plus près de ce quartier tant aimé pour lui assurer de cette protection et le refus de se remplacement hantise qui l'a souvent guetté assez pour que le temps passe et qu'elle leur y laisse une place davantage à lui quand ses iris se sont planté sur lui. Isaac, le fils plus âgé d'une dizaine d'années, celui qui l'a observé et qui finalement l'a accepté sans artifice, le frère devenu comme si finalement tout s'était mise en place et qu'elle se retrouve à porté devant cette adoption leur nom, Salguero qu'elle a mis longtemps à accepté pour finalement l'apposé derrière à celui qui restera toujours ancré en elle. signe astrologique : [ V i e r g e ], signe de la terre même si très souvent, elle a l'impression d'être née sous le mauvais signe tant son caractère est à l'opposé de celui-ci. Elle admet sans la moindre honte à se la jouer d'une curiosité sans faille où chaque matin elle aime regarder ce que pourrait lui prédire son horoscope même si elle a tendance à prendre cela à la rigolade que d'y croire vraiment avec le dictons de songer que son destin est entre ses mains et cela même si celui-ci ne lui a jamais fait de cadeaux. le pire tue-l'amour : [ l 'i n d é c i s i o n ] patiente et passion qui se perd où pour elle c'est soit tout ou rien incapable finalement d'accepter ou de comprendre l'acceptation de se retrouver entre deux feux. Le partage  et les doutes très peu pour elle, si elle donne c'est entièrement.  un fantasme : [ L ' a m o u r      e n      l u i -  m ê m e ] quand celui-ci n'en est qu'un doux vaste rêve qui s'efface au fur et à mesure du temps qui passe elle a beau prôné les mots si facilement pour les autres, les conseils avisés qui se pointe sur le sujet, mais lorsqu'il s'agit d'elle tout s'évapore dans le temps quand la réalité, c'est qu'elle ignore réellement ce que sait d'aimer, tomber amoureuse et de l'être véritablement.  à Brisbane depuis : [ s e s  d i x  a n s ] traits de caractère : Malgré les aléas de la vie qui l'a mise bien trop souvent à rude épreuve jusqu'à vouloir la mettre à terre, blessure enfoncés contre son échine jusqu'à l'enflammer devant le feu sacré qu'elle a toujours possédé. Elle s'est relevée la tête première, la force nécessaire d'avancer le sourire pendu à ses lèvres refusant d'effacer entre ses mains ce bonheur qu'un jour elle aussi finira par toucher du bout des doigts où elle avance le regard pétillant qu'elle se refuse à effacer. Fille solaire et d'un charisme sans égale qui avance pas à pas devant la vie incertaine, mais qui se refuse à baisser les bras devant les heures bien plus sombres qui l'ont souvent entouré et à qui elle a souvent balancé le doigt d'honneur pour ne jamais vouloir quitter cette vie et ça même si celle-ci l'a bien trop mis à terre Courageuse qu'elle a souvent bien entendu devant les épreuves enduré quant au fond, c'est comme ça que sa famille, les Reyes qu'elle est et restera toujours, parents qui lui ont apprit à faire face à la fatalité de se souvenir que même quand tout semble perdu, l'espoir infime demeure. Relève toi et bat-toi qui résonne ancrée dans sa caboche bien trop souvent malmenée. esprit tenace, elle s'est relevée devant les épreuves d'une vie qui l'a mainte fois mise sur le ring prête à l'achever le ko trop prononcé et à laquelle elle s'est maintenue à flot et si derrière les artifices, les jugements des hypocrites elle apparait facilement d'une superficialité et d'une confiance en elle sans faille, elle a apprit à en jouer pour se parfaire à ne plus jamais laisser personne la démonter laissant l'apparence trompeuse se glisser quand elle est avant tout joueuse dans le rôle qu'elle maitrise à la perfection sans laisser glisser que derrière les rires éclatant, le coeur faille et se cache. Bien plus intelligente et observatrice qu'elle n'y paraisse, elle a toujours se sortir des situation périlleuse par son esprit bien plus vif qu'il n'y parait. Douleur qui l'a souvent imprégné pour l'effacer d'un revers de la main incapable de laisser les mots aux paroles, le sentiments se glisser avec souvent l'image de se répéter qu'elle va bien et cela même quand son âme hurle à la souffrance, bien trop têtue se refusant à faiblir même devant ses proches cachant souvent sa tristesse qui la consume lorsqu'elle se retrouve seule, les silences qui demeurent et pourtant s'octroie à l'effrayer bien plus qu'elle ne l'avouerait, mais Meera c'est aussi l'impulsivité qui parfois fonce la tête la première, l'émotion souvent qui prime à la réflexion qui se perd devant le doux côté rêveuse loin d'être ébranlé, mais qu'elle se refuse une nouvelle fois à montrer. Loyauté incontestable auprès de ses proches et ses amie.s. où elle pardonne difficiles les coups derrière dans le dos assez pour parfois s'montrer légèrement rancunière. avatar : shay mitchell (philippine, ancêtre espagnol, écossaise et irlandaise).

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romantisme (65%)	level de drague (55%)
engagement (25%)	passion (85%)
performance au lit (92%)	fidélité (90%)
nombre de cœurs brisés (30%)	recherche de l'amour (40%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Ironique qui pourrait se pointer à travers ses prunelles, elle qui pourtant en a fait son métier, experte de ce sujet maîtrisé et qui pourtant en hurlerait cette vérité tenace qu'elle n'en a foutrement aucune idée. Il parait qu'il est plus facile de le savoir pour les autres pour que soi-même nulle doute que pour elle cette situation est plus véridique qu'il n'y parait. L'amour ? Ça vous explose à la gueule, bouffée euphorisante avec le sentiment que quoiqu'il puisse arriver rien ne pourra vous ébranler. L'amour ? c'est celui qui vous consume jusqu'à vous broyer l'cœur. Si elle ne l'a pas vécu comme on pourrait le croire, elle l'a vu l'a vu à travers le regard de ses parents. Elle se souvient encore de les avoir souvent observées en cachette, ce sentiment si fort et destructrice qui se guide à travers leur regard et cette force à toute épreuve, sentiment bien trop puissant et qui finalement n'arrive en réalité qu'une seule et unique fois dans la vie de quelqu'un. L'amour ça se pointe pour ne jamais vous quitter, c'est des épreuves à passer jusqu'à parfois vous faire perdre pied. Elle se souvient encore de ses parents, de ceux qui se sont aimés, se sont parfois beaucoup trop déchirés devant les engueulades parfois violentes et qui malgré tout ça, se refuser à se quitter, l'amour bien trop fort prêt à résister aux tempêtes qu'ils ont bien souvent dû mener. Toi et moi contre le monde entier comme elle l'a souvent entendu. L'image douce qui se parfaire à y croire. Parce qu'à les observer cela semblait si simple, si beau bien loin des contes de fées que l'on se raconte quant au fond, la vérité, c'est que personne ne viendra vous sauver sur son beau cheval blanc. Le prince trop parfait elle n'y a jamais cru, très peu pour elle, elle croit en l'amour, le vrai celui qui vous crève de l'intérieur, celui pour lequel se battre pour ne jamais baissez les bras est le signe de l'amour véritable. C'est cette image reçue de ses parents qui réside à ne jamais s'effacer et qui la porte devant cette lueur d'espoir face à ce sentiment si enivrant qu'elle a longtemps cru pour elle, le genre d'amour qu'au fond de son palpitant bien trop éprouvé aurait aimé connaître avant de se rendre à l'évidence : que parfois l'amour n'est pas fait pour tout le monde. Elle a longtemps véhiculé à le croire dans le souvenir de ses parents, dans l'amour qui réside autour d'elle face aux éclats de rire de ses proches, de ses ami.es et surtout devant son regard à lui pour comprendre que parfois certain sentiment son fait pour rester dans le silence. Le sourire qui l'a traverse. Finalement, peut-être est-ce la raison pour laquelle elle est si douée dans son métier à trouver les mots qu'il faut devant ses âmes en peine avec l'espoir infime que l'amour en sortira le grand gagnant.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
( trauma :: ( tw ) relation toxique/violences émotionnelle ) Souvenir d'un passé peu glorieux avec le rappel que parfois l'amour ça vous rend aveugle phrase qui se répète encore et toujours devant la naïveté où elle s'est laissée portée à y croire par le besoin d'oublier ce tourbillon qui l'animait pour cet être qu'au fond elle n'aurait pas dû. La raison qui s'est effacée pour se laisser berner devant les quelques mots prononcés, lui ce garçon plus âgé qui est apparu dans son champ de vision, celui qu'elle s'est refusée à la parole et pourtant devant son insistance elle a fini par se laisser charmé par le besoin de cette attention ou le sentiment d'exister un instant pour ce qu'elle était avant de se briser. Elle y a cru à ses belles paroles, à ces murmures enchanteresses qui se sont implantées dans son myocarde l'esprit bien trop déformé devant les sourires ravageurs et les mots qui ont su la berner. Captivant, le charme brut assez pour la faire planer. Le cœur qui s'envole bien trop haut avant que la chute ne l'éclate pour y laisser en elle, un palpitant bien trop abîmée. Elle aurait dû l'écouter cette voix résonnait bien trop souvent en elle, écouter son instinct devant les mots prononcés trop vrai pour être sincère, les je t'aime qui se fond dans le vent et quelle n'a jamais pu à son tour les exprimer. Paralysé par le vide qui l'a envahit devant ceci pour y répondre par un moi aussi mensonge qui s'est répété jusqu'à se profaner. Le sentiment qui s'efface pour se rendre compte de l'évidence que parfois l'amour n'est qu'une illusion à laquelle on s'accroche pour oublier ses peines et le seul besoin de cette dose de celui d'être simplement aimer. Logan Caldwell le charme a l'état pur, celui qui vous ferait croire à toute cette illusion faussé avant de faire tomber le masque bien dévoilé. Le nom de ce celui qu'elle se refuse à prononcer la peur au ventre, le regard qui encore aujourd'hui se glisse à regarder derrière elle. Il résonne encore les mots d'une telle violence, l'humiliation bien trop mise à mal au point de s'y perdre devant cette identité effacée, des mois à l'accepter avant que le courage l'emporte et qu'elle disparaisse à le fuir pour retrouver cette ville qu'elle n'aurait finalement jamais dû quitter et cela même si elle sait que la retrouvé lui serait facile, pourtant elle se refuse d'être la pauvre victime devant la vie reprise et cela même si le trauma et le déni en est toujours bien présent.  

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