TW : maltraitance infantile ; consommation de drogues ; tentative de suicide
   âge & naissance : né le 15 septembre 1984 à Brisbane, il a passé le stade de la quarantaine et a conscience que le chemin derrière lui est plus long que celui qui est devant lui. peut-être est-ce le moment de changer quelque chose dans sa vie, non ? origines & nationalité : australien, produit et livré à brisbane. il semblerait qu'il ait des origines allemandes mais il ne les connaît pas. finances et emploi : $$$$$, chauffeur particulier d'@Elizabeth Ackerley. statut civil : célibataire. orientation sexuelle : hétérosexuel, il n'en a jamais douté, ne s'est jamais posé de questions. les courbes féminines ont la maîtrise des battements de son palpitant. il est à leur merci.  situation familiale : célibataire - n'a pas vu ses parents depuis ses dix ans - a un frère cadet dont il a été le tuteur légal à sa majorité. signe astrologique : vierge. le pire tue-l'amour : l'ail! un fantasme : qu'elle lui dise « je t'aime ». à Brisbane depuis : toujours. il n'a jamais quitté la ville. faut de temps, d'argent ou d'envie. traits de caractère : sa famille (son frère) est sa priorité depuis qu'ils ont été séparés de leurs parents, il a toujours ce besoin de veiller sur lui, de le protéger ... sans se rendre compte (pas encore!) que c'est de lui-même qu'il devrait le protéger ; généreux ; patient ; prudent ; sociable ; drôle ; sarcastique ; observateur ; un tantinet vulgaire quand il est énervé ; discret. avatar : travis fimmel (australien & allemand).

   

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romantisme (10%)	level de drague (90%)
engagement (10%)	passion (80%)
performance au lit (80%)	fidélité (100%)
nombre de cœurs brisés (55%)	recherche de l'amour (05%)

   ♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Pour lui, le grand amour est une connexion profonde et inébranlable entre deux personnes, fondée sur le respect mutuel, la confiance, la compréhension et une affection sincère. C'est un sentiment d'acceptation totale, où chacun est libre d'être soi-même tout en étant pleinement soutenu par l'autre. Le grand amour transcende les défis et les épreuves de la vie, grandissant et évoluant avec le temps. Charlie ?

   ♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Sa plus grosse déception amoureuse, il l’a vécu chez lui. Charlie et son frère, assis dans le canapé de son salon. Il avait son bras enroulé autour d’elle, et ses jambes à elle étaient sur les siennes. Ils regardaient un film et semblaient avoir commandé des pizzas. Il se souvient s’être consacré sur les doigts de la jeune femme jouant avec la pointe des cheveux de son cadet. Il se souvient s’être imaginé cette sensation. Il se souvient s’être imaginé ce que ce serait de l’avoir aussi proche de lui, aussi près. Il se souvient s’être égaré dans ses pensées … jusqu’à ce que son frère se rende compte de sa présence et l’invite à les rejoindre. Elle l’avait choisi, lui … ? ou s’était-il mis dans les coulisses pour laisser son frère être heureux, et vivre son amour … ?

   (un) Ses parents sont June et Ollie Longo. June a rencontré Ollie alors qu’elle était à l’université. June souhaitait se spécialiser dans le marketing. Elle a toujours eu le bagout, June. Oui mais voilà, Ollie a aussi le bagout et c’est au comptoir d’un bar qu’il le lui prouve. Un sourire. Deux répliques bien placées et elle s’était jetée à ses bras. Ollie a le bagout, il convainc. Premiers joints. Premières soirées. Premiers examens ratés. Premières lignes de poudre blanche. Premier test de grossesse positif. Outch ! (deux) June arrête ses études pour se concentrer sur sa descente en enfers. Et au cours de sa descente en Enfers, elle prend la peine de créer une famille. Deux fils, dont l’aîné, Jonty. Cadeau des dieux, il paraît que son nom veut dire. Elle avait vu ça dans un magazine dans la salle d’attente. Jonty est l’aîné et comme tout aîné, il a des responsabilités. Son petit frère et lui, ils ont dix ans d’écart alors croyez-moi, c’est lui qui a changé ses couches, préparer ses biberons, veiller à ce qu’ils fassent ses nuits. Jonty a grandi trop vite.  (trois) Il a dix ans quand les services sociaux frappent à la porte de leur appartement. « Les flics ! » avait d’abord crié sa mère avant de se rendre compte que ce n’était pas des officiers de police mais bel et bien les services sociaux … on les avait avertis d’un problème dans le voisinage. Jonty a dix ans quand on lui tend la main et l’invite à sortir de ce qui ressemble plus à un squat qu’à une maison. La main tendue, il hésite à la serrer … surtout quand son petit frère se met à hurler du haut de ses trois ans. Mais, c’est la chance de sa vie alors il saisit son petit frère, le porte pour finalement saisir cette main tendue et disparaître. C’est la dernière fois qu’il mettra les pieds dans cet endroit. (quatre) Une chose est certaine : on ne peut pas les séparer. La relation est fusionnelle et les agents des services sociaux ont bien compris que ce serait pire que mieux. Alors, c’est ensemble qu’ils découvrent leur première famille d’accueil … juste pour quelques mois. Rapidement, on les renvoie en foyer et désormais Jonty est trop âgé. Les familles d’accueil ne semblent pas vouloir s’encombrer de pré-adolescent. Ils grandissent en foyer et sont deux contre le reste du monde. Jonty n’en garde pas que des bons souvenirs et une fois majeur, il met les voiles en prenant son frère sous son aile. Il devient son tuteur légal.  (cinq) Tuteur légal de son cadet, c’est un peu trop de responsabilités. Jonty est rapidement dépassé. Enchainant les boulots, il n’a pas le temps de voir son frère sombrer … tout comme il n’a pas le temps pour se consacrer à elle. Charlie. Elle passe pas mal de temps chez eux, avec eux et Jonty jurerait que les couleurs deviennent moins ternes quand elle est dans les parages … sauf que voilà, un soir, son frère le lui dit : « Je crois que j’suis amoureux, Jon. D’Charlie. » La sentence est tombée. Avalant une gorgée de sa bière chaude, il abandonne l’idée d’accepter ses sentiments … il prend ses distances … il laisse son frère vivre, il le mérite.  (six) Quand il fait la connaissance d’Elizabeth, il découvre une jeune femme pleine de vie. Elle sourit, toujours. Elle rit, beaucoup. Souvent, il l’observe et se jure qu’elle doit être l’allégorie du bonheur dans un dictionnaire. Pour sûr. Alors forcément quand l’orage gronde dans sa vie, il est le premier à s’en rendre compte. Son sourire est parfois présent mais son regard ne sourit pas. Elle est l’ombre d’elle-même et il en est le spectateur principal. Parfois, les mains se serrent autour de son volant quand il est témoin de crises, de disputes. Un regard dans le rétroviseur et il voit les larmes rouler sur ses joues. Il aimerait pouvoir lui dire quelque chose, lui dire que ça ira mieux … bientôt, demain. Mais ce n’est pas son boulot ni même sa place. Il n’est que Jonty, le chauffeur. (sept) Il est allongé dans son lit en train de regarder un film complétement pourri quand son téléphone sonne. Pris de panique, il pense à son frère quand c’est le prénom de son employeur qui apparaît sur l’écran. Deux possibilités. Une erreur. Une urgence. Rapidement, il comprend la gravité de la situation … il la fait parler, de tout, de rien surtout pour la tenir éveillé alors que c’est en quatrième vitesse qu’il débarque chez elle. La poupée est devenue une poupée de chiffon. Il reste à ses côtés, la prenant dans ses bras, la berçant presque en lui assurant qu’elle n’est pas seule … jusqu’à ce les urgences arrivent et qu’il ne redevienne que … le chauffeur.  Mais est-on juste le chauffeur quand on vous a sauvé la vie ? quand on a vu votre âme ? (huit) On ne lui connaît aucune relation sérieuse … comme s’il était toujours en attente, comme s’il se devait toujours être disponible. Au cas où. Car les « au cas où » arrivent parfois. Charlie frappe à sa porte. Charlie l’appelle. Et sans un mot, il sait et comprend. Elle et son frère se sont séparés. Encore. Elle est désormais disponible. Elle est là. Et à chaque fois, c’est la même chose : il se perd dans cette passion dévorante et brûlante … tout en sachant pertinemment qu’elle finira par le retrouver car elle l’aime lui, car elle est sienne et que lui, il est juste le « au cas où ».  (neuf) Il paraît que son père est malade, il paraît que son père ait besoin d’un rein … il paraît. Il a entendu ça d’un voisin, l’ami d’un ami d’une amie de sa mère. Il paraît qu’on les cherche, pour faire un test, pour savoir. Il paraît que Jonty pense à se l’arracher lui-même le rein … pour s’assurer que cet enfoiré ne l’obtienne pas. . (dix) Le bac à légumes de son réfrigérateur est le bac à bières – il est un piètre cuisinier. Il ne sait s’occuper que de plats de base, juste de quoi survivre – il n’a plus aucun contact avec ses parents – ayant été le tuteur légal de son cadet, il est également le numéro d’urgence à appeler en cas de pépins, soit souvent – il lui arrive de fumer quelques joints en soirée mais n’a jamais consommé de drogues dures – il ne supporte pas les boîtes de nuit et préfèrent et de loin les concerts ou les bars – est doué aux fléchettes, qu’on se le dise, il a de l’expérience – quelques tatouages par-ci, par-là – si son style vestimentaire se rapproche plus de celui du cliché du redneck en privé, il possède quelques costumes quand il est derrière le volant pour Elizabeth – il n’a rien de précieux, ne possède rien de précieux - a la main verte, ne vous moquez pas de lui quand il parle à ses plantes

   

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