TW : grossesse adolescente, abandon parental, divorce.
âge & naissance : tu as vu le jour le vingt-neuf août dans un hôpital de brisbane, il y a vingt-quatre ans déjà. le temps file mais ne t'effraie pas. origines & nationalité : tu as eu la nationalité australienne à ta naissance, tout comme tes parents avant toi. tu es d'origine sud-coréenne, et ta mère s'est assurée de garder ton héritage au plus près de toi. finances et emploi : $$$$$, tu ne viens pas d'un milieu aisé, mais t'as trimé pour t'en tirer. ta mère t'a appris à être économe, et ton sens de la responsabilité a fait le reste. ton boulot de vendeur dans un magasin de photographie te donne un salaire stable, régulier, qui a peu à peu augmenté avec les années. à côté de ça, ta carrière de photographe décolle tranquillement, et les contrats moussent de plus en plus tes fins de mois. statut civil : célibataire. t'as eu une ou deux relations dans ta vie, mais rien que tu considères véritablement important. y a toujours eu que celine pour t'obséder, depuis que t'as dix-sept ans et sûrement à jamais. orientation sexuelle : hétérosexuel. situation familiale : tu as été élevé par ta mère, avec qui tu conserves encore une bonne relation aujourd'hui. ton père n'a jamais fait trop partie du décor — tes parents n'étaient pas mariés, et il a pris le large quand tu étais encore bébé. tu as davantage vu en ton beau-père une figure paternelle, même s'il est arrivé un peu plus tard. lui et ta mère ont divorcé quand tu avais seize ans ; ta mère n'a pas voulu partager la garde, puisqu'il n'y avait aucun lien du sang. tu lui en as toujours un peu voulu, et tu es resté très proche de lui. à lui envoyer perpétuellement des nouvelles de ce petit frère qu'ils t'ont donné peu avant de se séparer. tu t'en occupes énormément, depuis toujours, et ton départ en appartement n'a rien changé à ça. signe astrologique : vierge. une évidence, apparemment. le pire tue-l'amour : tes apparences douces et réservées sont trompeuses. dans ta vie amoureuse, t'as besoin d'assurance et de fougue. autant que ce que tu en as. tu te retrouves trop rapidement désintéressé face à la gêne et au constant besoin de validation. tu ne juges ni ne rabaisses, bien loin de là — mais ça ne fait pas bon match avec toi. un fantasme : ceux qui te connaissent assez savent qu'en sept ans, ce point n'a pas changé. t'es hanté par celine jung, par les sentiments qu'elle a fait naître dans ton coeur et par tous les demi rejets que tu t'es essuyé. t'es amoureux, tu ne t'en es jamais caché, et même si tu as laissé le temps et la distance estomper cette évidence, elle reste aujourd'hui toute aussi vraie. tu sais ce que tu veux ; dommage que la réciproque ne soit pas vraie. à Brisbane depuis : toujours. tu n'as guère voyagé dans ta vie, et tu ne penses pas que tu le feras pour autre chose que pour ta carrière. traits de caractère : mature, indépendant, bienveillant, juste, honnête, amical, décidé, téméraire, protecteur, attentionné, ingénieux, réfléchi, rigoureux, diplomate, doux, assuré, débrouillard, dévoué, rassurant. avatar : song eunseok. (sud-coréen)

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romantisme (75%)	level de drague (20%)
engagement (90%)	passion (85%)
performance au lit (80%)	fidélité (100%)
nombre de cœurs brisés (30%)	recherche de l'amour (10%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
T'as jamais été trop du genre romantique — et pourtant, ton coeur s'est accroché au grand amour alors que tu n'étais encore qu'un adolescent. Quand t'as vu Celine, que t'as appris à la connaître un peu, et que tu as réalisé qu'elle te plaisait. Tu lui as manifesté ton intérêt, elle t'a fait poireauter, mais t'étais mordu. Incapable de l'oublier. Trop conscient qu'elle piétinait ton coeur avec ses peut-être, et que tu aurais dû la laisser aller. Les années auraient dû t'aider à tourner la page, à l'effacer. Mais quand tu l'as revue, tu as réalisé que ton coeur n'avait jamais capitulé.
T'as jamais vraiment cru au grand amour, mais ça ne l'a pas empêché de te coincer.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
T'es coincé à dix-sept ans. Quand Celine Jung, après ne t'avoir éconduit qu'à moitié, des mois durant, t'a promis qu'elle irait à un rendez-vous avec toi avant que l'année scolaire ne se termine. Tu la sentais sincère, et t'y croyais. Tu misais sur le bal de fin d'année.
Elle y est allée avec quelqu'un d'autre. Tu n'as jamais eu ton rendez-vous. La chance que tu espérais s'est envolée, et Celine ne s'est jamais excusée. Tu comprends, tu ne lui en veux pas — mais tu n'as pas non plus oublié. Et tu te trouves stupide d'encore croire à cette chance qu'elle ne te donnera jamais.

(un) (tw: grossesse adolescente, abandon parental) Ton père n'a jamais vraiment trop été là. Ta mère était éprise, mais lui n'accordait que peu d'intérêt à l'idée de se poser. Quand elle est tombée enceinte — beaucoup trop jeune pour avoir un enfant —, il a peu à peu pris ses distances. Puis un beau jour, peu après ta naissance, il lui a annoncé qu'il partait à l'université à l'autre bout du pays. Qu'elle n'était pas invitée. Il l'a laissée derrière, dans un monde qui n'était pas fait pour elle, dans les bras de parents qui désapprouvaient son choix de garder un enfant à seize ans.

(deux) Elle s'en est sortie. Bosseuse, déterminée, elle avait envie de survivre et de te donner la vie que tu méritais. Elle a pris soin de toi comme personne ne s'en serait douté. Sous le toit de ses parents, pendant tes deux premières années — puis, dès qu'elle a été majeure, elle s'est pris un petit appartement en ville. Elle a arrêté de parler avec ses parents après ça : ils en avaient trop à redire sur sa vie, et il était hors de question qu'elle leur abandonne ta garde. Elle avait un boulot stable, elle était responsable, et tu étais un gamin assez dégourdi pour qu'elle soit capable de te gérer sans trop de difficultés. Vous avez fait votre petit bout de chemin, main dans la main. Elle ne laissait que peu de gens rentrer dans votre cercle, te protégeant à sa manière. Elle travaillait beaucoup, trop. L'enfant que tu étais n'a pas eu de mal à le remarquer, mais ne le lui a jamais reproché. C'était votre vie. Tu étais bien comme ça.
De votre appartement, vous êtes passés dans une petite maison. Un pas à la fois. Ta scolarité se passait bien, ta mère était fière de tes notes et de tes talents en art. Elle n'a jamais projeté sur toi ses ambitions avortées. Elle t'a laissé faire ta route, enfant comme adolescent — et tu lui en seras redevable à jamais.

(trois) Tu avais neuf ans quand elle t'a présenté Syed. Elle le fréquentait depuis un moment maintenant, et elle l'appréciait assez pour l'introduire dans votre vie à deux. Tu savais la marque de confiance que ça représentait, et tu as immédiatement laissé une chance à Syed. Tu l'aimais bien. Il était gentil, intelligent — et il rendait ta mère heureuse. La seule chose qui t'importait vraiment. Elle s'est imaginée que tu lui rendrais la vie compliquée, mais il n'en a rien été. T'as jamais voulu qu'elle passe sa vie en solitaire, et tu étais heureux de la voir avec quelqu'un.
Syed t'aimait bien aussi. Vous vous entendiez à merveille, et tu t'es attaché à lui comme à la seule figure paternelle que tu as connue de ta vie. Quand lui et ta mère ont décidé de se marier, tu en as été comblé. Vous êtes devenus une famille aux yeux de la loi, et ça validait ce que ton coeur ressentait. Tu n'as pas pris son nom, tu ne l'as pas appelé papa — mais ça ne changeait rien à ce qu'il représentait pour toi.

(quatre) Et puis, Syed a commencé à s'enfoncer. T'étais trop jeune pour qu'on veuille vraiment s'ouvrir à toi sur les problèmes qu'il traversait, mais assez vieux pour comprendre par toi-même ce qui clochait. T'as essayé de rester là pour Syed. Là pour ta mère. Mais t'avais ton adolescence à gérer, et tu savais que tes moyens étaient limités. Tu t'es protégé comme tu as pu, tout en gardant la porte ouverte pour ton beau-père. Peut-être que tu aurais dû en faire plus. Mais encore aujourd'hui, tu ne vois pas quoi.
Peut-être que la fin était inévitable.
Les choses étaient déjà difficiles quand ta mère est tombée enceinte. Elle l'avait voulu, ce deuxième gamin — mais voilà que lui aussi arrivait au mauvais moment. La grossesse a été compliquée à gérer pour tout le monde. Pour ta mère, qui aurait voulu que l'enfant arrive à un autre moment. Pour toi, qui allais hériter d'un petit frère à seize ans. Pour Syed, qui ne pouvait gérer ça à ce moment-là. Et pourtant, Rohan est arrivé.

(cinq) La naissance de Rohan vous a donné une once de répit. Vous étiez tous heureux de le voir là — tes parents, particulièrement. Tu as donné un peu d'attitude à la situation, peu ravi de devoir changer des couches à seize ans. Puis, bien vite, la balance s'est inversée. Syed n'avait plus d'emploi, et parlait de se lancer dans le monde du streaming. Ta mère a paniqué, inquiète du peu d'argent que ça ramènerait alors qu'elle-même était en congé maternité.
La présence de Rohan dans votre famille a indirectement créé des tensions entre tes parents, qu'ils n'ont pas su gérer. Ta mère a quitté Syed, et s'est battue pour avoir ta garde exclusive, ainsi que celle de Rohan. Pas de droit du sang pour toi — et un bébé a davantage besoin de sa mère que de son père, a décidé le juge. T'as jamais entendu autant de conneries de ta vie. T'en as voulu à ta mère pour cette décision égoïste, qui ferait plus de mal que nécessaire à Syed.
Tu t'y es opposé. Ta mère a dû reprendre le boulot rapidement, et tu t'es retrouvé à t'occuper de Rohan un peu trop souvent. Tu envoyais des photos de chacun de ses progrès à ton beau-père — maigre contribution dans cette situation désespérée. T'as jamais coupé les ponts avec Syed. Tu l'as gardé dans ta vie et, si ta mère s'y est au début opposée, elle a fini par comprendre et accepter. Ne plus rien dire sur le sujet. Une part d'elle l'aimerait sûrement à jamais.

(six) Celine est arrivée dans ta vie comme un cheveu sur la soupe. Elle a rejoint le club de photo un peu par défaut ; tu en étais membre depuis ton entrée à l'école secondaire. Elle avait un an de moins que toi, plus de fougue que tu n'en avais jamais vue — et que tu n'en as revu depuis. Tu es tombé instantanément amoureux.
Tu n'as pas attendu très longtemps avant de l'inviter à sortir. Flattée, elle a pourtant décliné. Ses mots t'ont laissé en suspens. Elle t'a dit de réessayer. D'être plus créatif. Qu'elle n'était pas disponible ce weekend-là, mais peut-être le suivant. Qu'avant la fin de l'année, elle sortirait avec toi pour de bon. Tu t'es laissé promener de bon gré. Loin d'être naïf, tu appréciais le jeu. Prenant ton mal en patience, en sachant la franchise de ses promesses.
Tu as continué de l'inviter par principe, pour lui faire mousser l'ego et pour la faire sourire. Parce que t'aimais lui parler, et que tu ne voulais pas qu'elle pense que tu avais baissé les bras. Jamais. Tu as pensé, toute l'année, que tu l'inviterais au bal de fin d'année. Que ce serait l'occasion parfaite, et le moment où elle accepterait finalement de passer du temps à tes côtés.
Sauf qu'elle y est allé avec un autre gars. Que tu n'as jamais compris pourquoi.
Que tu n'as jamais eu ton rendez-vous avec elle, malgré sa promesse.
Que tu as quitté l'école le coeur piétiné. Pensant qu'elle n'avait eu aucun intérêt pour toi, finalement. Que t'avais peut-être été plus naïf que tu ne le pensais.
Brûlure que tu n'oublierais jamais.

(sept) Tu as quitté le secondaire sans avoir réellement d'ambition pour l'université. Ta mère n'avait de toute manière pas les moyens de te la payer. Tu as, au lieu de ça, gardé ton emploi dans le petit magasin de photographie où tu bossais à temps partiel jusqu'ici. Tu es passé à temps plein, te gardant un peu de temps en soirée pour travailler dans un vidéoclub et te mettre le plus d'argent possible en poche. Y avait un appareil que tu voulais, une chance que tu souhaitais te donner. T'as bossé d'arrache-pied pour y arriver. Tu t'es payé ton appareil. Tu t'es familiarisé avec. Tu as eu plus de responsabilités au magasin, et tu as quitté le vidéoclub. Tu as commencé à prendre des petits contrats de photographie, çà et là — recommandé par ton boss, boosté par ton talent. Tu fais ta place dans le milieu, un jour à la fois. Un contrat à la fois. Sans fierté mal placée, et sans avoir peur de faire des photos d'identité ou des portraits de famille pour arrondir tes fins de mois.
Un jour à la fois.

( ∞ ) Tu as continué à t'occuper de ton frère pour dépanner ta mère. Tu n'as quitté le domicile familial qu'il y a deux ans, trop investi dans l'éducation et la vie de Rohan avant ça. Encore aujourd'hui, tu continues d'aller le chercher à l'école, de le garder pour le goûter, de l'aider à faire ses devoirs. Baby-sitter que ta mère n'a jamais à payer. ++ Tu as une petite beagle de deux ans maintenant, prénommée Peanut. Tu y es terriblement attaché — et Rohan aussi. Tu as pris le chien dès que tu as emménagé seul. ++ Ton chat n'a pas tardé à suivre. Maine coon croisé, abandonné, que tu as recueilli pour donner à Peanut un peu de compagnie. Tu ramasses des poils roux à tour de bras, mais la grande présence de ton chat est rassurante. Pour ton chien aussi — et c'est plus souvent Peanut qui dort contre le ventre d'Hiro que l'inverse. ++ Ta relation avec ta mère s'est dégradée depuis son divorce avec ton beau-père. Tu lui reproches un peu d'avoir retenu tous les droits de garde, quand il en aurait largement mérité. Tu ne te gênes pas pour lui faire savoir, et elle est fatiguée de se le faire reprocher. Pour autant, elle ne capitule pas, et vous continuez d'être en désaccord sur le sujet. ++ Tu as bien plus mauvais caractère que tes apparences douces ne pourraient le présager. Tu te coules dans le monde sans faire de vagues — mais tu as forte tête, et tu ne t'es jamais laissé marcher sur les pieds. Tu sais faire valoir ton intégrité. S'en mordront les doigts ceux qui essaieront de t'attaquer ou de te causer du tort. ++ Sec et intransigeant, tu ne donnes presque jamais de secondes chances et t'avères exceptionnellement rancunier. Tu donnes suffisamment d'avertissements clairs pour estimer que, lorsque l'erreur est commise, elle doit être assumée. ++ Tu es passionné de photographie depuis ton adolescence, et c'est assez naturellement que tu as pris le chemin de cet intérêt pour faire ta vie. Tu ne le regrettes pas, ton ambition étant de toute manière beaucoup plus mesurée que ton talent. Un fait que tu as du mal à croire, qu'importe la langue dans laquelle tes proches essaient de te l'expliquer. ++ Tu es étrangement autoritaire. Ça t'a donné une aisance naturelle à t'occuper de ton petit frère, et à faire comprendre à ta mère lorsque tu n'étais pas d'accord avec elle. Ça te facilite la vie avec tes animaux de compagnie, et à ton boulot aussi. Tu redoutes parfois de trop en faire, cependant — et choisis souvent de ne pas parler plutôt que d'exercer cette fermeté de ta personnalité.++ T'es pas un gars de ton temps. Tu ne joues pas vraiment aux jeux vidéos, ne regardes que rarement la télévision. Tu n'es sur les réseaux sociaux que pour le boulot, et tu n'éprouves aucun plaisir à passer des heures sur ton téléphone. Tu préfères amplement un livre ou un jeu de société, choisiras les films plutôt que les séries. Et tu ne comprends pas l'obsession de ton petit frère avec la tablette que tu as offerte à ta mère. ++ Tu as eu quelques relations dans les dernières années. La plus sérieuse s'est soldée par une rupture amicale, et Lex reste aujourd'hui une de tes meilleures amies. Mais rien ni personne, au bout du compte, n'a su remplacer Celine dans ton coeur. Tu devrais tourner la page, tu le sais — mais y a un foutu goût d'inachevé. Et une part de toi l'aimera à jamais.

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