Tag "3" sur BROKEN HEARTS CLUB.

Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
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Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. LpLiptEv_oSujet: (theo) leftovers anthem
Theodore Korb

Réponses: 10
Vues: 351

Rechercher dans: follow you   Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. EmptySujet: (theo) leftovers anthem    Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. EmptyLun 25 Sep - 22:57
theodore korb (il)
TW : infidélité, accident grave, addiction médicamenteuse.

âge & naissance :

vingt-huit années soufflées aux premières aurores de mai ; le temps qu’il voit filer entre ses doigts crispés, qui délite les cœurs plus qu’il ne les répare. Les espoirs se blessent, s’écorchent – et le cynisme repart avec la plus large part.

origines & nationalité :

La première décennie vécue à Berlin, du côté des étendues vertes de Templehof ; l’Allemagne natale du paternel est cependant vite quittée pour la patrie maternelle. Une Australie rejointe en pleine enfance, des milliers de kilomètres parcourus en un cil et une nouvelle vie à adopter, à laquelle s’adapter. Difficile. Accent germanique rude moqué pendant des années, pour finalement disparaitre sous la contrainte des pressions adolescentes : repérer les origines européennes est désormais difficile, tant il parvient à imiter le dialecte australien à la perfection.

finances et emploi :

Pour briller dans la cellule familiale, il aurait fallu suivre les traces de ses géniteurs et de son aîné ; des études de médecine que l’on aurait aimé le voir entamer, au vu de ses facilités scolaires. Mais les doigts fourmillent, implorent de se mettre au service de l’imaginaire, s’épanouissent tant au contact du crayon qu’il commet la plus grande des rebellions : se dire illustrateur, étudier les arts graphiques pour plus tard rapprocher ceux-ci des corps. C’est bientôt la peau qui devient sa fibre préférée, chair sur laquelle il trace les lignes volubiles que son esprit se plaît à imaginer. Depuis quelques temps, c’est à The Studio qu’il tatoue, récoltant un pécule à peine suffisant pour vivre correctement.

statut civil :

Célibataire par intermittence, sans cesse tour à tour propulsé et déçu des amourettes déchues. Quelques passions trop fulgurantes pour être retenues, l’amour comme une religion prônée avec plus ou moins d’assiduité selon les saisons ; romantisme piégeur qui cache la constance d’un attachement trop profond, sur lequel il se refuse à mettre un nom. Et surtout pas le sien à elle.  

orientation sexuelle :

Bisexualité conscientisée sur le tard, hommes et femmes en proie aux mêmes étreintes, aux mêmes espoirs que le temps flétrit. Corps comme fleurs au soleil qu’un rien fane, le temps de les voir devenir profanes, suppliant d’y trouver un jour une exception.   

situation familiale :

Les rapports complexes des parties qui peinent à se comprendre, aux considérations trop éloignées pour encore y trouver des connivences. On continue à organiser des repas de famille pour la forme, mais le cœur n’y est plus et les lèvres se cousent de crainte d’en dire trop – ou pas assez. Dans ce ballets de cœurs lassés, sans doute que les liens ont fini par être délaissés.  

signe astrologique :

Taurus.

le pire tue-l'amour :

Les égoïsmes majeurs des conversations prises en otage, les orgueils qui se devinent avec trop d’évidence et dévorent la moindre particule de ce que les autres pourraient y distiller.

un fantasme :

Le noir des prunelles qu’il s’acharne et s’échine à prétendre amies, auquel il cédera pour une nuit. De cendres. À minuit, alors que quinze ans d’amitié se font froidement descendre ; car il est dit que les fantasmes de l’esprit ne sont pas faits pour être réalisés, et se doivent absolument de rester niés.

à Brisbane depuis :

Arrivé à ses dix ans, ville quittée le temps d’une année d’échange pour le vieux continent – puis retrouvée. Parfois délaissée pour des résidences dans d’autres salons, lors de ces dernières années ; volonté de voyager, ou peut-être aussi de l’éviter.

traits de caractère :

Déchet mâchouillé d’une bourgeoisie abandonnée, il a compris sans doute trop tôt qu’il ne se conformerait jamais vraiment a ce qu’ils attendaient. Une fois digérée, la sensation d’isolement devient une arme, une rare forme d’élégance de sa part : l’indécence appuie toutes ses mises sur ce charme noir, brode le cynisme provocateur dont il a fait sa spécialité, sur chacune des paroles qu’il fait virevolter • Sans cesse partagé entre l’écoute de sa propre sensibilité, l’âme poète dont les astres l’ont affublé, et le réalisme moribond auquel son éducation l’a condamné. • Prudence trop grande face aux relations qu’il tisse, et qu’il craint sans cesse de voir se gâcher ou s’étioler ; par crainte, il a souvent pris l’habitude fâcheuse d’abandonner les autres de peur qu’ils ne finissent par le faire.

avatar : Noah Saavedra (autrichien)

open your heart
(un) Incapable d'offrir à ses plantes vertes une vie longue et fastueuse, il commet souvent l'erreur de trop les arroser, lui apprenant au passage une leçon essentielle : que trop aimer risque parfois de tuer. (deux) Une certaine inclinaison pour les bijoux qu'il porte aux doigts, bagues chéries avec attention, qu'il n'ôte que lorsqu'on l'y force. (trois) L'écriture manuscrite illisible, sortes de pattes de mouches que même un médecin peinerait à déchiffrer. Question de génétique, certainement : il n'y a qu'à voir celles de ses parents. (quatre) Double langage parlé couramment, passe avec facilité de l'anglais à l'allemand ; il tentera vaguement à l'adolescence de conquérir des cœurs en récitant des vers de Rilke, sans grand succès. Il leur préfèrera plus tard les verres de vin. (cinq) Inconditionnel de Led Zeppelin, Babe I'm gonna leave you est jusqu'alors la seule chanson capable de lui tirer des larmes sans condition. (six) Dix-huit tatouages au compteur, dont sept de lui-même – et deux vaguement ratés, ses premiers essais. L'encre noire pour coudre les souvenirs au corps, puisque le cœur parait si enclin à oublier. (sept) Corner les pages des bouquins pour marquer l'endroit où il s'est arrêté : à ce motif, il est plus que sage de ne jamais lui en prêter, sous peine de les retrouver défigurés et pliés. (huit) Une mauvaise cicatrice à la mâchoire, souvenir aigu d'un accident de voiture pendant la petite vingtaine ; depuis, il n'a plus jamais pris le volant après la moindre goutte d'alcool. (neuf) Les analgésiques restent nécessaires, même après tant de temps : plus autant qu'avant, mais la boîte stagne toujours au fond de la poche, au cas où l'épaule se mettrait à hurler. Petite honte inavouée, addiction à demi-mesurée. (dix) Un carnet toujours à portée de main, pour en tracer les lignes que forme l'esprit : consommés sans modération, les recueils de papier s'alignent sur une étagère pleine à craquer chez lui.

chronologie
3 mai 1995 / naissance de Theo à Berlin, quatre ans après son ainé Max.
2005 / déménagement en Australie, à Brisbane d’où sa mère était originaire ; ses deux géniteurs, cancérologues de profession, s’y voient proposer une bourse de recherches.
novembre 2007 / rencontre avec Sierra, au détour d’une plage. Elle devient la confidente, l’autre doigt de la main, sa première vraie amie sur le continent australien. Il jure de ne jamais s’en séparer.

2014 / entame des études de beaux-arts, au grand dam de ses parents qui acceptent cependant de financer celles-ci malgré leur manque de conviction. Theo a de plus en plus de mal à faire fi de leur jugement et leur manque d’approbation.
2016 / effectue un échange universitaire à l’UdK de Berlin, où il reste un an : il découvre la vie nocturne du vieux continent, en profite avec parfois un peu trop de zèle. Il reçoit également sa première machine à tatouer, et apprend quelques bases auprès de tatoueur.euses berlinois.es.
2018 / rentre à Brisbane, où il vit de petits jobs tout en tatouant sur le côté. Retrouve Sierra, et même si chacun a évolué de son côté, leur lien n’a jamais été si soudé – fort de l’éloignement qui n’a rien gâché.
juin 2020 / un accident de voiture, après avoir pris le volant légèrement soul. Il s’en sort avec beaucoup de chance, mais son épaule disloquée a des difficultés à se remettre correctement. Les douleurs sont intenses, il les fait taire avec des anti-douleurs.
2021 / les antalgiques deviennent addiction, il peine à s’en passer mais n’en touche mot à personne, sans doute un peu honteux. Son humeur s’en fait parfois ressentir, plus taciturne ou acariâtre qu’à l’habitude : Sierra et lui s’éloignent peu à peu.
15 avril 2021 / apprend sur Instagram les fiançailles de Sierra et Julian. Une pique est lancée, il ne voit pas la nouvelle d’un bon œil, ce qu’elle lui reproche immédiatement. Theo n’insiste pas.
mars 2022 / se fait suivre médicalement pour sa dépendance aux anti-douleurs : peu à peu, il réussit à diminuer les doses prises, sans cependant réussir tout à fait à arrêter.
juillet 2022 / après une dispute violente avec Jules, Sierra lui demande de l’accompagner en Sardaigne pour une compétition. Theo accepte, parce que c’est elle. Parce qu’il ne lui dit jamais non. Parce que peut-être qu’il espère quelque chose, au fond.
20 août 2022 / Sierra et lui ont passé la nuit ensemble – la première fois, la seule aussi. Elle lui demande de partir au matin, rongée par la culpabilité. Theo est blessé, mordu, déçu. Mais il part, parce qu’il n’a plus envie de se battre, ni de donner. Juste de s’éloigner pour se réparer.
10 novembre 2022 / Sierra se présente à sa porte un jour sans prévenir. Des mois qu’il n’a aucune nouvelle : heurté par la sensation d’avoir été utilisé, il refuse de lui parler, de lui donner la moindre chance de s’expliquer. Il ne veut plus. Il désire, mais c’est pas suffisant. Peut-être même qu’il aime, mais c’est plus la peine, maintenant.
2023 / sa petite notoriété grandissante dans le monde du tatouage lui donne l’opportunité d’effectuer plusieurs résidences dans des salons de Sydney, Melbourne, ou chez d’anciennes connaissances Berlinoises. Voyager l’arrange : il n’a plus tant envie de trainer à Brisbane, a besoin d’air. Son tour, cette fois.


répertoire des rps

rps en cours
ghost in the machine / @Juniper Kane
take me to church (#3) / @Sierra Oliveira

rps terminés
lilac wine (#1) / @Sierra Oliveira
draw your swords (#2) / @Sierra Oliveira

rps abandonnés
chained loves / Jules Adkins
meet me in the hallway / Reuben Dupuis
gimme shelter / Jaime Weisberg

liens recherchés

(f/m/nb) · upon your skin
des client.es du salon de tatouage, certain.es qu'il peut tatouer depuis des années ; theo aime prendre du temps avec elleux, mettre en forme les idées avec lesquelles iels viennent le voir. Il peut en résulter des petites complicités, des accointances régulières, tout est libre.

(f/m) · exs
il a le cœur girouette, et le cœur comme une peau qui marque ; les histoires comme des bleus, des ecchymoses gravées sur l'épiderme sans faire souffrir, mais qui se rappellent sans cesse à elles-mêmes. Elles ont toutes compté, il a cru à toutes : mais elles se sont toujours terminées. Peut-être parce que sa manière d'aimer est capitale, désespérée, brûlante : et qu'à cet égard, la flamme finir toujours par s'étouffer.

(f/m/nb) · type de lien.
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Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. LpLiptEv_oSujet: (stella) Good girls better get bad.
Stella Rosales

Réponses: 2
Vues: 584

Rechercher dans: follow you   Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. EmptySujet: (stella) Good girls better get bad.    Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. EmptyMer 22 Mar - 18:48
stella rosales (elle)
TW : séparation, mensonge


trait de caractère
T’es connue pour ta grande énergie et ton optimisme  contagieux. T’es plutôt du genre joyeuse et enthousiaste, toujours prête à relever de nouveaux défis. Spontanée  et curieuse, ton sens de l'aventure te pousse souvent à explorer de nouvelles choses. Tu aimes faire rire les autres avec tes blagues douteuses et tes pitreries. Ton côté insouciant  et naïf  ajoutait une innocence touchante à ta personnalité quitte à parfois ne pas suffisamment te méfier des intentions des autres. Tu es douce  et complaisante, toujours prête à aider les autres et à leur offrir ton soutien. Un poil volubile, on te reproche souvent de trop parler de ne pas écouter suffisamment les autres. Ta nature chaleureuse  se reflétait dans ta façon d'être colorée  et expressive, t’as tendance à aimer les couleurs vives et les motifs audacieux. Malgré tes bons côté, tu peux également te montrer   impulsive, très dépensière, parfois immature  et désabusée. T’as parfois tendance à vouloir faire les choses comme tu penses être bon ce qui peut nuire à ceux qui t'entourent. Il t’arrive également de prendre des décisions précipitées sans suffisamment réfléchir aux conséquences. Heureusement, tu es déterminée à ne jamais laisser tes côtés négatifs prendre le dessus sur tes côtés positifs, et tu t’efforces toujours de t'améliorer. On dit de toi que tu es facile à vivre et toujours prête à rendre service.

a savoir
EN VRAC t'es fan des films Disney ; tu bois beaucoup trop de coca ; tu ne supportes pas l'enfermement ; t'es un peu trop maniaque ; t'as un goût prononcé pour les vêtements colorés ; tu parles trop ; tu dors encore avec Monsieur Bob, ton doudou ; tu as fait du violon pendant dix années ; t'as également appris à jouer de la guitare ; Tu as été sélectionnée aux auditions pour la saison prochaine de The X Factor à Sydney et tu espères un jour percer dans le domaine de la musique ; Tu passes beaucoup trop de temps sur les réseaux sociaux ; tu rêves de galoper sur le dos d'un cheval; Tu écris des poèmes nulles, mais ça t'apaise ; tu réussis deux recettes : les gratins de pâtes et les croque-monsieur ; tes parents sont malvoyants ce qui t'a très tôt responsabilisé ; T'es devenue mère à 22 ans, ton fils c'est toute ta vie.


répertoire des rps

rps en cours
friends are the anchors that keep us grounded / @Livia Castillo
under the mistletoe / @Ula Perkins et @Eli Sawyer #2
l'intruse / @Lenny Marlow
but now we're stressed out / @Ari Rider
bittersweet hope rolls / @Ari Rider #2
it's a beautiful day to leave me alone / @Iris Almeida
la boîte aux rps / @Taylor Quincey
titre du rp / @"pseudo du joueur"

rps terminés
car jacking :: Cody Rhodes #1
From chaos stars are born ::@Jace Jenkins
intrusion sur canapé :: Ayden Bauer
curiosity killed the cat :: @Leon Álvarez
let me make you some tea :: @Hazel Watson
we'll be counting stars :: @Eli Sawyer#1
cry me a river / Cody Rhodes #2
le voile noir / Cody Rhodes #3
whispers of unveiled truths / Caitlyn Olson
you're making me a liar / @Eli Sawyer #2
all i do is cry behind this smile / @Ula Perkins & @Eli Sawyer
echappe glacee / Silas Bauer
new start / Cody Rhodes #4
our half year celebration / @Eli Sawyer #3
titre du rp / @"pseudo du joueur"
rockin and rolling / Jaime Weisberg
don't set me free / @Eli Sawyer #4
bizarrely buzzing bumblebees bounce boisterously / @Ula Perkins



liens recherchés

(f/m/nb) · instit' de Billie.
Stella est souvent emmené à rencontrer le maître d'école de son fils. Il est devenu un pilier silencieux dans la vie de Billie, un mentor bienveillant. Pourtant, Stella ignore que son fils est la cible d'intimidation à l'école. Il veille en silence sur lui, protégeant et guidant discrètement, tout en lui dispensant une éducation précieuse.

(3 m) · les bro'. ( PL libre)
Chez les Rosales, la musique c'est sacré. Trois petit gars avant l'arrivée innatendue de la petite Stella. Unis par le sang et par la musique, ils affrontent la vie main dans la main, solidaires et déterminés. Les parents sont malvoyants mais mettent un point d'honneur sur l'éducation de leurs 4 gamins, ils ont fondé une école de musique prestigieuse au centre de Brisbane. Les Rosales sont une famille peu ordinaire, où la musique rythme leur quotidien avec douceur et poésie.



Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. LpLiptEv_oSujet: (finn) we'll be shining like we're gold.
Finn Callahan

Réponses: 26
Vues: 538

Rechercher dans: follow you   Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. EmptySujet: (finn) we'll be shining like we're gold.    Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. EmptyLun 18 Juil - 19:29
finn callahan
TW : mention de dépression, troubles psychologiques et alimentaires, drogues et overdose.

âge & naissance : vingt-cinq ans, brisbane ;; gamin ayant toujours parcouru les rues de la ville australienne, il profite du temps qui passe sans se soucier de son âge. origines & nationalité : basque, anglo-irlandais & australien ;; des origines qui se mélangent, mais qui lui importe peu, car pour lui, il est australien et rien de plus. finances et emploi : $$$$$, second de cuisine ;; les gestes sont rapides, coordonnés, sans aucune erreur. Il s'enivre des odeurs qui tapissent les murs de la cuisine du restaurant que tient son paternel. Une place qui lui revenait de droit, lui qui depuis gamin de cesse de présenter ses plats à sa famille. Un métier qui lui permet de vivre une vie confortable, bien qu'il ait une tendance assez dépensière quand ça lui prend. statut civil : célibataire ;; il a déjà donné son coeur une fois et ça lui suffit. Un cœur brisé, recollé comme il le peut, mais bancal. L'envie de profiter plutôt que de s'autoriser à aimer une seconde fois, malgré la présence de cette femme dans son esprit depuis plusieurs semaines. orientation sexuelle : hétérosexuel ;; les courbes féminines le font frémir et lui font perdre tous ses moyens. situation familiale : un père, une soeur ;; depuis dernier de la famille, celui qui n'était encore que trop jeune lorsque sa mère a décidé de mettre fin à ses jours. Gamin qui refoule cette présence féminine dont il n'a jamais manqué, et ce, grâce à la présence continuelle de sa sœur dans sa vie. Il est proche de son père, depuis bien longtemps, même s'il n'a jamais caché ce ressentiment d'avoir été mis de côté durant quelques années, parce que c'est Ana, qui passait avant tout. signe astrologique : Cancer. le pire tue-l'amour : Les filles qui fument. Il a horreur de l'odeur de cigarette, et encore plus embrasser quelqu'un avec une haleine qui sent le tabac. Ça lui donne même parfois des hauts le cœur. un fantasme : La cuisine du restaurant de son père. à Brisbane depuis : toujours ;; il n'est même pas certain d'un jour partir d'ici. traits de caractère : extraverti, sociable, souriant, serviable, fidèle, têtu, drôle, charmeur, un peu trop bordélique, minutieux, ponctuel, un brin jaloux, curieux, ambitieux. avatar : jacob elordi (basque).

open your heart
en vrac ;;
il n'a jamais fumé et ne fumera jamais ;; il adore manger et pourrait ne faire que ça toute la journée ;; n'est pas un grand sportif ;; il n'est jamais sorti beaucoup, sauf depuis qu'il s'est fait quitter ;; il a une peur bleue des araignées ;; il est fasciné par l'océan ;; il le cache bien, mais il adore les dessins animés : disney, pixar, dreamworks, tout y passe ;; il aime être à l'avance au restaurant pour expérimenter de nouvelles choses ;; c'est un piètre chanteur, mais il adore pousser la chansonnette chez lui quand il est seul ;; il ne reçoit presque personne chez lui, préférant toujours aller chez les autres ;; il déteste les alcools forts comme le whisky, le bourbon ou le rhum ;; lorsqu'il connaît un film par coeur, il ne peut pas s'empêcher de dire les répliques tout haut ;; il essaye de voir sa soeur le plus souvent possible ;; il adore trop le viande que pour s'en passer ;; ne mange presque jamais de fast-food, sauf quand il a une bonne gueule de bois ;; il aime les concerts ;; il déteste rester sans rien faire, ça le rend nerveux ;; est fascinée par les pompiers depuis gamin ;; il joue de la guitare depuis qu'il a sept ans.

répertoire des rps

rps en cours
www / @Neva Gainsborough #3
www / @Nora Sheffield
www / @Anastasia Callahan

rps terminés
www / libre (tc)
www / @Neva Gainsborough #1
www / @Neva Gainsborough #2
www / @Anastasia Callahan
www / @"Poppy Moore"
www / @"Arnie Yang"
www / @"Jesper Myers"

liens recherchés

(f) · exs/relation d'un soir.
depuis deux ans, Finn, il fait un peu tout et n'importe quoi, le coeur bien trop brisé. Pendant ces presque deux années, on peut dire qu'il s'est amusé et qu'il a profité en couchant, parfois, un peu à gauche à droite ; des one night, des relations sans lendemain, des trucs sans prise de tête.

(f/m/nb) · employés.
des employés du restaurant dans lequel Finn travaille comme second. le restaurant appartient à son paternel et avec le reste de l'équipe, ils forment une petite famille et tout le monde peut compter sur chacun.
Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. LpLiptEv_oSujet: (Jill) Come on and play !
Jill Cadbury

Réponses: 96
Vues: 1422

Rechercher dans: follow you   Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. EmptySujet: (Jill) Come on and play !    Tag 3 sur BROKEN HEARTS CLUB. EmptyLun 14 Fév - 20:17
Jill Cadbury
TW : aucun

âge & naissance : J'ai 25 ans. Je suis née ici, à Brisbane, le 12 avril 1996. Un jour extrêmement pluvieux qui attendait son soleil du jour. Non, je rigole, c'est une pure coïncidence. J'ai tout de même trois semaines d'avance par rapport aux prévisions de naissance. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas attendu la date prévue. Surtout qu'il faisait très beau en mai cette année-là. A croire que j’étais déjà une peste avant ma naissance. origines & nationalité : Je suis australienne avec du sang américain du côté de ma mère. Ça explique peut-être ma capacité à vouloir vivre mon American Dream sans habiter aux States. Ou peut-être que je tiens ça de mon père qui m’a toujours prôné de croire en mes rêves. finances et emploi : $$, Je suis gérante de ma propre boutique de jeux vidéo depuis maintenant trois ans. Game is never over, GINO pour les intimes. Un projet un peu fou de réunir passion et boulot. Je suis fière de ma réussite. Ce n'était pas gagné à la base. Grâce à ce métier, je gagne convenablement ma vie. Je ne roule pas sur l’or mais je ne suis pas à plaindre non plus. Je suis apte à payer mes factures, à remplir ma garde-robe et à faire la fête avec mes ami.e.s. Je ne demande rien de plus. statut civil : Je suis célibataire. Je suis beaucoup trop amoureuse de ma liberté pour être en couple. Je préfère papillonner à droite à gauche et enchainer les conquêtes éphémères. En vérité, j'ai peur de m'attacher. Et puis je suis jeune, j'ai le temps de me caser, d'avoir une grande maison et des enfants courant dans le jardin aux côtés de mon berger australien. Ce portrait de famille ne me fait pas du tout envie pour le moment. orientation sexuelle : Je suis une lesbienne assumée. Dès les premiers émois adolescents, ce sont les courbes féminines qui attiraient mon regard. Le lycée a fini de lever les légers doutes. Lorsque que mes amies reluquaient le beau gosse du bahut, moi, je matais sa petite amie. J'assume pleinement mon orientation sexuelle. Sans la crier sur tous les toits, je la donne à quiconque s'y intéresse. Par contre si tu la critiques, tu obtiendras un évitement de ma part au mieux et une baffe au pire. Tout dépendra de mon humeur. situation familiale : Je suis fille unique. Je n'ai pas été élevée comme une princesse malgré tout. Je préfère prévenir. J'entends d'ici vos pensées. Vous en saurez davantage plus tard sur le pourquoi du comment. Patience. signe astrologique : Bélier. Ça explique sans doute mon côté fonceuse. Ou pas. Je ne crois pas à tout ça. le pire tue-l'amour : La mauvaise haleine. Je ne peux pas supporter de faire face à un chacal sur pattes. No way !  un fantasme : Juste un ?! Disons les jeux de rôle. à Brisbane depuis : Ma naissance. Je l’ai déjà dit. Il faut suivre, hein ! traits de caractère : Joviale, impatiente, drôle (du moins essaye), bordélique, loyale, impulsive, généreuse, vulgaire avatar : Bryden Jenkins (américaines).

open your heart

Brisbane, ma ville, je la connais comme ma poche. Enfin, c’est sans doute ambitieux d’affirmer cela étant donné sa taille. Disons que je connais les bons endroits. Comprenez les endroits à ambiance où l’amusement est au rendez-vous. Depuis le début de ma scolarité, j’ai su que je n’étais pas faite pour les études. Être assise pendant des heures, le cul vissé sur une chaise, ce n’était pas possible. M’ennuyant fermement, je me suis levée et j’ai commencé à fouiller dans le placard au fond de la classe en quête d’action. Mes parents ont été convoqués. Crue hyperactive, il n’en fut rien après un passage chez le docteur. Ne pouvant me faire déscolarisée, j’ai tenue jusqu’à l’âge légal. Heureusement pour moi, j’avais la console de mon père pour me faire tenir. Très complice avec lui, il m’a initiée très jeune, trop jeune dirait ma mère, aux jeux vidéo. Ce loisir est vite devenu une passion. J’ai voulu devenir programmeuse à un moment. Le temps d’étude et le budget ont amené mes ambitions à la baisse. J’ai enchainé les boulots alimentaires jusqu’à mes vingt-et-un ans. Puis ma boutique de jeux vidéo locale à fermer à cause du départ du propriétaire. Personne n’a repris le commerce malgré la clientèle. J’y ai vu une opportunité de combiner passion et emploi. Sans diplôme, au culot et déterminée, je me suis renseignée sur comment devenir cheffe d’entreprise. J’ai lutté pour mener ce projet. Soutenue par mes parents, je ne me suis pas laissée démoralisée par la lourdeur des démarches et mon inexpérience. Grand bien m’en a fait puisque je détiens mon magasin depuis trois ans. Et les affaires se portent plutôt bien.

(un) Je tiens mon prénom de la célèbre héroïne du premier opus de Resident Evil. Je peux remercier mon père pour cela. Enfin, le remercier, je n’en suis pas si sûre. Porter le prénom d’une héroïne d’un jeu vidéo qu’il adore, ce n’est pas forcément flatteur. Je ne lui en veux pas pour autant. J’aime mon prénom. Il est court et facile à retenir. Cela m’évite d’avoir des surnoms aussi. Puis je ne m’en tire pas si mal en y regardant de plus près. Il aurait pu être fan de Zelda. J’aurai beaucoup moins apprécié de porter le nom d’une princesse écervelée. (deux) Je suis fille unique comme je l’ai déjà dit. Après l’arrivée de la petite fille parfaite, mes parents se sont arrêtés là. Blague à part, la vérité est moins drôle. Mes parents ont galéré à avoir un enfant. Après plusieurs tentatives naturelles et échecs, ils se sont résolus à passer des tests de fertilité. Le verdict est tombé : ma mère était stérile. La nouvelle acceptée, après réflexion sur le comment satisfaire leur désir de parentalité,  ils ont décidé d’avoir recours à la PMA. Ils n’ont pas eu le courage de le refaire. Et je peux les comprendre. (trois) Complétement accro au café, je tourne à facile deux litres par jour. Je suis limite mariée avec mes machines à dosette, celle de ma cuisine et celle au boulot. Je vis un véritable drame quand l’une d’elle tombe en panne ou que j’ai oublié de faire les courses pour acheter des munitions, quand ce n’est pas ma flemme qui m’a fait procrastiner. Attention à vous, sans ma dose, je suis rapidement insupportable. Qui a dit comme d’habitude ? Je suis un parfait petit ange. Il n’y a que ma mère pour y croire. Et encore. (quatre) Bordélique dans ma vie quotidienne, mon évier déborde de vaisselle qui attend depuis bien trois jours par exemple, je suis maniaque dans ma vie professionnelle. Ma boutique est comme mon enfant. J’ai lutté pour l’avoir et j’en prends soin comme la prunelle de mes yeux. Quand un client prend un jeu et ne le replace pas à sa place en cas de non achat, je sors les crocs. Non, je ne lui saute pas au cou pour le mordre ou le décapiter. Disons qu’une remarque est vite arrivée. Ne me parlez pas de relation commerçante. Je ne sais pas jouer l’hypocrite.  (cinq) Pas matinale pour un sou, j'ai choisi d’ouvrir ma boutique qu’à partir de 10h. C’est cool d’être sa propre patronne quand même à ce niveau. Ça me permet également de profiter de la nuit. Entre les sorties et les soirées à geeker, je suis rarement couchée avant 3h. Mes heures de sommeil ont la vie dure. Hormis un obligatoire café, j’ai besoin d’une bonne douche chaude pour me réveiller. Avant d’avoir réunie ces deux conditions, il ne faut pas espérer tirer la moindre chose de ma personne si ce n'est des grognements. (six) Je suis considérée comme une folle du volant par mes ami.e.s. Dans mon bolide, plutôt ma petite citadine âgée de huit ans, j’admets que je conduis « un peu vite ». Après, ce n’est pas de ma faute si les autres n’avancent pas. Je tente de les faire se bouger via des coups de klaxons et des insultes. Ça ne fonctionne pas souvent. Il parait que je devrai essayer la courtoisie. Je n’ai aucune idée de ce que signifie ce mot. Et je ne veux pas le savoir. (sept) Dès que mon emploi du temps me le permet, j’adore passer du temps avec mes ami.e.s. Je les sollicite pour tout et n’importe quoi : aller boire un verre, sortir en boîte, se faire un ciné, improviser  tournoi de Mario Kart entre nous, etc… Je suis en quelque sorte la leader du groupe. Mais je n’impose rien. Chaque avis compte et nos décisions sont toujours collectives même si on ne réfute rarement mes propositions tant elles sont tops. Et attention si vous vous en prenez à l’un d’eux. Là, je sors les griffes. Pas touche à mes potes, ma seconde famille. Mention spéciale à @"Elijah Mitchell", mon bff. (huit) Je suis toujours en train de blaguer. Avec moi, il n’y a aucun risque de s’ennuyer. Par contre, il m’est difficile de m’arrêter. Être sérieuse m’est compliquée. En fait, ça me fait peur. L’humour est mon moyen de me vider la tête et l’esprit. Bon, j’avoue que me poser devant un écran et dégommer du monde aussi. Sauf quand je m’énerve de perdre. Ça, ça ne me fait pas rire du tout. Ça me fait enrager. Je suis mauvaise joueuse. Les noms d'oiseaux fusent régulièrement lors de mes moments ludiques. Et les touches de mon clavier se font souvent taper dessus violement. Sa durée de vie ne dépasse pas un mois. (neuf) Je rêve d’aller en Corée du sud. Ce pays est le temple du jeu vidéo. J’essaye d’économiser tous les mois afin de le réaliser. A ce rythme, il va me falloir des années. Surtout que le panier percé que je suis dépense à gogo. Je suis trop généreuse parait-il. Sans être à découvert, il me reste rarement des masses sur mon compte à la fin du mois. Je me moque de mon argent, je ne l’emmènerai pas dans ma tombe. La vie se doit d’être vécue. Je ne me fais pas exploiter non plus. Je ne suis une bonne poire qui paye tout à tout le monde. Ne faites pas cette erreur, vous seriez déçu.e.s. (dix) Loin du stéréotype de la geekette, j’aime me faire coquette. Attention, je ne passe pas non plus deux heures par jour dans ma salle de bain. J’aime faire du shopping et dévaliser les magasins de fringues. Ma lubie ? Les robes ! J’adore enfiler une jolie robe courte sans manche afin d’exposer mon tatouage au bras droit. C’est fou comme il intrigue. Je ne compte plus le nombre de personne qui m’a abordé à cause / grâce à lui. Il est mon atout de charme numéro un je dirai. Peut-être à égalité avec mon sourire ravageur. Honnêtement, je ne saurai les départager.

répertoire des rps

rps en cours
As it was / @Eleanor Raines #1
Hollyween night / @Holly Redfield #3

rps terminés
It's raining girl ! / @Holly Redfield #1
Beach please ! / @Holly Redfield #2
Enjoy the night ! / @Elijah Hawkins #1
chill, chill and chill again / @Elijah Hawkins #2
Ready ? Fight ! / @Megan Saunders #1
titre du rp / @"pseudo du joueur"


Virtual adventure / @Ashe Williams #1
liens recherchés

(f/m/nb) •Client.e.s
Que vous veniez régulièrement ou occasionnellement dans sa boutique, vous êtes client.e.s et n'envisagez pas d'aller ailleurs. Que vous êtes motivé.e par l'envie de faire tourner un petit commerce, la silhouette de la gérante, ses conseils avisés ou autre, vous êtes fidèles au poste.

(f/m/nb) •Commerçant.e.s
Jill n’est pas la seule à avoir sa boutique. Un peu de soutien entre commerçants locaux ne peut qu’être bénéfique pour tout le monde. Par exemple, Jill peut aller chercher votre enfant le jour de son repos ou encore le « garder » en attendant votre fermeture et le faire geeker. C’est à voir au cas par cas.

(f) •From virtual to reality
Jill et vous jouez au même jeu en ligne depuis plusieurs mois. Au fil du temps, les échanges écrits sont devenus oraux et une amitié "virtuelle" s'est installée. A force de se confier des morceaux de vie, vous apprenez que vous habitez toutes les deux Brisbane. C'est le moment de voir si cette amitié virtuelle peut se transformer en amitié réelle et de mettre un visage derrière vos avatars respectifs.

(f) •Troublemaker
Jill et vous vous croisez régulièrement dans ce bar en soirée. Il n'y eu que des échanges de regards et de sourires jusqu'à cette soirée où les deux filles ont échangé une danse. Une danse qui a chamboulé le cœur de Jill. Elle n'en sait pas plus sur ce qu'elle a ressenti mais une chose est sûre : elle a hâte de vous revoir.

(f/m/nb) •Venez comme vous êtes
Ma liste est minimale et non exhaustive. Si Jill et / ou ma plume vous inspirent, n'hésitez pas à poster. Venez avec une petite piste de préférence ou au moins un résume de votre personnage. A deux cerveaux, on se trouvera un truc sympa  :niais:  


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