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Sujet: crumbs of everyday life (theo) | Theodore Korb
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| Rechercher dans: late night thoughts Sujet: crumbs of everyday life (theo) Mar 5 Mar - 22:06 | Crumbs #1 (le jeu de six) Août 2022 — Sardaigne, Italie — w/ Sierra OliveiraIls y jouaient pour se projeter sans trop le faire, colporteurs des histoires de leur propre existence à venir. Ils y jouaient lorsqu’ils s’ennuyaient, ou bien peut-être vérifier que, j’en sais rien. Qu’ils voyaient encore le futur de la même façon. Il suffisait que l’un dise, on joue à six ? Et puis la machine était lancée. Regardez-les un peu, étendus dans l’herbe jaunie, l’indolence comme toute insolence, regardez : Sierra a les paumes creusées, remplies de mûres noires et gonflées qu’elle avale trois par trois, le menton levé vers le ciel. Son nez forme une perpendiculaire avec la ligne de l’horizon, et l’herbe usée semble jouer avec le brun de ses cheveux longs. Mais revenons un peu en arrière. Ils sont dans un village de Sardaigne, juste à côté de la mer ; déconnectés depuis des jours qui feront bientôt une semaine, vivent le farniente comme seuls les poètes savent le décrire. Existence légère pour en oublier le poids de tout ce qui avait été laissé en Australie, qu'ils prenaient soin de ne jamais évoquer ; et au creux de cette bella vità idyllique, Theo s'était surpris à devenir utopiste. À son sujet à elle, vous savez – même s'il n'a pas encore trouvé le courage de le reconnaître, et encore moins de l'avouer. Elle lui avait montré la colline delle more, la colline aux mûres. Rien d’officiel dans le nom, j’vous jure, y’avait qu’elle qui l’appelait comme ça. Parce que lorsque vous grimpiez tout en haut, que vous dépassiez la cime des platanes qui l’arboraient, vous tombiez sur des massifs entiers de ronces regorgeant de fruits gonflés par le soleil. Et ils s’étaient écorchés les doigts contre les épines pendant des heures, la nuque frappée par le soleil de fin d’été – tout ça pour quelques ridicules poignées. Puis c’est au sommet de la colline qu’ils s’étaient affalés, les doigts collants et tachés, les avant-bras griffés par les ronces qu’ils avaient échoué à éviter. La tête abandonnée contre l'herbe brûlée, c’était lui qui avait demandé ; On joue à six ? — Dans six secondes, tu feras quoi ? Qu’elle commence en avalant un des fruits tout juste cueillis. — Six secondes… Je te prendrai une mûre, et tu me traiteras de voleur. — À raison. Mes mûres sont sacrées. — Raison de plus pour les partager. — Raison de plus pour les gard… Voleur, rends-moi ça ! Qu’elle s’exclame essayant d’échapper à la main qui se faufile entre les siennes pour lui subtiliser le fruit convoité. Trop tard. Sourire de malice : il l’a déjà avalée. Elle fronce les sourcils et puis le nez – fait mine d'en être tout à fait offusquée. — Dans six minutes, Qu’il demande, tu feras quoi ? — Dans six minutes, je vais te pincer le bras, Souffle t-elle. Parce que j'en aurai marre de ce jeu, et de toi. — Six minutes ? T'en auras marre avant. — Plus que cinq. Sois patient. Theo pivote le menton sur le côté pour l'observer : les doigts avec lesquels elle enroule pensivement une mèche de cheveux sont violets et tachés, de la couleur du péché. De gourmandise. Sierra a l'œil perdu vers le ciel, et il sait qu'il ne pourra jamais vraiment oublier cette image-là, que sa façon de l'épier est coupable. Quoi qu’il en dise. — Dans six jours ? Qu’elle enchaine alors, se redressant en position assise pour cueillir un brin d’herbe. — Six jours ? Répète t-il en l'imitant. Je serai en train de faire mes bagages pour repartir chez moi. — Déjà ? — Six jours Sierra, t’as entendu ? C’est largement assez pour en avoir marre de toi. Le sourire qui s’étale sur son visage comme toute provocation, preuve ultime de son mensonge — ou de sa dévotion. Qu’importe, elle fait mine de prendre la mouche en poussant légèrement son épaule, et ça lui arrache un rire, à Theo. Eclat rauque qui s’envole, se perd contre le ciel. — Dans six semaines ? Fait-il à son tour. Et il voit que quelque chose dans l'expression de son visage se fige : c'est qu'il n'a pas tout à fait posé cette question innocemment, qu'il se pose en réalité la question tous les jours. Combien de temps encore pour leur escapade ? Combien de minutes à nier le monde autour ? Combien de temps à prétendre que rien d'autre n'existe que l'Italie, qu'il ne reviendraient jamais en Australie ? Sierra a baissé les yeux légèrement, pour observer le brin d'herbe entre ses doigts. — Joker. Theo opine de la tête, n'insiste pas – enchaine plutôt : — Six minutes. — Quoi ? — J’ai compté. Tu dois me pincer. Ses lèvres comme des mûres, qu’elle étire d'un sourire. Après tout, elles en ont presque la couleur, et secrètement, il se demande si elles en ont aussi le goût ; des deux fruits du péché, Theo, lequel tu préfères ?Grimace esquissée lorsque l'index et le pouce tordent affectueusement la peau du bras – paraitrait qu'il l'a mérité. Et puis c'est à elle encore de poser la question, alors elle appuie son menton contre ses genoux repliés pour le regarder.
— Dans six mois ?
— En haut du Kilimandjaro.
— D'accord. Pour grimper, tu me porteras sur ton dos ?
— Les grandes montagnes se montent toujours en duo.
Comme celle de son épaule, que son regard se surprend à gravir, d’une caresse coupable ; il a détourné l'œil trop rapidement, encombré d'un embarras qu'elle ne semblait pas avoir remarqué.
— Dans six ans ? Enchaine t-il.
— J’apprendrai à jouer de l’accordéon, et toi de la trompette.
— Tu veux qu’on devienne sourds au bout de sept ?
— Tu es bien trop défaitiste, arrête.
Six ans, ils sont arrivés au bout, le jeu est terminé. Ah, mais voyez le regard qu’il lui lance : Theo a encore une question à poser. Tête pivotée, y’a ses doigts qui se faufilent dans l'herbe à ses pieds pour l'arracher.
— Dans soixante ans ?
Sierra sourit : elle a un grain de mûre coincé entre les dents, et il ne l’a sans douté jamais trouvée aussi jolie. Il doit arrêter d'y penser.
— Facile : on se sera disputés deux fois, la première pour voir ce que ça fait, et puis la deuxième à quarante balais, parce que j'aurai critiqué la couleur des murs de ta maison. Puis une fois qu’on aura compris que personne d’autre ne supporterait nos deux trognes, on se rabibochera par dépit, mais ça sera pas si mal, promis.
— Cette fois, c’est toi qui est défaitiste, fais un effort. — D’accord.
Elle penche la tête, réfléchit.
— On pourrait monter une fanfare. T’en dis quoi ?
— Une fanfare ou un club d’aquagym. Les deux me vont.
Et peut-être qu’elle rit, Sierra ; c’est qu’elle ne sait pas. Que ces soixante années-là, ils n’en verraient jamais l’ombre, parce qu’il ne leur restait plus que quelques jours de naïveté. Qu’il n’y aurait ni accordéon, ni fanfare, ni séparation – juste une fin brutale, sans la moindre concession.
Mais laissons les jouer, compter, rêver : ils auront tout le temps, plus tard, de déchanter.
| Sujet: (theo) leftovers anthem | Theodore Korb
Réponses: 10 Vues: 351
| Rechercher dans: follow you Sujet: (theo) leftovers anthem Lun 25 Sep - 22:57 | theodore korb (il) TW : infidélité, accident grave, addiction médicamenteuse.âge & naissance : vingt-huit années soufflées aux premières aurores de mai ; le temps qu’il voit filer entre ses doigts crispés, qui délite les cœurs plus qu’il ne les répare. Les espoirs se blessent, s’écorchent – et le cynisme repart avec la plus large part. origines & nationalité : La première décennie vécue à Berlin, du côté des étendues vertes de Templehof ; l’ Allemagne natale du paternel est cependant vite quittée pour la patrie maternelle. Une Australie rejointe en pleine enfance, des milliers de kilomètres parcourus en un cil et une nouvelle vie à adopter, à laquelle s’adapter. Difficile. Accent germanique rude moqué pendant des années, pour finalement disparaitre sous la contrainte des pressions adolescentes : repérer les origines européennes est désormais difficile, tant il parvient à imiter le dialecte australien à la perfection. finances et emploi : Pour briller dans la cellule familiale, il aurait fallu suivre les traces de ses géniteurs et de son aîné ; des études de médecine que l’on aurait aimé le voir entamer, au vu de ses facilités scolaires. Mais les doigts fourmillent, implorent de se mettre au service de l’imaginaire, s’épanouissent tant au contact du crayon qu’il commet la plus grande des rebellions : se dire illustrateur, étudier les arts graphiques pour plus tard rapprocher ceux-ci des corps. C’est bientôt la peau qui devient sa fibre préférée, chair sur laquelle il trace les lignes volubiles que son esprit se plaît à imaginer. Depuis quelques temps, c’est à The Studio qu’il tatoue, récoltant un pécule à peine suffisant pour vivre correctement. statut civil : Célibataire par intermittence, sans cesse tour à tour propulsé et déçu des amourettes déchues. Quelques passions trop fulgurantes pour être retenues, l’amour comme une religion prônée avec plus ou moins d’assiduité selon les saisons ; romantisme piégeur qui cache la constance d’un attachement trop profond, sur lequel il se refuse à mettre un nom. Et surtout pas le sien à elle. orientation sexuelle : Bisexualité conscientisée sur le tard, hommes et femmes en proie aux mêmes étreintes, aux mêmes espoirs que le temps flétrit. Corps comme fleurs au soleil qu’un rien fane, le temps de les voir devenir profanes, suppliant d’y trouver un jour une exception. situation familiale : Les rapports complexes des parties qui peinent à se comprendre, aux considérations trop éloignées pour encore y trouver des connivences. On continue à organiser des repas de famille pour la forme, mais le cœur n’y est plus et les lèvres se cousent de crainte d’en dire trop – ou pas assez. Dans ce ballets de cœurs lassés, sans doute que les liens ont fini par être délaissés. signe astrologique : Taurus. le pire tue-l'amour : Les égoïsmes majeurs des conversations prises en otage, les orgueils qui se devinent avec trop d’évidence et dévorent la moindre particule de ce que les autres pourraient y distiller. un fantasme : Le noir des prunelles qu’il s’acharne et s’échine à prétendre amies, auquel il cédera pour une nuit. De cendres. À minuit, alors que quinze ans d’amitié se font froidement descendre ; car il est dit que les fantasmes de l’esprit ne sont pas faits pour être réalisés, et se doivent absolument de rester niés. à Brisbane depuis : Arrivé à ses dix ans, ville quittée le temps d’une année d’échange pour le vieux continent – puis retrouvée. Parfois délaissée pour des résidences dans d’autres salons, lors de ces dernières années ; volonté de voyager, ou peut-être aussi de l’éviter. traits de caractère : Déchet mâchouillé d’une bourgeoisie abandonnée, il a compris sans doute trop tôt qu’il ne se conformerait jamais vraiment a ce qu’ils attendaient. Une fois digérée, la sensation d’isolement devient une arme, une rare forme d’élégance de sa part : l’indécence appuie toutes ses mises sur ce charme noir, brode le cynisme provocateur dont il a fait sa spécialité, sur chacune des paroles qu’il fait virevolter • Sans cesse partagé entre l’écoute de sa propre sensibilité, l’âme poète dont les astres l’ont affublé, et le réalisme moribond auquel son éducation l’a condamné. • Prudence trop grande face aux relations qu’il tisse, et qu’il craint sans cesse de voir se gâcher ou s’étioler ; par crainte, il a souvent pris l’habitude fâcheuse d’abandonner les autres de peur qu’ils ne finissent par le faire. avatar : Noah Saavedra (autrichien) open your heart (un) Incapable d'offrir à ses plantes vertes une vie longue et fastueuse, il commet souvent l'erreur de trop les arroser, lui apprenant au passage une leçon essentielle : que trop aimer risque parfois de tuer. (deux) Une certaine inclinaison pour les bijoux qu'il porte aux doigts, bagues chéries avec attention, qu'il n'ôte que lorsqu'on l'y force. (trois) L'écriture manuscrite illisible, sortes de pattes de mouches que même un médecin peinerait à déchiffrer. Question de génétique, certainement : il n'y a qu'à voir celles de ses parents. (quatre) Double langage parlé couramment, passe avec facilité de l'anglais à l'allemand ; il tentera vaguement à l'adolescence de conquérir des cœurs en récitant des vers de Rilke, sans grand succès. Il leur préfèrera plus tard les verres de vin. (cinq) Inconditionnel de Led Zeppelin, Babe I'm gonna leave you est jusqu'alors la seule chanson capable de lui tirer des larmes sans condition. (six) Dix-huit tatouages au compteur, dont sept de lui-même – et deux vaguement ratés, ses premiers essais. L'encre noire pour coudre les souvenirs au corps, puisque le cœur parait si enclin à oublier. (sept) Corner les pages des bouquins pour marquer l'endroit où il s'est arrêté : à ce motif, il est plus que sage de ne jamais lui en prêter, sous peine de les retrouver défigurés et pliés. (huit) Une mauvaise cicatrice à la mâchoire, souvenir aigu d'un accident de voiture pendant la petite vingtaine ; depuis, il n'a plus jamais pris le volant après la moindre goutte d'alcool. (neuf) Les analgésiques restent nécessaires, même après tant de temps : plus autant qu'avant, mais la boîte stagne toujours au fond de la poche, au cas où l'épaule se mettrait à hurler. Petite honte inavouée, addiction à demi-mesurée. (dix) Un carnet toujours à portée de main, pour en tracer les lignes que forme l'esprit : consommés sans modération, les recueils de papier s'alignent sur une étagère pleine à craquer chez lui.chronologie 3 mai 1995 / naissance de Theo à Berlin, quatre ans après son ainé Max. 2005 / déménagement en Australie, à Brisbane d’où sa mère était originaire ; ses deux géniteurs, cancérologues de profession, s’y voient proposer une bourse de recherches. novembre 2007 / rencontre avec Sierra, au détour d’une plage. Elle devient la confidente, l’autre doigt de la main, sa première vraie amie sur le continent australien. Il jure de ne jamais s’en séparer.
2014 / entame des études de beaux-arts, au grand dam de ses parents qui acceptent cependant de financer celles-ci malgré leur manque de conviction. Theo a de plus en plus de mal à faire fi de leur jugement et leur manque d’approbation. 2016 / effectue un échange universitaire à l’UdK de Berlin, où il reste un an : il découvre la vie nocturne du vieux continent, en profite avec parfois un peu trop de zèle. Il reçoit également sa première machine à tatouer, et apprend quelques bases auprès de tatoueur.euses berlinois.es. 2018 / rentre à Brisbane, où il vit de petits jobs tout en tatouant sur le côté. Retrouve Sierra, et même si chacun a évolué de son côté, leur lien n’a jamais été si soudé – fort de l’éloignement qui n’a rien gâché. juin 2020 / un accident de voiture, après avoir pris le volant légèrement soul. Il s’en sort avec beaucoup de chance, mais son épaule disloquée a des difficultés à se remettre correctement. Les douleurs sont intenses, il les fait taire avec des anti-douleurs. 2021 / les antalgiques deviennent addiction, il peine à s’en passer mais n’en touche mot à personne, sans doute un peu honteux. Son humeur s’en fait parfois ressentir, plus taciturne ou acariâtre qu’à l’habitude : Sierra et lui s’éloignent peu à peu. 15 avril 2021 / apprend sur Instagram les fiançailles de Sierra et Julian. Une pique est lancée, il ne voit pas la nouvelle d’un bon œil, ce qu’elle lui reproche immédiatement. Theo n’insiste pas. mars 2022 / se fait suivre médicalement pour sa dépendance aux anti-douleurs : peu à peu, il réussit à diminuer les doses prises, sans cependant réussir tout à fait à arrêter. juillet 2022 / après une dispute violente avec Jules, Sierra lui demande de l’accompagner en Sardaigne pour une compétition. Theo accepte, parce que c’est elle. Parce qu’il ne lui dit jamais non. Parce que peut-être qu’il espère quelque chose, au fond. 20 août 2022 / Sierra et lui ont passé la nuit ensemble – la première fois, la seule aussi. Elle lui demande de partir au matin, rongée par la culpabilité. Theo est blessé, mordu, déçu. Mais il part, parce qu’il n’a plus envie de se battre, ni de donner. Juste de s’éloigner pour se réparer. 10 novembre 2022 / Sierra se présente à sa porte un jour sans prévenir. Des mois qu’il n’a aucune nouvelle : heurté par la sensation d’avoir été utilisé, il refuse de lui parler, de lui donner la moindre chance de s’expliquer. Il ne veut plus. Il désire, mais c’est pas suffisant. Peut-être même qu’il aime, mais c’est plus la peine, maintenant. 2023 / sa petite notoriété grandissante dans le monde du tatouage lui donne l’opportunité d’effectuer plusieurs résidences dans des salons de Sydney, Melbourne, ou chez d’anciennes connaissances Berlinoises. Voyager l’arrange : il n’a plus tant envie de trainer à Brisbane, a besoin d’air. Son tour, cette fois.
répertoire des rps rps en cours ghost in the machine / @Juniper Kane take me to church (#3) / @Sierra Oliveira
rps terminés lilac wine (#1) / @Sierra Oliveira draw your swords (#2) / @Sierra Oliveira
rps abandonnés chained loves / Jules Adkins meet me in the hallway / Reuben Dupuis gimme shelter / Jaime Weisberg
liens recherchés (f/m/nb) · upon your skin des client.es du salon de tatouage, certain.es qu'il peut tatouer depuis des années ; theo aime prendre du temps avec elleux, mettre en forme les idées avec lesquelles iels viennent le voir. Il peut en résulter des petites complicités, des accointances régulières, tout est libre.
(f/m) · exs il a le cœur girouette, et le cœur comme une peau qui marque ; les histoires comme des bleus, des ecchymoses gravées sur l'épiderme sans faire souffrir, mais qui se rappellent sans cesse à elles-mêmes. Elles ont toutes compté, il a cru à toutes : mais elles se sont toujours terminées. Peut-être parce que sa manière d'aimer est capitale, désespérée, brûlante : et qu'à cet égard, la flamme finir toujours par s'étouffer.
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| Sujet: Life is unfair •• Keith | Emery King
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| Rechercher dans: this is the beginning Sujet: Life is unfair •• Keith Sam 5 Aoû - 16:14 | Je sens qu'on va pas s'ennuyer avec cette famille Et pour l'occasion, je sors la fan #1 des bonnes idées de Keith Rebienvenue à la maison | Sujet: (stella) Good girls better get bad. | Stella Rosales
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| Sujet: (juniper) don't delete the kisses. | Juniper Kane
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| Sujet: (finn) we'll be shining like we're gold. | Finn Callahan
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| Rechercher dans: follow you Sujet: (finn) we'll be shining like we're gold. Lun 18 Juil - 19:29 | | Sujet: (Jill) Come on and play ! | Jill Cadbury
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| Rechercher dans: follow you Sujet: (Jill) Come on and play ! Lun 14 Fév - 20:17 | | Sujet: (brody) are you ready to party? | Brody Lancaster
Réponses: 5 Vues: 2253
| Rechercher dans: follow you Sujet: (brody) are you ready to party? Ven 22 Oct - 22:23 | idées (f/m/nb) · ami.e.s Brody est du genre très sociable, à se faire des amis partout où il va. Il fréquente autant les bars que les boites de nuit. Il est à Brisbane depuis toujours et a donc pu rencontrer votre personnage n'importe quand.
(f/m/nb) · autres D'anciennes conquêtes, des personnes qu'il a approchées pour les affaires... N'hésitez pas à venir, même avec seulement quelques bribes d'idées, on fera un petit brainstorm et on trouvera quelque chose d'intéressant à exploiter
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this is family Colin Lancaster père - pnj Relation fusionnelle. Modèle. Molly Hastein belle-mère - pnj Des premiers rapports difficiles. La considère comme une seconde mère maintenant. Alma Tavez mère - pnj Relation quasi-inexistante.
@Avery Hastein step-sister Se sont rapprochés depuis qu'Avery l'a appelé à l'aide. Commence (enfin) à la considérer comme sa sœur.
@Alarik Källström step-cousin Un autre membre de la famille de Molly avec qui Brody s'entend très bien.
@Sinead Redfield best friend, like a sister Plus une sœur de cœur qu'une simple amie. Confiance aveugle.
always better together @Dexter Groening best friend (but it's complicated) Se sont vite liés d'amitié. Et puis un jour, Brody a couché avec sa sœur. Bro code brisé, amitié compliquée.
@Ally Hurley best friend Membre de la bande de fêtards qui s'est greffé en l'espace d'une soirée. Sa folie l'amuse, au point où il est toujours là pour l'encourager dans ses idées farfelues.
@Megan Saunders the listener Une oreille attentive avec qui discuter quand Brody n'est pas en train de complimenter ses cocktails.
love and desire @Elijah Hawkins el astro rey Erreur, coup d'un soir alors que Brody était en couple. Devenu un ami, soutien durant une année difficile. Devenu plus que ça, visiteur régulier de ses draps. Devenu encore plus que ça, petit-ami qui aura mis du temps avant de porter ce titre.
@Sahar Hosseini one night stand Ancienne conquête. Sont amis aujourd'hui.
work, work, work @Camila Castillo the boss La boss idéale. Acolyte pour jouer les boomers dans le seul but d'amuser la galerie.
others: life is full of surprises @Lis Keynes the fake fiancée Réunis par un blind date astrologique le jour de la St. Valentin. Devenue sa nouvelle fiancée en l'espace d'un rendez-vous.
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