TW : maladie mentale, trouble alimentaire, violence verbale et harcèlement scolaire, tentative de suicide.
âge & naissance :Vingt-deux années  que tu t'efforces à être la parfaite petite fille des Bae. Toucher atteindre leurs attentes, avoir un haut niveau, être la meilleure, coûte à te détruire. Tu as vu le jour à Pohang en Corée du Sud le 16 décembre 2000, jolie petite ville côtière, te laissant t'épanouir dès que tu avais une seconde à toi, pour laisser tes opales flirter avec l'océan. origines & nationalité : Tu es d'origines et de nationalité coréenne, il n'y a eu aucun mélange approuvé  par tes grands-parents et tes parents sont clairement dans la même optique.  finances et emploi : $$$$$, bien plus qu'un étudiant normal en Australie, tes parents t'ont donné la capacité d'être bien, mais tout cela en échange de tout ce qu'ils veulent y compris le contrôle de ta personne, rien n'est gratuit dans leur monde.  Le jour où la vraie vie que tu mènes à Brisbane viendra taquiner l'ouïe de tes parents, tu peux être sûr que tu finiras bien rapidement sous les ponts, c'est pour cela que tu bosses dans un bar face à la plage pour garder de l'argent de côté et être sûre de ne pas mal finir quand la vérité éclatera, car tu le sais tes parents sont des fouines, pour l'instant tu sais juste parfaitement contrôler ta tante, bien crédule. statut civil : T'as souvent des coups de foudre, une amoureuse de l'amour, mais qui ne va jamais trop loin, pour bien des raisons. Toujours t'amuser sans jamais dépasser ce que tu veux conserver jusqu'à ton mariage. Tu es une célibataire, qui envoie des sourires et des clins d'œil aux autres, sans même savoir ce qu'elle veut dans la vie. orientation sexuelle : L'audace d'essayer l'un comme l'autre. Les opales flirtant avec les hommes sans se cacher, tes lippes les embrassant, laissant la pulpe de tes doigts les parcourir sans aller trop loin. Puis les succubes que tu n'oses regarder qu'en secret sans savoir ce que tu éprouves, pourtant tu le sens ça te taquine, te donne envie, alors une envie de gouter pour savoir ou bien plus ? Une bisexuelle qui ne se connait pas encore, bien trop ancré derrière les attentes de tes parents, bercés par des idées depuis son enfance. situation familiale : Fille unique, petite princesse coincée dans un monde d'or et de malheur. Le bonheur abandonné au détour de la réussite et des envies de tes parents. Tu n’as pas de souvenir où tu as ris de bon cœur avec ces derniers, vos échanges sont stériles ou odieux quand tu ne réussis pas là où tu devrais réussir à leurs yeux. Tu n'es qu'un moyen de réussite à leurs yeux, tes envies ne font pas partie de leur plan pour toi. Ici tu es surveillée par ta tante qui est pourtant le vilain petit canard de ta famille. Tu t'entends bien avec elle, mais tu ne lui fais pas totalement confiance, tu sais qu'elle aime beaucoup parler et dire les choses sans y penser, alors tu gardes tes secrets loin d'elle.  signe astrologique :Tu es une jolie petite capricorne. Est-ce pour cela que tu es une personne stable et réfléchit ? Tu es aussi du signe du dragon. Il paraît que ça fait de toi une personne flamboyante et tu aimes cette définition. Si on s’intéresse d’autant plus aux caractéristiques de ton signe chinois, tu es aussi extravagante et théâtrale, ces traits de caractère ne sont définitivement pas écrits pour toi. Il faut croire que tes parents ont tout fait pour avoir l’enfant parfait avec un signe fort, car comme beaucoup de dragon ils sont méticuleux et déterminée.   le pire tue-l'amour :Sans doute les odeurs et les poils, t’aimes pas ça physiquement. Mentalement c’est les mecs qui sont sans cesse à ridiculiser les autres et à se croire supérieur, ce sont des choses qui t’horripiles tout simplement.  un fantasme :sans doute être enlevé de ton monde cruel par Jackson Wang, peu importe ce qui se passera tant qu’il t’enlève loin de tes parents, tu lui seras dévoué, il est sans doute le seul crush que tu veux bien reconnaître.  à Brisbane depuis : 2019 grâce à un visa étudiant et à la famille qu'elle a en Australie . traits de caractère : lumineuse - sensible - observatrice - méfiante - organisée - ambitieuse- passionée avatar : kim doyeon (coréenne )

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romantisme (100%)	level de drague (50%)
engagement (70%)	passion (85%)
performance au lit (0%)	fidélité (90%)
nombre de cœurs brisés (10%)	recherche de l'amour (50%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ?
Tu n’en sais pas grand-chose de l’amour, alors le grand amour ? Tu es encore plus dans le brouillard. Tu avances sur un fil quand ton cœur bat à en faire exploser tes tympans, car tu ne comprends pas ce que ton cœur peut savoir de l’amour et ce qu’il te veut à faire un tel vacarme. L’amour vue par les opales de tes parents c’est être avec une personne qui te mènera loin, qui te permettra d’avoir une belle vie, peu importe si tu t’entends bien avec lui et le grand amour, le tien doit être Coréen, c’est sûr. Mais toi, si vraiment tu te poses et te laisse porter par tes émotions, le grand amour devrait doux, sucrée avec un peu d’acidité, comme quand on mange de la barbe à papa et qu’on croque un citron après, pas parfait, mais réconfortant et aimant. Mais à quoi bon creuser ce que veut dire ce terme ? Tu es juste la marionnette de tes parents, même si tes ailes commencent à se détacher petit à petit de cette emprise.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Déception amoureuse c’est un gros concept pour toi, la fille qui n’a jamais eu droit d’être proche d’un camarade de classe. Petite tu avais donné un bracelet à Ybaï vous promettant d’être ensemble pour toujours. Ton cœur avait enveloppé tout ton cœur dans une douce douceur, qui t’avait vite quitté quant au bout de deux heures, Baï avait donné ce même bracelet à Jian. Tu avais fini par leur lancer du sable dessus et par récolter des punitions par la maitresse et tes parents t’ayant bien fait comprendre que l’amitié était que par intérêt si cela pouvait te servir et plus tard l’amour viendrait, mais pas avant tes études. Tu n’as jamais su si tu étais amoureuse de ce petit, mais le revoir au lycée, devenir à nouveau proche, tu finissais par penser à lui plus qu’à tes études. Rire aux éclats comme si le reste n’existait pas, mais tout ça c’était mal fini par son silence, lui laissant les autres te ridiculiser, te bousculer, mais tu avais fait semblant, comme ci tu n’avais aucune douleur thoracique, que tout allait bien. Jusqu’à apprendre la vérité, savoir que tes parents avaient demandé à ce dernier de disparaître de sa vie, sinon il serait conseillé à ce dernier de partir de l’école de prestige qu’il n’avait pas les moyens de se payer.

(un) Tu es conditionnée depuis toujours d’être parfaite, de respecter chaque demande de tes parents. Que tu le sois est normale, alors aucune récompense, juste un traitement normal. Si tu te loupais c’était une tout autre histoire. Des mots laissant des maux ancrés en toi, pas assez bien, regarde elle a mieux réussi que toi. Toujours comparé, tu as toujours tout fait pour réussir, pour éviter de sentir tes jambes devenir frivole quand les paroles de tes parents pouvaient devenir horrible. Tu n’aurais pas dû naître, on a fait quoi pour avoir une incapable. Et tellement d’autres parole, mots ces derniers sont gravés dans tes tissus, mais aussi mis sous encre bleu ou noir, pas ordre d’importance, dans des tonnes de carnet, une dizaine que tu as commencé à rédiger quand tu avais douze ans.  (deux) Cette perfection demandé par tes parents, tes professeurs et puis par toi-même avait fini par te ronger, laissant des traces mentalement et physiquement. Tu es plusieurs tocs, trois en tout, un toc d’accumulation (des corps de stylo vidé de leur encre à force de te faire des ampoules et des tendinites par tes écrits, pour devenir meilleur et l’être, toujours recommencer tes devoirs jusqu’à atteindre la perfection. ), un toc de vérification (  trop peur de l’erreur ou de l’oubli, que ce soit dans tes cours, dans la vie de tous les jours, dans les magasins durant les courses repasser encore et encore sur des tâches déjà effectué pour être sûr de la perfection) et un toc de la perfection ( tu ranges tes affaires , vêtements ou objets, par ordre de grandeur et de couleur).    (trois) Tu ne contrôlais rien dans ta vie, ce que tu voulais faire, ce que tu devais être, la seule chose que tu pouvais contrôler était la nourriture, tu mangeais comme tu le voulais, jusqu’à entendre, tu as grossis, tu es trop maigre, c’est moche, tu as commencé à jouer avec ton poids, le contrôler. Tu te trouvais par la suite trop grosse, toujours trop grosse même si le nombre sur la balance baissait, ainsi que le ruban de couturière se resserrait un peu plus sur ta faible carcasse.   (quatre) Tu n’as jamais eu d’ami ou de réels échangent avec d’autre personne de ton entourage ou durant ta scolarisation, quand tu commençais à peine à sociabiliser, ta mère bien plus que ton père, regardait comment était l’enfant. D’une bonne famille, doué dans ses études, elle te demandait la perfection ainsi qu’à ceux qui allait être avec toi.  (cinq) Au lycée tu as les meilleurs souvenirs et ainsi que les pires. C’est ici que tes ailes avaient envie de se libérer de cette pression constante. Tu avais retrouvé sans nul doute le seul ami que tu avais eu et qui t’avait aussi tourné le dos rapidement en primaire. Tu l’avais eu comme camarade de classe, l’inverse de toi, toujours à parler avec tout le monde et à faire n’importe quoi pour s’amuser et la galerie, alors que toi tu étais la fille étrange, mise de côté car, tu ne parlais pas, toujours le nez dans ses cahiers, à ne jamais adresser la parole même à son voisin de table, qui n’en finissait pas d’attiser la haine sur toi depuis que tu avais caché ta feuille en le laissant se débrouiller seul durant une interro. Baï t’avais aidé en agrippant ta main quand des filles t’avaient bloqué dans une cage d’escalier, en t’aidant il avait comme prit tous ce qui te ronger, te donnant un sourire, même si toi tu étais encore si distante. (six) Avec le temps tu avais fini par laisser ton myocarde se porter par l’instant tombant amoureuse petit à petit. Mais tout ça tu devais le cacher, jusqu’à te louper sur une interro, non pas car tu étais inculte, mais tu étais juste épuisée mentalement et physiquement, tu étais enrhumée incapable de réussir l’examen qu’importe la difficulté de ce dernier. Ta mère alors avait commencé à fouiller, à vouloir réduire ton intimité en prenant ton téléphone, ta porte pour être sûre que tu bosses, allant jusqu’au lycée voire le proviseur pour savoir ce qui se passait exactement. Puis le moment de ta mère parlant avec les parents de Bai et ses parents lui promettant qu’elle le fera partir s’il continué de t’importuné en disant que c’était toi qui avais dit que par sa faute tu t’étais loupée, tout était vite redevenu l’enfer pour toi. Alors que tu avais enfin un peu de douceur dans ce monde de perfection. (sept) Tu n’avais pas supporté  cet harcèlement venant de tes parents, de tes camarades de classe, alors que le silence de celui que tu pensais aimé te pesé. Incapable de tenir le choc, tu avais fini par échouer à ton examen d’entrée à l’université, alors de peur d’affronter tes parents, tu étais partie dans un motel, voulant juste en finir avec la vie. Un cocktail de médoc et une lame avec laquelle tu tiras un trait sur ta vie, en finir pour toujours. C’était juste un doux rêve auquel on t’arracha. Aucun souvenir depuis que tu t’étais endormie, tes opales s’étaient réouverts dans un endroit stérile, l’hôpital. Suivi pendant de long jour par un psy détectant ton état de dépression, cette fatigue morale et physique, il t’avait envoyé en maison de repos. Où tu restas pendant plus d’un an.  (huit) Tu avais laissé tes parents maitriser tes études supérieur, à  l’étranger, la seule solution pour pouvoir continuer cette vie qu’ils voulaient pour toi, ils n’ont jamais eu de remord, des reproches déguisés dans leur parole ,que tu voyais sous leur sourire sonnant faux. Tu avais été d’accord pour prendre des distances avec eux et suivre des études, car dans le fond tu le voulais vraiment réussir, mais pas à tes dépends. (neuf) Changer tes études au bout de deux ans de droit, fût sans nul doute la première grosse entaille à ton contrat avec tes parents, tu n’as jamais voulu rester enfermé dans un bureau à vie à défendre des personnes qui ne le méritent sans doute même pas, partir en biologie marine fût un tel bien que tu essayes de continuer de comprendre qui tu es, ce que tu veux devenir, être la vraie toi. (dix) tu as appris le surf quand tu avais huit ans, sous le regard  te blâmant de tes parents, mais ils t’ont laissé faire de temps à autre, rapidement. C’était sans doute là que tu étais enfin libre sur cet océan qui te malmené et pourtant tu en redemandais. _ Tes parents ne sont au courant de rien de ta vie en Australie, malgré que ta tante essaye de les tenir au courant, mais tu es devenue assez maligne pour ne pas tout dire comme le fait de vivre avec des garçons, d’avoir changé d’études ou encore de t’amuser et de sortir. _  Tu es vierge, mais dans ton cœur tu n’es pas sûre que c’est ton désir à toi et non celui de tes parents, mais peu importe tu ne te sens pas prête. _ Tu as envoyé un message de nombreuse fois à Baï sans aucune réponse. _ sans mentir la Corée te manque, mais tu te sens comme à la maison en réalité à Brisbane. _  Tu as appris à faire de la moto ici et tu économises pour t'en acheter une.  

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