Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
paper rings
messages : 247
rps : 26
pseudo : spf (flora)
id card : noah sebastian x jae graph || ethereal (profil) ;; waldosia + pinterest (signa)
pronom irl : elle
multicomptes : taylor (l.hemmings)
à contacter : le compte concerné
présence : présente
âge : bientôt trentenaire, sans trop savoir ce que l'arrivée prochaine de cette nouvelle décennie lui inspire.
statut civil : se contente d'éphémère, tout ce qui n'implique pas le moindre engagement de sa part.
occupation : programmeur jeux vidéo pour le studio indépendant Next Level, photographe freelance spécialisé dans l'urbex.
adresse : en coloc au #46 South Bank avec Noomi, sa petite sœur de cœur, et Joy, leur petite protégée.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il, lui
trigger : cruauté animale, agressions sexuelles, violence conjugale, grooming/pédo-criminalité, age gap important + ne joue pas les scènes intimes.
warning : décès d'un proche, deuil, school shooting, relations familiales compliquées.
infos rp : rythme chill et sans pression | entre 500 et 1000 mots selon l'inspiration, je m'adapte à mon.a partenaire | écriture en "tu" | dialogues en #A7BC95
la douleur te transperce brusquement. tel un éclair brûlant, prend racine quelque part dans les muscles contractés de ton épaule et se propage en une fraction de seconde à travers tout ton bras. jusque-là soigneusement concentré sur ta tâche, comme tu l'es toujours dans ces situations de grimpe extrême où regagner la terre ferme sain et sauf est ton absolue priorité, toute ta force se volatilise aussitôt, te laissant momentanément sans appui. brève déconnexion entre le corps et le cerveau pilote, tant l'élancement est fulgurant et inattendu, apparemment venu de nul part. tu peux l'anticiper, d'habitude, mais les choses prennent une dimension différente lorsque c'est ce qui t'empêche de basculer dans le vide que tu te retrouves à lâcher soudainement, bien malgré toi. à cet instant précis, le temps semble ralentir tandis que tes réflexes prennent naturellement le contrôle. heureusement, t'es pas encore assez idiot ou imbu de toi-même pour en oublier tes propres faiblesses, et la structure de laquelle tu descends est assez large et solide pour te réceptionner, et te sauver. ça fait des années que ce pont fait la liaison entre les deux rives de la rivière, après tout, ce n'est pas ton poids plume d'humain qui en fera vaciller les fondations. dans ta courte chute, tu parviens à te tourner, visant instinctivement le montant métallique que tu sais se trouver juste en dessous. l'atterrissage est plus qu'approximatif, tu tangues et entames une glissade le long du bras de fer. la descente n'est qu'à demi contrôlée, ton corps frappe lourdement le bitume, l'impact te coupe le souffle. tu es tombé du bon côté, celui qui en théorie, devrait t'infliger le moins de dégâts, mais pendant une poignée de secondes, le monde se brouille et s'estompe derrière une montée de douleur vive qui te paralyse. tu roules péniblement sur le dos, clignant des yeux dans une tentative de retrouver ton focus sur le ciel étoilé qui oscille et se dédouble. les bras croisés sur le torse, tu attends que ça passe, concentré sur ta respiration et le rythme de ton cœur, qui s'apaise doucement. « ow. » à quel genre d'imbécile tu dois ressembler, étalé comme tu l'es sur le trottoir d'une rue déserte. rapidement, tu entreprends de te redresser, luttant à la fois contre la nausée et l'envie d'insulter la Terre entière. « putain. fait chier. » tu te recroquevilles, plaquant la paume de ta main contre ton bras. la sensation t'arrache une série de jurons supplémentaires. ça te soulage un peu, à défaut de t'aider physiquement parlant.
tu devrais bouger, le plus vite possible. t'as parfaitement conscience que rester ici trop longtemps, c'est risquer de t'exposer à de potentielles représailles, des citoyens mécontents, ou pire. encore trente secondes. la zone est assez reculée et peu fréquentée, surtout le soir. si personne ne t'a vu grimper, personne ne viendra te chercher - des espoirs bientôt réduits à néant. les yeux fermés et les dents serrées, tu entends plus que tu le vois un véhicule s'approcher, et graduellement ralentir jusqu'à l'arrêt complet, quelques mètres plus loin. tu ne perçois pas grand-chose d'audible par-dessus le ronronnement du moteur, pas de lueurs clignotantes caractéristiques des gyrophares, non plus. toujours est-il que ça n'annonce rien de bon. recouvrant ta mobilité par pur instinct de préservation, tu fais volteface, plissant des yeux contre la forte lumière des phares. deux options s'offrent à toi : courir ou jouer la comédie. tu fais aussitôt une croix sur la première, à l'instant où le contact se coupe. les phares s'éteignent. momentanément aveuglé, tu n'y vois pas plus clair pour autant, mais la voix qui t'interpelle t'es familière. instantanément, toute la tension anxieuse quitte ton corps, et tu esquisses un sourire crispé, mais visiblement soulagé. « ah - salut m'sieur ! » en temps normal, tu aurais fait l'effort de l'appeler par son nom de famille, mais t'es encore trop étourdi pour le prononcer correctement. autant dire que s'il avait fallu courir, tu serais sans doute pas allé bien loin. heureusement, tel un genre d'ange gardien, le docteur semble toujours te trouver quand tu as besoin d'aide - à un détail près, ce soir. « vous m'avez pas foncé dessus cette fois, c'est sympa. » commentes-tu, l'air léger alors que tu te trouves encore au sol, toujours incapable de te remettre debout. position de faiblesse évidente qui t'aurait fait découvrir les crocs face à qui que ce soit d'autre, mais Alarik n'a plus rien d'un inconnu ni d'une menace, à tes yeux. au-delà des circonstances, ce drôle de hasard t'amuse. et puis, tu préfères blaguer plutôt que de t'attarder sur les véritables raisons de ta présence dans le coin. t'as beau lui faire confiance, il y a des limites sur ce dont tu peux vraiment lui dévoiler.
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pretending I don't feel misplaced is so much simpler than change.
Alarik Källström
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
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rps : 81
pseudo : Elina
id card : Alexander Skarsgård + elina
pronom irl : elle
multicomptes : Elijah (B. Skarsgård) Sinead (K. Winnick) Noah (B. Holbrook) Noomi (Z. Kravitz) Elio (N. Simoes) Keith (G. Hedlund) Sasha (Zendaya)
âge : 44 bougies soufflées années après années. Une jeunesse perdue qu'il s'efforce pourtant de retrouver, tant bien que mal (12/05/80)
statut civil : Marié depuis 9 ans
occupation : Médecin urgentiste, à l'hôpital depuis qu'il a obtenu son diplôme. Il a pourtant effectué plusieurs missions en Afrique avec les Médecins Sans Frontières par le passé
adresse : #237, une villa avec sa femme et Loki leur labrador
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : Viol, inceste
warning : Anorexie, décès, blessure par balle, braconnage, fausse couche
infos rp : * Minimum 400-500 mots mais ça peut vite monter, je m'adapte
* Dialogues en #5C93D9 (bleu - Anglais), #DB9236 (jaune - Suédois)
Les heures s’enchainent sans discontinuer. Pas le temps de se reposer. Pas le temps de respirer. Un quotidien auquel Alarik s’est accommodé durant toutes ces années. La folie des urgences ne s’arrête jamais, pas de répit pour le corps médical expérimenté. Les couloirs sont toujours bondés, les salles d’examen overbookées et le personnel soignant débordé. Il n’est pas rare que les horaires du médecin s’allongent plus que prévu. Les heures supplémentaires, il ne les compte plus. Impossible de faire attendre un patient dans le besoin alors que l’heure de quitter son poste est venue. Pour un passionné comme Rik, c’est tout bonnement inenvisageable. Après tout, il détient la santé des autres entre ses mains. Ce serait purement égoïste de sa part de les laisser tomber, or, il n’a pas été élevé de cette façon. S’occuper des autres a toujours fait partie de son quotidien, pour cet homme issu d’une famille très nombreuse. D’autant plus en étant l’un des aînés de sa fratrie.
Aujourd’hui ne fait pas exception. La nuit est déjà tombée depuis un moment quand le médecin rejoint sa voiture sur le parking des employés. Sa garde s’est prolongée de deux heures supplémentaires. Rien de bien exceptionnel, c’est plutôt habituel. Ses horaires ne sont jamais réellement fixes et les imprévus sont finalement monnaie courante. Son véhicule engagé sur la route, il se retrouve rapidement face à des travaux et à une déviation qu’il se voit contraint d’emprunter. A cette heure tardive, la circulation est inexistante et les rues sont désertes. Ce détour lui fait perdre énormément de temps et le conduit à travers des allées peu fréquentées de la ville. Certaines rues ont même l’air d’avoir souffert d’une apocalypse zombie tant quelques bâtiments semblent en ruine ou défraichis. Alarik a beau vivre depuis plus de vingt ans à Brisbane, il n’était encore jamais passé dans ce genre d’endroit reculé. A-t-il suivi la bonne route ? Soudainement, il doute. Se serait-il planté ? La fatigue a-t-elle eu raison de sa vigilance ? C'est une possibilité.
Il envisage de s’arrêter pour activer le GPS sur son téléphone quand il remarque une silhouette assise par terre, sur le trottoir. Appuyant doucement sur le frein, il ralentit l’allure pour observer un peu mieux. La personne est-elle blessée ? A-t-elle eu un malaise ? Dans ce genre de coin reculé, il y a peu de chance que quelqu’un d’autre lui vienne en aide alors c’est sans réfléchir outre mesure que Rik stoppe sa voiture. Le moteur coupé et les phares éteints, le suédois détache sa ceinture et ouvre sa portière pour rejoindre l’extérieur. A première vue, il s’agit d’un homme mais plus il se rapproche plus la silhouette lui parait familière. « Est-ce que tout va bien ? » En arrivant à son niveau, les deux hommes semblent enfin se reconnaitre, malgré la pénombre et le faible éclairage de la ruelle. « Oh, Jin. » Ce n’est pas la première fois qu’ils se croisent, loin de là. Jin a déjà effectué quelques passages aux urgences, notamment. A chaque fois, ses blessures ont titillé la curiosité du médecin. Pourtant, c’est leur première rencontre qui l’a le plus marqué. Et pour cause, il a bien failli le renverser. Les circonstances étaient un peu similaires à ce soir, qui plus est. A un détail près que cette fois, Jin ne s’est pas précipité sous ses roues. « Une chance pour toi, oui. » Lance-t-il, un léger sourire aux lèvres, pour rebondir sur sa plaisanterie. « Il aurait fallu que je fasse demi-tour pour retourner à l’hôpital. Enfin, dans l’hypothèse où j’ai suivi la bonne route. Ce dont je doute maintenant. » Il en est sûr, en réalité, il s’est bel et bien trompé de chemin. « J’ai visiblement bien fait de me perdre, est-ce que ça va ? » A priori, non, sinon que ferait-il assis par terre ? « Tu t’es blessé ? Encore. » Alarik s’approche pour s’accroupir face à lui, étant donné qu’il se trouve peut-être dans l’incapacité de se lever. Pourquoi Jin est-il toujours amoché chaque fois qu’il croise sa route ? « Je ne pensais pas tomber sur qui que ce soit dans un endroit aussi reculé, tu vis dans le coin ? » Il y a peu de chance quand on voit à quel point les bâtiments des alentours semblent en ruine. En attendant, le suédois balaye brièvement le corps de Jin des yeux pour tenter de repérer une éventuelle blessure.
(All of me) 'Cause all of me loves all of you. Love your curves and all your edges. All your perfect imperfections. Give your all to me. I'll give my all to you. You're my end and my beginnin'. Even when I lose, I'm winnin'
Jin Hartley
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c'est à la fois une chance et un problème de tomber sur Alarik. une chance, parce que tu lui fais confiance, tu sais qu'il ne cherchera jamais à te piéger, ou te faire du mal d'une quelconque façon. tu préfères que ce soit lui qui te trouve, plutôt qu'un inconnu ou pire, un employé de chantier énervé. à force, certains t'ont déjà aperçu sur les lieux, croyant légitimement que tu cherchais à voler du matériel. le mot n'a pas tardé à se propager parmi les équipes, et un climat de méfiance réciproque s'est installé entre vous. ces hommes, tu n'as pas envie de les croiser dans cet état vulnérable. c'est donc une chance ; mais aussi un problème. parce que le docteur Källström, il est aussi perspicace que toi, si ce n'est plus - sans doute est-ce dû à la nature de son job. et tu sais qu'il s'interroge, à ton sujet. alors, si le hasard persiste à vous réunir dans ces circonstances pour le moins particulières, il te faudra prévoir de bonnes excuses à l'avance. vous avez beau être assez proches - toutes proportions gardées - ça ne change rien au fait que ton petit passe-temps est illégal, et que tu ne peux pas tout lui dire. c'est donc autant pour gagner un peu de temps que dans une tentative de dévier le sujet que tu évoques la coïncidence. « j'suis plus solide que j'en ai l'air. » même si, lors de votre première rencontre, c'était autant les bons réflexes d'Alarik que ta propre vivacité qui t'avaient sauvé.
évidemment, le médecin recouvre bien vite son sérieux et ne tarde pas à s'inquiéter. « "encore". » que tu répètes avec un petit roulement d'yeux, l'air faussement offusqué. « je suis pas blessé. » un 'pas cette fois' sous-entendu dans tes mots. c'est la vérité, après tout. tu as encaissé un choc, mais tu n'as rien senti se briser ou se déboiter en chutant. le douleur qui irradie depuis l'intérieur de ton épaule, en revanche, ne s'est pas encore dissipée. ça te demande un certain self control, pour ne pas grimacer. le docteur lui, semble t'accorder le bénéfice du doute pour l'instant, et tu rebondis volontiers sur ce changement de sujet. « non, pas du tout. je pense pas que des gens habitent ici d'ailleurs. » commentes-tu en observant les alentours. l'état des routes et des bâtiments proches te rappelle vaguement ta ville natale. c'est moins marqué ici, et la présence de ces zones en chantier témoigne de la volonté de les remettre en état, probablement dans l'objectif d'en faire des appartements. en attendant, il s'agit d'un terrain de jeu idéal pour quelqu'un comme toi. tu aimerais pouvoir grimper la grande grue qui s'élève au milieu des immeubles, un peu plus loin. le point de vue depuis là-haut doit être exceptionnel - quelque chose que tu ne mentionnes pas à haute voix, évidemment. « j'étais juste de passage. »
ton attention à nouveau sur l'autre homme, tu le surprends en pleine inspection, probablement à la recherche d'une plaie visible à soigner. le voir si soucieux de ton bien-être te fait un drôle d'effet, mais pas désagréable. ça a quelque chose de réconfortant, sa considération à ton égard. rien de plus normal pour un médecin, ceci dit. tu secoues la tête. « je vais bien, vraiment. » que tu affirmes, t'efforçant de paraitre le plus convaincant possible. et tu penses avoir réussi - jusqu'à ce qu'un nouveau pic de douleur t'arrache un sursaut, ta main agrippant spontanément ton autre bras, les dents serrées. tu t'appliques à respirer calmement quelques secondes, en attendant que ça passe. trahi par ton propre corps pour la seconde fois de la soirée ; ça commence à faire beaucoup. peut-être as-tu fait un mouvement là-haut que ton articulation fragilisée n'a pas bien supporté. quoi qu'il en soit, tu n'as pas d'autre choix que de t'expliquer maintenant. « c'est mon épaule - » avec un soupir, tu fais rouler le membre en question pour le relaxer « - une vieille blessure. ça se réveille de temps en temps, et ça me donne des vertiges. » ça, tu peux le lui dire, ne dévoiler que le strict nécessaire et jouer un peu sur les mots. c'est un demi mensonge, et une explication plausible à la situation. « je suis tombé, c'est tout. » ajoutes-tu, d'une intonation suggérant 'tout est sous contrôle, vous pouvez circuler'. et comme pour le prouver, tu entreprends de te remettre sur pieds. tu t'en sors mieux que prévu, même si tu dois cligner des yeux plusieurs fois pour chasser les petits points lumineux qui dansent dans ton champ de vision, juste après. de ton sac que tu replaces sur ton épaule - du côté qui n'a jamais subi le moindre dommage - tu en retire une bouteille d'eau, refermant rapidement la fermeture éclair. mieux vaut qu'Alarik n'aperçoive pas ton équipement de grimpe. « vous êtes perdu alors ? j'peux vous remettre sur le bon chemin, je connais bien la zone. » lui proposes-tu, sans réaliser ton erreur. parce que tu n'es pas censé pouvoir le guider si tu n'habites pas dans le coin, c'est ce que tu lui as pourtant dit une minute plus tôt. mais peut-être que le médecin ne relèvera pas ; ce n'est qu'un détail, après tout.
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