(JO & MARTY #8) We Don't Touch, We Collide
BROKEN HEARTS CLUB.
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Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
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 (JO & MARTY #8) We Don't Touch, We Collide


Martin Singh
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Martin Singh
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à contacter : Martin
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âge : 32 ans
statut civil : Ils s’embrassent quand Raph est sous la douche. Ils dorment ensemble quand il n'est pas là. Elle a dit "mon mec" en parlant de lui et s'il en a tiré de la joie et n'en reste pas moins éperdument amoureux de Jo, il a toujours du mal à se l'admettre et à définir leur relation avec LE mot qui conviendrait.
occupation : Cuisinier dans un Subway
adresse : 729, CBD, un appartement qu'il partage avec son meilleur ami. Un "chez lui" où le courrier n'arrive pas puisqu'il est toujours domicilié à la maison familiale.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il
trigger : Aucun
warning : Sexisme - Nicotine - Jeu - Sexe - Différence d'âge
infos rp : J'écris à la première personne. Mon rythme est assez rapide. Quant à la longueur, elle s'adapte à mon inspiration selon ce que mon partenaire m'aura offert. Ne prenez pas mal si j'écris moins que vous sur une réponse, la prochaine, peut-être que c'est moi qui vous inonderai.
disponibilités : (JO & MARTY #8) We Don't Touch, We Collide Tumblr_inline_opv36lanm61rifr4k_250
Le moineau ¬ Did I say that I need you ? Did I say that I want you If I didn't, I'm a fool, you see, no one knows this more than me as I come clean.
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The family ¬ a venir
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Charlie Chaplin ¬ a venir
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Tex Avery ¬ a venir
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F.R.I.E.N.D.S ¬ a venir

en vrac : C’est un fou de lecture, de poésie et de cinéma. Il sème des papiers de bonbons à la menthe derrière lui partout où il va. Il en a plein les poches. C’est comme une marque de fabrique. Il n’est pas carnivore, il est carniste. Il lui faut de la viande à chaque repas. C'est un bon danseur qui adore ça. Féru de belle mécanique, il retape une vieille voiture, avec son meilleur ami dans son fauteuil roulant auprès de lui. Ensemble, ils refont alors l’histoire, il redessine le monde. Il joue au baseball depuis son plus jeune âge. Il ne croit pas en Dieu, mais il aurait aimé dans l’espoir que l’idée lui rende la vie plus facile. Il boit beaucoup. Fume beaucoup. Il dessine comme il respire.
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· Ven 2 Aoû - 17:46

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #7
Et je reconnais les avantages à cette quantité de textos que nous nous adressons chaque jour. Le téléphone est une barrière, un rempart derrière lequel je peux me cacher dès lors que je m’efforce de tenir mes promesses, à savoir laisser couler, arrêter de me prendre la tête au point d’alimenter mes peurs, d’être moins dans la retenue et de me fier davantage à mon coeur qu’à la méfiance. Ce n’est pas évident. Si, un jour, j’ai été programmé pour être plus instinctif que terre-à-terre, je me contrarie quand des mots tels que sentiment, amour et rencard s’imposent dans une conversation. Lorsque j’ai proposé à Jo de sortir des murs des chambres d’amis que j’envahis, je n’ai pas envisagé qu'elle identifie cette invitation à un rendez-vous. N’aurait-elle pas coché toutes les cases de ses définitions que j’aurais rejeté son hypothèse moins pour la peiner - je ne supporte pas ça - que pour me dérober à toutes formes de pression. Or, j’ai finalement acquiescé sans doute parce que je suis éreinté de lutter contre moi et que le costume de l’hypocrite ne me sied pas. Je n’ai jamais eu l’intention de me prêter au jeu de l'improvisation. Dans ces conditions, à quoi bon tricher ?   Cette soirée-ci, je l’ai préparée, je l’ai préparée. J’ai choisi le lieu et l’activité avec l’espoir de l’intégrer à cet univers que nous avons rarement partagé. J’aurais pu l’emmener voir une pièce de théâtre, mais l’idée d’être sage ne m’a pas séduit. Je lui ai préféré un bar qui ne paie pas de mine, un groupe de musiciens méconnu du grand public, mais qui d’après moi vaut son pesant d’or. Dress code ? Décontracté et, dans mon langage, ça implique un jeans, un t-shirt, une paire de basket ou de converses. J’ai manqué tourner de l’oeil quand elle est descendue de voiture dans son perfecto et dans sa jupe si courte qu’un mouvement révèlerait au monde la couleur de son sous-vêtement. ”Mais, Moineau, j’avais dit décontracté…”ai-je bougonné, mécontent qu’elle mésestime la douleur liée à ma jalousie. ”J’avais pas prévu de devoir gérer tous les lourdauds qui vont avoir envie de te draguer.” J’ai soupiré, conscient que la nuit sera longue. Ses jambes seront interminables. Outre les pourceaux qui la dévisageront avec envie, j’aurai aussi à dompter la mienne. ”Je m’attendais à ça ? ” D’un geste ample de la main, j’ai désigné mes frusques : denim et t-shirt. ”Allez, viens, on  y va.”...” Je lui ai tendu la main par réflexe, sans réaliser la teneur du message d’un tel geste en société. ”On va prendre les transports.” Hors de question que je me déplace en taxi. L’opération gâcherait mon humeur : je ne suis à l’aise en voiture que si c’est moi qui conduis. A pied ou en métro, quoique la fin tragique de Maeva m’ait enseigné la vigilance (je suis aux aguets), je me sens plus en sécurité. En revanche, à peine entré dans le pub transformé pour l’occasion en salle de concert, le sentiment m’a fugué au profit d’autres moins appréciables. J’ignore si je souffre d’hallucinations mue par ma possessivité, mais je jurerais que tous la dévorent du regard. Il est encore tôt pourtant. Les lieux ne sont pas bondés et la musique ne bat pas encore son plein. Il reste même des tables libres à investir et c’est rare, finalement. Combien seront-ils, d’ici une heure ou deux, à la manger de la tête au pied ? Combien de fois vais-je devoir leur manifester qu’en plus d’être accompagnée, je ne la partagerai pas ? Trop, j’en suis convaincu et à l’instar d’un chien qui pisserait sur sa cheville pour éloigner ses concurrents potentiels, j’ai entouré sa nuque d’un bras posé sur ses épaules. De l’inédit grimpe de la nervosité et à défaut de pouvoir fumer une cigarette - je serais forcé de l’abandonner derrière moi - je me suis décidé à nous commander un verre. Un truc fort, pour elle comme pour moi, parce qu’il n’est pas question que je boive tout seul. Qu’importe qu’elle se contente d’une bière tous les quatre de l’an ou d’un verre de champagne pour la Saint-Sylvestre. Elle n’a pas froid aux yeux, Jo. Je suis convaincu qu’elle ne se défilera pas puisque, visiblement, mon rôle est défini : il convient de la sortir de sa zone de confort. ”Tiens. A boire cul sec. Sans hésiter. Tire pas cette tête-là. Qu’est-ce que tu risques de toute façon ? Tu as dit que tu avais confiance en moi, c’est le moment d’arrêter de réfléchir et ça aussi, c’est un de tes conseils.” Et, pour l’encourager à se jeter à l’eau, alors qu’un mètre de shoot s’étende devant nous, j’ai jeté le contenu du premier au fond de mon gosier.
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Josephine Phillips
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pseudo : moglobine (manon)
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pronom irl : elle.
multicomptes : adela (v. kirby) - monroe (b. lively) - roxane (s. shahi) - charlotte (o. cooke) - shiloh (d. cameron) -- alba (n. wallace)
à contacter : sur le compte concerné.
présence : présente.
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âge : dix-neuf années qui ont déjà défilées. la fleur de l'âge. l'innocence.
statut civil : séparée d'Archibald depuis quelques semaines. après avoir été fiancée puis avoir décidé de continuer à faire semblant pour les apparences, ils ont finalement décidé de mettre fin à cette mascarade. au début d'une relation compliquée par biens des obstacles avec Marty.
occupation : elle étudie à l'université du queensland. ses parents ont voulu qu'elle se dirige vers un bachelor en gestion d'entreprise / gestion du tourisme, de l'hôtellerie et de l'événementiel. elle, elle aurait préféré suivre une voie afin de devenir traductrice littéraire.
adresse : kangaroo point -- un appartement qu'elle partage depuis peu de temps avec Marty.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : violences animales, violences faites aux enfants. - à discuter.
warning : fiançailles forcées, différence d'âge amoureuse, handicap.
disponibilités : rps en cours :

Marty #8 ♦️ Archibald #8 ♦️ Rebekah ♦️ Poppy ♦️ Jude ♦️ Eugenia ♦️ Amour ♦️

sms :

Marty ♦️ Archie ♦️ Eugenia ♦️ Jude ♦️

rps terminés :
Marty&Archibald

en vrac :
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MARTY
If you felt invisible, I won't let you feel that now.
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· Ven 2 Aoû - 22:05

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #8
Ce serait mentir que de nier que le stress et l'anxiété s'étaient emparés de Josephine. Quoi que Marty pouvait en dire : il s'agissait bien là d'un rencard. Ils n'allaient pas simplement se rejoindre chez sa soeur, chez Raph, chez elle ou peu importe où le vent les emmènent. Ils n'allaient pas simplement passer une soirée ensemble. Non. Ce soir, ils avaient un date. Ils devaient sortir et pas être enfermés dans un appartement à se demander s'ils seraient surpris par l'hôte de la résidence. Josephine, évidemment, était impatiente. Les mots avaient été plus ou moins avoués. Marty gardait le pudeur de ses sentiments et Jo ne pouvait lui jeter la pierre. Elle avait bien conscience qu'il fournissait tout les efforts du monde. Oui. Depuis leur conversation au starbuck, les choses avaient définitivement changé entre eux. En bien, bien sûr. Enfin, du point de vue de Josephine. Si tôt l'annonce de ce rendez-vous, elle se rendit dans son dressing afin de trouver la tenue appropriée. Une tenue décontractée. Une fois son outfit sélectionné, l'héritière alla prendre une douche et termina de se préparer. Maquillage, coiffure. Un dernier coup d'oeil dans le miroir et malgré la grimace face à son reflet, elle se dit qu'elle était prête. Il était connu de tous que Josephine détestait son physique. Elle se trouvait trop maigre, trop pâle, trop blonde. Rien n'était bien et rien ne semblait lui convenir. Et ce soir, son éternel dégoût d'elle-même était toujours présent. Après que son chauffeur l'ait conduit jusqu'au rendez-vous fixé par Marty, elle souffla un coup avant de descendre de la voiture. _ Mais, Moineau, j’avais dit décontracté… J’avais pas prévu de devoir gérer tous les lourdauds qui vont avoir envie de te draguer. Elle plissa des yeux et vint croiser les bras sur sa poitrine. Qu'allait-il encore trouvé à dire sur sa tenue ? Pour Josephine, il n'y avait pas plus décontracté que cette jupe, un t-shirt, un perfecto et sa paire de Converse. Ses cheveux étaient attachés en une longue natte qui passait sur son épaule droite et elle s'était maquillée avec légéreté. Elle n'avait sorti aucun vêtement de haute couture, presque pas de marque et avait suivi l'exigence de Marty en ne mettant pas de robe. _ Bonjour à toi aussi, Marty. Je vais très bien, je te remercie. Elle roula des yeux avec une certaine exagération. En réalité, elle s'était attendue à cette réaction. Oui, sa jupe était courte. Et oui, certains regards glisseraient probablement sur elle ce soir. _ Je m’attendais à ça ? Elle haussa doucement les épaules, un air nonchalant sur le visage. _ ça, c'est ce que j'ai de plus décontracté. Dit-elle en désignant sa tenue de la même manière qu'il venait de le faire avec la sienne. _ Allez, viens, on  y va. On va prendre les transports. Elle feignit une grimace dégoûté. Les transports en commun ? Il était certain que Josephine ne les avait jamais emprunté. Elle n'en avait jamais eu besoin. Elle congédia son chauffeur, puis elle vint lier sa main à celle de Marty. Après tout, c'était de son propre fait. Et Jo n'allait pas cracher sur ce geste de normalité qu'elle réclamait tant. La blonde se fichait bien de croiser quelqu'un qu'elle connaissait. Elle se fichait d'être vue main dans la main avec avec Marty. Oui. Elle n'avait aucune honte. Au contraire, même. Josephine était plus fière d'être ainsi traitée. Au bout de quelques minutes, ils arrivèrent finalement devant un pub. Ils y entrèrent et elle détailla les lieux. Elle vit une petite scène au fond de la salle où quelques instruments étaient déjà installés. Un sourire étira ses lèvres, relativement satisfaite de l'endroit qu'il avait choisi. Marty glissa un bras autour des épaules de la blonde et elle ne se flatta pas de ce geste. Non. Elle comprit rapidement qu'il marquait ainsi son territoire face aux regards qui s'étaient tournés vers elle. Elle tourna son visage vers lui et déposa un léger baiser dans le creux de son cou. Geste tendre qui approuvait le geste de Marty. Mieux, qui appuyait le sous-entendu. Marty commanda les consommations, sans que Jo n'y prête attention. Ses yeux étaient rivés sur la salle telle une gamine qui découvrait le monde extérieur. Est-ce qu'elle avait un jour été dans un endroit pareil ? Non, bien sûr que non. Jamais. Cet endroit était à des kilomètres des lieux mondains et classes qu'elle fréquentait habituellement. Et malgré ça, elle se sentit à sa place. D'ailleurs, ils prirent rapidement place à une table. Elle vit les verres, le mètre de shooters et se sentit soudain déjà enivrée. _ Tiens. A boire cul sec. Sans hésiter. Tire pas cette tête-là. Qu’est-ce que tu risques de toute façon ? Tu as dit que tu avais confiance en moi, c’est le moment d’arrêter de réfléchir et ça aussi, c’est un de tes conseils. Elle le regarda vider un des verres et elle en prit un entre ses doigts. _ Tu es au courant que je suis pompette avec seulement une bière ? Oui, bien sûr qu'il le savait. Mais soit. Si elle lui avait demandé, à lui, d'arrêter d'être dans la retenue, il devait en être ainsi d'elle aussi. Et d'ailleurs, qui utilisait le mot pompette en 2024 ? Elle mit un peu de sel sur sa main, le lécha, bu une grande gorgée du shooter et croqua dans le citron qu'elle avait gardé précieusement entre ses doigts. Elle toussa. Oui, clairement. La tequila lui brûlait le gosier et sa grimace devait être hilarante. _ C'est dégueulasse. Elle tira la langue avec exagération et secoua la tête. Cependant, elle prit un second verre entre ses doigts et incita d'un regard Marty à en faire de même. Elle le leva comme pour trinquer et sans plus de cérémonie, Josephine répéta le même cérémonial.
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· Dim 4 Aoû - 2:54

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #7
“Ce n’est pas une jupe, c’est une ceinture” ai-je pensé pour moi-même, néanmoins lucide sur le caractère équivoque d’une telle remarque. Elle aurait été portée par cette jalousie inédite, c’est vrai. Mais, elle contiendrait également une sorte de compliments trop bien dissimulés derrière un drap opaque. Devrais-je lui expliquer que j’ai été ébloui dès qu’elle est descendue de voiture qu’il conviendrait de s’y prendre autrement. N’ai-je été parasité par un “Dieu ce qu'elle est belle, trop belle pour moi” ? Mes lèvres n’ont-elles pas brûlé à cause d’une envie compulsive de le lui confier en bougonnant pour la forme ? J’ai gardé le secret à la faveur de la pudeur de mon moineau. Mes compliments l’embarrassent et si j’adore les couleurs de ses joues quand elle est touchée, je m’évite la frustration d’être à peine pris au sérieux quand je ne suis motivé que par la sincérité. Je me sens con à chaque fois que je l’encense et qu’elle me contredit. Je ne lui en veux pas : je concède à sa jeunesse le droit de manquer de foi en moi. Je lui accorde celui de ne pas s’aimer puisque je ne m’admire en rien. Mes louanges s’emplissent de gratuité : je ne les voue pas à des dessins pavés de mauvaises intentions. Du reste, je l’admets, elle ravirait mon coeur si elle me distinguait de sa confiance. Elle existe. Au contraire, elle se serait moquée de mon opinion. Elle aurait porté une de ses robes griffées que je lui ai déconseillées pour son confort et pour lui éviter le mépris de mon monde. Parfois, les plus bêtes  se montrent durs envers les “gosses de riches”. Moi, je m’en fiche de la teneur de son portefeuille. Je suis davantage inquiet par l’idée de n’avoir rien à lui apporter, rien qui ne se compte avec des billets. La stabilité émotionnelle et professionnelle ne s'achète pas et n’est-ce pas tout ce dont elle a besoin ? N’aurait-il pas été plus approprié de lui démontrer combien je suis joie de la retrouver au lieu de râler parce qu’elle attirera sur elle des regards qui accentueront ma possessivité ?  Cette dernière m’en fait oublier mes bonnes manières et j’omets désormais un essentiel. J’ai attendu, durant la journée, de retrouver le goût des lèvres. En outre, de m’être fait toute une montage de cette soirée sous prétexte qu’il porte l’étiquette du rencard, j’ai été forcé d’améliorer une cigarette. Je suis ressorti de cette mauvaise habitude plus détendu et prompt à rire de ma bêtise… prompt aussi à la réparer puisque je me suis approché d’une enjambée dans sa direction et, l’enlaçant, doucement, ma bouche a flatté la sienne d’un baiser qui dit : “J’avais hâte, mais je peux le contenir, je suis habitué.” Il est aussi plus tendre que sage : un contact me rappelle que je nous préfère nus l’un contre l’autre qu’au milieu de ce trottoir foulé par des passants. Qu’importe, cependant, nous ne les intéressons pas, à moins que, tout à elle, je m’épargne les affres de quelques peurs plus stupides que les autres comme notre différence d’âge. ”Bonsoir Moineau. Je vais bien aussi et tu auras tout le trajet pour me raconter ta journée.” ai-je chuchoté, m’écartant peu à peu pour mieux lui tendre la main alors que j’annonce que nous voyagerons en transports en commun. Sa grimace, surfaite et surtout jouée, m’a tiré un rire. ”N’aie pas peur, les gens y sont civilisés, mais éviter de mettre les mains sur les rampes, de t’asseoir et ne regarde pas trop les gens, tu pourrais attraper la tuberculose.” Je blague et je jure que mon air goguenard en témoigne tandis que je l’entraîne avec moi dans les dédales de Brisbane. Le trajet m’a soulagé d’un poids : le cadre ne semble pas influer sur notre normalité. Dès lors que je cesse de paniquer comme un gosse sous-aimé, Jo et moi nous entendons bien et, pour cause, je suis sensible à son aura. Son humour m’amuse autant que sa susceptibilité. Quand elle est avec moi, accepter que le seul que je cherche à duper sur ce que je suis amoureux d’elle, c’est moi, semblerait presque facile. Je conclurais bien que mes guerres intestines sont une perte de temps. Quel dommage, qu’une fois arrivé dans ce bar, mes inquiétudes me sautent de nouveau au visage à cause des oeillades parfois trop appuyées des croquants malappris. Leur indiquer que je ne lui sers pas de chaperon aura été plus fort que moi et c’est regrettable, finalement, de la rapprocher de moi et de me satisfaire de son baiser dans mon cou pour soulager ma vexation vis-à-vis de leur comportement, qu’uniquement par l’envie. Elle est là, évidemment. Interpellé par son attention, j’ai tourné la tête vers elle pour mieux retrouver le clair de ses yeux et lui adresser un sourire. Sans une halte par le bar, je l’aurais certainement embrassée. Sur l’heure, j’ai un autre objectif : nous créer un coin plus ou moins tranquille. Nul besoin d’être au milieu du public qui s’agglutine devant la scène pour apprécier l’instant. Ce groupe de musique est aussi un prétexte pour partager avec d’autres instants privilégiés qui renforcent l’intimité et la confiance. Autrement dit - dit par elle - c’est un rencard et, quitte à sortir de notre zone de confort respective et mutuelle, autant ne pas s’encombrer de mesure. Un mètre de Tequila s’étire sous nos yeux désormais et, au lieu de respecter sa sagesse, je l’ai incité à boire avec moi. ”Je sais. Mais, moi je tiens bien et, de toute façon, on ne conduit pas.” ai-je même insisté, ravi qu’elle me cède et séduit par sa grimace de dégoût : j’ai explosé d’un rire franc avant de récupérer le second verre qu’elle me désigne d’un coup d’oeil inquisiteur. Autant dire que je ne me suis pas fait prier. L’alcool est la berceuse de ma douleur d’avoir perdu ma mère. J’arrose mon mal, il s’endort et c’est appréciable : je n’ai pas affronter mon deuil et j’en suis aise. ”Pas si dégueulasse que ça visiblement. Tu sais qu’on ne s’habitue pas au goût, c’est juste qu’à un moment, on ne le sent plus. ” Comme elle, j’ai reproduit le rituel précédent et  j’ai avalé mon verre cul sec. Si je l’ai quittée des yeux, c’est à cause de l’agitation autour de la scène, celle qui indique que les festivités commenceront bientôt et je me suis aussitôt demandé pourquoi je me suis assis en face d’elle et non pas à côté. Une idiotie digne de la bleusaille, une de plus à rectifier à la hâte. J’ai saisi sa main avant qu’elle ne s’empare d’un nouveau verre, je me suis levé et je l’ai invité à contourner la table afin qu’elle me rejoigne sur mon morceau de banc de bois. Chacun se moque de l’élégance, ici. Personne ne s’inquiète de ne pas salir des meubles rudimentaires. Les lieux empestent déjà la bière, qui pour râler parce j’ai essayé de reproduire notre position d’un soir précédent, sur une plage de Mon repos, alors que nous rêvassions sur un transatlantique. La différence ? J’ai gardé un pied à terre, mais l’autre est posé sur mon assise tandis que j’attire Jo contre moi de manière à ce que son dos s’appuie sur mon torse. Je l’ai enlacée d’un bras tandis que, de l’autre, je rapproché deux verres sans le lui tendre. Ils sont juste là, à disposition, au besoin. ”Si tu n’aimes pas, on s’en va. La musique, je parle. Juste que tu sois venue, ça me convient déjà, en fait. ” Mes lèvres ont caressé son cou et, enfouissant mon nez à l'intérieur, j’ai respiré amplement. J’ai envie de lui confier ô combien le parfum de sa peau se suffit à lui-même. A défaut, j’ai lâché une connerie comme : ”Te saoule pas trop vite, je veux pouvoir m’éloigner trois secondes sans avoir peur que tu sois kidnappée par un de ces gars ” J’ai désigné du menton un groupe de jeunes à mi-chemin entre nos deux âges. Dos à moi, elle ne peut pas le voir, mon geste, mais je soupçonne qu’elle a remarqué que l’un de ces petits cons ne l’a pas quitté des yeux depuis qu’elle est arrivée. ” A choisir, j’aurais été content de pouvoir juste être fier que tu sois avec moi, mais ce type me tend. ” ai-je avoué, gardant pour moi la définition de mon émotion : elle est évidente, non. Elle s’en gargarisera si le coeur le lui dicte.

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âge : dix-neuf années qui ont déjà défilées. la fleur de l'âge. l'innocence.
statut civil : séparée d'Archibald depuis quelques semaines. après avoir été fiancée puis avoir décidé de continuer à faire semblant pour les apparences, ils ont finalement décidé de mettre fin à cette mascarade. au début d'une relation compliquée par biens des obstacles avec Marty.
occupation : elle étudie à l'université du queensland. ses parents ont voulu qu'elle se dirige vers un bachelor en gestion d'entreprise / gestion du tourisme, de l'hôtellerie et de l'événementiel. elle, elle aurait préféré suivre une voie afin de devenir traductrice littéraire.
adresse : kangaroo point -- un appartement qu'elle partage depuis peu de temps avec Marty.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : violences animales, violences faites aux enfants. - à discuter.
warning : fiançailles forcées, différence d'âge amoureuse, handicap.
disponibilités : rps en cours :

Marty #8 ♦️ Archibald #8 ♦️ Rebekah ♦️ Poppy ♦️ Jude ♦️ Eugenia ♦️ Amour ♦️

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· Dim 4 Aoû - 17:36

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #8
OUTFIT -- La garde robe de Josephine était relativement large. A vrai dire, elle avait une pièce pleine de robes hautes coutures, de jupes, de combinaison et de tenues en tout genre. Mais un jean ou un pantalon, : elle n'en avait pas. Ou très peu, en tout cas. Si le mot date n'avait pas été prononcé. Si Marty n'avait pas cédé à son caprice d'avouer à demi-mot qu'il s'agissait d'un rencard, sûrement aurait-elle pu songer de mettre un pantalon. Peut-être. Mais sa tenue avait été sélectionnée avec soin. Tout comme son maquillage et sa coiffure. Bien sûr, elle ne montrera pas que cette soirée là pouvait avoir une certaine importance à ses yeux. Non. Josephine devait garder cet air détaché quant à leur histoire. Détachée, mais pas trop. Pas assez pour faire fuir Marty, pas trop pour ne pas lui donner l'impression d'en avoir rien à faire de leur histoire. Parce qu'évidemment, c'était loin d'être le cas. Il s'approcha d'elle pour finalement déposer ses lèvres sur les siennes. Et ce simple geste suffit à balayer tout ses doutes et tout son agacement concernant sa réflexion sur sa tenue. _ Bonsoir Moineau. Je vais bien aussi et tu auras tout le trajet pour me raconter ta journée. Un sourire étira ses lèvres alors que ses doigts vinrent serrer le col du t-shirt de Marty pour l'embrasser une nouvelle fois. Arriverait-elle à se contenter seulement d'un baiser alors que son corps s'embrasait au seul regard de Marty sur elle ? Ne seraitent-ils pas mieux à l'abri des regards ? Pas parce qu'elle n'avait pas envie d'être vue à son bras. Mais surtout parce qu'elle pensait à cette intimité qu'ils aimaient partager. Elle s'éloigna finalement alors qu'il annonçait qu'ils prendraient les transports en commun. _ N’aie pas peur, les gens y sont civilisés, mais éviter de mettre les mains sur les rampes, de t’asseoir et ne regarde pas trop les gens, tu pourrais attraper la tuberculose. Elle secoua la tête alors qu'ils se mirent en route vers les dits transports. _ La tuberculose est peut-être la meilleure chose qui pourrait m'arriver. Elle préféra ajouter, laissant un rire s'échapper d'entre ses lèvres.

Finalement, ils arrivèrent devant un pub. Autant dire qu'il s'agissait là de la première fois que Josephine mettait les pieds dans ce genre d'établissement. D'un côté, elle n'avait pas pour habitude d'aller ailleurs que dans des cafés la journée. Il était rare qu'elle soit de sortie, en ville, le soir. Mais l'idée lui plaisait. Et de toute façon, elle avait demandé à Marty de l'emmener dans un endroit qu'elle appréciait. Un endroit qui lui ressemblait. Et elle était satisfaite de pouvoir rentrer un peu plus dans sa bulle. Peu importe l'endroit où il l'aurait amené, Josephine aurait été comblée. Parce qu'elle était avec lui. Parce qu'ils étaient ensemble et que rien d'autre n'avait d'importance. Ils s'installèrent à une table alors que plusieurs verres -- beaucoup trop selon Jo -- s'étendaient devant leurs yeux.  _ Je sais. Mais, moi je tiens bien et, de toute façon, on ne conduit pas. Elle secoua doucement la tête tout en levant les yeux au ciel. _ Si t'es obligé de me tenir les cheveux pendant que je vomis, tu seras le seul coupable. Lui dit-elle en le pointant du doigt d'un oeil suspicieux. Après tout, elle n'avait pas pour habitude de boire. Seulement un verre de champagne à de rares occasions. Et sûrement pas de la tequila en shooter. D'un côté, la blonde espérait ne pas en arriver là. Un premier rencard qui se termine dans un toilette pour vider tripes et boyaux, très peu pour elle. Et finalement, sans se faire plus prier, elle prit le premier verre qu'elle avala en une gorgée. Une grimace étira les traits de son visage alors qu'elle toussota légèrement. _ Pas si dégueulasse que ça visiblement. Tu sais qu’on ne s’habitue pas au goût, c’est juste qu’à un moment, on ne le sent plus. La blonde fit une nouvelle grimace alors que le second verre brûlait déjà son oesophage. Heureusement, le citron atténuait le goût de la Tequila. _ J'ai déjà le gosier complètement brûlé. Elle aurait peut-être dû demander un verre d'eau. Ou un soda. Juste pour atténuer le goût et la sensation de brûlure. Ne dit-on pas qu'il faut boire un verre d'eau entre chaque verre d'alcool qu'on ingurgite ? Elle regarda sa main se tendre vers elle avant de sourire et de la saisir. Elle se laissa guider et s'essaya entre ses jambes sur le banc en bois du pub. Les musiciens s'agitaient sur scène et la foule commençait à s'amasser devant eux. Mais ici, ils étaient bien. Tout simplement. _ Si tu n’aimes pas, on s’en va. La musique, je parle. Juste que tu sois venue, ça me convient déjà, en fait. Ses lèvres effleurèrent son cou et son souffle lui vola un frisson. Une de ses mains posée sur la cuisse de Marty, la seconde jouant avec un des verres vides qu'il avait abandonné devant lui. _ Sûrement pas. Tout est parfait, Starlord. Qu'elle lui glissa à l'oreille alors que la musique commença. Après tout, Jo n'était pas difficile. Outre Eminem -- sujet de discorde entre eux deux -- elle était capable d'écouter tout un panel de genre de musique. Et peu importe ce que le groupe devant eux jouerait, cet instant resterait parfait. _ Te saoule pas trop vite, je veux pouvoir m’éloigner trois secondes sans avoir peur que tu sois kidnappée par un de ces gars. A choisir, j’aurais été content de pouvoir juste être fier que tu sois avec moi, mais ce type me tend. La blonde secoua doucement la tête avant de tourner son visage vers Marty. _ Ne serait-ce pas une once de... Ah, hm... comment on dit déjà ? Elle fait mine de réfléchir au mot à employer. _ Ah oui, c'est ça ! De la jalousie que je perçois là ? Elle retira la main du verre à shooter qu'elle tenait entre ses doigts et se saisit de la mâchoire de Marty pour approcher son visage du sien. _ Il pourrait tous parader comme des paons devant moi que je n'aurai toujours d'yeux que pour toi Monsieur Singh. Finalement, ça avait toujours été le cas, non ? Jo n'avait toujours eu d'yeux que pour Marty. Elle approcha un peu plus ses lèvres jusqu'à venir capturer celles de Marty. L'alcool n'avait pas encore pris la pleine possession de ses moyens, mais elle s'ouvrait de plus en plus à cette soirée qui se présentait à eux. Sa langue vint caresser celle de Marty pendant quelques secondes avant de finalement rompre le baiser. Elle essuya de son pouce le rouge à lèvres qui avait laissé une trace sur les lèvres de Marty et un sourire étira ses lippes. _ J'espère que tu es détendu, maintenant. Souffla-t-elle avant de finalement le quitter du regard afin de se concentrer à nouveau sur le scène.
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âge : 32 ans
statut civil : Ils s’embrassent quand Raph est sous la douche. Ils dorment ensemble quand il n'est pas là. Elle a dit "mon mec" en parlant de lui et s'il en a tiré de la joie et n'en reste pas moins éperdument amoureux de Jo, il a toujours du mal à se l'admettre et à définir leur relation avec LE mot qui conviendrait.
occupation : Cuisinier dans un Subway
adresse : 729, CBD, un appartement qu'il partage avec son meilleur ami. Un "chez lui" où le courrier n'arrive pas puisqu'il est toujours domicilié à la maison familiale.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il
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warning : Sexisme - Nicotine - Jeu - Sexe - Différence d'âge
infos rp : J'écris à la première personne. Mon rythme est assez rapide. Quant à la longueur, elle s'adapte à mon inspiration selon ce que mon partenaire m'aura offert. Ne prenez pas mal si j'écris moins que vous sur une réponse, la prochaine, peut-être que c'est moi qui vous inonderai.
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Le moineau ¬ Did I say that I need you ? Did I say that I want you If I didn't, I'm a fool, you see, no one knows this more than me as I come clean.
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The family ¬ a venir
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Charlie Chaplin ¬ a venir
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Tex Avery ¬ a venir
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F.R.I.E.N.D.S ¬ a venir

en vrac : C’est un fou de lecture, de poésie et de cinéma. Il sème des papiers de bonbons à la menthe derrière lui partout où il va. Il en a plein les poches. C’est comme une marque de fabrique. Il n’est pas carnivore, il est carniste. Il lui faut de la viande à chaque repas. C'est un bon danseur qui adore ça. Féru de belle mécanique, il retape une vieille voiture, avec son meilleur ami dans son fauteuil roulant auprès de lui. Ensemble, ils refont alors l’histoire, il redessine le monde. Il joue au baseball depuis son plus jeune âge. Il ne croit pas en Dieu, mais il aurait aimé dans l’espoir que l’idée lui rende la vie plus facile. Il boit beaucoup. Fume beaucoup. Il dessine comme il respire.
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· Ven 16 Aoû - 3:31

We Don't Touch,
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Martin&Josephine. #7
D’humeur provocatrice, je lui jetterais à la figure qu’une maladie curable ne représente aucun danger lorsque l’on est fiancée à un médecin ; la pique aurait été habile et le lancer adroit, elle aurait soulagé ma fierté mal placée d’un peu de ce mal causé par cette situation équivoque, mais qu’aurais-je gagné mis à part une querelle au pire moment. Certes, je suis frustré que Josephine entretienne des illusions sans se soucier de ce que je ressens (ou presque, sauf que je ne lui en veux pas, ou p as assez pour gâcher cette soirée que j’ai pensée comme un moteur en faveur du lâcher prise. J’ai donc ravalé mon fiel pour conserver le souvenir récent de mes lèvres sur les siennes et pour respecter mes intentions. A ma grande surprise, je suis parvenu à taire mes doutes avec moins de difficulté dès lors qu’à son tour, elle m’a embrassée. Ses doigts enroulés autour de mon t-shirt ont suggéré qu’elle ne se lasse pas de mes baisers, pas encore, et mon cœur s’est gonflé d’aise. Assis dans une rame de métro, j’ai fait mine de la taquiner tout en maintenant mon humeur à hauteur de ma joie d’être avec elle ailleurs qu’entre quatre murs. L’impliquer dans mon monde ne démontre-t-il pas que je l’ai entendue sa requête au Starbucks ? N’est-ce pas la preuve probante de mes efforts ? Si je me suis montré réticent à l’idée d’aimer - et non de l’aimer - je me souviens de la chanson fredonnée par mon cœur tandis que je ravissais son innocence à mon oiseau rare. Les paroles étaient formelles : elles racontaient avec poésie tout ce que je suis à cette jeune femme qui, sa main dans la mienne, se laisse guider dans les dédales d’un Brisbane qu’elle ne fréquente pas ou très peu. Quelques fois, je me rappelle que je n’ai pas rêvé mon émoi, que si je ferme les yeux, je l’entends encore résonner en moi, cette mélodie. La peur est cependant un animal difficile à dompter. Elle m’assourdit, mais je lutte vaillamment pour honorer son choix de se pendre à mon bras. Douter qu’elle puisse s’imaginer ailleurs qu’à mes côtés équivaudrait à de la bêtise étant donné qu’elle ne me quitte pas. Arrivés dans ce bar aménagé en salle de concert de fortune, elle n’a pas protesté alors que s’exprimait ma possessivité. Bien sûr, jamais je ne rechigne devant la possibilité d’un baiser. Sauf que de coutume, ma motivation réside dans ce besoin d’elle ronronnant dans le fond de mes tripes. Celle-ci est moins noble. Ce baiser offert  devant ces types qui ont coulé sur elle un regard d’après moi intéressés n’était pas gratuit ou pas complètement. Or, la sœur de Raphaël n’a pas sifflé son mécontentement. Elle a préféré répondre à mon sourire en posant ses lèvres dans mon cœur. Je l’ai aussitôt enveloppée d’un regard probablement plus évocateur que je ne l’aurais souhaité si je l’avais prémédité. En réalité, séduite par le message porté par le geste, il a déclaré ô combien je suis flatté et certainement tout à sa cause acquis. Elle se moque des autres et elle l’affrime. Elle se contrefiche des œillades sur ses jambes nues ou de notre différence d’âge. Elle n’a d’eyux que pour moi et quoique rassuré, c’est avec hâte que j’ai ramassé nos boissons, c’est avec un empressement non dissimulé que je l’ai retrouvée à la table préalablement choisie. Un sourire habille ses lèvres. Elle semble à sa place auprès de moi et tout à la fois curieuse de l’environnement. Ici, les gens parlent fort, ils rient fort, ils boivent des alcools tout aussi fort. Alors, naturellement, je l’ai incitée à avaler un premier verre, cul sec, pour qu’elle goûte ou qu’elle s’adonne au plaisir de la découverte : elle ne risque rien tant que je serai auprès d’elle et, dans l’absolu, je ne prévois d’aller nulle part. Elle est libre de vivre l’une de ses expériences interdites par la bienséance protocolaire de son univers : être ivre en société. ”Ce n’est pas grave, pas pour moi en tout cas.” Peu de chance que je sois un jour dégoûté d’elle d’une quelconque façon. ”J’ai appris à éviter ce genre de catastrophe : j’ai des soeurs. Ta fierté le vivra plus mal que moi.” ai-je ponctué d’un clin d’oeil cherchant d’abord sa main sur la table pour ensuite la conduire jusqu’à moi sur la banquette que j’ai investie dans une position des plus alambiquées. Peu de place pour les bonnes manières dans le coin et quand la foule agglutinée dans l’espace s’agite. Nous sommes désormais des inconnus de plus mus par la volonté de fêter le bonheur d’être vivant… ou presque. Un gars paraît sous le charme et il crispe ma jalousie. Suis-je transparent ? Ne voit-il pas que l’objet présumé de sa convoîtise repose entre mes bras ? Que j’ai embrassé son cou et qu’elle m’a soufflé quelques mots au creux de l’oreille ?  Fait peu étonnant, je manifeste sans ambages mon désaccord. Quant à ma complice, elle me houspille et m’arrache une grimace : froncement de sourcils, roulement des yeux, haussement d’épaules.  ”Non.” ai-je dans un premier temps rétorqué, prêt à cacher l’évidence comme s’il s’agissait d’un secret honteux. La vérité, c’est que j’ai déjà admis, un soir où j’étais trop faible pour me préserver, que j’étais anormalement jaloux. Je crains d’ailleurs d’avoir poussé le vice jusqu’à cette précision : c’est inédit et, par conséquent, difficile à gérer, beaucoup trop :  son baiser, tout bouleversant soit-il, ne m’a pas réellement apaisé. Bien sûr, ma main a glissé jusqu’à sa joue. J’ai savouré les caresses de nos langues entremêlées et j’ai combattu ma sempiternelle envie d’elle. Sauf que les restes de mon humeur demeurent là et, surprenamment, j’en fais l’étalage. ”Ou peut-être un peu. Et, c’est pas de toi dont je me méfie, tu sais.” Combien de fois m’a-t-elle répété qu’elle ne s’était pas bradée à Mon Repos pour se débarrasser des appréhensions d’une nuit de noces par avance compliquée ? Que j’étais plus qu’une lubie ? Plus qu’un fantasme dévoué à la rébellion ? Trop souvent pour la remettre de nouveau en question. ”Je sais ce qu’il se passe dans sa tête et c’est ça qui m’agace. ça et ouais, peut-être que j’ai pas envie que tu m’échappes, mais c’est pas forcément rationnel.” Mal à l’aise, j’ai saisi un des verres pleins sans le boire… ou pas encore. ”Moi, j’arrive pas à me dire que ça pourrait être normal que tu couches avec un autre type.” Référence à ce qu’elle s’est imaginée que moi, couchant avec la première venue, relevait de la fatalité. ”Je comprends même pas comment tu as pu l’envisager sans en être malade. Moi, je le serais. Je le suis rien qu’en me mettant dans la tête de ce gars, alors.” ai-je avoué alors qu’elle essuie le rouge à lèvre au coin de mes lèvres. Moi, j’ai baissé les yeux dans sa direction, j’ai embrassé le bout de son nez et j’ai dodeliné de la tête. ”Plus que tout à l’heure, oui. Mais, c’est pas difficile. Je me sens bien avec toi. ça a toujours été le cas d’ailleurs. ” A l’inverse, nous n’aurions pas traversé ses années adolescentes à partager nos lectures. Je n’aurais pas réclamé d’elle qu’elle m’aide à trouver le sommeil grâce à ses oeuvres classiques jouées au piano. Je n’aurais pas joué au second grand-frère non plus, d’autant qu’aujourd’hui, je m’interroge : me suis-je menti durant tout ce temps ? Me suis-je leurré parce que c’était plus convenable à cause de son âge ? Me suis-je dupé quand j’ai pourtant toujours su, finalement, que la vie m’apparaît plus radieuse quand je peux respirer son parfum ?  

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· Ven 23 Aoû - 1:21

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #8
OUTFIT -- Elle n'a pas l'habitude de boire, Josephine. Parce que dans son univers à elle, la réserve et le bonne tenue sont de rigueur. Seulement une coupe de champagne à quelques rares occasions. Seulement une bière lorsqu'elle est entourée de Raph et de Marty. Mais jamais plus. Et pourtant, ce soir, elle est persuadée qu'il y aura plus qu'un verre. Surtout lorsqu'elle voit Marty revenir avec tout ces verres, ces bouts de citron et le sel sur une planche digne de ce nom. Autant dire que le barman n'en est pas à sa première préparation. _ Ce n’est pas grave, pas pour moi en tout cas. J’ai appris à éviter ce genre de catastrophe : j’ai des soeurs. Ta fierté le vivra plus mal que moi. Une légère grimace de dégoût vient se former sur son visage. _ Je préférerai garder ma fierté intacte en fait. Bien sûr. Elle aimerait ne pas terminer la soirée à vomir trippes et boyaux dans les toilettes de ce pub ou même de l'endroit où elle -ils ?- ira dormir. Mais peu importe. Finalement, elle ne dit pas non au verre qu'il lui tend. Elle en envisage même un autre. Peut-être plusieurs autres. Après tout, elle était là pour se lâcher. Elle est là pour sortir de sa zone de confort. Elle est là pour découvrir certaines joies auxquelles elle n'avait jamais goûté jusqu'à maintenant. Et finalement, alors que leurs corps se sont parfaitement retrouvés. Alors que son dos repose sur son torse, elle voit les yeux de Marty se diriger vers un homme en particulier. Sa jalousie. Elle semble maintenant l'avoir compris. Marty n'est pas entièrement désintéressé, au contraire même. Il cache son jeu. Mais petit à petit, elle arrive à creuser sa carapace. Cette carapace qui le protège de ce qui lui fait tant peur : l'amour ? Pourtant, Jo, elle sait qu'il est déjà trop tard. La concernant, en tout cas. _ Non. Elle secoue doucement la tête. Elle n'y croit pas, Josephine. Pas une seule seconde. Elle ne croit pas à sa réponse négative. Et peu importe qu'il l'avoue ou pas, elle vient sceller ses lèvres aux siennes. Elle l'embrasse pour qu'il comprenne qu'elle n'a besoin -- et envie -- que de lui. Elle l'embrasse pour faire comprendre à l'autre type qu'elle se fiche totalement de lui, et de tout les autres aussi d'ailleurs. _ Ou peut-être un peu. Et, c’est pas de toi dont je me méfie, tu sais. Elle hoche doucement la tête. Bien sûr qu'elle le sait. Elle lui avait dit à de nombreuses reprises qu'elle n'avait d'yeux que pour lui -- même lorsqu'elle était officiellement fiancée. _ Je sais. Elle s'empêche d'ajouter qu'il devrait se concentrer sur sa confiance en elle -- quoi que le mot est peut-être un peu trop fort -- plutôt que sur ce que les autres peuvent penser d'elle ou d'eux. _ Je sais ce qu’il se passe dans sa tête et c’est ça qui m’agace. ça et ouais, peut-être que j’ai pas envie que tu m’échappes, mais c’est pas forcément rationnel. Moi, j’arrive pas à me dire que ça pourrait être normal que tu couches avec un autre type. Elle plisse doucement des yeux tout en regardant d'un oeil distrait les doigts de Marty jouer avec un des verres. Comment peut-il encore penser à cela ? Elle-même n'y avait jamais songé. Bien sûr que ce ne serait pas normal qu'elle couche avec un autre type. Parce que c'est ce type là qu'elle a choisi. Marty. _ Je comprends même pas comment tu as pu l’envisager sans en être malade. Moi, je le serais. Je le suis rien qu’en me mettant dans la tête de ce gars, alors Oh. Il parle donc aussi de sa jalousie à elle. De leurs jalousies. De ces sentiments qu'ils éprouvent chacun. C'est humain non ? Après tout. _ Qu'est-ce que tu crois ? Bien sûr que j'aurai été malade de te savoir avec une autre si c'est ce que tu aurais voulu. Mais... Elle laisse sa phrase quelques secondes en suspens. Peut-être que l'alcool fait déjà effet puisque sa langue se délie un peu plus. _ Je crois que j'aurai préféré te partager plutôt que de ne pas t'avoir du tout. Après tout, c'est ce qu'elle avait fait pendant plusieurs années. Elle le partageait avec les autres alors qu'elle n'avait jamais été qu'une amie à ses yeux. Il l'obsède, Marty. Il est devenu sa drogue, son oxygène et elle ne s'imagine plus passer une seconde de sa vie sans lui. Et elle réalise que cela a toujours été le cas. _ Et bien sûr que ça ne serait pas normal que je couche avec un autre homme. Dois-je te rappeler que tu es le seul ? Le seul, l'unique. Marty a eu cette exclusivité. Il lui avait pris sa vertu, elle le lui avait donné. _ Et tu le resteras aussi longtemps que tu voudras de moi. Elle en est persuadée, Josephine. Elle ne sera jamais intéressée par un autre homme que Marty. Après tout, il n'y avait toujours eu que lui. _ Plus que tout à l’heure, oui. Mais, c’est pas difficile. Je me sens bien avec toi. ça a toujours été le cas d’ailleurs Un sourire étire ses lèvres et après avoir déposé un rapide baiser sur les lippes de Marty, elle pousse un verre vers lui et en prend un pour elle. _ Je pense qu'on doit trinquer à ça. A ce plaisir immense d'apprendre qu'il est bien lorsqu'il est avec elle. A cette sensation qu'il lui procure, à elle. Après avoir pris le citron et mis du sel sur sa main, elle renouvelle le rituel et boit le verre tout en grimaçant une nouvelle fois. Non. Elle n'arrivera jamais à se faire au goût de la tequila. Elle reporte son attention quelques secondes sur le groupe et la foule avant de reposer ses yeux sur Marty.
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Le moineau ¬ Did I say that I need you ? Did I say that I want you If I didn't, I'm a fool, you see, no one knows this more than me as I come clean.
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The family ¬ a venir
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Charlie Chaplin ¬ a venir
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Tex Avery ¬ a venir
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F.R.I.E.N.D.S ¬ a venir

en vrac : C’est un fou de lecture, de poésie et de cinéma. Il sème des papiers de bonbons à la menthe derrière lui partout où il va. Il en a plein les poches. C’est comme une marque de fabrique. Il n’est pas carnivore, il est carniste. Il lui faut de la viande à chaque repas. C'est un bon danseur qui adore ça. Féru de belle mécanique, il retape une vieille voiture, avec son meilleur ami dans son fauteuil roulant auprès de lui. Ensemble, ils refont alors l’histoire, il redessine le monde. Il joue au baseball depuis son plus jeune âge. Il ne croit pas en Dieu, mais il aurait aimé dans l’espoir que l’idée lui rende la vie plus facile. Il boit beaucoup. Fume beaucoup. Il dessine comme il respire.
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· Sam 24 Aoû - 23:26

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #7
Si Jo donne du mou à ses principes qui étranglent souvent sa vie, il semblerait que ma langue se délie sans que l’alcool y soit pour quelque chose. Je n’ai pas assez bu pour que ma franchise  s’auréole de mon ivresse. Je n’ai pas dénié ma jalousie pour l’assumer en partie à cause de la Tequila, mais parce qu’elle me prend à la gorge. Elle m’empêche de respirer et le cacher est aussi ridicule qu’hypocrite : elle transpire par tous les pores de ma peau. M’étais-je présumé que j’y gagnerais en tranquillité d’esprit presque instantanément ? Pas le moins du monde. Ma pudeur sentimentale dépend de l’habitude. A force de me protéger des questions propres aux émotions, j’ai tenu pour acquis que mon cœur était glacé ou, au contraire, échaudé par l’exemple de mes parents. Je n’en sais trop et, pour être honnête, contredire l’une ou l’autre de mes versions de l’histoire ne m’a jamais chatouillé. Je fonctionnais mal, c’était ma seule vérité. Un baiser aura néanmoins suffit à tout remettre en question. Aujourd’hui, j’envisage que, peut-être, le muscle s’est simplement endolori parce qu’il refusait de battre à l’endroit d’une autre qui ne serait pas mon moineau. Bien sûr, ce n’est pas avouable,, mais l’éventualité n’aurait rien de surprenant. Dans ce motel - à moins que ce moment où j’ai découvert son post-it et appris son projet de voyage avec Archibald relève du fatifique - n’étais-je pas convaincu que j’étais amoureux d’elle ? N’y aurais-je pas sérieusement songé que j’aurais reculé devant sa nudité alors que j’étais invité à partager son intimité. D’après internet, je souffre de tous les symptômes de cette maladie débordant du cadre que sont les relations charnelles. Me l’admettre soignerait-il quelque angoisse concernant l’avenir ? Notre avenir ? J’aimerais, mais c’est faux. L’hypothèse est qu’elles en sont amplifiées dès lors que moineau ne virevolte pas autour de moi comme la Terre autour du Soleil. ”Si c’était aussi simple que ça, ça se saurait. Parfois, vouloir quelque chose ne signifie pas que ça a marché comme sur des roulettes. Je crois que ma mère a voulu tous ses enfants…” me suis-je lancé après une courte hésitation. L’heure des confidences n’a pas sonné. Le lieu n’est pas approprié pour m’épancher sur les mensonges que je me conte avec l’espoir de mieux dormir la nuit. tant pis/ Je ne recule pas, je poursuis. Me dégonfler maintenant, c’est l'assurance qu'il n’y aura plus de “prochaine fois” avant longtemps. ”Mais elle aura fait de la merde jusqu’au bout. Elle a fait une overdose, devant Mina. Elle a fait de la merde de ma naissance jusqu’à son dernier souffle. Monroe dit que je suis né en manque. Comme quoi, vouloir, c’est pas toujours LA condition.” ai-je insisté sur l’article lourdement. ”Sa soif de vivre à tout prix, son envie de planer, la curiosité de ce qui arrive quand on pousse ses limites. L’être humain est fait comme ça, même toi, moi aussi, surtout moi.” Le masque de la morosité s’est troqué contre l’inquiétude. Et si j’étais une copie plus sobre de mes parents, sobres, mais néanmoins disposés à brasser la fange ? Mes yeux, ils se sont égarés dans la contemplation du verre vide. Nul doute que l’émoi n’aura pas échappé à mon oiseau. J’ai récupéré un nouveau baiser qui, s’il n’a pas galvanisé mes sens, m’aura ramené à la raison. Ma main a desserré sa taille  pour caresser sa cuisse jugée trop nue plus tôt. Sa peau sous la pulpe de mes doigts m’a réchauffé le cœur si bien que je lui ai souri chaleureusement, pensant à tout ce qu’elle m’a remis en mouvement. ”Mais tout ça n’a pas d’importance en vrai. Je suis parti trop loin alors qu’on n’est pas là pour ça.” Pour les aveux trop lourds qui ternissent l’mabiance. ”Même si j’ajouterai quand même que c’est vrai que je flippe, tu sais. J’ai peur des autres, mais surtout de moi. Ce que j’essaie de te dire, c’est que j’ai l’impression d’être programmé pour faire une connerie que tu me pardonnerais pas parce que c’est dans mon ADN. A quel point c’est vrai que tu préfères me partager plutôt que d’être sans moi, Moineau ? ” Car bêtise il y a déjà quoiqu’elle semble avoir disparu du décor. Cette betilse, c’est Amour Saint-Pierre, celle qui me met mal à l’aise quand ma complice du soir et de mes nuits me fait miroiter que je peux soulever des montagnes à bout de bras. Cette pensée, réjouissante et effrayante à la fois, m’a arraché de la bouche un “je me sens bien avec toi” qui résonne en moi, en nous, entre nous d’une drôle de mélodie. Celle de sa joie ? De son soulagement parce que toutes révélations, aussi menues soient-elles, sont bonnes à prendre pour son coeur malmené par mes indécisions ? Par mes non-dits ? Par mes côtés lunaires et parfois difficiles à gérer ? Un regard extérieur déclarerait qu’elle me fait danser comme elle chante. Sauf qu’elle en a moins conscience que de la musique qui bat son plein désormais. Le groupe s’est mis à jouer. La basse vibre dans tout le bar. La guitare est discrète et le batteur caresse son charleston au ballet. La voix du chanteur attire mon attention tandis que nous nous rinçons le gosier d’alcool fort. Le rituel est maîtrisé pour Jo. Elle n’en boit plus un, mais deux d’affilée et moi, je l’accompagne. Je la suis quand elle boit et quand elle se saisit de ma main pour me tirer vers le centre de la pièce.   ”Tu vois des gens qui dansent, toi ?” lui ai-je opposé sans avoir pris la peine de vérifier mon propos. Un coup d’oeil m’apprit rapidement que nous nous donnerons pas en spectacle  : des couples se sont formés dès que la balade a commencé et, puisque je suis bon danseur et que jamais je ne rechigne à garder mon oiseau rare entre mes bras, j’ai cédé à ce caprice bienvenu. Le Don Julian Bianco effectue son travail de sape sur le probe et sur la pudeur. Je la dévore des yeux comme si nous étions seuls au monde désormais et, avant de fondre sur ses lèvres - jusqu’ici  les miennes ont déposé dans son cou quelques caresses et baisers -, mon interrogation a claqué si fort que j’ai eu l’impression d’être devenu sourd, sourd à la musique, sourd des bruits ambiants qui nous entourent. ”Tu as toujours eu l’impression de me partager. C’est ça que tu essayais de me dire l’autre fois par sms.” Alors que nous nous réconcilions d’une anicroche en lien à ma possessivité. ”Je ne suis pas stupide, tu sais, j’ai bien compris que tu sèmes des indices derrière toi pour m’obliger à accepter ce que je crois avoir compris. Comme toi, qui es amoureuse de moi par exemple.” ai-je ponctué d’un clin d’oeil voué à tourner à l’humour l’audace que je regrette déjà. ”Tu peux le dire, tu sais ? ça enlèvera une part de risque pour moi, c’est pas mal, ça. On pourra trinquer à autre chose en plus.” A mon tour de déposer des allusions d’après moi évidentes sur le chemin de cette histoire - la nôtre - qui semble entouré d’un halo de simplicité plaisan... tant que ça durera.
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ANAPHORE
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Josephine Phillips
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Josephine Phillips
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pseudo : moglobine (manon)
id card : freya allan (ava ; harleystuff - signa ;tiny heart)
pronom irl : elle.
multicomptes : adela (v. kirby) - monroe (b. lively) - roxane (s. shahi) - charlotte (o. cooke) - shiloh (d. cameron) -- alba (n. wallace)
à contacter : sur le compte concerné.
présence : présente.
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âge : dix-neuf années qui ont déjà défilées. la fleur de l'âge. l'innocence.
statut civil : séparée d'Archibald depuis quelques semaines. après avoir été fiancée puis avoir décidé de continuer à faire semblant pour les apparences, ils ont finalement décidé de mettre fin à cette mascarade. au début d'une relation compliquée par biens des obstacles avec Marty.
occupation : elle étudie à l'université du queensland. ses parents ont voulu qu'elle se dirige vers un bachelor en gestion d'entreprise / gestion du tourisme, de l'hôtellerie et de l'événementiel. elle, elle aurait préféré suivre une voie afin de devenir traductrice littéraire.
adresse : kangaroo point -- un appartement qu'elle partage depuis peu de temps avec Marty.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : violences animales, violences faites aux enfants. - à discuter.
warning : fiançailles forcées, différence d'âge amoureuse, handicap.
disponibilités : rps en cours :

Marty #8 ♦️ Archibald #8 ♦️ Rebekah ♦️ Poppy ♦️ Jude ♦️ Eugenia ♦️ Amour ♦️

sms :

Marty ♦️ Archie ♦️ Eugenia ♦️ Jude ♦️

rps terminés :
Marty&Archibald

en vrac :
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MARTY
If you felt invisible, I won't let you feel that now.
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ARCHIBALD
Every step that i take is another mistake to you.
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· Dim 25 Aoû - 3:52

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #8
OUTFIT -- Pour Josephine, rien n'est totalement blanc ou totalement noir. La vie est faite d'une palette de couleur qu'elle adore explorer. Et même le gris peut parfois être le bienvenu dans une vie trop parfaite aux yeux des autres. Un fiancé, un mariage coûtant des milliers de dollars, un appartement plus grand que la moyenne et probablement deux ou trois héritiers. Son chemin était tracé depuis déjà longtemps. Un chemin qu'elle avait, jusqu'à maintenant, accepté de prendre. Mais le vent a tourné, mettant sur sa route un Marty plus audacieux. Si elle avait enfoui ses sentiments bien profondément dans son coeur, il lui était à présent impossible de les cacher. Marty avait ouvert la boîte de Pandore. Plus aucun chemin était tracé. Elle l'aimait, oui. Elle l'aimait depuis toujours et probablement jusqu'à ce qu'il décide que cet amusement devait se terminer. _ Si c’était aussi simple que ça, ça se saurait. Parfois, vouloir quelque chose ne signifie pas que ça a marché comme sur des roulettes. Je crois que ma mère a voulu tous ses enfants… Etonnée par ce début d'aveu, elle se détourne légèrement pour pouvoir lui faire un peu plus face. Non pas qu'elle veuille se dérober de la chaleur apaisante de ses bras, mais elle est bien consciente que parler de ses parents n'est pas chose aisée pour Marty. Alors, ses yeux bleus se plongent dans les siens. Elle lui donne du courage, elle l'espère. Le courage nécessaire pour qu'il puisse poursuivre. _ Mais elle aura fait de la merde jusqu’au bout. Elle a fait une overdose, devant Mina. Elle a fait de la merde de ma naissance jusqu’à son dernier souffle. Monroe dit que je suis né en manque. Comme quoi, vouloir, c’est pas toujours LA condition. Sa soif de vivre à tout prix, son envie de planer, la curiosité de ce qui arrive quand on pousse ses limites. L’être humain est fait comme ça, même toi, moi aussi, surtout moi. Elle tente de rester impassible devant ces révélations. De ne pas montrer à quel point son coeur se déchire alors qu'il lui dépeint la vie qu'il a vécu étant gamin. Oh bien sûr, Josephine savait que Marty n'avait pas eu une vie facile. Elle savait qu'ils n'avaient pas été forgés dans le même bois et qu'un gouffre s'étendait entre leurs deux enfances passées. Mais pas à ce point, pas comme ça. La main de Marty glisse sur sa cuisse tandis qu'elle vient enlacer ses doigts aux siens. Elle n'a pas pitié, Josephine. Elle encaisse et n'ose fermer les yeux de peur d'y voir des images qu'elle ne supporterait pas. Un bébé en manque. Un enfant délaissé par sa mère. Un décès par overdose. _ Mais tout ça n’a pas d’importance en vrai. Je suis parti trop loin alors qu’on n’est pas là pour ça. Même si j’ajouterai quand même que c’est vrai que je flippe, tu sais. J’ai peur des autres, mais surtout de moi. Ce que j’essaie de te dire, c’est que j’ai l’impression d’être programmé pour faire une connerie que tu me pardonnerais pas parce que c’est dans mon ADN. A quel point c’est vrai que tu préfères me partager plutôt que d’être sans moi, Moineau ? Elle le connait, Josephine, cet air détaché. Dire que cela n'a pas d'importance alors que ça en a, justement. Est-ce qu'il y a un moment opportun pour aborder ce sujet ? Probablement pas. Elle secoue doucement la tête alors qu'elle vient porter la main de Marty à ses lèvres. _ Si, bien sûr que ça a de l'importance. Ce soir ou un autre soir, ça en a forcément. Pour lui, et pour elle aussi. Parce qu'il s'ouvre à elle et qu'elle est heureuse qu'il le fasse, enfin. Heureuse de voir cette relation avancée. Heureuse de voir qu'ils n'auront pas détruis ce qu'ils étaient avant. _ Rien est gravé dans le marbre, tu sais. Ton ADN, c'est justement le tien, Starlord. Et pas seulement une partie de celui de tes parents. Ils sont ce qu'ils sont. Et toi, tu es ce que tu es. Ne crois pas que tu vas déjà me décevoir alors qu'on est qu'aux prémices de... Aux prémices de quoi, justement ? Rien n'est encore réellement clair entre eux. Et est-ce que ça le sera un jour ? Jo n'en est pas certaine. _ De ce qu'on est. J'ai confiance en toi, peu importe l'ADN que tu portes. C'est de toi qu'il s'agit. Qu'elle souffle simplement. Et elle en est convaincue, Jo. Elle sait qu'il ne lui fera jamais intentionnellement du mal, Marty. Et s'il venait à prendre le risque de gâcher leur histoire c'est que probablement elle n'en valait pas autant la peine qu'elle l'avait espéré. _ Et juste au cas où, si on pouvait éviter d'essayer l'hypothèse du partage, je t'en serai reconnaissante. Elle se racle doucement la gorge, gênée par cette jalousie qui s'immisce dans ses veines. _ Mais je pense que je suis assez... Amoureuse ? Bête ? _ attachée à toi pour effectivement accepter plus de choses que mes convictions ne le voudraient. Pourquoi ? Tu as changé d'avis ? Une question qui lui colle un noeud dans la gorge et qui lui serre le ventre. Avec l'alcool, elle aurait presque oublié qu'il lui parlait quelques secondes plus tôt de sa propre jalousie. Mais pourquoi lui demanderait-il cela si ce n'est parce qu'il est certain de ne pas être aussi exclusif qu'elle l'aurait désiré ?

_ On va danser ? Qu'elle souffle après avoir terminé cette discussion lugubre sur leur jalousie respective et les écarts possibles. Elle ne lui laisse pas le temps de répondre qu'elle le prend déjà par la main et l'entraîne vers le centre de la pièce. Plusieurs personnes sont déjà regroupées. Des couples pour la plupart puisqu'une ballade se fait entendre. Soit. _ Tu vois des gens qui dansent, toi ? Elle lève doucement les yeux au ciel alors qu'ils se fraient un passage entre les autres clients pour finalement commencer à suivre le rythme de la musique. S'en est presque déstabilisant de voir la normalité de la scène. Et pourtant, la bague de fiançailles trône toujours à son annuaire -- bien qu'il s'agisse d'un leurre. Une image qu'ils ont choisi de donner encore pendant un temps avec Archibald. _ Tu as toujours eu l’impression de me partager. C’est ça que tu essayais de me dire l’autre fois par sms. Je ne suis pas stupide, tu sais, j’ai bien compris que tu sèmes des indices derrière toi pour m’obliger à accepter ce que je crois avoir compris. Comme toi, qui es amoureuse de moi par exemple Elle relève son visage vers lui. Et Josephine a comme l'impression qu'une pierre vient d'être lancée dans son estomac. Si la blonde se fait chaque jour plus audacieuse, il lui ait encore compliqué d'avouer ses sentiments à voix haute. Pas parce qu'elle ne les assume pas mais parce qu'elle est consciente qu'elle n'aura pas la chance de la réciprocité. _ Tu peux le dire, tu sais ? ça enlèvera une part de risque pour moi, c’est pas mal, ça. On pourra trinquer à autre chose en plus. Elle sait que ses joues ont viré aux rouges, Josephine. Elle sait que sa gêne se lit probablement dans son regard. Et surtout, elle se sent bête d'être aussi prévisible aux yeux de Marty. _ Tu veux qu'on trinque au fait que je t'aime ? Elle déglutit avec difficulté. Son esprit est tellement torturé qu'elle s'arrête même de danser. _ Parce que oui, c'est le cas, je le dis. Je suis amoureuse de toi, Marty. Et je n'ai pas attendu que tu m'emmènes dans cet hôtel pour le savoir, tu sais. Elle a nourri ses sentiments pour lui chaque jour un peu plus depuis des années. Jo a pourtant essayé de les étouffer à de nombreuses reprises, s'accrochant au fait qu'ils n'étaient pas destinés à s'unir. Et pourtant, le destin s'était joué d'eux. L'alcool. Elle sait que sans ces sept verres de tequila, elle aurait simplement rougie et prit ses jambes à son cou, trop honteuse. Mais mise au pied du mur et avec l'ivresse qui s'empare d'elle, Josephine ne peut plus reculer. _ ça a toujours été toi. Et bien que ce ne soit pas la première fois qu'elle le lui dise, elle sait que cette fois, le sens de ces mots est différent. Elle sait que tout est différent.
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Martin Singh
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âge : 32 ans
statut civil : Ils s’embrassent quand Raph est sous la douche. Ils dorment ensemble quand il n'est pas là. Elle a dit "mon mec" en parlant de lui et s'il en a tiré de la joie et n'en reste pas moins éperdument amoureux de Jo, il a toujours du mal à se l'admettre et à définir leur relation avec LE mot qui conviendrait.
occupation : Cuisinier dans un Subway
adresse : 729, CBD, un appartement qu'il partage avec son meilleur ami. Un "chez lui" où le courrier n'arrive pas puisqu'il est toujours domicilié à la maison familiale.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il
trigger : Aucun
warning : Sexisme - Nicotine - Jeu - Sexe - Différence d'âge
infos rp : J'écris à la première personne. Mon rythme est assez rapide. Quant à la longueur, elle s'adapte à mon inspiration selon ce que mon partenaire m'aura offert. Ne prenez pas mal si j'écris moins que vous sur une réponse, la prochaine, peut-être que c'est moi qui vous inonderai.
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Le moineau ¬ Did I say that I need you ? Did I say that I want you If I didn't, I'm a fool, you see, no one knows this more than me as I come clean.
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F.R.I.E.N.D.S ¬ a venir

en vrac : C’est un fou de lecture, de poésie et de cinéma. Il sème des papiers de bonbons à la menthe derrière lui partout où il va. Il en a plein les poches. C’est comme une marque de fabrique. Il n’est pas carnivore, il est carniste. Il lui faut de la viande à chaque repas. C'est un bon danseur qui adore ça. Féru de belle mécanique, il retape une vieille voiture, avec son meilleur ami dans son fauteuil roulant auprès de lui. Ensemble, ils refont alors l’histoire, il redessine le monde. Il joue au baseball depuis son plus jeune âge. Il ne croit pas en Dieu, mais il aurait aimé dans l’espoir que l’idée lui rende la vie plus facile. Il boit beaucoup. Fume beaucoup. Il dessine comme il respire.
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· Jeu 29 Aoû - 1:00

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #7
La pitié m’inspire du dégoût : je la déteste. Alors, tandis que j’invite mes parents à la table de notre conversation, j’évite soigneusement le regard que Jo tourne vers moi. Je ne supporterais pas y déchiffrer de la compassion. Bien sûr, j’ai confiance en elle bien plus qu’en moi, mais je ne cherche pas à l’attendrir, Jo. Je n’ai pas besoins qu’elle me console. Je crois que je vide mon sac pour l’aider à comprendre comment mon histoire m’a transformé en pessimiste fini. Sans cela, j’aurais avorté mes confidences avant qu’elle ne m’implique émotionnellement. Impossible de lui dissimuler les émois qui me chahutent. De ma nervosité découle une envie obsédante de m’occuper les mains. Le verre devient ce hochet que j’agite devant mon gosse intérieur pour l’amuser, pour qu’il ne broie pas du noir alors que j’espérer colorer cette soirée de couleurs chatoyantes et lumineuses, de celles embellisent les filles dorées par un soleil d’été. Soucieux de préserver tout leur éclat, je les ai affrontés, les yeux de jade qui me dévisagent. Comme ils ne recelaient pas d’émotions horripilantes, je me suis détendu au point d’offrir à leur propriéraire un sourire empreint de reconnaissance et une caresse sur la peau de sa cuisse. Que pense-t-il de tout ça, mon moineau ? Saisit-il toutes les causes de cet élan de confidences ? Pense-t-elle, comme moi et selon les croyances populaires, qu’elles auraient été plus à propos sur l’oreiller ? La détailler ne m’apprend pas son malaise et je me détends au contact de ses lèvres sur le dos de ma main. Elle l’a portée elle-même à sa bouche après l’avoir enlacée de ses doigts et je me demande aussitôt si elle réalise la charge symbolique d’un tel geste. Il en dit plus long que tous les mots et, pourtant, bien qu’à mon sens ils aient moins d’importance que les actes, je bois ses paroles qui réconfortent mon coeur battant trop fort, à la cadence de mon embarras. ”Ouais, mais un autre soir aurait été mieux. On est là pour s’amuser, pas pour que je te raconte des misères vieilles de cent ans.” J’exagère le temps, mais pas le propos. Si le train de mes intentions était dévoyé par mes confessions, je m’en voudrais. Je baignerais dans une telle déception que réitérer l’expérience du rencar induirait une difficulté supplémentaire et je reculerais de peur de tout rater, de ne pas être à la hauteur de ses espérances et de la mienne, à la hauteur de ce que Joséphine mérite, soit le mieux et non pas le bien ou, pis encore, de nouvelles angoisses nous concernant. ”J’ai squatté chez ton frère pendant des années et c’est seulement maintenant que je réalise que c’était pas normal. Si ça, ça veut pas dire que j’ai un peu de mes parents en moi.” Voire, beaucoup. ”Alors, je ne sais pas ce que c’est.” ai-je remarqué, souffrant mon désarroi sur l’autel de la fatalité. ”Et, non, non. Je n’ai pas changé d’avis. Ne t’inquiète pas.” J’ai posé un délicat baiser sur le bout de son nez pour corroborer cette vérité puisque je ne triche pas. Si Amour devait reparaître, je dépenserais toute mon énergie afin de ramener cet étrange aboucheent au statut de relation profesionnelle. Ignorant si ça sera suffisant, je prépare Jo à une catastrophe, je cherche à me rassurer sur ce que notre histoire de s’achèvera pas sous prétexte que je suis le pantin d’une femme influente. Mon oiseau rare me rassure malgré elle. Une part de moi se réjouit d’intégrer qu’elle me passerait un écart, mais n’est-ce pas dégueulasse finalement ? Comment m’ôter de l’esprit que mon ADN est aussi pourri que celui de mes parents alors que je respire déjà mieux ? Maintenant que je sais que, si j’étais poussé dans le vide, un filet pour me rattraper serait étendu au pied du précipice ? ”Tu chasses de ta tête que je m’ennuie, que tu as pas ce qu’il faut ou autres bêtises du genre. Je pourais passer mes journées à te faire l’amour sans me lasser… et pas à te baiser. Je déteste quand tu dis ça. Pas le mot, hein.” Au sens méprisable du terme. Qu’importe l’intensité ou la brusquerie avec laquelle nous décidons de nous appartenir, quoique je ne nous l’avoue pas, notre intimité charnelle n’est pas exempte de sentiment. ”Disons que…” Interrompu par les musiciens qui jouent enfin, la suite de ma phrase est laissée pour lettre morte. Je ne la finirai jamais et c’est sans doute mieux comme ça. N’est-il pas préférabl de feindre le désapprobation dès lors que Jo manifeste son désir de danser ? N’est-il pas plus appréciable de me laisser tirer sur la piste de danse, de la serrer contre moi, de nous laisser bercer par la tempo de cette chanson romantique ? Evidemment.


Je ne réfléchis plus à présent. J’ai appuyé sur le bouton pause de mon cerveau et peut-être était-ce une mauvaise idée. Au contraire, je l’aurais préservé de mes petites provocations qui ne divertissent que moi, celles qui m’ébranlent à l’instant précis où les joues de Jo s’empourprent. Elles ne dérogent pas à la coutume et, moi, je cède à l’habitude d’afficher le sourire de la satisfaction. Je lui aurais volontiers chuchoté à l’oreille ô combien ça me donne envie d’elle (ce qui n’est certainement pas sain), mais là où notre dynamique lui imposerait le silence ou une réplique nimbée de défiance, ma jolie blonde m’assomme de son insolence. ”Non. Qu’on trinque à ce que ça impliquerait pour moi, directement, et donc pour toi.” Elle, amoureuse, c’est moins de risque qu’elle s’abandonne à la curiosité quand je ne lui serai plus d’utilité. Elle, amoureuse, ça signifie qu’aussi longtemps que ça durera, elle ne sera qu’à moi. Dans ces conditions, quel intérêt à endormir le serpent qu’est le sentiment qui s’agite en moi ? Plus besoin d’engager un fakir pour le charmer si Jo m’appartient corps et âme. Etais-je néanmoins prêt à ce qu’elle réplique d’un oui franc, massif, définitif. Surpris, mes pupilles s’arrondissent comme des soucoupes, mes bras l’enlacent plus fort comme si j’appréhendais qu’elle s’envole parce que je ne suis pas armé pour lui répondre que “moi aussi, je pense l’être”, pas alors qu’elle est toujours fiancée à un autre et que mon combat actuel consiste à me la figurer autrement que marier en 2025. Toutefois, seul un un lâche ou un idiot jouerait la carte du “tu blagues” quand tout en elle prétend le contraire. Elle jugerait que je me fous de sa gueule et je ne pourrais m’en offusquer à moins d’être hypocrite. Or, je le répète, j’ai des défauts, mais pas celui-là. ”Je…” Une seconde durant, j’ai envisagé l’embrasser à pleine bouche, mais la dernière fois que je me suis dérobé derrière cette méthode, j’ai été mal reçu. Chat échaudé craint l’eau froide. Aussi, ai-je lâché un : ”Je n’étais pas prêt. Je ne sais pas quoi dire. Mais..”Mais quoi ? Je sais ? Je suis heureux de l’entendre ? Tu gonfles mon coeur de joie ? J’ai envie de toi ? Rien de tout cela n’est convenable. J’ai donc pris mon courage à deux mains, non pas pour fuir à toutes jambes, mais pour révéler un peu de mes secrets et de mes tourments. ”Tu sais que je pourrais te dire que tu as trop bu, faire semblant que j’y crois pas et que c’est des bêtises. Je le ferai pas. Je préfère te dire que si tout était différent. Tu sais, ce qui nous prend la tête ? Tu pourrais obtenir tout ce que tu veux de moi, Jo. Absolument tout.” Référence à ce qu’elle a réclamé au starbuck : moi qui me laisse aller à l’aimer. Comment n’a-t-elle pas remarqué qu’au fond je suis plus proche de l’exaucer que le contraire. ”Parce que déjà sans ça, tu fais ce que tu veux de moi. Alors…” Tire les bonnes conclusions, Moineau. Ne te vexe pas de n’avoir récolté un “moi auss”, lis entre les lignes et admets que cette déclaration est plus révélatrice que ces deux petits mots répétables à l’envi sans que quiconque n’ait à s’encombrer d’amour.

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à contacter : sur le compte concerné.
présence : présente.
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âge : dix-neuf années qui ont déjà défilées. la fleur de l'âge. l'innocence.
statut civil : séparée d'Archibald depuis quelques semaines. après avoir été fiancée puis avoir décidé de continuer à faire semblant pour les apparences, ils ont finalement décidé de mettre fin à cette mascarade. au début d'une relation compliquée par biens des obstacles avec Marty.
occupation : elle étudie à l'université du queensland. ses parents ont voulu qu'elle se dirige vers un bachelor en gestion d'entreprise / gestion du tourisme, de l'hôtellerie et de l'événementiel. elle, elle aurait préféré suivre une voie afin de devenir traductrice littéraire.
adresse : kangaroo point -- un appartement qu'elle partage depuis peu de temps avec Marty.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : violences animales, violences faites aux enfants. - à discuter.
warning : fiançailles forcées, différence d'âge amoureuse, handicap.
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Marty #8 ♦️ Archibald #8 ♦️ Rebekah ♦️ Poppy ♦️ Jude ♦️ Eugenia ♦️ Amour ♦️

sms :

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rps terminés :
Marty&Archibald

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· Jeu 29 Aoû - 4:01

We Don't Touch,
We Collide
Martin&Josephine. #8
OUTFIT -- Elle s'étonne de l'entendre se confier. Sa langue se délie alors qu'elle encaisse chacune de ses paroles comme un uppercut bien placé. Elle a toujours été consciente que Marty n'avait pas eu la même éducation qu'elle. Pas parce qu'il ne s'habillait pas en Chanel ou parce qu'il bossait dans un Subway il y a encore quelques semaines, mais parce qu'elle avait parfois pu l'entrevoir. Marty est intelligent. Il possède une culture aux tiroirs multiples. Elle l'admire et sait qu'il pourrait avoir une vie bien meilleure s'il s'en donnait les moyens. Il n'a plus mentionné son ambition de devenir acteur depuis bien longtemps et cela inquièterait presque la blonde de savoir qu'il a abandonné. _ Ouais, mais un autre soir aurait été mieux. On est là pour s’amuser, pas pour que je te raconte des misères vieilles de cent ans. Elle plisse doucement des yeux et vient chasser les mots de Marty d'un revers de la main. _ Les deux ne sont pas incompatibles. Après tout, ils peuvent bien refaire le monde et s'amuser aussi. Et elle, elle s'accroche à toutes les opportunités de ses confidences. Peu importe le lieu, l'endroit ou le moment, Josephine sera toujours satisfaite de voir Marty s'ouvrir à ses côtés. Pourquoi tant de retenu alors qu'ils se connaissent depuis des années ? Cette pudeur dont il fait preuve depuis toujours concernant sa famille lui semble compréhensible maintenant qu'elle peut mettre des mots sur ses maux. _ J’ai squatté chez ton frère pendant des années et c’est seulement maintenant que je réalise que c’était pas normal. Si ça, ça veut pas dire que j’ai un peu de mes parents en moi. Alors, je ne sais pas ce que c’est. Elle laisse un soupir d'agacement traverser ses lippes et trahir ses pensées. _ Arrêtes voir de croire que tu as été un poids pour lui ou que sais-je encore. Raph a toujours apprécié t'avoir à ses côtés. Si tu n'avais pas "squatté" et elle vient mimer les guillemets avec ses doigts : _ Il t'aurait supplié pour que tu viennes habiter avec lui. Vous êtes comme... Starsky et Hutch. Qu'elle dit en le désignant avec ses mains. _ Deux opposés qui se considèrent comme deux frères. Qu'elle ajoute pour préciser ses pensées. Elle pourrait s'agacer de voir à quel point Marty se dévalorise. Elle pourrait s'énerver de le savoir si mal à l'aise avec sa condition face à la sienne et à celle de Raph. Parfois, elle préférerait avoir des parents aussi absents -- et négligents -- que les siens. Au moins, elle ne serait pas angoissée de les décevoir à chaque faux pas. _ Et, non, non. Je n’ai pas changé d’avis. Ne t’inquiète pas. Il dépose un baiser sur son nez alors que le noeud formé dans son estomac se dénoue légèrement. Quoi qu'elle voudrait comprendre pourquoi Marty lui pose cette question. _ Tu chasses de ta tête que je m’ennuie, que tu as pas ce qu’il faut ou autres bêtises du genre. Je pourrais passer mes journées à te faire l’amour sans me lasser… et pas à te baiser. Je déteste quand tu dis ça. Pas le mot, hein. La blonde roule doucement des yeux alors qu'elle sait qu'elle emploie ce mot à quelques rares exceptions. N'est-elle pas blessée quand elle s'imagine qu'ils n'ont aucun avenir ensemble alors qu'elle rêve de bâtir un cocon chaleureux à ses côtés ? Si Josephine tend à restreindre ses espoirs, elle n'y parvient pas toujours. Elle se surprend parfois à rêver d'un monde où ils pourraient être un couple, deux personnes heureuses sans restriction aucune. Mais ses parents seront toujours comme une épée de Damoclès au dessus d'eux. Jo est destinée à devenir une workin' girl, une femme d'affaire puissante pour son père, et une poule pondeuse pour sa mère. Y'a-t-il une réelle place pour Marty dans ce monde ? En a-t-il seulement envie ? _ Evite de dire ce genre de choses quand nous sommes en public, Starlord. Je te rappelle que j'ai les hormones d'une gamine de seize ans. Parce qu'elle découvre seulement quels plaisirs le monde peut lui apporter. Et aussi, et surtout, parce qu'elle est éperdument amoureuse de lui. Un rien est capable d'enflammer Josephine. Un baiser, une caresse ou quelques mots susurrer à son oreille. Les rouge lui monte aux joues. Son audace n'est possible que grâce à l'alcool qu'elle a déjà ingurgité. La tequila lui monte à la tête. _ Disons que… Marty n'a pas le temps de terminer sa phrase que la groupe se met à jouer et que Josephine l'entraîne au centre de la salle.

Elle ne s'attend pas à ce qu'il vienne déposer sur la table les non-dits de Josephine. Elle l'aime, bien sûr. Et si les mots n'ont jamais été prononcé, elle s'acharne à les lui faire assimiler depuis plusieurs semaines maintenant. Jo a fait taire son affection pendant des années. A présent, elle se libère de ce poids. _ Non. Qu’on trinque à ce que ça impliquerait pour moi, directement, et donc pour toi. Elle devrait enfouir au plus profond de sa gorge la question qui suit : _ Et qu'est-ce que ça implique pour nous ? L'aimerait-il un jour comme elle ? A s'en damner ? A se brûler les ailes ? A se foutre de tout ce qu'il y a autour d'eux et des conséquences que leur idylle pourrait avoir ? Est-ce qu'il l'aimera un jour comme si leur vie en dépendait ? N'a-t-elle pas trop souvent lu de livres impliquant une romance impossible et destructrice ? Sont-ils sur le point de chavirer alors qu'elle ose enfin l'avouer à voix haute ? Elle l'aime. _ Je… Et évidemment, ça lui cloue le bec, à Marty. Elle sent son étreinte se resserrer un peu plus fort. A-t-il peur qu'elle prenne la poudre d'escampette alors que la honte de sa naïveté s'empare d'elle ? Josephine n'a pas l'audace de penser que ses sentiments sont réciproques. Elle n'attend pas de Marty qu'il se lance dans une déclaration d'amour. Tu n'en auras probablement jamais de sa part, Josephine. _ Je n’étais pas prêt. Je ne sais pas quoi dire. Mais.. Elle fronce doucement les sourcils alors que Marty semble plus déstabilisé que jamais. _ Ne pose pas la question si tu n'es pas capable d'entendre la réponse. Qu'elle murmure dans un souffle presque inaudible. Peut-être même n'arrivera-t-il pas à l'entendre alors que le groupe poursuit son aubade. _ Tu sais que je pourrais te dire que tu as trop bu, faire semblant que j’y crois pas et que c’est des bêtises. Je le ferai pas. Je préfère te dire que si tout était différent. Tu sais, ce qui nous prend la tête ? Tu pourrais obtenir tout ce que tu veux de moi, Jo. Absolument tout. Sauf que rien n'est différent. Sauf qu'elle porte toujours cette bague pleine de promesses à son doigt, même s'il ne s'agit que d'une chimère. _ Parce que déjà sans ça, tu fais ce que tu veux de moi. Alors… Alors quoi ? Elle s'éloigne doucement de lui, brise l'étreinte et creuse doucement la distance. Ils ne sont pas censés se disputer ce soir. Ils doivent passer une bonne soirée et Josephine doit découvrir le monde dans lequel Marty évolue depuis toujours. Sauf que l'alcool a pour conséquence d'embrumer l'esprit de la blonde. Elle ne lit pas entre les lignes, elle s'offusque même. Quoi qu'elle comprenne, elle tourne les mots dans sa tête sans en trouver le sens. _ ça va être ça, alors ? Un éternel rappel de ce qu'on ne sera jamais parce que j'étais fiancée ? Elle ne se considère plus fiancée depuis des semaines. Archibald et elle ont rompu, quoi qu'en disent les apparences. _ Tu ne me feras donc jamais assez confiance pour me croire quand je te dis que c'est terminé ? Que ce mariage n'aura jamais lieu ? Elle pousse un soupire tout en passant une main sur son visage. _ Tu as obtenu tout ce que toi tu voulais de moi. Elle s'est donnée corps et âme. Elle a foncé tête baissée dans cette relation qu'elle sait improbable -- impossible, même. Tout ce qu'elle comprend, c'est que Marty s'empêchera d'avancer à ses côtés tant qu'elle sera promise à Archibald. Doit-elle lui jeter la pierre ? Non. Une personne sensée soutiendrait le trentenaire plutôt que cette gamine en quête d'une attention qu'il n'est pas capable de lui apporter. _ Oh et puis laisse tomber. Oublie ça. Je ne sais même pas pourquoi je n'ai pas simplement nié en bloc, ça aurait été plus simple. Après tout, il lui avait dit il y a quelques semaines qu'il serait mieux de ne pas mêler des sentiments amoureux à leur relation. Et si Jo pensait cette page tourné sur le chapitre de leur histoire, il semblerait qu'un goût amer vienne encore la chatouiller.
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âge : 32 ans
statut civil : Ils s’embrassent quand Raph est sous la douche. Ils dorment ensemble quand il n'est pas là. Elle a dit "mon mec" en parlant de lui et s'il en a tiré de la joie et n'en reste pas moins éperdument amoureux de Jo, il a toujours du mal à se l'admettre et à définir leur relation avec LE mot qui conviendrait.
occupation : Cuisinier dans un Subway
adresse : 729, CBD, un appartement qu'il partage avec son meilleur ami. Un "chez lui" où le courrier n'arrive pas puisqu'il est toujours domicilié à la maison familiale.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il
trigger : Aucun
warning : Sexisme - Nicotine - Jeu - Sexe - Différence d'âge
infos rp : J'écris à la première personne. Mon rythme est assez rapide. Quant à la longueur, elle s'adapte à mon inspiration selon ce que mon partenaire m'aura offert. Ne prenez pas mal si j'écris moins que vous sur une réponse, la prochaine, peut-être que c'est moi qui vous inonderai.
disponibilités : (JO & MARTY #8) We Don't Touch, We Collide Tumblr_inline_opv36lanm61rifr4k_250
Le moineau ¬ Did I say that I need you ? Did I say that I want you If I didn't, I'm a fool, you see, no one knows this more than me as I come clean.
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The family ¬ a venir
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Charlie Chaplin ¬ a venir
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(JO & MARTY #8) We Don't Touch, We Collide 614807d4f84b3aa7947f8b3052bca0ad35ec7977
Tex Avery ¬ a venir
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F.R.I.E.N.D.S ¬ a venir

en vrac : C’est un fou de lecture, de poésie et de cinéma. Il sème des papiers de bonbons à la menthe derrière lui partout où il va. Il en a plein les poches. C’est comme une marque de fabrique. Il n’est pas carnivore, il est carniste. Il lui faut de la viande à chaque repas. C'est un bon danseur qui adore ça. Féru de belle mécanique, il retape une vieille voiture, avec son meilleur ami dans son fauteuil roulant auprès de lui. Ensemble, ils refont alors l’histoire, il redessine le monde. Il joue au baseball depuis son plus jeune âge. Il ne croit pas en Dieu, mais il aurait aimé dans l’espoir que l’idée lui rende la vie plus facile. Il boit beaucoup. Fume beaucoup. Il dessine comme il respire.
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· Dim 8 Sep - 2:10

We Don't Touch,
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Martin&Josephine. #7
Elle n’a pas tout à fait tort, Jo. Passer une bonne soirée n’exclut pas forcément les confidences. Mais, ne sont-elles pas préférables quand elles arrachent un rire et non des pleurs dans les chaumières des ménagères ? J’insisterais bien pour enfoncer le clou de mes certitudes et rallier Jo à ma cause. Mais, à quoi bon ? Elle est têtue et, si de coutume, c’est un trait de caractère que nous partageons - un de plus - je capitule, haussant les épaules pour lui signifier qu’elle remporte bel et bien cette bataille après une vaine estocade. ”Je ne dis pas que lui le pense. On s’est bien amusés et on a kiffé vivre ensemble, mais… je fais exactement la même chose que mon père.”Sauf que nous parlerons d’Aaron un autre jour. Le misérabilisme, c’est pas pour moi et, si j’ai tiqué tandis qu’elle nous a décrits, Raph et moi, comme deux frères, là encore je me suis abstenu de commentaires. J’aurais terni ce que nous sommes pour les heures à venir et je m’y refuse quand la rassurer ressemble à une nécessité. Je n’ai pas calculé mon propos : il a brillé par sa sincérité. S’il demeure une ombre au tableau, elle ternit l’éclat de la situation, pas de ce que je ressens et j’éclate de rire devant la réaction de Jo. ”Si ça bouillonne trop, on peut s’isoler.” ai-je remarqué avec humour, l’oeil goguenard, mes sourcils se rehaussant à deux reprises. Dans ma tête affluent des images peu catholiques de Josephine et moi dans différents endroits plus intimes, mais je les ai balayés à la faveur du respect : il y a une différence entre ouvrir le champ des possibles et la bousculer. Chaque chose en son temps, ai-je songé en lui volant un baiser. C’est une façon de me raccrocher à l’ambiance, de m’en imprégner et j’y participe en acceptant de quitter la banquette pour faire danser mon oiseau.

Bien sûr, c’est agréable de la garder contre moi sans avoir à me soucier de si nous serons vus. C’est plus facile, pour moi, d’ignorer le caillou à son doigt. Ignorer, seulement, je n’ai pas oublié, mais je n’irais pas jusqu’à prétendre que c’est à cause de cette bague que j’ai lancé ma partenaire sur le terrain de la confession. Pour être honnête, je n’ai pas envisagé trois secondes de ce qu’elle confirmerait mon hypothèse. Je ne suis pas surprise, je m’en doutais. A l’inverse, je ne la titillerai pas dès que l’occasion se présente. Je le regrette à présent. Je m’en veux parce que, surpris par sa réaction, j’affiche la tête des cons trop audacieux qui ont oublié de réfléchir avant d’ouvrir leur gueule. L’aurais-je fait que je nous aurais protégé de cette anicroche puisqu’elle est contrariée, Jo. Elle l’est et c’est justifié. Peut-être est-il temps de lever le mystère sur ce qu’impliquerait la fin de ses fiançailles, sur les conséquences de cette confidence sur moi et donc sur nous. Sans doute, oui. Sauf que je ne sais pas comment m’y prendre parce qu’elle a raison : je ne devrais pas la confronter si je ne suis apte à me frotter aux réponses. Alors, j’essaie vraiment de ne lui envoyer l’impression que ça ne me touche pas, que ça ne me plait pas ou même que ça me fait peur. Je ne dirais pas que l’idée de vivre une histoire d’amour ne me terrorise pas, mais si nous sommes là, dans ce bar, n’est-ce pas la preuve que j’ai envie d’avancer avec elle ? Pourquoi est-ce donc si compliqué à admettre à voix haute ? ”Non. Bien sûr que non. On en a discuté il y a pas longtemps et…” N’ai-je pas déjà réagi et pour le mieux ? Le mieux pour nous deux ? Elle s’éloigne de moi et je ne lutte pas. Je la laisse m’échapper à regrets. Me défendre avec la musique pour assourdir les mots est probablement une mauvaise idée. Je n’ose pas lui prendre la main pour la guider vers l’extérieur, là où nous serons à même de mener cette conversation qui s’annonce compliquée. ”Pas parce que tu l’étais, mais parce que tu as toujours ce truc immense à ton doigt, parce que toi-même tu n’es pas certaine que ta mère te fiancera pas de nouveau dès que ta rupture avec Archie sera annoncée.” A condition qu’elle le soit un jour et, si j’ai foi en elle, je crains qu’à force de me convaincre que ça arrivera, je considère que ça sera toujours trop tard que trop tôt. Frustré par sa réaction, celle qui suppose que c’est moi qui exagère et non pas son statut et ses mensonges qui sont un frein, j’ai bien failli l’envoyer balader d’un “je ne t’ai rien demandé” qui puerait le mensonge. En cause ? C’est moi qui l’ai embrassée, qui ai chahuté son univers et, évidemment, si j’étais à des lieues d’imaginer qu’elle m’attendait, je serais malhonnête de prétendre que je ne l’ai jamais soupçonné. C’était l’explication la plus plausible à ses envies d’être avec moi, à sa façon de prendre soin de mes émotions. Aussi me suis-je employé à me détendre. Un soupir plus tard, je tente d’attraper sa main, de la lier à la mienne tout en me penchant vers elle pour lui chuchoter quelques mots à l’oreille. ”Qu’est-ce ça dirait de moi si je laissais tomber, Jo ?” Un sale type, un lâche, tout ce que je ne suis pas ou que je refuse d’être. ”C’est pas parce que je freine que je veux être ailleurs qu’avec toi. C’est pas parce que je dis pas les choses que je ne pense rien de tout ça ou que j’en pense du mal.” J’ai eu un pincement au coeur, un de ceux qui suggère que je suis touché, ravi, soulagé aussi. ”Tu as pas idée de ce que ça représente pour moi. C’est peut-être égoïste de le dire et de le penser, mais ça change tellement de choses. Je veux pas que tu regrettes de pas avoir nié parce que…” Je l’ai tirée vers moi pour la prendre de nouveau dans mes bras, j’ai posé un baiser sur sa joue et je l’ai bercée au rythme de la musique, bercé son inquiétude pour l’endormir durant cent ans.”parce que… je sais pas pourquoi. Ce que je sais, c’est que je veux pas que ça capote entre toi et moi et ça veut dire beaucoup. Tu le sais, non ?”


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